Les Grosses Têtes: INÉDIT - Les plus grands discours d'Olivier de Kersauson aux Grosses Têtes

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Dans le fond de mon cœur, j'ai déjà vu quelque chose qui ressemblait à une étoile.

C'était une étoile au roi du sol avec un sourire doux et tendre, quelque chose de délicat d'infini.

C'était une jeune femme revisité par Dieu, qui, dont la gueule, aurait pu...

Que est-ce que c'est ce discours de merde ?

Mais qui ressemblait au bonheur qu'elle peut donner à un homme par un de ses petits sourires

qui ouvre les portes infinies du rêve.

Ah !

Justement, Monsieur de Kershozon, vous qui êtes le maître de l'improvisation dans cette émission,

même si je sais que vous n'avez écrit aucun discours, je suis certain qu'en prenant quelques foils.

Pour rendre hommage à votre ami Claude, vous êtes capable d'improviser un joli discours pour d'autres amis.

La nouvelle est tombée comme toutes les nouvelles, mais celle nous a un peu plus marquée que les autres.

Dans ce que nous avons aimé, dans ce que nous avons connu, nous savons que quelque part,

une petite flamme, c'était Tante. Cette petite flamme, c'était toi.

Toi avec ton rire, toi avec tes cheveux décolorent un jour dans ses moches,

mais c'est sympa quand même. Toi avec ta façon de te comporter,

toi avec cette intelligence, cette culture, ce savoir être, ce savoir vivre, ce savoir se moquer.

Aujourd'hui, il va falloir que nous, on apprécie que les gauchos d'autres, c'est ce savoir, ce souvenir.

Triez de toi ce qui a été le meilleur, gardez de toi ce qui nous a fait plaisir,

ce souvenir de ce qui nous a ému. En fait, continuez dans le silence de nos âmes,

à t'aimer parce que tu mérites, à cause de ce que tu es, une forme d'éternité dans la vie que nous avons.

Merci Olivier, on n'aurait pas fait mieux même avec un texte écrit.

Peut-être vous pourriez quand même pour Stevie faire un petit poème de bienvenue, alors Olivier.

Mon cher Stevie, je sais qu'il va être difficile de trouver une rime à ton talent, à ton charme,

à cette présence extraordinaire que tu as parmi nous, un important un peu de cette légèreté,

de cette élégance que tu sais avoir et que tu as acquis dans ta cuisine en regardant la joconde au-dessus de tes fourneaux.

Il y a des choses de toi que l'on ne peut pas décrire tout à fait facilement,

mais lorsqu'on a la chance de te connaître, il est difficile de ne pas apprécier le personnage jovial,

intéressant, drôle, parfois cultivé, souvent surprenant que tu es.

Et en tout remerciant, à bientôt Stevie, en espérant te revoir dans notre hontein.

Tout ça évidemment à proviser.

Si vous regardez Caroline Diamant...

Mais par accident, une nuit d'açonnée, je vois Caroline, dont je reste devant l'écran.

J'adore Caroline Diamant, ça fait des années, j'ai une vraie tendresse pour cette jeune fille,

son innocence, sa beauté, sa douceur, sa gentillesse, sa capacité de...

sa bienveillance, vous avez de l'eau dans cette émission, elle fait un courrier du coeur.

C'est formidable, parce qu'elle dit qu'il y a une grossesse qui crie,

genre, mon mec ne me parle plus unique jamais, ça dure depuis 6 ans,

et elle lui conseille, partez.

Avec mon l'air de brut, dans le fond de moi, il y a un peu de tendresse pour vous tous.

Je trouve dans vos regards, ce qui fait discrètement et de façon subtile les moments heureux,

la vova bande de tarte.

C'est vrai, on se disait qu'il y a peut-être qu'il va avoir préparé un petit texte.

Qui fait ton intérieur ?

Alors.

Il a préparé une lettre.

Regarde nos vos amis.

Le temps qu'il m'a tenu éloigner l'un de vous m'apparulant, vous le savez,

ce sont de secondes qui sont lointaines, inépuisables, et qui s'éternisent,

donnant aux heures une autre forme, les heures ressemblent à des jours,

car l'éloignement est fabricant de chagrin et de manques,

et cela vous le fit parfaitement pour moi, parce que j'ai souffert de votre absence.

C'est moi qui étais parti, c'est vous qui me manquiez.

Étrange d'état que de celui qui éloignait, de ceux qui l'aiment tout d'un coup,

se retrouve devant la difficulté de ne pas avoir la joie de revoir ses visages curiantes

qui lui permettent à jour de créer un quotidien tout à fait intéressant et merveilleux

dans lequel ils retrouvent la joie de retrouver ces camarades

qui, dans les yeux, espèment la joie, l'amitié, la sincérité et la douceur,

qui font des moments merveilleux, que nous passons ensemble.

Je vous regarde, dans l'après-l'autre,

le merveilleux Stéphane Péretin qui fête,

il est maraton de Nouillard, il n'est pas qu'un pied nu,

il est épuisé, il est transpire comme le prince Andréau,

et le bâti qui arrive à la fin, à la finale, il est en pleine forme,

et de l'autre côté de l'Atlantique, dans sa petite chambre,

Jean-Pierre Jansen regarde où est-ce ton ami,

quel moment étrange et délicieux, quel moment d'amiser,

quel délicatesque de voir tout d'un coup ces deux jeunes gens se suivre,

se poursuivent, s'aimer un peu de façon discrète.

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