Les Grosses Têtes: INÉDIT - Côté coulisse : Julie Depardieu se confie avant l'émission

« Chers auditeurs des grosses têtes, découvrez en podcast une interview inédite de l'invité du jour de Laurent Ruquier.

Il est arrivé en avance dans les loges et Julien Bonneau en a profité pour lui poser quelques questions. Bonne écoute ! »

Bonjour Julie Depardieu, vous êtes l'invité du jour des grosses têtes. On est ravi de vous recevoir.

Vous avez déjà participé à l'émission. Est-ce que les grosses têtes, ça évoque quelque chose de particulier pour vous ?

Oui, je l'écoute depuis qu'il connaît de trois personnes et c'est vrai qu'avant je ne me sentais pas concerné, maintenant j'adore.

Quels sont les grosses têtes qui vous amusent le plus ?

En termes de personnes, il y en a quand même pas mal et je ne peux pas retenir tous les noms bien sûr.

Il y a ceux que je connais, j'adore donc je les guette donc c'est pour ça que j'écoute beaucoup plus qu'avant.

Il y a Riel bien sûr et j'adore quand Michel Fou est là.

Est-ce que cela vous plairait un jour de devenir une grosse tête ?

Je ne sais pas, si je suis bonne pour ça, il y a des fois que je n'ai rien à dire.

Peut-être mais en tout cas…

Un essai peut-être envisageable.

Peut-être mais en tout cas j'ai vu que les gens que je connais, ils tiennent vraiment d'une façon, c'est comme quelque chose de très important pour eux.

Riel en tout cas et Michel, c'est comme un rendez-vous amical.

Est-ce qu'il y a un domaine dans lequel on peut dire que vous êtes une grosse tête ?

Un tout petit peu mais à côté de Michel moins, la musique classique.

Et à côté de Balamy encore moins donc vous voyez, je ne sais pas si je serais très utile.

Pourriez-vous nous dire deux mots sur le film Les secrets de la princesse de Cadignan

dont on va parler dans l'émission et qui sort mercredi au cinéma.

Alors c'est un film qu'on n'a pas déjà vu, c'est quand même pas mal déjà de le dire

parce qu'il est issu d'une nouvelle de Balzac.

Balzac, on est censé connaître et en fait on ne connait pas.

Le film d'Ariel est un film hyper moderne, très personnel et très émouvant.

Et votre personnage, vous jouez la marquise d'Espar, qui est-elle ?

C'est une amie d'Ariel, une très vieille amie d'Ariel, qui l'aime beaucoup

mais comme dans tout amitié, des fois il y a un peu de perfidie, un peu de jalousie.

Mais en fait je suis ça seul amie.

Est-ce que vous auriez une anecdote amusante de tournage avec Ariel à partager avec nous ?

Il y en a 1000 quand on était avec des robes sublimes hyper serrées à déambuler dans le château

parce qu'Ariel, elle mène quand même son équipe.

Je n'ai pas une anecdote, c'est plein de situations complètement grotesques,

être dans un château sublime et avec Ariel qui court après le chef électro,

c'était de l'avoir mené son équipe qui était vraiment marrant et vraiment mignon.

Est-ce qu'elle chantait ?

Oui, je vous ai pas trop demandé parce que je voyais qu'elle avait plein de trucs à faire

mais d'habitude c'est vrai que je lui ai dit « Ariel, Ariel, je vais vivre ce rêve, gounot ! »

Et ta, qu'elle démarre.

Là je lui ai demandé pas trop, elle avait plein de trucs à faire.

Qu'est-ce que les gens seraient surpris d'apprendre sur vous ?

Non, je ne suis pas si marrante que ça, des fois je suis sinistre, comme tout le monde.

Des fois je me réveille de fort, je suis abattue, on réveille.

Non, je ne sais pas quelle idée ont les gens de moi, heureusement d'ailleurs.

Je ne sais pas.

Et est-ce que je suis surprenante ?

Pas forcément.

Je suis habillée en rose-bonbon depuis à la tête, aujourd'hui.

Qui était votre plus grande inspiration quand vous avez commencé votre carrière ?

Si vous voulez, moi j'ai une carrière complètement à l'envers,

vu que je m'étais dit que je ne ferais pas ce métier

pour essayer d'avoir un peu d'ambition justement.

Et j'ai fait exactement tout le contraire de ce que j'avais dit.

Donc je ne m'étais préparée en rien.

Je ne pensais surtout pas faire ça parce que je valais quand même.

Enfin je voulais me distinguer.

Et voyez, ma personnalité, je dois pas avoir énormément de personnalité.

Parce que je ne sais pas ce qui s'est passé,

mais en tout cas, moi mes références, c'est beaucoup les chanteuses.

C'est des femmes que j'admire plus que toutes les autres.

Comme qui par exemple ?

Les morts et les vivantes.

Quand je vois par exemple une interprétation comme Sabine Deviel,

c'est une leçon.

Et c'est les chanteuses qui m'inspirent.

Si vous n'étiez pas devenu comédienne, justement, que feriez-vous aujourd'hui ?

Eh bien, sûrement un truc en rapport avec un truc terrestre.

Je voulais être fleuriste, ou peut-être que je travaillerais là-dedans.

Voyez, je ferais des fruits et légumes en pestant,

parce que ça doit être super dur.

T'es toujours tributaire de soi-ci, soit sale et pétisside.

Le temps, c'est horrible.

Mais je ferais un truc dans la fleur, je pense, quelque chose.

Peut-être dans les jardins, je ne sais pas.

Eh bien, merci beaucoup.

Je vous retrouve dans un instant dans les grosses têtes.

Merci Julie.

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