Coran de Ton coeur: #J12 - Ramadan' Naissance : Briser le cercle vicieux
Zaynab D. 4/7/23 - Episode Page - 20m - PDF Transcript
Bienvenue dans Ramadan naissance, la série du podcast Coran de ton coeur qui t'accompagne avec douceur pendant les jours bénis de Ramadan.
Je suis Zeyneb, enseignante et éternelle étudiante du Coran.
Chaque jour de ce mois béni, du lundi au vendredi, prépare-toi à voyager à travers les histoires de ton Coran à la recherche de belles leçons de vie pour toi et tes proches Ramadan naissance.
Parce que chaque Ramadan est censé être ta Renaissance et chaque Ramadan est censé être ta station d'essence.
Si ils n'avaient pas été venus à l'Ontario pour les 4 foyers, alors ils n'avaient pas été venus à l'Ontario, alors ceux-ci à l'Ontario sont les lieux.
Et si Dieu n'a pas faim sur toi et sa mémoire dans le monde et l'autre et sa mémoire dans le monde et l'autre, tu n'as pas été venu à l'Ontario pour ce que tu as faimé, un tort grand.
Et si ils n'avaient pas été venus à l'Ontario, alors ils n'avaient pas été venus à l'Ontario, alors ils n'avaient pas été venus à l'Ontario pour ce que tu as faimé, un tort grand.
Et si vous ne l'avez pas entendu, dites-vous qu'il n'y a pas besoin d'être venus à l'Ontario pour ce que tu as faimé, ce que tu as faimé, un tort grand.
Et si vous ne l'avez pas entendu, dites-vous qu'il n'y a pas besoin d'être venus à l'Ontario pour ce que tu as faimé, ce que tu as faimé, ce que tu as faimé, ce que tu as faimé, ce que tu as faimé, ce que tu as faimé, ce que tu as faimé.
Pourquoi, lorsque vous l'avez entendu, cette calomnie, les croyants et les croyantes n'ont-ils pas, en eux-mêmes, conjecturés favorablement, et n'ont-ils pas dit, c'est une calomnie évidente?
Pourquoi n'ont-ils pas produit à l'appui de leur accusation quatre témoins?
S'ils ne produisent pas de témoins, alors ce sont eux, auprès d'Allah, les menteurs, Nus'été, la grâce d'Allah, sur vous et sa Rahma, ici-bas, comme dans l'au-delà, un énorme châtiment vous aurez touché pour cette calomnie dans laquelle vous vous êtes lancé.
Quand vous colportiez la nouvelle avec vos langues et disiez de vos bouches, ce dont vous n'aviez aucun savoir, et vous le comptiez comme insignifiant, alors qu'auprès d'Allah, c'est énorme.
Et pourquoi lorsque vous l'entendiez, ne disiez-vous pas, nous ne devons pas en parler, gloire à Allah, c'est une calomnie énorme?
Allah vous exhorte à ne plus jamais revenir à une chose pareille si vous êtes croyants.
Allah expose clairement sur vous les versets, et Allah est omniscient et sage.
Surat Nur, ayah 12 à 18.
Ce passage, cette histoire dans Surat Nur, si tu as suivi Ramadan dernier, les assistes de Ramadan dernier autour de Surat Nur, normalement tu es incollable sur ce passage.
Là on va se concentrer sur un pan du passage, celui d'apprendre à être celui qui brise la chaîne, le cercle vicieux.
Sans rentrer dans les détails de l'histoire, je te laisse en prendre connaissance si ce n'est pas déjà fait.
Il s'agit d'une calomnie qui a été proférée à l'encontre de notre mère, Haisha, qui est l'épouse du prophète Sallallahu alayhi wa Sallam.
Elle a été accusée à tort de fornication.
Ar-dhubi n'ahminah shaitanirajim.
Bien entendu, c'est quelque chose de faux.
Pourtant, l'information a été propagée, l'information a été virale.
Elle a même été parmi les derniers à être au courant.
Elle était tombée malade, elle était restée plusieurs jours chez elle et elle ne savait pas ce qui se passait.
Et l'information lui est arrivée aux oreilles qu'il se dit ça et ça et ça à ton sujet.
Elle n'est tombée encore plus malade, elle en a pleurée, elle en a déprimée tellement, elle ne s'attendait pas à ça.
C'est tellement, c'était grave et énorme comme calomnie.
Ce passage est un des passages du Qal'en wa Allah S.A.L.A. est le plus ferme et le plus direct et tranchant et dur.
Parfois, il faut être un peu plus sévère pour faire passer un message.
En l'occurrence, ici, ce n'était pas seulement faire passer un message d'apprentissage,
nous surtout ne faites pas ça, c'est mieux de pas faire ça, etc.
On fait ça quand la personne n'a pas encore commis l'erreur.
Une fois que l'erreur est commise et qu'elle est gravissime,
on ne peut pas être là qu'à rester la personne et à parler tout gentiment, ne refait plus ça.
Non, là, c'était tellement grave, c'était à l'encontre de son prophète et de son épouse.
C'est gravissime.
C'est pour ça que, dans ce passage à Allah S.A.L.A. pose énormément de questions.
Il y a une question qui pose sous deux formes différentes, mais c'est un peu identique au début du passage et à la fin du passage.
Mais littéralement, il est en train de dire, mais pourquoi?
Pourquoi est-ce que vous, croyants et croyantes en plus?
Vous êtes des croyants.
On ne parle pas de non-musulmans, on ne parle pas de mes croyants, on parle de croyants.
Et il précise bien croyants et croyanteux,
parce que les hommes diffusent d'informations d'une certaine manière,
les femmes diffusent d'informations d'une autre manière,
et chacun avec des aspirations différentes.
Donc pour bien que tout le monde se sente concerné par ce qu'il a fait,
il dit pourquoi?
Mais pourquoi est-ce que vous, croyants et croyantes,
quand vous avez entendu parler de cette calomnie,
pourquoi est-ce que vous n'avez pas donc les dit? C'est faux.
C'est une calomnie évidente.
C'est même pas la peine.
C'est ce que vous auriez dû faire.
Et à la fin, il répète encore.
Pourquoi est-ce que, quand vous avez entendu ça, vous n'avez pas dit?
Nous ne devons pas en parler.
On ne parle pas.
Gloire à Allah, c'est une calomnie énorme, en fait.
C'est grave ici.
Allah, s'printala, leur dit que c'est ça que j'attendais de vous.
Et en restituant ces paroles-là, en disant vous, vous,
on a l'impression, nous, même si on n'est pas concerné à l'époque,
quand on dit c'est aya, on se dit en quoi ça me concerne, en quoi je peux appliquer ça.
Est-ce qu'aujourd'hui, il n'y a pas des calomnie à tout va, des rumeurs,
des informations virales sur quelqu'un qui circulent?
Il n'y a que ça.
Donc on est tout à fait concerné, que ce soit au sujet de la fornication ou un autre sujet.
On est, dans une époque où ça se fait le plus naturellement du monde,
de parler derrière les autres,
de transmettre et de colporter des informations qu'on n'a pas vérifiées, qui sont fausses,
et qui deviennent virales,
que chacun mette son grain de sel, chacun met son commentaire,
au point où des fois il y a des publications sur les réseaux sociaux, on est obligé de désactiver par exemple les commentaires,
des fois vous allez voir des vidéos sur internet ou des postes sur les réseaux sociaux où il y a écrit,
les commentaires ont été désactivés,
parce que les gens, dès qu'on leur ouvre les commentaires, malheureusement,
tout le monde y va, tout le monde y va de son idée,
tout le monde y va de son grain de sel,
sur des sujets qu'ils ne connaissent pas,
sur des informations qu'ils ne connaissent pas en entier,
un contest qu'ils ne connaissent pas,
mais pourtant tout le monde se sent le droit de parler à chaque fois.
Donc quand Allah-Sprintala précise,
vous avez colporté la nouvelle avec vos langues,
et il dit et vous disiez de vos bouches,
on a presque envie de dire ces redondants,
la langue, la bouche c'est la même chose,
mais en insistant comme ça, Allah-Sprintala insiste sur le fait que vous avez fait l'effort de faire tourner votre langue pour dire quelque chose d'aussi horrible,
vous n'avez pas honte en fait,
vous n'auriez pas dû vous rabaisser à ça,
donc là Allah-Sprintala est,
et c'est vert parce qu'il est dérangé,
il est outré par ce comportement,
fait par des musulmans en plus,
c'est pour ça qu'à la fin il conclut en disant
qu'Allah vous exhorte à ne plus jamais revenir à une pareille chose,
eux quand ils entendaient ça à leur époque ça devait être vraiment,
ça devait faire froid dans le dos,
nous quand on entend ça aujourd'hui,
ça donne ou faire tout au sang froid dans le dos,
quand on voit une information
et qu'on est juste tenté de commenter,
tenté d'en rajouter,
si des choses deviennent virales,
c'est parce qu'il y a des gens qui l'alimentent,
et parce qu'il y a des gens qui sont intéressés
par ces informations toujours plus crociantes les unes que les autres
alors que ça ne sert à rien,
on ne peut pas être en fait des milliers de juges pour une affaire,
et quand chacun va de son commentaire,
c'est comme si chacun se positionnait en juge,
et ton commentaire,
est-ce qu'il servira à la cause,
est-ce qu'il va servir à la personne concernée,
est-ce qu'il va te servir à quelque chose,
est-ce qu'il augmente quelque chose dans ta vie ou pas?
Si la réponse est non,
on ne parle pas.
Donc ce passage est vraiment un passage clé pour nous enseigner
à être les briseurs de cercle vicieux,
en disant tout simplement non.
Et là pour illustrer ça,
je vais prendre un exemple qui est parlant,
et qui est vraiment,
j'avais presque l'impression que c'est ailleurs,
ils ont été révélés pour nous pour cette époque,
et bien c'est le cas des réseaux sociaux,
tout ce qui se fait en ligne.
C'est le siège même,
en fait,
où,
c'est-à-dire là ce point internet est en train de nous reprocher
dans cette haïa,
c'est vraiment le contexte où justement c'est le contraire qui se passe.
Ça y va, des canomies, des rumeurs,
des bad buzz, etc.
Il n'y a que ça aujourd'hui,
et c'est trop.
Et bien dis-toi que ce like,
ce partage, ce commentaire,
c'est comme une caution en fait.
C'est comme une caution que tu déposes.
Et c'est gravissime,
parce que en likant quelque chose,
même si on n'a pas parlé,
eh bien on valide quelque chose.
On montre qu'on a vu,
on montre que ça nous a créé un effet,
et en likant en fait,
j'alimente un algorithme,
plus il y a de like,
et plus ça enclanche certains mécanismes.
La publication va être plus visible peut-être.
D'autres personnes vont voir qu'on a liké,
d'accord, on verra une telle à liker,
et ça donnera envie,
à d'autres personnes qui sont abonnées,
de regarder et de lire.
Et eux-mêmes aussi vont liker et ainsi de suite.
Pareil pour les commentaires.
Les commentaires qui parlent,
et qui rajoutent leur sauce, etc.
On n'en parle pas,
il faut pas le faire.
Et tu sais, il y a une catégorie de commentaires,
ça me fait toujours sourire.
C'est les commentaires où la personne
a juste tagué quelqu'un.
Elle a rien rajouté d'autres phrases.
Elle n'a pas dit merci et au revoir,
elle a rien dit,
elle a juste tagué quelqu'un,
un ami ou une amie.
Et c'est tout.
Et tu reçois une notification d'un commentaire,
et en fait, dans le commentaire,
la personne, elle a juste tagué quelqu'un.
Donc là, quand t'es l'auteur du poste,
t'as l'impression que la personne te dit un peu,
c'est pas méchant,
mais te dit,
je t'ai rien demandé,
je parlais juste à ma copine
pour qu'elle regarde la publication.
Toi, je n'ai pas envie de te parler.
Mais je suis venue regarder ton poste.
Là, la personne peut dire,
mais je n'ai rien dit.
Moi, je n'ai rien dit,
j'ai juste tagué quelqu'un.
Je n'ai pas parlé.
Bah, pourra là, si tu as parlé.
Parce qu'avec ce...
ce arobase pour taguer quelqu'un que tu fais
sous ton commentaire,
sous la publication,
bah dans la vraie vie,
si c'était pour une information orale
que tu reçois,
ce serait comme voir ton ami
et lui dire,
eh, viens, viens, viens voir.
Il y a un truc là.
Ou bien, tu fais une petite table
dans les peaux de la personne,
et tu secoules la tête,
et tu dis,
regarde,
c'est exactement pareil.
Tu as incité quelqu'un à regarder une information
qu'elle aurait peut-être pas vue
si tu ne l'avais pas invité à le faire.
C'est grave.
Et il faut se dire qu'une telle action,
un tel comportement,
ça peut gâcher la vie de quelqu'un
sans qu'on s'en rende compte.
La personne qui est concernée
par cette calomnie,
qui n'a rien demandé,
qui n'aimerait pas qu'on parle d'elle
en ces termes,
qui n'aimerait pas qu'on diffuse les rumeurs,
quand bien même, ce serait vrai.
Ce n'est pas une façon de faire.
Il faut se dire que ce like,
ce commentaire, ce reportage,
un jour,
enfin, tu vas finir par l'oublier.
Tu l'oublies.
Sauf que ce like n'oubliera pas.
Ce commentaire n'oubliera pas.
Tu sais quand est-ce que vous allez vous retrouver?
Le jour du jugement dernier,
dans un livre qui s'appellera
« Le livre de ta vie ».
Ton livre de compte qui va être remis.
Et où tu verras inscrire dans les lignes
tout ce que tu as fait,
tout ce que tu as dit,
tout ce que tu as pensé,
tout ce que tu as touché.
Partout où tu es allé.
Et là, ce jour-là,
je pense que ça va être amère
pour les gens de notre époque,
là, on aurait vraiment souhaité
ne pas vivre dans l'ère d'Internet
et tout ça,
parce que nous, on aura des lignes
qui seront un cahier, en tout cas,
qui aura plus de pages que les autres époques,
parce qu'on a plus de distractions,
on a plus d'éléments perturbateurs,
on a plus de divertissement que les générations d'avant.
Et dans nos générations,
on aura des gens qui vont ouvrir
leur livre de compte et qui vont voir un like.
Je comprends pas.
Pourquoi est-ce que, d'accord,
le like, j'aurais pas dû...
Mais pourquoi est-ce que, dans les comptes,
là, il y a trop de... Il y a trop de saillite,
il y a trop de mauvais points?
Bon, on commence à se faire, c'est...
c'est mal compté.
Et là,
Adelaide, il est juste dans le poids.
Quand il prend une bonne action
et qu'il décide de la multiplier
parce qu'elle s'est passée pendant la matin,
donc parce que ça participe
à une sada rajaria, par exemple,
donc c'est quelque chose qui se fructifie
et qui ne s'arrête pas.
Il y a des dividendes tout le temps, quoi.
Bah, c'est la même chose dans les péchés.
Eh bien, si ce like
ou ce commentaire que tu as fait
a contribué à la fin
à une action fâcheuse,
eh bien, tous ceux qui sont impliqués
qui ont alimenté ça,
Allah Subhanahu wa Ta'ala, ne va pas les laisser, hein.
Et ça va être inscrit.
Et c'est horrible, en fait.
Donc là, j'ai presque envie de dire
ne fais aujourd'hui ne commentes,
ne like ce que tu aimerais,
retrouver, écrits,
le jour du jeûment dernier.
Tu vois le commentaire que tu t'apprêtes à écrire
en accusant la personne des quelque chose
ou en faisant un commentaire
ou quelque chose comme ça.
Eh bien, si tu termines de l'écrire
avant de l'envoyer, dis-toi,
est-ce que ça, là,
est-ce que cette phrase exacte que j'ai écrite,
est-ce que j'ai envie de la voir écrite
le jour du jugement,
dans mon livre de compte?
Est-ce que franchement,
à ce moment-là,
à cet endroit-là, ce jour-là,
est-ce que c'est le moment de lire ça?
Est-ce que je serai fière de lire ça?
Si oui, tant mieux.
Sinon,
ça veut dire qu'il faut pas l'écrire.
Parce que ton livre de compte, là, de demain,
c'est aujourd'hui que tu notes dessus.
C'est aujourd'hui que tu l'écris.
Ce jour-là,
le jour du jugement,
on te donnera le livre,
mais sans stylo et sans effaceur.
Ce sera une ancre indélébile dessus.
Impossible de gommer, impossible d'effacer.
Aujourd'hui, on te donne le cahier,
on te donne le stylo,
on te donne le blanc et l'effaceur.
Tu en fais ce que tu veux.
Alors, comment se comporter
quand il y a une information qui vient comme ça,
comme Allah swt nous dit,
il faut faire stop, en fait.
Des débuts, stop.
Il faut même pas en parler.
Ça me fait penser à un compagnon
quand la nouvelle
sur Umunara Isha
commençait à circuler.
Son épouse,
un jour à la maison, lui dit,
as-tu entendu parler de ça?
Et lui, il n'est même pas allé loin.
Effectivement, il connaissait l'information.
La première chose qu'il a dit à sa femme, c'est...
c'est faux.
Cette chose, elle est fausse.
On arrête de parler de ça.
Alors qu'on est d'accord que
là, il n'y avait pas de diffusion d'information,
parce que son épouse était au courant
et lui, il était au courant.
Donc s'ils en discutent,
s'il avait répondu à sa question,
oui, je suis au courant,
ou bien oui, il y a eu ça, ça, ça, ça, ça,
mais c'est faux.
Même donner les détails de pourquoi c'est faux,
et bien c'est trop.
Et s'ils se diffusent d'information entre eux,
bah c'est pas comme si ils avaient colporté,
parce que ça reste entre eux.
Mais même là, lui, en tout cas, il a appliqué
ce qu'Allah swt avait dit
avant que la haïa soit révélée
et il a dit stop, en fait.
Non.
No way.
C'est notre mère
où on a échaché.
Je ne sais même pas pourquoi on est
cette discussion, en fait.
Stop.
Net.
Il s'est juste contenté de dire
on n'en parle pas.
C'est faux.
Point.
C'est exactement ce comportement qu'on doit avoir.
Donc,
aujourd'hui, il faut se dire
ce que tu n'aimerais pas qu'on partage
à ton sujet.
C'est facile, hein.
Tu n'aimerais pas qu'on partage ça
à ton sujet.
Et bien ne le partage pas.
Tu n'aimerais pas retrouver
ce commentaire
là que tu as écrit.
Tu n'aimerais pas le retrouver inscrit
et écrit dans ton
dans ton livre de compte
demain,
Yomalriyama.
Et bien ne l'écris pas
sous le poste des gens.
Si tu ne veux pas le voir
écrit dans ton livre,
ne l'écris pas
sous le poste des gens.
Et
encourage les bons contenus
en échange.
Parce que
l'être humain, il a besoin de partager,
il a besoin de parler,
il a besoin de commenter,
il a besoin de liker.
Il vient fait ça
sur les postes
où c'est utile.
Fait ça
dans des endroits
où il y a de l'enseignement,
où il y a de la créativité,
où il y a de l'art, etc.
Fait ça
sur des choses
où il n'y a pas de polémique.
Tout simplement.
Donc la leçon
que je veux que tu emportes
avec toi
aujourd'hui
en seuls à main-dreine,
c'est
celle qu'Allah
nous enseigne
à l'intérieur
de cette sourate.
Nous devons
en tant que musulmans
être
des briseurs
de chaînes vicieuses,
des briseurs
de cercles vicieux.
On doit être
un collable
là-dessus.
C'est-à-dire que
chacun d'entre nous
s'il stoppait
l'information
à son niveau
quand l'information
arrive.
Il est celui
qui le stoppe.
L'information peut aller nulle part.
Si chacun d'entre nous
faisait ça,
on s'emporterait bien
et nous sommes tellement
nombreux
qu'on montrerait
notre poigne
et notre poids
à ce moment-là.
Il faut te dire
je serai
ce briseur de chaînes
pour sauver
et protéger
les personnes
qui vont être
directement accusées
par quelque chose.
Il faut se dire
que tu seras
le briseur
de chaînes
en disant non.
En disant
ce n'est pas vrai.
En disant
ça c'est de la
grosse calomnie.
Stopp.
Kar Allah
Subhanahu wa Ta'ala
nous préserve
et ne nous compte pas
parmi les personnes
qui attristent
les autres,
qui alimentent
les informations
et les calomnie
au sujet des autres.
Kar Allah
Subhanahu wa Ta'ala
nous protège,
nous préserve,
nous nous nous efforcerons
inshallah
à cacher
les défauts
des autres
et à briser
les chaînes vicieuses.
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Bienvenue dans Ramadan’ Naissance, la série du PodcastCoran de ton Coeur, qui t’accompagnera avec douceur pendant les jours bénis de Ramadhan.
On se retrouve du lundi au vendredi.
Prépare-toi à voyager à travers les histoires de ton Coran à la recherche de belles leçons de vie pour toi et tes proches.
Aujourd'hui, on part à la rencontre de notre Mère Aicha (ra) 💚
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Récitateur : Cheikh Saad Al Ghamidi
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