Les Grosses Têtes: LE SAVIEZ-VOUS ? - Trouvez la réponse avant les Grosses Têtes

Et la question porte sur un sabre, un sabre dont je vous demande de retrouver le nom exact.

Un sabre qui anne l'âme courbe, qui permet ainsi de mieux l'utiliser quand on est à

cheval. C'est surtout d'ailleurs au Moyen-Orient qu'on utilise ce célèbre sabre.

C'est très beau.

C'est très beau.

Pardon.

C'est très beau.

Bah oui.

Il faut aller chez le beau.

Oui.

Et vous en aurez.

Mais comment ça s'appelle ? C'est ça ma question ?

Coursbe, c'est mieux quand on est à cheval, c'est juste une question.

Il y a moins besoin de faire un geste, vous voyez, la courbe est déjà faite pour trancher

la gorge.

C'est plus direct pour trancher la gorge.

Et quel rapport est-ce que le cheval ?

Quand vous êtes à cheval, il n'est pas forcément le temps de faire tous les gestes

nécessaires.

Vous passez avec votre sabre.

Oui, c'est très dur.

Il coupe la tête du cheval.

Je ne sais pas.

Moi, je n'ai pas fait écritation boucherie.

Ah non.

Un coupe-coupe.

Un coupe-coupe.

Non.

Mais non, c'est très joli.

C'est dans un ladin.

A une lampe.

Il s'est ravisant.

Il s'est ravisant.

Parce que quand ça vous arrive sur la gorge, il a dit « une lampe ». C'est dommage,

j'ai dit encore des choses drôles parfois, mais on n'entend plus.

Mais oui.

C'est pas un truc comme un septre, ou je ne sais pas quoi.

Comment vous dites ?

Un septre.

Un sabre.

Non, c'est un roi.

Non, un sabre.

C'est la question.

C'est la question.

Une épée.

Une épée.

Non, non, non.

C'est pas un, ça finit pas en O, R.

Un polidor.

Non, en O, R.

Non, il n'y a pas de O dans ce mot.

Non, mais...

Il y a R.

Non, il y a...

Est-ce que c'est un mot ?

C'est en trois syllabes.

Est-ce que c'est un mot qu'on connaît ?

On peut dire que c'est en quatre syllabes, dont la dernière qui peut être considérée

comme muette.

C'est pour ça que j'ai dit trois.

Alors, est-ce qu'on le connaît ? C'est un mot qu'on l'a déjà entendu.

Oui, oui, c'est un mot qu'on connaît bien.

Comme le baltazar, le marie, quelque chose comme ça.

Chancar, quelque chose.

Dans les grosses bouteilles, petites bouteilles.

La marie brisante.

Non, non, non.

Ça vient de l'italien, du persan aussi.

Alors, attendez, l'italien, ça veut dire que le mot italien signifie l'âme ou les

vignes couteaux.

Non, non, non, non.

Un bizantin.

Un bizantin.

Non, non, non.

Pourquoi rendu-lui une pizza ?

Ça n'existait pas avant le XIIe siècle.

Ah oui, je me souviens bien.

Jusque là...

Jusque là...

Ah, ça m'a fort !

Non.

C'est m'a fort !

Et bien, c'était la perce de la maison de Potamie à l'époque.

Jusque là, les combattants avaient des épées droites.

Et puis au XIIe siècle, on a commencé à courber, effectivement, la lame du sabre.

Oui, ça attrape mieux la nuque.

Voilà, pour l'adapter au combat.

En effet, le sabre, à cause de ses propriétés mécaniques, quand il était courbé, était

plus adapté au combat equestre, voyez-vous.

Les cavaliers turcs et mongols, notamment, ont été les premiers à utiliser le...

Et ça finit comme une langue de serpent, non ?

Ah, je vais vous le montrer, si vous voulez, je vérifie qu'il n'y a pas le nom écrit

en gros, mais...

Oui, ça me faciliterait le boulot.

Alors voilà, regardez, voilà, voyez-là, voilà, c'est comme ça.

Ah mais vous le voyez très bien !

Les turcs, ils ont fait comme ça des culottes mouffantes, avec des chaussures, des bottes

plates en cuir très souples, ils ont ça et ils couppent la tête.

Et je vous jure que quand on y est demandé comment ça s'appelait, je vous l'aurai

dit !

C'est vrai ?

Mais vous ne me demandez pas.

Bah comment ça s'appelle ?

Et non, c'est moi qui pose la question.

Un coute-là.

Pardon ?

Un coute-là ?

Un coute-là.

Non, n'importe quoi.

Ça finit en opinel là.

Un couteau suisse aussi quand vous y êtes.

Non mais un couteau turc peut-être.

Ou un canif non.

Non, écoutez franchement.

C'est n'importe quoi.

Une dague.

Une dague, non.

Ah c'est court, une dague.

Ça ressemble à un autre mot, à une lettre près.

Un autobus.

Non pas.

On va donner 300 euros.

Qu'est-ce qu'on va faire ?

Qu'est-ce qu'on va faire avec votre mot ?

Non bah écoutez, on va pas partir sur l'autre mot.

Mais on va dire que...

Qu'en est l'abre ?

Si vous êtes victime, victime de ce sabre,

eh bien vous allez peut-être connaître l'autre mot qui ressemble à ce sabre.

Mais je sais qu'il y a ces cas de grécin à coller.

Le samu, le samu, le samu.

Il n'y a pas de cédicard.

Arraquiri.

Arraquiri, non.

Aéventration.

Non, non, non.

Je suis sûr qu'on va avoir la réponse.

Ah, ça finit en RE.

RE, non.

Non.

ARD ?

Non, non, non.

ARRE, non.

Voilà.

ARRE.

La consonance ?

ARRE.

C'est ARRE.

Non, ça finit pas en ARRE.

Vous êtes sûr ?

Sûre.

En IR.

En IR non plus.

En IR peut-être.

En IR.

En IR.

Bon, il n'y a pas de R.

300 euros.

La couture.

300 euros.

Et c'est tant mieux pour notre auditeur.

On n'avait pas encore distribué de chaque RTL.

Fais-le que j'en parle.

Oui.

Est-ce que quelqu'un dans la salle regarde ce monsieur au premier an qui lève la main ?

Bravo monsieur.

Bonjour monsieur.

C'est un sang.

Comment vous appelez-vous monsieur ?

Et quel est selon vous la bonne réponse ?

Un cimetère.

Un cimetère.

Ah bah oui.

Bonne réponse.

Ah bah oui.

Je fais ARRE.

Je fais IR.

Bravo monsieur.

Vous gagniez 100 euros.

Un cimetère.

Ah bah oui.

Vous aimez les grosses têtes ?

Découvrez dès maintenant les contenus inédits et les bonus des grosses têtes accessibles

uniquement sur l'appli RTL.

Déléchargez dès maintenant l'application RTL.

RTL.

Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.