Les Grosses Têtes: LE BRET - Le billet de Marc-Antoine face à Maurice Barthélémy

...

Maurice Barthélemy est toujours notre invité.

Et viens de nous rejoindre.

Marc-Antoine Lebrich, vous connaissez sûrement

Maurice Barthélemy.

Et il va vous rappeler, cher Maurice Barthélemy,

que vous avez joué dans les tuches.

Le 2, c'était dans le 2.

Le 2, oui, le même truc dans les tuches.

Ça a eu ses GF-tuches !

Ça va, Maurice !

Alors comme ça, on se met à écrire !

Du coup, si tu te mets à écrire,

il faut la tête que j'apprête à lire pour voir ce qu'ils aient...

Si ils aient bien ce que je t'écris.

Vous me suivez toujours, parce que moi, je ne me suis pas.

En même temps, c'est pas facile de suivre soi-même,

sauf si on a un frère sur moi.

En tout cas, GF, il est fier de toi, Momo.

Hâteur, scénariste, réalisateur, écrivain...

D'un côté, j'ai envie de dire bravo,

mais en même temps, c'est pas si étonnant

qu'un romain des bois et autant de corps à son arc !

Ah ! Ah ! Ah !

Ah !

On est dans l'humour ?

On est pas dans l'humour !

Et si il y a l'humour ?

Il y a du rire, si il y a du rire, il y a l'alarme.

Si il y a de l'alarme, il y a peut-être le feu !

Si il y a le feu, il faut l'éteindre !

Et si il faut l'éteindre, c'est qu'on parle pas des cheveux de Maurice, l'éteindre !

Il faut réfléchir !

Dites dans les tuches, parce que moi, j'ai pas vu de...

Faisiez quoi dans les tuches, vous ?

Je faisais un appris sérieux à Los Angeles.

Et parmi vos copains des robins des bois, il y a Marina Foy,

et s'il y a évidemment Jean-Paul Rouves,

avec qui vous êtes le plus proche aujourd'hui ?

Je suis très proche de Jean-Paul Rouves,

parce qu'on écrivait ensemble au sein des robins,

et on avait le même bureau, et on est restés très proches, ouais.

Joe Ester !

Vous prenez par ordre, lui aussi.

Ben, à Momo, tu sais qu'on a un point commun tous les deux, quoi.

Ben, moi aussi, je suis perfensible.

Comme toi, moi aussi, je suis traversé par plein d'émotions, quoi.

Quand elles sont négatives, quand elles sont positives,

pardon, je bois pour fêter ça.

Quand elles sont négatives, je bois un coup pour oublier ça.

Et je mets une tarte dans la gueule de la personne qu'en face de moi,

qu'est-ce qu'il y a ? T'as un problème, Jean-Phi ?

Et doucement, sur le Botox,

t'es plus proche de Rachid Adati que d'Aniboun, hein ?

Attends, tu vas nous faire attaquer par les amis de Jean-Phi,

qui sont là aujourd'hui.

Ah ben, c'est lui, les gogoles, quoi !

Voilà, voilà, voilà, ce que c'est,

que de s'attaquer à la gloire du Chinor.

Élysée Moon est venue nous rendre visite aussi ce soir.

Bonjour, Maurice.

Comment ça va ?

Ca fait plaisir de te revoir, hein, tu te souviens ?

En 2004, tu m'as fait goer, dans ton premier film,

Casablanca Driver.

Il y avait Dieu donner, d'ailleurs, aussi dedans,

une petite couviens.

Et depuis, plus rien, hein.

Pas un petit rôle dans tes films,

pas une figure, pas un tweet,

pas un pauque sur Facebook, pas un ECMS, rien.

Alors, Dieu d'eau, je peux comprendre, mais moi,

c'est quoi le problème, hein ?

Tu n'aimes pas les guifes, c'est ça, hein ?

Mais dis-le, anti-canette, hein ?

C'est vrai, il y avait Dieu donner,

il y avait Élysée Moon.

Et effectivement, le premier film que j'ai fait,

Casablanca Driver, il y avait Dieu donner,

à l'époque, avant qu'il vire.

Alors forcément, pas loin d'Élysée Moon,

ça nous rappelle les petites annonces,

il y a aussi notre camarade, Frank Dubosque.

Non, Maurice, tu n'as pas rêvé, c'est bien moi.

Frank Dubosque, en chair, en hausse et en Jean-Claude.

Calme-toi Jean-Claude.

Je suis bien là pour toi, mon petit vénard.

Et tu sais pourquoi ?

Parce que j'ai adoré ton film Les Ex.

Ouais, t'imagines, si ça avait été sur mes ex,

ton film, ça devenait une saga.

Avec moi, bye-bye, Star Wars.

Et je suis ton père.

Non, avec moi, c'est je suis ton sugar daddy.

One guy, best of life, Laurent.

Calme-toi Jean-Claude.

Bisous, Maurice.

Gourgande.

Bravo, Marc-Antoine Lebré qui nous offre toujours.

Cet personnage que vous retrouverez aussi,

évidemment dans RTL.

Bonsoir à partir de 18h.

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