Coran de Ton coeur: #J18 - Ramadan' Naissance : Fais le bien et fais-le bien

Bienvenue dans Ramadan naissance, la série du podcast Coran de ton coeur qui t'accompagne avec douceur pendant les jours bénis de Ramadan.

Je suis Zeyneb, enseignante et éternelle étudiante du Coran.

Chaque jour de ce mois béni, du lundi au vendredi, prépare-toi à voyager à travers les histoires de ton Coran à la recherche de belles leçons de vie pour toi et tes proches Ramadan naissance.

Parce que chaque Ramadan est censé être ta Renaissance et chaque Ramadan est censé être ta station d'essence.

Je suis Zeyneb, enseignante et éternelle étudiante, prépare-toi à travers les histoires de ton coeur et les hauts les rues.

Et pour Suleiman, le vent est doublé un mois, et le vent est doublé un mois. Et nous l'aimons avec l'œil.

Et d'un de les jinn, qui travaille entre ses mains, à l'aide de son Dieu, et de l'un de eux, à l'aide de nous, nous l'aimons avec l'épidémie.

Ils travaillent pour eux ce qu'ils veulent, de l'air et de l'épidémie et de l'épidémie, comme les réponses et de l'épidémie.

Ils travaillent à l'aile d'Aouda, chukra, et un peu d'hibadiens, chakour.

Nous avons certes accordé une faveur à Daoud de notre part.

Ô montagne et oiseau, répétez avec lui l'éloinge d'Allah. Et pour lui, nous avons amoli le fer.

En lui disant, fabrique des côtes de mailles complètes et mesure bien les mailles. Et faites-le bien. Je suis clairvoyant sur ce que vous faites.

Et à Sulaiman, nous avons assujetti le vent dont le parcours du matin équivaut à un mois de marche, et le parcours du soir à un mois aussi.

Et pour lui, nous avons fait couler la source de cuivre, et parmi les jeans, il y en avait qui travaillaient sous ses ordres par la permission de son lobe,

qui conquent d'entre eux, cependant dévier de notre ordre, nous lui faisions goûter un châtiment douloureux.

Ils exécutaient pour lui ce qu'il voulait, sanctuaire, statut, plateau, comme bassin et marmite bien ancré.

Ô famille de Daoud, œuvré par gratitude, et il y a peu de mes serviteurs qui sont reconnaissants.

Surat Saba, ayah 10 à 13. L'histoire d'aujourd'hui, celle de Daoud alaihi salam, notre ancêtre et Khalif sur terre, est très belle.

Et on va parler dedans de travail.

Daoud alaihi salam est un des plus grands rois qui est connu la terre.

On disait que son royaume était tellement grand qu'il y avait difficilement une parcelle de la terre qui n'était pas sous son commandement.

C'est quelqu'un que Allah subhanahu wa ta'ala a défini comme étant un Khalif sur terre.

Et quand l'humanité a été présentée à papa Adam alaihi salam, il a remarqué Daoud alaihi salam et il a demandé à Allah subhanahu wa ta'ala son sujet.

Il a vu en lui un trait commun.

Son petit-fils, Daoud alaihi salam, allait être un Khalif comme lui.

Et dans le Qur'an, il y a seulement deux personnes qui sont décrées comme étant des Khalifs, Daoud alaihi salam et Adam alaihi salam.

Muhammad sallallahu alaihi wa sallam a dit dans un hanith, dans le sens,

nul n'a jamais mangé de meilleure nourriture que celle procurée par le travail de ses mains.

Certes, le prophète Daoud alaihi salam ne mangeait que le fruit du travail de ses mains.

Ce que j'aime beaucoup ici, c'est que, dans ce passage, Allah subhanahu wa ta'ala aurait pu nous décrire les richesses de Daoud alaihi salam,

sa gouvernance, ses armées, tout ce qu'il possédait en fait.

Mais il a préféré nous parler, nous raconter les journées de travail d'un roi qui avait choisi d'être forgeron pendant son temps libre.

Le prophète Sadr alaihi salam, à travers ce hadith, nous informe en fait que Daoud alaihi salam ne mangeait que le produit de son travail, que ce qu'il avait travaillé.

C'était un artisan qui maîtrisait parfaitement la fabrication des armes de guerre,

et comme les autres prophètes d'Allah en fait, qui mangeaient du fruit de leur travail avec l'artisanat, avec l'élevage, avec l'agriculture,

et bien on se dit que nous, de la même façon, qui avons tous finalement un métier,

et bien nous aussi en fait, il faudrait travailler de nos propres mains, manger de nos propres mains pour éviter déjà,

non seulement de devoir demander aux gens de nous aider, et aussi de ne pas vouloir plus que ce qu'Allah subhanahu wa ta'ala nous a donné comme faveur.

Et c'est très important le terme faveur, tel que définit par Allah subhanahu wa ta'ala en parlant des faveurs qu'il a donné à Daoud alaihi salam.

Allah parle de faveur.

Il dit faveur en parlant de ce qu'il a donné à Daoud alaihi salam.

On pourrait penser et on s'attendrait à ce qu'il dise, bah oui il lui a donné un immense royaume, il lui a donné une armée entière,

il lui a assujetti beaucoup d'éléments de la terre et des cieux. Daoud alaihi salam comprenait le langage des animaux,

il comprenait le langage des arbres, le langage des montagnes.

D'ailleurs, c'est très connu, comme le prophète As-salam en parlait, du chant en fête de Daoud que quand il chantait le matin,

et quand il faisait ses al-qar et ses rappels d'Allah, et bien les oiseaux venaient se joindre à lui et chantonner aussi.

Depuis ce jour, quand j'entends des oiseaux chanter le matin, et bien je pense tout de suite à notre ancêtre Daoud alaihi salam,

je me dis ah, c'est quelque chose qu'il faisait avec les oiseaux, chantonner les louanges d'Allah subhanahu wa ta'ala de bon matin.

Allah swt a pu parler de toutes ces faveurs en fait, qui sont des faveurs.

Mais lorsqu'il parle des faveurs qu'il a donné à Daoud alaihi salam,

il a tout de suite parlé de sa capacité à battre le fer, à travailler le fer, à fabriquer des armures de haute qualité.

En fait, il a appris à Daoud alaihi salam toutes les règles de l'ingénierie.

Il lui a appris à maîtriser le métal, il était un vrai ingénieur.

À travers ça, on apprend que toutes les professions, en fait, halal, sont honorables et honorées auprès de Allah swt.

Daoud alaihi salam était forgeron pendant son temps libre.

Aujourd'hui, quand on voit un forgeron, est-ce qu'on en fait des masses?

Est-ce qu'on se dit, waouh, c'est le métier d'avenir, cette personne, elle excèle dans son domaine, c'est trop bien.

Est-ce que tu as vu comment on traite un forgeron aujourd'hui, en tout cas comme on le regarde?

Pourtant, c'était le métier d'un grand roi.

En nous parlant de ce côté-là de Daoud alaihi salam, Allah swt nous enseigne en fait que tous les métiers halal se valent

et ont de l'honneur auprès d'Allah tant que ça nous permet de gagner quelque chose de halal et qu'on puisse consommer de ce qu'on a gagné.

Et il n'y a rien de plus agréable en fait, de bénéficier, de goûter, de manger, de vivre de ce qu'on a gagné nous-mêmes.

Au-delà de la confiance, de la sécurité, de la joie que ça nous procure,

eh bien on a l'impression en fait d'être allé jusqu'au bout.

Et Allah swt va parler aussi de Suleiman alaihi salam, son fils, qui avait beaucoup très commun avec son père,

dans la capacité à être juste dans ses jugements, dans le fait que lui aussi avait un grand royaume, lui aussi avait des grandes armées,

lui aussi avait plein d'éléments du ciel et de la terre à son service.

Donc pour Suleiman alaihi salam, l'accent est mis sur son pouvoir, sur tous ces êtres en fait qui sont à son service, sur ses richesses.

Pour nous enseigner aussi qu'il n'y a pas de mal en fait à gagner beaucoup d'argent si c'est employé dans le sentier d'Allah,

si c'est employé correctement, si c'est employé pour Allah comme Suleiman alaihi salam l'a fait.

Donc deux personnes finalement qui sont sous la même voie, dans la voie d'Allah swt, qui ont la même éducation, les mêmes aspirations,

deux grands rois, deux grands rois riches, mais l'un l'accent est mis sur son travail manuel, sa minutie, son excellence à travailler quelque chose d'ingénieux,

et l'autre l'accent est mis sur la gouvernance, le fait de faire travailler les autres aussi pour œuvrer dans le bien.

Dans les deux cas, ils ont fait appel aux faveurs de leur Subhanahuatala à savoir travailler et manger, gagner de ce qui est travailler.

En fait, en quelque sorte, tu peux te dire que si tu gagnes moyennement ou si tu gagnes peu, si tu gagnes modestement,

et bien si ce que tu gagnes, c'est de ça que tu arrives à manger et donc tu manges ce que tu as travaillé, alors dis-toi que tu as été favorisé par Allah,

tu as été honoré par Allah parce que c'était sa faveur sur toi.

Il n'y a pas de sous-métier, ça aussi c'est très important de le dire, il n'y a pas de sous-métier parmi les métiers halal, attention.

Que tu sois, je cite un peu au hasard, ce qui me vient en tête, que tu sois boulanger, que tu sois aide-soignant, que tu sois éboire, que tu sois institutrice,

que tu sois femme de ménage, que tu sois vigile, que tu sois mécanicien, que tu sois chauffeur de taxi,

ce sont tous des métiers qui génèrent une faveur d'Allah Subhanahuatala.

Et surtout quand ces métiers sont faits avec excellence, avec passion. Est-ce que tu te souviens de la dernière fois que tu as vu un boulanger ou une boulangère

passionné par ce qu'il faisait? Ça se sent dans le pain que tu manges, ça se sent dans les viennoiseries, on sent que ça a été fait correctement.

Et le service client est au top et il sourit et il travaille avec beaucoup de ferveurs.

De la même façon, tu verras une aide soignante qui a toujours le sourire quand elle arrive.

L'endroit s'illumine, les patients ou les résidents si c'est une maison de retraite sont contents de l'avoir arrivé.

Chaque geste est fait avec soin, c'est fait avec passion et pourtant c'est pas forcément un métier qui est considéré comme parmi les grands métiers de ce monde.

De la même façon, un mécanicien qui répare la voiture des gens, fait les choses correctement mais les meilleurs pièces etc.

Essaye juste de te rappeler de la dernière fois où tu es tombée en panne et la joie que tu as éprouvée lorsque tu as récupéré ta voiture.

Donc je zappe des étapes avant d'arriver à là, mais le moment où tu récupères ta voiture réparée est comme neuve.

Est-ce que ce mécanicien, à ce moment-là, tu le regardes comme quelqu'un qui a un sous-métier ou qui n'a pas un métier d'avenir ou qui a un petit métier?

En fait, s'il n'était pas là, ta voiture s'est gâtée.

C'est-à-dire que sans mécanicien, le fait même d'acheter une voiture serait inconscient.

Parce que acheter une voiture et utiliser une voiture, de fait, ça veut dire qu'elle va tomber en panne à un moment donné.

Donc si elle tombe en panne à un moment donné, s'il n'y a pas de mécanicien derrière, c'est compliqué.

Donc tu auras acheté une voiture pour rien, tu auras conduit une voiture pour rien, et là, tu te retrouves avec une voiture non fonctionnelle pour rien.

Donc le mécanicien, ici, à ce moment-là, il a de la valeur.

Là, tu comprends le fâdle d'Allah, donc la faveur qu'Adua Spintala a accordé à ses mécaniciens à travers son métier.

Il fait son métier avec excellence.

Il te met de la joie au cœur parce qu'il te réparre quelque chose que tu n'aurais pas pu réparer toi-même.

Tu es mécanicien en herbe, et en fait, le fait de se dire qu'à la fin de la journée, c'est de ça qu'il va pouvoir manger, faire manger sa famille, que veut le peuple en fait.

Ce qui est mis en accent ici, et ce que je veux que tu emportes avec toi comme leçon aujourd'hui, c'est que Allah Spintala nous enseigne à travers tout ça.

Comme tu vois, les mots qui reviennent, c'est l'excellence, c'est le fait de faire bien les choses, de travailler et de bénéficier de la faveur d'Allah.

Ce qu'Allah Spintala insiste ici à dire, c'est que fais ton travail, fais le bien.

Et ce travail fait le correctement, donc fais le bien et fais le bien.

D'ailleurs, Allah Spintala le dit, je suis clairvoyant sur ce que vous faites. Allah nous voit.

Donc au début, il parle à Dawud, il parle de Dawud et à Dawud, puis de Sulaiman.

Mais entre temps, ils glissent des choses qui ne sont destinées.

Quand il dit travailler bien, faire les choses correctement, je suis clairvoyant sur ce que vous faites.

En d'autres termes, toi et moi, eh bien agis, fais les choses bien en fait, fais les correctement.

Ça passe par le fait d'arriver à l'heure au travail, d'aller au bout des tâches que tu fais,

qu'on t'a confié, de respecter tes engagements, respecter tes collègues, rendre le travail en temps et en heure,

respecter les projets qui te sont soumis.

C'est une très belle leçon que de se dire aussi qu'il ne faut pas chercher à faire de l'argent à tout prix

par tous les moyens, by any means necessary quoi.

Par genre, tous les moyens sont bons tant qu'on obtient ce qu'on veut au final.

Et il y a des personnes qui vont même s'asseoir sur des moyens non halal qu'ils vont inclure dans le processus

ou laisser s'inclure dans le processus pourvu que le business marche bien.

Il faut vraiment se dire si mon business fait souffrir des gens.

Par exemple, j'ai une fabrique de vêtements et en fait, il y a des personnes qui travaillent à ces vêtements-là,

à l'étranger, sont exploitées, ne sont pas payées correctement, sont dans des conditions misérables.

Bien là, je n'ai pas à travailler comme Daouda al-Isra'lam. Là, c'est next en fait.

De la même façon, si je travaille dans une entreprise, je ne sais pas,

on va prendre le métier de Daouda al-Isra'lam qui est forgeron, qui travaille des armures,

qui travaille des armes de guerre, et bien si moi je fais la même chose que Daouda,

mais je sais pertinemment que ces armes de guerre sont destinées à des pays ou des puissances sur terre

qui en fait emploient ces armes-là, à faire subir de la corruption, à embêter les opprimés, tuer des innocents.

Ben je ne me mets pas dans cette boucle en fait. Je ne serai pas ingénieur de ces armes-là.

Donc attention en fait au travail que je fais, attention au moyen halal que j'injecte dans ce que je fais.

Donc tous ces métiers-là en fait qui vont nuire aux autres, c'est next.

Et dans le cas des métiers d'aujourd'hui, les nouveaux métiers qui n'existaient pas avant,

je parle des métiers en ligne, il y en a beaucoup de métiers en ligne qui sont honorables, qui sont halal,

qui constituent la sueur du front de la personne, quelqu'un qui rédige des articles pour des entreprises

et qui permet à cette entreprise en fait de mettre en lumière sa marque et son artisanat par exemple,

bien c'est honorable. Mais il y a aussi beaucoup de métiers en ligne du web qui ne sont pas honorables.

Donc attention, attention, attention. Si tu es commerçant en ligne ou en physique,

et bien dis-toi que tu dois exceller dans le customer care, le soin des clients.

Tu dois offrir les meilleurs soins possibles à tes clients. Si tu es avocat, que ce soit en ligne ou en physique,

et bien tu dois pouvoir te dire que tu as prodigué les meilleurs conseils à tes clients,

que tu leur as fait du bien, que tu les as conseillés comme tu conseillerais ton papa ou ton maman.

Si tu es aide-soignante par exemple à l'hôpital, et bien tu dois pouvoir sentir que chaque geste

que tu as effectué aujourd'hui avec les patients et les patientes, et bien tu l'as fait avec soin.

Tu as été doux dans tes gestes, tu as fait attention à chaque geste comme si tu étais en train de porter un bébé.

Si tu es bouché ou si tu es boulanger ou boulangère,

et bien tu dois pouvoir te dire que tu as sélectionné les meilleurs ingrédients,

que tu as travaillé la matière comme si elle était destinée à être consommée par tes propres enfants,

et tu leur serviras à ses clients avec élégance, avec gentillesse.

Toujours en te disant que tu es en train d'oeuvrer dans les faveurs d'Allah Subhanahu wa Ta'ala.

Donc quand il s'agit des faveurs d'Allah Subhanahu wa Ta'ala, on le fait bien.

Et comme c'est le fruit qu'on va consommer, on va manger en fait de ces efforts-là,

et bien on a quand même envie de manger d'un effort qui a été fait correctement n'est-ce pas?

Surtout, surtout un dernier message, ne soit jamais, jamais, jamais complexé

de ne pas gagner autant d'argent que le concurrent, que telle personne, que la voisine, que telle personne etc.

Le surplus d'argent, dit-toi, ce n'est pas une faveur d'Allah, sauf quand il est employé pour aider les autres.

Mais le surplus d'argent en fait, qu'est-ce que j'appelle le surplus d'argent?

C'est l'argent qui reste après avoir mangé, avoir mis ta famille dans de bonnes conditions,

avoir vraiment assuré tous tes besoins fondamentaux et tombe bien-être,

ce qui le reste là, ce surplus qui est finalement facilement gaspillé ou dépensé dans les luxures de cette vie

qui nous servent à rien en fait pour notre chemin vers le paradis, et bien ce surplus-là, ce n'est pas une faveur d'Allah.

Ce surplus, s'il n'est pas employé en tout cas à aider les autres, et bien c'est un test d'Allah, c'est une épreuve d'Allah.

La faveur d'Allah véritable, telle qu'Eurlose Rantalan nous l'explique dans son rôle-en, c'est de pouvoir manger et vivre de ce que tu as gagné

à la sueur de ton front, avec tes efforts.

Alors, à l'image de notre cher ancêtre, Dawud, travaille, travaille bien et surtout soit dans la reconnaissance de la faveur d'Allah sur toi.

Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org

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