Les Grosses Têtes: DÉBRIEF - Jean-Marie Bigard revient sur l'émission du jour

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Bonjour, c'est Laurent Rue, qui est l'émission des grosses têtes, vient de se terminer

sur RTL.

Mais en exclusivité pour vous, chers auditeurs, je vous propose d'écouter le débrief animé

par une des grosses têtes du jour, au micro de Rachelle Asria.

C'est parti.

Bonjour Jean-Marie Bigard.

Bonjour.

Comment s'est passée cette émission?

Génial, comme d'habitude.

Vous étiez entre Marcela Yacoub et Jean-François Jancen.

Les oreilles vont bien?

Non, tout va bien.

Marcela, je l'adore tellement.

Elle est tellement intelligente.

J'adore son accent argentin.

J'adore l'accent argentin de toute façon.

Dans la bouche de Marcela, c'est tout le temps truculant, drôle, très agréable d'être

à côté d'elle et à côté de mon Jean-François.

Elle vous apprend des choses, Marcela, dans l'émission?

Elle est un peu là pour la culture, comme vous le dites.

Ah ben oui, bien sûr.

Elle a parfois de bonnes réponses.

Moi, je n'en ai aucune, par exemple.

Vous êtes là pour l'humour.

Moi, je suis là pour faire le con et rire de mon impuissance à répondre à aucune question,

évidemment, concernent où la culture générale, où la littérature, où l'histoire.

Vous lisez quand même un petit peu la presse le matin avant l'émission?

Je parcours le journal sur mon téléphone.

Mon enfant vient assez tôt, donc toi, déjà, je me le réveille pour les enfants, l'école.

Tout s'enchaîne.

Il me reste 5 minutes pour jeter un coup d'œil sur mon horoscope dans le journal.

Qu'est-ce qui vous plaît le plus en participant?

Grosse tête, c'est ce côté un petit peu court de récré?

C'est surtout qu'au comment on a un chef d'orchestre magnifique, somptueux.

Laurent est un coach incroyable.

C'est l'entraîneur idéal, c'est le milieu de terrain, c'est celui qui délivre les bonnes plats,

les bonnes passes pour que nous, on marque des buts, toi.

C'est exactement l'inverse.

Laurent, il est l'inverse d'un présentateur vedette, c'est-à-dire au sens où c'est lui, la vedette,

et puis tout le monde est derrière.

Lui, il vient nous servir.

Les ballons, il nous met en valeur.

C'est une énorme différence, c'est-à-dire il est au service de toute l'équipe.

Nous lui rendons bien et on a beaucoup de respect et d'amour pour lui,

pour ça, il savonne le toboggan et après, ça glisse tout seul.

C'est une expression à moi.

Vous trouvez qu'il s'en sort bien avec les petits nouveaux aussi, on a beaucoup de nouveaux de temps en temps.

On essaye d'en avoir de plus en plus cette saison.

Il s'en sort bien avec As, par exemple, qui est un petit peu le dernier arrivé dans la boue.

Oui, oui, très bien.

As, il est formidable, tout énormément d'humour, heureusement.

Mais, encore une fois, il est accueillé par le patron, Laurent Ruchet, un bras ouvert.

Et ça change tout, tout simplement.

Il nous met à la fois en sécurité, il nous fait marquer des buts, tu vois.

Donc, c'est un merveilleux capitaine que je compare au milieu de terrain, au football,

ou à Antoine Dupont, au rugby.

Jean-Marie, vous allez remonter sur scène, vous remontez sur scène ?

Oui.

C'est déjà fait avec mon prochain spectacle, dont Laurent Ruchet a trouvé le titre,

qui est mon nouveau spectacle, qui s'appelle J'arrête les conneries.

Mais, je lui ai dit, je te remercie pour le titre et il m'a dit de rien, il serait temps.

Vous les arrêtez vraiment, ces conneries ?

Oui, d'un certain côté, oui.

Mais, je garde évidemment ma truculence de pétomane préférée des Français, je hurle.

Mais, sur des trucs qui ne sont pas dangereux ni très sérieux,

encore que, je hurle sur les pattes al dente, je refuse d'être obligé.

Dans un italien, quand on dit quelles cuissons les pattes,

tu es obligé de dire al dente.

Moi, je déteste ça.

Je ne veux pas scisailler avec mes dents, l'intérieur du spaghetti qui est cru.

Donc, je fais une colère monstrueuse avec ça.

Ça fait rire tout le monde.

Je dis al dente enculée.

Et je demande aux gens, à chaque fois que je dis al dente dans le spectacle,

ils doivent répondre enculée.

Donc, ça donne des moments extraordinaires.

Et je suis très content et très fier de voir ce qu'il n'est encore qu'un bébé.

Je suis à la dixième représentation, mais c'est il est...

Je suis déjà sur le touroute.

C'est le public qui valide chaque événement.

Je ressers, je ressers.

Et le spectacle reprend la même distance.

J'ai joué neuf ou dix fois, j'ai dû virer chaque fois un quart d'heure.

Et le spectacle est toujours une heure cinquante.

C'est comme si ça se reproduisait.

C'est-à-dire, je coupe une branche et il y a une autre branche qui repousse,

qui fait exactement la même taille.

C'est comme ça que je travaille tous mes spectacles.

C'est mon quatorzième spectacle, un 35 ans de carrière,

complètement différent les uns des autres.

Et celui-là, il promet d'avoir un avenir extraordinaire.

Vous allez jouer, je le rappelle, quand même, en Belgique, en Suisse.

Ah oui, j'ai joué, donc en Suisse, la semaine prochaine,

le 13, je suis à Genève, et le 14, je suis à Lausanne.

Et ensuite, je serai le 26, oui, à Liège,

et je serai le 28 à Louvain-la-Neuve, en Belgique.

Et vous allez jouer aussi, c'est ce que j'ai vu sur Internet

en faisant des petites recherches dans un film de Samina Série, c'est ça ?

Ah oui, il y a un film qui est en cours.

Il y a un film qui est en cours.

Bon, je pense que le tournage a été un petit peu retardé,

donc il y avait encore un peu d'écriture à faire,

donc j'attends qu'on me tienne au courant.

Et vous aurez un rôle, vous avez dit oui, pour jouer dans ce film.

Le cinéma, vous manquez ?

Un petit peu, parce que moi, j'adore, je pense que, tu vois,

je ne suis peut-être pas le comédien du siècle,

mais dans une comédie, je peux m'arriver à faire des choses, je pense, très bien.

Vous travaillez beaucoup en ce moment, Jean-Marie.

La scène, on le disait le cinéma bientôt,

et aussi un nouveau livre, un livre,

les 50 dernières phrases juste avant de mourir.

Voilà, très important d'insister sur le juste.

C'est les 50 dernières phrases juste avant de mourir.

Tu rigoles à chaque page,

tu as 50 pages de rigolade, c'est à lire dans le train, dans les toilettes,

si vous voulez, mais il est imparable.

Et je suis très content, parce que ça part comme des petits pains.

Je suis quasiment sûr que je vais rapidement passer les 100 000 ventes,

et après, si Dieu le veut, 200 000, 300 000...

On croise les doigts, on croise les doigts.

Jean-Marie, est-ce que vous êtes d'accord pour qu'on l'offre

à un de nos auditeurs qui nous écoute,

qui enverra un mail à lesgrostetsarobasertl.fr,

le premier qui envoie son mail, je lui envoie le livre.

Absolument.

OK, vous pouvez le dédicacer,

vous ne mettez pas de prénom, parce qu'on ne sait pas qui gagnera.

D'accord, je vais le dédicacer.

On le dédicace, on le met de côté,

et on l'enverra à un de nos auditeurs.

Ouais, je mettrai grosse bise.

Voilà, mais merci Jean-Marie Bigard.

De rien, de rien.

Merci d'avoir écouté le débrief des Grostets,

soyez au rendez-vous demain pour une nouvelle émission à 15h30

sur RTL,

ou encore en replay sur l'application,

et bien sûr, toutes nos plateformes partenaires.

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