Les Grosses Têtes: INÉDIT - Les aventures sexuelles (ou pas) de Yoann Riou

Il y a combien de temps que vous n'avez pas vu l'ouvre ?

Je ne suis pas à me venter moi, je ne suis pas à parler de bite toute la journée !

Mais qui a parlé de bite ?

Je crois que c'est pour Laurent Baffis.

Non mais sérieusement, on peut évaluer à combien en semaine, en mois, en année ?

Début février.

Ah !

Ça lui tient rétracté.

A Doville, à Doville.

Il faut quitter deux heures après.

Il faut un petit crochet comme les billons d'eau pour la ressortir maintenant.

Mais alors ?

La dernière fois, ça s'est passé à Doville et elle vous a quitté tout de suite.

Bien sûr, je vous ai raconté l'histoire et j'ai pris un énorme râteau.

Juste la veille que votre collaborateur m'appelle pour me recruter.

Une choelle de corbelle, le roi d'eau de Doville.

Non mais attendez, il ne faut que c'est ouvert.

Il ne faut que c'est fermé, il n'est pas ouvert.

Tu as pris un râteau, vous avez eu le temps de faire l'amour quand même.

Je l'ai plus sauf deux heures avant.

Mais comme je n'ai pas été bon, elle m'a largué.

Non mais ça faisait longtemps que t'étais avec elle.

Qu'est-ce que tu appelles faire l'amour ?

J'avais jamais voulu une sexuelle, Laurent.

Si ça se trouve, c'est pas du tout ça.

Parce que je suis le chef d'abord.

Non mais Yoann, ce qu'il y a resté devant la fille, ce n'est pas ça.

Mais alors depuis que tu es devenu une star, elle ne t'a pas rappelé.

Si, juste avant, il m'a envoyé un texto.

Ah yes, alors.

Non mais j'ai eu un grand-père qui était beg.

Et d'ailleurs, il n'a jamais réussi à...

Non, non, c'était vraiment...

Ah, être président des États-Unis.

Le président de mon cœur.

Encore, il redevient petit garçon, comme ça.

On est touchants, là.

Non, c'est pas toujours ça. C'est gênant.

On est tous liés à l'enfance.

Oui, tu es toujours plus sauf, alors vous n'êtes encore plus...

Encore plus que les autres.

C'est pas faux.

C'est une créature, ce type.

Il y avait au lit, franchement.

On s'en déconnerait au lit, je suis nul.

Mais je suis très, comment dire, je suis...

J'ai beaucoup de fantaisies, c'est que je tente beaucoup.

Ça foire beaucoup.

Je suis pas...

Attendez, quand vous dites...

Je tente beaucoup, pour l'instant, vous tentez personne.

Oui, c'est ça, mais quand tu tente tout seul, ça sert à quoi ?

Ah oui.

Je t'assure, en fait, je suis très timide, mais je n'ai pas peur au lit.

Je comprends, mais vous êtes tout seul et vous gigoteuses.

On a comme un bébé dans sa gigoteuse.

Monsieur, j'enseigne vous qui êtes un peu en manque.

Moi, c'est moi l'attente, je tente tout seul.

Non, mais justement, vous pourriez faire un geste pour Monsieur Rion, quand même.

Là où j'en suis, dans mon état de morale, je peux le dépanner.

C'est pas vrai !

Ah putain, tu vas t'embrasser !

Ah non, mais j'en fais ça pas, alors.

Non, non, non.

Mais je me demande quel genre de geste.

Oui.

Il est qu'on vous montre un geste.

Déjà, faut que je trouve vous sur l'endroit.

Je ne pensais pas, dans ma vie, un jour faire ce geste devant Riel Dombal.

C'est là où ça mène la radio.

Vous avez été très optimistes, alors.

Mais vraiment, je suis étonnée par votre geste, parce qu'on dirait que vous êtes en train de traire une vache.

C'est pareil.

Je suis d'accord. Je crois que vous avez été très gentil avec Yoann Riou, au niveau de ses proportions.

Je sais que, Riel, je crois qu'un jour, tu as dit, dans une interview, tu adores traire les vaches.

C'est vrai que tu adores les pieds et tout, c'est vrai.

Vous adorez les vaches et la campagne.

Ça m'est arrivé de jouer un rôle, un effet où je devais se profuyant de François Sagan,

où je devais traire une vache.

Et j'ai trouvé que la tièdeur des pieds était extraordinaire.

Ah mais ça, quand tu dois traire des vaches chez François Sagan, c'est que vraiment...

Là, on est dans l'amour et dans le prêt, on est dans le rural.

Mais tout de suite, il faut pas y aller trop fort, parce qu'après, on a l'épidémie.

Je vais demander l'exclusivité, moi, de Paul Elcarat.

Pourquoi vous envoyez pas Toéne à votre place ?

Ah, mais il va être fatigué aussi.

C'est toi qui me fatigue.

Je te préviens, tu réponds bien.

Une fois aujourd'hui, je te bifle.

C'est quoi, bifle ? Je connais pas.

Ah, le bifle !

Ça vient d'où, alors, ce mot ?

Il y a B-E-I, complète.

Ah, ça y est !

Tu vois le furoncle que t'as au-dessus des couilles ?

Non mais, on se tourne pas entre nous, là.

Ça fait cinq ans qu'il s'y reprend, je sais pas comment il va.

Ah, il va encore parler de ça.

En fait, il fait croire qu'il est puçon.

Et ça se tombe, c'est celui qui baisse le plus d'autre nom.

C'est pas quoi, c'est fatigué.

C'est lui, il baisse.

Moi, je mange un raccou comme ma maman.

Mais c'est quoi, c'est la puissance ?

Caroline fait pas beaucoup, Gérard, il fait plus beaucoup.

Toi, t'en parle, parce que tu as jamais trouvé ça.

Et Paul, il est puçon comme moi.

On est 0, plus 0, plus 0, plus 0, plus 0, plus 0.

Mais non, non, mais Laurent, il a fait ça.

Qu'est-ce que t'as dit ?

Il a fait ça ?

Ah, c'était la grande salope de tout le monde !

Yoran Rios, c'est la première fois que vous rencontrez Joyce Jonathan.

Oui, et c'est ma première également avec Sébastien Tauet.

Que des premières fois ?

En plus, il y a plus de plexiglas aujourd'hui.

Donc je peux les toucher.

Regardez là, pour ceux qui ne regardent pas,

je tombe le bras gauche et le bras droit.

Heureusement, il a des petits bras.

Heureusement, il est du bon côté.

Et tout ça, sans cocaine.

Alors là, reste bien.

Et Joyce, je n'attends que je sais déjà où tu habites,

parce que c'est une conversation ce matin.

Elle habite dans le marais,

au métro numéro 1, quartier Saint Paul.

Je sais tout.

Elle est bon, elle est voisin.

Je sais avec qui elle est sortie.

Mais non, qui ça ?

Gabriel Attal, je savais pas Gabriel Attal.

Elle fait dans le gouvernement.

Ouais !

Oh non, c'était il y a 15 ans.

Il y a quelques semaines, apparemment, quelques semaines.

Mais enfin, arrêter d'étudier le CV des gens.

En plus, ça m'intéresse.

J'aime bien savoir à qui je travaille et à qui je rigole.

Joyce, il est extrêmement...

Prude, prude.

Prude, voilà. Tout le choc.

J'ai fait 4 fois l'amour dans ma vie.

3 fois, c'était mou.

Une fois, j'ai tiré à côté.

Rêve 0.

0, 40, 40.

Je suis un puceau raté, je suis un puceau raté.

Et bien, 4 fois, c'est une caméra cachée.

Parce que moi, je vois le mec qui sait,

mais il peut pas être comme ça dans la vie.

C'est pas possible.

Je pense que c'est une vanne.

C'est ça, bio.

Le petit procès d'humain.

Ah oui, j'aurais dû vous prévenir.

En plus, la pauvreté d'humain, la manchée,

peut même pas s'enfuir.

Non, mais je suis ravie.

En plus, Johann Rieher.

Plutôt que Johann Rieher.

Ah, j'adore les jeunes mots.

Parce que vous riez en permanence,

depuis qu'on est arrivé.

On dirait, nous allons tomber de son arbre.

J'ai envie de vous prendre,

comme un petit moineau.

Un petit rossignol,

j'ai envie de ramener son puceau.

Le gros matou.

Est-ce que vous pouvez me chanter un peu en mandarin,

s'il vous plaît, je sais pas.

Comment ça y est, comment c'est parti ?

On encourage eux, je n'attends, c'est parti.

Qu'est-ce que vous avez contre la musique classique, Laurence ?

Pas du tout, j'adore le violon.

J'adore ce que quelqu'un puisse.

Le violon s'élive, c'est son frère.

Ah, il est son frère, d'accord.

Moi, je préfère s'accompagner, elle est trop belle.

Ah, Laurence Ferraris, c'est beau.

Elle est belle.

Elle est très jolie, Laurence Ferraris.

Mais vous n'avez aucune chance, Rio,

en tout cas, autant vous dire.

Pourquoi ?

Surtout avec cette chemise.

Il s'est changé pour mettre ça.

Il s'est changé pour mettre ça.

Il s'est changé pour mettre ça.

Il est arrivé avec une polaire bleue dégueulasse.

Il s'est changé pour mettre un truc encore pire.

Pour info, il s'est noyé dans une piscine de parfum.

Mais, sachez-vous, dans tout le studio,

je préférais l'odeur de tranquille.

C'est ça que le premier rang s'est évanoui.

C'est terrible.

Il y a le joli fave au premier rang.

C'est incroyable, aujourd'hui.

Canon, canon, canon.

C'est un garçon, c'est un garçon.

Là, c'est un garçon.

J'ai jamais vu autant de canons dans ma vie.

Je peux prendre le ministère des Armées.

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