Les actus du jour - Hugo Décrypte: Décision historique pour l’océan, protections périodiques gratuites, oiseau rare… Actus du jour
Hugo Travers 3/11/23 - Episode Page - 8m - PDF Transcript
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Nach ca. 15 Jahren Diskussion und Negation, ja ja, 15 Jahre, ist das nichts.
Die Städte der Organisation von den USA haben ein historisches Foto für die Öffentlichkeit
der Haute-Märche bezeichnet.
Was ist das?
Hallo, hier Hugo.
Ich hoffe, dass ihr gut geht.
Hier sind die guten Nouvelle der Woche, ein Format, das wir jeden Wochen machen, und
das kommt also in Kompliment der Aktualität des Tages, das wir, ihr seht, von Monday
oder Friday, dass das auf YouTube ist, oder dann direkt in der Podcast-Version
video.
Alors la Haute-Märche, qu'est-ce que c'est?
En fait, on appelle ça aussi parfois les eaux international, ça représente plus
de 60% de la surface des Océans, et pour faire vraiment très simple, c'est le milieu
des Océans.
En gros, c'est la partie des Océans qui n'appartient à personne.
En effet, faut savoir qu'aujourd'hui les Etats, ils ont un contrôle sur les mers jusqu'à
370 km de leur côte, on appelle ça donc les zones économiques exclusives, mais pas
au-delà et donc au-delà de ça, il y a ce que l'on appelle les Haute-Märches.
Konkretement, aujourd'hui, en Haute-Märche, il n'y a que très peu de règles, sauf que
cette absence de règles, ça pose problème pour l'environnement.
En effet, ces espaces ne sont pas du tout protégés des menaces liés à l'activité
humaine, ça peut être la surpêche ou alors l'exploitation de fond marin, tout cela
peut donc mettre en danger la biodiversité de la mer.
Or, aujourd'hui, les Océans sont l'un des principaux réservoirs de la biodiversité
dans le monde, ils abritent plus de 250.000 espèces animales et végétales connus,
mais aussi beaucoup d'espèces encore inconnus.
Du coup, il y a 15 ans, les différents états membres de l'Organisation des Nations
Unies ont commencé des discussions pour tenter d'établir des règles commune sur la Haute-Märche,
sauf que les discussions se sont très vite retrouvés dans une impasse et elles n'ont pas avancé
donc pendant des années.
Finalement, ce samedi, les discussions donc vous l'avez compris ont abouti et l'Organisation
des Nations Unies a annoncé que le premier traité international de protection de la Haute-Märche
allait voir le jour.
Mais alors, Konkretement, qu'est-ce que ça va permettre?
Et bien au total, il y a 341 nouveaux engagements qui ont été pris par les pays de l'ONU
pour protéger la Haute-Märche et sa biodiversité.
Il y a d'ailleurs plusieurs milliards d'euros d'investissement.
Et Laura Meller, qui est une représentante de l'ONG Environmental Greenpeace,
a saluer, je cite, un jour historique pour la conservation de la biodiversité.
Grâce à cela, certaines activités humaines pourront être limitées voire interdites
dans une partie des océans pour protéger la biodiversité.
Autre avancé qu'on peut noter dans ce traité avant de se lancer dans n'importe quelle
activité en Haute-Märche, désormais, les États auront l'obligation de réaliser des
études pour tenter de déterminer donc l'impact de leur activité potentielle en Haute-Märche
sur l'environnement.
Et alors, une fois qu'on a dit ça, il faut quand même nuancer certaines choses.
Bon déjà, il reste une étape majeure qui est la ratification du traité par tous les
États.
Konkretement, ça veut dire qu'il faut que chaque pays signe ce traité et d'ailleurs
potentiellement qu'ils adopte à l'échelle nationale, donc à l'échelle de leur pays
et bien des lois pour appliquer et faire appliquer ce traité.
Ça pourrait prendre donc du temps et certains États d'ailleurs pourraient décider finalement
de ne pas le faire.
Par ailleurs, autre limite qu'il faut noter, certaines associations et organisations considèrent
que ce traité ne va pas assez loin.
C'est le cas par exemple de Frédéric Le Manac, qui est directeur scientifique de l'organisation
de conservation marine bloom, il a expliqué dans une interview auprès du Média France
Bleu, que ce traité n'était pas un tournant majeur, mais plutôt, je cite, un petit pas.
Alors je vous passe les détails, mais par exemple sur la question des air maritime
protégé dont je vous parlais à l'instant, et bien pour qu'une zone devienne protégé,
il faut que deux tiers des pays acceptent qu'une zone soit définie comme ça, et puis
après ça, il faut qu'un vote soit organisé, et que les trois quarts des Participants
votent pour avant donc que la décision ne soit finalisée, tout cela pour dire donc
qu'il y a quand même certains freins à la mise en place d'un certain nombre d'éléments
et que plus largement, il y a un certain considère que ce traité ne va pas assez loin, qu'il
n'est pas assez contraignant pour les États.
Cela dit, vous l'imaginez, ça reste un pas important et une bonne nouvelle pour
l'environnement.
Mais ça me semble important, dans ce format des bonnes nouvelles, vous le savez, oui
c'est des bonnes nouvelles, mais c'est aussi important de garder des nuances à tout
cela.
Rien n'est binaire et c'est important d'apporter de la nuance.
Da que j'en sois, je laisse la parole à Madeleine, qui est Journaliste au sein
de l'équipe, pour les autres bonnes nouvelles.
Merci Hugo et salut tout le monde! Première bonne nouvelle, en France, les protections
périodiques réutilisables vont être remboursées pour les moins de 25 ans à partir de 2024.
Ça concerne donc par exemple les cups, les culottes menstrual ou encore les serviettes
hygiéniques lavables, mais pas les serviettes jetables et les tampons.
Et du coup pour être remboursé, il faudra les achter directement en pharmacie, mais
il n'y aura pas besoin d'ordonance.
Il faut savoir qu'en France, selon un sondage de l'association Règle élémentaire, près
de 4 millions de personnes seraient concernées par la précarité menstruuelle, donc par
des difficultés d'accès aux protections périodiques pour des raisons économiques.
C'est un chiffre deux fois plus élevée qu'en 2021.
Et donc cette mesure permettra de lutter contre ce phénomène, même si ce remboursement
ne concernera donc que les moins de 25 ans.
Deuxième actue et c'est une bonne nouvelle pour les amateurs de lecture.
En France, les créations de librairie ont atteint un niveau record en 2022.
En tout, selon des chiffres publié par le Centre national du Livre ce lundi, 142 nouvelles
librairies ont ouvert leur porte l'année dernière.
Alors qu'à la fin des années 2010, on était autour de 60 à 80 nouvelles librairies
par an.
Et ce qui est assez intéressant, c'est que cet élan touche de plus en plus les petites
communes de France.
Au total, une nouvelle librairie sur deux ouvert depuis 2017, c'est installé dans une ville
de moins de 15 000 habitants.
En fait pour de nombreux livraires, ouvrir dans ces zones c'est un acte engagé qui est
guidé par l'envis d'offrir aux habitants un service culturel de proximité.
3. Actu, l'Organisation mondiale pour la santé et l'unicef ont lancé une campagne
de vaccination contre le choléra dans les zones les plus touchés par les tremblements
de terre au nord-ouest de la Syrie.
En fait le choléra c'est une maladie infectieuse potentiellement mortelle qui s'attrabe généralement
par la consommation de nourriture ou d'eau contaminé par une bactérie.
Et justement le truc c'est qu'en Syrie, les séismes récents ont entravé l'accès à
l'eau potable, à l'assainissement et à l'hygiène, ce qui expose la population à un plus
grand risque d'attraper le choléra.
Et donc au cours de cette campagne de vaccination, 1,7 millions de doses ont être administré
pour protéger les Syriens âgés de plus d'un nom.
4. Actu, un Madagascar, un oiseau rare compensé disparu depuis 24 ans à refait surface.
Il s'agit du tetracas sombre, une petite espèce de passereau qui vit uniquement sur
l'île de Madagascar et qui était sur la liste des 10 espèces d'oiseaux disparus les plus
recherchés de l'ONG Birdlife International dont la mission est de protéger les oiseaux.
Cette bonne nouvelle elle intervient dans un context où ces dernières années la biodiversité
a beaucoup souffert à Madagascar, notamment à cause de la destruction des forêts pour faire
place à l'agriculture.
En tout, plus de 40 espèces d'oiseaux de l'île sont classés comme menacés d'extinction.
On termine avec une initiative inspirante.
Dans le bar 1, une école a décidé d'intégrer un chien dans une salle de classe pour apaiser
les enfants atteins de troubles autistiques.
En fait depuis 3 mois, dans l'école élémentaire de Utenheim, un bergé australien nommé Pirate
va tous les jours en cours avec les élèves d'une classe spéciale, accueillant les enfants
en situation de handicap.
Et depuis que Pirate est présent, les enseignants ont observé énormément d'effets bénéfiques
pour les élèves.
La présence du chien permet de les apaiser et les fait aussi progresser d'un point de vue
scolaire.
Par exemple, en lisant des histoires à voix haute, à Pirate, les élèves s'améliorent
en lecture.
Et quand ils jouent à la ball avec lui, certains développent leur motricité.
Et donc un projet d'innovation pédagogique a été déposé pour consolider le dispositif
et le promouvoir dans d'autres établissements.
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Chaque samedi, un résumé d’actu avec uniquement des bonnes nouvelles ! 😀
🔗 DES LIENS POUR EN SAVOIR PLUS
TRAITÉ SUR LA HAUTE MER : Les Echos, L’Obs, France Bleu
PROTECTIONS PÉRIODIQUES REMBOURSÉES : Le Monde, France Info
LIBRAIRIES : Les Echos, 24 matins
TÉTRAKA SOMBRE : Ouest France, 20 Minutes
VACCINATION CHOLÉRA SYRIE : Unicef, L’Orient le Jour
CHIEN À L’ÉCOLE : France Info, France 3
Écriture : Blanche Vathonne - Paul Bonnaud - Hugo Travers - Madeleine de Blic
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