Les Grosses Têtes: BEST OF - Les moments cultes

RTL RTL 8/25/23 - Episode Page - 1h 40m - PDF Transcript

On est désolés Marc, vous arrivez un mauvais jour, parce que la vedette c'est Platzane.

Vous avez entendu ce petit son, il a dit « Je suis ravive ».

Mais oui, il cherche un parti.

Oh non, il a déjà trouvé par monsieur Platzane.

L'avantage c'est que personne ne se dit « Ta gueule, tu fais chier parce que tu as trouvé

un appartement à tout le monde ». Excusez-moi d'être le numéro 1 chez les Cœurs des Français.

À votre avis, vous expliquez ça comment alors Stéphane ?

Saint-Paul Sartre disait « Ceux qui se contentent d'être même sont des salauds ».

Voilà.

Voilà.

Ça veut dire ton bain qui vous assise ?

Non, pas du tout.

On discute souvent philosophie et carrière.

Alors je serais de vous et je vérifierai d'abord que c'est bien de faire Paul Sartre.

Non mais écoutez, un peu de modestie Stéphane, vous êtes d'accord Jean-Phine ?

Je ne demanderai pas mieux, mais ça a changé à la maison vraiment.

Ah mais tout a changé.

Il a changé.

En deux jours il a changé.

Il ne me regarde plus pareil.

Oh, cela sent bien cette émission !

Christian O'Crain te dit que ça ne dure qu'un temps.

C'est pas pour vous que je dis ça !

C'est pas ce qu'il a voulu dire !

C'est vraiment pas comment le prendre.

Je lui conseille simplement de regarder la liste des gens auquel il a été préféré.

C'est votre animateur, on va prendre une petite jeune pour savoir.

C'est votre animateur préféré Stéphane Plaza ?

Pas du tout, c'est vous moi.

Écoutez, je vous dis la vérité, je veux rester.

Il faut regarder qui la paie.

Et vous, c'est votre animateur préféré Marc Stéphane Plaza ?

Moi je n'ai pas d'aniérateur préféré, mais en tout cas c'est un ami.

C'est quelqu'un très bien.

C'est beaucoup mieux, c'est beaucoup mieux.

D'ailleurs, puisqu'on en parle, je trouve que vous vous appelez bien souvent.

Quand je te dis qu'il est grincheux en ce moment,

j'ai découvert ça, vous avez changé, des correspondances.

Oui, on se dit bonjour de temps en temps, c'est normal, on entretient l'amitié.

Oui, ça sent pas de message à moi.

Tu peux me dire bonjour de temps en temps aussi ?

Je t'en envoie de temps en temps.

Il adore reste de temps en temps, vous l'appolliez pour lui dire qu'est-ce que t'es belle ?

Mais maintenant, il va s'agir de retrouver évidemment les auteurs,

et j'espère que vous allez briller, parce que c'est pas le tout d'être l'animateur préféré des Français.

Le plus intelligent, ce serait bien aussi...

Je croyais que ça allait être paire, mais enfin bon...

Je pense qu'ils ont voté aussi pour ma culture.

Évidemment, d'ailleurs, nous allons le prouver tout de suite avec une...

Jean-Paul Sartre.

Une première citation, et ce sera cette fois pour Foula Mésica,

qui habitait Pines sous Sénar, dans les sonnes.

Qui a dit, celui qui pense qu'on ne peut pas changer le passé,

c'est qu'il n'a pas encore écrit ses mémoires.

Français ?

Non, pas un Français.

Un Britannique ?

Un Britannique, non, un Américain, monsieur.

Oudy Allen ?

Oudy Allen, non.

Un écrivain ?

Non.

Un comédien ?

Un animateur télé ?

Non, un acteur.

Un acteur.

Droy, qui a fait du stand-up à ses débuts, mais Jerry Lewis.

Jerry Lewis, non.

Le président Reagan.

Mais il a dit qu'il était mort.

Le président Reagan.

Il n'a pas fait de stand-up ?

Non, mais il a été acteur.

Stand-up dans des films de Cowboy.

Vous me parlez pas comme ça, Rieland.

Elle m'a mal parlé, hein.

Il sentait un brin d'arrogance.

Je ressens bien cette émission.

Là, il s'agit d'un acteur qui a vraiment fait des films

grands-grands publics, il n'y a pas si longtemps que ça.

Robin Williams.

Pardon ?

Robin Williams.

Robin Williams.

Bonne réponse de Mélan Bédias.

Alors là, ça, c'est très bien, ma petite Mélan, vous voyez.

Je vous en prie, je vous rendrai fier.

C'est un français.

Je ne sais pas s'il a été insinéré.

Qui a déprosé.

Un français.

Il est mort à 83 ans en 2009.

Euh, Galabru, non ?

Non, pas Galabru, mais c'était un habitué des grosses têtes,

ça, c'est vrai.

Sim.

Et c'est Sim.

Bonne réponse.

Bonne réponse de Sainte-Marie.

Bonne réponse de Sainte-Marie.

Bonne réponse de Sainte-Marie.

Bonne réponse de Sainte-Marie.

Bonne réponse de Sainte-Marie.

Bonne réponse de Stéphane Plaza,

qui enfin retrouve ses philosophes préférés.

Oh, que c'est petit.

Alors là, vraiment, j'adore, Sim.

Alors je vais vous dire,

c'est vraiment, on n'y voyait aucune malice de ma part.

Pardon.

Mais moi, j'ai été sa femme dans Astéria.

C'est d'un scoop.

Ça a dû faire plaisir, ABHL.

C'est pas vraiment le même physique.

C'est vrai que vous avez été sa femme.

Il jouait H-canonix, voilà.

C'est vrai, il a été gentil avec vous, Sim.

Mais alors, nous avons quand même vécu un drame.

Parce que sur Astérix et Obélix,

on rigolait beaucoup.

Et il y avait le village des Gaulois

qui avait été reconstitué avec, etc.

Et il y avait un énorme, énorme, énorme cochon.

Des gars ?

Et alors, plus qu'un cochon.

Un sanglier, même, peut-être.

C'est mieux dans Astérix.

Voilà, dans Astérix, c'est ça.

Mais il ressemblait à une truie, quand même,

parce qu'il avait des...

Alors c'est une lait, dans ces cas-là.

Ah, une lait, c'est vrai.

Et oui, la femme du sanglier, c'est une lait.

Oui, et alors ?

Je pensais que c'était une pute, moi.

Pardon, je...

Et alors, Gérard de Bardieu était fasciné

par la grosse, grosse, grosse, grosse, grosse lait.

Et puis, après, il y a eu le fameux festin

avec des banquets, des goulois, et le sol.

Quelle difficulté, là ?

Et alors, Gérard venait de dire

à l'animal qui était là,

« Euh, dis-donc, dis-donc, t'as envie de mourir,

t'as envie d'être mangé ».

Et en effet, le sol...

Vous n'étiez bien de Bardieu, je vois dire.

Et le seul qui a mangé du sanglier toute la journée,

et bien, c'est Gérard, avec la grosse quaine

et tout ça, ça s'appelle quaine, le truc.

Voilà, la grosse quaine.

En tout cas, il a...

C'est le seul à avoir mangé

mais cet énorme sanglier dédématoire.

Mais quel rapport avec Sim ?

Et le drame, alors, c'était quoi ?

Eh ben, Sim, n'en mangeait pas, voilà.

C'est ça, là.

Passé derrière Sim et Ariel Dombal,

il reste à manger, moi, Gérard.

Sim et Ariel Dombal, c'est le seul couple.

Tu les mets sur un pès personne, les guilles bougent toujours pas.

C'est vrai qu'il était maigrichon, hein.

Je sais que ça agace Pierre Vénichoux

quand des femmes charmantes

comme Carine Le Marchand et Charlotte de Turquême

ont des mots que d'habitude,

on entend dans la bouche des hommes.

C'est vrai que je...

Ça le dérange, Pierre.

Non, ça ne me dérange pas.

C'est vrai que je pense que le comique grivoire

va mal aux femmes.

Voilà.

Vous, ça ne vous dépassait pas.

Ça me gêne.

Mais qu'est-ce que t'es réacte ?

Non, mais comme ça suffit de l'étonnement,

au contraire.

Mais qu'est-ce que t'es réacte, écoute ?

Je crois réacte.

Je ne vois pas ce que ça apporte

par la condition féminine

de dire, elle me montre trop du cul.

Je veux bien qu'elle ait l'égalité

pour le droit.

D'abord, parce que nous aussi,

nous avons un trop du cul.

Et deuxièmement...

Je l'ai vu le premier, hein.

Et deuxièmement,

je ne vois pas pourquoi vous auriez

un âge de ce genre de mode.

En plus de ça, carinez-moi.

On est suffisamment élégantes.

Absolument.

On veut dire des grossiertés

avec élégance.

Regarde, rien n'est voulu le guerre

dans leur bouche.

Rien n'est voulu le guerre.

Voilà, exactement.

Et donc, je suis désolée

que notre langage te trouve le cul,

mon petit pied.

Mais je continuerai

à parler comme j'ai envie de parler.

Et en plus, tu adores ça.

Casse-toi.

Ah, si, il aime bien.

Mais non, mais parce qu'il fait partie

de la vieille garde.

Pour eux, la femme, c'est la mère.

C'est sacralisé.

Mais pas du tout !

Pas du tout.

Je n'ai pas une mère, moi.

Oh, c'est ça.

Je n'ai pas une mère.

Je vais sur le trottoir.

Et bien, ça se voit.

J'ai mes 87 ans avant qu'ils me prennent.

Mais non, Pierre, il nous adore.

Dis-le que tu nous adores.

C'est combien ?

On est exactement, carine.

Alors que Stéphane adore, tu vois,

par exemple, nouvelle génération.

Ça t'excite un peu, toi ?

Ah, moi, ça m'excite grave.

T'aimes bien les gros mots, chalifière ?

Oui, oui, oui, oui.

Oui, oui, oui, oui.

J'aime bien.

Et pas seulement quand il fait des levrettes claquées.

Levrettes claquées.

C'est quoi ?

Qu'est-ce que c'est qu'une levrette claquée ?

Ah, avec la fécée.

Fécée.

Ben, c'est avec la fécée, tu claques.

Il adore ça, c'est ta spécialité.

C'est la levrette fécée, oui.

C'est ta spécialité.

C'est vrai, c'est vrai.

J'adore la levrette claquée.

Il adore la levrette claquée.

Ça, il a fait l'action.

Et la quoi ?

Il a fait l'action le matin, il aime bien.

La quoi ?

L'épipe.

Ah, la félation !

Bon, ça colluche.

C'est pas colluche.

C'est pas une félation.

Charlotte.

Elle pense que c'était la félation.

Elle pense que c'était la félation.

Vous voyez ?

Vous voyez ?

Dès qu'on les laisse voler de leurs propres ailes,

vous verrez, j'aime bien la félation.

Wouah !

Ben toi, t'aimes pas ça ?

Peut-être.

Parce que le goût reste dans la bouche, je sais pas.

Je crois qu'il est top.

Je pose une question culturelle.

Si je veux garder mon million et demi, ça monte.

Chaque fois, j'en rajoute un.

Pardon ?

Mon million et demi d'audits.

En mon avis, on a la perdu, là.

Une question culturelle pour Monsieur Valérie...

Madame, pardon, Valérie Wendling,

qui habite au Penheim, c'est dans le barin.

Pouvez-vous me donner le nom du révolutionnaire

à qui on doit cette célèbre phrase ?

On ne peut régner innocemment.

Saint-Juste !

Saint-Juste !

Bonne réponse de Pierre Benichou.

Vous n'avez plus trouvé Saint-Juste, Thierry Ardisson.

Je suis plus fort en roi qu'en révolutionnaire.

Oui, mais vous le citez dans votre livre, Saint-Juste.

La révolution est glacial ou éde glace,

un truc comme ça, parce qu'il faisait très froid.

C'est surtout au moment où ils se sont aperçus

que le petit Louis XVII pouvait régner.

C'est là qu'ils ont décidé de lui donner de l'alcool,

de l'eau de vie, des pilules d'opium,

jusqu'à ce qu'il signe qu'il avait couché.

Avec sa mère.

Avec Marie-Antoine.

Ce chapitre de Tony, c'est génial.

C'est vrai, il lui avait donné de l'alcool et de l'opium.

Il en confiait au coordonnier Simon,

le pauvre petit qui avait huit ans,

pour qu'il devienne un vrai citoyen.

Il lui en donnait de l'eau de vie, des pilules d'opium,

et un jour il a signé que sa mère n'avait forcé à coucher avec elle.

Quand il était encore à la prison,

il entendait sa mère et sa soeur et il disait

« Elles ne sont pas encore guillotinées, c'est de pute ».

Il disait ça ?

Il avait été conditionné.

Sur quoi la République est fondée ?

C'est vrai ce que tu racontes ?

Oui, c'est vrai.

Il est passionné en son livre.

On ne te l'a pas appris à l'école,

parce que les mecs ont écris l'histoire.

Je savais qu'il avait accusé sa mère,

mais je ne savais pas qu'on l'avait drôle.

On a arraché cet enfant à sa mère en prison,

et on l'a conditionné.

C'est terrible.

J'ai joué Marie-Antoinette.

Tu le ressens un peu.

Qu'est-ce qu'elle a dit ?

C'est vrai.

Ça vient d'accéder sur les épaules.

J'ai joué Marie-Antoinette dans le film de Jefferson à Paris.

C'est vrai ?

C'est vrai.

C'est là que je me suis rendue compte

que j'avais du sang en resto dans les veines,

parce qu'à partir du moment

où j'avais le costume de Marie-Antoinette

dans la galerie des glaces,

il y a un malheureux figurant

qui m'a marché sur la traîne,

et je me suis retourné avec une tête,

mais mauvaise que...

On ne piétine pas la haine de France.

Vous vigez de preniez au jeu.

Non, mais franchement, j'étais à la maison.

La bife est loin.

Tu n'as pas pu faire de la résistance.

Les nazis, ils mangeaient ensemble.

C'est vrai ?

C'est vrai ?

Oui, c'est toujours con.

Les nazis d'un côté, les nazis...

Vous racontez dans votre livre,

à vous aussi,

il y a un état de trucs vraiment amusants

dans votre livre Gérard,

Rendeur de votre enfance aussi,

c'est très émouvant,

mais il y a un moment

où vous racontez une histoire

que George Ford vous a soufflée

à l'époque de la télévision en noir et blanc,

où les pièces de théâtre se jouaient

et les téléfilmes se jouaient en direct

à la télévision,

il y avait qu'une chaîne,

ou deux peut-être,

c'était en noir et blanc,

et les acteurs jouaient les feuilletons

et les séries dramatiques,

les grandes dramatiques en direct.

Et les acteurs avec donc porc,

évidemment, du trou de mémoire.

Et racontez ce qu'ils faisaient, alors ?

C'est ce qui m'a raconté, ça,

oui, le type a eu un trou de mémoire,

total,

et il a eu un réflexe d'enfer,

il a continué à bouger les lèvres,

et comme à l'époque, il y avait plein de coupures de son,

les gens ont pensé que...

C'était une coupure de son,

et il a retrouvé sur la mémoire,

il l'a renchaîné,

parce qu'il y avait toujours des pannes à l'époque.

Donc le mec, je le trouve, a un coup de génie.

Il continue à bouger les lèvres sans rien dire,

et comme ça, tous les gens ont pensé qu'il y avait une panne

sur le télévision.

Quel est le coureur le plus titré

de cette classique qu'on appelle...

Eddie Merks.

Pardon, Eddie Merks.

Eddie Merks, avec cette victoire

du Milan Saint-Rémo.

Mais je vais oublier le cyclisme

pour rester à Saint-Rémo,

parce que cette ville est aussi célèbre

pour plein d'autres raisons,

un festival de chansons

que vous connaissez,

voilà, le festival de Saint-Rémo,

où le fiancé d'Alida s'était suicidé,

évidemment,

Saint-Rémo, c'est à la frontière,

en France, évidemment.

Et puis, c'est là aussi, Saint-Rémo est mort,

une célébrité, le 10 décembre 1896,

célébrité décédée d'un accident

vasculaire cérébral,

célébrité qui avait longtemps vécu chez nous

en France, mais qui avait décidé de passer

la frontière pour vivre à Saint-Rémo,

qui est mort à Saint-Rémo le 10 décembre 1896.

Un russe, c'est un français.

Moi, je pense que c'est un anglais.

Alors, ce n'est pas un russe,

ce n'est pas un anglais non plus.

Alors, un français non.

Un italien.

Un italien non.

Un européen.

Un européen, oui, un allemand non.

Il est mort à quel âge ?

Alors, il est mort, il avait 63 ans.

Un homme de littérature ?

Littérature, non.

Il est mort de théâtre, un homme de théâtre.

Je suis obligé de vous dire de littérature,

c'est amusant, parce que non,

et en même temps, il est devenu au fond,

finalement, lié aussi à la littérature.

Il est devenu un héros roman ?

Parce qu'il a un prix,

il a un prix qui parle son nom.

Et c'est donc...

Lui de lui.

Poulitzer.

Poulitzer, non.

C'est un prix qu'on remet tous les ans.

Ah oui, oui, oui.

Le prix l'épine ?

Il y en a plusieurs.

Très connu.

Ah, il y en a plusieurs.

Non, c'est Michaud qui remet le prix l'épine.

Eh ben, c'est Monsieur Jean Nobel.

Comment vous l'appelerez ?

Jean et Monsieur Nobel.

Alfred Nobel.

Alfred Nobel.

Bonne réponse de Laurent Bassi.

Alfred Nobel.

Caroline.

Caroline, hein.

Parfois, non.

Caroline, elle a dit Jean Nobel.

C'est pas mal quand même.

Ça va, je me suis trompé.

C'est pas mal, Jean Nobel.

Mais j'ai quand même Nobel.

Oui, et qui c'est Alfred Nobel,

Yoann Riou quand même ?

Je cherche un géne mot,

vous savez,

avec violence sans Rémo,

de faire un truc avec sang,

vous savez.

Et dis-nous pas que tu trouves,

dis-nous pas que tu fais.

Vous savez le truc sans famille,

c'est quoi ?

C'est Rémi sans famille.

Non, ben, Rémi.

Si vous cherchez un jeu de mots

qui plaira à la maison RTL,

vous pouvez dire qu'ici, maintenant,

on critique les films

et le cinéma sur RTL,

sans Rémo.

Ah.

Rémo for la nuit.

Rémo for la nuit,

RTL,

et longtemps critique,

ici, vous voyez.

Et François Mitterrand,

mangeait du jambon sans Daniel.

Qu'est-ce qu'on rigole ?

C'est quand même un beau métier.

Quelle dommage d'inviter des cons ?

Vous l'enviens sans l'air.

Vous avez peur,

parce que c'est la relève.

Moi, je m'adore.

C'est pas la relève,

c'est un androïde.

Ce type n'existe pas,

c'est un programme aléatoire.

Aucun humain ne réagit.

Vous êtes surpris,

par Yohann Ruyot.

Ah, c'est le moins qu'on pique.

Quelles poissons

vous pouvez manger cru ?

Tous.

Bah, tous ?

Les sushis.

Quand tu le vides du sang,

tout de suite, là,

tu manges le coeur, tout de suite.

On n'est vraiment pas du homme quartier.

Si je te dise,

ça me fait plutôt plaisir.

Enfin, Pierre Benichu,

quand vous commandez des sushis,

chez sushi,

les sushis...

Mais non, c'est une...

T'as jamais vu

un poisson de ta vie ?

Pour toi, un poisson,

c'est un machin.

Un poisson de ma vie,

j'ai vu un beau macros, là, tiens.

Oh, c'est l'un d'aventure.

D'accord,

je suis peut-être

moins drôle que lui,

mais il me cherche.

Ma favelette.

T'es pas moins drôle que moi,

beaucoup moins drôle que moi.

Cristina, vous mangez

des poissons crues, vous ?

Bien sûr.

Avec ses parents, souvent,

le week-end,

on vous fait des...

comme ils font en Boisile,

là, avec...

En Cévitia, c'était bien.

En Cévitia.

Sa mère le fait très bien.

Vous connaissez la maman

de Cristina ?

Évidemment,

qu'est-ce que tu crois,

je connais tout le monde.

Bah, écoutez...

Non, faut pas.

Cristina, Cristina,

non, non, non,

c'est...

Le Cévitia, c'est au Pérou.

C'était comment sa mère ?

C'était au Pérou,

mais ça a descendu le sucre

chez toi.

C'est délicieux.

C'est délicieux.

Dans tout Paris,

il doit y avoir 3 restaurants

dans tout Paris,

où il y a du Cévitia.

Mais non,

il y en a dans tous les restaurants.

Tu vas pas beaucoup au resto.

Ben, forcément,

c'est bien.

Je n'ai pas d'argent.

Moi, je n'en ai pas tout

pour ma mère.

Non, mais...

C'est sûr.

Pourquoi tu serons vieux ?

Tout étiquette,

tout étiquette,

repas,

tu dépenses chez Pépé la viande.

Effectivement,

il n'y a pas de Cévitia.

Mais oui,

le Cévitia,

il y a tout le restaurant de Paris.

Dans le Paris,

partout.

Forcément,

si vous allez à la retonde

et vous avez une stress

quand même là,

autour de RTL,

il y a au moins 3

ou 4 restaurants,

vous pouvez dans le Cévitia.

Alors forcément,

je vous ai vu à table

hier,

ça m'a surpris,

et même un peu ému.

D'ailleurs,

je dois dire,

car je prenais mon taxi

en quittant RTL.

Je sais te dire bonjour.

Et je vous ai vu,

je vous ai aperçu,

j'étais très pressé.

Et j'ai vu mon pierre

tout seul en terrasse,

de chez sa vie,

le restaurant d'en face.

Personne ne veut plus

des jeunes avec son fils.

Il expose.

Et s'il reste,

ça peut venir les clients,

il en a une émettante

de 3 euros.

J'ai mangé

un petit pot de rillettes.

Oui.

Ah oui ?

Un verre de morgon.

Oui.

Et après ça,

je me suis tenté,

tu vois.

Il me dit,

qu'est-ce qu'il va te faire plaisir ?

Il me dit,

il n'y a plus de ceviche.

Je me dis,

comment il y a plus de ceviche ?

Il ne faut pas du ceviche,

enfin,

c'est sa vie.

Il me dit,

pas de soucis.

Je dis comment pas de soucis.

Mais non,

c'est assez accusé.

Je me dis non,

pas de soucis.

Je me dis,

J'ai dit, c'est vite fait, il m'en dit pas de soucher, on l'entend le pas.

Et j'ai mangé un foie de veau.

Il me dit, purer au fris, je dis non à l'anglais,

sans les pommes de terre, oui, à l'anglais, à ce pas.

Il ne savait même pas ce que c'était.

Et pourtant, c'est à l'instant, on est fondé en 1926.

– Encore une fois, à l'ère-t-enlèvement, on fait une chute.

– Non mais c'est quand même curieux, d'habitude,

je vous ai toujours accompagné.

Il y a quelqu'un qui n'est pas venu au rendez-vous, Pierre ?

– Non, j'ai plus de rendez-vous.

– Oh ! On a de la peine pour toi. – Personne le même.

– Merci. – C'est pas faux, là.

– Enfin, d'habitude, au bois, je sais pas. – Mais oui.

– Là, il y a bien une jeune femme au premier rang

qui va aller dîner avec vous ce soir.

Il y a une demoiselle, levée la main.

Les demoiselles qui veulent bien passer un peu de temps

et cuire méni-chou à table, levée la main.

– Oh, là, il n'y a personne.

– Il n'y a personne. – Il n'y a pas eu la dîner.

– Oh, allez, c'est rémunéré, allez.

– C'est payé, c'est payé. – C'est payé, c'est payé.

– Vous avez l'amontier des droits d'auteur du film.

On vous donvera la cassée de vidéo.

– Bonjour, le chien !

– Christiana, Christiana voulait pas faire un petit téfoc.

– Mais au moins, j'aimerais bien déjeuner avec toi, chérie.

– Je n'ai pas. J'ai déjà un mec.

– Une question pour Julianne Badaraco, qui habite au Rigniac en Dordogne

et ça concerne effectivement un chanteur et donc plusieurs chansons, même.

Ce chanteur, d'ailleurs, il faut le dire,

créa la maison de retraite des artistes à rice orangice.

– La Routourne ? – Pourquoi vous dites la Routourne ?

– Non, oui, ça s'appelle la Routourne.

– Non, la Routourne, c'est l'association qui permet de financer

la maison de retraite de rice orangice des lieux artistes.

– Lui, ce chanteur, il a créé cette maison de...

– Giorgius. – Ce n'est pas Giorgius.

– C'est Dranem.

– Laissez-moi terminer la question, quand même.

– C'est une question pour Monsieur Benichou, ça, normalement.

C'est Dranem. Bon, alors, je vais la changer, ma question,

puisque c'est Dranem et que vous avez la réponse péronique.

– Bravo, non, non, je l'ai pas. – Bravo.

– Quel est le plus grand succès du chanteur Dranem

qui a donc créé cette maison de retraite pour les artistes à rice orangice ?

– Ah, Pierre, viens, Pépère. – Les petits pois.

– Pardon ? – Les petits pois.

– Les petits pois. – Les petits pois.

Et c'est notre réponse, Périf Logérias.

– Allez-y, pois, les petits pois. C'est un légume d'y attendre.

Allez-y, pois, les petits pois. Ça ne se mange pas avec les doigts.

Mais comment vous savez ça ?

– Parce que je suis né il y a très, très, très longtemps

et j'ai un très bon chirurgien esthétique, c'est tout.

– Non, mais moi aussi. – Les petits pois, c'est son plus grand succès.

Il en a vendu 25 000 exemplaires.

– Non, 25 000 boîtes, on dit. – Ouais.

– En 1904. – Ouais.

– Ça date de 1904, cette chanson « Les petits pois, les petits pois ».

– J'adore cette époque. – Il a chanté aussi « Le trou de mon quai ».

– Oui, j'ai peur. – Ah, j'ai peur.

– Admirable. – C'est admirable.

– Une des premières chansons homosexuelles,

à revendiquer l'homosexualité.

« Le trou de mon quai ». – Le trou de mon quai absolument.

– Ah oui ? – Ouais, le trou de mon quai,

j'ai mis des petits pois d'ailleurs.

– Oui, on y met des rouleaux d'ailleurs, un peu peu à titre.

– « La cacahuaterra ». – Ah, ça je connais pas.

– « C'est une parodie de la violaterra ». – Ah oui, d'accord.

– Et alors une des chansons qu'elle a le plus marquées, son répertoire,

c'est « Petronie, tu sens la main ».

– Petronie, tu sens la main, tu sens la pâtisserie de ment,

tu sens la main de papier, en tordillée, dans du papier,

papier, papier, doré.

– Et ça alors ? Mais comment vous connaissez ce répertoire ?

– Mon arrière grand-mère, mon arrière grand-mère,

Dieu et son âme me chantaient « Petronie » quand j'étais...

– Mais ça doit être des chansons de poche-tron.

– Oui.

– Mon arrière grand-mère a été poche-tron dans le duo.

– Il y a deux chambres qui vous attendent,

un « Risse orangiste », les deux-là.

– Je la connaissais pas. – Regardez Pierre Benichou.

Alors là, il est, mais pas du tout, sur le cul.

– Non, je suis pas... D'accord, à la fin c'est...

– Tu sens la main en tordillée, en tordillée, dans du papier, gomme-mais.

– Gomme-mais. Ah oui, gomme-mais, pas doré, gomme-mais.

– T'es vraiment un pauvre con ?

– Il a chanté aussi « Vlal rétameur ».

– Ah non, ça je connais pas.

– Ça, vous n'avez pas « Vlal rétameur ».

– Non, mais il était avant Ouvrar alors, lui.

– Non, maintenant, on a « Vlal... »

« Vlal médiator », mais...

– Il a « Jambre en bois », sachez pas ce que c'est là.

– Elle en met une jambe de bois, et pour le sacre, on la verra.

– Elle avait mis le parents sous houdets, on est le caoutchouc.

– Bois, bois.

– Elle avait qu'une jambe de bois.

– Ça nous rajeunit, les jeunes.

– Mais c'est toujours la même chanson.

– Une chanson que j'aurais aimé connaître parce qu'elle prénom de ma maman Rémonde.

– Vous connaissez pas sa Rémonde ?

– Ah non, quand je pense à Rémonde, le femme...

– James Bond, James Bond.

– Et alors une autre question, alors j'imagine que là aussi ça a un lien avec le trou de mon quai.

– Henry, pourquoi n'aime-tu pas les femmes ?

– Ah oui, c'est bon.

– Il a chanté 100 en 1929 quand même.

– Imaginé.

– Evolution à l'époque.

– Être légume, l'enfant du cordonnier.

– Être légume, c'était bien pour la maison de Retour.

– Pour les petits pois, pour les petits pois.

– Et on en a trouvé une de Drannem dans la discothèque de Hertesque.

Ce qui n'est pas facile parce qu'on est en plein déménagement, écoutez ça.

– Il est un truc très rigolo qui s'appelle le yo-yo,

que je suis très heureux de jouer quand je peux.

Et pour cela je suis verni ma famille en ta prise,

ce petit jeu charmant,

le pratique à droite banque en ma zz de yo-yote.

– Oh !

– Oh merde, ça s'appelle...

– Je trouve sa merveilleuse.

– Quand ma zz de yo-yote.

– Dans sa petite main-bine, elle attrape la bobine,

pendue en deux, elle en fait ce qu'elle veut.

– Pendue en deux.

– Elle la quitte de la main,

puis la reprend soudain,

comme si elle tirait le boue dans ta haute chouette.

– En ma zz de yo-yote.

Petit jeu la bobote.

– Ça va être repris par Maître Gibson.

– Elle en joue avec moi.

– Quand ma zz de yo-yote.

– Écoutez ça monsieur, pas sans moquer, grâce à lui.

– Ah non, mais c'était très très drôle.

– Grâce à lui, grâce à lui, les artistes ont une maison de retraite.

– En plus.

– Un riz s'arrangit.

– C'est pas lui qui a fait Émilienne, non ?

– C'est quoi Émilienne ?

– C'était toi qui top à l'Émilienne.

– C'était toi, c'était toi.

– Où c'était pas toi ?

– C'était toi, ta mère a dit que tu reviendras.

– Que tu reviendras, que tu reviendras, que tu reviendras, c'est toi.

– Ah non, c'est pas lui, ça.

C'est George Milton qui a chanté Émilienne.

– Ah vous confondez George Milton et Drannan, c'est honteux.

– Mais vous savez, c'était une époque merveilleuse où les chanteurs…

– Drannan, Black M, vous croyez que c'est son fils.

– Les gens chantaient des chansons idiotes, et ça faisait des gros succès,

et je trouve ça génial.

Et moi, c'est pour ça que j'aime cette époque,

et je connais un petit peu l'époque, parce que je trouve ça formidable.

Et c'est fini, il n'y a plus de chansons idiotes.

– Il devait être homosexuel, effectivement, maintenant que vous me le dites.

– Il y a une autre chanson qui s'appelle « J'en suis ».

– Oui, c'est possible.

– Non, mais parce que c'était vachement là pour le coup de l'assumer à l'époque.

C'était vachement courageux.

– Ah, c'était les années folles, hein.

– C'est vrai.

– Depuis que je suis militaire, c'est pas rigolo entre nous.

Je suis d'une santé précaire, je me fais un mauvais sans fou.

J'ai beau vouloir me remonter, je souffre de tous les côtés.

J'ai le froid qui n'est pas droit à aller mouler trop épais,

les tibiaires à peuplage, j'ai le corps en lajeur, et puis j'ai ajouté.

Voyez-vous, c'est pas tout, j'ai les genoux qui sont moins, etc.

Ça, c'était ouf.

– Les grosses têtes de Philippe Ouvrar.

C'est un anniversaire de naissance.

C'est un grand écrivain et poète français.

Né, il y a pile 180 ans, jour pour jour, le 22 novembre 1842.

Alors je dis, français, attention, il a été naturalisé français en 1893,

mais il est né à Cuba, ce grand écrivain et poète,

académicien français.

De qui s'agit-il ?

– Le compte de l'île.

– Le compte de l'île, non.

– Donc il a été naturalisé en 93.

– Oui, alors vous écoutez.

– Si vous pouviez éviter de me goller quand je fais le pocus.

– Il a l'impression d'être au guichet B de l'administration.

– Il a un nom un peu espagnol.

– Oui, absolument.

– Merci à l'orca.

– Non, non, non, non.

– Barbé de Réville.

– Ah non, non.

– C'est très espagnol.

– Non, il est l'auteur.

– Ah oui, Barbé de Réville.

– Barbier de Réville.

– Non, il est l'auteur d'un seul recueil qui s'appelle les trophées.

On lui doit aussi les conquérants.

Des poèmes très célèbres.

Il a été élu à l'académie française.

– On veut dire qu'il a vraiment, dans la poésie et la littérature,

il a été un moment inspirant d'un nouveau mouvement, d'un grand...

– Bien sûr.

– Bien sûr.

– On connaît Cluiz.

– C'est un front temporain de Gérard de Nerval.

– Oui, alors écoutez, on va pas faire la liste.

– Non.

– Vous pouvez peut-être même me dire les gens qui habitaient dans le Mémimob.

– On connaît.

– Bien sûr.

– Il est dans de la gare de Michel.

– Oui, oui, c'est un grand écrivain poète, surtout français.

– Mais c'est pas vous que je posais la question.

Laurent, c'était à Mme Bachelot.

C'est affreux.

– Ça va lui revenir à Roselyne.

– Elle le connaît, elle le connaît.

– Et le mouvement dont vous parliez, j'imagine, M. Boblil,

c'est le mouvement des Parnassiens.

– Des Parnassiens par rapport à la gare Montparnasse.

Est-ce qu'ils adorent prendre le train pour aller à Bordeaux ?

Ils allaient dans la région Porte-de-Leste.

– Ah, y a, y a, y a, y a, y a, y a.

– Leur Picabia, il est barrenné très postérieure.

– Est-ce que vous pouvez nous donner le prénom ?

– Ah, il a un prénom composé, voyez-vous.

– José Maria de Heredia.

– Excellente réponse de Roselyne Bachelot.

José Maria de Heredia.

J'ai une autre question littéraire.

On va oublier José Maria de Heredia.

– Elle était un peu facile, celle-là.

– Pardon.

– Elle était un peu facile.

– Oui, oui, c'est vrai.

Alors, écoutez, je vais vous donner le nom d'un célèbre héros littéraire,

Georges du Roi.

Quel est le surnom de Georges du Roi ?

– Georges Géot.

– C'est pas Bellamy ?

– De Guy de Mopassant.

– Oh, de Mopassant.

– Excellente réponse de Madame Bachelot,

qui n'a pas été ministre de la Culture pour rien.

– Ah oui.

– Moi, je peux citer trois livres de Mopassant.

– Oui, ah oui.

– Je peux citer même quatre livres de Mopassant.

– Allez-y, allez-y, allez-y.

– Une vie, Bellamy.

– L'Orla.

– Boules de Suits, l'Orla.

Ha, ha, ha, bam.

Ouais, bah si, ouais.

– Roselyne, vous pouvez pas faire quelque chose pour qu'il me donne mon bac.

– C'est pas l'Orla, c'est l'Orla.

– Et vous ne l'avez pas parlé de la maison Tellier.

– Je ne suis pas là pour citer la culture, la haute couture, ouais.

– Non, mais c'est pas mal, hein.

– Non, c'est très bien.

Moi, qui pensais qu'il connaissait plus le guide Michelin que le guide Mopassant.

– Non, non.

– C'est pas de moi cette pierre d'axe, ça, je crois.

– Bravo.

– Bah oui, oui.

Mais alors, j'ai un autre héros littéraire,

puisque vous vous semblez très, très fort aujourd'hui,

peut-être plus difficile tout de même.

Fred Pelou, de qui s'agit-il ?

Il a 24 ans, il vit entouré de femmes.

Fred Pelou.

– Rastignac.

– Non.

Sa mère, même Pelou, est une ancienne courtisane

qui a toujours laissé son fils naviguer

dans une ambiance un peu parfumée,

une sorte de ginaissée où seule la beauté physique a son importance.

Il est l'amant officiel de Nounoun,

l'éat de l'onval, qui fut elle une demi-mondaine

et le considère comme un fils ou presque.

Tout ça, ça veut dire pute, on est d'accord ?

Non, non, mais c'est, voilà.

– Mais quel est le nom ?

C'est le titre du roman qu'on recherche de Fred Pelou,

livre célèbre, publié en 1920 pour la première fois.

– Ah, non, non.

– Ah, c'est plus tard, alors.

– C'est un livre célèbre.

– Très célèbre.

– Et le titre, c'est le nom du héros.

– Non, le surnom.

Je viens de vous dire le nom.

– Oui, c'est pareil, c'est ce que je voulais dire.

– Non, c'est pas ce que vous avez dit.

Fred Pelou, c'est son nom.

– Oui.

– Et ce que je demande, c'est le surnom

qui donne sa maîtresse, d'ailleurs, ici.

– Et est-ce que c'est un surnom un peu désobligant ?

– Non, non, c'est surtout que c'est devenu un livre

et un roman très, très célèbre.

– C'est chéri, chéri de Colette.

Excellent, très bon, c'est encore de Roselyne Bachelot.

– Ah non, là, vraiment.

– Trois sur trois, trois sur trois, Roselyne.

– Roselyne, vous n'êtes pas tente.

– Et quand il y a Roselyne et Paul El-Karai,

font commencer au chrono, vous les délimitez,

vous leur donnez un temps limite de réponse.

– Non, mais on les fait rentrer chacun

dans leur hôpital après l'émission.

C'était une bonne question, Darryl Woutmoul.

Une question pour Sénatia Maria, qui habite Paris, 11e.

De qui tant est-il le fils ?

– De Jeep ?

– Non, pas Jeep.

– De Hul ?

– De quoi ?

– De Hul.

Tant qu'Hul.

– C'est choquant, vraiment.

– Et en plus, il lève les bras.

Quand je pense que ce mec-là

va rentrer à l'Académie Française.

– De qui tant est-il le fils ?

– Le héros de chez Marvel.

– Marvel, non.

– C'est un dessin animé ?

– Alors, dessin animé, bande dessinée, oui.

– De Charles Dassault ?

– Non, c'est américain.

– C'est américain, oui.

– Est-ce que c'est un super-héros ?

– Alors, c'est pas un super-héros.

– Non.

– De qui tant est-il le fils ?

– Ça s'écrit.

– C'est un DX-man ?

– Non plus.

– Ça s'écrité à NK.

– Fritz Le Chat ?

– Fritz Le Chat, non.

– Ah ! C'est pas le fils de Hul.

– Mais non, il n'a pas de...

– Mais non, il n'a pas de...

– C'est tant qu'Hul qu'Alors.

– Des cinémons, là, Saint-Valentin a été agité.

– Betty Boop ?

– Non.

– C'est le fils du femme ou d'un homme ?

– Ah bah c'est le fils du...

– C'est intelligent comme question.

– Non, mais quelque part, vous avez raison,

parce que j'ai pas le nom de la mère,

je n'ai que le nom du père.

– Voilà, c'était ça, ma question.

– Le fils de Superman.

– C'est un vieux, vieux dessin animé,

genre Niquet, c'est ça ?

– C'est un vieux dessin animé.

– Le père est un personnage de BD.

– Alors, le père n'est pas le personnage principal.

– Est-ce que c'est Texas Avery qui l'a créé ?

– Non.

C'est Monsieur Segar qui a créé ce personnage

et ça a été repris par Anna Barber.

– C'est le popeuil.

– Les pierres à feu.

– Alors, le fils de Popeuil, il s'appelle...

– C'est Olivier.

– Non, Olivier, c'est la femme.

– C'est le fils de Popeuil ?

– Ce n'est pas le fils de Popeuil.

– Ce n'est pas le fils de Olivier.

– Ce n'est pas les gars qui vivent dans les cavernes,

le Flintstone.

– Non, le fils de Popeuil, il s'appelle Mimosa.

– Mimosa, oui.

– Mais tant qu'alors, c'est le fils de...

– De l'ennemi de Popeuil, le méchant ?

– Oui.

– Ah, comment il s'appelle ?

– Ah oui.

– Oui, oui.

– Il ne s'appelle jamais.

– Mais c'est le gros barbu avec les biscottos, là.

– Dans Popeuil, vous avez Olivier.

– Hercules, c'est sa fiancée.

Ils ont un fils Olivier Popeuil, c'est Mimosa.

Mais Mimosa n'a pas hérité de la force de son père.

– Oui.

– Parce qu'il n'a pas voulu manger des épinards.

Il déteste les épinards, Mimosa.

– Ah oui, le con.

– Alors, vous avez Gontran, l'ami de Popeuil,

qui lui mange des hamburgers.

– Oui, oui, oui.

– Et puis, vous avez le rival de Popeuil.

– Oui, oui.

– Chabal.

– Et lui, il a un fils, le rival de Popeuil,

qui s'appelle Tante.

– Oui, c'est comme Petit Bulaire, c'est le méchant.

– C'est le barbu.

– Pas Hercules, c'est pas Petit Bulaire.

– Il y a un jeune mot dans son nom.

– Miscoto.

– Ah non, il n'y a pas de jeune mot,

mais c'est un nom de méchant très connu.

– Un méchant.

– Donald Trump, non.

– Donald Trump.

– Vous savez faire la musique de Popeuil ?

– Popeuil de sel en main.

C'est tout ce que je sais.

– Un Popeuil de sel en main.

– C'est vrai.

– Mais où suis-je tombé ?

– Brutus.

– Comment vous dites-je ?

– Brutus.

– Brutus.

– Brutus, bonne réponse

de Péronie Gazan.

– Une question culturelle

pour Mme Mélaine Foucault,

qui habite rougier,

qu'elle, riche paysan,

échangea sa fortune

contre un titre de noblesse

avec M. et Mme de sote en ville.

– C'est dans un roman ?

– Bah oui.

– Un roman, non.

– Dans la réalité ?

– Dans la réalité, non plus.

– Dans un opéra ?

– Un opéra, non.

– Dans une peinture ?

– Non.

– Dans un film ?

– Non.

Qu'elle, riche paysan,

échangea sa fortune

contre un titre de noblesse

avec M. et Mme de sote en ville.

– Et une fable ?

– Une fable, non.

– C'est une pièce de théâtre, non plus.

– Une pièce de théâtre ?

– Oui, M. Benichaud.

– Je vais vous dire ce que c'est.

Georges Dandin.

– Excellente réponse

de Pierre Benichaud.

– C'est la pièce la moins sonnée de Molière.

– Exactement Georges Dandin

ou le mari confondu,

une des pièces de Molière

peut-être les moins connues,

c'est vrai,

mais je sais que votre ami Claude Brasseur

l'a joué.

– C'est pour ça que j'ai vu cette fois,

mais c'est une très jolie pièce.

Et il y a la fameuse formule,

quand tu dis qu'il est tellement malheureux,

que c'est affreux,

pourquoi ses beaux parents le méprisent,

pourquoi sa femme le quitte et tout ça,

mais il y a une voix qui lui dit

« Tu l'as voulu Georges Dandin ».

– Ah oui.

– Par là je vous dis ça

uniquement si vous avez une notion

d'arrivée marre,

des histoires de couilles et de machins.

Vous pouvez rentrer à la maison

le front haut.

– Une des dernières phrases

de Georges Dandin,

le personnage dans la pièce de Molière,

c'est « Lorsqu'on a comme moi

épousé une méchante femme,

le meilleur parti que l'on puisse prendre

et de s'aller jeter dans l'eau,

la tête la première ».

– Oh !

– Mon Dieu,

que votre esprit est d'un étage bas,

que vous jouez au monde,

un petit personnage,

de vous claquer muré

aux choses d'une ménage

et de l'entrevoir plein

de plaisirs plus touchants

qu'un idole des poux

et des marmeaux d'enfants,

les saisos gens grossiers aux personnes,

vulgaire,

les bases amusements

de ces sortes d'affaires,

à de plus haut plaisir,

enfin bon, sans juste apprendre,

bon, etc.

– Mettre en courbeau

sur un arbre bien fait

t'en êtes en chambé

qu'en fromage.

Mettre en renard

par l'odeur et l'éché.

– Oh, combien de marins,

combien des capitaines

sont partis joyeux

pour des courses lointaines

et jamais n'ont ramené la monnaie.

– Qui a dit-elle

en ouvrant les rideaux ?

Les voilà.

– Dites-moi, Laurent Rukier,

n'est-ce pas bientôt l'heure

de la publicité ?

– Non, je ne crois pas qu'ils...

– Qu'ils ont fait encore temps !

Car de Carrefour Market,

nous n'avons pas encore entendu

le son.

– Oh, c'est joli.

– Mais comment on va le faire

pour attendre encore 5 minutes avant

d'avoir la Véranda,

la Véranda,

la Reine des Vérandas.

T'as l'impression que les gens

passent leur vie à jeter des Vérandas.

– Mais c'était incroyable !

– Parce que la Véranda,

tu me suis dit qu'on fait notre excellent confrère.

– La Véranda fait au moins rimer ça

avec Bermuda.

– Je ne comprends pas,

il y a des pubs sur Ertel,

pour la Véranda.

– Stéphane Berne,

Stéphane Berne vend des Vérandas

à long terme de journée.

– Comme si c'était la Reine

qui arrivait, la Reine des Vérandas.

– La Reine est là !

La Reine, mais quelle Reine ?

– La Reine des Vérandas !

– Et d'un autre côté,

il y a Julien Courbet

qui vend des fenêtres aussi.

– On est dans le bâtiment !

– On est dans le bâtiment,

mais on ne touche pas beaucoup de briques.

– Merci Mr Bab.

– Jean-Cic Jansen,

vous êtes très impressionnés

de faire une émission avec Thierry Ardisson, je sais.

– Oui, quand même.

Ça reste un pilier de la télévision française.

– Et je l'ai déjà eu à bord.

– C'est pas vrai.

– Vous l'avez eu dans un avion, déjà ?

– Oui, mais il a été égal à lui-même.

– C'est-à-dire ?

– Tu dis des poulets, fais ouais.

Poisson, ouais.

Après, après, tu dis

du café, ouais.

Du thé, ouais.

Alors tu dis café ou thé, fais ouais.

Alors tu mets une tasse

et du café, du thé,

tu dis voilà du ouais, ouais.

– Ah, vous ne souveniez pas,

vous aviez eu Jean-François Jansen

comme Steward, d'abord.

Depuis, c'est devenu une vedette, vous savez.

– Oui, on se connaît pas

de faire une émission ensemble

il y a quelques temps,

je me suis une joie de le rencontrer,

c'est fait.

– Vous l'avez invité Jean-François Jansen

pour une émission que je vais faire

à la nuit.

– Qui s'appelle ?

– Chère Trin d'essayer.

– Mais toi, tu fais saluer les dernières.

– Non, faut dire, non.

– Chère Trin d'essayer.

– Mais faut dire la vérité.

– Tu vas rentrer à Loup Pierre Benichou.

– Non, c'était l'émission

avec Pierre Benichou.

– Ouf !

– Oui, si t'essais là,

je devais commenter son livre.

– Non, seulment.

D'autant,

d'autant que j'étais invité

trois, quatre fois chez lui

et que j'ai chaque fois

porté l'émission sur mon dos,

tu comprends ?

On en parle plus.

– Mais l'émission,

ça n'arrête pas cette semaine ?

– Ah, moi, si !

– Monsieur Diffentale,

à part apprendre,

vous avez démarré

les grosses têtes hier.

Chantal l'a dessous,

vous avez à tout expliquer.

– Oui, oui.

– A part,

quand j'ai mis le chantal

m'a tellement bien expliqué,

j'ai mis le t-shirt

de mon beau-père.

– Ah oui, Serge Gaspaud.

– Voilà.

– Parce qu'il vous a confondu

avec Yvon Attal hier,

pendant toute l'émission.

– C'est pas un hommage.

– C'est pas un hommage.

– Mais vous ne connaissez pas

Jean-François Jansen.

– Non, j'ai eu Yvon Attal.

– C'est vraiment un monde sans pitié.

– On n'ait jamais eu

Frédéric Diffentale avant.

– Non, j'ai pas eu cette chance, non.

– Ça, alors ?

– Oui, parce que c'est quelqu'un

que j'aime bien.

– Ah oui, c'est vrai ?

– Pierre,

quand même pour y accueillir

Frédéric Diffentale.

– Mais j'ai accueilli

Frédéric Diffentale.

– Comment vous dites ?

– Diffentale.

– Riffentale ?

– Non.

– Je connais, j'admire.

– Pierre Yvon Attal,

mais je l'appelle Riffentale

parce que je t'ai,

pendant la guerre,

j'ai connu un Riffentale.

C'était la mort de ma mère.

Il habitait à la commande entour.

Il était très vieil.

– Mais c'est mon grand-père.

– Il est venu.

– J'ai rencontré enfin.

– Il est venu en epéfie.

Il a tendu maman.

– Quelle belle histoire.

– Ça veut dire quoi,

Diffentale ?

– Non, je ne demande pas.

– L'étymologie de ton nom,

t'as vu ?

– Bien sûr.

– L'étymologie de ton nom,

ça va, si tu savais.

Valais Profonde, je crois.

– Ah !

– J'aurais bien bien

m'appelé Diffentale, moi.

– Oh, ça, c'est lit.

– Il m'a fait ma dédicace,

donc il a marqué.

– À toi, gros con.

– T'as des rames à viter.

– Il faut tirer Ardisson, quand même.

– C'est joli.

– Pierre, c'est pas très grave.

Vous avez fait quasi toutes les émissions.

Regardez, tirer Ardisson.

Il n'a jamais été invité chez Michel Drucker.

– Non.

– Il y a toujours une émission qui résiste.

– Voilà, toujours.

D'ailleurs, il n'est pas là Michel Drucker.

– Non, c'est normal, Pierre.

– Quelqu'un.

– Il parle de moi ?

– Non, de Michel Drucker.

– Alors, euh, chacun sur ma vie.

– Ah, je...

Pierre, moi, j'aurais une émission,

ça appellera Poitre Poitre,

et bien, tu seras mon premier invité.

Pour parler de ton livre.

Ton livre que je n'ai toujours pas eu,

que je réclame à Coréen.

– Non, non, non, non.

Tiens, tiens, tiens, tiens.

– Voilà, voilà, voilà, voilà.

– Ah ben, t'es...

– Ah non, mais là,

je vais dédicacer quelqu'un d'autre.

Je vais l'enlever.

– Regardez, il déchire la page.

– Je vais pas tirer.

– Enlevez pas trop de page,

il va plus en rester.

– Vous allez nous la gasser, là.

– C'est pas la méchanceté qui manque ici.

– Alors, rappelez-moi votre nom déjà.

– Marlène.

– Je crois qu'il est temps de démarrer

par une première citation.

Maintenant que tout le monde a fait connaissance,

une citation pour Christophe Lluis,

qui habite mores dans le jurat,

qui a dit, il est très difficile de trouver

une femme qui vous aimera de façon durable

pour votre argent.

– Ah, c'est bien, ça.

– C'est vieux, ça, non ?

– Ah, c'est pas si vieux que ça.

– Sacha Guittri.

– Non, non, non.

– C'est mort, c'est mort.

– Ah, c'est quelqu'un qui est là,

ce n'est plus là.

Autrement, il serait encore avec nous

au grosse tête, évidemment.

– Sim.

– Sim, non.

– Jean-Yann.

– Et c'est Jean-Yann,

évidemment, bonne réponse

de Caroline Diamant

qui a fait un peu le niveau

avec cette citation pour Annick Breher.

Quelqu'un que les jeunes ne connaissent

peut-être plus,

mais puisqu'on a ici quand même

des piliers du paf,

ils seront forcément retrouvés

l'auteur de cette citation

qui a dit, les ennemis,

ça n'existe pas,

ce sont des gens avec qui

on n'a pas encore déjeuné.

– Léonzitrone.

– C'est assez joli, quand même.

– Oui, c'est pas faux.

– C'est du Léonzitrone.

– Ce n'est pas du Léonzitrone.

– Mais ce genre-là ?

– Guilux, ce genre-là ?

– Guilux.

– Ça aurait pu.

– Pas si loin.

– Roger Lanzac.

– Roger Lanzac, non.

– George Decaune.

– George Decaune, non,

mais c'est quelqu'un, effectivement,

qui a été animateur à la télévision.

– Jacques Martin.

– Jacques Martin, non.

– Charles De Gaulle.

– Oh, Charles De Gaulle.

– Ouais.

– N'a pas été animateur

à la télévision.

– Avant ?

– Non.

– On le voyait tout le temps.

– Albert Reisner.

– Albert Reisner, non.

– C'est pas Geno 1.

– Et c'est Geno 1,

bonne réponse

de François Olivier Gisbert.

– Ah oui, mais il a dit

que c'était pas Geno 1.

– Une question pour Monsieur Kétier,

qui habite Grassez dans le chair.

Question qui est aussi un anniversaire,

puisque c'est il y a 60 ans,

en 1962,

qu'on a ouvert pour la première fois

grâce au PTT.

On a appelé ça les PTT à l'époque.

Qu'est-ce qu'il se passe ?

– Il y a un remaniement,

quelqu'un appelle Roselyne.

– Mon téléphone, ça, Roselyne.

Ça lui propose l'agriculture.

Elle aura tout fait.

– Non.

Le secrétaire n'allait pas,

je suis farci.

– En tout cas,

il ne propose pas les nouvelles technologies.

Elle a mis 3 heures,

elle n'est pas niquée.

– Ah, c'est vrai,

vous n'arrivez pas à être

un de vos téléphones portables.

– C'est pour le trouver

dans les sacs à main.

– Elle a quoi, comme

au fond d'écran, Fabrice Sarkozy ?

– Je vais lui montrer.

J'ai des gens

qui ont un petit calico

sur lequel il est marqué Roselyne, on t'aime.

– Ah ouais, c'est Sarkozy

à côté quand même.

Regarde, elle est maligne.

Ah non, rien à voir.

C'est Sarkozy et ils sont

tous les deux à poil.

– Il y a 60 ans,

naissait donc grâce au PTT,

disais-je, on appelait ça comme ça

à l'époque,

les Postes, si vous préférez,

ou la Poste, on dirait aujourd'hui,

naissait ce premier service

qui existe encore,

service de réponse

aux lettres d'enfants au Père Noël.

Parce qu'en effet,

les enfants écrivent chaque année

à cette époque de l'année

au Père Noël

et on peut leur répondre

si on envoie, évidemment,

la lettre à Libourne, c'est là-bas,

qui a une soixantaine de personnes,

d'ailleurs,

ils ont dû renongager un parent

puisque ça fait 60 ans,

une soixantaine de personnes

qui répondent

aux lettres du Père Noël.

Je sais pas, c'est toujours

la même lettre qu'il y a 60 ans,

mais en tout cas,

en 1962,

quand ce service a été inauguré,

c'est une lettre type

qui était renvoyée aux enfants en réponse,

mais qui avait écrit

cette lettre type de réponse

du Père Noël ?

– Prévert, prévert. – Prévert, non.

– Jean-Luc Lep. – Poète.

– Vincent Oriol, non, un poète, non.

– Pompidou. – Pompidou, non.

– Marcel Pagnol. – Marcel Pagnol,

un chanteur, non,

mais c'est quelqu'un

qui a un lien avec un chanteur.

– Ah ! – Ah !

– Qu'est-ce qu'il a fait

avec ce chanteur, la musique ?

– La musique, non.

– Il a écrit des paroles pour un chanteur ?

– Non plus. – Non, non.

– Il est le père d'un chanteur. – Pardon.

– Le père d'un chanteur. – Le père d'un chanteur.

– Le père d'un chanteur, je suis obligé

de vous répondre non.

– Non, le beau père. – Le beau père.

– Le beau père. – Le beau père.

– Le beau père d'un chanteur. – Non plus.

– Le père de la famille. – La mère d'un chanteur.

– La mère d'un chanteur. – Alors, qui est François Sdolto ?

– François Sdolto,

la maman de Carlos.

Bon, la réponse de Florian Gazan.

Et oui, c'est la célèbre pédiatre

et psychanalyste François Sdolto,

à qui on avait demandé, à 60 ans,

de la lettre réponse au Père Noël.

C'est une bonne idée. – Oui, très bonne.

– Il faut bien dire, vous répondriez quoi,

vous, au Père Noël ? Fabrice, c'est beau ici.

On vous demandait de faire la lettre type.

– Va voir tes parents. – Aux enfants.

Si vous voulez, moi, je vous fais la lettre de l'enfant.

Papa Noël, j'aimerais bien

pour le 25 décembre prochain

que papa et maman trouvent avec moi

au pied du sapin

une jolie mascotte et peluche

qui vient de frigir.

Parce que j'aime beaucoup le sport olympique

et j'aime beaucoup cette peluche rouge.

Je ne connaissais pas le beau friche

qui ressemble à un clitoris.

– Chère Laurent,

comme je suis le Père Noël,

j'ai aussi des pouvoirs

et je peux prédire le futur.

Et une mascotte en forme de clitoris

ne t'intéressera pas du tout.

– Pas le salaud !

– C'est un petit garçon

qui écrit au Père Noël de Libourne

et qui dit papa Noël, voilà.

Maman n'a plus d'argent, j'ai froid.

On est tous les deux tout seuls.

Je n'aurai rien, Noël.

Alors je voudrais bien avoir un bonnet

et puis des moufles.

Alors les filles qui ouvrent le courrier

sont très émues.

Elles se cotisent et elles achètent.

Elles en voient, elles achètent un bonnet.

Elles en voient le bonnet au petit garçon.

Et le petit garçon répond,

« Chère papa Noël,

j'ai bien reçu ton bonnet, je t'en remercie.

Quant aux moufles, j'ai bien compris

que c'était c'est ça l'eau de la poste

qui les avait piquées.

– Vous écrivez au Père Noël,

c'est sûr que Ariel,

qui restait une enfant,

le sait, Ariel n'a jamais pris une année de plus,

continue à écrire au Père Noël.

– Non mais je dois dire que

l'idée que Noël arrive

m'excite toujours

aussi intensivement.

– Mais c'est qui ce Noël ?

Vous faites des décorations à la maison et tout ?

– Oui, oui, là je suis terriblement

attirée par les petites lumières,

les mini-lumières.

– Ah, les petites.

– Ah oui, les petites.

– Elle est un bébé.

– Non mais il faut dire

que j'ai été élevée au Mexique

et il y a des Nabilades,

on le prépare toute l'année.

– Comment vous dites ? – La nuit de Nabilade.

– La nuit de Nabilade, pour jamais.

– Et alors c'est le jour

le plus important au Mexique.

– Et le plus beau cadeau de Noël que vous ayez reçu,

c'était quoi ? – Oh, c'est B.H.L.

– Ah, c'est quoi la fête ?

– Mais oui, parce que évidemment,

mais j'ai aussi reçu

et alors ça c'était extraordinaire.

Un chien qui s'appelait LEMPIE

et alors c'était un churrosquinkle.

– Ah, oui. – C'est-à-dire c'est les chiens,

churrosquinkle, c'est les chiens sans poils.

– Et tu l'appelais comment, Chimio ?

– Non.

Non mais les Aztecs

mangeaient ces chiens.

– Ah oui, on se disait,

c'est pas la churrosquinkle.

– Et d'ailleurs, pour Noël, les Aztecs,

on faisait les tekels en bûche de Noël, tu vois.

– Vous avez les Aztecs en point.

– On a comparé à Riel à un moustique

parce que quand même les moustiques,

ça vous emmerde que l'été, hein.

– Bon, fin et piqué, voilà.

– Oui, on était partis chez Noël quand même.

– Bah, il va nous engirlander en plus.

– Ouais, la différence entre

un curé et un sapin de Noël,

enfin, il n'y en a plus,

dans les deux cas, les boules sont décoratives.

– C'est pour ça qu'elle a faim.

– Plus chez les sapins que chez les curéens.

Karl Marx, homme du XIXe siècle,

une biographie fouillée, vivante,

avec, il faut le dire,

c'est ce que nous raconte la presse

des tas d'informations qu'on m'éconnaissait

sur Karl Marx.

Par exemple, il faut savoir,

et ça, c'est assez étonnant,

qu'en 1851,

un des meilleurs amis de Karl Marx,

Engels lui-même,

a rendu un énorme service

à Karl Marx.

Café Friedrich Engels

pour son ami Karl Marx.

– Il a fait ses courses ? – Non.

– Il l'a présenté à sa femme ? – Non.

– Mieux que ça. – Tu as refusé sa femme.

– Non plus. – Il l'a épousée.

– Non. – Il a témoigné pour quelque chose.

– C'est rapport à sa femme ? – Il y a un lien,

mais pas direct, mais c'est vrai que c'était,

en tout cas, pour pas que la femme de Karl Marx,

bêtise, je crois, elle s'appelait,

se fâche. – Après, qu'elle était conçue ?

– Il a fait un faux témoignage. – Mieux que ça.

– Il a endossé la responsabilité d'une relation...

– Au mieux encore. – Il a fait un enfant.

– Il a reconnu l'enfant. – Il a fait un enfant

avec la femme de l'autre. – La maîtresse de Karl Marx.

– Alors attendez, expliquez, vous êtes tout prêts.

– Il a reconnu l'enfant,

que Karl Marx avait fait avec sa maîtresse.

– Excellent, réponse collective.

– C'est dingue.

– Il s'appelait Groucho.

– Non, pas du tout, mais ce qui est vrai,

c'est que Karl Marx avait couché

avec la fidèle servante de la famille Marx,

qui s'appelait Helen, Helen Lenschen,

et pour ne pas faire de peine, évidemment,

à sa femme, il a, évidemment, fait cacher l'enfant.

Et c'est Engels qui a reconnu,

qui est devenu le père,

qui a reconnu la paternité de l'enfant,

qui était signé... enfin, signé...

– Il avait élevé qu'une grande barbe blanche

au procédé, quand même. – C'est quand même incroyable,

ça, il faut le faire.

Ça, c'est une vraie preuve d'amitié, quand même.

– La femme était au courant, puis c'était avec la bonne.

– C'est normal qu'il ait couché avec la bonne,

c'était du social, c'était un devoir.

– Ah oui, pour Karl Marx. – Bah voilà, vous avez raison.

– Ce qui est bien, c'est qu'ils n'aient pas renvoyé la bonne,

parce que généralement, c'était comme ça que ça se terminait.

– Un Marx et ça repart.

– Marx, même eu du mal

à séduire sa femme, au départ, sa propre femme,

Jennifer Westphalen, c'est le nom

de l'épouse de Karl Marx,

longtemps du courir après

pour la séduire et la conquérir,

parce qu'il n'était pas très beau, Karl Marx.

C'est ce que nous dit le magazine, ça m'intéresse.

Ce n'était pas un premier prix de beauté,

selon en tout cas les canons du XIXe siècle,

il était petit, il était petit.

– C'est du russe, c'est du russe. – Il était petit,

il était petit, il était petit.

– Il était petit, volu.

– Oh ! – Et si matent de peau,

mais à l'époque, évidemment, il n'était peut-être pas mat'

– Il avait beaucoup de peau ? – Non, non, non.

Il était si mat' de peau qu'on le surnommait le « mort »

– M.A.U.R.E. – M.A.U.R.E, c'est-à-dire,

aujourd'hui, on dirait le « maghrébin ».

– Le « mort » M.A.U.R.T. maintenant.

– Mais en plus, son hygiène était douteux.

– Oh ! – C'est tout pour plaire.

– Donc, vous êtes en train de nous dire

que le gars, il est petit, poilux et qui pue,

il arrive à séduire une femme

qui se laisse faire,

et il a fait cocu avec la bonne.

La femme, elle était peut-être moche, poilue et elle pue.

– C'est possible, c'est vrai. – Mais attends, faut voir la tête.

– C'était peut-être pas un premier choix.

– C'était son amie d'enfance.

C'était son amie d'enfance, M.A.U.R.E.

– Ah bah voilà. – Vous en saurez plus

dans la biographie qui lui est consacrée

« Karl Marx, homme du XIXe siècle ».

Non, mais c'est marrant d'apprendre des choses comme ça.

Il a été chaud-mort de longue durée aussi,

il faut le savoir, Marx,

sans le sous pendant des années... – Pas si puée.

– Des années... – Vous avez peur.

– Il était toujours fauché, c'était un amoureux fougeux.

Il n'était pas de diragénie.

Il chape, dit, slip, il chape, dit, slip.

Ce qui veut dire... – J'ai un tonslip, j'ai un tonslip.

– Mais c'est tant d'allemands, on est tonslip.

– Mais non !

Ça veut dire, je t'aime bien, je t'aime bien.

Il chape, dit, slip, il chape, dit, slip.

– Quoi, quoi ? – Je t'aime, on dit.

Le fait de rinquitter bien, ça enlève l'amour.

– Oui, mais il s'est bodiche, normalement.

– Ils étaient gamins, ils étaient gamins.

– Ah, quand ils étaient mômes.

– Mais oui, ils se consumaient d'amour pour elle

depuis qu'il avait 18 ans, vous voyez.

Il était là, il a couvré de lettres enflammées,

il lui écrivait des poèmes romantiques.

D'ailleurs, il y a un livre qui paraîtra,

qui s'appellera « Le livre d'amour » signé Karl Marx.

Mais génial, elle était terrorisée par cet homme.

– D'amour ? – Oui.

Il était en plus un peu violent, parce qu'il...

– Oh, la paix, la paix, la paix, la paix.

– Il y a toutes les qualités.

– Alcoli qui est impuissant, ben bonjour.

– Non, pas impuissant, obsédé.

– Il est enterré à Londres, dans un petit cimetière de Londres.

– Vous êtes allé sur la tombe de Karl Marx. – Oui, je suis allé.

Et ça sentait très mauvais.

– Bon, quittons un peu la culture pour...

– On m'en parlait d'une crise de huit, ça, plus t'avante.

– Pour les réseaux sociaux,

Monsieur Yoann Lesk, Émile Créteil et Esperin-Cheikh-Hertel,

je suis assez surpris de cette nouvelle tendance,

où on voit sur les réseaux sociaux des poules,

mais pas...

Vous voyez, merci de faire à la poule.

Vous n'êtes pas obligés d'illustrer vocalement

tout ce que je dis, Monsieur Beaugrand, vous voyez.

– Ah oui, c'est chiant.

– Mais c'est vrai que sur les réseaux sociaux,

il y a une nouvelle tendance, où on...

– Excusez-moi.

– ... où on montre en photo des poules,

mais sauf que les poules ont un petit plus autrement,

il n'y aurait pas d'intérêt.

– Est-ce qu'elles sont décolorées ?

– Alors décolorées, non.

– Elles sont peintes ?

– Peintes, non.

– Oui, oui, oui, je pense que ça...

– Un temps sur le montant, vous.

– Non, c'est faux.

– Allez, ça y est.

– Moi, je crois qu'elles ont du vernis.

– Non, mais c'est marrant que vous vous manifestiez,

parce qu'au fond, finalement, c'est assez logique,

car vous-même, on vous a vu exactement

comment on peut voir ces poules.

– Elles font comme j'aime.

– Elles ont des masques.

– Non.

– Alors, Laurent, pardon.

Est-ce que ce sont des vrais poules ?

– Vous pourriez faire partie de la collection que ces poules.

– Elles ont des lunettes ?

– Est-ce que ce sont de vrais poules ?

– Elles ont des perruques.

– Elles ont des perruques.

– Elles ont des perruques.

– C'est une nouvelle tendance.

– J'aime.

– Je pourrais vous montrer les photos après,

et évidemment, on mettra tout ça sur les réseaux sociaux.

– Elles ont des dents.

– Non.

– Vous tous aussi.

– Caroline aussi.

– Vous pouvez les affaire au fer, c'est pour ça.

– On les enlève, Caroline.

– Aujourd'hui, Caroline ne se montre plus comme ça.

– Toutes nues.

– Pas toutes nues.

Mais il fut, n'est pas,

qu'on pouvait voir Caroline,

comme on voit ces poules,

sur les réseaux sociaux.

– Mais on pouvait la voir bon ?

– C'est les photos.

– C'est les points, j'ai vu, en tout cas.

– C'était un truc erotique ?

– Ah, erotique !

– Mais non !

Mais je me poste des photos de moi

avec des masques,

c'est tout ce que je fais.

– Ah, c'était quand même un peu erotique,

je veux dire, moi.

– Ah, je sais, je sais.

– Des poulons-culottes.

– Ah, je sais.

– C'est des poulons-culottes en fringues.

– Non, en nuisette.

– En nuisette, non.

– En déshabillée.

– En pyjama.

– En pyjama, non.

– Avec un décolleté, c'est la seule chose

que j'ai éventuellement,

c'est que j'ai pris des photos

où j'ai un porte à décolleter.

– Une poule en décolleté.

Comment vous voulez mettre

un décolleté à une poule ?

– Une poule.

– On lui molle deux oeufs.

– Non, mais une poule,

ça n'a pas de gros nichons.

– Des baraisis.

– Des baraisis, non,

mais on se rapproche un peu.

– Ah, des talons.

– Des talons, non.

– Des plumes.

– Des bottes.

– Des bouts.

– Des cuissardes.

– Mais vous, vous les avez éloignées.

– Des crottes ?

– Ils cherchent ce que j'ai pu mettre

dans les relations sociaux.

Je ne mets que des photos

avec un masque.

– Elles suisent des verres de terre.

– Ça, c'est vrai que Caroline,

elle le fait.

– Elle couvre quelque chose.

– Est-ce que c'est lié

à quelque chose ?

Enfin, c'est pour séduire.

– Non, mais je dois dire

cette tendance.

J'ai un peu du mal à la comprendre.

– Est-ce qu'elles ont des...

– Un tutu ?

– Vous la comprenez.

– Elles ont des tutus.

– Une poule avec un tutu.

Bonne réponse de Florian Gazan.

– T'as posé un tutu, Caro ?

– Non, j'ai mis une photo

de moi quand j'avais 6 ans.

– Ah bon ?

– Un tutu.

– Ah oui, c'est pas héros.

– Je vous ai vus un tutu.

– Vous m'avez vu un tutu.

– Regardez, toutes ces poules

en tutu, c'est la Nouvelle Monde.

– Je ne peux pas regarder,

ça m'excite trop.

– Mais c'est des vrais poules.

– J'ai une demi-mole.

– Quoi ?

– Ce sont de vrais poules.

– Je vais bien chercher

les vrais poules.

– Mais c'est des vrais tutus.

– C'est une nouvelle tendance,

assez difficile à expliquer.

– Oui.

– Ça fait maintenant quelques semaines

qu'on peut voir sur les réseaux sociaux

des gens.

– C'est vrai.

Pardon, Monsieur Riquet.

D'habitude, c'est rationnel,

les tendances sur Internet.

– Pas tant que ça,

parce que ça fait penser,

c'est rassurant,

ça fait penser la poule de paque.

– Non, mais en fait,

il se fait qu'il y a un couillon

qui a émis un tutu

à sa poule.

Et puis après,

vous savez comment ça se passe.

Il y en a un deuxième,

tu dis à moi,

j'ai une poule,

je vais mettre un tutu

encore plus beau.

– Et puis après,

c'est l'escalade du tutu.

– J'en déguise

même les poules.

– Moi,

je n'aime pas

tous ces déguisements

de tout ça.

– Non, non.

– Pour pas ça drôle.

– Non, mais combien de temps

vous mettez

à vous habiller

de votre tenue de scène ?

– Ça, c'est si loin.

– Deux jours.

– Ce qui est long,

souvent, on me dit

sur le maquillage,

alors que moi,

je me lave juste le visage

avec un peu d'eau,

vous savez.

– Ah oui.

– Et du savon de Marseille.

– Bon, je suis nature peinture.

– Ah oui.

– Surtout peinture.

– Ah oui,

parce que tes cheveux

sont vachement jaunes.

– Hein ?

– Tes cheveux sont vachement jaunes.

– Oui, mais ça, c'est la mer.

Et moi, j'habite à Marseille,

alors que c'est le soleil.

– Ah, c'est le retour de plage.

– Non, c'est le marché.

Le matin, je vais au marché,

moi, tu sais,

alors que ça me décollore.

– Et ça,

vous allez travailler à Paris

chez Monsieur Michois,

une époque ou pas ?

– Ah, mais ça,

c'est quand j'étais très jeune.

– Ah oui ?

– J'avais dit comme ça,

je suis un manque de beauté féminine.

On va faire croire que vous êtes un homme.

Puis c'est là que la légende a commencé.

Ah, il était prêt à tout ce Michou,

vous savez.

– Une question pour Carmelo Mori,

qui habite la ville du bois,

c'est dans les sonnes.

Elle peut être une abeille,

une araignée,

un canari,

un jet bleu,

une orque,

une panthère,

un perroquet,

un serpent

ou un dragon.

De quoi s'agit-il ?

– Je sais.

C'est une déesse de la mythologie grecque

qui s'appelle Métis.

– Pas du tout.

– Métis.

– Moi, j'y ai cru que toi,

quand t'as dit moi, je sais.

– Mais c'est la vérité.

C'est une déesse

qui est la déesse des métamorphoses

et elle peut

tout se transformer

en du Métis.

– Ah, mais alors,

à partir de là,

c'est quand même une bonne réponse

que d'un rien.

– Oui, oui, oui.

– C'est un rapport

avec le cinéma.

– Écoutez, non,

et ça vous laisse une chance.

Donc...

– Moi, ça m'a pas vraiment fait rire, ça.

– Mais donc, il s'agit d'un personnage

qui peut se transformer

en tout ça.

– Du tout.

– Ah, non.

C'est juste le lien commun

entre tout ça.

– Est-ce que ça serait un écrivain ?

– Un écrivain, non.

– Est-ce que c'est quelque chose

qu'on trouve dans la nature ?

– Dans la nature, non,

ça se fabrique.

– Un jeu vidéo.

– Un jeu vidéo non plus.

– Ah, mais ça se fabrique.

– Est-ce que ça serait pas

la femme d'Harry Potter ?

– Expliquez-moi.

– Eh ben non, c'est

une magicienne

qui se transforme.

– Pas du tout.

– Mais l'idée,

t'es pas con.

– Alors est-ce que ça a un rapport

avec le sexe, ça ?

– Non.

– Leur ont dit que ça se fabrique,

donc ça se fabrique.

– Est-ce que ça se mange ?

– C'est en métal ?

– Ça ne se mange pas.

– Est-ce que ce serait

d'origine chinoise ?

– Du tout.

– Ça se boit.

– Ça ne se boit pas.

– C'est en quel matériau ?

– Ah, ça dépend.

– Il y a plusieurs matériaux possible.

Donc ça peut être en bois,

en porcelaine,

en bois, c'est plus rare.

– Plutôt, la matière principale,

c'est quoi ?

– En faillance ?

– Faillance, non.

– Non, ça peut pas être en faillance.

– C'est un outil ?

– C'est un outil ?

– Il y en a en vert, oui.

– Est-ce que ce ne sont pas

simplement les gris gris les plus courus ?

– Du tout.

– Les gris gris courus, non.

– Est-ce que c'est un objet utilitaire ?

– Utilitaire, non.

– Décoratifs ?

– Il y en a en vert,

il y en a en terre,

il y en a en acier,

c'est…

– Est-ce qu'on en trouve

dans le monde entier ?

– Ah oui, oui, oui.

– Ah oui ?

Une variété de fruits ?

– Non.

– Non, non, ça n'oblique

– Des poignets de porte, non.

Bon, on en a tous vu,

en tout cas plutôt les garçons

que les filles, mais bon.

– Des épées.

– Des épées, non.

– C'est un jouet ?

– Alors on peut considérer

qu'il s'agit d'un jouet, oui.

– Est-ce que ce sont des bretelles ?

– Des bretelles,

vous jouez avec vos bretelles,

vous.

– Ah, souvent ?

– Oui.

– Des toupis, non.

– Des yoyo.

– Des yoyo, non.

– Est-ce que ce sont des symboles

qui que l'on trouverait

dans un objet spécifique ?

– Non.

– Ah, est-ce que ça,

j'ai la bonne réponse,

donc de donner enfin une bonne réponse.

Est-ce que ça ne serait pas

des boutons de manchette ?

– Des boutons de manchette,

pas du tout.

– Mais quand vous dites

c'est un jouet,

c'est pas un jouet

des boutons de manchette,

vous jouez avec des boutons

de manchette, vous.

– Ah oui, on voyait.

– Des cartes.

– Des cartes, non plus.

– Des maquettes.

– Des maquettes, non.

– C'est à quelle taille,

c'est grand, c'est petit.

Des cerfs, des cerfs volants,

il y a plusieurs tailles.

Des cerfs volants,

des grosses, des petites.

– Ah ben ça y est, je sais.

– Des peluches, des peluches.

– Des billes.

– Des billes, bonne réponse

de Florian Gazan.

– Des araignées, oui.

– Des araignées, oui.

– Il y a un concours de billes, quelque part ?

– Non, mais ça fait que

il y a toutes sortes de billes

qui ont des appellations différentes.

– Des araignées, je vois.

– Les araignées, les abeilles.

Alors moi j'ai choisi exprès

pour vous piéger.

– Les abeilles, je vois pas.

– Que les noms d'animaux,

mais vous avez aussi des…

– Et pourquoi en parler ?

– Des bananes, des…

– Le serpent.

– Mais pourquoi en parler ?

– Vous vous regardez en cause

le principe de cette émission.

– Non, mais je vois que vous avez

à la main un papier,

ce qui évidemment ne se voit pas

à la radio,

ce qui vous permet de le connaître,

la réponse.

– Ah ben oui, il vaut mieux.

– La question perverse.

– Oui.

– Vous avez…

– Ah, elle se remettait là.

– Non, pourquoi parler des billes ?

– Moi qui vous aimez tant, je…

– Oui.

– Christine,

il y a pas mal de billes

dans l'émission aujourd'hui,

donc c'est pour ça.

– Mais il y a des concours

de billes, hein ?

– Oui.

– Non, mais les billes…

– Ici même.

– Non, mais vous voulez dire

que chaque bille

il y a une appellation

différente.

– Et les nonces,

non, les grosses,

on les remettait l'heure.

– Alors, la bi-serpent, c'est quoi ?

– Ah ben la bi-serpent,

écoutez, bon très lui.

Non, mais vous avez

la spayetti,

vous avez le tourbillon de banane,

vous avez la Picasso…

– Le tourbillon de banane,

oui, il y a les calots après.

– Vous avez l'œil de chat,

vous avez la myrtille givrée,

la néptune…

– L'œil de boeuf.

– Voilà,

la fiesta,

les quinoxes…

– Le cuit de crapaud.

– Je peux vous dire,

vous avez tous joué au bille

quand vous étiez petit.

– Ah oui,

j'ai fait des concours de billes

– Pardon ?

– J'ai fait des concours de billes

en Suisse, je crois.

– Ah, oui ?

– Oui,

avec…

il y a des parcours

– En sable, oui.

– Dans le sable.

Et j'ai gagné

le concours de billes.

– Ça m'étonne pas,

oui ?

– Non,

moi je jouais l'élastique.

– Et la marrelle ?

– Il faut que c'est

l'élastique.

– Non, c'est quoi ça ?

– Eh ben,

il y a deux filles,

qui se mettent avec

– Et on met une jupe,

on met une jupe en général.

– Et moi j'étais

– Une jupe.

– Ah, l'élastique,

t'as pas joué l'élastique ?

– Oui, moi j'ai joué l'élastique.

– Ah ben oui,

c'est normal,

avec une jupe.

– Oui,

mais à rien.

– Non ben,

rien,

c'est normal,

mais vous pourquoi

que vous jouiez à l'élastique ?

– Parce que ça,

j'étais bon,

ça me plaisait,

jouer à l'élastique,

puis des machins,

tourbillons de bananes,

oui,

j'ai déjà été

dans les tourbillons de bananes,

j'ai joué à l'élastique,

Olivier,

j'ai joué à l'élastique,

j'imagine.

– Il s'est tiré sur l'élastique

plus d'une fois,

le mec,

dans le bateau,

ça doit quand même

un peu

pour se sentir tout seul.

– Oui, elle.

– On doit quand même

y aller un petit peu.

– C'est vrai que c'est un aspect

t'intéressant,

vos commentaires.

– On aimerait

savoir ce que c'est

qu'un vrai marin.

– Ouais.

– Non, mais là,

on a été un peu...

– Ah ouais,

comme j'ai vu, moi,

j'étais là.

– On l'a été un peu

les billes, on avait

en porcelaine,

en verre,

en bois,

en terre.

– Ah oui, en terre,

il y en a un.

– Ça doit pas rouler

très bien.

– Mais si, c'est en argile.

– Ah bah appartement,

on sait rouler,

ça roule.

– Oui, en anglaise,

alors.

– Anglaise,

en terre cuite,

en terre,

tout ce que vous voulez.

– Les billes.

– Les billes,

on a de tout métal,

je vous confirme.

– Ah oui,

oui.

– Ça a été inventé

après la roue.

– La bille?

– Oui, sûrement.

– Voilà une précision

qu'il n'était pas utile.

– Ça a changé

le cours de l'histoire

de l'humanité.

Les gars, on a inventé la bille.

Ouais, qu'est-ce qu'on en fait?

Je ne sais pas,

on va jouer avec.

– Beaucoup de billes

pour rien.

– Quelqu'un qui,

le 29 janvier 1839,

épousa sa cousine.

Et d'ailleurs,

il s'est...

– Euh...

– Oui.

– Non, non, non.

– C'est pas Madame Boutin.

– Et d'ailleurs,

il s'inquiéta

parce qu'avec sa femme,

ils eurent dix enfants,

dont deux moururent en bas âge.

Et évidemment,

il s'inquiéta d'imaginer

que c'est peut-être

à cause de cette union consanguine

que deux de ses enfants

étaient décédés.

De qui s'agit-il?

– C'est pas un roi?

– Un roi, non.

– Un auteur littéraire.

– Un auteur littéraire.

Non, mais c'est quelqu'un

qui a énormément publié,

mais on ne peut pas dire

pour autant qu'il soit

un journaliste.

– Un musicien?

– Un musicien, non.

– Il a publié quoi?

– Il a publié...

– Dans l'armée?

– Un philosophe?

– Un philosophe.

Alors philosophe,

on ne peut pas tout à fait dire

même si on...

– Scientifique.

– Scientifique, voilà.

Ça, ça marche.

– Un chercheur

qui a inventé quelque chose.

– Un chercheur,

un scientifique.

Tout ça, c'est bon.

– Cherchons la nationalité,

ce qu'il était français.

– Il n'était pas français.

– Allemand.

– Allemand, non.

– Russe.

– Non.

– Amérique.

– Non plus.

– Anglais.

– Anglais, oui.

Il est né en 1809

et il est mort, il avait 73 ans

en 1882 en Angleterre.

– Non plus là, madame.

– Nobel.

– Dans la médecine,

peut-être pas,

mais alors je peux vous dire

que vraiment,

alors ça fait parler,

comme on dit.

– Darwin, évidemment.

– Charles Darwin,

bonne réponse

de Pierre Vénichoux.

– Bravo.

– Bravo, Pierre.

– Et oui,

c'est Charles Darwin

qui a étudié, évidemment,

l'origine des espèces

et, évidemment,

l'expression des émotions

chez l'homme,

chez les animaux,

mais aussi,

évidemment,

ces thèses

ont été énormément contestées.

Il n'empêche qu'il épouse

à sa cousine.

– C'est vrai que,

faire tout ça

pour se marier avec sa cousine,

mais surtout,

ce qu'il y a de plus étonnant,

c'est que, en fait,

que l'homme descende du sage,

puisque c'est par là

qu'il est le plus connu,

il a prouvé,

avec son étude des gènes,

qu'il y avait

cet un des premiers

généticiens, en fait.

– Voilà.

Généticiens,

mais surtout,

c'était très dangereux.

– Sa théorie de l'évolution

qui est que les espèces

ne sont pas fixées.

On est tous en évolution

et donc,

on est tous en changement.

– Il suffit de nous voir,

il suffit de nous voir

tous les sept pour s'en rendre compte.

– Non, c'est vrai.

– Et donc,

les espèces changent

au cours des millénaires

et nous-mêmes,

il paraît qu'on l'a beaucoup changé

quand on voit

l'homme du Chromagnon

ou l'homo érecticus.

– Ah, pourquoi nous parlons

d'hérectus ?

– Érectus, érectus, érectus.

– Érectus.

– Érectus.

– Érecticus.

C'est bonjour, érecticus.

– Comment ça va, Chromagnicus ?

– Mais là,

parce que tu sais,

ton lieu de dire,

je suis aujourd'hui un stitut.

– Bon ben, en tout cas,

on ne ressemble plus à l'homme

Chromagnon ou érecticus.

– Érectus.

– Voilà.

– Mais on ne descend pas de eux.

– Apparemment, non.

– On ne saura pas rentrer

et que l'homme est en hérital.

Je ne peux pas savoir.

– À quel moment ?

– Je ne sais pas.

– Au coeur de la nuit,

il rugit

l'homme

du néanderital.

Reviens.

– Je crois.

– Non, non, non.

– Dans la perdu, là.

– On veut qu'il y a un chichère,

il y a un chichère.

– Pour la première fois

depuis très longtemps,

une femme m'a troublé.

– Eh ouais,

c'est un bon souvenir.

– Un trouble selva

dans mon l'âme est perdu.

– Non, c'est honteux.

– Il n'y a pas de main puissant.

Il n'y a que des femmes maladroites.

– Et voilà

la conclusion.

Qu'est-ce qu'il fait ?

C'est 150 ans

et qui, au départ,

était vendu

dans des bouteilles vides

d'autres colonies

depuis la Louisiane.

– L'eau d'une rivière ?

– Non.

– Un alcool ?

– Un parfum.

– C'est né en 1868,

puisque c'est le 150e anniversaire

de ce produit,

cette marque,

je peux dire, aussi.

– Donc c'est liquide.

– Alors c'est liquide.

– Ça se boit.

– Vous pourrez être vendu

dans des bouteilles.

– C'est pas Coca-Cola.

– Coca-Cola, non.

– L'eau de bouche, bouteau ?

– C'est quoi ça, l'eau de bouche ?

– C'est l'eau de bouche

qui s'appelle bouteau.

– Ah oui, c'est remarquable.

– Ah oui, c'est rouge,

c'est très bon, c'est très bon.

– C'est très bon.

– C'est très bon.

– Voilà, c'est très bon.

– Est-ce que ça se boit ?

– Mais on n'en trouve plus,

manifesto.

– Mais non !

– Oui, oui, oui.

– Oh, oh, oh.

Est-ce que ça se boit, Laurent ?

– Est-ce que c'est alcoolisé ?

– Alors je ne vous conseille pas

de boire la bouteille, vous voyez.

– L'eau de javel.

– L'eau de javel, non.

– Le rickles ?

– Le rickles, non.

Fabriqué en Louisiane

depuis 1868.

– Le fernais branquin.

– De l'alcool ou pas ?

– Et c'était, de l'alcool, non.

Et c'était au départ, effectivement,

il fallait que l'inventeur trouve

un flacon.

Alors il s'est dit,

tiens, voilà, je vais prendre

des bouteilles d'autres colonnes.

Il a commencé à distribuer ça

à sa famille, à ses amis.

Puis il a commandé des milliers

de bouteilles d'autres colonnes

auprès d'une manufacture

de la Nouvelle-Orléans

pour vendre son produit au grand public.

– C'était un médicament.

– Après, évidemment, il a...

– Les patoons.

– Et depuis, il a trouvé

un conditionnement propre à sa marque.

Mais dans les premières années,

dans les années 1868, 1969, 1970,

eh bien, c'était vendu

dans des bouteilles d'autres colonnes.

– C'est un désinfectant.

– Un désinfectant, non.

– De l'alimentade.

– De l'alimentade, non.

– Ça n'est pas un soda.

– Non.

Les 150 ans de la marque,

si vous aviez l'ulfigarot magazine

qui était en feu,

vous le seriez.

– Ça se boit dans les cafés.

– Laurent, c'est un médicament.

– Un médicament, non.

– Ça se boit dans les cafés,

on boit ça.

– Dans les cafés, non.

– Est-ce qu'on le dilue

dans l'eau ?

– On le boit pur.

– Ah non, on le boit pas pur.

– On peut le mettre

dans le café ou pas ?

– Dans le café,

j'ai jamais vu ça, non.

– La cantonine.

– La cantonine, non.

– Et c'est plutôt ça,

à bon goût ?

– Un sirop.

– Est-ce que ça a bon goût,

surnème, oui ?

– La réglisse.

– La réglisse, non.

– Faire des francais ?

– Non.

– Mon nom l'achète encore.

– Ah oui, on l'achète encore.

Ça se vend énormément.

– Le riclès.

– Le riclès.

J'en ai dans ma cuisine, oui.

– Ça se vend en pharmacie ?

– Vous avez bus ce matin ?

– Ah non, ça se boit pas comme ça.

– C'est un huile ou c'est un liquide ?

– Qu'est-ce que l'est-il ?

– Huile.

– C'est quoi ?

– Huile.

– De l'huile.

– C'est huile ou c'est liquide ?

– C'est huile ou l'eau,

nul coude.

– Ah c'est pas liquide ?

– Est-ce que c'est liquide ?

– Est-ce qu'il y a plus ?

– Autrement, on le mettrais pas dans le café.

– C'est du savon liquide ?

– Du savon liquide, non.

– Est-ce qu'il y a plusieurs saveurs ?

– Comment ça, plusieurs saveurs ?

– Ah non, c'est unique.

– Et ça fait plaisir d'absorber ça,

ou c'est une contrainte ?

– Ah non, c'est pas du tout une contrainte.

– C'est pas du quinquennet.

– C'est du viandox ?

– Non.

– Du viandox, non.

– Mais c'est pas loin.

– C'est du bouillon cube.

– Le bouillon cube.

– C'est un concentré de quelque chose.

– Oui, on peut le dire.

– C'est du ketchup.

– Une soupe.

– Du le bouillon cube.

– Non, du Tabasco.

– Du Tabasco.

– Du Tabasco.

– Bonne réponse de Jean-Benn Guigui.

Du Tabasco.

– Eh oui.

– Bravo, M.Benguigui, vous êtes magnifique.

– Elle me drague, vous pouvez pas savoir.

– Ah oui, apparemment.

– Alors, pour relancer un couple

et pour mettre un peu de piment dans le couple,

je préconise la pipe au Tabasco.

– Ah ben, le Tabasco.

Ennée, il y a 150 ans,

une sauce pimentée,

c'est une marque déposée à la sauce Tabasco.

C'est Tabasco de piment rouge-mûre à point,

fermenté en tonneau avec du vinaigre et du sel.

Et c'est effectivement,

il y a 150 ans, en 1868,

que ça a été inventé par Edmund McKellney.

On trouve toujours son nom d'ailleurs,

Mr McKellney,

sur la bouteille de Tabasco

qui aujourd'hui, évidemment,

n'est plus une bouteille d'autres colonnes.

Tout le monde connaît la petite bouteille de Tabasco

qu'on a en cuisine.

Alors, on peut refaire, évidemment,

des cocktails avec d'autres produits.

– Le Blue-D-Merry.

– Le Blue-D-Merry.

Qu'est-ce qu'on met pour avoir un Blue-D-Merry, monsieur ?

– Vodka et de tomates.

Vodka, 6 centilitres de vodka,

24 centilitres de jus de tomates,

le jus d'un quart de citron,

une cuillère à café de Worcestershire.

– Worcestershire.

– Comment vous dites ?

– Worcestershire.

– Très bien Fabraïs.

Et le quart d'une cuillère à café de réfort.

J'avais pas qu'il y avait du réfort là-dedans,

bien du réfort.

Et six gouttes, six gouttes de Tabasco,

et là, vous avez le Blue-D-Merry.

– Le Blue-D-Merry.

– Oui.

– En tout cas, le Tabasco,

fait ses 150 ans.

Vous n'auriez plus trouvé ça.

– J'ai pas été invité à Tabasco.

– À l'anniversaire du Tabasco.

– Rien reçu.

– Ça, vous auriez pu trouver, Cristina.

– Pourquoi vous dites que j'aurais pu trouver le Tabasco ?

– Parce que ça, c'est trouvable.

– Est-ce que tu es piquante ?

T'es le petit Brune piquante ?

– Il y aura une édition anniversaire du Tabasco

proposé en série limitée dans une bouteille de champagne.

– Il y a aussi du Tabasco vert maintenant.

– Ah bon ?

– C'est très bon.

– Très, très fort.

– Très, très fort.

– J'ignore.

– Il y a du Tabasco light.

Pas très, très, très fort.

– Ah non, très, très fort.

– J'ai une photo de la maturation du Tabasco

dans des tonneaux en chaîne.

– C'est intéressant.

– En louisiane.

– Moi, je savais pas que c'était dans les tonneaux

que ça maturait.

– Laurent, vous ne vous dites pas ça

pour nous faire rêver ?

Vous avez vraiment cette photo ?

Eh ben faites la tournée, Laurent.

– Dessayez-nous d'apprendre des trucs,

parce qu'il est que je vous dise.

– Ah, c'est vrai que les cheveux,

là, il y a un coupe sans magnifique.

– Oui, mais est-ce que c'était un mot

qu'on peut employer ?

– Annie Lénox.

Annie Lénox de Eurythmics à l'époque.

– Ah oui, oui.

– Tu as dit sweet dreams à mes amis.

– Non, mais là, je me demande

pourquoi il ne m'a pas donné.

T'avais peur de mon jugement, c'est ça ?

– J'ai peur de toi tout court.

Pas que du jugement.

– C'est un brico, sa couleur.

C'est un salon de toilettage qui a fait...

– Moi, je ne sais pas.

C'est pas un brico, c'est...

– Non, mais c'est vrai que...

– C'est un brico.

– On s'est dit qu'il s'est lancé

dans le football.

– Il a changé physiquement,

mais c'est le pouvoir de la voix,

j'écoute juste les grossettes,

il y a une femme, elle a une voix,

elle m'envoûte à chaque fois.

Et je dis, bah,

il dit marcher là,

il y a Koube.

– J'y ai moche comme tout eux.

– Non.

– Mais qu'il est méchant.

– Là, il y a un voûter par elle,

ça, c'est incroyable.

– Je n'ai pas de voix,

en plus, elle est jolie, Marseilla.

On peut dire ce qu'on veut de Marseilla

et dire ce qu'on peut en dire.

Enfin, on ne peut pas dire

qu'elle soit moche quand même.

– Bien sûr qu'elle est belle,

je ne le dirais pas.

– Mais j'ai reste toi tout le temps

des lettres comme ça,

des hommes qui me demandent

de leur laisser un message

sur la répondeur.

– Ça fait combien de temps maintenant ?

Ça fait presque 5 ans

que vous faites les grossettes avec nous.

– Oui.

– Vous avez inauguré

les grossettes sur Hertel avec moi

et je dois dire,

ça a dû changer votre vie,

j'imagine, chez les commerçants, chez...

– Complètement.

Complètement.

C'est le plus de tout la même vie.

Et ça m'a même sauvé la vie.

Et ça m'a même sauvé la vie.

Je vous ai raconté ça à l'hôpital,

grâce à ça.

– Ah non, vous m'avez pas raconté.

Je ne suis pas morte.

– Vous m'avez raconté ?

– Parce que quand on va ici,

à Paris, dans les urgences,

dans l'hôpital,

en général, on meurt.

– On va dire que c'est un résumé.

– C'est un raccourci.

– Je ne sais pas,

quand on n'est pas connu,

on meurt.

– Et alors, du même coup,

il y a un de les médecins

qui m'a décevé ce médecin

qui écoutait les grosses têtes.

Il m'a dit, pour vous,

je fais tout.

Et alors, on m'a opéré.

– Oh, qu'est-ce qu'il y a de con ?

– Il m'a sauvé la vie.

– Il ne l'écoutait pas bien.

– Il m'a dit que se prononce un latin,

c'est le mot.

Bon, le vu, c'est une vagileuse.

Je ne sais pas comment.

– Ah, clignoté de la vulve.

Ça veut dire clignoté de la vulve.

– Je crois qu'il est temps de passer

à une prochaine situation.

– Oui.

C'est ce que je voulais vous faire dire.

– Pour une gâte sarazin

qui habite chandeur,

c'est dans l'un qui a dit

« Quand vous avez des ennuis,

les gens qui vous appellent par sympathie

le font surtout pour avoir des détails ».

– Ah, c'est vrai ça.

C'est français.

– C'est français.

– C'est mort.

– C'est la ce mort.

– Bien des proches.

– C'est Jean-Yann.

– Ce n'est pas Jean-Yann,

mais c'est pas loin.

– Jacques Martin.

– Et c'est Jacques Martin.

Bonne réponse de Jean-Luc Lemoine.

Et c'est tellement vrai.

– Oui, c'est vrai.

– Qui a dit « Les voyages développent la mémoire ».

C'est toujours arrivé à destination

qu'on se souvient d'avoir oublié quelque chose.

– Alzheimer.

– Non.

– Daniel Evdeau.

– Daniel Evdeau, non.

– C'est pas français, ça, monsieur.

– Ah, si c'est français, madame.

Oui, très français.

– C'est vivant.

– C'est colluche.

– Alors je pourrais ajouter

que je sors bien que dans les grosses têtes,

certains cherchent encore à comprendre le sens de cette phrase.

– Moi, j'ai compris.

– Je devrais ajouter devant.

Ce serait mieux la preuve.

La preuve que les voyages développent la mémoire.

– C'est mieux comme ça.

– Puisque c'est toujours arrivé à destination

qu'on se souvient d'avoir oublié quelque chose.

– Ah, c'est mieux comme ça.

Ça fait moins rire.

– Oui, c'est mieux.

– C'est français.

– C'est français vivant.

– Oui, c'est français mort.

– Pire des proches.

– Pire des proches, non.

– Gilbert Rigano.

– Pardon.

– Gilbert Rigano.

– Non, monsieur.

– Mais il est vivant, Popek.

– Ah oui, mais c'est dans l'embrasse.

– Là, tu vois un coup, quand même.

– Pierre Doris.

– Pardon.

– Pierre Doris.

– Non.

– C'est une femme, en fait.

– Pardon.

– C'est une femme.

– C'est une femme.

– Parce qu'une connerie comme ça,

il n'y a qu'une femme prise la vie.

– C'est une femme toute sa vie.

– Non, mais je vais dire.

– On se soutient en ces périodes troubles.

– Non, mais je vais dire.

– Ah oui.

Une femme qui oublie quelque chose.

– Non, mais les femmes pensent à ça.

Qu'est-ce qu'on a à faire

si on a oublié quelque chose, tu vois.

– Marguerite Ursunard.

– Vous en connaissez des noms, on va dire rien.

– Ha ha.

– Ha ha.

– Marguerite Pyrracelle.

– Non, non.

– C'est Zouk.

– Pardon.

– Zouk.

– Zouk.

– Zouk.

– Zouk.

– Vous allez nous aller chercher.

– Vous avez dit qu'elle est morte.

– Non, elle est vivante.

– Il y a elle ou Sylvie Jolie?

– Non, mais attends.

Popek et Zouk sont vivantes, déjà.

– Zouk est vivante aussi.

– Zouk est vivante.

– Pardon.

– Ah, merci.

– Sylvie Jolie.

– Alors Sylvie Jolie, elle est bien morte,

mais ce n'est pas elle qui a dit ça.

– Jacqueline Mayant.

– Pardon.

– Est-ce que c'est une romancière?

– Une romancière, non.

– Jacqueline Mayant.

– Jacqueline Mayant, non.

– Sophie Desmarais.

– Non.

– Oh putain.

– Non plus.

– On n'est pas loin.

On n'est pas loin.

– Ah.

– Anne-Marie Carrière.

– Pardon.

– Anne-Marie Carrière.

– Anne-Marie Carrière.

– Anne-Marie Carrière.

– Ah, la réponse de Jean-Luc Lémoire.

– Ah.

– Ah.

– Ah.

– Pour Patrice Pequin, qui habite tout le monde, tout le monde,

c'est dans le manéloir.

– Ah oui?

– Vous confirmez, Valérie Tremblay, là.

– Oui, c'est sûr.

– Vous connaissez tout le monde.

– Je connais tout le monde.

– Alors je vais vous demander, évidemment, le titre d'un...

Ah non.

Allez, je vais vous demander l'auteur, plutôt, parce que...

– Ah ben oui.

– Vous avez vraiment confiance en nous, quoi.

– Bah oui, parce que...

C'est-à-dire, s'il demande le titre,

j'ai peur que ce soit un peu compliqué.

– Oui, déjà que l'auteur.

– C'est quand même un roman qui fait partie de la liste

des 100 meilleurs romans du 20e siècle,

enfin 18, donc il y a 22 ans de ça,

je suis pas sûr qu'il ait perdu beaucoup de place depuis dans son...

– La Modern Liberies.

– Il est Modern Liberies.

– Donc c'est-à-dire que c'est anglais, c'est un américain.

– Alors, j'ai le titre du roman,

si vous voulez, mais c'est pas de chance,

parce que j'ai l'édicien en allemand devant les yeux.

– Arzo.

– Diffart zum Leuchturm.

C'est le titre du roman von...

– Oui.

Ne nous aidez pas trop, non plus, hein.

– Alors, c'est vrai.

Est-ce que c'est le roman de quelqu'un d'allemand?

– Non.

– Non, ça n'a rien à voir.

– J'ai l'édicien allemande devant les yeux.

– Et vous pouvez nous le dire en anglais?

– Non, j'ai l'édicien allemande.

Diffart zum Leuchturm.

– Leuchtais-la-Martine.

– Sturm, Sturm, ça veut dire tempête.

– Thomas Mann.

– Thomas Mann, non.

– Est-ce que c'est un équipement anglais?

– On cherche effectivement un auteur britannique.

– Ah, OK.

– Britannique.

Alors, il y a tempête dans le titre.

– Tempête tournade comme ça.

– Alors, il n'y a pas de tempête.

– Ah, le vieil homme et la mère.

– Ah non, la prom...

Bon, Bère, je vais dire non en français.

– La promnade?

– Ah oui, c'est là.

Effectivement.

En français, ça s'appelle...

Je vais vous le donner, parce que...

– Oui, c'est trop tard.

– Je ne vois bien que...

– Qu'on maîtrise pas bien un allemand.

– Maintenant, vous donnez les titres en allemand.

– J'avais qu'à poser entièrement la question en allemand.

– Il y a un problème.

– Il faut une langue communale.

– Oui, c'est en italien, puis on répond.

– On n'est pas de France culture.

– Non, mais c'est...

Ou alors, vous parlez que à L'Ogéria, c'est puis on est tranquille.

– Il parle.

– Mais les Allemands...

– Il est venu en allemand, ça claque.

– Ah oui.

– Diffart, ce tsoum leuch-turm, ça veut dire la promenade au phare.

– Ah, le phare.

– Le phare.

– Leuch-turm.

– Et si vous voulez le titre original, to the lighthouse.

– Est-ce que c'est Hermann Melville au Soudan de Chaux?

– Pas du tout.

– C'est une femme, peut-être?

– Oui, bravo, c'est une femme.

– C'est Higgins?

– Comment vous dites?

– Higgins-Clarke?

– Ah non, pas du tout.

– Colette.

– Non.

– Est-ce que c'est...

– Alors, c'est un monologue intérieur.

– Margaret Mitchell.

– Ah ben, Margaret Mitchell, donc qui a été publié en 1927.

– Agathe?

– Agathe à Christine.

– Agathe à Christine.

– Non.

– Virginia Woolf.

– Virginia Woolf.

– Oh, allez-y.

– Bonne réponse.

– Coupil.

– Gilles.

– Bravo, Christophe.

– Bravo.

– C'est là qu'on voit que l'école de journalisme revient,

que les études littéraires ressortent.

– Petite dose.

– Et que vous méritez d'être une vraie grosse tête.

Ça fait combien d'années, maintenant, que vous êtes grosse tête?

– Depuis que vous êtes arrivés.

– C'est terrible, là.

C'est fait six ans, maintenant.

– C'est vrai, moi.

– Mais non, ça fait s Ginsburg.

– Et avant, je travaillais déjà un peu avec vous.

– Pendant deux, 3 ans avant.

– C'est pas vrai.

– C'est pas vrai.

– C'est pas vrai.

– Sur la radio bleue.

– Je ne m'en rappelle pas du tout, moi.

– Si, elle se fait des péter-la-gueule par la quercaison.

– Ah c'est vrai.

Une fois quercaison, on m'a raché ma chemise.

Mais c'est vrai, c'est vrai.

– Comment le plait?

– Dès qu'il te voyait, t'en fouts tes ���s.

J'ai eu Olivier au téléphone il y a une dizaine de jours, il serait évidemment des

nôtres, s'il n'était pas en polynaisie bloqué, enfin bloqué, il est bien content d'être

là-bas pour tout vous dire.

Mais on s'appelle à peu près tous les quinze jours avec Olivier et il vous salue bien Olivier

de Caire-Sausson et on espère qu'il y rentrera en août septembre pour la saison prochaine.

Il pourra de nouveau maracher ma chemise.

Mais vous aimez ça, il sait très bien que vous aimez ça.

Non, pas tant que ça.

Oh, tu coïnais, arrête !

Non, mais attends, il avait l'émission de télé après.

Non, je me souviens très bien que M. Beaugrand, quand Christophe Beaugrand s'est fait arracher

la chemise par Olivier de Caire-Sausson, parce que ça, c'est vrai, il l'a fait à l'abandonnée.

Alors pour tout vous dire, il a été très impressionnant, il a été du, non mais c'est

vrai.

Vous me mettriez plus viril que vous.

Oui, absolument.

Il a griffé.

Caire-Sausson ?

Non, c'est pas vrai.

J'étais là, j'étais là, avec Carbet Chou.

Non, mais Caire-Sausson a failli avoir peur.

Non, mais Caire-Sausson était peu de nôts.

Oui, voilà.

Il était peu de nôts.

Oui, puis vous étiez sur vos plats.

Sur mes ergos.

Voilà.

Avec mon air con, avec ma chemise déchirée, on va te dire, mais tu fais vraiment chier,

hein.

Voilà.

Et j'ai pas eu peur de l'insulter, ce gros con de marin.

J'espère qu'il ne nous écoute pas, parce que là, il va tamper.

Il va débarquer, mais à une vitesse.

Oh là là, j'ai peur.

Il y a beaucoup de décalations.

Non, mais je l'adore.

Depuis, vous aimez beaucoup.

Non, mais je l'adore.

Oui, je l'aime beaucoup.

Non, mais quand la pulsion sexuelle est là...

Je me rappelle que...

Oh non, on déchire les habits.

Pierre Benichou aussi avait voulu me taper.

Mais bravo pour cette excellente réponse, en tout cas, monsieur Bougrand.

Vous l'avez lu la promenade au phare.

Pas du tout.

Vous l'avez faite à Biarritz pendant longtemps, mais...

Alors là...

Pour tout vous le dire, ça m'est arrivé.

Alors là...

Alors là...

Et là, c'était pas un marin qui déchirait la chemise, hein.

Pour ceux qui ne connaissent pas...

Oui, il faut l'expliquer.

Ah bah écoutez, c'est un lieu de rencontre...

Peut-être qu'aujourd'hui, j'imagine...

Ah bah y'a pas de raison.

En bossonnant.

Avec le confinement, non, mais...

Avec les réseaux sociaux, les gens qui ont besoin de se retrouver dans des endroits pareils.

C'était un lieu de rencontre, et j'y ai passé quelques moments sympathiques.

C'est pas vrai.

Oui, oui, oui.

C'est un peu...

Est-ce qu'on peut préciser sur le lieu de rencontre?

Ah bah ce sont des espèces de...

Entregarçons?

Il y a une espèce...

Oui, bien sûr.

Ah bah vous imaginez...

Oui, vous avez raison.

Mais pourquoi?

C'est un hétéro qui se plait.

C'est un peu le fait en drôle.

Oui, la première fois, j'ai été très surprise.

Surtout que c'est sombre, hein.

Il faut faire attention.

Une question rock pour Monsieur Philippe Manœuf.

Ouais, je suis prêt, je suis au Tannier.

J'espère que c'est...

Ouais, je crois, Manœuf.

On s'est tippé le rock.

Ouais.

Alors si c'est lié à un album des Stones de 67,

alors j'ai révisé...

67.

En satanique, ma gestique request en 67.

Ça c'est beau, grand.

Je le dis pour les auditeurs, Gazan.

Mais ça vaut pas, Exile on Main Street en 71,

avec ce putain de bronze-sugar.

Les références sont bonnes.

Mais parce qu'on arrive ici...

On arrive ici.

Totalement, c'est incroyable.

Ça c'est le vrai, je le dis pour nos auditeurs.

Alors on verra qui saura répondre à la question qui vient.

C'est le nom d'un groupe que je vous demande.

Trop facile.

Trop facile.

C'est trop facile.

On va voir.

Les musclés.

Ça je connais.

Originaire de Belfort.

Ah.

Déricourt et de Veusoul, en franche comté.

C'est sexy.

Créé à la fin de 1969 par Christian Décan et Jean-Michel Brésovar.

Ange.

Pardon.

Ange.

Bonne réponse de Phunit Manon.

Le vrai.

Ange.

Le vrai.

Alors je n'ai jamais entendu pas ce nom.

C'est quoi ?

C'est quoi que je connais pas ?

Ça c'était du prog rock.

Ange.

Il s'est soulevé, les foules.

C'est-à-dire que c'était à la fois de la musique de terroir.

Ah bon ?

Mais il jouait des instruments électriques.

C'est-à-dire de la guitare électrique sur un tracteur ?

Voilà un petit peu.

C'est un peu ça.

C'est médiéval en fait.

Voilà.

C'est un rock médiéval qui plaisait beaucoup au Jens de 1970.

Oui.

C'est un rock avec ta capacité d'apprendre.

Ta mémoire phénoménale.

T'aurais fait un peu de latin.

Je serais prof à la Sorbonne.

Je pense qu'il s'est vachement plus cheminé.

Je sais Pierre.

Ça tombe à du large.

Il a beaucoup plus rigolé.

Je pourrais lui sortir.

Tu me la sors bonnes, mais formoles.

Je ne vois pas pourquoi tu méprises le public comme ça.

Qu'est-ce que vous faites sur votre téléphone ?

Vous n'est pas éteint de votre téléphone, M.Bénichon ?

Je ne vois pas pourquoi ma vie privée t'intéresse.

Parce que tu es au travail.

Tu es au travail.

Tu ne regardes pas le téléphone.

Qu'est-ce que c'est que ça ?

Au travail.

Qu'est-ce que c'est que ça ?

C'est vrai.

Dans le boiled over.

Qu'est-ce que tu regardes, Pierre ?

Il n'y a plus de Squeezie-là Monsieur.

Je ne peux pasistedizer parce que...

L'endemain de cette émission.

Tu parles pas comme ça ?

Mais enfin...

Parce que tu parles de contraste.

입니다?

ِ

的话 ?

Je daqui une voye, moi je cum olurise.

Prés upbeat ?

pour que vous puissiez avoir une urgence sur votre téléphone à regarder.

– Si tu savais, alors attends, où c'est qu'on m'émoide d'avion, hein, ouais.

La dernière fois qu'on t'a surpris, on regardait tout le téléphone,

tu regardais un film de cuches, tu te rappelles, c'est vrai.

– Et il nous a dit qu'ils lui envoyaient qu'ils n'étaient pas au courant.

– Categorie granny.

– Et c'est pas des pommes, hein.

C'est pas des pommes, je peux vous le dire.

– Dirty granny.

– C'est-à-dire grand-mère, grand-mère Pochonne.

– En tout cas, le groupe Ange, tout le monde ne le connaît pas,

donc bravo M. Manove, je sais que c'est votre domaine,

mais tout de même, regardez les deux faux manœuvres.

– Mais je connais Ange, c'est comme Magma, Malicorne,

c'est tous ces groupes des années 70.

– On a un petit extrait du groupe Ange.

– Ah oui, on l'a écouté, quand même.

– Vous vous dire, monsieur, que je sais ce genre-là.

– Ah, ils l'ont repris, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, oui.

– Monsieur, non, on ne pense pas.

– Je vais danser, j'ai de la base.

– Ça s'est mis d'évalu.

– Ah oui, on les imagine danser un petit peu d'éguisement.

– Ah oui, c'est bien, oui, on veut bien se stone-edge.

– Ouais, je suis d'aide, c'est bon.

– Noel n'a rien inventé, finalement, hein, déjà.

– Une question pour Julie Donnier de Wittelsheim, dans le aura...

– Qu'est-ce qu'il y a là-droit ?

– Comment ça s'est fait ?

– Je ne sais pas, il est dit, moi, à commenter chaque mot que vous sortirez de votre bouche.

– J'ai l'impression d'avoir dit une vidéo YouTube, et des commentaires, surtout.

– Alors là, vous n'avez voulu pas te commenter,

vous allez voir la définition du multisme.

– Ça durera pas longtemps, va.

– Ça durera ce que je t'adviens, moi, coup d'héro.

– Ah, l'ambiance va tomber, là.

– Elle est gentille, la grosse, mais elle est jalouse.

– Allez, quand il est en forme, il est en forme.

– Bon, monsieur Pierre, on va devoir répondre à cette question.

– Je veux voir ?

– Polybe et Mérope, le roi et la reine de Corinth, ont adopté quelqu'un.

Quel est le nom du fils qu'ont adopté Polybe et Mérope, le roi et la reine de Corinth ?

– Récent.

– Mais non.

– C'est pas toi quand elle trouvait ça, Pierre.

T'as vu ce qu'elle te dit, la grosse ?

Elle est encore plus rapide, hein.

– C'est bime.

– Oh, le combat de Coq !

– Heu... Hercules ?

– Hercules, non.

– C'est Ulisse.

– Ulisse, non.

Est-ce qu'il a un prénom aussi à la con que ses parents d'optifient ?

– Ah non, Polybe et Mérope, le roi et la reine de Corinth.

– Mérope, non ? C'est pas Mérope.

– Non, Mérope, peu, Mérope, peu.

Polybe et Mérope, le roi et la reine de Corinth.

– T'as polypeux, c'est du colombe.

– Pardon ?

– Du colombe, ça s'appelle Polybe.

– Mais non, il y a des polyparks.

– On voit qu'il a réussi ses analyses, hein.

– Oh, le mec a fait une scoloscopie.

– Polypeux de joie.

– Polybeux.

– Le con ne font pas.

– Est-ce que c'est un héros de la mythologie ?

– Ah oui, on peut dire ça, oui, effectivement, oui.

– Pénélope.

– Pénélope, dans un fils.

– Pénélope, fils.

– Si vous avez un fils, il l'appelait Pénélope.

– Moi, j'en ai un qui s'appelle comme ça.

– Ah oui, parce que c'est un garçon qui s'appelle Bernadette, et bah oui.

– Et alors, on respecte la différence.

– Bah oui.

– Polybe et Mérope, le roi et la reine de Corinth, ont eu un fils adoptif, hein,

adoptif, attention, très célèbre.

De qui s'agit-il ?

– Jazon.

– Jazon, mais non.

– Mais il a compris des actes héroïques.

– Ah, héroïques, c'est pas tout à fait le mot, mais...

– Il a fait...

– En tout cas, il a laissé.

– Il somme non et restait dans l'histoire.

– Oh là là, madame.

– Il est beau mec, c'est Apollon.

– Apollon, non.

– Il a un rapport avec la guerre de Troyes.

– Du tout.

– Du tout.

– Ah, donne-lui.

– Il a une stafiée à lui.

– Ha ha ha ha ha ha ha.

– Taisez.

– Taisez-vous, oui.

– Ok, je fais comme Pierre, je rentre dans le mutisme.

– Est-ce que c'est un dieu ou un demi-dieu ?

– On va quand même pas donner 300 euros à Julie Donnier.

– Si, parce que vous avez dit avant que c'était évident qu'on allait trouver.

– Bah oui, parce que vraiment, je pensais que c'était très sain.

– Je sais quoi, son truc, la beauté, le...

– Le leur fils adoptif.

– Attention, j'ai bien dit adoptif.

– Oui, mais enfin, déjà qu'on connaît pas leur vrai fils...

– Mais il n'a pas... Il n'a pas alors non.

– Comment ça ?

– Adoptif, il s'appelait autrement.

– Tu nous fais perdre du temps et tu ne nous mets pas dans la bonne voie.

– Le seul adoptif que je connais, c'est Moïse, moi.

– Ce n'est pas Moïse.

Polybes et Mérop, le roi et la reine de Corinth, ont élevé...

Alors, je vais pas dire son nom, hein.

– Comme leur fils, comme leur propre fils.

Alors ce n'est pas leur fils.

– Haînée.

– Haînée, non.

– Ca, ca.

– Il vous reste 30 secondes.

– Juda ?

– Juda, non.

– Il est allé vers le soleil.

– Yeris.

– Il est allé vers le soleil début juillet, toujours.

– C'est pas... C'est pas Big Malion ?

– Non.

– Big Malion.

– Big Malion, non.

– Big Malion ?

– Non plus.

– Jean-François Coppé.

– Je pensais... Je pensais...

Chantal, je pensais quand même que vous connaissiez un peu la mythologie.

– Oui, oui, mais je cherche... Je vais trop vite.

– Ah ben, c'est trop tard.

300 euros pour Julie Donnier.

– Polybe et Mérope, le roi et la reine de Corinth l'ont élevée comme leur fils.

Voilà pourquoi ils l'ignoraient que Laios et Jocaste étaient ses vrais parents.

Voilà pourquoi ils tuaient Laios et ils couchaient avec Jocaste, sa mère.

Et il s'agit donc...

– Edip !

– Edip, évidemment !

– Edip, c'était quand même très facile.

– Ah ben, il était comme une temporeante.

– Jean, Jocaste, c'est la mère... C'est la mère Edip, hein ?

– Ah oui, la vraie mère.

– Mais je savais pas qu'il avait couché sa mère parce qu'il savait pas qu'il faisait sa mère.

– Il s'était grandé, c'est le peur qui a dit ça.

– 300 euros pour Edip, franchement, je pensais pas.

Je pensais pas les distribuer ainsi.

Et oui, il l'ignorait évidemment qu'il s'agissait de son père Laios quand il tue Laios.

Et plus tard, quand il couche avec Jocaste,

il sait même l'inverse, il s'éloigne de Polybe et Mérope, ses parents adoptifs.

Parce qu'on l'a prévenu qu'il y avait un danger à ce qu'il tue son père et qu'il couche avec sa mère.

Voilà pourquoi il s'éloigne de Polybe et Mérope, mais c'est son pas ses vrais parents, Polybe et Mérope.

– Et comment ça se fait que Jocaste...

– Et son père l'est abandonné et qu'il s'est retrouvé adopté par les autres.

– Parce que aussi, il connaissait la prédiction évidemment.

– Ah, mais comment c'est possible ?

– Jocaste, c'est un peu cougard quand même.

– C'était parce que tu peux jamais savoir l'autre jour.

– Je vais avec une dame dans un hôtel et en partant, elle me dit « Reste un peu, fiston ».

J'ai dit « Quoi ? »

Encore !

– Parce que si elle t'a un peu fiston, la mérité s'en faut boire.

– Là, pour l'enlever, elle a fallu un treuil.

– Il y a le coucher avec un fantôme.

– Faut pas rappeler que Deep et sa maman Jocaste ont eu quatre enfants.

– Bien sûr ! C'est des conneries qui sont embrutées, ils sont tout à fait normaux.

– Ils ont eu deux fils !

– C'est le plus grand supercherie au monde de dire que les enfants consanguin ont une chance de devenir embrutés.

On a une chance que les enfants soient malformés, débiles, tu vois, c'est quand c'est huitième génération,

au huitième croisement, c'est pourquoi on disait les fins de race.

C'est parce que dans une race, c'est-à-dire dans une famille, dans une descendance,

s'il y a quatre ou cinq fois le cousin, tiens, c'est ta cousine, j'ai un bousin, même si c'est ton frère,

oh, je ne savais pas ! Si c'est sept fois, c'est le huitième, mais si tu couches une fois avec ta maman, on savait pas.

Une maman ! Mais tu ne vas pas dire à ta maman, prends la pilule !

– Les Français sont passionnés par la pâtisserie en ce moment,

je ne sais pas pourquoi, ce qui se passe d'un coup, mais alors je me suis une temps en temps,

maintenant nous aussi, si on veut intéresser nos auditors, on est obligé de poser des questions pâtissières.

J'en ai fait une, il y a une ou deux journées sur la jalousie, je ne sais pas si vous souvenez.

– J'ai cru que vous aviez fait une pâtisserie. – Non, c'est-à-dire qu'il y a eu un trou dans son plaid.

– Meilleurs, je me suis tapé une religieuse, enfin, toi. – Elle apportait plein d'elle-même ça.

– Alors, j'ai vous donné la recette du gâteau à vous de retrouver, évidemment, le nom de ce gâteau.

– Je ne vais pas répondre déjà, je ne mange pas de gâteau.

– Pour 4 personnes, alors il faut du lait entier, 30 centilitres de lait entier,

une gousse de vanille, du sel de guérande, de la farine.

– Des crêpes !

– Non, de la levure chimique, du sucre semoule, 3 jaunes d'œufs frais et du beurre, et 75 g de pruneau.

– Ah ben c'est le farbroton ! Le farbroton !

– Le farbroton, bonne réponse des garçons !

– Bravo, bravo, bravo, bravo, évidemment !

– Bon bah alors là, écoutez Caroline et Cristina si même sur le farbroton.

– Le farbroton, c'est un flanc, c'est un biscuit ?

– Non, c'est pas un biscuit, c'est un biscuit. – C'est un flanc.

– Que vous ayez buté sur les pruneaux, c'est quand même con.

– Bon, elle est finie, une question mécanique.

– Surtout le pruneau, quand il a dit pruneau, on a pensé à vos couilles, ça nous a bloqués.

– Eh ben, eh ben, eh ben, et ben, on en est fiers.

– Non, ça s'appelle un gland, tu sais, les gars, ça s'appelle des glandes.

– Non, ça s'appelle plus comme ça, ça s'appelle un salambo.

– J'ai déjà pris ça une petite souris, j'adore, c'est mon gâteau préféré.

– Ah oui, le verre avec les petits trucs nards.

– La petite souris, le salambo aussi, on appelle ça effectivement,

vous avez raison, moi un gland.

J'adore ça avec la crème pâtissière à l'intérieur.

– Le gland avec la crème pâtissière.

– Oh, il est long, il est long, il est long.

– Oh non, reprend, oh non !

– Mais deux souquets d'entour, c'est sublime.

– Non mais franchement, si vous voulez m'inviter un jour à diner ou à dîner,

autant que vous sachiez quelques...

– J'aime ça, le mille foyer aussi.

– Ah, je n'en ai pas, oui, avec la crème pâtissière aussi.

– Je n'en ai pas, Laurent.

– Vous pouvez me faire le mille foyer, ça j'aime.

Et le baba au rhum, ça, c'est mes trois préférés.

– Ah ouais, un en un, c'est vraiment le baba au rhum.

– Mais un bon flanc chez le pâtissier aussi, c'est pas mal.

J'en ai mangé un hier, là, j'avais une petite envie de flanc.

– Avec abricot ou pas ?

– Ah non, sans l'abricot.

– Non, non, c'est nature, c'est nature.

– C'est le chien au rhum, Laurent.

– Vous allez vous régaler quand vous allez venir chez moi, alors là...

– Et le pain au raisin, alors là...

– Ah, le pain au raisin, c'est bon.

– Ça, ça commence à coûter cher, attends.

– Ah, c'est bien le pain au raisin.

On va l'habiter, on te dit bien.

– Moi, j'aime bien le pain aux amandes.

J'adore, pas au moment de croissant aux amandes.

– Croissant aux amandes, j'adore.

– C'est comme ça qu'on recycle les vieux croissants parents de lui, tu sais ?

Et vous, Cristina, vous faites quoi, alors, comme un bon recette pâtissière ?

– Moi, je fais un très joli gâteau au chocolat,

légèrement moelleux à l'intérieur,

fait avec de la farine d'amandes, sublime.

– Sublime, dans un emballage le nôtre.

– Non, mais c'est moi qui fais pas du tout avec du chocolat fondu,

le bien amer, quand on va fondre comme ça,

quand après, on mélange avec les oeufs, on met pas aussi des oeufs neiges.

– C'est un test que vous nous invitez.

On avait dit qu'on le ferait, on le fait pas,

on devrait aller chez une grosse tête par semaine,

faire un dîner chez une grosse tête par semaine.

– Non, j'ai peur de pas revenir.

– Où est-ce ?

– C'est chez moi, il ne faut que bien aller entrer, c'est plein.

– Moi, je vais faire un dîner chez moi, là.

– Ah, voilà, on va goûter comme ça.

– Je vais faire du plat brésilien et mon dessert au chocolat, voilà.

– Oui, il est en promo chez Métro, hein, toi.

– Vous habitez quel quartier qu'on voit un peu si on peut venir ?

– Moi, je n'habite pas l'eau d'ici.

– Ah, c'est vrai ?

– Bah, en plus, on peut venir à pied, vous venez, j'espère.

– Vous pouvez venir à pied chez moi, si vous voulez.

– Ah, bah super, là.

– Moi, je vais vous découager, j'habite au Berviller Nord.

– Ah, là, vous allez foutre !

– Je vais le dîner quand vous voulez !

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Écoutez ou réécoutez l'émission des Grosses Têtes avec Laurent Ruquier du vendredi 25 août 2023.