Les Grosses Têtes: INÉDIT - Côté Coulisse : Marie-Julie Baup et Thierry Lopez se confient avant l'émission

Chers auditeurs des grosses têtes, découvrez en podcast une interview inédite de l'invité du jour de Laurent Ruquier.

Il est arrivé en avance dans les loges et Julien Bonneau en a profité pour lui poser quelques questions.

Bonne écoute !

Marie-Julie, Thierry, bonjour, vous êtes les invités du jour des grosses têtes, on est très heureux de vous recevoir.

Vous venez donc en duo comme invité, est-ce que cette émission, les grosses têtes représentent quelque chose de particulier pour vous ?

Bah oui !

Les grosses quoi ?

Bah oui, évidemment, on suit quand même les grosses têtes depuis...

Enfin, je ne le suis pas personnellement tous les soirs, mais tous les jours.

Mais oui, évidemment, les grosses têtes, grande émission populaire, drôle, évidemment.

Et puis, on en connaît tous les grosses têtes à mandalire avec laquelle j'ai parti.

Enfin, moi, j'ai travaillé avec elles.

Il y a beaucoup de gens concrôtois dans le métier, on est ravis de les voir sangueulés, rigolés.

Et voilà, ils s'amusent ensemble comme des gamins autour du maître de cérémonie, Laurent Rue, qui est quoi.

Moi, ma maman était amoureuse de Philippe Bouvard, je crois.

C'est elle ?

Et quelles sont les grosses têtes qui vous amusent le plus ?

Stevie.

J'adore, je suis fan.

Je le trouve, il a rond, en fait.

Euh, il est assez drôle, il est perché sur sa planète, c'est pas mal.

Allez, on va dire Stevie.

Pourriez-vous nous dire deux mots, doublez-moi, donc cette pièce triomphale que vous rejouez au théâtre La Bruyère.

Eh ben, on est très contents de la reprendre.

On a eu un chouette succès l'année dernière au petit Saint-Martin.

Et on redémarre dans une salle qui est différente et qui est encore plus grande et qui est toujours aussi pleine, donc ça fait chaud au cœur.

Et on a les gens qui sont toujours aussi émus et contents, donc on est très heureux.

Vous aviez déjà collaboré ensemble sur Divina, il me semble, c'est ça ?

Oui.

Votre complicité ne date donc pas d'hier.

Est-ce que vous avez des petits rituels communs ou solos avant de monter sur scène le soir ?

Avant de monter sur scène, alors c'est marrant, on avait la même loge que ce soit au petit Saint-Martin où on tournait et là on est dans des loges différents.

Mais oui, on a des petits rituels, des échauffements, on a, chacun fait sa petite préparation, mais on s'isole un petit peu avant de se retrouver sur le plateau.

On a un petit rituel de timing qui est qu'en général, Thierry est près 15 minutes avant le début du spectacle et que moi, en général, j'arrive 7 minutes après le début annoncé.

Donc voilà, on n'est pas tout à fait à accord là-dessus, mais ça match.

Oui, ça match.

Et à les 30 secondes avant d'entrer sur le plateau, on se prend dans les bras avec tous les techniciens, les gens qui font notre technique Arthur en ce moment, qui est notre régisseur avec les techniciens,

Chloé Labilleuse.

Voilà, on est une équipe, on est deux sur scène, mais on est vraiment entouré d'une très belle équipe et on essaye de se retrouver juste avant de le lever du rideau.

C'est important pour nous.

Vous avez tous les deux obtenus, le maulière, une meilleure comédienne et meilleure comédienne l'année dernière pour cette pièce.

Est-ce que le succès, les maulières, ça donne la grosse tête ?

Ben ouais.

Non, non, non.

Moi, non.

Non, non, non, non.

Ça fait tellement plaisir.

Franchement, on a vécu cette cérémonie comme une fête, comme des gamins qui décrochaient le pompon.

Après, on sait ce que c'est, c'est très difficile de comparer les actrices, les acteurs, les pièces.

Donc, on sait très bien qu'on n'est pas meilleur qu'un autre.

C'est juste, voilà quoi, un encouragement pour poursuivre et ça fait plaisir.

Ça fait plaisir.

On a vécu ça comme un tourbillon d'émotion et c'était canon.

Est-ce que certaines représentations de la pièce ne se sont pas déroulées comme prévues ?

Est-ce que vous avez en mémoire des anecdotes sur scène ?

Oui, on a déjà quelques-unes.

On a eu une chose un peu particulière à la fin du petit Saint-Martin, c'est qu'on a eu quelques malaises dans la salle, déjà.

Alors, pour X ou Y raison, le hasard de la vie, voilà.

Donc, on a dû arrêter certaines représentations et les reprendre après.

Personne n'est jamais sorti de la salle en dehors des gens qui se sentaient mal.

Donc, on a réussi à reprendre.

Et puis, parfois, on a des petites galères techniques parce que c'est un spectacle qui est intense techniquement aussi.

On a des micros, on a beaucoup d'effets lumineux et tout ça.

Et parfois, on se met à jouer sans micros ou sans effet.

Donc, on se regarde.

Les yeux désespérés, on se dit on y va parce qu'il faut donner la même chose aux gens.

Et bien, merci beaucoup.

On vous retrouve dans un instant, donc, comme invité du jour des grosses têtes.

Merci beaucoup.

Bonne émission.

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