Les Grosses Têtes: INVITÉ - Tina Arena présente son nouvel album

RTL RTL 9/7/23 - Episode Page - 12m - PDF Transcript

RTL, c'est l'heure de l'invité du jour.

Un autre invité du jour sera un nouvel album qui est sorti d'abord en Australie,

mais elle vient nous le présenter, ça y est, chez nous en France.

Et d'ailleurs, elle sera sur scène tout bientôt chez nous en France.

Et évidemment, on va en parler avec elle de ce concert unique sale Playale en novembre 16,

novembre, précisément, et chantera aussi ses plus grands tubes, les plus hauts et les autres.

Mais elle se rapproche, la voici Tina Arena, je me rapproche.

C'est le nouveau single de Tina Arena.

Je me rapproche, eh bien rapprochez-vous, chère Tina.

Bienvenue, c'est la nouvelle chanson extraite de votre nouvel album.

C'est-à-dire qu'ils avaient traduites, parce qu'elles étaient évidemment en l'orgue originale

au départ d'abord en Australie, en anglais, j'imagine.

Tout à fait, en fait, on a traduit en trois chansons,

parce qu'ils étaient les trois chansons que franchement,

ils étaient les plus faciles à traduire.

Et je veux remercier à François Belgrin, qui a fait les textes,

qui a été très soigneuse de toutes les toits thèmes de ces chansons.

Et ça, je dis merci beaucoup, parce que c'est pas toujours le cas.

Quand je vous entends, ça me fait penser à Gene Birkin à chaque fois.

Sérieux ?

Oh, oui, parce que ces douze accents, c'est les fautes qu'on adore.

Rassurez-vous, je parle pas mieux anglais que vous ne parlez français.

Voir même.

Voir même, il y a des gros problèmes.

Mais je trouve que ça...

C'est pas gentil pour elle.

Mais je trouve que ça donne un charme exquis extraordinaire,

que vous avez, tout comme Gene, qui nous manquera évidemment beaucoup,

et qui est parti pendant l'été,

tout comme Gene Birkin l'avait, elle aussi.

Vous vivez vraiment la majeure partie du temps en Australie,

Attila Arena ?

Ben, j'ai vécu la 100% du temps en Australie.

100% du temps ?

Où vous vivez ?

À Melbourne.

Ah ouais.

Ah, j'adore cette ville.

C'est une belle telle.

C'est une belle belle.

J'adore cette ville.

Vous êtes déjà allé à Melbourne ?

Évidemment.

En botte d'eau.

C'est une ville basse, s'il n'y a pas de grands immeubles comme à...

Oui, mais non, il y en a beaucoup.

Et c'est très beau, et c'est très heureux.

Allez, ils ont construit.

Allez, allez, allons-y.

Non mais c'est bon.

C'est vrai, Christine.

Oh, écoutez, vous voulez-vous ?

Vous payez-moi.

Il n'y avait que des maouris à l'époque.

Elle était dans le sucre quand vous roules ton beurre.

Non, merci, merci, Christine.

Ils sont tellement sympas.

Ils sont gentils, ils sont gentils.

Il n'y avait pas d'immeubles, mais petit à petit, ils sont...

Allez, tu vois !

Ouais, bravo, chi-chi-chi.

Oh, les courses.

C'est super beau.

C'est super beau.

Ça va dormir.

Ah, bon, c'est un vrai...

Je lui ai quatre ronds, ça va venir.

Vous êtes obligé de les chanter vos tubes quand vous êtes sur scène.

La salle plait elle, en novembre.

Vous chantez, elle est plus haut, forcément.

Bien sûr, on ne peut pas venir faire toute cette distance

si on chantait les chansons les plus évident.

Mais, par contre, je vais promener tout le monde en anglais.

C'est vrai que le nouvel album est en anglais.

Il y a une chanson qui s'appelle Church, aussi.

Église, je te traduis.

Bravo, l'ombre.

Vous voyez que c'est une...

Ça, c'est un bijou.

Ça, c'est un bijou.

Non, mais c'est la prononciation.

On va prendre des trucs.

Je progresse.

Non, mais il faut reconnaître.

C'est une traduction audacieuse.

Elle est magnifique.

Il y a une prise de risque.

Je pense...

Je pense à ceux qui ont fait allemand, moi, monsieur.

Tout le monde n'a pas fait anglais, vous voyez-vous.

Et de quoi parlez-vous dans Church?

OK.

Les choses que je parle en Church,

en fait, c'est...

c'est une chanson introspective.

Pour les chaussures.

Introspective.

C'est-à-dire qu'il y a des moments dans la vie

où il faut se pardonner, en fait.

J'imagine aussi que vous chantez cette chanson.

Vous aurez une pensée pour moi et pour Christine.

Bravo.

Quand vous chantez, aimez et jusqu'à l'impossible.

C'est une tournée internationale, hein,

que vous nous faites.

Vous êtes chez nous deux passages en France,

mais je vois que vous avez des dates,

donc forcément chez vous en Australie,

à Sydney, à Melbourne,

mais vous allez aussi passer en novembre à Los Angeles,

sur un New York, si en octobre,

Washington, nos amis québécois,

Montréal, le 11 novembre

et puis Londres aussi, le 24 novembre.

On a des auditeurs partout dans le monde,

donc je donne les dates parce qu'il y a beaucoup de Français à Londres.

Et c'est bien qu'ils sachent que vous serez là-bas

le 24 novembre à Londres,

mais à Paris, ce sera le 16 novembre,

ça, le Play L.

Alors est-ce que vous allez chanter aussi,

parce que ça, c'était un de vos grands succès internationaux aussi,

le duo que vous faisiez

en 98,

qui était extrait du film Le Masque de Zorro.

Mais bien évidemment,

quand je vais chanter Zorro.

Ah oui !

Ça, c'est le passé,

mais l'actualité,

le présent pour Tina Arena,

c'est ce nouvel album Love Saves.

Il paraît que même,

vous pouvez nous interpréter,

nous fraudonner comme ça,

capé de l'art, next time.

C'est ça, c'est le passé,

mais l'actualité,

le présent pour Tina Arena,

c'est ce nouvel album Love Saves.

Il paraît que même,

vous pouvez nous interpréter,

nous fraudonner comme ça, capé de l'art,

next time, du titre de l'album Love Saves.

C'est le titre de l'album.

Retenez-le.

Le l'album,

là, dans les mains,

il sort

assez jorsi,

le 8 septembre,

il sort

assez jorsi,

il sort assez jorsi,

il sort assez jorsi,

il sort assez jorsi,

il sort assez jorsi,

il sort assez jorsi,

il sort assez jorsi,

le 8 septembre,

il existait déjà en version numérique

depuis le mois de juillet,

maintenant on peut l'acheter en version physique,

le nouvel album de Tina Arena.

On aime le tactile, Laurent.

Laurent, si tu fais si grand que ça,

pardon.

Maintenant, c'est un vinil,

c'est le vinil.

On a

on a la version de CD aussi.

Non mais ça va.

le CD, tu sais ? Mais Christine, elle vit encore maintenant, tu vois, elle a un peu

dissoné. Elle vit encore, oui, mais peu. Non, mais c'est cool parce que je suis content

pour toi. Je suis content pour un parcours en bateau aussi, j'ai bien yolé. Merci,

merci beaucoup. Mais Tina ! Non, mais je t'adore depuis longtemps. Mais moi aussi !

Oh, you, Christine, oh, la vie. Tina, est-ce que vous saviez que la fille de Christine

est avec toi ? Non, non. J'ai d'autres messages pour vous. Tina, je vais te mesurer.

Tina, Rena, écoutez, un message de Patrick Bruel qui l'a laissé sur notre répandeur.

Salut Tina, c'est Patrick Bruel. C'était pour te dire que, comme t'as sans doute vu

les restos du cœur, on peut s'en d'aide. Et comme Tina, t'as fait partie de la troupe

des enfoirés pendant plusieurs années, je ne sais pas, je me suis dit que tu pourrais

peut-être faire un petit don. Tu peux donner ce que tu veux, Tina, de l'argent pour

les restos ou des cartes de vocales à l'aginifère, ce que tu veux dire.

Mais, elle compte quoi exactement ? Là, j'ai du mal à comprendre tout ce qu'il a dit.

C'était Marc-Antoine Lebré, évidemment, Marc-Antoine Lebré, qui imite Patrick Bruel.

C'est comme François Hollande, lui aussi, vous allez laisser un message François Hollande.

Oui, bonjour. Madame Réda, c'est François Hollande. Je connais toutes vos chansons.

Elles sont la bande originale de ma vie. La chanson allait plus haut, qui me rappelle

quand j'ai accédé la présidence de la République. Le titre, je m'appelle Baghdad.

Ça, c'était pendant mon quinquennat. Et surtout, celle que j'adore, aimer jusqu'à l'impossible,

chanter par mes électeurs et qui s'évite de transformer en « Impossible de l'aimer »

jusqu'en 2017. Au revoir.

Vous avez fait danse avec les stars aussi, Tina Reina. Il faudra appeler Jean-Marc Généreux.

Vous allez laisser un message.

Ah, c'est Jean-Marc Généreux. Et ça, j'achète. Tina, on a fait Mask Singer ensemble.

C'était super. Moi, un lama. Toi, une plante carnivore.

Rien que dire pensée, on était magnifique, magnifiquement ridicule.

Bien sûr. Je ne te raconte pas, Marc-Antoine Lebrel était déguisé en crocodile.

Ah, j'achète pas du tout, il chao.

Mike Horne aussi, vous allez laisser un message. Le célèbre aventurier Mike Horne.

Salut Tina. C'est Mike Horne.

Tu sais, Tina, comme toi, moi aussi, j'ai accent doux merde.

Comme toi, j'ai parcouru la monde entier. J'ai vu endroit plus hostile de la Terre,

comme le poule sud ou le poule emploi.

Mais il n'a rien vu d'aussi dangereux qu'Australie.

Là-bas, il y a araignées grandes comme Johan Riou, Kangourou Bid pocket

et même serpents LGBT.

Mais le pire, ce sont tous les touristes en camping-car dans la désert.

Ils sont brûlés comme la soleil, comme Alex Visorek pendant une éclaircie à Bruxelles.

Oulou. Voilà pour Mike Horne, nos auditeurs ont reconnu Marc-Antoine Lebrel.

Mais vous restez avec nous encore un peu, cher Tina Arena,

parce que nous allons vous confier la valise RTL,

et ce sera dans un instant après la pub.

Puis par les grosses têtes, uniquement accessibles aux abonnés.

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La chanteuse Tina Arena est venue de Melbourne où elle vit pour présenter son album avant sa tournée avec notamment un concert prévu à la salle Pleyel à Paris.

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