Les Grosses Têtes: LE BRET - Le billet de Marc-Antoine face à Regis Laspales

Hey there, my friends call me Big Bobby.

I dream big.

I like big burgers, and I'm big on streaming, and when it comes to catching those big moments

of my favorite shows, I unfold the big 7.6 inch screen of my new Samsung Galaxy Z Fold

5.

I love you James, I've always loved you.

And Big Bobby also gets big feelings.

Good for you James, you deserve it.

Get your Galaxy Z Fold 5 now at the Samsung Experience Store at the Stonebriar Center in

Frisco.

Pieges for a single man at the Michel-Dier Theatre from September 14th.

You know of course Marc-Antoine Lebray who joined us as well.

Hello Marc-Antoine.

Hello.

And Marc-Antoine will remind you, if you had forgotten, that you started with Phil Bouvard

from the time of the small theatre, and you surely met there our comrade Chantal Latsou.

Bonjour, bonjour la campanée, c'est d'un tachon d'oeil.

Qu'est-ce qui vous amène Chantal?

Le taxi c'est couillon.

Régis, tu te souviens de moi?

Mais oui Chantal, bien sûr.

T'as l'air content.

Alors on s'est connu il y a 40 ans, ça ne nous rajeunit pas.

A l'époque, ton collier de barbe, c'était même pas une gourmette.

A peine un petit bouc.

Un bouquetin, c'était au Théâtre des Bouvards.

Question de monsieur Grotretter, qui se situe juste en face de moi,

qui vient faire sa promo chez le sale type, qui m'a piqué mon émission.

Un indice, son prénom c'est Régis, et son nom c'est Las Palaises.

Régis, Las Palaises.

Bonne réponse de moi.

De Phil Bouvard.

Allez, à bientôt Laurent et à bientôt Régis.

Merci, il nous a fait un doigt Régis, je vous signale.

J'ai vu, oui.

Sérieux, vous devez beaucoup affrier Bouvard quand même.

Le petit théâtre, ça a été quelque chose.

Oui, c'est lui qui m'a fait connaître du grand public, évidemment.

Je ne sais pas si vous connaissez François Damien.

C'est ce que vous avez déjà joué tourner avec François Damien.

Non, non, mais je l'admire beaucoup.

Il est là.

Bonjour, bonjour.

Alors c'est vrai que je n'ai pas l'habitude de faire des compliments,

mais Régis, t'as toujours été mon inspiration.

Cette voix inoubliable, ce petit sourire en coin,

ce regard chaleureux qu'on a tous déjà vu d'en fait entrer l'accusé.

Voilà, je t'adore, c'est dit.

Ça va, cool, cool.

On peut non plus commencer à se rouler des galoches.

Mais c'est vrai qu'on vous voit plutôt dans le rôle de l'accusé

que dans le rôle du flic généralement.

Régis, Las Palaises.

Bah oui, peut-être.

J'y peux rien.

Et j'en sais quelque chose.

Il avait une gueule de serial killer.

Avec l'Andreux, bien sûr, c'est un grand souvenir.

Stéphane Bern, pardon Franck Ferrand,

mais Stéphane Bern est là lui aussi aujourd'hui.

Oui, bien le bonjour, Messire Laurent,

deux ruquiers de la galéjadine

et mes hommages au public des grosses...

Oh non, que vois-je.

Mon dieu le compte de Ferrand,

mon nez misuré.

Maraud, Grudin, Palfrunier,

calafron,

Castelentienne, Franck de la Férance,

nous réglerons cela demain à l'aube,

tel des gentlemen

ou des mecs qui rentrent de boîtes torchées.

Oh non.

Sur le prix.

Pardon mon cher Régis pour cette parenthèse

et toi, à demain à l'aube, Baltring.

Oh non.

Régis, Las Palaises,

je suis désolé de vous dire que vous avez un double.

Qu'est-ce que c'est que cette mascarade ?

Vous m'avez cloné ?

Il manque le nez !

Ah ouais !

Ils ont eu des problèmes !

Ça c'est une phrase qui vous restera collé

à la peau pendant longtemps.

Y a celle-là et quoi d'autre ?

De quoi on vous parle quand on vous croise

Régis, Las Palaises ?

On parle pas mal du film,

du film Paris

où je faisais un psychopathe

qui mettait les habits de sa femme

et qui fumait le type qui va arrêter de fumé.

Tu fumes, hein, salope ?

Bah voilà.

Ils s'en souvient mieux que vous, dites-vous.

Y a des cons comme le break, ils me le rappellent.

On a parlé tout à l'heure de Max Verstappen,

ça reste là.

Une de vos passions, la Formule 1.

Oui, c'est vrai, je suis toujours.

Même si ça change beaucoup.

Régis, Las Palaises est à la fiche d'une pièce

mise en scène par Michel Faux

avec Michel Faux et aussi Catherine Amurino, entre autres,

à partir du 14 septembre au théâtre

de la Michaudière.

Mais Régis et Marc-Antoine restent avec nous

pour la Valisertel.

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