Les Grosses Têtes: INÉDIT - Côté coulisse : Sébastien Castro se confie avant l'émission

Chers auditeurs des grosses têtes, découvrez en podcast une interview inédite de l'invité du jour de Laurent Ruquier.

Il est arrivé en avance dans les loges et Julien Bonneau en a profité pour lui poser quelques questions.

Bonne écoute !

Bonjour Sébastien Castro, vous êtes l'invité du jour des grosses têtes, bien vu.

C'est la première fois que vous venez aux grosses têtes ?

J'ai été grosses têtes deux fois et c'est la première fois que je lui ai invité. Je préfère la de ce côté-là.

Vous n'avez pas aimé l'expérience de grosses têtes ?

Je suis très admiratif de ceux qui savent très bien le faire. Je crois que c'est moins mon truc.

Mais en vain, je sais très bien, je crois que je sais parler de ma pièce.

Qu'est-ce que ça représente pour vous les grosses têtes ? Est-ce que c'est une émission qui a bercé votre enfant ?

Absolument. Ah oui, complètement. Chez mes grands-parents, mon grand-père écoutait.

Je ne dis pas de bêtises en disant que la musique est la même depuis toujours.

Cette petite musique-là, c'est mes grands-parents et c'est mon enfance carrément.

Donc oui, c'est très émouvant d'être là.

Parmi toutes les grosses têtes, lesquelles vous amuse le plus ?

Ah !

Vous avez des favoris.

Mais Chantal me fait toujours énormément rire, bien sûr.

Mais c'est le problème si j'en dis qu'une, ça fait des jaloux.

Non mais j'adore Michel Faux et on vient de jouer ensemble.

Voilà, donc je n'en ai dit deux. C'est bien, un homme, une femme, une parité.

Très bien, c'est parfait.

Est-ce qu'il y a de l'appréhension avant d'arriver comme invité aux grosses têtes ?

Oh, il y a un petit peu, si toujours un peu.

Il y a des grosses têtes que vous redoutez ?

Ben non, mais d'une manière générale, avant de faire une interview,

on a envie de, on a envie de, on a envie de bien parler de son bébé, de sa pièce de théâtre.

Et, ouais, léger. Mais il faut que ça reste une fête quand même.

Est-ce qu'il y a un domaine dans lequel on peut dire que Sébastien Castro est une grosse tête ?

Oui, mais c'est extrêmement ciblé.

C'est-à-dire que c'est les distributions de pièces de théâtre de ces trente dernières années.

Là, on peut essayer de me coller.

Est-ce que vous pourriez nous dire deux mots donc de la pièce une idée géniale qui se joue au Théâtre Michel à Paris ?

Oui, ah ça je peux, ça je sais faire.

Alors l'aventure, c'est une aventure dingue.

On a commencé il y a un an au Théâtre Michel.

On est, on va démarrer pour trois mois.

On est là pour un an et on continue encore jusqu'au 31 décembre.

Et après, on a 100 dates de tournée.

Et après, on reviendra dans un théâtre un peu plus grand.

Et c'est ma deuxième pièce et c'est dingue de vivre ça.

Et c'est très émouvant parce que c'est que avec des gens que j'aime.

Je n'ai pas l'anise bourrée dans ce portail.

Et les questions de sosie dans la pièce.

Oui.

Est-ce que vous vous avez déjà pris pour quelqu'un d'autre ?

Comment dire, quand on commence un petit peu à passer à la télé,

les gens, on devient familier pour les gens.

Mais parfois, les gens n'associent pas ça à la télé.

Ils pensent que vous faites partie de leur vraie vie.

Et ils sont persuadés qu'on était au collège ensemble,

qu'on était à Besançon ensemble.

Et vous avez beau leur dire que non, peut-être que vous m'avez vu à la télé.

Non, non, non, c'était dans la vie.

Voilà. Donc ça, ça arrive.

Est-ce que vous arrivez des choses amusantes et inattendues sur scène

depuis que vous jouez cette pièce ?

C'est-à-dire que c'est tellement au millimètre.

Je peux vous raconter une anecdote avec Amanda Lear, qui est une grosse tête.

Je jouais avec Amanda Lear et il faisait très chaud.

Et une spectatrice a fait un petit malaise.

On était obligés d'arrêter la pièce.

Et dans la pièce, Amanda Lear se changeait énormément de tenue.

Elle adorait, elle avait énormément de très belles robes.

C'était quelle pièce ?

C'était Lady Oscar.

Et on a dû interrompre la pièce pendant dix minutes.

Et au bout de deux, trois minutes, elle est très pinée

parce qu'elle avait hâte de reprendre.

Elle me dit, j'aurais eu le temps de me changer.

Voilà.

Bon, bah écoutez, super.

Merci, on vous retrouve donc dans les grosses têtes à 15h30 sur RTL.

Allez, à tout à l'heure, merci.

L'œil de Philippe Cavrivière.

Éric Dupont a été resté pour votre crédit.

Oui, alors vous avez parlé de 250 000 euros de dégâts dans le tribunal.

Au début, j'ai eu peur.

Je me suis dit merde, il lui a enrayé sa montre.

Ça va nous, c'est pas vrai.

Il a tout vendu, il n'a plus rien.

Cet homme n'a plus rien.

Cet homme est aux aboies.

L'œil de Philippe Cavrivière, c'est chaque matin à 7h55 sur RTL.

Cette saison, Philippe Cavrivière est aussi à 8h30.

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