Les Grosses Têtes: INÉDIT - Les péripéties de Valérie Mairesse à La Rochelle

RTL RTL 10/5/23 - Episode Page - 7m - PDF Transcript

La Rochelle, c'est la ville du vélo, c'est la première ville, ça ne s'appelait pas les Vélibes,

mais c'est la première ville qui a distribué des vélos pour qu'on circule…

Yellow.

Comment ça s'appelle ?

Yellow.

Yellow.

Yellow.

Ouais, tout ce qu'on loue, c'est Yellow.

C'était Crepo le maire qui avait fait ça.

Exactement, Michel Crepo, qui avait lancé les vélos à la Rochelle.

Absolument.

Et vous en faites Valérie des Yellow ?

Non, parce que moi j'ai mon vélo.

Ah oui ?

Ah ouais, moi je suis le tout le temps en vélo.

Ouais, c'est mieux qu'à trou.

Ah ouais, je m'éclate.

Ah oui ?

Je pars de chez moi.

Il aussi s'éclate un vélo.

Avec ton petit panier devant.

Je pars de chez moi, j'ai mon petit panier, mes petites sacoches, et puis je vais jusqu'à

la mer, et là je longe la mer pour arriver sur le port, et c'est…

C'est une belle retraite.

Et je m'arrête à des moments, je regarde la mer et je crie, « Oh yes ! »

Et là il y a Mara qui passe et qui le dit, disons les moites en ce moment, elles

sont mofflées.

Il y a des moites qui font du vélo à la Rochelle, ça faut que j'arrête de boire.

Vous faites une première partie pendant le festival de la Rochelle ?

C'est chouette, c'est beau, alors…

Ça fait rêveux.

Je vais à la sirène, tout ça.

C'est quoi la sirène ?

C'est un super endroit pour écouter des musiciens.

C'est un genre de Bercy, c'est le Bercy de la Rochelle.

Ah oui, ça doit être bien.

Tous les musiciens adorent aller à la sirène parce qu'on est super bien reçus, et puis

en plus il y a tout le matériel est génial, c'est le premier français et tout, c'est

vraiment super bien.

On sent que vous l'aimez votre nouvelle vie, là.

Ah oui, c'est bien.

J'ai dit jeune avec le maire, là, on dit.

C'est pas mal, là.

Mais c'est la skiddy de la Rochelle.

Alors comment il s'appelle le maire ?

Ça parle des jeunets.

Tu vois, là où je l'ai dit.

Imagine, imagine le repas, il y a les noms écrits avec des bouquafiers.

Fontaine, fontaine, fontaine, j'ai oublié son prénom, c'est pour ça.

Fontaine.

Fontaine.

Vous êtes sûr, fontaine ?

Fontaine.

Fontaine.

Claire, Claire Fontaine.

Vous êtes sûr de ça ?

Alors je suis sûr.

Un conseil arrive un peu en…

Sans mon famille, c'est fontaine.

Jean-François Fontaine.

Jean-François.

Il est potable ou quoi ?

C'est un prénom double.

J'oublie.

Ah bah oui, deux, c'est trop.

Ah bah oui.

Là-dedans, Valérie, moi.

Elle est là-bas, la Rochelle, entre les deux tours de la Rochelle, et elle attend un jour.

Non, elle est pas entre les deux tours.

Elle est même pas la Rochelle même.

Ah, si.

Elle est coincée dans une banlieue immisérable entre un dépôt de pneus et un vieux wagon de chaman.

Non, je suis dans un hamac nu, et je t'attends.

Il y a un hamac en filet, ça fera charcuterie corse.

Mais t'as trouvé des arbres accessibles ?

Les deux tours, vous imaginez un hamac assez grand.

Ce serait génial pour les francophonies de la Rochelle.

Tendre un hamac entre les deux tours de la Rochelle, avec Valérie Vérez-Nu à l'intérieur.

Les francocochones.

Ce sera le plus gros attentat après les deux tours de New York.

Vous voulez bien l'emmener à la Rochelle, à l'envicache ?

Ah oui, moi, t'inquiète pas, tu feras pas le ménage.

Ouais, d'accord.

C'est bon, ok.

Enfin, un peu quand même.

Le ménage dans mes cheveux.

En plus, celle qui va chauffer les marrons, tu vois.

Donc vous l'emmener à la Rochelle ?

Je l'emmène à la Rochelle, et puis je vais l'autoriser un petit peu à m'importunir.

J'ai le droit de refuser.

Il faut lui faire à manger, d'abord un bon petit repas romantique.

Qu'est-ce que vous lui préparez, Valérie ?

J'emmène au resto.

Ah oui ?

Ah oui.

Il y a des très bons restos à la Rochelle.

Qu'est-ce qu'on mange à la Rochelle, des crevettes, non ?

On va pas que.

Il y a pas que.

Des boules.

Des crevettes.

Ah oui, on peut manger des très bonnes moules.

Les crevettes de la Rochelle, ça vaut le coup de faire de voyage.

Qu'est-ce qu'ils vous faites d'abord à la Rochelle, quand vous ne faites pas les grosses têtes ?

Je me repose déjà.

Vous avez un jardin, vous mettez dans votre jardin ?

Bien sûr, j'ai un jardin.

Ah !

Racontez-nous la journée type, la journée type.

On veut savoir comment Valérie reste.

Elle est chez elle.

Je me réveille, je me fais un café, je vais le prendre sur ma terrasse.

Ah, ça c'est bien.

Voilà.

Il est quelle heure ?

Non, ça c'est plus, plus maintenant.

Il est quelle heure, à peu près ?

Quand je sors d'une tournée comme là, je me lève beaucoup plus tard.

Elle est face à la mer, ta terrasse ?

Ah non, non.

N'exagérons rien, j'avais pas les moyens de m'acheter un truc face à la mer.

Non.

Il faut attendre la fin de la tournée.

Mais c'est très bien.

Quand je veux aller à la mer, je prends mon vélo et je suis pas loin.

Voilà.

Bon alors, vous, vous levez, vous allez à votre jardin, vous prenez votre café,

qu'ils vendent, qu'ils pleuvent, qu'ils...

Alors non.

Non, non, je ne suis pas ma zoo quand il pleut.

Je sors pas, non, je sors pas.

Vous discutez avec les voisins à travers la haie ?

C'est pas une haie que j'ai, c'est un mur.

D'ailleurs, oui, quand je suis arrivée, il n'y avait pas de mur.

C'est le voisin qui a l'air conspeint quand il est arrivé ?

C'est moi.

Je voulais quand même me sentir chez moi, quoi.

Non, il y avait une espèce de vague haie, justement.

Vous êtes donc dans votre jardin entre quatre murs ?

Oui, ben oui, parce que...

Avec un café.

Non, deux murs.

Sur une terrasse entre quatre murs, pas face à la mer.

Voilà.

Et de temps en temps, il y a quelqu'un qui vous ouvre.

Ok, tu prends le café, alors ?

Alors, après le café, après le café.

Après ce café.

Vous prenez un café.

Parce que là, la journée commence fort, hein.

Est-ce que tu dis un journal, quelque chose ?

Je suis pas le matin, toi.

Non, pas de journal, on le saurait !

Alors, ça...

Après, après, après.

C'est à l'horreur où le confirme, je ne lis pas les journaux,

parce qu'il y a que des choses horribles.

D'accord, on s'en fout.

Ok, tu manges quoi, tu manges quand même le matin ?

Donc, vous faites des mots croisés.

Ah non, pas du tout.

Mais qu'est-ce que tu fais ?

Mais quoi ?

Mais on s'en fout.

Mais tu es une vie intérieure extrêmement...

extrêmement fort.

Oui, oui, oui, mais oui.

Alors après, je me prends mon petit-déjeuner.

Qu'est-ce qu'il mange ?

En deux tartines de pain noir.

Donc là, depuis que tu t'es élevé,

tu fais que bouffer, boire du café.

Qu'est-ce que tu fais après ?

Eh ben, il y a intubilité dans cette journée ?

Alors, quand il y a marché, je veux au marché.

Voilà !

Bah oui, je veux...

Bah ouais, j'ai mon fromager.

Xavier et Valérie Roper, ils sont géniaux.

Voilà !

Euh, il y a...

François va empatisser.

Il y a François Bernier qui va pisser.

Il n'en peut plus, il est au moulin.

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Valérie Mairesse vit désormais à La Rochelle. Et visiblement, elle est tombée amoureuse de cette ville...



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