Les Grosses Têtes: LE BRET - Son billet face à Sami Bouajila

Et j'aimerais vous présenter monsieur Boijila, quelqu'un que vous connaissez, sûrement qui s'appelle Marc-Antoine Lebré, qu'on va applaudir.

Et qu'il y a cette chance, Marc-Antoine, qu'il y a cette chance de pouvoir amener avec lui des tas d'invités, comme par exemple Vincent Cassell, que vous connaissez bien, j'imagine.

Oui, salut Laurent. Qu'est-ce que t'as dit Laurent, moi je suis un collègue de travail, c'est ça ?

Oui, un collègue de travail de monsieur Boijila.

Non mais oh, on est F7MAR, bordel. T'as cru comment c'est dans l'open space ou quoi ?

Non mais en tout cas, ça fait plaisir de se revoir, surtout pour toi, j'imagine.

Oui, je me kiffe. On partage beaucoup de choses. Toi t'as eu un César, moi j'ai eu un César, toi t'as eu un prix d'interprétation à Cannes, moi j'ai eu Monica Bellucci.

Ouais, je suis beau et drôle. Bah voilà, c'est tout.

Vous avez reconnu votre collègue de travail ?

Je suis bluffé, je suis bluffé.

Stéphane Bern, à l'envie de lire quelques mots à Samy Boijila.

Bien le bonjour, prince Samy de la Boijila du César, et Messir Rukouk, la fripouille.

Oh non, en quelque sorte.

Un coquinou. Et bonjour aussi aux gueux dans la salle, vous avez pas vu, pardon.

Oh non.

Un cher Samy, vous jouez dans la pièce un prince, mais il est prince de quoi, votre prince ?

Ah, ça c'est une vraie question.

Alors ?

Il est prince de quoi ?

Oui.

Il est prince de comment dire ?

Ce gars, malgré comment dire sa condition, il est resté libre, il est libre dans sa tête, donc on va dire qu'il est prince de lui-même, voilà.

C'est pas mal, pas mal.

Un peu comme Jocelyn.

Oui, exactement.

Comme Jocelyn.

Absolument.

On va péter deux fois s'il vous plaît, ça va être ça.

J'aimerais m'en prendre une.

Il vit où, il vit où ce SDF d'ailleurs, c'est quoi, qu'est-ce qu'on voit sur scène ?

On voit, enfin c'est surtout le son qui symbolise, qui symbolise où il se trouve, c'est, on comprend qu'il est à la périphérie d'une ville, voilà.

Il vit dans un espèce, il y a un tas de terre à côté de lui, et il en fait sa demeure quoi.

Il est libre dans sa tête, ça.

Oui, comme derrière sa fenêtre.

Déjà mort, peut-être.

On passe de Johnny à Bouba, qui est venu nous voir aussi.

Bonjour Bouba.

Ouais, je l'ai fané.

C'est Bédo Zoba.

Easy.

Missa, je suis femme de ouf.

J'ai tout regardé, j'ai vu Breaker, Breaker.

Ouais, Breaker le film, Breaker la série.

Easy.

Attendez, il n'y a pas fait que ça, Monsieur Brogilla, il a fait énormément de films, il n'a pas fait que Breaker.

Je sais, Boulos.

J'ai vu 50 films avec Sarmie, parce que j'ai vu 50 fois Breaker.

J'ai vu d'autres films, il a eu des César, un fils, il a eu les témoins aussi.

Les témoins du braquage ?

Sarmie, il faut la retrouver, elle est fumée, c'est balance, la vie de Maron.

Vue.

Alors écoutez, Roselyne Bachelot, c'est plutôt vers vous que je vais me tourner.

Oui.

Bon, moi, Sarmie, je l'aimerais encore plus s'il est témoin couvert.

Mais bon, ça, c'est une autre histoire, hein ?

Si on fait un calendrier des dieux du cinéma, Sarmie, ça sera mon mois de juillet.

On peut obtenir d'un comptoir de bret que vous retrouverez dans le...

18 heures.

FTL, bonsoir.

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