Coran de Ton coeur: #J6 - Ramadan' Naissance : IL écoute les confidences de ton foyer

Zaynab D. Zaynab D. 3/30/23 - Episode Page - 21m - PDF Transcript

Bienvenue dans Ramadan naissance, la série du podcast Coran de ton coeur qui t'accompagne avec douceur pendant les jours bénis de Ramadan.

Je suis Zeyneb, enseignante et éternelle étudiante du Coran.

Chaque jour de ce mois béni, du lundi au vendredi, prépare-toi à voyager à travers les histoires de ton Coran à la recherche de belles leçons de vie pour toi et tes proches.

Ramadan naissance, parce que chaque Ramadan est censé être ta renaissance et chaque Ramadan est censé être ta station d'essence.

C'est ce que Dieu a entendu et apporté.

Lesquels vous sides entre les mains des femmes, ceux-ci,

Nous n'apportions tryin que les filles, leurs bullets discovering."

Et guest Zero, eux qui tollent leur boule de poulet et les Then dinheiro't à l'heure.

Et, verre, Allah est pardonné, pardonné.

Et ceux qui se sont réveillés des femmes, puis ils reviennent pour ce qu'ils ont dit,

donc ratez leаешь d'un coup d'Allah qui a pu profiter,

Voilà ce que vous mojez cropet, et l'Allah de ce que vous faitesื่ opinion dopo!

Et si il n'y a pas trouvé de façade les deux mois qui se suivent à l'œil avant qu'il s'y accueille,

et si il n'y a pas réussi à manger 60 mousses,

c'est pour que vous croyez en Dieu et le Ressurant.

1.

Allah a bien entendu la parole de celle qui discutait avec toi à propos de son époux,

et qui se plaignait à Allah.

Et Allah entendait votre conversation, car Allah est odiant et clairvoyant.

Ceux d'entre vous qui répudient leurs femmes en déclarant qu'elles sont pour eux comme le dos de leur mère,

alors qu'elles ne sont nullement leur mère, car ils n'ont pour maire que celles qui les ont enfantées.

Ils prononcent certes une parole blamable et mensongère.

Allah cependant est indulgent et pardonneur.

Ceux qui comparent leurs femmes au dos de leur mère puis reviennent sur ce qu'ils ont dit,

doivent affranchir un esclave avant d'avoir un contact conjugal avec leurs femmes.

C'est ce dont on vous exhorte, et Allah est parfaitement connaisseur de ce que vous faites.

Mais celui qui n'en trouve pas les moyens doit jeûner alors deux mois consécutifs

avant d'avoir un quelconque contact conjugal avec sa femme.

Mais s'il ne peut pas le faire non plus alors qu'il nourrisse soixante pauvres,

cela pour que vous croyez en Allah et en son messager.

Voilà les limites imposées par Allah et les mécréants auront un châtiment douloureux.

Surat al-Mujjad, il a, ayah, une à quatre.

Parce qu'Allah a décidé de porter haut la voix de cette femme,

et parce que tout ce qui se trouve dans notre Quran nourrit notre voix vers le paradis.

Je vais te parler de cette femme qu'Allah voulait qu'on écoute,

comme il a pris soin lui de l'écouter.

Cette femme, elle s'appelle Raula Bint Thalaba,

qu'Allah l'a grée.

Elle était mariée à un homme qui s'appelait Aus Ibn Aslamit.

Et voici le récit de sa mésaventure racontée par elle-même après l'effet.

J'étais sa femme, mais dès qu'il devint un vieillard, son comportement se transforma

au pire des comportements.

Un jour il entra chez moi, pour discuter d'une certaine affaire,

il s'irita contre moi et déclara,

« Tu es pour moi comme le dos de ma mère ».

Puis il partit pour passer une heure dans une assemblée avec ses amis.

En rentrant, il se rapprochait de moi pour avoir un rapport.

Je lui répondis catégoriquement, par celui qui détient l'âme de Raula,

« Tu ne pourras le faire avant qu'Allah et son messager ne tranchent entre nous. »

Mais il essaya de se rapprocher de moi par la force, et je puis le repousser.

Je me rendis ensuite chez Allah, et je m'assis devant lui.

Je lui racontais alors tout ce qui s'est passé entre nous,

en accusant à mon époux du mauvais caractère dont il a fait preuve.

Dans une autre version, elle dit « J'étais une très belle femme quand il m'a épousé,

j'avais plusieurs prétendants, et c'est lui que j'ai choisi.

J'ai porté ses enfants, je me suis occupé de ma maison.

J'ai beaucoup donné.

Maintenant que j'ai pris de l'âge, que je ne peux plus avoir d'enfants,

que le temps a passé, il me néglige, ne patient plus avec moi.

Et, me dit que je suis comme le dos de sa mère,

je me plains à Allah pour ses enfants,

qui, s'ils restent avec moi, connaîtront la faim,

et qui, s'ils restent avec lui, seront négliger.

Notre prophète Mohammed sallallahu alaihi wa sallam

n'avait pas voulu devancer la révélation d'Allah,

car il ne savait pas quelle mesure prendre quand un homme prononce de telle parole.

Tellement, c'était énorme comme propos.

Il l'a cependant écouté attentivement, sans la couper.

Elle l'a pu se confier à lui,

et elle s'est plainte à lui en toute liberté.

Aisha, l'épouse de notre prophète sallallahu alaihi wa sallam,

qu'Allah l'a grée,

rapporte que Raoula, avant de s'en aller,

a fait une invocation devant Rasulullah sallallahu alaihi wa sallam,

en disant, oh Allah,

je me plains à toi de mon grand malheur

et de la souffrance que me cause la séparation d'avec mon époux.

Oh Allah, fais descendre sur la langue de ton envoyé,

ce qui peut soulager notre malheur.

Et à peine Raoula, partie,

que Allah sallallahu alaihi wa sallam,

a révélé à son prophète,

sallallahu alaihi wa sallam,

les versets que tu as entendu au début.

Il dit, Rasulullah, oh Ru'ayla,

c'est un diminutif de Raoula, c'est comme pour dire,

petite Raoula, c'est un terme affectueux et poli,

qui se disait à l'époque,

Allah a fait descendre des versets à votre sujet,

toi et ton mari.

Donc la parole,

Oh de samir Allah,

oh alal la tithu jadilu khafiz al jihah,

wa tashta ki il Allah.

Donc Allah a bien entendu

la parole de celle qui discutait avec toi,

à propos de son époux,

et se plaignait à Allah.

Et Allah entendait votre conversation,

car Allah est audience,

et clairvoyant.

Après avoir recité le verset,

Rasulullah, sallallahu alaihi wa sallam,

dit ya Raoula,

dit à ton époux d'affranchir un esclav,

elle lui répond, quel esclav,

son seul domestique c'est moi.

Alors, dit lui de jeûner deux mois consécutifs,

soixante jours,

par Allah,

oh Rasulullah,

il ne peut pas le faire,

il boit plusieurs fois dans la journée de l'eau,

et sa vue a baissé,

suite à une faiblesse de son corps,

il est incapable de jeûner toute cette période.

Rasulullah conclut,

dit lui alors de nourrir soixante pauvres.

Mais comment pourrait-il le faire,

alors que nous ne possédons que le repas d'une journée?

Abou d'argument,

Rasulullah lui dit,

dit lui alors d'aller chez un tel,

et de prendre chez cette personne un bac,

rempli de dates,

qu'il pourra distribuer à soixante pauvres.

Raoula se retourna chez elle,

informa son époux de tout ce qui s'était passé,

et courut chercher le bac de date,

qu'elle donna à son époux,

qu'il puisse distribuer à soixante pauvres.

Par la suite,

nous apprenons que son époux a regretté ses gestes,

regretté son comportement,

qu'il a fait beaucoup d'efforts pour se réformer,

se faire pardonner,

et ils ont pu reprendre une vie commune, paisible.

Il faut savoir que Raoula ne voulait pas divorcer de son époux,

malgré le mauvais traitement,

elle aimait son époux,

et elle voyait bien l'injustice qui avait été faite.

Elle pensait aussi à ses enfants,

elle s'est dit que seul, ce serait compliqué,

avec lui, ce serait compliqué.

Qu'est-ce que je dois faire en gros?

Cette conversation

entre une femme du peuple

et notre prophète,

Muhammad s'allait en l'un ou l'autre,

rend toi compte

qu'elle a été gravée à jamais

dans ce courant.

Rends toi compte qu'Allah voulait que cette histoire soit connue

du monde jusqu'à la fin des temps.

En lui donnant en plus le titre d'une sourate,

El-Mujad a la conversation,

et en lui consacrant

les quatre premiers versets de cette sourate.

Des années plus tard, après la mort du prophète s.a.a.,

pour te parler à quel point

cette conversation dans notre année importante,

eh bien il y a une scène qui s'est passée,

plusieurs années après.

Quand Omar ibn Trattab était calif à l'époque.

Alors qu'il était en monture,

et qu'il était en train de conduire

toute une armée

avec des personnes haut placées,

toute une délégation.

Une vieille dame qui marche,

interpelle Omar ibn Trattab,

le calif à l'époque,

ce n'est plus seulement le compagnon de rassolallah,

c'est en plus le calif de l'époque

dont l'autorité pour les musulmans,

à cette époque.

En lui disant ya Omar,

ça veut dire petit Omar,

elle l'interpelle,

elle lui demande de descendre,

elle veut discuter avec lui,

Omar ibn Trattab s'exécute,

on parle de Amirounu Minin,

nous savons tous,

comme Omar ibn Trattab,

et la poigne qu'il a,

et le grand homme qu'il est,

il descend de sa monture sans boncher,

va vers cette vieille dame,

discute, discute,

et puis il la laisse parler,

à tel point que les compagnons ont dit

que ça avait duré presque une heure,

et après il remonte en s'elle,

tranquillement,

il veut continuer sa route.

Et là il y a un des compagnons qui lui dit,

mais on ne t'a jamais vu faire ça,

pourquoi avoir arrêté un groupe de personnes,

une délégation si importante,

une armée pour une vieille dame,

qui t'interpelle comme ça en plus,

parce que les compagnons qui voient la scène de l'extérieur,

ils se disent,

elle ose lui parler comme ça,

elle sait pas qu'elle parle à Omar ibn Trattab,

elle sait pas qu'on est dans une voie importante,

qu'on a un chemin à parcourir,

elle arrête toute une armée,

pour parler normal.

Et Omar ibn Trattab, qui rétorque à ce compagnon,

en disant,

mais laisse-la,

ne sais-tu pas quelle est

ces raoulas à bin Thalabah,

cette femme dont Allah a entendu la plainte,

au-dessus des sept cieux,

et pour laquelle il a révélé,

qu'a de s'amirallahou qaoulal latitou jadilou khafizawjihah.

Donc Allah a entendu les propos de celle qui discutait avec toi

au sujet de son mari.

Il dit ensuite,

Omar est plus à même de l'écouter.

Wallahi,

si elle restait à me parler toute la nuit,

je ne la quitterai que pour aller faire la prière,

et je rejoindrai l'écouter.

En gros,

si Rasulallah l'a écouté parler,

Allah l'a écouté parler,

Allah a consigné une conversation privée

dans son livre

que tout le monde va pouvoir lire jusqu'à la fin des temps,

et moi Omar je ne l'écoute pas.

Je trouve ça très beau.

Donc Allah a rendu l'affaire publique.

Il a rendu cette injustice publique.

En d'autres termes,

tout ce qui se dit dans un foyer

peut ne pas être entendu de l'extérieur,

mais il faut toujours garder en tête

qu'Allah entend tout et voit tout.

Ce fait était tellement grave.

L'impact psychologique, familial, sociétal de telle propos,

cela ou d'autres uns qui s'apparent à ça aujourd'hui,

on a un panel de propos aussi grave que cela.

C'était tellement grave

qu'Allah Sufran Tala n'a pas laissé passer ça.

L'injustice ne se tait pas.

Si une femme subit une injustice dans son foyer,

de la part de celui qui est censé la protéger,

censé la conseiller,

censé lui offrir un cadre de sécurité,

vers qui est-ce qu'elle peut se tourner?

Est-ce qu'elle est censée rester patientée,

se résigner,

garder tout caché, ne se plaindre à personne?

Ou elle est censée de se dépatouiller seul face à un homme

qui n'a pas de Mahram et qui est, lui,

censé être son Mahram à elle?

La voix de la femme a tellement de valeur

auprès de son créateur à elle

qu'il a tenu à nous informer

de l'importance qu'il accorde à cette femme aux femmes

et quoi de mieux que de nous le rappeler dans sa propre parole,

dans le Quran,

qui va être récité,

lu, appris,

par des milliards et des milliards et des milliards de personnes.

Rentre à compte qu'Allah S. Tala et son prophète,

S.A.H.,

ont été à l'écoute.

Ils étaient à l'écoute des gens,

de toute catégorie.

Ça nous montre aussi, nous, à notre échelle,

la nécessité, voir l'obligation d'être à l'écoute des autres,

quel que soit leur propos,

quel que soit leur roquette,

quel que soit leurs émotions.

Il faut imaginer cette femme au moment où elle vient parler à S.A.H.

Elle n'a pas dû parler tout calmement,

tout simplement, sans problème.

Non.

Elle a parlé avec ses émotions.

Elle a parlé vite.

Elle a dû reprendre son souffle plusieurs fois.

Elle a dû émettre des gestes.

Mais tu te rends compte à S.A.H.

Il m'a appelé comme ça.

Il m'a dit ça.

C'est une formule de divorce, d'ailleurs, petite aparté.

C'est une formule de divorce à l'époque.

Bon, ça ne vaut pas divorce aujourd'hui,

mais c'est une formule de divorce à l'époque

qui se faisait à l'époque pré-islamique.

Quand un homme, par exemple,

était fâché avec sa femme ou il avait un argument avec elle,

il pouvait dire ça.

T'es comme le doute ma mère.

Ce qui est gravissime.

En gros, ma mère, je ne peux pas avoir

de lien de époux à épouse avec ma mère.

C'est logique.

Donc toi, je ne veux plus de toi,

mais la personne ne se contente pas de dire ça.

Il dit, t'es comme le doute ma mère, tu vois.

Et ça, c'est gravissime.

C'est très, très grave comme propos.

Et c'est à un degré où la personne n'était pas réellement divorcée.

C'était une forme de séparation

où l'homme dit à sa femme qu'il ne veut plus d'elle,

qu'il ne veut plus rien avoir à faire avec elle.

Il n'aura plus d'échange avec elle, de rapport avec elle.

Il n'applique plus ses obligations vis-à-vis d'elle.

Mais attention, ça ne veut pas dire pour autant qu'il la libère.

Elle reste sa femme dans les faits, entre guillemets,

dans les textes.

Elle reste sous son toit.

Mais il l'ignore.

Et ça, c'est totalement interdit en Islame.

La personne, soit tu lui dis noir,

soit tu lui dis blanc,

soit tu es avec elle dans les règles de l'art,

soit tu la libères.

Donc, c'était une grande forme d'injustice.

Et c'est pour ça que parmi les expiations qu'Alan Spintala a donné,

en premier, c'était d'affranchir un esclave.

Pourquoi?

Parce qu'une femme, lorsqu'elle se trouve dans cet état-là,

lorsqu'on lui parle sur ce ton-là,

avec ces mots-là, on l'emprisonne.

On crée une sorte de prison psychologique.

Et Allah, sur un état-là,

pour faire goûter à cet homme à son injustice pour qu'il se rende compte

de ce qu'il a fait, de ce qu'il a infligé à quelqu'un,

il doit libérer quelqu'un qui est aussi en prison,

donc qui, dans une forme de prison, l'esclavage.

Pour qu'il se rende compte.

Et s'il ne peut pas, il doit jeûner 60 jours

sans interruption.

Et s'il arrive, par exemple, au 40e jour

et il loupe un jour,

il est obligé de recommencer depuis début.

Le compteur revient à zéro et recommence à un.

Pour lui montrer à quel point c'est grave de prononcer de telle parole.

Ces paroles-là, et tout autre parole dégradante.

Cette femme, Raola,

elle a été hyper courageuse

parce qu'elle aurait pu aller porter la plainte à ses amis, par exemple,

ou à des membres de sa famille.

Mais elle a eu le courage d'aller voir directement, là, sous l'Allah,

sous l'Allah, alaihi salam.

Et en faisant ça, elle a fait un acte fort

pour tout le monde, en fait.

Parce qu'elle a parlé en son nom

et au nom de toutes les femmes

qui vivent ce genre d'injustice,

qui perdurent encore malheureusement aujourd'hui

sous des formes différentes.

Mais c'est presque du pareil au même.

La leçon que je veux,

que tu emportes avec toi aujourd'hui,

que tu sois une femme,

que tu sois un homme,

c'est d'être à l'écoute

quand quelqu'un vient te faire part d'une difficulté.

Si tu n'as pas de solution,

alors fais au moins de sorte de lui recommander quelqu'un

qui pourra l'aider.

Accompagne cette personne dans la résolution de son problème.

Et dans ton foyer,

sache qu'une fois les portes fermées,

personne n'est avec vous.

L'extérieur ne peut pas savoir ce qui se passe à l'intérieur.

Mais Allah est avec vous.

Il prend part à toutes les conversations,

à toutes les discussions.

Rappelle-toi

que c'est une conversation privée

qui est aujourd'hui répandue dans toutes les maisons.

Rappelle-toi que c'est une conversation

pourtant privée

et qui aujourd'hui malheureusement

se tient dans beaucoup de foyers.

Rappelle-toi que c'est cette conversation privée là

qu'Allah a rendu public, visible, permanente,

mémorisé dans le cœur de milliards de personnes jusqu'à la fin des temps.

Quand tu parles avec ton épouse,

rappelle-toi qu'Allah a porté haut la voix d'une épouse aussi.

Rappelle-toi que son mari,

le mari de Raoula,

lui il a eu la chance de rectifier son sort ici-bas.

Il a eu le temps de demander pardon à sa femme

parce que lorsqu'on fait une injustice à quelqu'un,

il faut d'abord le pardon de la personne

pour qu'Allah accorde le sien.

Donc il a d'abord demandé pardon à son épouse

il a rectifié sa faute ici-bas

pour ne pas avoir à y répondre dans l'eau de là.

Mais veille à ne pas avoir à régler ton compte à toi,

ton sort à toi dans l'eau de là

car ce jour-là ce ne sera pas seulement une révélation de tes conversations

avec ton épouse que tout le monde entier sera au courant

mais du décret d'Allah supranoaterla

qui sera à ce moment-là irréversible.

Et pour finir sur une note joyeuse,

sache que chaque gentillesse,

chaque belle conversation avec ton épouse

est aussi entendue dans les hautes sphères du ciel

et discuté parmi les anges,

consigné par eux aussi,

et génère des fruits délicieux,

découlant de ça qui t'attendront aussi le jour du jugement.

Car Allah supranoaterla amène apaisement,

paix, sérénité, amour, mawadda, rahma dans tous les foyers.

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 Bienvenue dans Ramadan’ Naissance, la série du PodcastCoran de ton Coeur, qui t’accompagnera avec douceur pendant les jours bénis de Ramadhan.   

On se retrouve du lundi au vendredi.

Prépare-toi à voyager à travers les histoires de ton Coran à la recherche de belles leçons de vie pour toi et tes proches. 


Aujourd'hui, notre attention sera tournée vers la plainte d'une femme qu'ALLAH a entendu et résolue 💚

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Récitateur : Cheikh Saad Al Ghamidi


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