Les Grosses Têtes: IMITATIONS - Marc-Antoine Le Bret face à Mazarine Pingeot

Le salaud de Massin, je sais le nouveau livre de Mazarin,

Pinjo, ben évidemment, évidemment qu'il y a des politiques qui sont invitées en même temps que vous,

Mazarin vous en doutez dans cette émission.

François Hollande, voulez-vous dire quelques mots ?

Oui, bonjour.

Dites, je vous rappelle personne, Madame Pinjo,

un François ancien président de la République, de gauche.

Le dernier, c'est pas vraiment sûr, mais le reste, on dirait un peu François Mitterrand, non ?

Enfin, on dirait surtout que j'ai mangé François Mitterrand.

D'ailleurs moi, si j'avais une fille, en plus, je l'aurais sur moi appelé Marquerine.

Bon, si j'aurais pu être en grosse tête, M. Rukiet.

Oui, ça va bien, M. Hollande, oui.

Bonjour Roselyne, je t'avais pas vu.

Je vais te faire une confidence, je t'aurais bien pris comme ministre.

Mais il y a un truc qui cloche, ben déjà, je suis plus président,

et puis surtout, tu es bien trop à gauche.

Quelqu'un que vous connaissez, peut-être, qui s'appelle Renault,

le chanteur Renault est de retour dans les grosses têtes.

Oui, tatatain, rafraînout, toujours vivant, toujours debout.

Ah, salut Pinjo, moi c'est Renault.

En ce moment, j'aimerais changer, on m'a dit qu'une Pinjo,

ça consomme moins que Renault, donc...

Votre avis client.

Apparemment, il n'y a plus de réclamations en Pinjo,

alors que les Renault ont pas mal de retours.

Non, ton genre de beau !

En plus, ce qui a l'air intéressant, c'est que la Pinjo

a moins de kilomètres au compteur que le Renault.

En tout cas, il y en a un qu'on pas de problème, hein, Ferrari ?

Tatatain.

Merci, M. Renault. Ah, toujours vivant.

Oui, évidemment, puisque vous avez écrit le salon de massage,

il allait de soi que Patrick Bruel allait intervenir.

Salut Nazarine, j'ai lu ton livre, le salon de massage.

J'ai appris de plein de choses sur les salons,

donc ce que tu as même le dit de casser.

Comment vous avez venu l'idée d'ailleurs d'écrire un livre

à partir de quelqu'un qui fréquente un salon de massage clandestinement ?

Vraiment parce que vous-même, vous allez de temps en temps

dans ce genre d'endroits.

Il y a un peu de ça, parce que c'est vraiment un décor assez formidable

pour un roman, et puis c'est arrivé, comme ça,

un peu de fil en aiguille.

J'avais envie de raconter l'histoire de cette jeune femme.

J'avais un petit peu envie d'aborder la question des collectifs féminins

et la question des victimes,

et puis ensuite de parler de plein d'autres choses,

parce que c'est pas uniquement là-dessus non plus.

Thierry Bécaro nous rejoint.

Ah, on est contents de retrouver Thierry Bécaro.

Ah, bonjour tout le monde.

Alors Nazarine, dans le monde,

vous avez signé une tribune revendiquant un mortel en nuit

sur le nouveau féminisme, et je suis d'accord.

Enfin, sur le féminisme, j'y connais rien,

mais sur la partie en nuit mortelle,

ça, j'aurais vendi qu'à fond.

Ah ben, 29 ans de motu, c'est 32 ans de télématin,

l'ennui est mortel, j'y ai consacré tout ma vie à ça.

Nazarine Pinjo, le salon de massage,

c'est le nouveau roman de Nazarine,

qui reste avec nous,

et alors Nazarine, pour la première fois,

vous allez faire quelque chose

que vous ne partiez pas faire un jour dans votre vie.

Vous savez quoi ?

Non, j'ai peur.

Faire la valiserté.

C'est vous qui avez que nous,

allez faire la valiserté.

Ça sera dans un instant, après la pub.

Oui, alors vous avez parlé de 250 000 euros de dégâts

dans le tribunal, au début j'ai eu peur,

je me suis dit merde, il lui enrayait sa montre,

ça va nous, c'est pas vrai.

Il a tout vendu, il n'a plus rien, cet homme n'a plus rien.

Cet homme est aux aboies.

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