Les Grosses Têtes: DÉBRIEF - Jérémy Ferrari revient sur son début de saison aux Grosses Têtes

RTL RTL 9/19/23 - Episode Page - 7m - PDF Transcript

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Bonjour, c'est Laurent Rue,

qui est l'émission des grosses têtes.

Viens de se terminer sur RTL,

mais en exclusivité pour vous, chers auditeurs,

je vous propose d'écouter le débrief animé

par une des grosses têtes du jour

au micro de Rachelle Asria.

C'est parti.

Bonjour, Jérémy Ferrand.

Mais bonjour, mais bonjour.

C'est notre premier débrief de rentrée en s'emble.

Votre tour a été bon.

Écoutez, c'est toujours, on suit toi, nous, hein?

Oui, on peut.

Écoute, on peut pas, on peut pas se juger soi-même.

En tout cas, je fais tout ce que je peux

pour essayer de faire un bon démarrage,

un bon démarrage de saison.

En tout cas, je crois que les émissions dans lesquelles j'étais

étaient bonnes.

En tout cas, moi, j'ai passé un bon moment à l'affaire.

Je me juge pas moi-même.

En tout cas, on s'est beaucoup marré

sur les émissions dans lesquelles j'étais.

A est-ce que t'as pris des résolutions pour cette rentrée?

On laisse les résolutions à 2024.

A moi, je prends jamais trop de résolutions.

J'essaie déjà de faire l'année dernière.

En tout cas, pour les grosses têtes,

je me suis lâché un peu plus,

et j'étais un peu plus présent, et j'étais là.

Et donc, je vais essayer de faire la même chose pour cette saison.

Plus Laurent me fait beaucoup plus venir, donc c'est chouette.

Parce que je reprends la tournée quand décembre.

Donc là, j'ai un peu plus le temps de venir.

Donc je suis bien présent en ce moment.

Donc j'essaie de donner le maximum.

On a modifié la fin d'émission

avec un invité qui n'est plus mystère

et l'arrivée de Marc-Antoine Lebré.

Vous préférez cette version

où vous aimiez jouer à l'invité mystère?

Ah, mais moi, je suis très joueur.

J'aime bien cette nouvelle version

parce que ça change un peu

et Laurent a raison de tenter un peu de nouveaux formats.

C'est aussi son job.

C'est d'essayer de changer un petit peu,

de casser un peu le rythme, etc.

Après, moi, j'aimais bien

parce que c'est une occasion pour moi de faire des vannes.

Mais la nouvelle formule est peut-être un peu plus fluide

parce que c'est vrai quand même que Laurent n'a pas tort là-dessus.

C'est qu'on commence à avoir fait le tour des questions.

Ça commence à devenir beaucoup des mêmes questions.

Hage, homme, femme, un un.

Donc c'est pas mal d'avoir changé un peu la formule.

On a des invités, du coup, qui participent un peu plus à l'émission.

Très égoïstemment, moi,

en tant que sniper dans l'émission,

je trouvais ça cool parce que ça permet de faire des vannes.

Mais pour le bien de l'émission,

je pense que c'est plus fluide maintenant.

Si tu devais choisir une nouvelle grosse tête,

ça peut être, en tout genre, un acteur, une actrice,

un chanteur, une chanteuse.

Nouvelle, c'est pas vraiment des nouvelles,

mais c'est vrai que mes copains,

c'est vrai que Baptiste Le Cap-Plein,

Renaud Samer, et tout machin,

ça me ferait plaisir de faire des émissions avec eux.

Mais pas ça, c'est mes copains, c'est très égoïste.

Jérémy, avant de parler de la scène,

on veut tous en savoir un petit peu plus

sur comment était le petit Jérémy Ferrari ?

J'étais assez timide, assez dans mon coin,

pas rejeté par les autres.

C'est vraiment moi qui me mettais un peu à part,

et j'étais très en colère et très révolté.

C'est-à-dire qu'en gros, j'étais assez calme.

A l'école, évidemment, je ne participais absolument pas.

J'ai complètement rejeté l'école de la première à la dernière minute.

D'ailleurs, j'ai arrêté l'école à 16 ans,

ça s'entend, grosse tête.

Donc je détestais l'école, j'étais vraiment dans mon coin.

En revanche, j'excellais quand il s'agissait de me défendre.

Donc dès que j'avais un professeur qui s'amusait à venir me taquiner

et me rappelait que j'étais un con.

Généralement, il prenait très, très, très cher.

Alors, je me suis fait renvoyer, quand même,

dans l'establishment scolaire pour révolte.

C'est l'excuse.

Donc en gros, j'étais le gars calme,

qu'il fallait pas venir trop titiller,

sinon, ça se transformait en grosse tornade.

Et aujourd'hui, c'est pareil ?

Aujourd'hui, je suis quand même un peu pareil.

C'est-à-dire que je suis quand même quelqu'un d'assez...

Je suis un faux calme.

Et tu rêvais de quoi quand t'étais petit ?

Je voulais être humoriste.

C'est ça, c'est que je voulais faire ce métier.

J'ai découvert les cassettes à l'époque,

les VHS, de Palma, d'aide Robin à la télé.

J'ai voulu faire ça immédiatement.

Ensuite, j'ai découvert des proches,

plus tard Coluche, mais beaucoup plus tard.

Et j'ai tout de suite voulu faire ce métier.

Et pourquoi ce nom de scène ?

C'était une obligation pour toi de changer ?

Non, c'est pas ce nom de ma maman.

En fait, le nom de mon père, c'est l'Arzillière.

Et le nom de ma maman, c'est Ferrari.

Et c'est vrai que l'Arzillière,

c'était un peu long à écrire,

un peu compliqué à prononcer, etc.

On me demandait, je suis assez tippé.

Donc on me demandait aussi souvent

quel était mes origines.

C'est devenu assez évident de...

On a commencé à en parler une fois à table

avec mes parents, je dis tiens,

fait Jeremy Ferrari, ça sonne quand même mieux.

Et mon père m'a dit, mais bien sûr,

prends le nom de ta mère, c'est beaucoup plus joli,

c'est beaucoup plus fluide,

ça sera un très, très beau nom de scène.

Jeremy, vous parliez de la scène

il y a quelques instants.

Vous allez remplir l'accord

Arenat Bersi en mars 2024.

Vous êtes comment, à six mois ?

Écoutez, je suis très content,

parce qu'on fait deux dates à Bersi,

le samedi est complet

et le dimanche va être complet dans quelques jours.

Donc c'est hyper chouette de se dire,

parce que c'est quand même un gros challenge

de faire autant de monde en deux jours,

parce que c'est pas la même chose

par exemple que de faire une résidence à Paris,

par exemple, dans un théâtre de 500, 600 places.

Combien de places on le rappelle, à Bersi ?

Alors, là, nous, on l'a ouvert en 10 000,

donc ça fera deux fois 10 000.

Donc ça fait 20 000 personnes en deux jours,

donc c'est...

Et c'est vrai qu'on les a ouverts,

donc c'est qu'on y croyait évidemment,

mais c'est vrai que je pensais pas être complet

autant en avance, quoi.

On s'est dit qu'on finirait devant les places

certainement à Noël,

et puis finalement, ça va être complet

bien, bien, bien avant Noël.

Donc ça sera une belle manière de finir ce spectacle,

qui aura été un des spectacles les plus importants

de ma vie, parce que très personnel,

parce que plein de choses,

parce qu'on a vécu le Covid avec ce spectacle,

l'avant, l'après, enfin...

Voilà, donc c'est un spectacle pour moi

qui est très important,

et donc finir sur deux Bersi,

complet, c'est incroyable, quoi.

Et là, tu tournes encore avec ce spectacle,

il y a encore quelques petites dates.

Oui, oui, alors là, on reprend

à partir du 30 novembre,

parce que je me suis blessé au genou,

donc j'ai dû me faire opérer,

donc là, ça va mieux,

mais bon, pour être...

moi, mon spectacle, il dure 3 heures,

je saute partout sur scène,

donc il faut vraiment être en forme quand je reprends.

Je voulais pas leur faire un spectacle

en boîtillant,

à moitié assis,

en ayant mal au genou,

enfin voilà,

on verra quand j'aurai 80 ans,

mais pour l'instant, je suis en forme,

alors je veux le rester.

Donc du coup, on reprend

à partir du 30 novembre à Colmar,

si ma mémoire est bonne.

Ensuite, il reste 25-30 dates de tournée,

ce sont vraiment les dernières,

et Mars, on fait Bersi,

et c'est fini avec ce spectacle.

Jérémy, je vais vous dire merde

pour ce qui arrive.

Je prends.

Et on verra les nouveautés de 2024 ensemble.

Avec grand plaisir.

Merci Jérémy Farid.

Merci Rachel.

Merci d'avoir écouté le débrief des grosses têtes,

soyez au rendez-vous demain

pour une nouvelle émission à 15h30 sur RTL,

ou encore en replay sur l'application,

et bien sûr, toutes nos plateformes partenaires.

Et restez pour votre chronique.

Oui, alors vous avez parlé de 250 000 euros de dégâts

dans le tribunal,

au début j'ai eu peur,

je me suis dit merde,

il lui ont rayé sa montre,

ça va nous, c'est pas vrai.

Il a tout vendu,

il n'a plus rien,

cet homme n'a plus rien,

cet homme est aux aboies.

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À la fin de chaque émission, retrouvez en exclusivité sur les plateformes de podcast le débrief des 2h30 d'antenne qui viennent de s'écouler, en compagnie d'une des Grosses Têtes du jour... Ce 19 septembre, Jérémy Ferrari revient sur son début de saison dans l'émission, son enfance et ses nombreux projets.





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