Les Grosses Têtes: INVITÉ - Alban Lenoir à l'affiche de "Antigang, la relève" sur Disney+

RTL, c'est l'heure de l'invité du jour.

– À l'invité du jour, c'est un acteur qui tourne de plus en plus au cinéma.

– C'est une cinéma.

– Cinéma pour le vrai cinéma, comme on dit, mais cinéma aussi pour le cinéma des plateformes.

– Ah ben oui.

– On peut le voir dans Antigang, on pouvait le voir récemment dans Aka avec Éric Cantona.

On l'a vu dans un français, un film de diastème ou même dans les crevettes Païté, dans Balperdu, le 1, le 2.

On n'a pas beaucoup de héros dans le cinéma français depuis Delon, depuis Belmondo.

Et bien maintenant, depuis quelques années, on a Alban Le Noir que je vous demande d'accueillir.

– Bravo !

– Antigang, la relève est sortie sur Disney Plus depuis maintenant quelques semaines avec Sofia Essaidi,

Jean Rénaud, Cassiopé Mayans, qui est une jeune toute jeune actrice, Cassiopé Mayans.

– Tout à fait, qui est exceptionnelle.

– Parce qu'elle joue votre fille, c'est ça ?

– Elle joue ma fille, elle sait tout faire, elle sait danser, elle sait chanter, elle sait aller bilingue, elle est énervante.

– Alors faites souvent des suites, ça prouve que les numéros 1 marchent parce que Antigang la relève.

C'est bien un numéro 2, un numéro 3.

– Tout à fait, le premier opus date de 8 ans.

– 8 ans, Alban Le Noir était déjà à la fiche avec Stéphie Selma, avec Jean Rénaud.

Et là, c'est une nouvelle équipe, il y a Sofia Essaidi et Cassiopé Mayans en plus.

Mais c'est vrai que vous êtes devenu notre héros du cinéma français.

– C'était votre volonté au départ, ou c'est le hasard qui a voulu ça ?

– Il y avait ce désir en tout cas de faire des films d'action et comme vous l'avez souligné,

ça avait un peu disparu depuis quelque temps.

Donc il y a ce plaisir en tout cas de relancer le genre de ce type de films en France

et ça a l'air de marcher et de plaire, donc c'est en air à vie.

– Alors moi, j'ai pas encore vu Antigang la relève et pourtant j'aurais pu,

mais il faut aller sur Disney Plus, hein.

– On peut pas s'abonner à toutes les plateformes.

– Mais ouais, moi j'ai pas Disney Plus et...

– Mais en revanche, j'ai vu, je pense que c'était sur Netflix, que j'ai dû voir Aka.

– Voilà, et là Aka avec formidable aussi Eric Cantona

et vous qui êtes infiltrés, infligues, infiltrés parmi les voyous.

– Je crois que c'est un cartonnel international aussi.

– Ah mais c'était très réussi, très très réussi, je dois dire.

Non mais c'est rare quand même de voir d'un seul coup un acteur français se distinguer

dans cette catégorie-là.

Comment vous avez réussi à vous imposer dans ce style ?

– Bah je sais pas trop en haut.

– À part les crovettes païtées qui étaient un peu différentes, on va dire.

– Oui bah faut avoir un peu un info.

– Oui mais ils sont physiques servait déjà dans les crovettes païtées.

Il a quand même un physique que non pas tous les acteurs français, si vous voulez.

– Ouais un physique facile on peut dire.

– Non mais il est costaud, il est musclé quand même.

– C'est du travail, c'est du travail.

– Mais vous le laissez parler là un peu, je me doute.

– Mais ça vous fait du sport, de la muscu tout le temps pour pouvoir faire ses rôles ?

– Non, si je m'adapte au rôle, là pour Aka j'avais dû prendre 20 kilos,

pour les crovettes j'avais dû plutôt maigrir,

vu que je jouais un personnage un peu malade on va dire,

mais même très malade d'ailleurs.

– Oui mais il finit mal aussi.

– Oui oui voilà, mais oui non mais il y a à ce côté,

puis merci les plateformes aussi dans le sens où sans eux...

– Ce genre de films ?

– Mais ces films n'auraient pas vu le jour.

C'est un constat, ça va être très simple, très transparent,

c'est que sans Netflix ou Disney Plus, je sais que Balperdu, Aka ou Antigang la Relève

n'auraient pas vu le jour et il y a aussi ce succès qui fait que les distributeurs cinémas

reprennent confiance et qu'il fallait redonner confiance aussi au public

dans ce genre qu'avait disparu et...

– Et c'était bien dommage parce que franchement c'est des films,

oui des films divertissants, qu'on est heureux de voir quand on est chez soi,

alors peut-être au cinéma, oui je crois aussi qu'on serait heureux de les voir au cinéma,

il n'y a pas de raison.

– Non mais on avait ce savoir-faire avant dans le cinéma français, ça c'était un peu perdu.

– Tu me suis demandé parce que j'ai vu, pardon, je ne connais pas votre vie privée,

je ne veux pas m'emmêler, mais vous avez appelé votre garçon Lino,

est-ce que c'est pour Lino Ventura ?

– Ça jouait un petit peu, on va pas se mentir.

Je m'appelle aussi Lino d'en Balperdu et je voulais faire un petit pack pour le faire un petit kiff.

– Vos débuts, c'était Quaster et Camelot, héros-corps, c'est ça ?

– Oui, c'était vraiment le début avec moi, un peu avec la famille Astier,

héros-corps, les y compagnie Camelot et après le diastème a ouvert les bras pour un français

et tout a changé.

– Et maintenant, effectivement, vous êtes tête d'affiche,

c'est sur vous qu'on bâti les films d'action Alban Le Noir,

je vais vous présenter Jean-Marie Bigard que vous connaissez sûrement.

– Euh, salut, mon Alban !

La dernière fois qu'on s'est vu, tétéracteurs et cascadeurs dans un de mes films !

– Tout à fait.

– Le missionnaire !

– Tout à fait.

– C'est précise pour le public que ce n'est pas un film sur la vie sexuelle de Beugan ?

– Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

– Mais en tout cas, t'es courageux, Alban, tu vois, je t'ai vu faire des cascades

qui ferait passer Tom Cruise pour un prof de PS, hein ?

– Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

– Mais dans le film, il y a quand même une scène qui t'a foutu les chocottes, tu vois ?

Celle après une bagarre où tu te retrouves au sol

et que tu te rends compte que j'étais plutôt à l'aise sous ma souteine.

– Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

– C'est vrai ? Fait cascadeur dans un film avec Jean-Marie Bigard ?

– Oui, tout à fait. Je devais éviter une porte. Je trouve une voiture...

– T'as pas évité, ma bite !

– Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

– C'est vrai qu'il avait une sous-tagne dans le film, Jean-Marie.

– Marine Lepen. Bonjour Madame Lepen.

– Eh, écoutez, bonjour Monsieur Rook.

– OK, bonjour Monsieur le Noir.

– Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

– Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

– Ecoutez, je précise aux auditeurs qui ne vous voient pas que vous êtes blanc.

– Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

– J'aimerais pas être taxé de racisme.

Ce n'est pas le genre de la maison.

C'est pas M. Roi-Nerballez ?

Écoutez, Alban, j'ai vu votre film « Un Français »

où vous jouez un skinhead repenti, j'ai adoré.

C'est vrai que je suis très comédie romantique.

Déjà beaucoup rit devant la liste de chine l'heure.

C'est encore mieux.

Une autre star de film d'action, vous nous direz après,

si vous l'avez déjà rencontré,

mais voilà, c'est un nouveau maître, Albert de Noir Jean-Claude Van Damme, et parmi nous.

Ok, bonjour, au revoir.

Hello, goodbye pour les anglophones et hello, goodbye pour les sonotones.

Vous savez quoi ?

Bah moi non plus.

C'est quoi, un silence ? Incroyable, hein.

Salut, Alban.

On n'a rien dit.

Alban, toi aussi, tu fais beaucoup de caractér, ok ?

Mais heureusement que toi, dans tes films, il y a un scénario.

Sinon, j'aurais pu croire que tu me copies, ok ?

C'est attention derrière toi, il n'y a personne.

Qu'est-ce que je disais ?

Par contre, tu as vu que toi, tu fais pas le grand écart.

Si tu veux, moi, je t'apprends pour faire le grand écart.

Faut de qualité et la souplesse.

Et pas être certain de vouloir à le bon junior 2, ok ?

Wow, il y a un oiseau.

Ah non, c'est un postillon de Jean-Fy.

Qu'est-ce que je disais Laurent ? La drogue, c'est mal.

C'est un maître.

C'est un maître pour vous, Jean-Claude Van Damme.

Bah alors oui, on ne va pas se mentir.

Moi, sans lui, je ne serais pas là.

Il faut assumer aussi, j'ai vu tous les coups sont permis quand j'avais 9 ans

et j'ai dit je veux être ce galas qui m'a fait mettre aux arts martiaux,

ce qui a fait la différence pour décrocher le rôle d'un français

dans Antigangue, mon passif martial.

Donc oui, malheureusement, sa filmographie a un peu,

partit un peu en sucette

et c'est vrai que ça m'a fait très mal au coeur

quand on avait proposé un projet avec lui de voir leur fusée

parce que c'était pas bien

et c'est vraiment dur quand t'as un idole

et que de voir refuser, ça pique un peu.

Du coup, je m'en prends une deuxième.

Madame Bachelot est là.

Oui, oui.

Bah écoute Laurent, le petit le noir, je l'aime bien.

Quand je le vois bouger dans Antigangue,

je peux te dire que je ne suis pas Antigang-Bang.

Jean-Rénaud est à la fiche d'Antigangue avec vous,

Alban Le Noir et il est ici ce soir Jean-Rénaud.

Vous savez Laurent, j'aime particulièrement Alban Le Noir

comme moi, il est capable de tout jouer.

Par exemple, la joie.

Youpi, youpi.

Aujourd'hui, il y a Alban Le Noir au Grosse-Tête.

Ou encore la tristesse.

Ouin, ouin.

Aujourd'hui, il y a Jean-Phi au Grosse-Tête.

Ouin.

Mais je peux aussi vous jouer la surprise.

Tiens, tiens, je joue la surprise comme la joie et la tristesse.

Tiens, c'est impressionnant.

Je l'ai jamais entendu.

C'est bien Jean-Rénaud.

Merci Monsieur Jean-Rénaud.

Vous pouvez applaudir Marc-Antoine Le Grosse-Tête, bien sûr.

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