Les Grosses Têtes: DÉBRIEF - Francesca Antoniotti revient sur sa 1ère aux Grosses Têtes

Bonjour, c'est Laurent Rue qui est l'émission des grosses têtes,

vient de se terminer sur RTL, mais en exclusivité pour vous, chers auditeurs,

je vous propose d'écouter le débrief animé par une des grosses têtes du jour

au micro de Rachelle Asria. C'est parti !

Bonjour Franck Tchaïska-Antonietti.

Bonjour.

Alors c'est votre première émission.

Oui.

Et pour les auditeurs qui vous connaissent peu,

est-ce que vous pouvez vous présenter en quelques mots ?

Alors, je suis plein de choses à la fois.

C'est-à-dire qu'en fait, j'ai fait de la chanson Star Academy.

Il y a très longtemps, je suis aussi polémiste, chroniqueuse et journaliste sur le football.

Voilà, c'est ma première passion.

Et puis je suis apparaît aussi dans Touch par mon poste,

sur C8, dans plein d'émissions.

Voilà, et puis sinon, je suis Corse et j'habite à Réjaccio.

On l'a entendu dans l'émission.

Vous étiez comment ce matin avant d'arriver à la radio ?

Un peu stressé parce qu'il m'arrivait 10 millions de trucs.

J'avais pas d'eau chaude.

Enfin, j'ai eu que des galères aujourd'hui.

J'étais au bout de ma vie.

Je me suis réveillée, pas d'eau chaude.

Ma mère est arrivée avec une casserole d'eau bouillante et m'a dit,

tu sais, le jour de mon mariage, je me suis lavé avec une bouteille d'eau.

J'ai dit, OK, voilà.

Donc ça a donné un petit peu le temps.

J'ai vraiment eu toutes les galères après pas de taxi.

Enfin, voilà, je suis arrivée à la rache, très stressée.

Mais bon, non, finalement, ça a dit.

Vous avez révisé, vous vous êtes préparé à cette première ?

Ouais, je me suis dit qu'il fallait que je rattrape 30 ans de culture

en rendu une soirée hier.

J'ai appris des noms.

Je me suis dit, peut-être que je les sortirais.

Vous avez noté ?

Ouais, mais j'ai pas sorti ma feuille parce que j'avais honte.

J'avais peur qu'il y avait un autre témoin.

Donc du coup, je me suis tué et j'ai essayé de trouver des noms.

Ça a donné un petit peu moins.

Mais je me suis dit, je vais pas tricher.

Vous aviez l'habitude d'écouter l'émission,

je pense, pour prendre aussi des marques, vos marques.

Oui, j'adore l'émission.

Je savais que souvent, la réponse, c'est que j'ai un gain.

Mais je l'ai pas tenté aujourd'hui.

Non, non, oui, oui, j'adore l'émission.

Ça me fait toujours marrer.

J'aime bien quand je suis même à l'aéroport,

je suis souvent dans les avions et tout.

Je mets ça dans mes oreilles, ça me fait rire.

Et voilà, j'aime bien le ton de l'émission.

Vous connaissiez certaines grosses têtes qui ont fait partie de votre équipe ?

Ouais, je connaissais.

Enfin, j'avais vu à peu près tout le monde.

Ça, bah, Tohaine, j'avais fait touche pas mon sport avec lui.

Avec Estelle Denis, il était invité.

Yann Moix, on s'est croisé à ses huit, quelques fois.

Je l'avais reçu dans une émission avec Marie Fuguin il y a 12 ans.

Et échant à la dessous, pareil, je l'ai croisé assez vite.

Mais je sais pas si elle se rappelait moi et Laurent,

j'ai fait quelques émissions avec lui, je l'ai déjà vu.

Ça vous a rassuré d'être quand même avec des personnes que vous connaissiez un petit peu ?

Non, pas du tout.

Pas du tout, c'était pire.

Est-ce que vous avez demandé des conseils à vos copains des médias

quand vous avez su que, bah, mardi, 26 septembre,

vous étiez dans l'équipe des grosses têtes ?

Non, je l'ai dit à personne.

Je suis une très superstitieuse et j'avais peur que ça me porte la poisse.

Et vu tout ce qui s'est passé ce matin, je me dis que j'arriverai jamais.

Donc je pense que j'ai bien fait de rien dire.

Donc non, non, je pense que les gens vont le découvrir et c'est très bien comme ça.

Et à vos proches, vous allez leur dire quoi, d'écouter en replay,

peut-être qu'ils n'ont pas écouté en direct ?

Ouais, ouais, ouais, mes proches, ils vont écouter, ils vont écouter en replay.

Oui, puis après, ceux qui verront, j'aime bien, ce sera la surprise.

Faire les grosses têtes, être une grosse tête,

plutôt, vous pensez que ça change une ligne sur un CV,

ça change un petit peu.

Franchement, ça claque, ouais, ça claque.

Moi, je mettais plusieurs objectifs dans ma vie.

Je mettais dit Starak, on refait le match, touche pas mon poste.

Et puis, bien entendu, les grosses têtes.

Et je trouve que c'est bien.

Je me dis après 40 ans, si il entend ça, Laurent, il va me tuer.

Et je me dis après 40 ans, je vais me fixer les grosses têtes.

Et voilà, j'ai hâte d'avoir 40 ans un petit peu plus.

Et voilà, les grosses têtes, puis ça tombe.

C'est quoi l'étape après les grosses têtes ?

La mort, la retraite.

Non, non, non, les vacances de dos.

Vous avez une grande communauté sur Instagram.

Vous avez, on vous a rien dit.

Évidemment, vous avez mis une petite story, quand même.

J'ai mis une histoire, mais je n'ai rien mis ici.

Donc je vais faire un réel sur ma journée.

Vous pensez qu'on n'a rien reconnu derrière vous ?

Non, parce que j'ai absolument pas mis de logo.

Donc juste les toilettes.

Je pense qu'il y a peu de gens qui vont aux toilettes RTL.

Le public, il n'y a quand même 100 personnes.

Mais non, mais j'ai pas mis le public.

Non, mais il y a 100 personnes avec nous.

Donc si ils regardent cette histoire, ils peuvent peut-être vous envoyer des petites.

Ah oui, d'accord, ouais, non, mais ouais.

Mais bon, il faut être assez malin.

Je pense pas qu'il y ait quelqu'un du public.

Je sais pas.

La question importante, évidemment,

est-ce que vous avez appris des choses dans les grosses têtes ?

Beaucoup de non.

Mais je ne sais pas si je vais m'en rappeler.

C'est le problème, je vois la suivante.

Après, non, j'ai eu la chance de discuter un peu avec Laurent Ruequiat après l'émission.

Et c'est sûr que c'est toujours extraordinaire d'avoir des conseils de gens comme ça,

qui ont des expériences de folie, qui ont autant de bagages.

Ça t'apprend toujours et voilà, tu continues toujours d'apprendre.

C'est vrai qu'en étant là avec des personnalités aussi fortes,

ça imposait et mettre un petit peu sa patte et avoir son perso,

c'est toujours le plus compliqué, même si je pense que je suis un personnage spécial.

Mais après, je pense que ça met du temps de s'imposer.

Évidemment, la dernière question, si c'était à refaire,

vous refairez tout pareil ou vous changeriez, je sais pas.

Mon t-shirt ? Non, ma chemise parce qu'il se passe pierre dans l'assaut.

Mais écoutez, il y a quelqu'un qui m'a dit ça dans la rue,

je t'ai trop contente, je t'ai dit bonjour.

Non, elle est très belle, je t'ai vu une pannef que j'avais pas taxi.

Une meuf elle vient me voir et me dit t'as chemise, elle est trop belle, je lui dis.

Ça vous a rassuré ?

Non, mais j'ai un peu arrêté de pleurer, j'ai un peu kiffé,

puis après, je me suis remise à pleurer.

Si c'était à refaire, vous refairez la même émission que aujourd'hui,

vous changerez rien ?

Ouais, non, parce que j'ai fait non mieux, je regrette pas.

Enfin, après, je vais pas inventer des trucs que je sais pas,

puis pas changer ma personnalité, donc non, non.

Et vous reviendriez, évidemment ?

Bah oui, non, je reviendrai jamais, j'espère, j'espère.

On verra, on verra, c'est Laurent qui décide.

On croise les doigts et on ferait écouter ce débrief à Laurent.

Merci Francesca d'avoir été avec nous.

Merci beaucoup.

C'est très gentil.

Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.