Les Grosses Têtes: DÉBRIEF - Ariel Wizman conseille Yoann Riou pour trouver l'amour

Bonjour, c'est Laurent Rue qui est l'émission des grosses têtes,

vient de se terminer sur RTL, mais en exclusivité pour vous chers auditeurs,

je vous propose d'écouter le débrief animé par une des grosses têtes du jour

au micro de Rachelle Asria. C'est parti !

Bonjour, Ariel Wiesman.

Bonjour, Rachelle.

On se retrouve après cette longue période d'été.

Oui, la plus longue possible pour moi, c'est toujours bien.

Comment ça s'est passé ?

Mais magnifique, j'étais dans un pays absolument charmant

que personne ne connaissait et qui maintenant apparemment fait le buzz,

qui s'appelle l'Albanie.

L'émission vous a quand même un petit peu manqué, j'espère.

Ah, l'émission a énormément manqué.

Enfin, chaque fois que je disais bonjour, je me demandais pourquoi il n'y avait pas Laurent Rue.

C'est vraiment...

Et Johan Rieu, bien sûr.

Johan Rieu qui s'est incrusté dans le débrief, il est à ma droite.

On va en parler dans un instant parce qu'il s'est passé une petite séquence un peu drôle, loufoque.

Oui, on a dansé, on a dansé.

J'ai joué le rôle de la fille de Christine Bravo que j'ai vu après en photo

et je comprends pourquoi tu l'as dragouillée parce que quand même,

il y a du potentiel à l'évidence.

Johan, vous pensez vraiment que vous allez pouvoir trouver l'amour cette année ?

Est-ce qu'on mise sur l'année 2023 ?

Non, je n'y pense pas du tout, je n'y crois pas.

Mais c'était vraiment une merci à Ariel parce que quand je me suis lancée, je me suis dit, tiens.

En fait, Ariel avait le personnage de la fille de Christine, Clara.

J'y vais ou je n'y vais pas et je me suis lancée et j'ai sauté sur Ariel.

Ariel a été extraordinaire, il a joué le jeu et on a dansé.

Et vraiment, c'est beau d'avoir quelqu'un de généreux qui accepte les petits dédiats comme ça et de danser.

On a dansé quand même une trente bonnes secondes et je suis rapproché d'Ariel.

Oui, tu as remarqué que j'étais un peu golé comme la fille de Christine Bravo.

Il accepte et je lui ai mis les mains sur les fesses, c'est tout, Ariel.

Non, on n'a plus.

C'est les mains et c'est génial de faire ça.

Ariel, est-ce que vous avez peut-être un petit conseil drague pour Johan ?

Pour Johan, écoute, tu sais, Johan, tu as un problème d'impatience.

Alors, évidemment, je ne dis pas ce que ça peut donner dans l'intimité, ça peut être désastreux.

Mais aussi dans l'approche, il faut de l'empathie, il faut écouter.

Il faut écouter, tu ne peux pas commenter tout le temps, tu vois.

Et donc, il faut écouter, il faut être disponible.

Les femmes aiment parler, il faut le savoir.

Et toi, tu es là, tu reçois tout simplement.

Et à un moment, le fauve qui est en toi sort et là, tu fonds pour la bête, c'est ça ?

Regarde, Johan, vous avez trouvé un love, Coach.

Oh mais il est génial, Ariel. Vraiment, il est génial, Ariel.

Et en plus...

Alors, moi, je dirais qu'il te faudrait plutôt une femme un peu dans ton genre, assez explosive,

mais qui a un fonds romantique et qui se dit, ce garçon-là, quand même, il a une fragilité.

C'est vrai, mais c'est simple.

Alors, une chanson, imagine, ma première nuit avec ma dulcinée,

quelle chanson tu me conseilles, Ariel ?

Take my breath away.

Ça s'appelle...

Ça s'est romantique.

C'est quel chanteur ? C'est quel chanteur ?

J'ai oublié, mais c'est un truc des années 80.

On va préparer la playlist.

Ah, c'est génial.

Voilà.

On va revenir à...

Ariel, c'est cool.

En plus, c'est très, très bien pour toi parce que c'est court comme chanson.

Moi, c'est l'inverse.

J'ai dit, il est génial.

C'est un petit podcast-là.

Il est génial ?

C'est un podcast à trois.

C'est un podcast...

Oui, voilà.

Voilà.

C'est une nouvelle version.

J'ai voulu tenter.

Je sais pas ce que ça va donner.

Je vais juste poser une dernière question à Ariel.

Ariel, Yohan.

Calmez-vous.

Vous avez rencontré Ariel, notre petit nouveau Alex Vizorek.

Vous en pensez quoi ?

D'abord, je l'ai trouvé propre.

C'est très, très important.

Il a une hygiène et j'imagine même une hygiène intime, impeccable.

C'est un garçon qui forcément utilise le dentifrice, le gant de toilette, le savon.

Et il a un humour qui est très pince sans rire, mais fracasant.

Il est beau garçon.

Il est beau garçon.

Il est très courtois et il n'a pas l'accent belge.

Moi, je suis pas très accent.

L'accent québécois, par exemple, ça peut vraiment me prévenir contre quelqu'un.

Et non, Alex Vizorek et je le trouve très drôle, voilà.

Et il s'intègre très, très bien dans toute cette histoire-là et il est cultivé.

Vous vous souvenez de vos premières émissions à vous dans les grosses têtes ?

Oui.

Je me souviens que Laurent Ruequet m'a dit, voilà, c'est le tout nouveau Ariel Vizman, etc.

Et il m'a dit « Mais comment vous vous sentez ? »

Je lui ai dit « Je me sens comme une jeune fille qui va connaître pour la première fois l'amour. »

Et ça a été vraiment une citation que tout le monde a repris depuis Emmanuel Macron,

enfin, Xi Jinping.

L'arrière, est-ce que tu stress avant de venir ici, est-ce que le matin, quand même,

de se retrouver avec, on est 7 sur un plateau avec nos humeurs, avec le public,

est-ce que ça t'a une petite boule au ventre ?

En règle générale, je ne suis jamais stressé, pour rien, même dans des situations très complexes.

Je ne sais pas, j'ai eu d'autres disciplines là-dedans, mais encore moins pour des trucs de radio, de médias, etc.

Parce que j'ai quand même passé ma vie devant des caméras, des micros, des trucs.

Là, c'est vrai que je n'avais pas fait d'émission depuis deux ans,

ou quelque chose comme ça, quand je suis revenu au Grosse-Tête,

je me suis dit que ça va rouler comme d'habitude, et c'est comme la bicyclette, ça ne s'oublie pas.

Johan, on peut quand même dire à Rihle que vous venez à 6h pour préparer une émission,

alors qu'on prend l'enregistrement à 10h30.

Parce qu'il y a des temps en temps. Alors, Zata par exemple, j'avais le taxi à 7h10,

je suis arrivé à 7h15, il y a une formidable marchande de journaux,

une dame qui tient un petit geste à journaux qui est extraordinaire, et donc j'achetais tous les trucs.

Et là, le jeudi, en plus, c'est le jour des bagazines, donc j'ai acheté, mais il n'y a pas une question,

j'ai rien vu dans le point, j'ai acheté le point, le nouvel observateur, le canard en chaine d'hier,

évidemment tous les journaux, et pourtant il y a eu des...

Je m'en veux parce qu'il y a deux, trois questions, quand même, je suis passé devant les papiers ce matin,

et j'ai pas réussi à répondre assez facile.

Mais alors quand même, vu ce qu'on est payés, tu voyais de ta poche, on peut le dire,

parce que le point et le nouvel observateur, c'est pas donné, hein.

Alors j'avais le vent, je suis de range, mais c'est vrai !

Alors le taxi, elle allait, le taxi, on retourne.

Là, je vais faire mon cours de sport, là.

Le cours de sport, je paye mon prof, je suis d'à côté, je suis d'à côté des trucs,

mais finalement...

Tu devrais le payer plus.

Oh, salaud !

Oh, arrête, tu sais très bien que je t'adore.

Non, mais je rigole évidemment.

Arielle, merci.

Bon courage.

Merci Rachel, et gloire à cette émission.

C'est des belles rencontres, et c'est grâce évidemment,

et tu as raison, Arielle, c'est grâce à cette émission,

et grâce à l'horreur hockey, on rencontre des gens que je n'aurais jamais rencontré dans la vraie vie,

et moi, Arielle, c'est très bien, je te regardais pendant 20 ans, 30 ans, un canal puce,

et maintenant je suis avec toi, et on passe des super moments ensemble, donc bravo,

et on a même dansé ensemble.

Mais oui, génial, on va faire danser avec les stars.

Génial, fais danser avec les stars, et j'ai perdu !

Ne le prenez pas avec vous !

Je sais pas pourquoi, ça m'étonne.

Au revoir, bisous !

Salut !

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