Les Grosses Têtes: INVITÉE - Elodie Gossuin publie "Mam's"

RTL, c'est l'heure de l'invité du jour.

L'invité du jour, c'est quelqu'un qui publie un livre

qui intéressera tous les parents et elle-même maman de quatre enfants

qu'on voit d'ailleurs dessiner au début de ce livre

puisque ce sont des chroniques BD sur sa famille, sur ses joies, ses galères.

Vos familles, vos joies, vos galères.

Elle a appelé ça MAMS, peut-être que c'est ainsi que ses enfants l'appellent.

Je vous demande d'accueillir.

Et l'audi, gosse sur un, notre invité du jour.

Merci beaucoup, bonjour, bonjour Laurent, bonjour Attif, c'est fabuleux !

C'est chez cela, et l'audi, gosse sur un, cesse chronique en bonne dessinée MAMS.

C'est ainsi qu'on vous appelle à la maison.

Ouais, les grands, c'est cette renseignement en salle, adolescence, MAMS.

Et je trouvais ça trop mignon, un peu pétillant, joyeux.

Que l'agison Rose et Jules sont vos grands.

Et vont avoir 16 ans déjà.

Parce qu'effectivement, au début du livre, on les voit dessiner.

D'abord, il y a vous et Bertrand, et l'audi est Bertrand, très bien croqué.

Il y a même patate, c'est vraiment votre chien qui s'appelle patate.

Ouais, pour de vrai, il dit le, mais ça s'est transformé en patate aussi, ouais.

Et il a neuf ans, le chien patate, qu'on distingue au pied du couple parental.

Et puis après, effectivement, il y a des enfants qui passent après le chien.

C'est normal.

Ah, écoute, on assume.

Rose et Jules, les plus grands Jumeaux.

Parce que vous avez une paire de Jumeaux, c'est bien ça.

Deux, même.

Voilà, Rose et Jules, d'un côté, les plus grands.

Et Josephine et Léonard, alors les plus petits.

En quelle âge, Josephine ?

10 ans, ça y est, 10 ans lundi.

10 ans.

Et vous dites d'ailleurs que Josephine, c'est une future Miss France ?

Ouais, elle aime bien, elle a ce côté un peu glamour.

Elle aime les paillettes, mais elle rêve.

Ça fait rêver aussi, Miss France.

Elle avait parti des rêves de petites filles qu'elle accomplisse ou pas.

En tout cas, elle en a plein pourvu qu'il se réalise pour certains, quoi.

Elle veut faire comme maman.

Alors, mâmes, ça se font des conseils aussi, évidemment, pour les parents,

pour éduquer les enfants, les ados, quelque soit leur âge.

On a des règles d'odor, par exemple, pour les réseaux sociaux,

sur l'utilisage du smartphone.

Je vais y arriver pour la rentrée des classes.

Il y a une expression que je ne connais pas à fort que vous médiez.

Ça veut dire quoi ?

Non, il n'y a pas l'utilisage.

Pardon ?

Je ne connaissais pas l'utilisage, moi.

J'ai dit quoi ?

On en apprends un l'utilisage.

Mais moi, je n'ai rien l'osé dire.

Non, mais l'usage.

L'utilisation ou l'usage ?

Mais pas l'utilisage.

Mais on aime vous, on a pas le courage.

C'est un néologisme à terrasser.

Je trouve...

Voilà, on peut valider l'utilisage.

L'usage, c'est surtout les parents qui vont avoir l'usage de ce livre,

évidemment, ça aidera pour les moments

où les enfants rentrent à l'école,

les moments où les enfants peut-être quittent le foyer.

Mais il y a aussi, évidemment, pour l'usage

ou l'utilisation des réseaux sociaux, des conseils.

Parce que c'est vrai que les enfants

sont un peu trop souvent sur le téléphone portable, j'imagine.

C'est une guerre au quotidien.

Je ne sais pas chez vous.

Enfin, moi, vraiment, je galère.

Je suis en conflit non-stop,

donc c'est qui est lié quand même quelques règles et de faire gaffe.

C'est paradoxal,

parce que mon métier implique aussi d'être sur les réseaux sociaux.

Mais justement, on connaît peut-être un petit peu les dérives

et il faut les prévenir sur le harcèlement et tout.

Mais ce qui est utile, c'est que ce n'est pas moi qui donne ces conseils,

c'est qu'il y a plein de professionnels qui interviennent.

Et du coup, c'est vraiment, effectivement, un porteur pour tout le monde.

C'est plutôt cool.

Mais que veut dire l'expression « yes, Monday » ou « no, si, yes, Monday » ?

Pour ceux qui ont vu le film « yes, day »,

en fait, c'est un peu le principe de dire oui à tous sur une journée

ou par moment, donc je n'aurai pas de devoir.

Je n'en ai jamais fait.

Ah mais j'adore.

Genre, on mange quoi ?

C'est votre démocratique pizza ?

Ok, ça va range, on y va les gars.

C'est un peu salide.

Je ne connais pas ça du tout.

On va se voir à la maison aussi, là.

Moi, je l'ai fait avec ma fille, les « yes, 5 minutes » pendant 5 minutes.

C'est déjà pas mal.

Une autre question qui concerne évidemment le livre et les règles d'or,

et la réel « life » par rapport à l'Instagram « life »,

ça aussi, c'est important parce que c'est vrai qu'on ne doit pas

poster tout et n'importe quoi sur Instagram.

C'est les conseils que vous donnez à vos enfants, vous-mêmes, j'imagine.

Oui, et puis d'être fidèle à la vie.

Alors forcément, c'était morceau de vie,

donc on va dire que c'est tronqué et parfois un petit peu factisme.

C'est d'être fidèle et vrai,

c'est-à-dire de ne pas se façonner une image,

qu'on soit personnalité ou juste adolescent,

d'être sincère, quoi, sincère, même dans ce qu'on montre.

Est-ce que vos enfants vous ont vraiment foutu la honte,

comme on le voit, parfois ?

Mais tellement de fois.

Oui, votre fiston, je crois que c'est Léonard,

lui, le plus petit, il est chez le quoi fort,

et il fait une triste mine.

Alors vous lui demandez « ben, t'aimes pas ta coupe, mon beau gosse ? »

Il dit « c'est pas ça, c'est qu'elle sent mauvais la bouche, la dame. »

Mais il y en a eu plein, celle-là est véridique, mais véridique, la honte, quoi.

C'est terrible, parce qu'elle est là, évidemment.

Autrement, elle ne purait pas du bac, mais...

Mais ça, évidemment, on a la honte à ce moment-là.

Il y a tellement de moments comme ça qu'il est entrepable.

« MAMS », c'est chez Solard, édition,

16 chroniques BD sur la famille, les joies, les galères.

Mais attention, voici un autre Laurent Deutsch qui veut vous parler,

puisque le vrai Laurent Deutsch a un livre qui sort aujourd'hui.

Alors il fallait en faire venir deux, Laurent Deutsch.

Bonjour à tous, bonjour Hélodie.

Bonjour Laurent.

Quand on sait, Hélodie, que vous êtes de Picardie,

on se dit que 16 chroniques sur la famille, ça sort un peu effaillifère.

Alors on parle de qui ?

De Didier Brouillon, dit le tuer au parapluie d'Amiens,

ou du couple Pittouche et des capiteurs de Chantilly.

Bon, j'ai lu le livre.

Alors ça parle.

16 chroniques BD pour parler sans tabou des défis des parents.

Charge mentale, éco-anxiété, lâchée prise,

vous foutez de ma gueule ou quoi, Hélodie ?

Qu'est-ce qu'on va penser de la Picardie ?

Que les habitants sont des gens biens,

qu'ils allaient être leurs enfants normalement ?

L'auditeur d'RTL n'est pas dupe, on ne tombera pas dans votre supercherie.

Bonjour.

Merci Marc-Antoine.

Quelle bonne heure de le retrouver.

Et oui, vous avez travaillé pendant des années ensemble.

Pendant des matinales ensemble.

Exactement.

C'était sur RFM, c'est ça ?

Exactement, pendant 7 ans, je crois précisément.

Et bien voici un deuxième, comme si un seul ne nous suffisait pas,

un deuxième, Johan Riou.

J'ai connu, j'ai connu, j'ai connu.

J'ai connu, j'ai connu.

J'ai connu.

J'ai connu.

J'ai connu.

C'est la consécration.

Consécration.

Continue, continue.

L'habitateur est plus connu que moi.

Ah bon, Laurent, il faut que je vous raconte quelque chose.

Il entend, Hélodie, Hélodie.

Hélodie, Hélodie.

Hélodie.

Hélodie.

Alors, quand Très dit Campion, on est chez les fous Laurent, on est chez les fous.

Alors, alors, dit Caprio et Hélodie.

Et là, dit Caprio fait une acceleration, ils s'entraînent l'homme entre les bimbo.

Il esquive un photographe de Paris Match.

Il aperçoit Hélodie.

Il y a un échange de regard.

Regarde les chanses du regard.

Regarde les chanses du regard.

Attention, le genre d'échange de regard, qu'on peut finir en crypté sur Canal.

Lui, lie, lie, lie.

Alors, là, bravo.

C'est bien, deuxième Johan Riou.

Bravo.

C'est super.

Alors, Hélodie n'y voyait pas d'ironie, mais qui sait,

J'ai plus de voix, j'ai plus de voix non plus !

J'occu, j'occu, j'occu !

Mais qui c'est Augustin Traplard ?

Va-t-il vous recevoir dans la Grande Libérie ?

Ah bah consécration !

Bonsoir à tous !

Bienvenue dans la Grande Libérie,

l'émission qui donne aux gens

qui aiment les livres

l'envie d'aller voir un film.

Bonjour.

Bonjour, je le dis Gossien.

En tant que miss

et en plus de Picardie,

vous n'étiez doublement pas destiné à savoir écrire.

Ce qui m'amène à la question

que tout le monde se pose et l'a dit,

pour vous l'écriture est-elle une façon

de mêler psychologie, résilience

et cucurbitacé afin de décortiquer

la parentalité parfois obsolète, absconde

et stalaglite ?

Ou alors vous vous êtes juste dit

faut que je trouve un vrai job

pour ne pas finir comme l'autre vieille au chapeau ?

Oh non !

Ah non !

Jean-Pierre Foucault,

avec qui vous avez travaillé, évidemment.

Jean-Pierre Foucault,

vous avez connu à votre tout début

quand vous étiez Miss France,

et là aussi il a tenu à passer

pour votre visite chez nous aujourd'hui, Jean-Pierre.

Bonjour à tous,

et bienvenue à l'élection

de Miss Grosse Tête.

Le principe est simple,

Laurent Ruquier,

Laurent Dutch, Hector Obalc

et UNRU vont défiler en maillot.

Sous nos yeux,

et nos yeux vont chialer sous leurs yeux.

Laurent Ruquier,

Miss Le Havre,

ouvre le défiler,

la démarche est chaloupée,

c'est la classe.

Arrive maintenant Hector Obalc.

La démarche est chaloupée aussi,

mais là c'est pas la classe,

c'est l'apéro.

Voici Laurent Dutch,

Miss Station Châtelet Léal,

il pose un bout de quai

avec son ticket métro,

et pour que lorsqu'on se défile

on a UNRU,

Miss Touquette,

son bikini lui va comme un gant,

et pour cause il a mis une mouffe

sur sa Miss Touquette.

On peut peut-être se dire

Marc-Antoine Lebré

et Lodi Gauchuin

restent avec nous

pour la valise RTL

dans un instant.

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