Les Grosses Têtes: DÉBRIEF - François Berléand revient sur l'émission du jour

Bonjour, c'est Laurent Rue qui est l'émission des grosses têtes,

vient de se terminer sur RTL, mais en exclusivité pour vous chers auditeurs,

je vous propose d'écouter le débrief animé par une des grosses têtes du jour

au micro de Rachelle Asria. C'est parti !

Bonjour François Berléan, on se retrouve pour un débrief de rentrée ensemble,

comment s'est passée l'émission ?

Oh ben bien, toujours aussi drôle, moi je me marre tout le temps, c'est très agréable.

Puis j'ai la sortie d'un film aujourd'hui, donc Laurent l'a vu hier, c'est super sympa,

il en a parlé, il en a bien parlé, donc voilà.

On va en parler nous aussi, vous n'avez pas subi Sébastien Antoine à vos côtés aujourd'hui,

mais Valérie Mairesse.

Oui, mais Valérie, on a commencé ensemble, on a été chez Balache Chauva,

qui était notre professeur de théâtre, donc je l'ai connu, main c'est belle.

Elle va être contente, c'est elle écoute. Votre oreille gauche va mieux.

Donc du coup, mon oreille droite c'était Toéne,

et l'oreille gauche ça va, avec Valérie elle est normale.

Il vous a manqué quand même un petit peu ?

Non, du tout. Non, non, non, il ne manque pas, quand il est pareil, il ne manque pas, au contraire.

François, on va parler cinéma, comme je vous le disais, vous êtes à la fiche de Last Dance,

aujourd'hui dans les salles de cinéma, vous nous racontez un petit peu le pitch.

Oui, le pitch, et ce n'est pas très drôle au départ,

parce que c'est un homme qui a doulé en de perdre sa femme, qui l'adorait.

Elle a commencé à intégrer une compagnie de danse professionnelle, semi-professionnelle,

parce que c'est une compagnie de danse qui travaille avec des amateurs,

et puis elle meurt à la suite d'une répétition,

et on s'est promis de prendre la suite de ce que l'autre aurait commencé.

Donc c'est moi qui m'y colle, et donc je dois me intégrer cette compagnie.

Et ce que je vais faire, et avec...

Voilà, beaucoup de difficultés, parce que ce n'est pas facile, à mon âge,

de commencer à entrepreneur une carrière de danseur.

Donc il y a des effets, évidemment, comiques très drôles,

et puis c'est assez émouvant, donc voilà, c'est entre les larmes, les rires,

et c'est un très, très joli film.

Pour moi, c'est le plus joli film que je fais.

C'est joli, vous avez tout de suite dit oui à ce rôle-là, ou vous avez eu peur ?

À la seconde, à la seconde, moi j'avais fait un peu de danse quand j'étais gamin,

il s'est passé beaucoup de temps, de multiples fractures qui font que...

Il y a un petit peu d'arthrose, donc c'est délicat de mettre en mouvement ce corps

qui vient de plus en plus dur à porter.

Vous avez pris quand même des cours, j'imagine ?

On a travaillé pendant une semaine, en répétition, très intense.

François, vous choisissez comment vos rôles au cinéma, aujourd'hui, par envie ?

Oui, oui, mais là, c'était un scenario qui m'a beaucoup plu,

parce que c'est un rôle que j'ai pas joué, on ne joue jamais les mêmes rôles,

mais pour le coup, c'est vraiment un film tendre,

et un personnage qui est tendre, un peu bougon, mais tendre,

et c'est rare dans ma filmographie.

Mais surtout, c'est que j'ai pleuré en lisant le scénario,

et je me suis dit, bon, si je pleure en lisant le scénario,

peut-être que si le film est réussi, on aura ça,

et puis on a ça, donc c'est un vrai bonheur.

Vous avez un rôle en particulier aujourd'hui que vous aimeriez faire ?

C'est bien, le problème, c'est que, comme ce n'est pas écrit, je ne peux pas savoir.

J'ai une passion pour Michel Cerro, donc moi, j'aimerais jouer un rôle

qui ressemble rien à ce qu'on a pu proposer à Michel Cerro.

C'est vrai que s'il y avait un remake de Guarda Vue, j'adorerais jouer le rôle de Cerro.

Du cinéma, du théâtre aussi, ça fait un emploi du temps assez chargé pour cette rentrée.

Vous préparez une pièce avec Sophie Marceau.

Tout est prêt, vous êtes à fond ?

On est prêt parce qu'on a même fait la couture hier, qui a très bien marché.

Là, on va répéter ce soir, et demain, c'est la première.

Vous êtes stressé ?

Un peu, mais tout va bien, parce que l'accueil a été formidable hier,

donc on a confiance.

Et elle, elle est comment ?

Elle n'est pas stressée du tout, elle dort bien.

Non, puis surtout, elle a tellement bien travaillé,

que quand on a travaillé, on est stressé,

mais dès que le rideau se lève, on ne l'est plus.

Il y a un miracle qui fait que le public fait que l'adrenaline arrive,

et puis soit il y a le mauvais traque, soit il y a le bon traque.

Nous, on a le chance d'avoir le bon traque.

Vous nous rappelez le théâtre ?

Les bouffarisiens, ils s'appellent la note.

On viendra vous voir au cinéma dès aujourd'hui,

et puis dès demain, jeudi 21 septembre, au théâtre avec Sophie Marceau.

Absolument, j'espère.

En tout cas, bon film et bonne pièce.

Merci, François Berléon.

Merci d'avoir écouté le débrif des grosses têtes.

Soyez au rendez-vous demain pour une nouvelle émission à 15h30 sur RTL,

ou encore en replay sur l'application et bien sûr, toutes nos plateformes partenaires.

Éric Dupont a été resté pour votre crédit.

Oui, alors vous avez parlé de 250 000 euros de dégâts dans le tribunal.

Au début, j'ai eu peur, je me suis dit merde, il lui a enrayé sa montre,

ça va nous, c'est pas vrai, il a tout vendu, il n'a plus rien,

cet homme n'a plus rien, cet homme est aux aboies.

Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.