Les Grosses Têtes: INÉDIT - Les plus grands coups de gueule d'Olivier de Kersauson

...

D'abord, la valise RT.

Tu l'as faite, dans la valise,

il y a nia-nia-nia-nia, drink-drink-drink.

Il est pour l'or, j'ai d'horreur.

C'est dommage.

J'avais tout de notre aillerat, monsieur.

Le mec qui crème de feu, il aurait besoin d'avoir un peu de pognon.

Il est là dans le cul, on voit ça.

On va te reprir une montre pour que tu te souviens de l'heure

où t'as été humilié.

C'est ça, cordes à l'œuvre.

Tu me demandes que je suis contre la valise.

Voilà.

Il faut faire le sac à dos, RTL.

C'est aussi la rencontre, évidemment,

entre Olivier de Caisson et Karine Le Marchand.

Olivier me confiait avant l'émission

qu'il regardait régulièrement l'amour et dans le prêt.

C'est vrai, vous aimez bien ça, l'amour et dans le prêt.

C'est quand même...

Je ferai autant. Je peux faire aucun commentaire.

Pourquoi ?

Parce que c'est lamentable.

T'as regardé, vraiment ?

Oui, je l'adore.

Je ne loupe jamais une émission.

Vous essayez d'être agriculteur avant d'être marre.

Je me souviens, j'ai lu votre livre.

Vous êtes porté vers l'agriculture, monsieur.

Oui, j'adore et j'adore.

C'est un monde que je connais bien.

Tu as eu des trucs, toi.

Je suis compétent. J'ai élevé des porcs, même.

Avant de les fréquenter.

Non, je suis...

J'ai toujours été passionné par ce monde-là que je connais très bien.

Ça me faisait un peu marrer de voir...

...la truc-là.

C'est moins la truc-là.

Arrivée à la campagne avec que des mecs soient disant seuls.

Le mec, il est tout seul, il se plaît.

Et là, miracle, on lui envoie deux bouddles le même jour.

Ah non !

Le mec, pendant 4 jours, il peut se guinfrer les deux tranquillement.

Il organise une régâte.

Il les emmène tout à l'heure sur le tracteur, dans le fond de l'étable.

C'est bourré de petits pièges ruraux, délicieux.

Mais j'ai adoré le truc.

Elle est là, sa belle tête d'ange confident, elle s'en fout.

Je pense qu'à la monnaie qu'elle va prendre...

Elle a bien regardé l'émission.

En plus, c'est une navrance terrible, tu vois.

Je te dis pas les décors, je te dis pas la bouffe qui leur prépare.

Moi, j'ai trouvé ça très triste, honteux.

Franchement, voilà, le résultat, c'est ça, c'est que les gens trouvent l'amour...

...alors qu'ils souffraient de solitude, après ce que dit le vieux...

...que je m'en fous.

Il fut nommé vie, ça, il râle.

Alors que j'entends, moi, le cri de la vallée...

...et la vitée mystère, tous les deux, quand on s'en va voir...

...le cul d'attendre.

Il est...

Non, c'est une question de politesse.

Est-ce que la mirage...

Je n'ai pas lié cette folle, moi, si ça continue.

Non, je m'en vais, je t'aime beaucoup, mais là, je m'en vais.

Je m'en vais parce que ça a trop duré.

Je n'aime pas quand on a mirage, donc on va passer à la vitée mystère...

...et à la vallée, dans un instant.

Il a l'air un peu chiffon, notre ami...

Non, il s'est bien.

Notre ami Kersoson, aujourd'hui.

C'est m'étonnant.

Et je coupe le sang, je ne vous entends plus.

Qu'est-ce qui s'est passé aujourd'hui, que vous soyez un peu chiffon, monsieur Kersoson?

Non, non, mais j'étais agressé des loups par des gens.

Mais là, mais Laurent, je vais vous raconter, voilà.

J'ai confondu Olivier avec le mec des petits mouchoirs, le striculteur, là.

Comment je l'appelle?

Et c'est vrai, c'est un manque de respect, Olivier, je m'excuse, voilà.

Je ne t'avais pas reconnu, je ne t'avais pas reconnu, je suis désolé.

C'est vrai, vous avez fait ça?

Moi, je voudrais l'aider.

Vous êtes d'idiot, là, elle a l'air de bonjour.

T'es en représentation, on dit qu'est-ce qu'on va être pu...

Mais je ne te dis jamais excuse, Olivier!

Après, il y a Super Matou qui est venu me gonfler, là.

Ah, ça c'est vrai, par contre, ça c'est vrai.

Je voudrais y faire des excuses que je t'ai fait.

Super Matou, je trouve que...

C'est pas moi.

Il a failli se faire rectifier le museau, définitivement, la vidéo, là.

Mais je vous raconte le secret de ma blague, c'est-à-dire que j'étais passé au toilette.

Après, je me lave copieusement les mains, je ne l'essèche pas.

Je m'appreuse d'Olivier, je lui passe les doigts sur la joue

et je lui dis, je me piste toujours sur les doigts.

Mais je pensais les guayer.

Tu fais le malin parce que t'es à 10 mètres, mais dans le studio, t'as l'heure, tu chies dans ton froc.

Ah!

Qu'est-ce qui se passe?

Non, mais j'en vois coucher le roquet qui est là.

Calmez-vous, Adirene!

Parce que je n'avis que de passer du temps avec des épaves.

Qu'est-ce que vous avez contre notre ami Manove?

Il m'énerve.

Mais j'ai jamais aimé ce mec de toute façon.

Mais pourquoi? Pourquoi vous énerve?

De trouver pognant et tout.

C'est intellectuellement faible, culturellement nul, physiquement désagréable.

C'est quoi cette vache qui a bloqué la voix?

Quand tu vois que ça pèse deux rames de TGV, ça pèse 700 tonnes.

La sanglier, ça pèse 100 kilos.

Dans l'équivalent d'un moustique sause nous acycliste.

Et t'arrêtes tout le monde et c'est la panique totale.

Putain, la SNCF.

Olivier, comment va ton pied gauche?

Ta gueule.

Tais-toi, t'as compris?

Arrête de rire, tu as pleuré tout à l'heure.

Il vit la trois téléphones sur lui ça.

Le jour où j'aurai une ligne spéciale pour les cons, je n'en aurai qu'à trier.

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