Les Grosses Têtes: BEST OF - Les moments cultes

RTL RTL 8/24/23 - Episode Page - 1h 40m - PDF Transcript

...

Vous connaissez M.Bénichou, Jo et Starr ?

On s'est croisés dans ses croisés il y a longtemps.

J'ai un dealer.

Rires.

Comment c'est comme ça ?

Ah ouais, madame, toi, t'es dans la télation.

C'est quoi, c'est la question ?

Tu couches avec la concierge du dealer ?

Rires.

Vous êtes croisés la nuit, j'imagine, M.Pierre et M....

On n'a rien à vous dire. On est là, comme ça.

On vient là, on prend l'octobre d'Ottawa

et puis on va dormir tout à l'heure.

On est pas tout à fait de la même génération,

on ne fait pas tout à fait de la même chose.

C'est un peu faux, c'est un ami de mon père,

c'est un ami de mon fils.

C'est un peu ça.

Franchement, on aimerait savoir comment vous connaissez

Jo et Starr et Pierre-Bénichou, c'est un peu...

C'est le Pôle Nord et le Pôle Sud.

C'est inattendu, vous voyez.

Là où on s'est connus, c'est un endroit un peu spécial.

Rires.

C'est-à-dire ?

Il y a des mecs qui aiment les mecs, tu vois ce que je veux dire ?

Rires.

Rires.

Je vois pas du tout.

Il va pas nous faire son étroit, tu vas nous parler.

Rires.

On s'en parle.

C'est à votre patron que vous parlez, monsieur Benichou ?

Un patron, j'ai pas de patte, ni d'yeux, ni maître, moi.

Ah oui ? Ni d'yeux, ni de fer maître, d'ailleurs.

Rires.

Vous voyez, monsieur Guadagnamalé, l'enviance a beaucoup changé.

Moi, vous m'avez pas demandé si j'étais à l'anniversaire de Neymar.

Non.

Vous y étiez ? Non.

Rires.

Peut-être c'est Karine.

Je t'en sais, elle n'a plus pipo dans ce moment.

Je suis sûr qu'elle était invitée.

Tu as exactement le profil à être invitée à l'anniversaire de Neymar.

Ce serait pas le 1er anniversaire d'un footballeur

auquel vous assisteriez.

Rires.

Rires.

Rires.

Ça, c'est dégueulasse.

C'est vrai.

Parce que qui n'a pas fait une passe ?

Rires.

Vous êtes la 1ère pierre.

Vous y étiez ou pas ?

Certainement pas.

Il fallait en être, si j'ose dire.

Est-ce qu'il y avait Mehdi Benbarek ?

Alors lui ?

Je sais pas si c'est Benbarek ou pas.

Il y a un des plus grands joueurs de football

que le monde est connu dans l'équipe de France

et qui était marocain.

Benbarek.

Dans quelle année ?

Il n'y a pas longtemps, 46-46.

Écoute, quand Robbie gagne le tour de France,

on dit que Serdan va être moins connu.

Rires.

J'ai décroché.

Rires.

Bienvenue.

J'ai décroché.

Bienvenue au serveur.

Bienvenue au serveur.

C'est vachement trop long pour une histoire courte.

Rires.

La bête a repris le dessus.

Rires.

J'aurais star connu un système des grosses têtes.

Vous écoutiez même Gama, les grosses têtes de Philippe Bouvard.

J'ai même...

Je crois que la première fois que je l'ai faite,

il y avait encore M. Bouvard qui était là.

Philippe Bouvard, vous avez invité aux grosses têtes.

C'est votre deuxième fois.

Vous connaissez le principe.

Il y a des citations, la première est toute simple.

Ce sera pour Nicolas Paludetto, qui habite Toulouse.

Ce qui a dit, les psychiatres, c'est très efficace.

Moi, avant, je pissais au lit, j'avais honte.

Je suis allé voir un psychiatre, je suis guéri.

Maintenant, je pisse au lit, mais je suis fier.

Pierre Benichou, non ?

Non.

Coluche.

Qui a dit coluche ?

C'est moi.

Bonne réponse de Florian Gazan, ça commence.

C'est une plaisanterie qu'il y a 100 fois.

Ah oui ?

Ah oui.

Mais avant, je pissais au lit, j'étais en merveille,

maintenant, je m'en fous.

C'est pas coluche, c'est champi qui a lui fait ça.

Un ami de Ben Marek, c'est colu, mais...

Essayez plutôt de trouver la deuxième citation, M. Benichou.

Je ne suis pas sûr que vous trouviez,

parce que c'est quelqu'un de plus, on va dire, de plus moderne,

de plus récent.

Où là, Pompidou ?

Ce serait une question pour Éric Hébert, qui habite l'Oomo.

C'est dans le parisien, d'ailleurs, que j'ai trouvé cette citation aujourd'hui,

qui a dit, les testicules, même le mot est moche,

on dirait que ça a mis l'an, ce truc.

Ça ressemble au truc sur le nez des Dindons.

Mireille Mathieu.

Qui a dit ça ?

C'est vous, tu restes.

C'est pas crédible, j'ai jamais vu.

Déjà, c'est récent comme citation.

C'est une expression milan, elle est récente.

C'est une femme ?

C'est un homme qui a moins de 30 ans.

Qui a moins de 30 ans et qui, on va dire,

commence à se faire un nom dans le monde du stand-up

et du one man show à Paris.

Jaouad le logeur ? Non.

Est-ce qu'il fait partie des grosses têtes ?

C'est vrai qu'il est bon.

J'adore son spectacle.

Jaouad le logeur, il est bon.

C'est loge.com.

Est-ce qu'il fait partie des grosses têtes ?

Il n'est pas venu encore chez nous.

Je crois même que vous l'avez vu au Canada.

On est allés au Canada ensemble.

C'est pas Kian qu'aujourd'hui ?

Romon Fressiné.

Romon Fressiné.

Bonne réponse de Florian Gazan.

C'est la deuxième.

Une citation pour Alexandre Pelt qui habite Chartres.

Qui a dit « Prétendent que l'homme descend du singe,

n'est-ce pas qu'à l'homme nier les singes ? »

C'est comme il s'appelle...

Chita ?

Prétendent que l'homme descend du singe,

n'est-ce pas qu'à l'homme nier les singes ?

Non, c'est quelqu'un qui est mort.

Un grand romancier français.

André Gide.

Il est mort en 1980.

La dernière fois que j'ai fait l'émission,

je disais « Baudelaire » à chaque fois.

Deux fois pris Goncourt.

Romain Garry.

Bonne réponse de Philippe Manoff.

Ça a été le premier.

Une question pour Sébastien D'Arc.

Qui habite dans le Pas-de-Calais.

Je vais vous parler de deux frères,

Edmond et Michel, je peux même vous donner leur nom de famille.

Edmond et Michel Navratil.

On les a surnommés Lolo et Momon.

Je ne sais pas trop pourquoi, d'ailleurs Lolo et Momon.

Mais en tout cas, ces deux frères ont été kidnappés

par leur propre père.

Parce qu'ils voulaient les garder auprès de lui,

alors que c'est la maman qui avait obtenu.

Qu'est-ce qu'il y a ?

Vous avez dit que je vais raconter une belle histoire.

Ça commence quand même par deux mondes qui se font kidnapper

par leur père.

Ils sont kidnappés par n'importe qui.

C'est déjà par leur père, c'est quand même pas pris mal.

Ils sont kidnappés par leur père.

Parce qu'effectivement, ils n'ont pas obtenu le droit de garde.

C'est évidemment leur maman

qui avait obtenu la garde

des deux enfants Michel et Edmond Navratil.

Mais leur papa est mort.

Eux, en revanche,

elle a eu du mal à les retrouver.

Pourquoi ?

Ça se passe en France.

Bien facile, parce qu'ils ont changé de nom.

Quand on les a retrouvés, on ne savait pas quel nom ils avaient.

C'est une histoire vraie ou c'est une histoire vraie ?

Et ça, c'est passé en quelle année ?

Ça, c'est à vous de me le dire.

Ça, c'est passé au 20e siècle.

C'était dans une cave ?

En France, pas seulement en France.

En Europe ?

Pas seulement en Europe.

Dans le monde ?

Oui, évidemment, oui.

Ça part d'Europe, évidemment.

Ils sont partis étrangers.

Alors, un tour du monde ?

Non, mais le père avait pour but de les emmener loin de leur mère.

Parce que lui, de toute façon, avait changé de vie.

Et il a tout fait pour récupérer les deux enfants.

Alors, si ça s'appelle Navratil,

ça fait Navratilova, ça doit être dans les pays de l'Est ?

Pas du tout.

Ils étaient sur le Titanic ?

Ils étaient sur le Titanic.

Bonne réponse de l'Europe, affiche.

En plus, ils sont tous morts ?

Non, non, justement.

Le père est mort.

Ils avaient kidnappé ces deux enfants.

On a retrouvé les deux enfants, la mère les a récupérés.

Il a fallu quelques années plus tard avant qu'elles la trouvent.

Parce qu'elles ne savaient pas qu'ils étaient sur le Titanic.

Le temps qu'ils dérivent, ils sont revenus quatre ans après.

C'est dingue que ça veut dire qu'ils ont été adoptés ?

Oui, effectivement, dans un premier temps,

ils ont été recueillis et adoptés par une autre rescapée du Titanic.

Ils ne savaient pas qu'ils avaient leur mère ?

Ils avaient quatre ans et deux ans, Michel et Edmond,

quand ils étaient sur le Titanic.

Ils font partie des 710 survivants de la catastrophe.

Et heureusement, il y a évidemment eu des articles de presse

un peu partout dans le monde sur les survivants.

Et sur ces deux enfants aussi, Michel et Edmond,

on les voyait, à deux ans d'intervalle,

quatre ans et deux ans, les deux gamins,

c'est arrivé jusqu'à la maman en France, qui a dit,

mais ce sont mes enfants, voilà.

Et elle les a...

C'est une belle histoire que je vous ai racontée quand même.

C'est une belle histoire, oui.

L'histoire des deux frères escapés du Titanic,

dont personne ne connaissait l'identité, c'est beau.

C'est d'une tristesse, tâchez par un coup pour le consoler.

Ça vous plaît évidemment, vous, ce genre d'histoire,

monsieur de Kersosan, parce que j'imagine...

Pourquoi ça me plairait ?

Je dis, oh, des histoires, normalement, quand on est kidnappés,

c'est le kidnappé qui est tué, pas le kidnapper.

Donc déjà, c'est amoral, votre histoire.

Oui, mais enfin, quand même, le Titanic, on l'est part,

c'est un bon bateau.

Non, c'est pas du temps, le Titanic,

c'est une vraie faute maritime grave et lourde.

Ah oui ?

Vous l'auriez évité, vous, l'iceberg ?

Vous n'avez pas accepté la construction d'une navire,

qui l'a été faite à l'époque.

Pourquoi ?

Parce que je pense que quand on est dans le domaine maritime,

il faut toujours avoir une certaine prudence.

C'est celui du monde maritime, c'est pas...

L'homme ne vint pas, il survit dans le monde maritime.

Je suis moi-même à survivre,

je suis heureux d'être là dans ma famille adoptive.

Vous avez eu des passagers clandestins à bord, vous déjà ?

Non, j'ai eu des morpions.

Si je les avais eus, il serait pas resté longtemps.

C'était quoi, le maximum de collaborateurs ?

Je sais pas comment on dit collaborateurs.

Je me montre bien avec mes collègues de bureau.

Chers collègues de bureau, nous sommes leurs mains de vrai,

si vous êtes libres.

Sans vous déranger.

Je t'y vais pour RTT.

Je sais pas, on dit de marins, alors combien de marins ?

Combien de marins, combien de capitaines ?

Le maximum que vous avez eu à bord, c'est quoi ?

10.

11 avec vous, alors une équipe de foot, carrément.

Tu fais quoi si tu fais faire le boulot par tout le monde ?

Je nous salue plusieurs mois, de quoi tu te mêles.

Mais ton bateau, il fait 12 mètres.

T'es pas un homme, t'es toi.

Attends.

Je ne fais pas foot de la merde, t'as l'heure, il t'appelait l'autre pédale.

C'est bon, quand deux sports, ça feront pas.

Non, parce que les footballeurs, c'est pas un sport ?

Ah, si.

Ah, comment ça, c'est pas un sport, ce qu'il fait ?

J'aimerais bien venir pour voir commencer, quand même.

Non, mais tu peux pas.

Après toi ?

Tu vas pas, parce qu'il faut être calibré intellectuellement aussi.

Le foot, c'est simple.

Vous êtes parké, donc vous pouvez pas vous échapper.

J'ai jamais monté sur un bateau, monsieur Boubis.

Non, c'est pour ça que je suis curieux, j'aimerais bien...

Je t'emmènerai, ça durera pas longtemps.

J'aimerais rentrer aussi, après, derrière.

Je crois pas que t'aies été chance, parce qu'en général, il pêche au vif.

C'est un beau sport, tu aimerais bien, c'est bien.

Mais c'est un sport dur.

Quand vous voulez vous distraire, parce qu'à 11, à un moment donné, il faut bien se distraire.

Quand tu es en compétition, tu te distraît pas.

T'es crevé, tu te dors un petit peu, et tu repas.

Tu te distrais jamais.

Il y a déjà eu une femme sur les 11...

Non, si.

Oui, mais elle boite.

J'ai eu une femme à l'entraînement pendant un an.

J'ai eu la fidélite à Mali, à bord.

C'est pas vrai.

Elle voulait naviguer.

Je pensais que c'était mieux qu'elle vienne naviguer avec ton ton qui surveillait.

Et sur 11, il y en a un qui faisait la cuisine quand même, j'imagine.

Non.

C'est que des trucs préparés ?

Les chakkas fait sa cuisine.

T'es les 4K.

Les mecs font 6 heures sur le pont, au bout de 6 heures, ils descendent.

Ils font leur bouffe et ils dorment.

Ah oui, chacun fait sa bouffe. Et son lit, chacun fait son lit aussi.

Mais non, il y a des petits cerveux.

C'est bourré de penny avec des petits culs de lapin, qu'est-ce que tu crois ?

Pendant des mois et des mois en mer à faire la fête.

Le bateau, tu le vois pas, pour retrouver le bateau, c'est un peu comme le petit poussé.

Tu suis les bouchons de champagne.

Il t'offre grand pour être le fils caché de Pierre Véniche.

Je veux bien sûr.

Appelle-moi papa.

Elle apprend le toit et pas peur.

C'est ton papa, tu n'as pas d'un jeu au football.

Ça n'a jamais marché.

Ils sont mignons, tous les deux.

Il y a le nouvel OPS, c'était tu, on est au kiosk.

Je suis trop amoureux de lui pour que ce soit mon père.

Ah, vous êtes amoureux de Pierre ?

Depuis qu'on s'est vus en maillot de bain à Cuba.

Il faut dire qu'en maillot de bain, il y a du monde.

Ah non mais...

Moi, moi, je vous dis que le son, c'est que j'ai vu des gondesses

qui me trouvaient pas terribles à biller.

Et qui baillaient en vue en maillot de bain.

Moi, je m'en dis, enfin, très discrètement.

Elles m'ont dit, elles m'ont dit, c'est combien ?

C'est un dieu du stade.

Quand tu dis Cuba, c'était une description de pierre.

La question pour monsieur Seguet

concerne la chanteuse qui fait un carton actuellement,

la chanteuse Adèle.

Vous me confirmez...

Quelle bordel, madame Adèle ?

Mais vous ne connaissez pas vos Adèles.

Elle a que 25 ans et c'est une des plus grosses vendeuses de disques.

Alors, sans ce qu'il y a un classement, un classement, ou Adèle,

là, pour le coup, n'arrive que vingtième...

Non.

Le classement des chanteuses les plus légères ?

Il n'y a que des femmes dans ce classement, il y a des garçons.

Il y a des hommes et des femmes, et elle arrive très exactement.

Je vous ai dit vingtième, c'est vingt-deuxième.

Est-ce que ceux qui sont avant...

Est-ce que vous pouvez nous donner le numéro un ?

Ça vous aiderait peut-être trop.

Est-ce que vous pouvez nous donner le numéro deux ?

Est-ce que c'est le classement des femmes les plus influentes de Grande-Bretagne ?

Les clips les plus vus ?

C'est lié à l'utilisation de leur chanson ?

Oui, par des gens dans les mariages ?

Non.

Dans les enterrements ?

Je l'ai dit, j'ai dit les enterrements.

Le premier avoir dit les enterrements, c'est Christophe Beaumont.

La réponse de Christophe Beaumont.

Non, non, non.

J'ai dit ma mère, ma chambre, ma chambre, ma chambre.

C'est effectivement dans les enterrements

que sa chanson, someone like you.

Je sais pas si on peut écouter juste un extrait.

Evidemment, cette chanson est régulièrement utilisée

dès qu'elle a mort dans un enterrement.

On utilise cette chanson, mais elle n'est que vingt-deuxième.

C'est étonnant, parce que toutes les chansons d'Adèle

donnent envie de mourir.

Vous savez qu'elle est la chanson numéro un ?

C'est toujours Frank Sinatra.

Maïouet.

Moi, je veux pas celle-là.

Je suis sûr qu'il doit y avoir du Hallelujah.

La deuxième chanson en classement, c'est une chanson écoutée.

C'est la chanson de Sarah Brightman et Andrea Bocelli.

Time to say goodbye.

Ah, oui.

Quand t'es parti, oh...

Je sais pas trop si...

Christine, est-ce que tu peux s'en dédaler ?

C'est les gens choisir sur quoi ils veulent être enterrés.

Non, non, non.

On ne veut pas mettre la chenille.

Je préfère...

Qu'est-ce qu'on est chérés ?

Non, non, non.

La chanson de cette boîte.

Moi, moi, je préfère ça.

Moi, j'aurais mis 15 fois, tu peux, et marcher à l'ombre.

Il y a aussi celle-là qui est cartonne, qui est 15e dans le classement.

Ah, oui, ça me stompe.

Oui, ça me stompe.

Mais ça fait pleurer les gens.

Qu'est-ce que vous maîtriez, vous, Christine ?

Moi, je maîtrais, il y a de la joie.

Ah, oui ?

Oui, c'est bon pour le moral.

C'est bon pour le moral.

Il y a de la joie.

Bernard, vous y avez pensé, vous ?

Il va falloir y penser, maintenant.

Ça me fout, un chagrin terrible.

De mourir, de mourir.

Tu dois dire la chanson.

Chaque fois que tu veux faire un truc comme ça,

il y a un jeune qui est là qui dit, je m'occupe pour la sonneau.

Il arrive.

Il a choisi.

Il arrive avec un vieux pick-up qui marche pas.

Je peux pas faire...

On t'aime, mais ça...

Non, mais je m'occupe pour la sonneau.

La phrase a dû être rendue,

entendue pour la dernière fois,

en 77.

Le cristal de la noé qui a du dilaphe sur marme

dans le Val-de-Marne.

Joachim Riemenez, ou Jimenez,

si vous voulez que je prononce, le J à la française.

Riemenez.

Et le plus connu dans son métier.

Mais quel est son métier ?

Ça se passe au Brésil ?

Ah non, c'est chez nous en France.

Il est né à Saumur, qui me Riemenez.

Ah, Saumur, Pierre Renoir.

Est-ce que c'est un sportif ?

Un sportif, non.

Qu'est-ce que vous entendez, il est le plus connu ?

C'est un maître dans son domaine,

et c'est le plus connu de tous les gens qui font semer.

Il est pas connu par nous, par exemple ?

Non, la preuve.

Est-ce que c'est un artisan ?

Un artisan, oui.

Soufleur de verre.

Il reste en dévié monuments.

C'est un homme-moustaphone, beurre, non.

Quel imitatrice.

Non.

C'est le meilleur boulanger.

Est-ce que c'est l'agriculture ?

C'est plus rare que ça.

Il a quand même été fait chevalier des arzées-l'être.

Est-ce que c'est un métier qu'on pratique depuis très longtemps ?

Oh oui.

Relieur de livre, de vieux livres anciens.

Relieur de livre, non.

Il a besoin d'une technique moderne.

J'imagine que la technique, c'est modernisé depuis.

Il travaille de la pierre.

Vous avez dit ?

Graveur, c'est une partie de la réponse.

Mais graveur de quoi ?

De marbre.

Graveur de monuments funéraires.

Graveur de riz.

Graveur de sel, comme il a saumur peut-être.

Si c'est le plus connu en France,

si c'est un métier rare.

Graveur de marbre.

Du plomb.

C'est pas la matière qu'il faut trouver.

C'est ce qu'il fait.

Des choses historiques.

Historique, oui, en quelque sorte.

C'est la manière dont il fait.

Graveur de pièces.

Graveur de pièces de monnaie.

C'est lui qui grave nos pièces de monnaie.

Celles dont vous vous servez tous les jours.

Bonne réponse de Florian Gazan.

Mais vous n'en dites pas assez.

Il ne les grave pas une par une.

Il les grave pas une par une.

Il fait les moules.

Les pototines.

Cette remarque est frappée au coin du bon sens.

Vous savez, frappée au coin du bon sens,

ça désigne la monnaie qu'on frappe.

C'est lui qui a gravé, par exemple,

à l'époque, en 86, le coque et Marianne,

sur les pièces de Diffran.

Plus récemment, les euros hercules

sur la pièce de 10 euros en argent.

Ou encore les monuments qu'on voit sur...

Il fait que ça comme métier,

parce qu'il ne doit pas se casser le cul.

Non, non.

Il a la monnaie, puis avec un petit burin.

Il a un mini-burin, puis un mini-marco.

Il est créateur pas seulement pour la France.

Des monnaies de plusieurs pays.

C'est lui qui a une réputation internationale.

François Ronin.

Vous voyez, on fait appel à lui,

parce qu'il s'est créé des...

Et c'est lui qui a composé monnaie-monnaie.

Chanson.

Le fric, c'est chic, non ?

Alors, j'entends cher aussi de téléphone.

Tu vas tout que nous les faire ?

Non, mais c'est vrai, il doit faire ça avec une grosse loupe.

Parce que...

Mais oui, parce que c'est petit.

Imagine les pièces de 1 centime,

il a du galérer tellement petit.

Pourquoi lui pas des grosses pièces ?

Il y a une fois qu'il en a gravé une,

c'est pas lui qui les reproduit toutes.

Il y a des petits sous, des petits centimes,

qui sont microbes.

Dans toute l'Europe, il y a des monnaies différentes.

Il y en a des pas mal toutes petites.

C'est un vrai boulot.

Donc, on est contents que M. Joaquin Jiménez...

Mais c'est...

Il a un peu foiré le bitcoin.

Joaquin Jiménez est présent dans les collections numismatiques,

puisque c'est ainsi qu'on dit

française, néerlandaises, belges,

norvégiennes, danoises, suisses, allemandes,

autrichiennes, britanniques, africaines,

et même américaines.

Donc, on peut s'enorgueillir

mais bon, graveur le plus grand graveur,

à l'intermission.

Pourquoi il se met pas au billet, ça n'apporte plus.

Soit Roi Jiménez, un français

du Mané Loin.

Une question opéra pour Arielle Dombal.

Il faut quand même qu'Arielle brille aussi un peu

dans cette émission.

On peut l'astiquer.

Prenez l'image.

Au verre, on a...

Excuses-moi, Arielle.

On dirait pas non.

Mais qu'est-ce que vous entendez

exactement derrière ce mot ?

Voilà.

On l'entend devant aussi.

Il faut vous faire briller, Arielle.

C'est un opéra de Wagner

dont je vous demande de retrouver

le titre maintenant.

Un opéra de Wagner dans lequel

la soprano s'appelle Senta, le tenor

Éric.

C'est l'un et l'autre.

Mais quel célèbre opéra de Wagner

a pour héros principaux

Éric et Senta ?

Je crois que c'est les anneaux de Nibelung.

Pas du tout.

Pas du tout.

Ce ne serait pas le seigneur des anneaux.

Du tout.

Un opéra qui d'ailleurs est au départ

une légende.

Vagner a évidemment mis en musique

cette légende qui a été reprise

dans une longue série à succès

qui a court encore aujourd'hui.

Une série ?

Une légende.

Tristan et Isolde

c'est évidemment une légende aussi.

Mais ce n'est pas Tristan et Isolde.

Il y a une série au cinéma

qui fait un carton

qui s'inspire de cette légende.

Une série au cinéma.

Les talons noirs.

Le deuxième ami que vous avez ramené

On ne va pas raconter de ta vie

de toutes les missions non plus.

Il a ramené le grand blan

avec les talons noirs.

Mais c'est un Disney, on est d'accord ?

C'est la Mulanne.

C'est un Disney.

Je crois que ce sont les studios Disney qui produisent le film.

Mais ce n'est pas un dessin animé.

Mais ce n'est pas un dessin animé.

Vagner n'a pas fait un opéra.

Descends un dalmatien.

Beethoven.

C'est très con ce que vous dites Bernard Mali.

C'est très con ce que vous dites Bernard Mali.

Ce serait marrant que Wagner ait fait un truc sur Beethoven.

Attends chercher les films de Disney.

Je ne fais que ça.

Les pirates des Caraïbes.

Le vaisseau fantôme.

Le vaisseau fantôme.

Bonne réponse.

Bonne réponse d'Ariel Dombal.

Attention, ce n'est pas la réponse complète.

Car l'opéra de Wagner

n'appelle pas seulement le vaisseau fantôme.

Il s'appelle aussi le...

The Flying Dutchman.

La la la la la la la la la la la la la la la la la

la la la la la la la la la la la la la la la la.

C'est l'ouverture.

Vous l'avez dit en heureusement, on aurait préféré la fermeture.

Le Flying Dutchman ?

Vous ne pouvez pas trouver des questions sur les Rolling Stones, des trucs comme ça.

Le vaisseau allemand.

Mais alors attendez, parce que là, Ariel Dommel a donné effectivement le vrai titre,

mais en Américain, en Américain, ça s'appelle...

The Flying Dutchman.

Alors, The Flying Dutchman, mais sauf que Wagner n'était pas Américain,

donc là, ça s'appréhaudait pas.

Er, s'en m'appréhonne, s'en m'appréhonne.

Oui, c'est un autre nom encore.

L'homme volant.

Ah, allez-y.

L'homme volant allemand.

Alors, pas l'homme volant, mais vous avez volant, ça c'est bon.

L'allemand volant.

Pas l'allemand volant.

Euh, le chleur, le voire au volant.

Le voire au volant.

Non, non.

Le Bosch volant.

Le Prussien volant.

Non, parce que ce n'est pas allemand au départ, la légende.

Elle ne vient pas d'Allemagne.

L'italien volant.

C'est quelque chose qui existe de moins en moins chez nous en France.

Enfin, ça c'est un truc volant, tu dois le savoir.

Bah oui, je mets de moins en moins en France, il dit.

Est-ce que c'est un engin qui vole en Belgique ?

Je vous dis qu'il y en a de moins en moins en France.

Mont-Golphière.

Ça vient pas d'Allemagne, mais d'un pays d'à côté de l'Allemagne.

Cette légende du vaisseau fantôme, on n'a pas...

Ça vient d'Espagne ?

Non, non.

À côté de l'Allemagne.

Bah ouais, il est bon, je ne sais pas loin.

La beille, il y a moins d'abeilles en France.

La beille est plus...

Il y a un peu de...

Il y a un peu de mort, plus on volante.

Ça, il y en a moins un.

Et Wagner.

Un pays tout près de l'Allemagne.

Ce n'est pas l'Allemagne.

La Suisse.

Ce n'est pas l'Allemagne.

C'est la Hollande.

Alors, c'est le ?

C'est le Hollande et volant.

Le Hollande et volant, bonne réponse.

C'est beau ça, effectivement, il y en a moins.

Mais je croyais que vous l'avouliez en Allemagne.

C'est pour ça que je cherchais.

Oh non !

Ça se fait qu'il y a...

Pourquoi il y a de moins en moins de Hollande et volant ?

Des gens qui vont...

Des gens qui vont...

Non, pour François.

De Hollande et Volant, chez nous.

Ah ouais.

Quel est le titre en Allemagne, je ne me rappelle plus.

Der Fliegen der Hollande.

Voilà, mais je cherchais ça.

Le Fliegen der Hollande.

Mais je cherchais ça.

Mais pourquoi vous ne l'avez pas dit ?

Mais j'ai dit Flying Dutchman, en anglais.

Mais c'est pas Dutchman, c'est Hollanda, c'est pas allemand.

Oui, c'est ça, oui.

Mais eux, ils traduient Dutchman en tout cas.

Vous parlez plusieurs langues, vous-même, Jean-François ?

Oui.

Le Ch'ti, parfaitement incroyable.

Non, mais un Stewart, ça doit parler plusieurs langues.

L'anglais, absolument couramment.

Comment est votre anglais ?

Juste... Juste un peu.

Oui.

C'est un peu difficile, mais...

J'essaie de parler plusieurs langues.

Oh non !

C'est très bon !

Vous avez un français en anglais.

C'est très bon, le Ch'ti en anglais.

Oui, les gens disent, oh, c'est superbe !

C'est superbe, c'est ce qu'ils disent.

J'adore l'accent français, finalement, les américains.

Nous, on a des petits carénées pour faire les annonces.

Donc les annonces sont écrits en français, en anglais, on lit les annonces.

Mais alors, quand tu s'agites de parler couramment,

je vois des hautes tests, mon dieu, mon dieu.

Oui, on essaie de trouver une solution pour votre logement.

Et peut-être, on va trouver ça.

Je sais que tout de suite, on ne demande pas de parler.

Mais à leur côté, près de le bouquin,

qu'elles ont le texte en anglais,

alors, t'as l'impression qu'elles jouent en film.

Elle fait « Ladies and gentlemen ».

C'est vrai que vous retrouviez le nom de quelqu'un qui fut député,

député de 1987 à 1991,

et qui s'est longtemps battu pour avoir la garde de son fils

avec son mari sculpteur.

De qui s'agit-il ?

Donc c'était un homme ?

Non, une femme.

D'accord, une femme, une femme.

Non, je n'ai pas dit un député.

J'ai dit quelqu'un qui fut député,

donc une femme députée, comme vous l'avez compris,

Monsieur Bogrand est paf !

La dame qu'on cherche, elle est députée.

Elle ne l'est plus, mais elle a été.

Elle est toujours vivante.

Elle fut députée entre 1987 et 1991,

et elle s'est disputée pendant des années

avec son mari sculpteur, la garde de leur fils Ludwig.

C'est qu'un micro d'héro d'un.

Non, non, non, non.

Elle est toujours vivante, cette dame.

Est-ce qu'elle me fait encore de la politique ?

Cette dame est toujours vivante,

et si je vous en parle, c'est parce que ce vendredi,

sur Arte, à 23h25, oui, sur Arte quand même,

il y aura un documentaire qui sera entièrement consacré

55 minutes de documentaire.

Laurent, est-ce qu'elle est toujours dans le monde politique ?

Non, elle a quitté la politique.

Depuis très longtemps ?

Depuis quelques années,

elle s'est toujours plus ou moins mêlée de politique,

mais pas seulement, elle a été députée entre,

je vous l'ai dit, 1987 et 1980.

Ça me dégouche de droite.

Alors, de gauche, de droite, plutôt à droite.

Elle est très engagée.

Très engagée, ça dépendant quoi.

Est-ce qu'elle a un nom de salade ?

Elle a eu des responsabilités, ou quoi ?

Mais en tout cas, c'est vrai que son mari sculpteur,

qui lui est américain, son mari,

son mari sculpteur s'est battu avec elle

pour avoir la garde du fils,

qui s'appelle Ludwig,

qui est née d'ailleurs après leur séparation.

Est-ce qu'elle a été ministre ?

Ministre, non.

D'ailleurs, c'est lui qui, en 1998,

a obtenu la garde de Ludwig,

mais finalement, l'enfant est quand même resté avec sa mère

dans son pays natal.

Elle est très stupide.

Elle est plus en France.

Oui, oui, oui, oui, oui.

Ils nous attendent.

Mais oui, bien sûr.

Vous nous avez bien eu, petit coquin.

Ça se passe pas en France.

Ben non.

Ben oui.

Ça se passe aux États-Unis.

Pas du tout.

Pas du tout.

Ça se passe en Allemagne.

D'où se prenaient-on à la con ?

En Autrige ?

En Autrige, en Autrige.

C'est très gentil pour Beethoven.

Franchement.

Il ne va pas.

Il ne nous entend pas.

Attendez.

Mais pas le petit Ludwig Merkel.

Le petit quoi ?

Ludwig Merkel.

Angela.

C'est le fils d'Angela.

C'est là la supposition.

Si c'était le fils d'Angela Merkel,

il n'aurait pas voulu rester avec elle.

Angela Merkel aurait eu un fils

avec un culteur américain.

Mais pourquoi pas ?

J'ai eu plein d'enfants.

Tous mes petits allemands.

Franchement, madame Ziz du Panier,

vous me décevez.

Parce que si j'ai choisi,

c'est pas une marseillaise,

mais si j'ai choisi cette question,

c'est parce que vous faites un peu,

pensez à elle.

La titolina.

La titolina.

La titolina.

La titolina.

La réponse.

La réponse.

Mais oui.

De suite.

Mais parce qu'il y a le côté un peu vieil,

la crise de X,

quand même sur le retour.

Oui.

Oui.

Il y a une vieille brise.

Mais oui, c'est la titolina.

La titolina.

Elle n'était pas connue

pour être femme politique,

mais elle a été aussi politique.

Elle a été députée en Italie,

la titolina députée

à la fin des années 80,

jusqu'en 80.

La titolina.

Vous allez à la fin des années 80,

jusqu'en 90.

90,

et c'est avec Jeff Koons.

Oui.

Vous avez des conneries ?

Bien sûr.

Si vous allez aux expositions...

Elle a pas eu de besoin alors.

Bah,

en vue que l'on s'entende mal

depuis la maison en duo...

Vous n'avez jamais vu

l'expo de Jeff Koons,

le sculpteur américain celui-là?

Je les ai vus en photo,

je suis pas allé en retard.

Celui qui nous a offert

les tulips,

qui sont à Paris,

qui a fait des haux marats en plastique,

des Michael Jackson dorés,

des Mickey,

des chiens qu'on peut voir à Venise, des énormes chiens gonflables, on aime ou on n'aime pas,

enfin au moins ça a le mérite d'être original, mais il a fait aussi des photos et des toiles

qu'il représente lui et la chitcholina en train de faire l'amour. Moi qui ai visité une expo...

La chitcholina ?

Non, enfin, une expo...

Jeff Koons ?

J'ai eu cette chance, j'ai eu cette chance de visiter une expo de Jeff Koons et dans l'expo de Jeff Koons,

elle a existé à Pompidou, d'ailleurs aussi, il y a deux parties dans l'expo,

il y a une partie qui est accessible à tout le monde, à toute la famille,

et puis il y a une partie où il y a un petit rideau,

où là on a le droit d'entrer que si on est adulte,

parce que derrière le rideau là vous avez l'étoile,

où on peut voir la chitcholina dans toutes les positions avec Jeff Koons.

Je ne suis pas content qu'on m'y comparait à elle, parce que moi je ne fais pas ce genre de choses.

J'ai trouvé quand même.

C'est vrai, c'est vrai.

Ah non, dites-vous, il y a quand même des choses qu'il faut garder pour soi.

Ah oui, oui, vous n'êtes pas.

Ah non, moi tout ce qui est mastégage, pas en public.

Tout ce qui est quoi, pardon?

Mastégage.

Qu'est-ce que c'est?

Qu'est-ce que c'est?

Ce que vous vous dites qu'il faut derrière le rideau là.

Mastengage.

Le mastégage, Marseille.

Mastégage.

C'est quoi Monsieur Titoff?

Tu m'as, si tu dégages.

Vous pouvez nous traduire.

Je crois avoir compris, je crois qu'on a compris.

Je veux dire mastéguer.

Mais non, c'est pas nous mastéguer.

C'est vrai, vous dites pas ça.

Est-ce qu'on se fait bien?

On dit je te mastègue.

Je te mastègue.

Ah ben voilà, viens, tu vas te faire mastéguer.

Ah, on se fait mastéguer.

Voilà.

On s'était pas compris là.

Ah ben tu vois.

Ah ben tu vois.

C'est le drôle.

C'est dommage.

Canel Vrenon, sous lequel on connaît.

René-Antoine Fercho, qui fut scientifique.

Naturaliste, né à la Rochelle, en 1683.

Meurs, en 1757.

Il avait donc 74 ans.

Après avoir fait ses preuves,

en tant que physicien naturaliste français,

scientifique admis à l'Académie des sciences.

Je peux même vous aider.

C'est une grosse indication que je vous donne.

Attendez.

Vous aidez en disant qu'il a dirigé

l'édition de la description générale

des arts et métiers.

Non, ça m'aide pas.

Moi je vais le poser.

Mais il ne dédaignait pas non plus

l'histoire naturelle des Molus

que des crustacés, des insectes et des oiseaux.

Quel est son nom ?

Non, que tout le monde connaît.

Camille Flamarion.

Pas du tout.

La marque.

La marque, non.

Colin Cour.

Mais vous êtes sur une bonne piste,

mon cher Buffy.

On est dans le 18e, alors.

Parce que c'est vrai.

Non, non.

C'est vrai que le fait que je vous ai dit

qu'il avait dirigé l'édition

de la description générale des arts et métiers,

ça pourrait vous aider.

Colin Cour.

Colin Cour, non.

Buffon.

Buffon, non.

Sa rue est près du jardin des plantes.

Sa rue, c'est vrai.

C'est la rue Polyvo.

Polyvo, non.

Est-ce qu'il a un nom et un prénom ?

Je veux dire ce qu'on connaît.

Son prénom, c'est...

En fait, il s'applique.

Il s'appelle René-Antoine.

René-Antoine, faire chaud.

Deux, quelque chose.

Et on l'appelle uniquement, effectivement,

par son nom derrière la partie cul.

Ça peut pas être la Roche Foucault,

ça aurait aucun rapport.

C'est pas la Roche Foucault.

Deux, c'est sa tentée.

Deux, c'est sa tentée.

Deux, c'est sa tentée.

Deux, c'est sa tentée.

Et on le connaît.

C'est-à-dire son nom, il est vraiment connu.

Ah, ça.

À Paris, vous connaissez son nom, c'est sûr.

De Montalembert.

Montalembert, non.

Il y a un parc.

Je vous ai aidé en vous disant qu'il avait tenu

diriger l'édition de la description générale

des arts et métiers.

Ok.

Donc, il y a un livre très connu

qui porte son nom.

Mais non.

Mais non.

Il y a un bâtiment.

Arts et métiers, ça veut dire que arts et métiers.

C'est au métro ?

C'est au métro, arts et métiers.

Oui, oui.

C'est lui qui a rendu le métro aussi.

Rambuto, non.

En plein de Paris.

Oh là là, je suis au bout du rouleau.

On est dans le marais.

Si vous connaissez la station de métro, arts et métiers.

Eh ben non, j'ai ce que je dis.

Ma tête allait là-bas.

Pelletier.

Pardon.

Pelletier.

Pelletier, non.

C'est vers la Bastille, entre République et Bastille.

Pas du tout.

Non, arts et métiers, c'est...

Vers Bourgour.

C'est vers Léal.

C'est pas loin de Bourgour.

C'est Châtelet.

C'est pas loin de Léal.

C'est pas loin de Bourgour.

Arts et métiers, effectivement.

C'est Monsieur de Châtelet.

Monsieur Léal.

Monsieur Bourgour.

Monsieur Bourgour, non.

Il a une station de métro à son nom.

À moitié, oui.

Ah !

Strasbourg Saint-Né.

Non.

Bonne nouvelle.

Bonne nouvelle.

Non.

Mauvaise nouvelle.

Pas de nouvelle du tout.

Saint-Paul.

Tout le monde connaît son nom.

Et enfin, vous saurez qu'il était...

Saint-Paul.

...naturaliste, spécialiste des mollusques, des crustacés, des insectes et des oiseaux.

Mais qu'il avait aussi fait une sorte de botin des arts et métiers en France, académicien.

Le drûrelin.

Le drûrelin, non.

Membre de l'Académie royale des sciences, de la royale sociétie, de l'institut...

Il est sur la 3 ou sur la 9 ?

Je connais pas tous les numéros de ligne de métro, Mme Diamant.

Moi non plus.

Elle commence par un M.

Non, mais écoutez, on n'est pas au pendu, si je vous ai dit, monsieur.

Par un P.

Monsieur Bafi.

Ah ben, je suis bien content.

J'avais dit que je distribuerais un chec RTL.

Voilà, c'est pour maintenant.

Est-ce que vous pouvez faire un gênement avec son nom ?

Ah oui, ça, on peut faire plusieurs gênements.

Ah ben, faites-le, faites-le.

D'ailleurs, ça peut concerner nos amis Pérony tout à l'heure,

et Kersoson, qui était face à notre cher Karine Le Marchand.

Ok, ok, vieux satyr.

Tu connais un métro que ça s'appelle comme ça ?

Château brillant.

Fidu Calvert.

Fidu Calvert.

Non, Fidu Calvert, non.

Il vous reste 30 secondes.

50 lapis.

Attendez, attendez.

Ah ben, j'ai piégé Pérony.

C'était des voyeurs.

Attendez, ils étaient en voyeurisme.

Non, mais naturelliste, je devrais le connaître.

Eh oui, naturelliste, vous m'avez demandé une question zoologique.

Je vous dis que c'est le roi des molusques,

des oiseaux, des insectes.

François Hollande, il est né à la Rochelle,

il est mort dans son domaine de la Bère Mondière,

un saint Julien du Terrou, vous voyez.

Alors, donnez la première lettre, maintenant.

Alors, c'était un R, la première lettre, un R.

Rembuto.

Non, Rembuto, vous me l'avez déjà dit,

et c'était tel que Messieurs de Kersoson et Pérony

étaient positionnés face à notre ami Karine Le Marchand,

Réaumur.

Oh merde.

Non, écoutez, heureusement qu'on a fait le cas de gentil ici,

en la présence de Yoann Riou, qui...

J'en dis, mais chiant.

Oui, oui, oui.

Même plus fiant de gentil.

Très fiant, tu peux dire.

Olivier, comment va ton pied gauche ?

Ta gueule.

Mais t'es gravement blessé,

tu t'es blessé dans ta piscine, qu'est-ce qui s'est passé ?

Non, c'est bon.

Mais j'ai encore mes deux mains qui peuvent te servir.

Elle a fermé, tais-toi.

T'as compris ?

Arrête de rire, tu as pleuré tout à l'heure.

Pourquoi t'as trois téléphones sur toi ?

Parce qu'il a trois téléphones sur lui, ça...

Aujourd'hui, j'aurai une ligne spéciale pour les cons,

j'en aurai un quatrième.

Mais pourquoi vous revenez de Polynesie

pour nous voir tous ?

Vous embêtez ici, quand même, c'est beaucoup mieux là-bas.

Vous avez besoin d'argent.

Mais tais-toi !

Je ne suis pas venu pour te voir,

mais dans un beau décor, il peut y avoir une croque de chien.

Je vais vous dire, Olivier est content,

parce qu'il est d'abord un.

Et bien, s'il est content, mieux.

Parce que disais mon père.

D'abord parce que nous sommes ses amis, il est heureux de revendre.

Ses amis, la première fois que Olivier m'a vu,

on s'est croisés dans une rime,

il m'a dit, je ne sais pas si vous en souvenez,

le vieil vous tue, je ne sais pas comment.

Moi, je vous aime beaucoup vraiment.

Grosse connasse, même pas bonjour, rien.

Toi, je croyais que t'étais une grosse connasse.

Il y a quand même une grosse connasse dans la phrase,

mais là, je croyais.

Ça veut dire qu'il a peut-être changé la vie.

Moi, j'avais envie de la prendre dans mes bras,

de lui faire, mais je vous aime, je vous aime.

J'avais l'impression d'avoir huit ans.

Je me suis dit, bon, je verrai, on se rend encore un jour.

Et maintenant, je crois qu'il a un petit coup de coeur pour moi.

J'étais gentil avec toi.

Moi, j'ai senti l'affection.

À tour, d'ailleurs.

On refait un petit point tout à l'heure, Olivier,

dans la relation.

C'est toujours bien aimé, je sais pas pourquoi.

Oui, on fait un petit point.

Je voulais dire qu'il est surtout heureux de retrouver Stevie,

parce qu'il y a une relation d'amitié entre Stevie et Olivier.

Parce que Stevie fait de la...

Non, mais là, je suis sérieux.

Allez-y, Laurent, allez-y.

T'as des relations d'amitié avec des marins, toi ?

Oh, bah oui, quand même.

Parce qu'il fait de la voile.

Je fais de la voile dans le copiement.

Sérieusement.

Stevie fait son coming-out

dans le yachting.

J'ai de grimper ton foc, toi.

Non, mais Stevie, c'est vrai que vous faites de la voile ?

Oui, je fais de la voile, oui. J'aime bien.

Où faites-vous de la voile, Stevie ?

Dans le doble du morbide.

Il arrive, il en a chance.

Et vous aimez beaucoup Olivier ?

J'aime beaucoup Olivier, mais depuis toujours.

Mais nous rêvez.

Il a du cum dans les yeux, c'est vrai.

Il a du cum dans les yeux, c'est vrai.

Il a du cum dans les yeux.

Il a du cum dans les yeux, c'est vrai.

Il a un début de conjointe TV.

C'est vrai.

Où est-ce que tu veux dire qui sent la marée ?

Tu veux dire qui sent la marée ?

Tu veux dire qui sent la marée ?

Tu veux dire qui sent la marée ?

Quel joyeux vous avez à bord

quand vous êtes dans vos régâtes qui ressonnent des récats ?

Moi, j'aime bien tenir la barre.

La barre.

Tu m'étonnes.

T'es fou, hein.

Mais Olivier, c'est juste...

...avec le vent.

C'est un petit feeling avec le vent,

et il me porte bien.

Tu brasses de l'air aussi.

C'est un connaisseur qui vous parle.

Bon, je crois qu'il est temps de passer

une première citation pour Saladin Boisak

qui habite Canelabocan dans les Alpes maritimes

qui a dit la preuve que la lune est habité

c'est qu'il y a de la lumière.

Un Français ?

Mort.

Dans ce siècle.

Ce siècle, ce serait le XXIème.

Alors non, il est mort au XXIème siècle.

Au début ou à la fin ?

Il est mort en 74.

C'est un de nos habitués, évidemment.

Zitron ?

C'est tout à fait du zitron.

Cazac veux ?

Déproche.

Il n'est pas mort en 74, déproche.

La preuve que la lune est habité

c'est qu'il y a de la lumière.

Des grands humoristes françaises des années 70.

Pierre Duc.

Oh, Pierre Duc.

L'autre, l'autre.

Francis Blanche.

Bonne réponse de Valérie Mérif

et de Philippe Goliath.

Une question pour Nathalie Delbar

qui habite Saint-Adpignan, c'est dans la creuse.

Frédéric Berra est né en 1830.

C'est en 1836.

Il a donc une trentaine d'années faite le compte vous-même.

C'est dur, il est bien 18 ans.

Mais en 1836,

quel âge que ça peut lui faire ?

Une trentaine d'années.

J'ai dit une trentaine d'années,

parce que c'était évident que c'était 36 ans.

Voilà, 36 ans, il est sur un bateau.

Il écrit une chanson,

une chanson que tout le monde connaît encore aujourd'hui.

Quelle chanson

serait capable de freudonner tous.

Quelle chanson écrit Frédéric Berra

alors qu'il a 36 ans

et qu'il est sur un bateau.

Il était un petit navire.

La pêche au moule.

C'est en 1836 ou en 1936 ?

1836.

Ah oui, donc c'est pas la mer.

Oh mon bateau.

C'est la bergerre.

Quoi la bergerre ?

Ah non, ça c'est Fabre des Glantines.

C'est pas Chagrande Amour un truc comme ça.

C'est le plus grand bergerre qui était une chanson révolutionnaire.

Sur le pont d'Avignon.

Sur le pont d'Avignon, non.

C'est un rapport avec la mer, ça chanson ?

La mer, non.

Il court, il court.

Le curé.

C'est en fait une contre-pétricée.

Il fourre, il fourre le curé.

Après quelques années de grosse tête, ils ont le truc, tu les connais.

Mais ce n'est pas celle-là.

Est-ce que ce serait par hasard...

Non.

Il regarde le paysage.

Il est sur son bateau.

Il navigue à bord de ce bateau.

Et là, il écrit une chanson

que tout le monde connaît encore aujourd'hui.

Il écrit le texte où il compose la musique.

Il écrit le texte

et il s'inspire d'un air

composé par Luli en 1653

pour la musique.

Est-ce que c'est au clair de la lune ?

Non, je peux même vous dire d'ailleurs.

L'air de Luli en question est intitulé

quand le péril est agréable.

Et le paysage, c'est quoi ?

Ah, il vous plairait.

C'est la mer, c'est la montagne.

Ah, c'est un paysage de bateau, de porc.

Ah non, c'est pas celui.

Il est sur à une rivière.

Il n'est pas face à un château.

Il y a quelques châteaux au bord de ce fleuve.

C'est pas non plus la région des châteaux.

Est-ce que c'est un rapport

avec la région de Monet ?

De Monet, oui, ça, c'est vrai.

Donc on est en Normandie, alors ?

On est en Normandie.

J'irai revoir ma Normandie.

C'est le pays qui m'a donné le jour.

Bonne réponse de Pierre Benichou.

Bravo.

Donc quel état il est pireau.

Bravo.

J'irai revoir ma Normandie.

Elle a été écrite en 1836

par Frédéric Bera.

Alors qu'il est sur un bateau,

un bateau qui navigue sur la Seine,

il fait le trajet roi, le Havre,

et la beauté du paysage

fait battre son cœur de Normand.

Et il s'inspire d'un air de l'opéra

composé par Lully en 1653.

Et il écrit qu'en tout renait

à l'espérance

et que l'hiver fut loin de nous

le beau ciel de notre France,

quand le soleil revient

plus doux,

j'irai revoir ma Normandie.

C'est le pays qui m'a donné le jour.

Et là, t'as la direction qui te dit

« Allez-y tout de suite ».

Il y avait une autre chanson, si c'est

« Elle voulait revoir

sa Normandie ».

Ça, ça a été la reprise

par Gérard Blanchard.

Mais c'est la même chanson,

il a repris la chanson Gérard Blanchard.

« Le péril est agréable ».

Vous avez une chanson de votre...

« Le péril est agréable ».

« Un p'tit péril, c'est doux,

mais il ne faut pas qu'on l'aide sous la table ».

« Un p'tit péril, c'est agréable ».

Il y a Tonton Pierrot au bout de la table, là-bas.

Qui commence le banquer, là, voyez.

« Mais j'ai une goutte d'évin ».

Vous avez une chanson de votre région,

vous, monsieur Ardisson.

J'ai pas de région.

C'est plutôt quand même la côte d'Azur,

mais là-bas, on a voyagé tout de suite.

On est un peu des romani-chaines.

Vous êtes un gars de la roulette.

Exactement.

Et vous, monsieur Jansen,

je vous pose pas la question, évidemment.

Il y a que ça, des chansons dans votre région.

Ah oui, oui, oui.

Les chansons sur le cheneur.

Le cheneur, ben oui, c'est...

« Dorma un p'tit quinquin ».

« Dorma un p'tit quinquin ».

« Dorma un p'tit quinquin ».

« Dorma un p'tit pouchin ».

Ça plaît tout le monde, tout le temps.

C'est tout de suite un mini somme de convivialité

dans l'assemblée, les gens sont contents.

Je veux que je te chante la truite en allemand, là.

Ah oui, allez-y.

Il est là, on y chaufferait,

le fourru beurre vit en faille.

Ça rappelle des bons souvenirs quand même.

C'est pour ça que je le fais.

Qu'est-ce qu'on vectait bien, les potes ?

Les gens vont les circuler.

Vous pourriez-vous nous interpréter

une chanson de votre pays d'origine ?

Je sais pas, fais-moi du couscous, chérie.

« Salmaïa salam »

« Ramaziza, la ziza, non ».

« La ziza, la ziza, la ziza, la ziza ».

Ça me fait pas rire du tout.

« Je connais une sœur, quand je t'ai connu, c'est à la plage,

tu m'as montré comme au monctonage,

et tu m'as déchiré le spassage,

et je te l'aurai le coquer à la tige ».

« Tes yeux bleus comme les cieux,

t'as un sourire malécié,

t'en regardes longs bourreux,

t'en joues le boule amoureux,

et quand t'as bien fait dénager,

tu m'as dit, je le vois dénager.

Moi, je serai t'en manager,

et nous irons jusqu'à lutter ».

C'est de la culture de la mythologie

qu'elle était le nom du fils

de Penélope et du Lisse.

« Télémac ».

« Télémac », excellent réponse de Philippe Manovre.

Vous pouvez raconter l'histoire de Penélope, Jean-François Jancen.

Qu'est-ce que vous avez, Penélope ?

On l'attend dans Ulisse.

La nuit, qu'est-ce que vous avez ?

Elle faisait du crochet, n'est-ce pas ça ?

Un tapisserie.

Elle cousait le jour.

Elle décousait la nuit.

Elle avait 114 prétendants,

pendant qu'Ulysse était parti un voyage,

elle avait 114 prétendants.

Il faut dire qu'il est parti pendant près de 20 ans.

Oui, mais il faisait une guerre,

il était parti faire la guerre de Troyes,

et en plus, au retour,

il y a eu gros problème de l'odyssée,

l'armée 10 ans à revenir après 10 ans de guerre,

donc Penélope était très mal.

Alors ce qu'elle faisait, effectivement,

elle avait dû bien sécher.

Ce qu'elle faisait le jour,

elle devais la nuit,

parce qu'elle avait promis que quand elle aurait fini,

elle pourrait se remarier.

Exactement, elle ne terminait jamais sa tapisserie.

Elle devais la nuit, ce qu'elle avait fait le jour.

La ruse a fonctionné pendant plus de 3 ans

et a permis à Penélope de duper ses prétendants

jusqu'à peu avant le retour du lycée.

Et là, il n'était toujours pas là, Ulysse.

Elle dit bon, je vais en choisir,

je vais faire un concours d'arc,

vous voyez,

ce n'est pas cette histoire.

J'ai essayé de faire un concours d'arc,

Penélope promis de se remarier

avec celui des prétendants

qui seraient capables de bander

l'arc du lycée.

Et là, le mot « bander » n'est pas pris.

Oui, oui, oui.

De tirer une flèche à travers 12 faires de hache

disposer les uns derrière les autres.

Aucun prétendant n'arrive

à bander l'arc du lycée,

sauf un déguisé en mendiant.

Et c'est qui ?

C'est Ulysse.

C'est pas plus simple de dire à sa femme,

que de faire des concours à l'arc.

Pourquoi c'est déguisé ?

Elle ne me fait pas croire qu'elle n'a pas fait bravo

de la craquette avant.

Elle a du galer.

Vous parlez de la mythologie.

C'est l'odyssée.

Elle n'est même pas là quand Ulysse

réussit à aborder son arc.

Elle est avec moi en train de vendre un appart.

Elle retourne dans sa chambre

parce qu'elle est prise de chagrin,

elle pleure son époux

et lui gagne pendant qu'elle n'est pas là.

Elle va le reconnaître.

Son chien.

Vous faites bien le chien, dis donc.

Est-ce qu'elle avait mis des croquettes dans sa culotte ?

Mais pourquoi il a tué tous ces gens ?

Je ne vous dis pas,

la nuit même a été incroyable,

parce qu'Athéna a allongé

la durée de la nuit pour qu'Ulysse

et Pénélope puissent profiter

encore plus longtemps de leur retour.

Ils ont fait une petite chère à Télémac,

mais c'était des commandes.

Au bout de 20 ans,

s'il n'avait pas trompé,

ça n'a pas dû durer bien longtemps.

Mais lui, je crois qu'il avait un peu...

Lui, il n'a pas arrêté.

Il s'arrête chez Circe,

il s'arrête là, il y a la fille d'enroi.

Oui, mais tout ce qui se passe en tournée...

Je vous demandais tout simplement

sous quel nom on connaît mieux,

Michelet Angelo Broschi,

qui est décédé en 1782 à Bologna.

C'était un peintre ?

Non.

Un compositeur ?

Non, un artiste, oui.

Un sculpteur ?

Non, Carlo Maria Michelet Angelo Broschi.

Il avait juste un surnom ?

Ah oui, un surnom que tout le monde connait.

Il écrivait de la poésie ?

Arlequin, non.

Il écrivait du théâtre ?

Il n'écrivait pas de théâtre.

C'était un personnage de théâtre.

C'était une ville française.

Ah, Scannarelle, la bossue.

Pardon ?

C'est celui qui a la bossue.

Casimodo.

Scannarelle.

Scannarelle.

Non, il n'était pas bossue du tout.

Pantalone ?

Non, est-ce que c'est lui à la comédie de l'arté ?

Du tout.

Il était acteur ?

Il était chanteur.

Parvarroti.

Il est plus vieux que toi.

Belcanto ?

No.

Est-ce qu'on le connaît ?

Sous quel nom connait-on mieux,

Carlo Maria Michelet Angelo Broschi.

Est-ce qu'il a donné son nom à un style ou quelque chose ?

Non, non.

En tant chanteur, on le connaît.

On n'a jamais entendu sa voix.

Quoi, vous avez dit ?

On n'a jamais entendu sa voix.

Arielle Dombard.

Non, 1782, attendez.

Mais parce que vous le connaissez tous, c'est comme ça.

C'est un seul mot comme carouseau, j'imagine.

Exact.

Et ça finit par un I.

Exact.

J'achète un E.

Il est mort vieux en plus.

Il est mort à 77 ans.

Farinelli.

Farinelli.

Bonne réponse, Christophe Beaubrand.

Le castrateau.

Il castrateau.

Le célèbre castrateau.

Je sais que c'était broskibit.

C'est quand même fou parce qu'à l'époque,

il subissait réellement une castration.

Ça fait pas si mal.

Je voulais que vous m'expliquiez.

Quand on castre, on coupe les boules.

Oui, mais on laisse le sapin.

Non, sérieux.

Mais en quoi ça t'intéresse ?

Non, je ne veux pas mourir, idiot.

Je crois qu'on coupe les canaux,

mais qu'on laisse les coucouignettes.

Les castrannes n'étaient pas tous chatrées,

comme on dit.

On peut voir une voix de haute-contre,

c'est-à-dire la voix d'un enfant,

d'un adolescent.

Quand tu jouis, t'as une voix de contre-ruche.

On ne parle pas comme ça, Arielle.

Qu'on ne parle pas comme ça, Arielle.

Qu'on ne parle pas comme ça, Arielle.

Je n'ai pas très bien compris.

Je n'ai compris que j'étais cochon.

Mais je n'ai pas bien.

Et je règle de ne pas avoir bien.

Mais Arielle, ça donne une voix de femme

quand un castrat, c'est quoi ?

Voilà, non.

À la paire, mais souvent, on l'a appelé les castrats.

On leur coupait.

Non, il y en a beaucoup qui étaient des hautes-contres.

C'est-à-dire qu'on reste avec

cette voix d'enfant extrêmement...

Voilà.

Et maintenant, il y a encore beaucoup de hautes-contres,

comme vous savez.

Et la voix est la même.

Ah, comment c'est un castrat, alors ?

Oui, c'est un peu très simple.

Pourtant, j'en ai.

Elles sont peut-être amovibles.

Vous avez rencontré des castrats, vous ?

Bien sûr, j'ai même chanté

une cantate, la cantate 78 de Bach

avec un haute-contre.

Et lui faisait la même voix.

Ça va.

C'est gênant pour une jeune fille, comme disait ma grand-mère.

Gênant pour un monsieur d'avoir cette voix-là.

Et bien justement, figurez-vous

qu'on lui a fait tellement la guerre

qu'il était tellement beau.

Alors, il y avait toujours les blagues.

Ah, mais est-ce qu'il l'est ?

Et donc, ce merveilleux garçon

qui s'appelle Lois-leur des Longchamps,

Octavien Lois-leur des Longchamps,

a décidé

de ne plus

être haute-contre tellement

c'était d'une concheteur merveilleuse.

Il est devenu bariton.

Mais quand il parlait, il parlait normalement.

Mais oui, c'est...

C'est une technique vocale

et c'est aussi des capacités vocales.

T'as dit ce que Farine Elie, bah...

Je ne l'avais plus regardé.

Farine Elie, c'est à 10 ans qu'il a été

cassé.

Ils n'ont pas eu le temps de descendre.

Il est emmené à Naples

vers 1714-1715,

alors qu'il est né en 1705.

Donc, vous voyez, il a 9-10 ans

et c'est vraisemblablement là

un Naples qui subit la castration.

Après, il a chanté du à-bas.

Et ensuite, il est admis

au prestigieux conservatoire...

Il a eu une bourse.

Et c'est à quelle époque

qu'il a chanté vaninale.

Non, non, non.

Dev, Dev n'est pas castrable.

Enfin...

Il est en castrable.

Quand Yannick Noir a gagné

Roland Garot en 1983,

ça faisait un petit moment

qu'il n'y avait pas eu un Français

qui avait gagné Roland Garot.

On avait presque attendu 40 ans.

Je vais me dire, 37 ans

entre la victoire de Yannick Noir

et le précédent victorieux

de Roland Garot.

Jean-Gyroudou.

C'était Lacoste.

Pierre Darmond.

Bravo, Arielle, parce que ce sont

très peu nombreux les Français

qui ont gagné Roland Garot.

Yannick Noir et cinq joueurs françaises.

Les joueurs, vous les connaissez.

Suzanne Langlène.

Simone Mathieu, je ne vais pas vous la demander.

Néli Landry non plus.

Françoisse Dure.

Et Roland Garot.

Il avait gagné le premier tournoi.

Il était aviateur, Roland Garot.

Il y a Roland de la Grosche

qui a gagné aussi.

Roland de la Grosche.

Quand t'es aviateur, c'est plus facile

pour les lobes.

Yannick Noir, vous l'avez, c'est le dernier.

Le premier se fut, effectivement,

René Lacoste.

Bravo, cher Arielle,

mais c'était en 1925.

Ensuite, il y a eu Henri Cauchet.

Toujours les mousquetaires.

Puis encore René Lacoste.

Il y a eu Borotra.

Puis encore Henri Cauchet.

Puis encore René Lacoste.

Il porte bien son nom Henri Cauchet.

C'est le principe du tennis.

Il se renvoyait le tournoi.

Borotra en 1931.

Puis encore Henri Cauchet.

On a la peine de gueuler comme ça.

C'est le principe du Henri Cauchet.

C'est le Nadal de l'époque.

En 32.

Il y a un petit moment sans victoire française.

Pendant la guerre.

C'est en 1946 qu'on a eu un nouveau.

Un Français qui a gagné.

Puis après, il faut sauter jusqu'à Yannick Noir.

Il vous en manque un.

Pierre Barthès.

C'est beaucoup plus vieux que ça.

Ils vont Petra.

Il y a Rotra et Petra.

Bravo les gars.

Le beau Rotra et l'autre Petra.

C'est bien.

C'est pour ça qu'au tennis, on dit lâcher un coup droit.

On connaît son nom pour une autre raison.

J'imagine qu'il y a quelques années plus.

On connaît son nom.

C'est un peu le Figaro aujourd'hui.

On ne rappelle que Yannick Noir avait succédé à...

Il ne s'appelait pas Chartrier.

En 46, il avait mis fin à 37 ans d'attente.

Vous connaissez la réponse.

Vous pensez parce que...

Il s'appelle Lavonne.

Je pensais que vous connaissiez la réponse.

Vous lisez l'équipe.

Non.

C'est fou comme on se fait des idées sur quelqu'un.

Je pensais qu'il lisez l'équipe.

Marc Lavonne.

Je pensais qu'il était romantique.

Il a l'air costaud comme ça.

Mais il s'est regardé perroni.

Qu'est-ce qu'il a ou perroni ?

Je ne peux pas juger sur le physique des gens.

Il a l'air rageant.

Maby ne s'intéresse pas au compétition de Sumo.

Par exemple.

On n'est pas toujours scandaleurs.

Yannick fait de la poutre.

Il ne semblait pas doué en tennis.

Arielle Dombal non plus.

Je me posais même la question.

Qui étaient les joueurs de tennis ?

Parce que vous dites mondialement.

On n'avait combien.

C'était sûrement un géométrie variable.

Je ne comprends pas ce qu'elle me dit.

Non.

Mais c'est une compétition.

En même temps, c'est bien aimable.

La seule chose que j'ai compris dans la question

c'est le point d'interrogation à la fin.

Il y a combien de pays qui jouent ?

Beaucoup.

Beaucoup.

Plusieurs.

Arielle Angarose, ce n'est pas les pays qui jouent.

Ce sont des joueurs.

C'est raison de tous les joueurs français.

Ils sont Suisses.

Il a raison.

Ils vont avoir des hommages nationaux.

Décès.

Je vais vous aider.

Celui qui a gagné Arielle Angarose

avant Yannick Noir.

37 ans avant Yannick Noir.

Le dernier avant Yannick Noir

a gagné Arielle Angarose en 1946.

C'est un joueur de tennis qui a deux prénoms.

Il a un prénom, un nom.

C'est comme Arnaud Clément.

C'est comme les céréales killer.

Émilouie.

Jean-Marc Thibault.

Il a trois prénoms Jean-Marc Thibault.

Jean-Pierre.

Mais voilà.

Martin.

Oui Jean-Marc.

Émanuelle Valérie.

Paul-Louis.

Paul-Louis.

Il est téné à la Madeleine.

Il est mort à la Madeleine d'ailleurs.

Dans l'église de la Madeleine.

Non. J'ai une idée.

Oui.

Il est mort à 79 ans.

Dans les années 90.

Maurice Marcelle Michel.

Vous avez dit Marcelle ?

Marcelle Bernard.

Comment vous savez ça à vous ?

Comme ça une illumination.

C'est Marcelle Bernard.

Une question de culture générale

pour Alexandre Hamac.

Est-ce que c'est vrai ?

C'est vrai ou pas ?

C'est vrai.

Ça c'est vrai ça.

Mais tu vas pas faire des commentaires

à chaque villa ?

La mer de nit.

C'est peut-être ma seule émission.

Quelle est la particularité

de la locate d'Europe

par rapport aux autres poissons ?

Elle vole.

Elle ne vole pas.

Parce que c'est un poisson.

Il y a des poissons volants.

Elle va dans l'eau douce et dans l'eau salée.

C'est un poisson qui n'a pas de branchies.

Un poisson qui n'a pas de branchies.

Il a des branchies.

Il n'a qu'un œil ?

Si elle regarde le profil.

Il a raison.

C'est un poisson qu'on voit de face.

Je suis à l'école.

La locate d'Europe, c'est quoi une locate ?

C'est un petit loquet.

Je suis à l'école.

Je ne comprends pas la question.

Une locate d'Europe.

C'est le nom du poisson.

Les autres locates, elles sont doux ?

Des paires de locates.

Je crois qu'on dit elles sont doux.

Des paires de locates.

C'est un poisson qui n'existait pas

il y a qu'un jour.

Il est phosphorescent.

Il est pas phosphorescent.

Comment ça, il n'est pas né ?

Non, mais c'est vrai

que c'est lié quand même

à la locate et à ses enfants.

Ils sont toujours pas deux.

Les paires de locates ?

Non.

C'est le seul poisson monogame ?

Non.

C'est un poisson qui sort souvent de l'eau,

qui fait des sauts, qui fait des volants.

Non, c'est lié à sa progéniture.

Il arrive à faire plus de 50 enfants.

Non, il en fait pas du tout.

Il en fait pas du tout.

Est-ce que c'est lié à la conception ?

Il vit en famille jusqu'à la fin de ses jours.

Il reste papa et les enfants

tout le temps ensemble.

Ils sont au pénètre.

Non plus.

Est-ce que c'est lié à la conception, Laurent ?

À la conception, non.

À la naissance.

Après, les enfants ne le quittent jamais

pendant deux ans.

L'éducation, c'est très sévère.

La locate, très sévère.

Sévère comme une locate ?

Oui, j'ai une expression.

Les enfants ne lâchent pas les parents

avant la maternelle.

C'est le seul poisson qui va dehors

dans le sable pour les enfants.

Et elle ne meurt pas, elle arrive, elle n'est pas mouillée.

Elle fait ta taque.

Il arrive sur la mer.

Ah oui, c'est une bande des idées.

C'est un album des chtroupes.

Elle ne prend pas à ses enfants à nager.

Non, non, non.

Pas bête.

Est-ce que c'est dû à l'accompagnement

de ses enfants ?

Elle fait des enfants à la locate.

Qu'est-ce qu'il se passe après ?

Elle les emmène à l'école.

Elle les emmène directement

dans un filet de pêcheur.

Vous nous posez cette question.

Qu'est-ce que la locate d'Europe

a de plus que les autres locates ?

Mais on ne sait même pas ce que ce sont.

Est-ce que ça va ?

Ça y est, je sais. Elle les alète.

Parce qu'elle a des tichons.

C'est la réponse de Valérie Mérez.

La locate est la seule espèce

connue des poissons

à aléter sa projet d'étude.

Mais non.

Je pense que c'est possible.

Chaque embryon s'accroche

à l'extrémité de l'animal.

Oui, tête.

C'est comme ça que vous tetez.

C'est la locate à la dépit.

On tête les locates.

Mais elle a combien de pays

pour qu'il soit con ?

Je ne sais rien.

Je ne suis pas là quand elle alète la locate.

Mais c'est quoi comme ça ?

Elle alète et pis, c'est tout.

On se mêle pas de la vie de la locate.

Je ne sais même pas pourquoi

j'ai posé cette question.

Parce que ça, c'est les gens

des questions qui sont un peu inutiles.

Ça ne va pas nous avancer

dans la vie.

On peut en parler.

Je ne suis pas d'accord.

Vous êtes avec des copines à table

et vous commencez à discuter entre vous.

Je ne préférais pas l'été.

Je n'ai pas l'été.

La locate, si.

Je suis comme la locate.

Contrairement à vous.

Je ne sens le poisson.

Je alète mes enfants.

Il n'y a rien d'inutile.

Vous n'avez pas donné une bonne heure.

Qu'est-ce qu'elle a été ?

Oui.

Ah oui, moi aussi.

Manteur.

Vous n'aviez pas de lait.

Non, j'en avais de lait.

Mais en France, à l'époque,

comme j'ai une prothèse,

ma mère m'a dit, ah, vous avez des faussins.

Vous ne pouvez pas l'été.

Je me suis dit, au Brésil, tout le monde a l'été.

Ah, mais il ne peut pas.

J'avais une prothèse.

Mais ça ne vous l'aviez jamais.

Mais non.

Ah, dans l'été.

Ah, dans l'été, en France.

Maintenant, je crois que c'est accepté.

Mais à l'époque...

Mais rassure-nous, c'est une rachate.

Une question pour Emmanuel Clément,

qui habite Parnais et dans le Mané Loire.

De qui Narda est-elle la compagne ?

Narda, je vais quand même vous donner quelques précisions,

est une princesse d'un pays d'Europe centrale

appelée Coquelle.

Mais de qui est-elle la célèbre compagne ?

C'est dans une comédie musicale.

Non, c'est un livre du disney.

C'est une fiction, ça, c'est vrai.

Mais connaissez-vous Narda

et surtout son compagnon qui est-elle.

C'est la femme de Michel Strogoff ?

Michel Strogoff, non.

Est-ce que ce serait la femme d'Aladin ?

Aladin, non.

C'est la femme de Dracula ?

Non plus.

Narda est la compagne d'un célèbre personnage.

Elle est princesse d'un pays d'Europe centrale

qu'on appelle Coquenne.

Un pays dirigé par son frère aîné Zégride.

D'ailleurs, à la suite du décès de leur mère Isabelle

puis de leur père Carl.

Et d'ailleurs, je peux vous dire qu'ils se sont mariés,

Narda, et celui dont on cherche le nom,

encore, actuellement.

Est-ce...

Est-ce...

C'est un truc du XIXe siècle,

ou c'est récent, c'est une création...

C'est un auteur du XIXe, genre à la d'Ostoyevsky,

Tolstoy ou...

Alors, c'est...

C'est du XXe siècle.

C'est du XXe siècle.

Ça a été créé en 1934, ce personnage.

Ah, attends.

Peter Pan, non.

On n'est pas chez Ubu, là ?

Non, c'est pas Alfred Jari.

Le père de Pinocchio ?

Pinocchio, non. Là, on cherche la compagne.

La femme du père de Pinocchio.

La femme de Gepetto.

Est-ce que ce ne serait pas la femme

ou simplement la femme cachée de Dracula ?

La femme de Dracula, non.

Et ça, à voir avec l'Europe centrale.

Donc avec Prague ou...

On est chez Kafka, on est chez Kafka.

On n'est pas chez Kafka.

Ah, c'est la grande sœur d'Aïdi ?

Non, c'est des Américains qui ont créé Narda

et son compagnon plus célèbre qu'elle.

Je peux même vous dire que son compagnon est si célèbre,

qu'il y a toute une cérémonie qui porte son nom.

Comme il y a les César, les Oscars.

Il y a les Nagas.

Les Goya, non.

Les Lyon d'or, non.

Qu'est-ce que ça peut être que ça ?

Ah, oui.

Déjà, il faudrait mettre la main sur l'histoire.

Si on pouvait mettre la main sur le titre du truc.

C'est détenu au noir ?

Ça a été adapté à la télé en série, sur Netflix.

À partout, en toutes sortes de choses.

Il y a eu des dessins animés, des films.

Disney, Disney l'a joué, ça ?

Disney, non.

Alors je peux vous dire que son cuisinier,

puisque je vous ai donné le nom,

donc de sa compagne, princess européenne,

Narda,

son cuisinier asiatique s'appelle Ojo.

C'est James Bond.

Et son valet africain,

il a un valet africain,

s'appelle Lotard.

Le fantôme.

Non, pas le fantôme.

C'est le magicien,

Mandrake, le magicien.

Mandrake, le magicien.

Bonne réponse

de Philippe Manovre.

Et oui, c'est Mandrake.

Il fait qu'il y a une cérémonie des Mandrakes d'or

qui récompensent

les meilleurs magiciens.

J'ai une autre question pour Daniel Genestar,

qui habite Saint-Rafael.

On va trouver ambiance filet dérivant.

Souquel autre nom

connaît-on mieux,

Nicole Barbe.

La femme à Barbe.

Nicole Barbe, c'est une écrivain.

D'ailleurs, il faut le dire,

elle est devenue surtout célèbre quand son mari est mort

le 23 octobre 1805.

Son mari était barband.

Non, écoutez ça, c'est bien.

Riel.

Vous avez raison d'essayer de faire marier le mort.

Mais je n'ai pas votre métier.

C'était un auteur, cette femme.

Non, pas du tout.

Elle n'était pas auteur et son mari non plus.

C'était à partir du moment où lui,

il est mort, François,

il s'appelait François de son prénom.

Je vais pas vous donner son nom,

parce que c'est évidemment son nom qui est célèbre.

Et là, d'un seul coup, Nicole Barbe

a pris la célébrité de son mari.

Ah bon, il avait quelque chose.

Ça va voir avec Dobois Arnais.

Il avait inventé quelque chose.

Inventé quelque chose ?

Non.

Elle, de toute façon, elle n'a fait que reprendre le flambeau.

Le flambeau.

Le commerce, même de son mari,

j'ai envie de dire.

C'est une bonne chose, alors.

Qu'est-ce qu'il vendait quelque chose ?

Ah oui, il vendait quelque chose.

Je vais vous dire, elle a fait le succès du commerce,

peut-être plus que son mari.

La durée ?

Elle a même envoyé un vaisseau entier

chargé des produits que vendait de son mari

à Saint-Pétersbourg en 1814

à la chute de Napoléon Ier.

Et ainsi, elle a devancé les maisons concurrentes.

C'est du champagne.

La trottinse du mari.

Et c'est la veuve cricot.

Bonne réponse du duo.

Manon, moi et Dutch.

D'ailleurs, Dutch,

c'est une marque de champagne aussi.

Oui, D-E-U-T-Z.

Mais c'est pas votre famille.

D'ailleurs, je crois peut-être leur rappeler.

Je suis le petit dernier.

Bon, c'est vrai que je descends de la porte des chottes,

mais n'oubliez pas pour les pètes.

Sinon, je dis tout, papy.

Je dis ce que tu as fait pendant la guerre.

C'est une marque de champagne.

C'est peut-être la veuve cricot

qui s'appelait Nicole Barbe.

D'ailleurs, il sort une édition limitée.

On va leur faire de la pub.

N'oubliez pas où j'habite.

Il sort une édition qui s'appelle la grande dame.

C'est elle.

Sardin épouse Clico.

Dites la veuve Clico.

Mme Poignée, qui est restée célèbre,

elle aussi n'avait pas de même commerce que sa mami.

Voilà.

Applaudissements.

Applaudissements.

Vous pouvez-t-on trouver

une chambre japonaise,

une chambre Louis XV,

une chambre hindoue,

une chambre médiévale

et une chambre moreste.

C'est Stéphie.

C'est le Chabanet.

Bonne réponse.

Applaudissements.

Bravo, bonne réponse de Jean-Jacques Perrony.

Il se trouve qu'il y a un livre

qui va être publié aux éditions Nicole Canet

qui raconte l'histoire de la célèbre maison close,

le Chabanet,

de 1877 à 1946.

Ce qui est incroyable

dans l'histoire de ce bordel,

de cette maison de passe.

Là où a débuté Christine.

Non, ça a fermé en 46,

il ne faut pas exagérer quand même.

Il y avait une chambre Louis XV,

une chambre hindoue, une chambre directoire,

une chambre médiévale, une chambre moreste,

mais la chambre japonaise

fut récompensée lors de l'exposition universelle

de 1900.

Attendez, c'était quand même

un rendez-vous mondial.

Exactement.

Le futur édouard 7, surnommé Bertie.

C'est Lucas Abdiquay.

C'est lui qui s'est marié.

La vie de Maupassant, lui-même,

fréquentait le Chabanet.

La même Marie du Chabignoir,

du Chabanet à Édouard 7,

il prenait des belles champignes

avec quelques putes à l'intérieur.

Exactement, ça a fermé en 46.

Le 16 à 1846.

En 1951, Maurice Rhin s'a vendu aux enchères

la fameuse chaise de Volupté,

d'Édouard 7.

C'était quoi ?

Un trou ?

Non.

Le Chabanet avait effectivement

une baignoire à champagne

de cuivre rouge qui fut vendue

aux enchères par Maurice Rhin

en 1951, même tant que la fameuse chaise

de Volupté, d'Édouard 7.

La chaise de Volupté,

je ne sais pas exactement

de quoi il s'agit, mais c'était

une chaise qui avait fait construire

exprès pour lui, d'Édouard 7.

Le champagne était chaud après.

Il y avait 20 à 35 pensionnaires.

C'était une maison qui tournait,

monsieur, et puis bienvenue.

Et le futur roi Édouard 7

avait fait donc construire

ce fauteuil sur mesure,

un fauteuil à étrier métallique.

Purer ?

Purer après ça, alors.

Il y avait 5 maisons

closes célèbres,

à l'époque, à l'Varie.

Le Chabanet,

le Sphinx,

la Fleur Blanche.

Je ne le connais pas.

La Fleur Blanche, il était où ?

Je ne sais pas, je n'ai pas les adresses.

Le sujet n'est pas enfouillé.

La rue des Moulins.

Et chez Marguerite, ça oui.

J'aimerais bien qu'on les rouvre.

Ça ferait des comédiennes en moins

et des journalistes en moins aussi.

Tristine, vous qui en connaissez,

des prostitués puisque

il y en a plein dans votre rue.

J'en ai plein chez moi, je les connais bien.

Comment ça chez vous ?

C'est vous le nouveau Chabanet, c'est chez vous ?

Mais non, mais Tristine,

les petites pièces, elles ou sont bidées ?

Non.

Après Mme Claude, Mme Christine.

Elles sont bidées.

On les racontait alors.

Il n'y a rien à raconter.

C'est mes potes, c'est les anciennes.

Elles ont maintenant entre 60

et il y en a une qui bosse

encore à 85.

Là, pardon.

C'est soldé un peu, non ?

Non, mais là, ça ne monte plus qu'à l'entressor.

Et de toute façon, je vous ai déjà dit

la dernière fois qu'elle voulait plus baiser.

Là, elle arrête, ça y est.

Maintenant, elle fait quoi ?

Elle m'achouille.

Oui, elle m'achouille.

Vous connaissez l'histoire de la vieille pute,

à 85, il y a encore un client ?

Non, les y.

Le mec, il a fait le tour de Paris,

c'était des prix exorbitants.

Elle dit que c'est 20 euros l'amour

et 25 euros la sedémie.

C'est ce que j'ai trouvé moins cher.

C'est ce que j'ai trouvé crépit.

Il monte dans la chambre,

il lui fait son affaire et tout,

il ne regarde pas trop le visage.

Elle se retourne à salon sur le vent,

lui, il fait son affaire.

Et à la fin, il fait « combien je vous dois ? »

et la vieille se retourne.

Elle dit « je ne sais pas, t'étais où ? »

Oui.

Elle a rien senti.

Caroline Diamant, elle revient de vacances.

Il faut le dire, elle était absente depuis 8 jours.

Elle revient avec une nouvelle couleur de cheveux.

Regardez.

J'avais pas vu les poils.

Salut, va bien.

Tout est assorti.

Qu'est-ce qui vous est arrivé ?

On m'a proposé un biopic.

C'est-à-dire ?

Mélanie Farbeur qui aurait pris 50 kilos.

Elle est rouge.

Oh non !

Madame Mime dans « Merlin en chanteur ».

Vous devriez trouver beaucoup de réponses

à nos questions.

Bravo.

Bravo.

C'est pas pour rien.

C'est pas pour rien.

C'est énorme.

On ne dit pas « c'est énorme » devant Caroline Diamant.

Pardon.

Une première citation pour Véronique Nicolas

qui habite Villabon dans le chair.

Qui a dit « on ne m'invite jamais à dîner »

ou alors le lendemain,

quand on me dit si on te demande,

tu diras qu'on a dîné tous les deux hier soir.

C'est un homme.

C'est un comique.

Vivant.

Francis Blanche.

Jean-Yann.

Cime.

Excellentes réponses de Jean-Jacques Perrony.

Une autre citation

pour Nidha Laouade

qui habite « le bris est en Suisse »

qui a dit « il était tellement cocu

que pour baiser sa femme,

il était obligé de se déguiser en voisin.

Jacques Chazot.

Sacha Guitry.

A Guy Bedos.

Non, un français dramaturge.

Écrivain, cinéaste.

Il est mort en 1974.

Marcel Pagnol.

Marcel Pagnol.

Bonnes réponses de Psytox.

Il parlait Psytox.

Et toi aussi, tu te déguises en voisin,

nom de toi en temps.

Une autre citation pour Jean-Marc Gérboli

qui habite Romania dans le Puy de Dôme

qui a dit « coucher avec un vieux,

quel horreur, mais avec un jaune,

qui travaille ».

C'est un homme.

C'est une femme.

Madame Macron.

Non.

C'est une femme mariée beaucoup,

Jean-Gloria Lasso.

Claude Sarotte.

Françoise Dorin.

Je ne suis même pas sûr qu'elle a été mariée.

Elle a eu un amant célèbre.

Mais est-ce qu'elle a été mariée ?

Je ne suis pas certain.

Alice Saprich.

Qui sont d'un amant célèbre ?

C'est Paz Navour.

Guillaume Anotto.

Il n'est pas célèbre.

Sur amant célèbre, on va garder amant.

Elle a eu un amant.

Encore une petite citation.

Avec joie.

Qui a dit,

pour Anthony Bisol,

un peu plus compliqué à retrouver,

« la nourriture anglaise c'est bien simple,

quand c'est chaud c'est de la bière,

quand c'est froid c'est de la…

C'était un comique, oui.

Benny Hill.

C'était un français.

C'était pas un anglais qui a dit ça.

C'était un français.

C'était quelqu'un qui mangeait beaucoup.

Il était un peu rond.

Non, il était plutôt svelte.

Il était, d'ailleurs,

il doit pêtre.

Décédé.

Je pense qu'il est toujours vivant.

On ne le voit pas tous les jours rater les gens.

C'est ça.

On ne le voit pas tous les jours rater les gens.

C'est vrai qu'il y a longtemps qu'on n'a pas entendu parler de lui.

Un comédien.

Un comédien, un chansonnier de l'époque.

Jean-Valton.

Pierre Douglas.

Il a fait partie d'une troupe de chanteurs

qui devartent ensuite les compagnons de la chanson.

Ah, l'un des compagnons de la chanson.

Bonne réponse de Carl-Lizabeth.

Je viens de vous le dire.

Ça, c'est pas à peine de me péter.

Il a fait partie d'une troupe

qui a ensuite été appelée les compagnons de la chanson.

Exactement.

À l'époque, ça s'appelait les compagnons de la musique.

Et puis, c'est devenu ensuite les compagnons de la chanson.

Alors, le seul qu'on connaît...

Sacha Distel.

Le Sacha Distel, c'était plutôt Réventura et son orquestre.

Alors, la dernière version.

Alors, celui qu'on connaît dans les compagnons de la chanson,

c'est Paguibert, mais l'autre.

Ben, cherchez plutôt celui que vous ne connaissez pas.

Ah, mais comment voulez-vous que je trouve le nom

de quelqu'un que je ne connais pas?

C'est bien ce que je vous dis.

Et il a fait du cinéma?

Un peu dans La Grande Valle-Rouille,

dans Vidoc, dans Minouche et dans Le Viagé aussi.

Jacques Baudouin.

Bonne réponse de Jean-Jacques Perrony.

Rinevine et Houdt Chaptaille et Amir Chinar,

tous les trois en 2008, c'est pas si vieux,

ont créé quelque chose

qu'ils ont très bien revendu 5 ans plus tard,

puisqu'ils ont réussi à revendre

leur invention 5 ans plus tard,

893 millions d'euros.

Alors ça doit être dans le domaine de l'électronique?

Non, c'est une application.

C'est Wwise.

L'application Wwise,

excellente réponse

de Florian Gavant.

Eh bien, je sais pas.

Moi, j'ai pris un chauffeur de taxi

et il avait justement Wwise.

Et c'est épatant parce que,

qu'est-ce que dit Wwise en plus des autres?

C'est qu'ils vous montrent par satellite

où sont les embouteillages.

Oui, les gens ne sont pas contents

parce que, du coup,

tous les automobilistes dévient

et se mettent à prendre des petites routes

où il n'y avait jamais personne.

Mais non, il y a des gens qui étaient super heureux

loin des embouteillages

et maintenant, ils ont un nom de Vanchéze.

Ça fait les gros titres de la presse quotidienne.

Il y a un mec qui a traversé mon salon.

Dites quoi comme voiture?

C'est de votre faute qu'il y avait plus de personnes

qui y passaient.

Mais les gens se plaignent, il a raison, en tout cas.

Ah ouais, vraiment, ça crée des problèmes.

Il y a une dame qui s'appelle Corinne.

Elle dit, avec mon mari,

on a acheté une petite maison rue du Canal

à Lyulsa en Sénémarne.

Il n'y avait pas un chat.

Maintenant, il y a des milliers de voitures et de camionnettes

qui passent devant notre maison,

coller les unes aux autres, ça klaxonne, ça râle.

Et alors qu'on était en paix dans notre pavillon

à cause de Wwise,

qui indique notre route pour éviter les bouchons.

Et bien, maintenant, on est dans la même merde

que tout le monde.

Mais dans peu de temps,

il y aura tellement de bouchons chez eux

que Wwise va donner un autre chemin pour emmener d'autres.

Alors non, il y a une astuce.

Il y a une dame, j'en reviens pas.

Une dame qui dit, alors moi, ce que j'ai fait,

parce qu'il y a trop de monde qui passait dans ma rue,

elle appelle régulièrement pour dire qu'il y a un accident

qui bouche la rue.

C'est bien.

Et on peut signaler.

Elle a l'application elle-même, j'imagine.

Elle met qu'il y a un accident.

Elle le signale régulièrement.

Quand vous dites qu'elle l'appelle souvent,

vous voulez dire qu'elle le signale sur son appli.

Parce qu'il n'y a pas quelqu'un au téléphone

qui prend note de tout le commentaire

de tout le monde dans le monde entier.

Vous voyez, Laurent, c'est un algorithme.

On en voit par une petite touche.

On y voit là, un policier.

Et Wwise fait immédiatement.

Et pour qui il me prend ma nœuvre,

est-ce que je lui explique la big fly de moi ?

Vous avez une autre histoire avant une question.

Je vous ai posé orantaine la question.

Mais je ne voulais pas raconter.

En fait, c'est un mec qui apprend.

Il a une fiancée, il va aller la voir.

Il va dormir chez elle.

C'est leur première nuit d'amour

qui vont passer.

Et il a vu le mec en question dans une revue.

Il aurait une petite tendance

à être un peu éjaculateur précoce.

Et il ne voudrait pas la décevoir.

Et donc il apprend dans une revue

que c'est pas mal de se masturber

avant l'acte.

Ça permet de prolonger un petit peu

l'acte sexuel.

Bon, il est là.

Il a vu ça, il est dans sa bagnole.

On m'avait appris ça, moi aussi.

On faisait tout ça avant un premier rendez-vous.

On faisait tout ça.

Oui, mais moi après,

je n'avais plus envie de baiser.

C'est ça qui est chiant.

C'est que souvent après, c'était moins bien.

Après, c'était plus rien.

Et donc il se garde avec la bagnole.

Il voudrait bien.

Il se dit comment faire.

Il y a un petit jardin qui est là à côté.

Je ne vais pas aller dans un jardin.

S'il y a des enfants ou quoi que ce soit,

il dit dans la bagnole,

c'est un quartier un peu chicostre.

Il dit à des rondes de flics.

T'es cinq minutes, je vais me faire goller.

Et tout d'un coup,

il a une idée.

Je sais où je vais me mettre sous la bagnole.

Il a un gros 4x4 qui est un petit peu haut.

Le vlar allongé sur le dos.

Sous la bagnole.

Sous la bagnole.

Il ferme les yeux pour se concentrer.

Et il commence à s'astiquer.

Le ménir, comme on dit.

Et ça vient plutôt pas mal.

Il ferme les yeux et concentré.

Il sent quelqu'un

qui tire sur la jambe

du pantalon.

C'est monsieur.

Il sent que ça va venir.

Il ne veut pas lâcher le morceau.

Il continue à fermer les yeux.

Il y va, il y va.

Et là, il ressent.

Encore qu'on lui tire sur le pantalon.

Une voie assez ferme.

Comme une voie de flics.

Il lui dit que ce que vous faites monsieur.

Et lui, toujours en fermant les yeux.

Il est presque arrivé au bout.

Il dit, je regarde

le carter de ma voiture.

Je pense que

je dois sûrement avoir une petite fête.

Et là, le mec, il dit

vous veillerez aussi un coup

sur votre frein à main.

Parce que votre voiture,

elle est 50 mètres plus bas.

Elle a bien fait rire Ariel.

Vous n'avez pas honte, Ariel.

Non, mais je l'ai comprise.

Il est bien.

Il était tout mu comme ça.

Oui, oui.

Oui, oui.

Une question pour Agnès Lézé

qui habite Saint-Jean des Mauvrées

dans le Manéloir.

Qu'est-ce qu'un libre ocubiculariste ?

Les trucs de porte.

Libre occupé, les cannes-nains.

C'est-à-dire ?

Il y a un truc libre et occupé.

Aucun rapport.

Un rapport avec les livres.

Un rapport avec les libraires, les livres.

Avec les livres, oui.

Qu'est-ce que fait un libre ocubiculariste ?

C'est un métier, donc.

C'est un mec qui range les livres

par ordre alphabétique.

Non, mais effectivement,

ça concerne un livre ou les livres.

Dans les bibliothèques ?

Dans les bibliothèques, non.

Les librairies ?

Non plus.

Les imprimeries ?

Tavouk a été inventé par un écrivain

qui s'appelle Christophe Morley

dans un livre publié en 1919

qui vient du latin, évidemment,

libre ocubiculariste.

Ce n'est pas celui qui collectionne

les livres d'art, non plus.

Avec rapport avec la relure, les livres d'art,

non plus.

Est-ce que c'est une gluche spéciale ?

Je pense qu'on est tous, d'ailleurs, ici même,

plus ou moins, mais vous me le confirmez,

libre ocubiculariste.

On aime les livres.

C'est chez soi que ça se passe.

C'est pour regarder sans déranger l'autre

à l'emphathique lumière frontale.

C'est quelqu'un qui a des livres, c'est-à-dire ?

Non, entre les deux, il y a une marge.

C'est pas aussi précis que ce que dit Chantal,

c'est quelqu'un qui s'est décrypté

à l'écriture.

Non !

Qu'il est rouge.

Pas la peine de hurler.

Ce qui stabilait le boss.

Parce que c'est dans l'avenir, aujourd'hui,

j'ai l'objet de donner les réponses moi-même.

C'est un rapport.

La force de travailler avec une bande de cons,

forcément.

C'est un rapport avec un marquepage.

Non, non, non, non.

Ce qui corne le livre.

C'est une collection spécifique au livre.

C'est dans le livre.

C'est lié à un livre.

Il est à la nuit.

On se rapproche.

Ce n'est pas forcément la nuit.

Au lit, au lit.

Bonne réponse

de Valérie Travailin.

Il lit, au lit.

Ça a été un long avenir, cette affaire-là.

Oui, mais moi, je l'aime dire qu'au lit.

Alors, vous êtes libre au cubiculariste.

Je vais te m'en souvenir.

Oui, oui.

Je ne suis peut-être pas plaisant pour votre camarade.

Mais ça peut m'arriver de lire sur le lit

dans la journée, mais j'aime lire allongé.

Ah, très bien.

Mais le soir, pas quand vous êtes avec votre compagnon.

Si ta femme allait en train de lire pendant que tu la baisses,

c'est qu'il y a un truc qui ne va plus.

Vous lisez au lit, Monsieur Fabrice.

Toujours, toujours.

Très régulièrement.

Libre au cubiculariste de plus.

Ariel, vous lisez au lit.

Oui, ou sur une méridienne.

Allongé.

Oui.

Avec une liseuse.

Et un tourneur de page.

Et vous lisez au lit, Monsieur Jean-Saint.

Je dis la télé, oui.

J'ai une question maintenant pour Monsieur Jean-François Jansen

et madame Valérie Maires.

Car il me réclame des questions faciles.

Contemporaines.

De plus d'eux.

Non, pas contemporaines.

Dans ces cas-là, je sors.

Ma boîte à charades.

On l'adore.

Et j'ai donc une charade pour Jean-François et Valérie.

Même ça, je ne suis pas sûr.

Mais si, si.

Une charade pour Pierre-Berti Paul qui habite guest en berce

et dans le morbillon.

Écoutez bien.

Mon premier bavard.

Mon deuxième est oiseau.

Mon troisième est chocolat.

Et mon tout est un très bon gâteau.

De quoi s'agit-il?

Bavard, roi.

Mon premier bavard.

Mon deuxième est oiseau.

Mon troisième est chocolat.

Mon tout est un très bon gâteau.

Bavard, oiseau, chocolat?

Bavard, excellent!

Ah!

Ah!

Ah oui, c'est une fausse charade.

Mon premier bavard, c'est bavard.

Mon deuxième est oiseau.

C'est oiseau.

Mon troisième est chocolat.

Bavard, oiseau, chocolat.

Bavard, oiseau, chocolat.

Ah!

Vous avez décidé depuis où vous emmerdez du tout.

C'est une fausse charade, maintenant.

Mais c'était amusant.

Oui, mais pas simple.

Vous en voulez une autre?

Paris-Brest.

Elle est pas mal.

Mon premier est une étendue d'eau.

Mon deuxième est le cri qu'on pousse

en s'apercevant

il y a quelques années

au début du loto qu'on avait perdu au loto.

Mon troisième est très étroit.

Mon tout est une des plus célèbres maisons.

L'Élysée.

L'Élysée, non.

Mon premier est une étendue d'eau.

Mon deuxième est le cri qu'on poussait

au tout début du loto quand on avait perdu.

Mon troisième est très étroit.

Du loto?

Oui, du loto.

Maison de couture, c'est?

Maison de couture, non.

Mon premier est une étendue d'eau.

Le lac?

Vous avez votre premier.

Mon deuxième est le cri qu'on poussait

au début du loto quand on avait perdu.

Merde!

D'encu.

D'encu.

D'encu.

D'encu.

D'encu.

D'encu.

D'encu.

D'encu.

D'encu.

La comédie française.

Alors expliquez.

La comédie française.

La comédie française.

C'est 13 et 3.

Alors ça donne.

La comédie française.

Je sais gagner.

Bravo.

Bravo.

Mon premier est une étendue d'eau.

Le lac?

Mon deuxième est le cri qu'on poussait au début du loto

quand on avait perdu.

Faites-le en bourgule.

Je sais pas qui disait ça.

La comédie française.

La comédie française.

Mon troisième est 13 et 3.

16.

Mon tout est une des plus célèbres maisons.

La comédie française.

16.

C'est gagné.

16.

13 et 3.

13 et 3.

13 et 3.

13 et 3.

Oui c'est le but.

C'est beau avoir une femme qui comprend.

Imaginons cher Jean-François que ce soir

vous avez un dîner à la maison avec des amis

et vous essayez de ressortir cette charade.

Vous êtes capable de la refaire.

Vous êtes capable de la refaire.

Allez-y moi.

Mon premier.

D'accord.

Alors ils vont attendre.

Mère.

Ils sont bizarres.

Mon deuxième c'est ce qu'on disait au début de l'auto

quand on s'apercevait qu'on avait perdu.

Ils vont dire c'est compliqué ça.

Oui mais il réfléchit bien quand même.

Mon troisième est 13 et 3.

Et le tout est une célèbre maison.

Ils vont chercher.

Ils vont chercher.

Ça tu vas jubiler ?

Mais ils parlent tous comme toi tes amis.

Et tu vas dire avec une évidence

la comédie française.

Et après faut expliquer.

Étant du dos Lac.

Le machin, le truc là.

Qu'est-ce que j'ai dit ?

Qu'est-ce qu'on disait quand on avait gagné l'auto.

Quand on avait perdu l'auto.

Ils sont bien deux là.

Au Médit France.

Au Médit France.

Oh mon dieu.

Non pas mon dieu.

Au Médit France.

Et après 13 et 3.

Non 16 et 3.

13 et 3.

Parce que là ça fait la comédie.

13 et 3 19.

Ça fait la comédie France 19.

Ça n'a qu'un...

Et la maison, la comédie française.

C'est simple.

Il y a du dessert.

La première question de Gerard

concerne Alexandre Dumas.

Au moins vous avez le nom du romancier.

C'est déjà pas mal.

Et je vais vous demander

quelles sont les trois romans

d'Alexandre Dumas.

Donc vous l'aurez compris qui forme

la duchesse de l'Angers.

La duchesse de l'Angers.

Mon pensier.

Mon pensier.

20 ans après.

La trilogie des Valois.

Il n'y a pas une Marguerite ou une Margot.

Oui Marguerite de Valois.

Non Margot.

La Reine Margot.

La Reine Margot s'en fait un.

C'est déjà ça, bravo.

Il vous demande deux.

Le prince de quelque chose.

La duchesse.

C'est là quelque chose.

La Marquise.

Un roman historique d'Alexandre Dumas

publié en 1846

qui fait suite à la Reine Margot.

Il y a eu des séries, des feuilletons,

des films qui portaient aussi

le nom de ce roman

d'Alexandre Dumas.

C'est pas la nuit de quelque chose.

C'est un titre un peu comme ça.

La princesse.

La baronne.

La salope.

C'est vrai que ça fait très film porno tout de suite.

La simple.

La bourgeoisie.

La Reine.

La femme.

La demoiselle.

La dame de Monceau.

La dame de Monceau.

C'est le deuxième.

Bravo Caroline.

On a quand même eu du mal.

Ce qui est dommage c'est que c'était

les deux plus faciles.

La Reine Margot

et la dame de Monceau.

Troisième et dernier roman

de cette trilogie des Valois

écrite par Alexandre Dumas.

Et là on n'est plus du tout dans le nom d'une femme.

Ce n'est plus Reine Margot.

Ce n'est plus non plus la dame de Monceau.

Quel est le titre

de ce troisième roman.

C'est présent après

le massacre de la Saint-Bartélémy.

Est-ce qu'on peut le deviner

par déduction de titre avec les indices ?

Vous êtes vraiment grossièrement, oui.

Allez-y, nous, ça nous va.

J'aurais honte pour vous.

On fera un massacre.

On n'a pas d'honneur.

Le titre, c'est ce qui désigne

les gentils hommes gasconnes.

Les mignons.

Engagés par le duc des Pernons

favoris du roi.

Pour une mission dont ils ignorent tout

à leur arrivée dans Paris.

Ça c'est une aide grossière.

Ils sont destinés à former la gare

du roi, ils vont le protéger.

Les lanquinés.

Les soldats.

Et la duchesse de Montpensier.

La duchesse de Montpensier

et la sœur

va comploter pour faire enlever

le roi, le tondre.

Je ne réponds pas, c'est trop facile.

J'aurais honte.

Le roi

le forçait à entrer dans un monastère

afin de s'emparer du pouvoir.

Ça, c'est le complot

mais grâce au

le roi va échapper

à ce complot, grâce à qui ?

James Bond.

C'est pas de James Bond.

C'est donc grâce au pluriel.

C'est l'air quelque chose.

Grâce au muscutaire.

Les traîtres, non.

C'est le nom d'un groupe de garde royale.

Pas tout à fait, pas le nom.

Le surnom.

Je ne peux pas vous donner plus d'un disque.

Un petit surnom.

Les Chevaliers du Zodiac.

Ok.

Je crois que j'ai une idée.

Ça ne sera pas là.

Je vous le dis tout de suite, ça ne sera pas là.

Vous l'avez fait tourner.

Est-ce que ce ne serait pas le nom d'une arme ?

Non, non, n'insistez pas.

Les gardes écossais.

Les gardes écossais.

Non, demandez si c'est leur nom.

Je vous ai dit non, ce n'est pas leur nom.

C'est quoi ?

C'est un gros indice.

Les tuniques bleues.

Est-ce que c'est leur accoutrement ?

Non, c'est pas bête.

C'est un groupe de personnes, je vous ai dit.

Comment on peut parfois désigner ?

Les bandes.

Comment parfois on peut désigner un nombre ?

Les noms.

J'ai failli vous dire.

Les nombres.

Les 4.

Les 5.

Les 6.

Les chiffres.

Pour l'absence, vous avez trouvé qu'effectivement,

on les désigne par leur nombre.

Les 4 fantastiques.

C'est pas le nombre et on n'est pas arrivé.

Alors c'est parti.

Les 10.

Les centurions.

Entre 10 et 100.

300.

300 à ma gauche.

Mais 700, les 700.

700 à ma droite.

Entre 10 et 100.

C'est moins que ça quand même.

Les 12.

Faites-moi un peu Philippe Rizoli.

Vous ne faites plus, moins plus.

Vous avez tous des nombres en même temps.

Les 20.

Les 23.

Les 35.

Vous l'avez raté.

Est-ce qu'on a quelqu'un qui a lu le roman d'Alexandre Dumas

dans la salle ?

Oui, il y a une main là.

Déjà 300 euros sans vours de FCL.

A mon avis, lui, il a carrément rencontré Alexandre Dumas.

Et peut-être 100 euros de plus.

Il y a un monsieur là-bas.

Ne cours pas, Yoann.

Ne cours pas, tu vas te laisser ou tu vas te laisser quelqu'un.

Et peut-être qu'après la dame de mon soro,

après la reine Margaux,

on va avoir le troisième roman qui clôt la trilogie

d'Alexandre Dumas.

Bonjour Monsieur, comment vous vous appelez ?

Bonjour Laurent.

C'est votre première fois en grosse tête ?

Non, je suis déjà venu.

Je ne suis pas sûr que je tente les 45.

Eh bien c'est les 45.

Excellentes réponses.

100 euros pour vous, Monsieur.

Merci.

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Écoutez ou réécoutez l'émission des Grosses Têtes avec Laurent Ruquier du jeudi 24 août 2023.