Les Grosses Têtes: INÉDIT - Côté coulisse : Franck Dubosc se confie avant l'émission

RTL RTL 9/26/23 - Episode Page - 6m - PDF Transcript

« Chers auditeurs des grosses têtes, découvrez en podcast une interview inédite de l'invité du jour de Laurent Ruquier.

Il est arrivé en avance dans les loges et Julien Bonneau en a profité pour lui poser quelques questions. Bonne écoute ! »

Bonjour Franck Dubosque, vous êtes l'invité du jour des grosses têtes, on est ravi de vous recevoir.

Est-ce que cette émission, les grosses têtes évoquent quelque chose de particulier pour vous ?

Oui, les grosses têtes c'est ma mère en train de repasser, en en écouter les grosses têtes.

Toujours, toujours une grande, grande fan des grosses têtes ma mère.

Mon père aussi d'ailleurs, c'est... J'ai écouté par ma mère parce que c'était l'invitable.

On ne pouvait pas louper les grosses têtes. Et toutes ces vedettes, tous ces chroniqueurs ou ces chroniques, c'était bouvard à l'époque.

Vous avez déjà été grosses têtes ?

Non, j'ai jamais été grosses têtes. J'ai été invité beaucoup de fois, mais j'ai été auditeur par contre souvent.

Souvent sur la route, d'ailleurs, je vais vous dire, quand je fais de la route, j'aime bien écouter de la musique, quand je fais de la longue route.

Et puis tout à coup, j'ai toujours, je passe mes stations, puis tu me dis, ah, je vais aller jeter la RTL, écouter mon Laurent.

Et c'est vrai que je ne décroche pas. Je rie parce que je les connais, parce que je les vois, parce que je les...

Réellement, ça met une bonne humeur. Réellement, réellement, on a envie d'en être.

Quels sont les grosses têtes qui vous amusent le plus ?

Les grosses têtes qui m'amusent le plus, Isabelle Mergo, son côté candid, j'en fais exprès d'être candid, parce qu'elle n'est pas candid, Isabelle.

A l'époque, il y avait qu'Arson, que j'aimais bien, il y a même un moment de d'alire, alors maintenant, dans les nouveaux, je ne connais pas bien les nouveaux.

Si, si, si, j'aime bien Jean-Phi, Jean-Phi qui me fait rire. Après, les autres, il y en a, mais je ne connais pas les noms.

C'est Bastin Tohaine qui vient sur le monde.

Oui, voilà, c'est ça. Alors après, c'est ça, on les écoute, on les entend, et puis on se dit, quand il s'appelle, celui-là, il me fait rire à chaque fois.

Est-ce qu'il y a un domaine dans lequel on peut dire que vous êtes une grosses têtes ?

Dans rien, je suis nul. Même, je pense que même si je trouve un domaine dans lequel je suis, je pourrais être une grosses têtes, je crois qu'au moment où il faut trouver, j'aurais trouvé envie de dire une connerie.

Dans mon cerveau, ça évacuerait la bonne réponse.

Bon, vous connaissez Laurent Ruquier depuis de longue date.

Oui, vous aviez été chroniqueur, on a tout essayé. Est-ce que vous avez un souvenir amusant qui vous revient à l'esprit de cette époque, début des années 2000, à la télé ?

Plain, plein, plein, parce que même, j'ai même fait un peu de radio grâce à lui, sur France Inter, à l'époque, avant qu'il... Et Europe 1 ou RTL, non, on ne va pas parler des autres radio, c'était la mauvaise époque, on va dire, c'est un époque.

Et puis la télé, oui, on a tout essayé, c'est ce qui a fait ma notoriété, en fait.

C'est le jour où j'ai vu que je commençais un petit peu à accrocher, c'est un jour où j'étais absent, et Philippe Geluc prend ma place, physiquement parlant, prend ma place sur le siège.

Et là, tout à coup, au moment des bons jours, il dit bonjour, je suis Franck Dubosque. Et il reprend ce que je disais moi en... Et là, les gens rigolent.

Et je me dis, ah, donc les gens ont compris que je blagueais avec ça, que c'était comme un gimmick. Le gimmick était installé.

Alors, votre actualité, c'est nouveau départ, donc, ce nouveau film qui sort mercredi. Dans le film, vous décidez de quitter votre femme, Karine Viard, pour tenter de raviver la flamme.

Vous, quelle est votre recette pour faire durer votre couple ?

Je n'ai pas de recette, mais je pense qu'une des recettes à force d'en parler, pour le couple, que la passion dure, je crois que c'est...

La passion, elle tient quand on a peur de perdre l'autre, de toutes les manières qu'il soit. Donc, je... C'est pas une bonne recette, quelque part.

Si ça devient une recette, c'est dommage. Donc, je n'ai pas de recette et lâche. On parle de la routine, d'éviter la routine.

Ce n'est pas entièrement vrai, parce qu'il y a de tellement belles choses dans la routine. Le petit bisou du matin, c'est une routine, quand on ne le fait plus.

En fait, c'est la routine chiante dont on parle, quand on parle de la routine. Ou c'est quand la routine devient pour l'un, convient à l'un, mais ne convient plus à l'autre.

Mais quand elle convient aux deux, la routine, elle est formidable.

Bon, vous avez deux fils, Raphaël et Milan. Est-ce que vous êtes, comme on a envie de l'imaginer, un papa clown ?

Non, je ne suis pas un papa clown, parce que d'abord, je pense que je les ferais pas rire. Et puis, si je les faisais trop rire, les moments sévères passeraient moins.

Donc, non, je ne suis pas un papa clown.

Papa pool, quand ils étaient plus petits. Et maintenant, je pense que c'est quand même qu'il commence à être ado, ça devient le papa chiant. On a envie de lever les yeux au ciel.

Parmi tous les films dans lesquels vous avez joué, il y en a quand même énormément. Duquel ou dès quel êtes-vous le plus fier ?

Je suis fier de tous les réalisateurs qui m'ont demandé de tourner dans des films après. Les films sont plus ou moins réussis, plus ou moins bien, plus ou moins de succès.

Forcément, je suis plus fier de mon premier à moi. C'est tout le monde debout. Et de camping aussi. Camping, parce qu'il a lancé quelque chose.

C'est ce qui m'a donné de loin dans moi. J'en ai plein que j'aime, mais fier. Tout le monde debout parce que c'est le premier. Et camping aussi, parce que c'est celui qui m'a donné cette notoriété.

Qu'est-ce que les gens seraient surpris d'apprendre sur vous ?

Je pense, j'en dis beaucoup, trop. Je ne sais pas ce qui serait surpris d'apprendre sur moi, c'est que je ne suis pas si con qu'il n'y paraît.

Est-ce qu'il y a un personnage historique ou contemporain que vous aimeriez incarner au cinéma ?

Je ne sais pas. Non, j'aimerais faire un agent secret. C'est pas un personnage connu, j'aimerais faire un agent secret.

Si, pas Jean Barre, mais un pirate ou un corsaire, ce qui n'est pas la même chose, j'aimerais faire un pirate ou un corsaire célèbre. Il y en a plusieurs.

Les derniers aventuriers.

Ben merci, Franck, on vous retrouve dans un instant dans les grosses têtes. À tout de suite.

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C'est une nouveauté que vous propose l'équipe des Grosses Têtes. Du lundi au vendredi, dans un podcast inédit, l'invité du jour se confie au micro de Julien Bonneau avant même son passage dans l'émission ! L'occasion d'en apprendre un peu plus sur elle, sur ses projets et sur ses souvenirs de l'émission "Les Grosses Têtes".














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