Les Grosses Têtes: INÉDIT - Côté coulisse : Arthur Jugnot se confie avant l'émission

RTL RTL 10/11/23 - Episode Page - 6m - PDF Transcript

« Chers auditeurs des grosses têtes, découvrez en podcast une interview inédite de l'invité du jour de Laurent Ruquier.

Il est arrivé. En avance dans les loges et Julien Bono en a profité pour lui poser quelques questions. Bonne écoute ! »

Bonjour Arthur Junio, vous êtes l'invité du jour des grosses têtes, on est ravis de vous recevoir.

Y'a Gérard Junio dans l'équipe aujourd'hui, votre père.

Est-ce que vous l'écoutez quand tu passes dans les grosses têtes ?

J'écoute assez peu la radio, je dois dire que je suis pas un très bon client.

Je peux écouter des trucs en replay, vous savez, en highlight sur Facebook quand il y a des moments pas rigolos, etc.

Est-ce qu'il y a des grosses têtes que vous connaissez déjà ? Certains qui vous amusent plus que d'autres ?

Vous avez des amis dans l'équipe ?

Bah là aujourd'hui, il y a Valérie Melez qui vous avait joué.

Avec qui j'ai joué pendant deux ans et une amie d'enfance de ma maman.

Même s'il y en a beaucoup plus jeunes que ma maman, évidemment Valérie.

Que lui que j'aime énormément, enfin voilà c'est...

Est-ce que ça vous amuse ou est-ce que ça vous stresse de venir quand votre père est là ?

Ça m'amuse, oui, ça peut m'amuser, ça dépend de...

Je viens vendre un projet et qu'on parle beaucoup de mon père, donc forcément quand il est là,

quand on va vendre un spectacle qu'on joue ensemble, c'est rigolo.

Quand je viens vendre autre chose et qu'on parle que de mon père, vous donnez un moment, je vais dire « Ah, il faut essayer de faire la promé en même temps ».

C'est bien pour ça que je suis là aussi, donc voilà.

Il faut trouver le juste équilibre pour que ça soit rigolo.

Quand on vous a programmé dans l'émission avec Gérard, il nous a dit que ça nous fera une occasion de le voir.

Est-ce que vous voyez pas tant que ça ?

Et on ne se voit pas tant que ça, non, non, on ne se voit pas tant que ça.

C'est pour ça qu'on travaille un peu ensemble pour passer du temps.

Bah non, lui, qu'on part tout, moi aussi, et puis on est des adultes un peu plus vieux maintenant, donc on voit moins ses parents.

Est-ce que c'est un grand-père qui a gardé votre fils ou il était impliqué dans son rôle de grand-père ou pas tellement ?

Non, pas tellement.

C'est un grand-père actif, il n'est pas encore en mode « Je me pose dans une autre campagne et je garde des petits enfants ».

Il fait les grosses têtes, des films, il court partout, etc.

Vous avez joué récemment avec lui, ce que vous avez des anecdotes sur le jour de Kiwi, des choses amusantes qui vont venir à l'esprit sur scène avec lui ?

Il y a eu une représentation assez étonnante, parce qu'il faut savoir que mon père raconte des blagues aujourd'hui aux grosses têtes,

mais c'est quelqu'un qui ne supporte pas d'avoir des fourrières sur scène.

C'est-à-dire que c'est extrêmement important pour lui d'être droit, de respecter son public, de jouer la pièce.

Malgré l'image qu'il a d'hommes de gag ou de comédies, etc.

Il veut jouer très droit, c'est très important pour lui de ne pas cabotiner, de ne pas avoir de fourrières, etc.

Et un jour, je rentre sur scène et là, je le vois et il pleurait des larmes, des larmes, des larmes.

Et en fait, il y avait vraiment un groupe de personnes très âgées qui étaient au théâtre, c'était une représentation supplémentaire en après midi en plus.

Et vraiment, il commentait tout, il parlait tout, j'entrais, il a plus de cheveux que son père.

Mon père, il en gueule, il disait, bah oui, il fera même son fils.

Et à un moment, il a demandé au public d'arrêter, il a dit, je ne pourrais pas continuer.

Tellement, c'était plus qu'un congrès, c'était fou.

Et donc voilà, c'était rigolo de le voir pleurer des larmes de rire alors que tous les jours, il dit bon, on déconne pas aujourd'hui, on déconne pas.

Bon alors, vous êtes l'auteur et le metteur ancienne de la communauté musicale Denver, le dernier dinosaure qui va se jouer au théâtre de la Renaissance à partir du 14 octobre.

Est-ce qu'enfant, vous regardiez le dessin animé ?

Mais complètement.

C'est évidemment pour ça que j'ai monté ça.

Alors je fais ça avec un camarade qui s'appelle Guillaume Boucher, dont on a écrit et mis en scène ensemble le spectacle.

Je le produis également, enfin voilà, c'est vraiment, je suis allé chercher les droits aux États-Unis du dessin animé, ça a été tout un périple pour arriver à faire ça.

Mais oui, ça part de ça, ça part de ce générique culte pour les gens de ma génération.

Et en se disant, enfin, j'avais envie de faire un gros spectacle musical un peu à l'anglaise avec des décorques bouges, avec des chorégraphies, des chansons.

Et je me suis dit, ça c'est parfait parce que c'est une Madeleine de Proust pour moi, on est dans les années 80, il y a les gamins, il y a des dinosaures.

Donc voilà, même si les enfants d'aujourd'hui ne connaissent pas, les parents vont leur dire, bah vas-y, et je suis sûr qu'ils vont se régaler.

Et justement, alors on peut s'attendre à quoi ? Alors sur scène, il y a un ascote de Denver.

Ah bah bien sûr, il y a Denver, Denver, il est là, il est là et il y a aussi d'autres dinosaures.

En Europe, s'il y a un moment, ils retournent aux Jeuassis, il y a des décors, des chansons, des chorégraphies, le générique évidemment en concert, des cascades.

Enfin voilà, on a appris 52 épisodes qu'on a compilé pour faire un...

Et il y a des chansons aussi, alors des chansons, bien sûr, il y a une dizaine de chansons, de certaines...

Quand ils étaient écrits pour le...

Ouais, ouais, c'est les chansons originales, à part la musique de Denver qui est la même dans le monde entier, en fait.

C'est ce générique qu'il est connu en Australie, en Allemagne, etc.

Donc voilà, donc il y a 7 chansons La Fah, et après, autour de ça, il y a des musiques originales qui a composé Romain Trouillet, qui a fait des films, qui fait plein de films, un petit génie.

Et on a écrit les paroles avec...

Avec Dion Bouchette, voilà.

Bon, ça, à partir de quel âge ce spectacle, on peut emmener ses enfants à partir de quel âge.

La vraie cible, on va dire, c'est la primaire, c'est...

6, 11, ça c'est la vraie cible.

Après, un peu plus petit, ils s'amuseront.

Et puis au-dessus, s'ils ne sont pas à coller sur leur portable, ils prendent du plaisir aussi.

Et puis, on a déjà quelques camarades de notre génération qui se disent qu'on va se faire un petit plaisir,

comme ils pourraient aller voir le Roi Lyon, un truc.

Voilà, se faire un petit retour nostalgique.

Oui, oui, je suis censé des vacances de tout ça.

Alors, merci beaucoup.

Merci.

Je vous retrouve dans un instant dans les grosses têtes.

Merci.

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C'est une nouveauté que vous propose l'équipe des Grosses Têtes. Du lundi au vendredi, dans un podcast inédit, l'invité du jour se confie au micro de Julien Bonneau avant même son passage dans l'émission ! L'occasion d'en apprendre un peu plus sur elle, sur ses projets et sur ses souvenirs de l'émission "Les Grosses Têtes".


























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