Les Grosses Têtes: INÉDIT - Côté coulisses : Natacha Polony se confie avant l'émission
RTL 10/30/23 - Episode Page - 7m - PDF Transcript
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Tous les Français à mon avis ont écouté au moins une fois. C'est une émission
où il y a à la fois du rire, de la culture. Vous voyez, quand on en est à parler de
Pauline Carton, moi c'est toutes mes références, c'est les palétuviéroses.
Enfin bon, ça fait partie de la culture populaire française.
Vos parents étaient médecins, est-ce qu'ils écoutaient les grosses têtes quand
vous étiez en France, que vous avez des souvenirs de grosses têtes en France ?
Non, parce que mes parents n'écoutaient pas à cette heure-là la radio où ils bossaient.
Quelles sont vos meilleurs souvenirs télé avec Laurent Ruchier ? Vous avez été
dans N'est pas couché pendant quelques années ? 2 ans ? 3 ans ?
3 ans. Est-ce que vous avez des souvenirs cocasses avec Laurent, des fourrières,
des choses amusantes qui vous restent ?
Je me souviens surtout qu'il m'utilisait comme jukebox, c'est-à-dire que quand il
fallait rappeler une chanson, il me disait, Natasha, est-ce que vous connaissez de
telle là, de notre invité, telle chanson ? Et j'ai essayé tant bien que mal de
chanter, évidemment, bon, j'aimais le moins mieux.
Qui étaient vos idols ou vos modèles quand vous étiez enfant ?
Ça a l'air assez compliqué, parce que mes idols, c'était plutôt, moi, je vivais
un peu dans les livres, donc mes idols, c'était atos dans les 3 mousquetaires,
c'était, enfin voilà, j'avais envie d'être Alexandre Legrand.
C'était pas l'époque star de l'époque ?
Non, non, pas vraiment.
Est-ce qu'il y a un domaine dans lequel on peut dire que vous êtes une grosse tête ?
La chanson, mais alors la chanson ancienne, version Pauline Carton, Fréel, Edith Piaf, Josephine Baker.
Quelles sont les humoristes qui vous amusent le plus en ce moment ?
Alors moi, je suis hyper bon public pour les humoristes, c'est assez facile de me
faire rire, j'avoue, j'adore Tanguy Pastureau, j'adore Daniel Morin, enfin,
je pourrais en citer pas mal, mais vraiment, oui, j'aime bien marrer gentiment.
Vous êtes la directrice de la rédaction de Marianne,
et vous venez aujourd'hui nous parler d'un livre de chroniques,
chroniques du rien n'est perdu, c'est un best-of de vos éditoriaux, c'est ça ?
Exactement, c'est une sélection, en fait, qui permet de voir un petit peu l'évolution de la pensée
sur 6 ans, c'est-à-dire, c'est pour montrer que de l'éditorial, c'est pas du simple commentaire
d'actu, quand on écrit un éditorial pour qu'il soit bon, il faut se demander si, quand on le
lira dans 5 ans, dans 10 ans, dans 20 ans, il semblera encore valable si on n'aura pas dit trop
d'anerie, et si au contraire, ça apportera encore quelque chose.
Vous êtes au coeur de l'actu en permanence, comment on réussit à pas sombrer en ce moment,
est-ce que vous êtes encore optimiste sur l'évolution du monde ?
Alors, j'essaye de m'interdire de penser en termes d'optimisme et de pessimisme,
parce que finalement, c'est pas la question, la question, c'est de se demander ce qu'on peut
faire. C'est pour ça que ce livre s'appelle Rien n'est perdu. La question à se poser,
c'est quelles seraient les actions que nous pourrions mener collectivement pour que les
choses aillent mieux. Optimiste ou pessimiste, c'est juste un constat et un sentiment,
une sensation. L'action politique, c'est quelque chose qui nous doit nous mobiliser tous.
Vous êtes aussi maman de 3 enfants qui sont encore en bas âge ?
Oh, ils sont de moins en moins en bas âge.
Le nez à quel âge ? 15 ans, ça va, c'est pas du bas âge.
Comment vous avez réussi, ou comment vous réussissez encore au quotidien à assurer sur tous les tableaux ?
Ah, je ne réussis pas, mais clairement pas, je suis une maire indigne, comme tout le monde.
Et vous en veulent pas, ça va ?
Si, bien sûr, mais après, ça les regardera, ils se débrouilleront avec ça.
Bon, quel sont vos secrets pour être en forme dans votre corps, dans votre tête ?
Est-ce que vous êtes sportive, parce qu'il y a des activités qui vous apaisent ?
Mon drame, c'est que je ne suis pas sportive, j'aurais adoré, mais vraiment, c'est assez
pathétique, un dernier en sport du CP à la terminale, vraiment terrible.
Non, j'aurais bien aimé.
Du coup, j'ai trouvé autre chose.
Moi, je suis une manuelle, donc je fais de la couture.
Je me couds des vêtements, j'en couds pour les gens que j'aime.
C'est une espèce de méditation, c'est quelque chose qui vide la tête, ça nécessite de la
concentration, en même temps, c'est un amour du beau, parce qu'il y a des belles matières,
parce qu'il y a des belles formes.
Et l'idée de mettre en forme une matière et d'agir dessus, c'est quelque chose de merveilleux.
Et vous portez vos créations, c'est vrai, là vous portez quelque chose que vous avez
tous le blouson, le pantalon, oui, bien sûr.
Qu'est-ce que les gens seraient surpris d'apprendre sur vous, en remis votre passion pour la couture ?
Bah voilà, déjà ça, je pense que c'est pas le truc qu'on se dit quand on lit mes éditos.
Quel est votre lettre motif dans la vie ?
Y a une citation du livre de Saint-Exupéry citadelle que j'aime beaucoup, c'est
Invent un empire où simplement tout soit fervent.
Qu'est-ce qui vous fait vous sentir puissante ?
Eh bien des vêtements qu'on a cousus soi-même en choisissant des belles matières en apportant
de la beauté au monde, c'est le meilleur écran de protection contre les forces du mal.
Est-ce qu'il y a une femme, une femme forte que vous admirez aujourd'hui ?
Y a plein de femmes que je peux admirer à différents points de vue, y a toutes celles
qui ont du courage pour se battre face à l'adversité, y a toutes celles qui apportent
soit de la sérénité, soit de la beauté.
Et ce serait difficile dans cité une parce qu'en fait c'est différente facette
de la féminité que je vais pouvoir qu'ils vont m'émovoir ou que je vais trouver admirable.
Donc je dirais que c'est voilà, c'est un cas et l'idoscope de femmes.
Très bien, mais merci beaucoup, on vous retrouve dans un instant dans l'émission.
Merci Natasha.
Merci.
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C'est une nouveauté que vous propose l'équipe des Grosses Têtes. Du lundi au vendredi, dans un podcast inédit, l'invitée du jour se confie au micro de Julien Bonneau avant même son passage dans l'émission ! L'occasion d'en apprendre un peu plus sur elle, sur ses projets et sur ses souvenirs de l'émission "Les Grosses Têtes".
Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.