Les Grosses Têtes: INÉDIT - Le débrief de Marc-Antoine Le Bret

RTL RTL 8/28/23 - Episode Page - 6m - PDF Transcript

Bonjour, c'est Laurent Rue qui est l'émission des grosses têtes,

vient de se terminer sur RTL, mais en exclusivité pour vous chers auditeurs,

je vous propose d'écouter le débrief animé par une des grosses têtes du jour

au micro de Rachelle Asria. C'est parti !

Bonjour Marc-Antoine Lebré.

Bonjour.

C'était votre première aux grosses têtes, votre première au senti, là tout de suite ?

Ah, je suis trop content, je suis trop content parce qu'il y a une bonne ambiance,

j'ai été très bien accueilli. Laurent m'a très bien accueilli,

les grosses têtes aussi et le public aussi,

donc franchement je suis très heureux.

Les auditeurs veulent tout savoir, vous le savez mieux que moi,

quelle a été votre réaction lorsqu'on vous a proposé d'intégrer RTL ?

J'étais très heureux puisque c'était un but, donc je réalise encore un rêve, on va dire.

Donc non, je suis très heureux, moi j'écoute les grosses têtes depuis très longtemps,

j'écoutais les grosses têtes, j'ai même été auditeur un jour, diteur du jour avec Bouvard,

c'était il y a très longtemps, il y a peut-être 20 ans même.

Je calcule quand même, oui c'est ça, il y a 20 ans, je devais avoir 17 ans, c'est ça.

Donc non, c'est un grand plaisir et encore une fois, toujours un plaisir de travailler aux côtés de Laurent.

Vous étiez commencement ce matin à quelques heures de cette chronique, de ce passage stressé ou plutôt excité ?

Pour une fois, j'étais pas stressé, alors je pense que je prends de l'âge, je pense que...

Vous détressez d'habitude dans la vie ?

Dans la vie stressée, dans la vie en général, non, mais dans le travail, oui.

Et là cette année, non, peut-être parce que je pense que j'ai grandi aussi, j'ai des enfants

et du coup avec le temps, on apprend à gérer son stress aussi je pense.

Vous avez peur d'une grosse tête en particulier, vous allez peut-être me dire Sébastien Tohaine ?

Non, c'est un copain donc je vais le vaner, je vais le vaner, je le connais plus grandement.

Ouais, je le connais depuis très longtemps donc je pense que ça va aller.

Vous avez travaillé sur des matinales pendant plusieurs années, vous retrouvez enfin, on va dire,

un sommeil un peu plus long, un peu plus lourd, ça change une vie de dormir peut-être deux heures, trois heures en plus.

Ah c'est même pas deux heures, c'est même juste trois quarts d'heures, ça suffit.

Trois quarts d'heures, parce que mes enfants, mes enfants se réveillent du coup à huit heures, donc huit heures,

qu'est-ce que je dis dans la pensée quoi, huit heures, sept heures quarante-cinq, on va dire donc,

non mais je veux dire, même une heure de plus de sommeil, c'est énorme.

On va parler un petit peu plus de vous Marc Antoine, pourquoi l'imitation et surtout comment,

comment elle est rentrée dans votre vie, c'était quoi à l'adolescence ?

L'imitation c'était un rêve pour moi, je commençais à plus jeune à regarder les imitateurs,

donc côté part est Laurent Gérard, Nicolas Cantelou, après j'ai découvert aussi un peu Thierry LeLuron,

et puis ça me fascinait les imitateurs, l'imitation m'a toujours fasciné,

Véronique Dicker aussi, Sandra Alexi, les guinoles de l'info.

On peut pas expliquer, parce que le fait de changer de voie, ça m'amuse,

parce que le fait de parodier quelqu'un, c'est pas se moquer, mais on va dire d'accentuer les traits d'un personnage.

Je sais pas, ça m'amuse, il y a du rire, il y a de la bonne humeur,

et le fait de changer de voie, il y a un côté un peu performance qui m'amuse.

Vous testez vos imitations sur votre famille, sur vos enfants peut-être ?

Sur mes enfants, je fais juste la parmi-quai, et les Simpsons, ça s'arrête là,

mais c'est parfois comme je fais des imitations de personnages, de dessins animés,

en direct comme ça, quand je regarde un dessin animé avec mes filles et sa marie,

de temps en temps, donc elle rie, elle rie, du coup, je répète la phrase,

dont j'imite jamais autrement après avec ma famille, mes copes, mes amis,

je le fais tous les jours à la radio, que ce soit à la radio en spectacle, donc du coup...

Ça suffit.

Ça vous prend combien de temps d'imiter une voie ?

Ça peut être très rapide, comme ça peut mettre beaucoup plus de temps, il n'y a pas vraiment de règles,

donc ça peut être, je me souviens que Nagui au départ, j'arrivais pas à imiter Nagui.

Et vous lâchez pas là, quand vous arrivez pas, vous lâchez pas, vous continuez à...

Oui, soit parfois je lâche, et puis je reprends plus tard,

et après on s'était rendu compte avec les auteurs que Nagui en fait, il avait...

Il avait un peu la voie de Raymond Domenec, c'est-à-dire un peu cassé,

et on s'est dit que si on accélère Raymond Domenec, et qu'on monte dans les aigus,

et ça peut faire des petites pauses, et bien on arrive à Nagui.

Voilà, tchao tchao tchao, j'adore l'idée.

Votre dernière imitation, c'est qui ?

Alors, ma dernière nouvelle voie, je pense que c'est Orelsan, c'est cool.

Oui, il y en a eu d'autres, c'est marrant.

Vous travaillez sur les voies des grosses têtes, j'imagine, en ce moment.

Oui.

On a entendu dans l'émission Ariel Dombal, Franck Ferrand,

il y en a une qui est plus difficile que les autres.

Ouais, plus difficile, Bernard Maby, par exemple, va être peut-être un peu plus difficile.

Après, j'ai écouté Marcelas, maintenant ça va être facile,

on va bientôt s'en occuper.

J'en fie, c'est facile aussi, j'imagine.

J'en fie aussi, donc non, c'est intéressant.

Et puis, je pense que toutes les...

Je vais pas dire toutes les voies peuvent être imitées, mais en tout cas parodie.

Après, c'est vrai qu'il y a des voies qui sont plus difficilement reconnaissables.

L'imitation, c'est une chose, mais est-ce que le Marc Antoine, le bré d'aujourd'hui,

il y a des rêves peut-être de toucher à quelque chose encore inconnus ?

Encore inconnus, le cinéma, j'aimerais bien, mais j'ai le temps, en fait,

parce que je pense que ça arrivera, j'espère.

J'ai déjà fait une voix off, en plus, cet été pour Tortu Ninja.

Donc déjà, je suis très heureux d'avoir fait cet exercice, de doubler un film.

Donc, à l'avenir, j'ai le temps encore.

J'ai le temps, déjà, je m'éclate, déjà, depuis tout petit, c'était un rêve de monter sur scène,

et de faire de la radio, aujourd'hui je le fais, donc déjà, j'apprécie.

On va vous retrouver tous les jours, dans les Grostets,

avec cette petite séquence, en presque fin d'émission.

À 17h45, bien sûr, le gloron qui est...

Cette voix, elle est géniale.

On va esquitter là-dessus, vous voulez nous dire au revoir avec la voix de Laurent Bricquet ?

Bah oui, bah écoutez, au revoir, à bientôt, à demain.

Merci d'avoir écouté le débrief des Grostets, soyez au rendez-vous demain

pour une nouvelle émission à 15h30 sur RTL, ou encore en replay sur l'application,

et bien sûr, toutes nos plateformes partenaires.

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Ecoutez Les Grosses Têtes du 28 août 2023 avec Laurent Ruquier.