Les Grosses Têtes: INÉDIT - Les plus grandes gaffes de Laurent Ruquier aux Grosses Têtes

...

Je vous ai encore oublié, Valérie.

...

Depuis Valérie Méry, je ne vous vois plus, Valérie.

Une grosse tête dans les cheveux frisées

en font une permanente de l'émission.

Valérie Méry.

Une citation pour Oscar Wilde.

Oscar Wilde !

Ça va être plus dur de trouver le nom de notre titrice.

...

Je vous interrompre, parce qu'on me signale

que j'ai oublié de présenter Valérie Treveiler.

...

Et vous ne dites rien, Valérie.

Ah non, je n'avais pas...

Elle a l'habitude, elle a l'habitude.

C'est pas votre faute patron, C.E., qui vous ont coupé la parole.

Ben voilà, effectivement.

Une grosse tête qui, pendant la canicule...

...

C'est parce que vous n'avez pas la phrase

que vous avez bien fait de m'oublier.

C'est, c'est, c'est...

... qui, pendant la canicule, rêve du retour

de François Hollande pour qu'il pleuve.

Valérie Treveiler !

...

Attention, mes grosses têtes vont vous poser

toutes sortes de questions.

Et puis, Olivier de Carseauzon ne devrait pas tarder

à vous rejoindre.

Il est particulièrement de bonne humeur aujourd'hui.

Ça va vous faire plaisir.

Alors, habitez, mystère, bonjour.

Est-ce que vous êtes un homme ?

Non.

Alors, vous êtes d'une femme ?

Oui.

Voilà.

Est-ce que vous êtes...

... française ?

Oui.

J'ai appris le français très, très vite.

Monsieur de Carseauzon, est-ce que vous êtes prédarmé ?

Bon...

Oh !

Oh !

Laurent, j'ai, j'ai trouvé.

Ouais, ouais, ouais, ouais, ouais.

Ça, dessinément, on entend.

Bravo, Laurent !

Laurent, bravo ! Bravo, Laurent !

Bravo, bravo !

Ça arrive à peu près une fois par an.

Après, c'est aujourd'hui, évidemment, de la casa des papels.

Puisque ce feuilleton qui nous vient d'Espagne.

Je dis feuilleton comme les vieux, je devrais dire...

Série, cette série qui nous vient d'Espagne.

J'ai jamais vu un épisode, moi.

On est à la quatrième saison.

Et ma question, mais vous soyez rassurés, Monsieur Plaza,

même si vous ne connaissez pas la réponse par déduction.

Vous savez, j'ai un esprit tellement logique et tellement pertinent

que ça peut aller très vite.

Ou par science géographique, vous allez pouvoir répondre à cette...

J'ai peut-être pas abstenir, quand vous, avec votre dernière phrase...

Parce que les héros, si vous l'ignoriez, je vous le rappelle.

Les héros dans la casa des papels ont tous un surnom,

qui est un surnom de ville.

Vous avez, par exemple, une jeune femme qui est l'héroïne, d'ailleurs,

du feuilleton qui s'appelle Tokyo.

Vous avez Lisbonne, vous avez Moscou, vous avez Berlin,

vous avez Nairobi, vous avez Stockholm, vous avez Rio.

C'est une quibogota palerme.

Et, évidemment, il en manque un là-dedans.

Un acteur, d'ailleurs, qui est très, très...

Moi, que j'aime beaucoup, je dois dire, dans cette série.

Et lui, il faut retrouver la ville.

Et c'est une ville américaine.

Laquelle ?

Denver, une ville américaine.

Denver, excellente réponse.

Bravo !

De Rosely.

Denver, il est avec son père, d'ailleurs, dans le gang.

Mais son père va mourir, enfin...

On met à part dans le ciment !

On met à part dans le ciment !

On met à part dans le ciment !

Il est super regardé !

Il meurt dans la première saison !

J'ai oublié l'anniversaire, et je m'en suis beaucoup voulu,

j'ai oublié l'anniversaire de Paul,

parce que je ne savais pas, si tu n'étais pas écrit dans les journaux.

Puis, c'était le 4, le 2, le 5...

Et donc, quelques jours après le 2 juin,

j'ai reçu un petit message de Paul en disant,

je suis triste, Laurent, tu as oublié mon anniversaire.

Non, parce que je sais que tu n'oublies pas,

et là, j'ai dit, ben, là, tu as oublié !

Et il n'y a personne parmi des conchets...

Ah non, moi, je ne savais pas non plus.

Qui m'a dit, et rie-ouvre, qu'il y a-tu une comère toujours là ?

Au point de votre loge de concierge,

vous auriez plus ou moins me le dire !

Non, mais c'est pas ça, c'est parce qu'en fait,

il y a un groupe WhatsApp, et vous ne vous dites pas, patron.

Attendez, là, vous les mignons quand même, Paul Elkarat,

vous me permettez, Paul, que je...

que je lise nos échanges,

parce que je trouve ça ressemble bien à Paul Elkarat.

Il n'y a pas trop de photographes ?

Non, ben...

Voilà, le petit message que je reçois à 1h15, en pleine nuit,

et dire que Laurent Rukier, fort occupé,

je présume, n'a pas souhaité,

sur l'anniversaire, à Paul Sniff.

Ah, il parle de lui, à 3e personne, en plus.

Il n'a pas souhaité, à l'un de l'on, non plus.

Alors, je lui ai répondu, je ne savais pas.

Personne ne m'a dit que c'était hier.

Je suis vraiment désolé, Paul.

Je m'en veux beaucoup.

J'espère que toi, tu ne m'en veux pas.

C'était le 2 juin pour être précis, me dit-il.

Je ne t'en veux pas,

même si je pensais que tu retiendrais,

ne sois pas trop désolé, ce n'est pas grave.

Ça, c'est gentil de s'appardre.

Il veut continuer l'émission, toi.

Attendez, là, je regarde, évidemment,

qu'il y a des dates, c'était, puis qu'il y avait,

parce que je n'avais pas idée, et il a eu 24 ans.

Alors, je lui ai répondu, 24 ans, ça va,

ce n'est pas un contre-on, histoire de me dédouaner un peu.

24 ans, ça va, ce n'est pas un contre-on.

Je m'en serais voulu.

On fera une fête pour les 25 ans.

Et là, c'est là qu'on reconnaît notre Paul.

Il me répond.

Comment peux-tu me dire en même temps que tu t'en veux

et de me dire plus tard, je m'en serais voulu ?

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