Les Grosses Têtes: INVITÉ - Sébastien Castro présente sa pièce "Une idée géniale"

RTL, c'est l'heure de l'invité du jour.

– À l'invité du jour, c'est quelqu'un qui triomphe au théâtre très régulièrement, quasiment.

À chaque fois qu'il est sur scène, c'est un énorme succès,

particulièrement ces derniers temps dans des pièces de boulevard.

Il y a peu, et vous verrez ça à la télévision.

Il a joué avec Michel Faux le visant voyageur célèbre classique du boulevard,

mais il a écrit aussi ses propres pièces de pièces,

et la deuxième a été un énorme succès au point qu'il prolonge

actuellement ce succès au théâtre Michel.

Ça s'appelle « Une idée géniale ».

Et l'auteur de cette pièce, acteur principal,

que tout bon auteur rêverait d'avoir un jour dans sa distribution,

s'appelle Sébastien Castro !

– Applaudissements –

« Une idée géniale ».

C'est avec Josée Paul, Amiès Bourry et Laurence Portaille au théâtre Michel.

Bienvenue, monsieur Castro.

Et c'est vrai qu'on connaît parfois à mieux votre voix que votre nom.

– Il paraît. – Parce que cette voix est quand même assez incroyable.

Vous forcez le trait quand vous jouez sur scène pour avoir cette voici caractéristique.

– Alors je joue avec mes deux metteurs en scène, Josée Paul et Amiès Bourry,

donc ils sont très vigilants à ce que je ne force pas trop.

– Ah c'est vrai ? – Oui, oui, il faut que je reste assez naturel.

– Mais pour nous. – Vous voulez que je force pour vous ?

– Oui. – Ah, je peux.

– Sébastien Castro est à la fiche « Une idée géniale ».

Je disais que c'était votre deuxième pièce de théâtre.

– Ça fait combien de temps que vous l'a joué ? Je l'ai vu il y a combien de temps cette pièce ?

– Vous l'avez vu au début il y a un an. – Il y a un an.

– On a démarré il y a un an et ça continue jusqu'au 31 décembre.

– Et depuis vous avez eu deux mollières, Meilleur Comédie de l'année

et Meilleur Comédienne dans un second rôle pour Amiès Bourry.

Amiès Bourry qui est plus ormetteuse en scène qu'actrice sur scène.

– Absolument, il n'y a absolument pas question qu'elle joue dans la pièce.

Elle devait commettre en scène avec Josée Paul.

Et on n'avait pas encore la comédienne, elle a lu le rôle pour dépanner,

elle était hilarante et on la gardait.

– Alors l'histoire, il faut quand même raconter l'histoire d'une idée géniale,

l'idée géniale, c'est vous qui l'avez eue en tant qu'auteur.

Il faut dire que vous êtes bien servi, vous vous dites si je ne me donnais pas plusieurs rôles.

– Oui, trois. Trois rôles et demi, il y a une petite surprise à la fin.

– Alors expliquez.

– Alors le pitch, on est sur un couple, Marion et Arnaud, ils sont ensemble depuis 7 ans.

Ils visitent un appartement et Arnaud a le sentiment qu'elle a craqué sur l'agent immobilier,

ce qui est très désagréable.

– Pourquoi il n'est pas pris Stéphane Plaza directement ?

– Mais j'y ai pensé une seconde et puis je me suis dit non, je vais le faire moi.

Et ils tombent par hasard sur le sosie de l'agent immobilier dans le RER,

ils le convainrent de se faire passer pour l'agent et ils l'engagent pour qu'il se fasse passer

pour un gros con et qu'il dégoute sa nana de ce mec.

– Et vous jouez évidemment tous les rôles en même temps.

– Alors je joue donc l'agent immobilier, le sosie,

et ils se trouvent que le sosie a un frère Jumeau que je joue aussi.

– Mais du coup c'était impossible de prendre trois commandes différents.

– Alors et le… – T'as envie qu'on te voie.

– Je me demande si j'apprends un peu de ça, oui.

– Moi qui ai vu la pièce, je peux vous dire ça,

alors évidemment ça finit par être du grand, pardon…

– Du grand n'importe quoi, je vous répète bien.

– Mais du grand n'importe quoi, très réussi.

– Alors ça, ça me parle. – Évidemment, et même visuellement.

Parce que ce qui est assez fou, évidemment, il y a des trucs,

on n'a pas dévoilé lesquels, mais des trucs un peu à l'arturo braghetti

qui font qu'effectivement, en mon donné, on le voit sortir d'un côté

et réapparaît de l'autre, alors qu'on dit « Mais alors, on finit par se demander ».

Parfois, les gens me posent comme cette question à moi aussi.

S'il n'y a pas plusieurs, Sébastien Castro.

– Mais les gens, il y a beaucoup de spectateurs qui attendent à la fin

pour voir où on est, combien on est à sortir, mais je vous promets,

et ils attendent et ils restent et surtout ils nous questionnent,

mais on ne dévoile rien.

– Au Théâtre Michel, à Corée, applaudir Sébastien Castro dans « Une idée géniale ».

On vous voit plus, ça c'est la question traditionnelle qu'on pose,

c'est toujours pardon de la poser.

Moi aussi, je vais vous la poser à vous Sébastien Castro,

mais c'est vrai que je regrette qu'on ne vous voit pas plus au cinéma.

Pourquoi on vous voit si souvent au Théâtre et pas si souvent,

alors que vous êtes très drôles ?

– À la différence de Muriel, moi cette situation me convient très bien.

– Merci, vrai.

– Ah, je suis très heureux, vraiment, j'y changerai ma place avec personne.

– Laurent, il a commis un chef-d'œuvre, et je pense mes mots un chef-d'œuvre.

C'est un sketch qui s'appelle « 100% hétéro ».

Allez sur Internet, regardez ce sketch, c'est un pur chef-d'œuvre.

Donc je suis très jaloux, bravo.

– Merci Laurent.

– Vous n'avez jamais joué pour Laurent Bafi, encore ?

– Pas encore.

– Bon bah voilà, on a cette peine.

Et Laurent Bafi, et moi, de ne pas vous avoir encore eu à l'affiche de nos pièces,

mais maintenant que vous écrivez les vôtres, c'est mal barré.

– Non, mais ça peut être intéressant pour des productions un peu fauchées,

d'avoir un mec qui peut jouer tous les rôles, c'est un cachet,

et c'est toute la distribution.

– Absolument.

– Non mais on dit de vous, et on disait de ça, pardon pour la comparaison,

mais elle est plutôt flatteuse parce que c'est quelqu'un qu'on aime bien,

et en tout cas, c'est pas moi qui dirais le contraire.

Un peu comme l'Aspalaise, on a parfois tendance à dire

qu'on pourrait vous donner l'annuaire, vous feriez rire en lisant l'annuaire.

– Je le complément, il est merveilleux, la comparaison avec l'Aspalaise m'enchant aussi.

Je suis allé le voir au théâtre du Mans, j'ai eu une parenthèse.

– Très bien, et c'est vrai que Michel Faux joue avec l'Aspalaise,

et il a joué récemment avec vous, le fameux visant voyageur.

– Oui, au tête de la Michaudière, on a joué tout cet été…

– Avec Nicole Calfan ?

– Avec Nicole Calfan, avec Armelle.

– Et on verra quand alors ça, la télévision, puisque ça a été capté.

– Oui, on le verra ça sur France TV, la date est tenue secrète.

– Ah, très bien.

– Mais ça connaît.

– Ah oui ?

– Oui.

– Ah, on m'en rend compte.

– L'Orange confirme qu'on peut faire rire en lisant l'annuaire,

surtout quand on arrive dans la liste des noms qui commencent par T, T-R,

et que vous tombez sur Robert Truducu.

– Et Galuc, mon pauvre Galuc.

– Vous êtes fier de ça, mon pauvre Galuc.

– Mais il fallait plus vite, tu vas à Nus, tu rigoles.

– Une idée géniale, c'est au théâtre Michel, courir voir cette pièce.

– Tu y entournes, Laurent, si je m'en permets.

– Mise en scène par Josée Pôle, qui est non seulement un métier en scène,

mais un acteur qu'on ne cite pas assez souvent, que je trouve formidable à chaque fois.

On va dire que c'est une sorte de fervaloir extraordinaire.

– Oui, je n'aurais pas dit ça comme ça.

– En longtemps, hein.

– Non.

– C'est pas mal, fervaloir, vous savez.

– Oui, mais il est...

– Jean Le Poulain était un peu un fervaloir.

– Disons que Josée ne cherche jamais à être drôle,

et en ne cherchant pas être drôle, il est absolument hilarant.

– Une idée géniale au théâtre Michel avec Sébastien Castro,

qui est aussi l'auteur de la pièce.

Mais tiens, je vais vous arriver Cyril Lignac au brossetette.

Bonjour Cyril.

– Bonjour.

– Salut tout le monde.

Hé, on parle beaucoup de Sébastien pour ses rôles dans des pièces et des films,

mais jamais pour son rôle dans la pub KFC, hein ?

– Oh putain, c'est pas bien.

– Je te takine Sébastien, faut bien manger, hein ?

Bon, pas au KFC, mais faut bien manger.

Dans cette pub KFC avec toi,

on n'avait pas réunis autant de qualités de comédiennes et de gras

depuis un film avec de part d'huile.

– Vous avez vraiment fait une pub pour KFC ?

– Oui, ça vous a oublié, vraiment.

J'avais totalement enlevé ça.

– Eh bien non, on n'oubliera jamais.

– Ah ah ah ah !

– Écris-y !

– Une arme allait être loin des troncheuses.

– C'était quand ça ?

– Il y a 10 ans.

– 10 ans, bah oui, il leur trouvait lui.

Alors, Jean Lassalle est aussi avec nous.

– Oui, je l'envoie, je l'envoie.

Mon sœur est le requet.

Pardonnez-moi, je l'envoie pas dans le région.

Alors, on en sense, on en sense,

M. Sébastien Castro depuis tout à l'heure,

mais personne n'ose le mettre face à la honte

qu'il essaye de cacher.

– Personne n'ose !

Le dénoncé, tout le monde fait comme si rien n'était.

Cet odieux personnage a fait une publicité pour Salvétat.

– Oh oui !

– Salvétat, vous vous rendez compte de l'eau !

De l'eau, monsieur le quai !

Je suis énervé comme Renault à la fermeture d'un bar.

– Elle fait aussi de la pub pour de l'eau, Salvétat.

– Alors, là, c'était que la voix.

C'était une pub...

– Il est content d'être venu, c'est-à-dire.

– Il y en a plein d'autres, un des pubs.

– On va arriver à Bagnat.

Il me reste encore des personnages.

– Il a forcément une voix qu'on utilise pour les publicités,

puisque sa voix est tellement identifiable.

Mais Michel Donizot est ici avec nous.

Vous avez joué dans le film...

Ah, quand même, vous avez fait un peu de cinéma.

Vous avez joué avec Michel Donizot dans le film Toutre Son Branche.

– Alors, vous avez trouvé le seul film où j'ai été coupé au montage.

C'est très agréable.

Vraiment, merci d'être venu.

– On va enlever ce personnage.

Ça ne marche pas, parce qu'il n'a pas joué dans ce film.

– Allez, passons la suite !

– Pourquoi vous avez été coupé dans ce film ?

– On sait jamais trop.

– Mais est-ce qu'on vous appelle dans ce cas-là ?

– Oui, j'ai le producteur adorable qui a trouvé plein d'excuses,

peut-être qu'on était très mauvais.

Je ne sais pas.

– Maintenant, nous avons un duo.

Alors, dites-moi si vous avez été coupé ou pas dans les gorilles.

– Non, j'ai été coupé dans aucun autre film, tous les autres.

– Très bien.

– Les gorilles, ici.

– Sinon, ma chronique faisait 2 minutes.

– Donc, vous vous souvenez de Manupayee et Joestar ?

– Absolument.

– Salut les loulous, c'est Manos, tu vas Manos, le dose.

Trop content d'être là, tu vas bonne humeur, bon esprit.

Toi, mon Joé, comment ça va ?

– Brrr !

– Bon, là, Joé vient de dire que ça va.

Qui se sent apaisé et qui vient même de se faire un petit yoga, tu vois.

Je rigole, il dit qu'il a faim car la blancherie, il n'y avait plus d'autest de l'air

et il n'aime pas comment tu le regardes, Sébastien.

– Brrr !

– Sinon, à part ça, ça va, tu vois.

– On peut applaudir Marc-Antoine Yovré.

Je n'avais jamais entendu Manupayee, elle est très bien la voix.

Bravo.

Le saviez-vous, les grosses têtes vous offrent chaque jour des contenus inédits

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Tous les jours, Laurent Roquier et son équipe vous plongent

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– Éric Dupont a été resté pour votre crédit.

– Oui, alors vous avez parlé de 250 000 euros de dégâts

dans le tribunal, au début j'ai eu peur.

Je me suis dit merde, il lui enrayait sa montre,

ça va nous, c'est pas vrai.

Il a tout vendu, il n'a plus rien, cet homme n'a plus rien.

Cet homme est aux aboies.

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