Les Grosses Têtes: INVITÉE - Barbara Schulz présente "Super bourée"

RTL RTL 8/29/23 - Episode Page - 13m - PDF Transcript

RTL, c'est l'heure de l'invité du jour.

Et d'autres invités du jour, tout récemment, étaient encore sur les planches,

avec une pièce de Shakespeare, comme il vous plaira.

Vous l'avez vu au cinéma il y a quelques années,

dans l'hygiène de l'assassin, au côté de Jean-Yann,

vous l'avez vu dans un son Antonio,

vous l'avez vu dans les textiles où elle jouait une naturiste,

au côté d'Alexandre Brasseur,

dans la dilettante de Pascal Thomas,

c'est une de nos actrices préférées, effectivement.

Je vous demande d'accueillir Barbara Schulz,

qui vient nous présenter Super Bourré,

un film qui sort cette semaine.

Demain, demain mercredi, sur vos écrans.

– Eh, et mieux en vrai !

– C'est vachement mieux en vrai.

– Voilà, un titre de film étonnant, Super Bourré.

C'est le titre du film qui sort demain.

Bienvenue Barbara Schulz.

– Vous êtes la maman dans ce film d'un des deux jeunes héros,

un garçon et une fille, c'est Pierre Gommet qui joue le garçon,

Nina Poleto, qui joue la jeune fille en quoi, 17 ans, 16 ans.

– Oui, c'est l'année du bac, les 17 ans.

– Voilà, l'année du bac.

Et effectivement, ces années-là, souvent,

il y a l'occasion de faire une fête un peu alcoolisée.

– Oui, pas que cette année, mais enfin, ça commence, oui,

ça t'y tient un peu la jeunesse.

– Et de se dépusler aussi.

– Oui, toutes ces choses-là.

– Il y a Chycandier dans le film.

– Il y a Chycandier, il fait un...

– Non seulement il y a Chycandier, mais il y a aussi Vincent Moskato,

on parlait de rugby tout à l'heure.

Voilà, un rugbyman qui s'est reconverti

et en animateur radio et en excellent acteur comédien, Jean Lassalle.

C'est étonnant quand même de le voir.

– Il y a un très bon comique.

– De le voir au cinéma.

Ah ben vous allez nous raconter, Barbara.

– Moi, je n'avais pas de scène avec lui.

Mais oui, je sais que ça a été marrant, je crois,

les petits jeunes, ils avaient...

Oui, parce qu'il fait le grand-père qui explique le fonctionnement de la lambique.

– Ah oui.

– Mais vous n'avez pas croisé pendant le tour.

– Non, il n'est pas croisé.

J'étais juste avec Vincent Moskato et là, j'ai beaucoup rigolé.

– Moi, je lui croisais à l'Assemblée nationale, ça va.

– Vous êtes la maman, en tout cas...

– Tu mères et mère, en fait, dans cette film.

– Voilà, donc double-mère, M-E-R-E-M-E-R-E, super bourré,

c'est une comédie, on en a compris.

– C'est une comédie, pour moi, c'est vraiment un mélange

entre les beaux gosses, American Pie, Émilou en mai, ou le Groschemin.

Non, c'est vrai parce que c'est à la fois très drôle,

mais c'est aussi un beau film.

– C'est rural, il faut l'expliquer.

– C'est rural, c'est champêtre.

– Ces jeunes-là, effectivement, n'ont pas forcément l'occasion

de faire une fête comme on en...

– Ils s'ennuient beaucoup.

– Voilà, comme on en connaît.

– Ah, ça s'appelle la province, quoi.

– D'habitude, vous jouez des rôles très jeunes,

ça vous a énervé d'ailleurs souvent.

– Bah, il y a un moment, ça s'arrête, quand même.

– Et là, maintenant, ça, ça changement, vous jouez une maman.

– Ah, les mamans, ça fait un bout de temps que j'ai amorcé le créneau, mais...

– Enfin, vous n'êtes pas prêts de jouer les grand-mères, tout de même.

– On ne sait pas.

– Ah non, non, non.

– Une fille mère.

J'ai joué une grand-mère.

– Ah oui ?

– Bah oui, merci François.

On vient de finir le film de Nicolas Vagné et je suis grand-mère.

– Tout ça parce que vous avez épousé Berléon ?

– Non, non, non.

– Grand-mère, par alliance ?

– Non, grand-mère.

– Mais d'un être humain ?

– D'un être humain.

– Le Vagné est très loup garouche.

– Non, mais là, bon, il y avait des bestioles, mais...

– Elle est incroyable, Barbara Schulz, de jeunesse, de fraîcheur.

– Roselyne Bachelot, à raison, Barbara,

– Quand je relis votre parcours, c'est quand même étonnant,

parce que vous aviez 21 ans,

quand on vous a demandé de jouer une jeune fille de 14 ans au départ.

– Ouais, ouais, ouais, ouais.

– Avec Jean Carmey.

– Avec Jean Carmey, oui.

Vous générez qui avez marqué la fille de 14 ans, oui.

– 7 ans de plus que le rôle.

– Ouais.

– Il faut quand même le faire.

Après, vous aviez 22 ans, quand vous avez joué une adolescente,

dans Madame le proviseur.

– Exactement.

– Il faut quand même le faire aussi.

– J'avais un peu marre des cartables et des sous-settes,

mais c'était comme ça, oui.

– Vous aviez 25 ans, quand vous avez joué au théâtre,

dommage qu'elle soit une putain,

où normalement, Annabella est une jeune fille de 16 ans.

– Oui, et là, Roselyne fait une jeune vierge et j'en ai 50.

Donc bon, c'est ça qui est bien avec le théâtre.

Il n'y a pas de gros plan, déjà.

On est loin.

Là, je ne veux rien dire au théâtre.

– Non mais enfin, Berléan, dans le rôle du petit Grégory,

c'est pas crédible.

– Ça pourrait.

– Ça pourrait.

– Ça pourrait.

– Oui, le théâtre.

– Super bourré, sort de main, sur les écrans.

Alors, c'est vrai que le titre est un peu comme ça.

On va le dire un peu.

Ce n'est pas du Shakespeare.

– Oui, mais regardez, tout le monde me parle du titre.

Et quand, comment il s'appelle,

ce grand metteur en scène a fait drunke,

là, ça ne dérange personne.

C'est l'anglais.

– C'est l'anglais.

– Oui, mais bon, alors, super drunke.

Mais bon, voilà.

– Mais tu es choquée de Twitter.

Ça, deux balles sur Internet.

– Non, non, mais c'est vrai.

– Les gens de Télérama, ils existent encore.

Ce sont les deux jeunes à la fiche de Super Bourré,

avec effectivement le grand-père joué par Jean Lassalle.

La maman Barbara Schulz,

il y a Chicandier et Vincent Moskato.

Ça sort demain dans les salles de cinéma.

Mais vous partez en tournée avec le Shakespeare, alors aussi.

– Alors, dans la tournée est terminée.

– Ah, bah alors.

– La tournée est terminée.

Non, mais je pense aux prochaines tournées

et des prochaines pièces.

Parce que les gens, ils vous attendent.

Ils se souviennent quand on dit des trucs.

Voilà.

Sur la province, ça mettait déjà.

– Mais il y a un mollière à la clé.

– Oui.

– Dans Super Bourré, il y a des tournées.

Il y en a.

– Et la prochaine pièce, c'est Boing Boing que tu ressens.

– Non, non.

On me l'avait proposé quand j'étais jeune.

Mais non, j'avais pas été faire Boing Boing.

– Super Bourré demain sur les écrans de cinéma.

Vous, vous n'êtes pas Super Bourré dans le film ?

– Non, bah non.

Moi, je fais une lutte contre l'alcool.

– Et évidemment, vous...

– Parce que mon mari s'est foutu en l'air dans un platane.

Et donc voilà.

J'ai un programme très, très sévère contre l'alcool.

Et c'est mal perçu dans ce petit village.

Voilà.

– Super Bourré demain dans les salles de cinéma.

Vous connaissez Barbara Schulz, Michel Dernier.

Qui est une sublime actrice.

Et moi, j'ai adoré l'expire parce que je me suis dit

c'est quand même un risque de faire ce genre de pièces

avec la modernité que je te connais.

Et donc, c'est formidable.

– C'était vraiment bien.

– C'est super.

Bravo Barbara.

– J'aimerais tester votre mémoire Barbara Schulz.

J'aime ça de temps en temps.

Savoir si vous vous rappelez.

Les noms et les prénoms que vous portiez dans les films

dans lesquels vous avez tourné.

Dans quel film étiez-vous Nathalie Dumortier ?

– Ah non, putain, franchement.

– C'était un très...

J'ai vu Prout et c'était un très beau film.

– J'ai un truc à vous dire.

Vous savez, ça, c'est ce que je viens de faire à Laleu.

Quand j'habitais à New York et que je faisais...

Les Américains étaient fascinés.

C'est un truc que les Américains ne font pas.

Ils n'ont pas cette...

– Il ne font que les fesses.

– Tout le monde.

– Comme Plavouchand, il ne font que les fesses, le Prout.

Nous savions que la bouche a un peu plus classe.

Nathalie Dumortier, c'était dans la dilettante

de Pascal Thomas,

qui avait Catherine Froh.

Dans quel film étiez-vous Nina de Kerlek ?

– Apocalypse Now ?

– Nina de Kerlek, en tout cas, Bretagne, ouais.

Nina de Kerlek, je me suis appelé comme ça.

– La vraie vie de Bécasine.

– Non, la boume 3.

– C'était dans l'adaptation du roman

de Amélie Noton.

– Il gêne de l'assassin avec Jean-Yann.

– Avec Jean-Yann, vous étiez Nina de Kerlek.

– Là, je l'ai oublié.

– Alors attention,

dans quel film votre prénom

était Gabriel ?

– La soupe Couchou.

– Jean-Philippe.

– Ah oui. – Avec Fabrice Lucchini.

– Et Johnny. – Et Johnny, à l'idée, évidemment.

– Il parait que c'est vous qui avez convaincu

Johnny de faire le film. – Oui, c'est parce qu'en fait,

c'était un ami qui avait écrit le scénario

et il ne vendait aucun film. Il n'arrivait pas.

Il me dit que j'ai une idée, je ne vais même pas l'écrire.

Et il m'a pitié Jean-Philippe et j'ai dit que tu l'écris

et je te présenterai de Johnny. – Qu'est-ce qu'il vient de Johnny d'ailleurs ?

– Mais ça n'a pas de nouvelles. – Et comment vous appelez

dans Super Bourré, alors ?

– Ah, d'accord. – Donc ça a vraiment picolé

sur le film. – Mais non, en fait,

les prénoms dans les films, on les porte

tellement peu de temps, on les dit tellement

– Oui, c'est qu'il y a longtemps qu'on est à longtemps.

– En tout cas, Super Bourré,

sort demain sur les écorts. – C'était Super Bourré.

– Et Barbara Schulz reste avec nous

jusqu'à 18h.

Barbara Schulz reste notre ravite

jusqu'à 18h, mais on accueille

aussi Marc-Antoine Lebré !

– Laurent ? – Oui, Barbara.

– Je peux dire un truc sur Marc-Antoine ? – Oui, allez-y.

– Marc-Antoine, ça a l'air dans les loges,

il m'a demandé si je pouvais lui mettre un petit coup de peigne.

Il a cru que j'étais laque à feu.

– C'est l'histoire de ma vie.

C'est l'histoire de ma vie. – Et j'ai dit d'accord.

– À ma décharge, je l'ai tiré avec votre téléphone

dans une loge avec du macarons.

– Je n'ai pas mal pris, je n'ai pas mal pris.

– Je suis viré.

– Bonjour à tous. – Bonjour à tous.

– Je suis hyper content d'être en chaine.

– Allez, merci, au revoir !

– Je m'arrive de la coiffeuse.

– Vous connaissez Barbara Schulz ? Ben non.

– Non, c'est parce qu'avant, j'étais brune.

– C'est vrai, vous avez changé de couleur de cheveux.

– Ben oui, voilà.

– En tout cas, moi, je suis très content d'être là,

le début, ça n'a pas marché du coup.

En plus, il y a Barbara Schulz, je suis fan, vraiment.

– Mais Marc-Antoine Lebré est là,

évidemment pour nous régaler

avec différents invités qui viennent vous parler,

cher Barbara Schulz, c'est puisqu'on a évoqué Jean Lassalle,

le voici.

– Bonjour à vous.

– Bonjour à vous. – Salut à vous.

Petit rototo du berne,

un goût cognac, rillette, tête de veau.

– Voilà. Je suis dans le film,

ma zette sassant l'étoile

sur Hollywood Boulevard.

En attendant, je risque plus d'avoir ma galette

dans les studios de Réfin.

– On se fait à la bise, Barbara.

À Paris, c'est deux bises.

À Nîmes, c'est trois bises.

Et dans le Bihar, on ne fait pas la bise

à la bonne personne, car on voit flou.

– Chantal Latsoigne,

question très importante à vous poser, Barbara.

– Bonjour, Barbara.

Super, ton film super bourré.

Pour une fois, j'ai te compris.

Mais comment tu fais pour rester aussi jeune ?

T'es plus fraîche que les deux ados du film.

Bon, c'est l'inverse. J'ai toujours fait vieil,

comme Berlion.

– François Cluzé.

Vous avez joué déjà avec François Cluzé, Barbara ?

– Non, jamais. – Il est là quand même.

– Attends, la merde.

Attends, Laurent. Barbara Choules.

Non, c'est une super comédienne.

Cinéma, télé, théâtre,

c'est tout faire.

Regarde, en 2022, elle a reçu

un maulière pour la pièce, comme il vous plaira

de William Shakespeare.

Un maulière pour Shakespeare.

Merde !

Tu nous fais quoi après, Barbara ?

Un César pour un Astérix ?

Un Prix Goncourt pour le livre de Thoëne ?

Putain.

Non, tu vas en prendre plein la gueule, c'est un estomacien.

– On a évoqué le film Jean-Philippe,

effectivement, on a évoqué

Johnny F. Fabrice, le clinique,

voici.

La sublime, la magnifique,

la splendide Barbara.

Son mineur est aussi beau qu'un poème de Baudelaire.

Il est aussi lumineux et détendu

qu'une renoncule dans le jardin de Stevie.

Très belle tige au passage.

Aussi en voutant qu'une chanson de Johnny.

Que je t'aime !

Que je t'aime !

Tu te souviens, Jean-Philippe ?

On devait retravailler ensemble.

J'ai l'idée d'une adaptation cinématographique

de 10 heures de la Cigale et la Formie

qui veut jouer.

On vient de se réveiller.

– Vous seriez prête à rejouer avec Fabrice Lucchini ?

– Oui, oui, vraiment.

– Au théâtre ? Non, il ne prend jamais de partenaire

au théâtre. – Non, au théâtre, cinéma.

– Il faut partager après.

– Madame Bachelot est ici aussi.

– Bonjour !

Bonjour, c'est Roselyne,

studieuse au gouvernement et déglingosse

aux grosses têtes !

– Mais non, mais Roselyne, est-ce que vous allez...

Ça sort demain, on en a parlé.

Est-ce que demain, vous allez aller voir le nouveau film

le premier film de Bastia Mio

avec Barbara Schulz, super bourré ?

– Bien sûr, j'adore Renault.

Non, je déconne, déglingosse !

Bon.

Alors, le pitch a l'air rigolo,

des lycéens qui ont comme mission

de ramener de l'alcool pour avoir le droit

de participer à la fête de fin de lycée.

Ils ont dû passer le bac option palmatse,

là, hein.

Déglingosse !

– Ça vous fait rire, Madame Bachelot, en plus ?

– Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

– Marc-Antoine Lebré reste avec nous

jusqu'à 18h avec Barbara Schulz.

Est-ce que vous imitez vous Barbara ?

Parce que parfois, les comédiens ou les comédiens,

on se don de savoir imiter leurs camarades.

– Mais ben, je n'ai pas celui-là. – Ouais, tu fais bien la maquilleuse,

je vous le disais.

– La coiffeuse ! – La coiffeuse !

– On se retrouve dans un instant

avec la Valuse Ertelle !

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Invitée d'honneur des Grosses Têtes ce 29 août, Barbara Schulz est venue présenter son nouveau film, qui sort en salle ce 30 août, "Super bourée".

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