Coran de Ton coeur: #J20 - Ramadan' Naissance : IL sait ce que nous ne savons pas
Zaynab D. 4/19/23 - Episode Page - 21m - PDF Transcript
Bienvenue dans Ramadan naissance, la série du podcast Coran de ton coeur qui t'accompagne avec douceur pendant les jours bénis de Ramadan.
Je suis Zeyneb, enseignante et éternelle étudiante du Coran.
Chaque jour de ce mois béni, du lundi au vendredi, prépare-toi à voyager à travers les histoires de ton Coran à la recherche de belles leçons de vie pour toi et tes proches Ramadan naissance.
Parce que chaque Ramadan est censé être ta Renaissance et chaque Ramadan est censé être ta station d'essence.
Mais il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n
n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants,
il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il
n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d' משams, il n'y a pas d'enfants, il n'y a pas d's Aucklandt
tous ceux qui n'étaient pas dans l'arche ont été noyés dans le déluge.
Et Nour alaihi salam, qui se rappelle ce qu'Allah Sobranthal a lui a dit juste avant,
en lui disant de monter dans l'arche, de prendre un couple de chaque espèce, donc animal,
et les croyants avec lui, accepter sa femme.
Donc les croyants, sa famille, accepter sa femme.
Donc Nour alaihi salam a bien compris que sa femme ne ferait pas partie de l'équipage.
Mais il n'a pas intégré que son fils n'en ferait pas partie.
Donc avec grande politesse, il ne reproche pas à Allah.
Il n'ose pas dire mais là tu m'avais pourtant dit que mon fils,
tu m'as dit que ma famille allait être sauvée.
Bah mon fils il fait partie de ma famille, pourquoi est-ce qu'il s'est noyé ?
Non, regarde la politesse avec laquelle il parle à Allah,
avec beaucoup d'humilité en disant, mon rop, mon fils est fait partie de ma famille,
et ta promesse est vérité.
Donc il rappelle poliment à Allah, sa promesse à savoir que sa famille serait sauvée.
Et dit, et wa'in ta ahkamul haqimin, et tu es le plus juste des juges,
c'est toi qui sais après tout, c'est toi qui, ici le hoqm,
la sagesse qui est employée, c'est vraiment la capacité à prendre des bonnes décisions.
Donc il est en train de dire à Allah, tu es celui qui prend les meilleures décisions
parmi ceux qui prennent des décisions, je te fais confiance en gros.
Mais j'aimerais bien comprendre pourquoi est-ce que mon fils n'est pas sauvé,
on peut encore le sauver.
Donc là, Nur al-Islam a typiquement la réaction d'un parent.
On sait avec l'histoire, ce que Nur raconte le Quran,
et il a dit que le fils de Nur al-Islam, celui-là spécifiquement,
n'a jamais cru en le message de son père.
Son père a prêché pendant des années et des années,
Nur al-Islam a prêché et appelé son peuple à la croyance à Allah,
à l'Islam pendant 950 ans, c'est énorme.
Donc la tranche en tout cas où son fils a vécu du vivant de son père,
il n'a pas cru.
Il fait partie de ceux qui se moquaient de la construction de l'arche.
Il habitait la maison de ce prophète et pourtant, il ne croyait pas.
Donc on connaît en tout cas la vie qu'a mené son fils,
on sait qu'il était un pire.
De même que sa femme, on sait très bien que sa femme collaborait aussi
avec d'autres mécréants pour aller spionner son mari,
Nur al-Islam et leur apporter des informations.
Donc clairement, il était marié à quelqu'un de complètement mauvais.
Donc pour sa femme, il était prévenu,
vu qu'elle a choisi son camp très vite et elle s'est camponné à ça.
Mais pour son fils, Nur al-Islam sait qui est son fils.
Il sait comment s'est comporté son fils.
Merdlin y s'y met en lumière la manière dont un parent restera toujours un parent.
Que un parent, même si son enfant est le plus mauvais de la terre,
il peut lui en vouloir, il peut être énervé contre son fils ou sa fille.
Si cette personne, par exemple, couvrait un grave danger
ou il y a un accident qui est en face d'arrivée ou bien il risque de lui arriver quelque chose,
je ne sais pas, une grosse pierre qui va lui tomber sur la tête,
et bien croyez-moi que le parent va tout de suite sauter vers son enfant
pour le sauver quitte à prendre le mal sur lui directement.
Parce qu'un enfant reste un enfant.
Et Nur al-Islam a une naturellement cette réaction.
On voit à la scène où, juste avant, où il dit à son fils,
« Viens, viens, viens dans le bateau ».
Et son fils qui dit « Non, non, t'inquiète pas, je vais m'accrocher à cette montagne ».
Et Nur qui essaye de l'exhorter, mais en fait, à part l'arche,
personne va être sauvé, c'est la règle, je te l'ai pourtant dit.
Et le fils qui s'entête et qui a effectivement été englouti, comme tous les autres.
Donc Nur al-Islam faut vraiment se mettre à sa place en tant que parent.
Il est en train d'observer son fils en train de se noyer.
Il est en train d'observer son fils en train de périr en même temps que les autres.
Alors qu'il avait dans son cœur l'espoir que son fils serait sauvé,
parce qu'il considère son fils parmi les membres de sa famille.
Et Allah lui a dit que sa famille allait être sauvée.
Et la réponse d'Allah est ferme, très importante.
Il lui dit « Non, il n'est pas de ta famille ».
Donc là, Allah répond tout de suite à quelque part l'interrogation de Nur al-Islam.
Il n'a pas été sauvé parce qu'il n'est pas de ta famille.
Et donc du coup, j'ai effectivement tenu ma promesse.
J'ai dit que ce sont les membres de ta famille qui seraient sauvés.
Ici, on apprend beaucoup de choses.
Au-delà, en fait, de se caler sur l'aspect parent de Nur al-Islam,
parce qu'on pourrait se dire « Mais qu'est-ce que je peux bien en dire ? ».
Et ça veut dire que si mon enfant décide de ne pas croire en Allah,
bien s'égare un peu, je dois lui tourner le dos.
Ce n'est pas exactement ça qui nous a expliqué ici.
Il faut qu'on fasse le distingue entre un prophète et un non-prophète.
Dans la famille des prophètes d'Allah, s'il vous plaît,
Allah ne tolère pas qu'une personne fasse partie de la famille d'un prophète
et lui tourne le dos.
Donc c'est pour ça qu'il a été intransigeant avec les épouses de l'autre al-Islam
et de Nur al-Islam.
C'est pour ça qu'il a été intransigeant avec le père de Ibrahim al-Islam.
Alors qu'on connaît le statut d'Ibrahim al-Islam au près d'Allah,
et bien son père n'a pas cru.
Il fabriquait lui-même des idoles, c'est lui qui fournissait les idoles au palais
et il a répété à plusieurs reprises à Ibrahim al-Islam au point de le menacer.
Si tu continues à parler ainsi, il le menaçait de l'exploser
et le menaçait de lui infliger un gros châtiment.
Et malgré tout, Ibrahim al-Islam continuait de faire des doigts
en demandant à Allah pardonne à mon père,
ou a refait de l'y habi, il n'a aucun aminat de la ligne,
et pardonne à mon père, il a été certes parmi les agarrés.
Et il y a un passage urlaine où Allah dit expressément
Ibrahim al-Islam, ne demande plus pardon pour ton père.
En gros, je ne lui pardonnerai pas.
Pardois se frate à la tempère en disant que ce n'est qu'une doigt
que Ibrahim al-Islam a fait parce qu'il a un cœur tendre,
parce que c'est quelqu'un de doux, c'est quelqu'un de bienveillant,
mais je ne lui pardonne pas.
Allah est sévère avec les membres de la famille des prophètes
qui ne croient pas parce qu'ils ont le privilège,
la chance d'être dans la maison, dans la famille
de ces illustres prophètes.
Alors, si avec tout ce qu'ils ont comme exhortation
et décident de ne pas croire,
eh bien, comment ils vont faire en fait ?
Et en plus, ce sont des gens qui partageaient l'intimité
de ces prophètes-là, qui connaissaient leur vie.
Donc c'est encore plus dangereux parce que s'ils ne croient pas,
ça veut dire qu'ils collaborent avec les non-croyants
et ça veut dire qu'ils mettent potentiellement en danger
les croyants en divulgant des informations,
comme le faisaient les épouses par exemple de Noor
et de l'autre al-Islam.
Donc c'est gravissime.
Pareil pour le fils de Noor al-Islam.
Ne pas croire, dans son cas, était gravissime.
Donc attention à ne pas se dire,
oui, mais si je suis, je ne sais pas,
j'ai dans ma famille un membre de ma famille qui ne croit pas en Allah
ou qui ne prie pas, ou qui ne fait pas bien ces ribadates
ou qui clairement se moque de l'Islam,
ça peut arriver, malheureusement qu'Allah nous guide tous,
eh bien, qu'on se dise pas, ah oui,
mais apparemment je dois le reiller de ma vie.
C'est pas vraiment ça, comme ça qu'il faut l'interpréter.
Et Allah Subhanahu wa Ta'ala parle à Noor al-Islam
en lui disant, je te demande en fait,
et c'est là la partie importante aujourd'hui,
je te demande, en gros, ne me demande pas
après ce dont tu n'as aucune connaissance.
C'est très important, il dit, je t'exorte de ne pas être parmi les ignorants, en fait.
Et Noor al-Islam, en regardant sa réponse, tout de suite,
il demande pardon à Allah.
Il réalise, en fait,
qu'Allah Subhanahu wa Ta'ala, quand il lui parlait de la promesse
dont il lui parlait en lui parlant de sa famille,
il était en train de lui parler des liens qu'il a avec les croyants,
tous ces croyants qui sont entrés dans son bateau, qui ne sont pas nombreux.
Et qui eux croient en Allah.
Finalement, Allah nous enseigne ici que
les gens avec qui on partage la même religion, la même croyance,
avec qui on partage les mêmes aybadah,
sont parfois plus notre famille,
en termes de dînes, que certains membres de notre famille.
Et à Noor al-Islam, il voulait lui enseigner,
ton fils, il est perdu, il a pris son camp, en fait, il a décidé de son sort,
ne t'attarde pas sur lui,
alors qu'il y a cette poignée de croyants qui comptent sur toi,
et qui eux ne t'ont pas lâché,
ne t'ont pas abandonné depuis le début,
qu'ils ont pris les brimades et les moqueries en même temps que toi,
qui t'ont défendu au péril de leur vie.
Eux, ce sont ta famille.
C'est avec eux maintenant que tu dois te mettre, en fait.
Et ça, c'est une grande leçon qui a enseigné ici,
par rapport au fait de ne pas questionner à Allah
sur ce qu'on ne sait pas.
Et Noor al-Islam reprend ça en disant,
je te demande pardon, je me réfugie contre toi à Ausbillah,
donc je me réfugie vers ta protection,
contre toute demande dont je n'ai pas connaissance.
Et quand en général,
on demande à Allah, la protection ou le refuge,
contre Shaytan ou le refuge de manière générale,
c'est lorsque non seulement il y a un danger,
c'est lorsque la situation nous dépasse.
Donc Noor al-Islam admet, en fait,
qu'il y a quelque chose qui le dépasse,
et ici, il s'agit de quoi ?
Il s'agit de ces émotions.
Ces émotions de Père, ces émotions d'être humains,
ils comprend qu'en fait,
on arrive à un moment donné,
on ne peut pas toujours contrôler nos émotions.
On nous dit toujours, il faut savoir gérer les émotions,
maîtriser les émotions, contrôler les émotions.
Avec Noor al-Islam, si on comprend que les émotions ne contrôlent pas,
les émotions ne les gèrent pas,
les émotions ne les maîtrisent pas.
Le seul qui peut les maîtriser et les gérer,
c'est Allah swt.
Donc lorsque je sais que ça va déborder,
que je ne sais pas comment faire,
eh bien c'est à Allah qu'il faut le rendre.
C'est un prophète.
Il est censé être fort, moralement,
physiquement, mentalement, émotionnellement.
Et pourtant, ici c'est un Père
qui a avoué à Allah swt
qu'il était dépassé par la situation.
Et avec cette invocation qui est une très belle invocation
et qu'il faut garder,
de demander à Allah la protection
contre le fait de demander quelque chose
dont on n'a aucune connaissance.
Et ça c'est une grande leçon pour nous.
Parce que nous avons tendance,
parfois quand on veut quelque chose,
à vouloir des choses sans se questionner
sur est-ce que cette chose-là que j'aime ou que je veux,
c'est quelque chose qui est conforme à ce que Mokronen veut,
à ce qu'Allah veut.
Non.
Et quand on en fait, on commence d'abord parce qu'on veut,
parce qu'on aime, parce qu'on recherche, parce qu'on apprécie,
et après on essaye de voir comment l'agencer par rapport à
à notre religion et nos obligations.
Et c'est pas anodin, c'est pas rare en fait d'entendre
oui mais je ne peux rien.
Je ne peux pas contrôler mon cœur.
Si j'aime telle chose ou j'aime telle personne,
j'y peux rien.
Effectivement, il y a des situations où nous on n'y peut rien.
C'est un fait.
Mais il y a quelqu'un qui peut quelque chose.
C'est Allah swt.
Cette invocation, elle est parfaite pour donner à Allah swt
les pleins pouvoirs sur nos émotions.
Il les a de toute façon.
Mais en formulant cette invocation,
on demande à Allah swt
de faire de sorte que nous voulions, nous aimions,
nous demandons que ce qui est conforme à ce que lui aime.
Donc mes émotions parfois me dépassent.
Il y a un fait que je souhaite, je demande, j'aime,
et j'ai besoin de choses qui te satisfont.
Parce que toi seul, c'est en fait ce dont j'ai réellement besoin.
Ça c'est très important.
Et tu verras que ça change complètement la donne en fait.
On passe d'une situation où on se laisse consumer par nos émotions
et ensuite on demande à Allah swt de nous aider,
finalement on répare les dégâts.
À une situation où on demande à Allah swt
dès le départ de contrôler ces émotions-là.
Par exemple lorsqu'on aime quelque chose profondément
ou on va aimer quelqu'un profondément.
Et ce sont des choses pas bonnes ou bien c'est un amour impossible.
Et bien plutôt que de laisser libre cours à cet amour-là
et d'ensuite demander à Allah swt de nous faire oublier la personne,
de nous faire oublier la chose ou bien de nous pardonner les manquements
qu'on a eu du fait que comme on a eu tous ces sentiments et tous ces besoins
et tous ces désirs-là,
forcément on a eu soit une mauvaise pensée, soit un mauvais geste.
En tout cas on a forcément dépassé les limites à un moment donné.
Et bien plutôt que d'arriver à là,
je demande à Allah swt dès le départ de me faire aimer
ce qui est en conformité avec ce que lui aime,
de me faire détester ce qui est en conformité avec ce qu'il déteste.
Et ça c'est très fort, ça peut te sembler difficile à envisager et abstrait.
Et pourtant, et pourtant ça marche énorme.
Mais encore, fallait-il le demander à Allah swt ?
Et nous, alaihi salam, finis par une invocation
qui normalement doit te rappeler des souvenirs.
Et si tu ne me pardonnes pas et ne me fais pas miséricord,
donc ne fais pas preuve de l'ohma envers moi,
bien je serai ser du nombre des perdants.
C'est exactement le mot pour moi ce que papa Adam alaihi salam et mamahawa
ont prononcé lorsque ils sont descendus du paradis.
C'est une invocation, c'est une formulation qu'ils ont fait Allah swt
en descendant sur terre en disant Allah swt,
en fait on n'a que toi si jamais tu n'es pas satisfait de nous
et si tu es fâché contre nous en fait on sera les plus grands perdants.
Donc finalement la plus grande difficulté qu'a éprouvé papa Adam
en descendant du paradis, ça n'a pas été vraiment de quitter le paradis.
Mais ça a été la peur, la crainte qu'Allah swt
lui en veuille et la peur qu'Allah swt lui tourne le dos.
Ça aurait été la plus grande perte pour lui.
Et Allah swt bien sûr lui a pardonné et lui a donné toutes les ressources pour vivre ici
et jusqu'à ce que nous arrivions sur terre.
Et je trouve ça très beau que nos alaihi salam réactivent
cette invocation de son ancêtre papa Adam alaihi salam
comme pour dire qu'une invocation en fait prononcée comme ça par notre ancêtre
elle doit être réactivée en fait, elle doit être réutilisée.
Et c'est pareil pour nous, nous alaihi salam les réutiliser
et bien nous aussi nous devons le faire.
C'est un prophète qui a une gestion des émotions,
une gestion et une maîtrise morale que nous n'avons pas.
Et lui a dû avoir recours à cette invocation.
Que dire de nous qui évoluons dans des airs
où c'est extrêmement compliqué de faire face à
ou déferlement des émotions aux besoins ou désirs.
On est dans un monde où tout va très vite où on souhaite
et on a des besoins en fait qu'on comprend même pas des fois.
Il suffit de regarder quelqu'un qui a partagé je ne sais quoi dans la réseau sociale
et là tout de suite on a envie de cette chose.
Donc il suffit de regarder à droite et voir quelqu'un qui possède quelque chose
auquel j'avais pas pensé pour commencer aussi pareil à avoir des émotions qui naissent
un besoin ou autre.
La colère est facile aujourd'hui, la tristesse est facile aujourd'hui.
Énormément d'émotions en fait arrivent sans qu'on les contrôle et une fois qu'ils sont là
ah on nous dit il faut gérer les émotions et parfois on nous dit
non faut pas essayer de gérer tes émotions, faut embrasser tes émotions et faut les accueillir.
Mais ça n'en est pas plus facile.
Finalement ce qu'on fait dans notre vie c'est de les subir nos émotions très souvent.
Soit on essaye de les combattre et ça va se retourner contre nous.
Soit on les accueille et c'est un mauvais moment à passer et souvent parce que
bah faut laisser la tempête passer.
Et bien là il y a un joker.
Il y a quelque chose qui nous permet d'anticiper.
C'est de prendre toutes ces émotions là avant qu'elles arrivent.
Les confièrent là et dire y'a là avant que la tempête elle arrive.
Tu gères.
Donc ça c'est la grande sagesse qui nous est enseignée à travers cette histoire de
Nuhal-i Saddam.
Et j'espère que ce sera une leçon que tu emporteras avec toi ta vie durant Insha'Allah.
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Bienvenue dans Ramadan’ Naissance, la série du PodcastCoran de ton Coeur, qui t’accompagnera avec douceur pendant les jours bénis de Ramadhan.
On se retrouve du lundi au vendredi.
Prépare-toi à voyager à travers les histoires de ton Coran à la recherche de belles leçons de vie pour toi et tes proches.
Aujourd'hui, c'est de la sagesse notre Prophète Nouh (as) dont nous allons apprendre 💚
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Récitateur : Cheikh Saad Al Ghamidi
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