Les Grosses Têtes: BEST OF - Les moments cultes

RTL RTL 8/27/23 - Episode Page - 1h 39m - PDF Transcript

Happy birthday to you ! Happy birthday to you !

Happy birthday to you !

Happy birthday to you !

Ah ils ne vous ont pas fait ça à Radio Classica ?

Je ne me l'avais jamais si bien chanté, Claudia.

Quel coeur !

Alors en quelle année la date de naissance de Franck Ferrand ?

1997.

Ah 1997 ! C'est possible ça !

Mais non !

Il serait plus jeune que moi !

Papy est né en 1995, il s'est donné l'air de sa mère !

Vous êtes né, je crois, le même jour, pas la même année.

Attention, que Brigitte Laet et Clémentine Célarie.

Ah mais j'en suis très flotté pour des raisons différentes.

Vous connaissiez Franck Ferrand et Metzila ?

Oui.

On a bu un café ensemble.

Je sens que vous n'intéressez pas à notre histoire.

J'ai pas eu le temps de réviser Laurent.

Vous n'avez pas de bonne note en histoire.

J'étais pas ouf ouf en histoire.

Amel, Amel, quand même, 1515.

1515, Marie-Gann ?

Ah !

J'avais déjà pas peur !

Vous voyez, vous voyez quand même, Ariel.

Je vois, je vois qu'il y en a là-dedans.

Enfin, je suis heureux d'être assis à côté d'Ariel Dombard.

Oui, je suis très content d'être à côté d'Ariel Dombard.

Vraiment, ça me fait quelque chose.

Parce que souvent, on dit que tu viens dans la télé, dans la radio.

Tout le monde est sympa, tout le monde est cool.

Moi, Ariel, ça a été mon premier vol de cassette vidéo.

Parce que j'ai regardé un indien dans la ville très, très longtemps.

Avec ma mère, on avait décidé de ne pas rendre la cassette.

C'est mignon !

En fait, pour tout vous dire, Madame Dombard, c'est amoureux de vous.

J'aurais voulu être mimicique.

Ça me plaît.

Il y a un, deux.

Un diable au mieux que deux.

Tu l'auras dans la ville.

Et Steve Boulay, évidemment.

Le vieux Boulay.

Mais il ne vous ai dit pas, il ne vous ai dit pas.

Mais vous regardiez Lolaft...

Bah, qui n'a pas regardé.

Laurent, quand même.

J'avais la télé, je regardais.

Moi, je voulais faire partie de l'offre.

Après, je me suis la piscine.

J'ai dit non.

J'ai dit non.

Quand t'as monsieur Manovre, je ne suis pas sûr que vous le connaissiez non plus.

Eh ben, si je le connais, tu vois.

T'es la personne la plus facilement imitable.

Non, mais c'est ça, quoi.

J'ai regardé la Nouvelle Star.

Mais c'est vrai que les jeunes vous connaissent grâce à la Nouvelle Star.

Je suis transgénérationnel.

Voyez-vous.

Les vieux vous connaissent grâce aux enfants du rock.

J'allais dire aux compagnons de la chanson.

Alors, il y a des citations littéraires, ici, humoristiques,

qu'il faut restituer, en tout cas, retrouver leurs auteurs.

On commence toujours comme ça, au Grosse-Tête.

Qui a dit ?

Ce sera une citation pour Alain D'Assi,

qui habite Villeneuve d'Ornau en Gironde.

L'hypocondrie est la seule maladie que les hypochondriacs

croient qu'ils n'ont pas.

C'est français ?

C'est français.

Et c'est quelqu'un qui est mort ?

Oui, qui est mort.

C'était quelqu'un de sérieux ou un bouffon ?

Ah non, pourquoi vous le disiez ?

Un bouffon, dites-je pas, parce qu'on a un maître,

s'il l'acte, il faut parler de l'engage des banlieues.

Wow, est-ce que c'est un bouffon quand il sort ?

C'est vrai, qu'est-ce qu'il prend ?

Non, on s'entendait...

Oh, j'entendais !

J'entendais que c'était quelque sauce de vieux

et que c'était quelqu'un qui avait peut-être l'oreille du roi.

Oh là, l'oreille du roi !

Et les nichons de la reine !

Oh, très peu gomme, hein !

Non, non, c'est quelqu'un qui a fait partie des grosses choses.

C'est un nos habitué, on va bien dire.

Charbellichou.

Sim.

Sim.

Sim.

Sim.

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Sim.

Sim.

Sim.

Sim.

a été inventé pour que l'homme se sente heureux sous un toit.

– Ah, waouh, c'est pas français. – Est-ce que c'est du XVIe siècle ?

– Alors pas du tout, c'est totalement contemporain, c'est même quelqu'un qui vit encore aujourd'hui.

– Qui est français ? – Et qui est français, madame ?

– Et qui est un chanteur. – Non, pas du tout, monsieur.

– En sportif ? – Alors, c'est pas mal,

c'est pas ce que je vais vous dire, c'est pas un sportif,

mais c'est quelqu'un qui, quand même, a une activité sportive assez intense.

– Mais c'est pas ce qui lui fait gagner sa vie.

– Mais il est avant tout écrivain.

– Sylvain Tesson ? – Sylvain Tesson, excellente réponse de Françéran.

– C'est grand.

– Puisque ça fait qu'il grimpe exactement Sylvain Tesson,

il fait de l'escalade, il grimpe, il est un peu sportif quand même, il faut...

– Oui, oui, il vaut mieux, il vaut mieux.

– Bon, il s'est cassé la gueule en même temps, déjà.

– Mais c'est pas celui qui est tombé dans une crevasse.

– Bah oui, non, il est tombé d'une maison.

– D'un chalet, il est tombé d'un chalet, c'est ce qu'on vient de dire, un réel.

– Ah bon, bon, bon, je crois que c'était une crevasse, vous me disiez,

il grimpe, bon, il grimpe seulement sur le toit des maisons.

– Sur le toit des guillis ? – Mais non, il a eu l'aiguille d'être tard.

Et Samo, il était en couverture du Figaro, alors qu'il avait grimper l'aiguille d'être tard.

– L'aiguille creuse. – L'aiguille creuse, à la recherche d'Arsène Lupin, vous voyez.

– C'est votre surnom, il parait l'aiguille creuse.

– Mais on a le droit de monter les aiguilles d'être tard ?

– Il n'y a pas de désaiguille, c'est pas une horloge.

– Je connais, il y a un pont avec un bout de rocher, enfin, c'est magnifique.

– J'ai pris les crits totales en 99 à Etreta, non, c'est magnifique, mais…

– Attendez, attendez, qu'est-ce que vous venez de nous dire ?

– Il a vu la lune à Etreta.

– Allez, je retiens Tivin avec Ariel et Caroline,

t'as à la fois l'aiguille creuse et la grosse vie.

– Il m'a dit t'as une tête d'avoir pleins de saloperie, toi, ça se fout.

– Qu'est-ce qu'il y a, monsieur Ptat-Zakiz ?

– Mais il est là, il a dit, il a dit, il a dit.

– Il se taille, il se taille, il se taille, il se taille, il se taille, il se taille, il se taille.

– On peut pas avoir un agent immobilier à peu près stigieux, plutôt que…

– Vous voulez dire monsieur la Forêt ?

– Guioquet, avant, oui, Guioquet.

– Monsieur, monsieur Mocquet.

– Monsieur Féot, dis-en comme ça, monsieur Féot.

– Pas le roi du Taudi, là.

– C'est un nom de résistant, vous voyez.

– Voilà, exactement.

– Voilà, un agent immobilier.

– Bien sûr, bien sûr, ils sont tellement sympas.

– Et sa femme vend des tapis.

– La moquette.

– Ça c'est l'humour belge, hein, ça travaille.

– C'est con que ça passe la frontière, quoi.

– J'ai une question pour M. Nelbihar, qui habite tout en Savoie.

Ma question concerne quelque chose qui s'est passé à 27 avril.

– 27 avril.

– 1789.

– Ah oui.

– Qui a volé des noix de coco à qui ce jour-là ?

– C'est dans un livre ?

– Dans un livre, non.

– Ça se passait sur le bounty ?

– Expliquez.

– Eh ben, les naufragés du bateau, la bounty ?

– Le bounty.

– Il n'était pas encore naufragé à ce moment-là.

– Non, d'ailleurs, il n'y a pas une naufragée.

– Non, c'était la révolte, pardon, il y a une révolte.

– Alors, qu'est-ce qui s'est passé ?

– Alors, parce que...

– Qui a volé à qui ?

– Alors, et on a... – Lange, lange !

– À mon avis, le personnel.

– Le personnel, enfin, comment on a fait ça sur Marlon ?

– L'équipage.

– L'équipage avait faim et a donc volé les noix de coco du capitaine.

Je n'en sais rien.

– Capitaine Blight, voilà, ils ont volé le capitaine Blight.

– Alors, le capitaine Blight, c'est lui qui avait des noix de coco dans sa réserve.

Et qui lui vole des noix de coco ?

– L'équipage.

– Qui était affamé.

– Les révoltés du bounty.

– Oui, il préfère manger un bounty, mais il n'est pas encore à l'époque.

– Parce que c'est plus que le révolte sur le bounty.

– C'est une mutinerie.

– Non, mais là, tout à fait raison.

– Bien sûr, d'où le titre du roman, les révoltés du bounty ?

– La révolte, c'est un acte d'opposition.

La mutinerie, c'est une prise de pouvoir.

C'est très différent.

– Voilà, c'est tout, voilà.

– Et je tiens, merci à monsieur Benichot de préciser pour les enfants qui nous écoutent

un peu de culture.

– Mais oui, j'en vois plus qu'au temps.

– Ça nous change des 315 tourdines, monsieur Platte Blain.

– Mais donc Laurent ?

– Il nous manque un nom, parce que grâce à Olivier de Caerceau, on a ma question.

– Oui, c'était Heroine Christian, ou des gens comme ça.

– Alors, comment s'appelait celui qui a volé les noix de coco ?

– Le chef des...

– Le chef des mutins.

– Le chef des mutins.

– Celui que je vais parler au brando ?

– Heroine Christian.

– Non, pas Heroine Christian.

Il s'appelle Christian, mais pas...

– Christian Clavier.

– Christian Christian ?

– Non.

– J'ai oublié, parce que quand j'ai pas une mentalité à dénoncer, le don de le

prénom, c'est tout.

Christian.

– Christian.

– Christian.

– Christian.

– Il y a un grand producteur de cinéma français qui portait presque ce nom.

– Christian Wynschtein.

– Pardon ?

– Christian Wynschtein.

– Non, pas Wynschtein.

– Christian.

– Christian.

– Si, je sais.

Christian Kit Kat.

– Non.

– J'ai aucune idée.

Berzo.

– Mais non.

– Faichner.

– Christian Fletcher.

Bonne réponse de Chantal Latsou.

– Les forces de Chantal.

– Eh oui.

– Les forces de Chantal.

– Putain.

– On est le 27 avril 1789, ils reviennent de Tahiti, d'ailleurs, sur ce bateau.

– Ils reviennent pas vraiment, ils sont encore dans les eaux polinaisiennes.

– Oui, c'est ça, mais...

– Donc ils reviennent pas.

– Enfin, ils s'apprêtent à revenir.

– Ils sont dans les eaux polinaisiennes.

– Ils sont sur le départ.

– Soit précis, est-ce que tu nous fais assez chier sur le reste, alors je veux

– La faute précise.

– Non mais ils volent les noix de coco du capitaine,

le Christian Fletcher,

et le capitaine va punir l'ensemble de l'équipage pour ces noix de coco

en supprimant la distribution de rômes

et en divisant les rations de nourriture par deux.

Et c'est ça qui va créer la mutinerie à bord du boutique.

– Non, les rations d'eau, c'est pas la nourriture qu'elle a été faute précise,

parce que le problème, c'est comme le bateau ramenait de la botanique en Europe,

ils avaient besoin d'eau pour arroser, c'est l'eau de l'équipage qui a été rationnée,

pas la nourriture.

– Qu'est-ce qu'on sait, tu y étais ?

– Mais non, j'ai lu plein de trucs là-dessus,

donc il n'y a pas que de football, allez, allez, allez.

– Un jour, il est parti avec...

– Non mais c'est la journée de la merde aujourd'hui.

– Tu avais des...

Souvent, il part avec l'équipier, celui-ci, si jamais il se mettine.

– Tous les gens qu'on naviguait avec moi, ils m'ont adoré.

– C'est vrai ?

– Jamais vous n'avez eu un mutin à bord ?

– Jamais.

– Une putain, oui, une putain.

Il a eu deux putains à bord.

Ma mère et sa femme.

Et il était...

– Jamais.

– Monsieur de Carre-Sausson, est-ce qu'on pourrait pas avoir un peu plus à manger ?

– Ah ben oui, mais il serve d'un peu à la pêche au requin, cela.

– Dans le privé, je suis un être délicieux, moi.

Il y a qu'ici où tu fais semblant d'être désagréable.

On remarque que c'est facile quand on a ça à côté.

– Vous imaginez à bord avec Platin ?

– Moi, j'aimerais bien, bro, tiens.

Mais pourquoi on n'irait pas ensemble, tiens ?

– J'adore rien.

– Eh ben oui !

– Il y a un bout du haut, hein. La cata et le marron.

Là, je le saurais pourquoi je te jette à l'eau.

– Attention, hein.

– Au nom de tous les mallogés, maintenant, nage.

– Question éphéméride.

Si vous allez vérifier la date du jour,

vous saurez qu'il est mort il y a pile 65 ans.

Oui, le 24 octobre 1957,

et il avait seulement 52 ans, c'est jeune, pour mourir.

Et c'est il y a déjà 65 ans.

Moi, je vais vous dire, je n'imaginais pas

que cette personnalité était décédée.

Il y a déjà 65 ans.

– Bon, il se vient ?

– Non. Qui est décédée ?

– C'est l'acteur américain.

– Non, non, non. On parle d'un Français.

Un Français issu au départ d'une famille d'industriels

spécialisée dans les Angrais et l'eau de Javel.

– Eh ben ?

– Et en 1919, alors, faites le calcul,

il est né en 1905, donc il avait 14 ans.

Quand il avait 14 ans, lors d'une kermesse en Normandie,

il y a une voyante, une qui-re-mentienne,

qui lui a dit « les femmes, vous saurons bénéfiques,

et c'est par elle que vous réussirez. »

Qui est mort ? 52 ans ?

– La Saint-Guitrie.

– Non, il y a 65 ans, donc un 24 octobre,

pile, il y a 65 ans, le 24 octobre 1957.

– Donc, c'est un comédien ?

– Non.

– Vous parlez de famille d'industriels.

Est-ce que lui-même était industriel ?

Il a repris une…

– Industriel, non, mais en tout cas, son nom est encore aujourd'hui

un nom qui signifie…

– Dassault.

– Dassault, non.

– Citroën.

– Jacques de Sange.

– Jacques de Sange, non.

– C'est forain.

– Mais c'est vrai que c'est bien.

– Ah, princesse, t'entends, non ?

– C'est quelqu'un qui fait de la beauté.

Quelqu'un qui fait de la beauté.

– En tout cas, effectivement, qui les femmes et les hommes aussi,

aujourd'hui.

– Ah, parce que c'est Christian Dior.

– Et c'est Christian Dior.

Bonne réponse.

Vous en écoutes ?

Moi, je pensais qu'il était décédé plus récemment que ça,

Christian Dior, il est mort.

– Il avait la ville-là, les Rums, à Grandville.

– Il est mort en 1957, 1957.

Christian Dior, à l'âge de...

– Et la voyante, elle lui avait dit, c'est par les femmes

que vous allez réussir.

– Exactement.

– Oh, là, là, là.

Juste.

– Moi, c'est l'inverse, en fissément.

– Vous allez voir les voyantes, vous, monsieur.

– Ah, moi, je crois oui.

Vous n'allez pas voir les voyantes.

– Non, non, non.

– Qu'est-ce qu'elle vous dit aux les voyantes ?

– Oh, ben, juste maintenant, elle se trompe pas.

Alors, moi, je fais...

J'ai ma stratégie.

Je ne parle pas de moi,

parce que si tu leur donnes des éléments,

forcément, elle va dire...

Voilà.

– Elle parle de mon passé.

– Ah, oui.

– Bah, non, moi, je trouve qu'il y en a plein

qui sont bonnes sur le passé,

mais pas forcément sur l'avenir.

– Bah, ma mère, elle dit comme toi.

– Mais ça sert à quoi,

une voyante bonne sur le passé ?

– Elle va être rassurée.

– Ça rassure le coup.

– Mais non, monsieur.

– Allez, alors, là, il faut qu'on m'explique.

– Mais non.

– J'en ai connu des escrocs,

mais à ce point-là,

je vais vous dire votre passé.

– Non.

– Elle me dit pas ça.

– Mais monsieur, elle en connaît pas,

c'est que...

– Vous avez vécu ça,

vous avez vécu ça.

– Avec des paraisies.

– Alors, ça, c'est facile.

Ça s'appelle pas une voyante.

– Oui, mais...

– Ça s'appelle Wikipédia.

– Il y a la deuxième partie,

après, elle dit,

et vous allez vivre.

Ça vit.

Donc, ce qu'elle dit,

que vous allez vivre après,

finalement, ça a beaucoup plus de crédibilité

si elle vous a parlé de votre passé avant.

– Elle t'a parlé des paraisies.

– Mais ma mère,

oui, elle l'avait dit.

– Ah, bah, alors,

donc...

– Partie de rien,

elle lui a pas grand-chose.

– Vous allez voir des voyantes,

vous carrez une marchande,

je vous considère,

mais pas toutes les semaines, hein.

Quand j'ai un choix à faire,

elles n'arrivent pas à le prendre.

– Ah oui, et vous, Tohaine,

vous allez voir des voyantes, vous, Tohaine.

– Non, je parle de voyants,

moi, j'aime pas ça.

Moi, je suis très cartésien,

moi, vraiment catholique, de droite...

– Et vous, Rachel,

vous allez voir des voyants.

– Alors, de temps en temps,

mais mon entourage est plus

en fait composé de présbite.

– Oh...

– C'est-à-dire...

– Rachel, attention.

– Non, mais c'était un peu...

– On est en délai,

Rachel, attention.

– Elle fait un jeu de mots avec...

– Elle fait un jeu de mots

avec le fait de voir, hein.

– Et de qui se commence,

ça, la soirée, toi ?

– Ah, j'avais pas compris.

– Ah, vous vous devez dire quelque chose,

maintenant.

– Oui, moi, je suis très amie

avec une voyante et...

– Yagal Didier.

– Yagal Didier,

et avec elle, nous...

nous amusons souvent

à voir le passé

d'un certain nombre

de grands personnages.

J'ai l'impression

d'entrer dans l'intimité des gens.

– Nous nous amusons

à voir le passé dans...

tu n'as rien dit, c'est tout.

– Non, mais pas du tout,

mais parce que...

– Elle se connecte, hein.

– Ah, mais ça, c'est vrai.

– Moi, j'ai vu quelqu'un

dans une fête foraine

qui m'a dit un jour

dans une grande émission

en tournée de cerveau.

Eh ben, c'est pas foutu de ma gueule.

– Et moi, et moi,

on ne me demande rien.

– Après, là, tout.

Une question

pour Nathalie Marcinkowski.

Elle habite cesta,

c'est en Gironde.

Et la question concerne

la chanson,

le célèbre chanson

de Serge Gainsbourg,

le point sonore

des Lila.

Des petits trous,

des petits trous,

toujours des petits trous.

Cette chanson a été interprétée

aussi par les frères Jacques,

qui furent parmi les premiers,

d'ailleurs, à l'interpréter.

Mais j'ai bien dit

qu'ils furent parmi les premiers,

mais pas les premiers.

Quel fut le premier interprète

du point sonore des Lila

qui passa donc à la radio ?

– Philippe Clé.

– Philippe Clé, non.

– Michel Arnaud.

– Michel Arnaud, non.

– C'était un homme ?

– Un homme, oui.

– Guillaume Pépi.

Vous confondez avec Jean-Dassin ?

Est-ce que c'est un chanteur

qui est resté connu

au cours des années ?

– Oui, c'est un chanteur

qui est resté connu.

– Hugo Frey.

– Et c'est Hugo Frey.

– Oh !

– Bonne réponse

de Pierre Vénichoux.

Comment vous savez ça ?

– Parce que je suis imbattable

sur cette époque-là,

parce qu'on en était copains

avec Hugo Frey et Gainsbourg

et moi.

– C'est chez Milor L'Arsou.

Il y a, on est en 1958,

un cabaret riz gauche.

Je sais pas si vous y étiez,

Pierre, mais manifestement, oui.

Serge Gainsbourg est pianiste

d'ambiance.

Il chante de temps en temps.

Et c'est là qu'il entend, effectivement,

Hugo Frey entend la chanson

et demande à Serge Gainsbourg

de pouvoir lui emprunter

cette chanson

pour participer à un concours

sur une radio.

Et il chante

« Le point sonore d'Élila ».

J'ai même la version

du Hugo Frey, si vous voulez.

– Je suis le point sonore d'Élila,

le gars qu'on croise et qu'on

ne regarde pas.

Il n'y a pas de soleil

sous la terre,

le rôle de croisière,

tu es dans la nuit,

j'ai dans ma veste

des extraits du rideur digestale.

Et dans ce bouquin,

il y a écrit

C'est Hugo Frey, écoutez bien,

c'est la voix du Hugo Frey.

On ne le reconnaît pas.

On le reconnaît très bien.

Il chante très juste.

Et vous avez Régine

qui chante Bob Dylan ou pas ?

Non mais c'est étonnant,

écoutez encore un peu.

Les petites roues,

toujours les petites roues.

Des petites roues,

les petites roues,

toujours les petites roues.

Les petites roues,

les petites roues,

les petites roues. »

Hugo Frey qui chante,

quand même,

ce célèbre tube,

mais c'était pas un chien

qui chantait au 3 Baudé également, non ?

– Ah, ils ont chanté

dans différents...

– C'était Canetti,

Canetti et quel produit c'est ?

– Ils ont chanté

dans différents cabarets

et parmi ceux

qui ont interprété

cette chanson par lui,

il est premier,

il a les frères Jacques aussi,

cher Pierre Benichou,

peut-être avez-vous connu

le travesti Lucky Sarcel ?

– Il t'a pas poissonné au lion ?

– Ben je vous jure,

Lucky Sarcel,

– Ça j'aime pas beaucoup, là.

– T'as connu Marie-Line Au-Bervier ?

– Non mais je vous jure que c'est vrai !

– Tu ne te souviens pas

de celle qui était au...

au Alal-Kazar,

la Pavlova, là ?

– Ah, c'est pas vrai !

– Oui !

– Ah ben je me souvenais plus d'elle,

du Vanilla ou pas,

ou c'est vrai ?

– C'est vrai !

– Non, non, c'est vrai bien sûr.

– Il était surnommé

Lucky Sarcel,

la seule chanteuse

qui chante avec ses jambes.

– Oui, oui, oui.

– Oui, oui, il avait des jambes

magnifiques !

– Il avait des jambes magnifiques,

un peu comme...

comme le jeune homme,

là, qui a des très jolies chaussures, là.

– Non mais c'est un très joli bronzage,

hein, les jambes.

– Mais regardez-moi ces deux vieux

qui sont en train de mater

une jeune femme au premier rang.

– Ben non, c'est pas la jeune femme

que je regarde !

– Mais moi c'est la jeune femme !

– C'est le mec à côté !

– Quel salaud !

– Mais c'est qui ce monsieur

que vous connaissez ?

– Non, c'est la jeune femme

qu'on regarde.

– Mais non, toi,

tu regardes qui tu veux,

il y en a marre, hein !

– Mais, je regarde qui je veux,

oui, c'est vrai.

– Vous inquiétez pas,

ils vous feront pas de mal, hein.

– Oh !

– Je pense qu'elle...

– Ben, ça voit,

l'autre jour, j'ai failli en faire une,

et ce qu'on l'a,

il n'arrivait pas à la tenir.

– Ça va pas, non ?

– Faire vers Pépère, hein.

– Alors elle,

elle se débattait forcément,

elle disait, mais tiens là,

j'aime pas la force,

j'aime pas la force,

tu penses,

j'ai un loup comme il est !

– Mais c'est n'importe quoi,

j'ai honte,

j'ai honte !

– Sandy, terrain de football,

qui disparaissent,

chaque heure,

tout ça,

ou en Amazonie,

c'est vraiment une image,

qu'on nous donne.

– Ah, pour la taille, oui.

– Et oui, on nous explique,

effectivement,

que depuis,

que monsieur Bolsonaro

est président du Brésil,

eh bien,

il y a de plus en plus

d'incendies allumées volontairement

pour des intérêts économiques,

qui détruisent donc

une partie de la forêt,

qui valent à peu près

un rythme de

110 terrains de football,

chaque heure.

– Non.

– Oui.

– Avec les toits, hein.

– Ah non.

– Non, c'est mon truc.

– Non, c'est une image.

– Ah, c'est une image.

– Qu'est-ce qu'elle est

le fleuve le plus grand

du monde,

après le Nil ?

Eh bien, c'est l'Amazonie.

– C'est l'Amazonie, oui.

– C'est pas ma clé, ça.

– Eh bien,

eh bien,

et est-ce que vous savez

combien de kilomètres

il fait depuis sa source ?

– Non.

– 6600.

– Bravo pour vous.

Vous pouvez poser votre question.

– Arielle.

– Oui.

– Puisque vous avez l'air

si douée en géographie,

en mesure,

ça tombe bien,

puisque je viens de vous dire

que chaque jour disparaissait

l'équivalent

de 110 terrains de football.

– Oui.

– Eh bien, ça fait combien

en mètres carrés ?

– Ah.

– Les 110, ou un ?

– Alors, d'abord,

un terrain de foot,

vous n'aurez plus qu'à multiplier.

– Un terrain de foot,

ça fait combien de mètres

plus de mètres carrés ?

– Eh bien, c'est la question.

– Ça fait 1000 mètres carrés

en terrain de foot.

– Ça doit faire, genre, 75 mètres.

– Oh.

– Oh, bah oui.

– Sur 20 mètres.

Sur...

Ça vaut...

Ça vaut un petit peu

plus de 75 mètres carrés.

– Je crois que...

Je crois quelques fois

avec un babyfoot.

– Ça fait combien ?

800 mètres carrés ?

– 1000 mètres carrés.

– Non.

– Mais non.

Mais non.

Mais non.

Mais non.

Mais non.

Mais non.

– 800 mètres.

– Combien vous dites ?

– 600 mètres.

– 600 mètres ?

Non.

– Ça fait 150 mètres, non ?

– Mais non.

– 800 mètres.

– En longueur ou en largeur ?

– En longueur.

– Alors, en longueur,

combien vous dites ?

– 150, 120 mètres,

à l'extérieur.

– Non.

Allez.

– Alors, 113.

– 413 mètres.

– Non.

Entre 100 et 120 mètres.

– 160.

– Non.

Mais c'est à peu près ça.

100, 120 mètres.

– OK.

– En longueur.

– Et en largeur,

c'est 45.

– Ça dépend des terrains de choux.

– Ça dépend de la taille.

– Oui.

– Ça dépend de la taille.

– Oui.

– Chez les pigmates,

c'est plus court.

– Enfin, en Asie,

c'est peut-être plus petit.

– Oui.

– C'est incroyable.

Les terrains de tennis

sont la même taille partout.

– Non.

– Non.

– C'est idiotique.

– Ah, c'est du tennis.

– Vous dites plus court.

– Excusez-moi.

Mais ils calculent leur...

– Non.

– Mais ils ne le dites pas

que les terrains de tennis...

– Mais c'est du tennis

ou du fou ?

– Les terrains de tennis,

il y en a des plus courts.

– Oui.

– On cherche...

On cherche de quoi ?

Tennis ou foudre ?

– Oh, c'est plus qu'on cherche.

– Non.

On cherche à l'argeur.

– OK.

– OK.

– Après 90...

– 80 mètres à l'argeur.

– 80 mètres de tennis

ou de foudre ?

– Non.

– Foudre de...

– À foudre.

– Mais pourquoi vous parlez de tennis ?

– C'est 400 mètres de long.

– 40 mètres de large.

– Mais de quoi ?

Mais c'est fou.

T'en cherche.

– Mais c'est 100 mètres de long.

– C'est ça.

– Si ça fait 4 ans,

entre 90 et 100 mètres d'être de long,

c'est 100 mètres de large.

– Mais non.

C'est 120.

– 120.

– 100 entre 90 et 120 mètres de long

en fonction des terrains de foudre.

– C'est tout ?

– 1 de long.

– On voit bien que c'est

moins large que long.

– Oui.

Je l'ai.

Je l'ai.

J'ai la réponse.

Je l'ai.

Je l'ai.

– Ça dépend de quel côté on se place.

– Oui.

Ça y est, je l'ai.

– On voit bien que t'as pas du grand saut.

– C'est 5000 mètres carrés.

– Comme il y a vous-dit.

– On est à 5000 mètres carrés pour 110.

– Plus que ça.

Les terrains de foudre fait entre 90 et 120 mètres de long en fonction.

– Alors on part sur le casque.

– En fonction de la taille du terrain.

Je vous explique, Caroline,

oui, les terrains de foudre

font pas tous la même taille.

Ça dépend.

– Ça dépend de la trélée aussi.

– Ça dépend du stade.

Ça dépend...

– Non, non, non.

– Oh, tout beau, toi.

On n'y arrivera jamais.

– C'est le juste prix.

On va tomber dessus.

– Vous n'arrivez pas à comprendre que...

– 7000 mètres carrés.

– Il s'agit de calculer...

– Comment il y a vous-dit ?

– 7000 mètres carrés.

– 7000 mètres carrés.

Bon !

Le réponse qu'ils appellent, Mergo.

– J'allais le dire.

– Eh bien, t'en fais.

– Il y a plus que 5 000 sépensés.

– Oh, j'allais le dire.

– Ah oui.

– Comment ça s'il...

– Vous êtes...

– La question était, je vous le rappelle,

combien font 110 terrains de foudre ?

Bon, alors il faut multiplier par 110.

7000...

– Mais c'est pour ça, d'où ?

Mon raisonnement, j'avais tout noté.

Donc, je me suis dit, mais bon, y'a...

7000 !

– Non, non, elle est très forte en maths.

– Je dirais 770 000.

– Oui, c'est pas...

770 000 mètres carrés, ce qui fait en hectare, Stevie.

– Ah bon, c'est fichement rien.

– 7 hectares.

– Qu'est-ce qu'il s'est dit ?

– 77 hectares.

– Elle a dit 7000.

– 7000 mètres carrés, un terrain...

– Mais c'était pas votre question.

– Il faut les multiplier par 110.

– J'y arrivais !

J'y arrivais, mais tu m'as mouché en disant de se le dire.

Mais moi, j'y arrivais petit à petit, parce que je suis humble.

Je commençais déjà.

Je commençais déjà par un terrain.

– Oui.

– Excusez-moi, comment un terrain peut faire 7000 mètres carrés ?

– Mais oui, il fait 7000 mètres carrés.

– Mais non, mais c'est pas possible.

– Il fait...

– Si on multiplie 120 par 45, ça peut être jamais...

– Mais c'est pas par 45.

D'abord, votre largeur de terrain est trop petite.

– Alors ma largeur de terrain est excellente.

Et personne ne sait jamais plein.

– Un terrain...

J'allais y venir, on n'en a pas encore parlé.

Déjà, vous n'arrivez pas à être d'accord sur le fait,

et je vous affirme que c'est vrai

que les terrains n'ont pas tous la même longueur.

Certains font 90, certains font 110,

d'autres font 120 mètres de long.

– Ce qui compte, c'est que les joueurs jouent tous...

– Et c'est la façon de s'en servir.

– Bah je trouve ça pas normal.

– Ils sont quand même...

– Quand tu cours le 100 mètres,

tu cours pas entre 80 et 100 mètres.

– Excusez-moi.

– Mais est-ce que...

Est-ce que le rond central est vraiment au milieu ?

– On comprend rien du tout.

– Alors bah donf nous en à la largeur.

La longueur, je vous l'ai dit, entre 90 et 120 mètres.

La largeur d'un terrain de foot, c'est entre 58 mètres et 90 mètres.

– Mais c'est pas...

– Il n'y a pas 22.

– Parfois, ça fait 90 mètres de long.

Ça peut pas faire 90 mètres de large.

On est sur du carré, là, en l'orant.

– Bonjour, dame.

– Je ne suis pas spécialiste,

mais j'ai de la regarder.

– Mais il fait 90 mètres de large

quand le terrain fait 120 mètres de long.

– Est-ce qu'on pourrait appeler Vilénie ?

– Il nous fasse calcul.

– Faites une moyenne de 100 mètres par 70.

En gros, ça fait 7 000 mètres carré à la raison.

Isabelle Mergo, 7 000 mètres carré en hectare.

Ça fait... Alors, d'abord, il faut multiplier par 110.

Ça va vous faire 770 000 mètres.

– Mais pendant ce temps-là, ça brûle, hein.

– Quelle horreur, c'est vrai ?

– Le long, c'est par jour ou par heure ?

– Par heure.

Après, vous pouvez multiplier par 24.

– Non, non, non.

– Nice. – On vous fait confiance.

– Allez, une question pour Arlette Marcou,

qui habite Flin-les-Rach, c'est dans le Nord.

Quel est le premier scientifique

à avoir descendu l'Amazon

et qui fut aussi académicien français ?

– Erzog. – Erzog.

– Pardon. – Erzog.

– Erzog, non.

– Erzog, non.

– Descendu l'Amazon d'un siècle ?

– C'était au XVIIIe siècle.

– Au XVIIIe.

– Un bolt ?

– Comment vous dites ? – Un bolt.

– Un bolt, non.

– De bolt, oui.

– C'est une question pour vous, M. Ferrand.

– Oui, c'est pour toi.

– Un roue-tazier.

– Un roue-tazier au XVIIIe siècle.

– Ah ben, c'est pas la Cognorising Zone,

alors il était...

– Il était navigateur par ailleurs ?

– Ah, il était explorateur. – Gaville.

– Scientifique.

– Il avait une rue au Havre.

– Ah non, non, mais écoutez.

– On parle souvent de lui.

– On parle souvent de lui, en tout cas.

M. Ferrand, on a fait un podcast.

– Mais non, c'est bien un bolt.

– Pardon ? – C'est pas un bolt.

– C'est pas un bolt,

puisque je vous dis que c'est pas un bolt.

– Mais c'est lui que j'ai à l'esprit.

– Il est célèbre pour d'autres découvertes ?

– Non, oui, il est célèbre pour le podcast

que Ferrand lui a pensé.

– Mais c'est pas lui qui les écrit,

c'est pas lui qui les écrit, ce podcast, alors.

– Non, mais j'ai oublié,

t'imagines d'en faire tout les jours.

– Il comprend même pas ce qu'il lit.

– Ah non, ils sont bien, c'est un casque.

– Moi, vous voyez, comme je le suis,

à Bojador.

– À Bojador.

– On écoute quand même.

Académicien français, scientifique, astronome,

encyclopédiste, explorateur, qui effectivement

est le premier scientifique

à avoir descendu l'Amazon.

Il cherchait des Amazones mythiques

qui poplaient ces régions

et il adressait une carte du cours de l'Amazon.

C'est lui qui a décrit l'arbre

Quinquenquina, vous voyez.

– Alors quoi ?

– Quinquina, dont est extrait la quinine,

vous voyez.

– Il a découvert l'arbre à caoutchouc.

– Michelin, michelin.

– L'usage du cul.

– C'est dommage que Stéphane Berth soit plus à Paris,

on aurait pu l'appeler.

– Mais oui, mais il a déménagé.

– Eh ben oui, il est dans le perte.

– Parce que Paris n'est plus possible.

– Vous imitez bien de funaès, ça.

– Il va possible.

– Mais le Franck Ferro,

il sait même pas le nom de cette époque.

– Non mais attendez,

il n'est pas du tout connu pour ça, cet explorateur.

Il est connu pour toute autre chose.

– Mais il n'est pas connu du tout, surtout.

– Ah, il n'est pas connu du tout.

– T'as pas compris, c'est juste une question

pour un maire des francs.

– Mais oui, c'est une question

parce que j'ai raconté sa vie

il y a des années

et je l'ai oublié.

– Il est célèbre pour avoir mené

de 1735 à 1743

une expédition française en équateur.

– C'est pas la Perouse.

– Ah, la Perouse, non, non, non.

– Ça lui revient. – La condamine.

– Charles-Marie de la condamine,

bonne réponse de Franck Ferrand.

– Ça revient trop loin.

– Voilà, vache.

– Je ne chagnais pas.

– Charles-Marie de la condamine,

bravo, Franck, l'honneur et sauf.

– Il fallait que ça remonte.

– C'est vraiment une question

sans intérêt.

– Comment ça, une question sans intérêt ?

– Voulez-vous qu'on replace ça un jour ?

– Mais non, mais quand même,

en plus, c'est quelqu'un

qui a travaillé contre la variole, je crois.

– Ah, d'accord, j'en sais rien, mais c'est possible.

– Comment ça, j'en sais rien ?

– Si je l'ai dit, c'est que c'est vrai.

– Je n'avais rien trouvé pour la COVID.

– Mais comment tu fais pour avoir

cette diction si fluide ?

Tu bras d'où tu écris ?

Tu écris ?

Tu écris ?

Qu'est-ce que tu fais ?

Ferrand, Ferrand, qu'est-ce que tu fais ?

Qu'est-ce que tu fais ?

Ferrand, tu fais comment ?

Ferrand, tu fais comment pour parler

pour parler d'actualité ?

– Est-ce que vous vous souvenez de ça ?

– Oui, du pire sans cigarette.

– Oh non !

– C'est rare !

C'est rare !

Alors, comment tu fais le souvenir ?

C'est vrai qu'est-ce qu'ils font les gens

pour parler aussi fervent ?

– Tu vois, il y avait une émission

de télé anglaise

que je voulais adapter en France

qui s'appelait Drunk History.

Et c'était...

On n'aurait jamais la fin, M.D.

– C'est vrai que tout de suite, c'est moins fluide.

On sent que le Beaujolais nouveau est arrivé.

– Ah, vous l'avez goûté de Beaujolais nouveau ?

– Figurez-vous que mon fiancé

m'en a apporté une bouteille en disant

« C'est le Beaujolais non con ! »

– Oh non, franchement.

– T'as pas besoin de contrats séceptifs.

– Qu'est-ce que tu es ?

Tu baves.

– Ça, c'est pas vrai.

– Si tu baves.

– C'est réglement de comptes à l'épade.

– Ah, Bataille !

Ma belle-mère a l'air partie de l'épade de Paris.

– Ah bon ?

– Aujourd'hui.

– Ah ben, il l'a chauffé pas, il lui donnait pas à bouffer.

– Ah ben, c'est comme à RTL !

Je vais vous donner le nom d'une femme

qui s'appelle Britt Marie Stex,

qui a d'ailleurs son visage sur le camion,

camion qu'elle transporte de ville en ville en Suède.

Mais à quoi sert ce camion,

dont le journal Le Monde nous parle

dans son édition datée d'aujourd'hui

mais parue des hier à Paris.

Cette femme suédoise dirige

plutôt conduit à un camion à travers toute la Suède

et on voit le visage de cette femme sur ce camion,

mais que fait-elle avec ce camion ?

– Elle fait de l'éducation de quelque chose.

– Du tout !

– Et c'est un exemple que la France va peut-être suivre.

– Elle vend des choses.

– Elle ne vend rien.

– C'est de la prévention gentille, alcoolique.

– Non monsieur Pérony, tout n'est pas lié à l'icol.

– Elle fournit un service.

– Ah oui, ça pose sexuel.

– Elle est maître.

– Un service sexuel, non.

– Mais c'est infirmière.

– Infirmière, non.

– Elle balade des animaux.

– Ah, alors elle ne balade pas les animaux.

– Un abattoir mobile.

Bonne réponse de Bernard Mabille.

– Ah bon ?

– C'est ça qu'elle s'appelle Stex.

– Madame Britt Marie Stex, effectivement,

dirige un abattoir mobile.

C'est-à-dire qu'elle va chez les éleveurs

et elle tue les bêtes sur place dans son camion

plutôt que les éleveurs emmènent.

– Il n'y a pas de stress.

– Voilà, exactement.

On n'emmène pas les bêtes à l'abattoir grâce à elles.

Les bêtes sont tuées sur place, comme ça, vous voyez, c'est ça.

– Si tu ne viens pas à l'abattoir, la battoir, il va l'abattoir.

C'est ce qu'il se faisait avant.

D'ailleurs, le type passé, il tue dans les fermes.

– Exactement.

Alors c'est que maintenant, on propose un contrôle vidéo

pour la France.

– C'est très bien.

– Ah, vous trouvez ça très bien ?

– Oui.

– Comment on va savoir si...

Le contrôle vidéo, c'est pour ça

si la vache a bien franchi la ligne ou pas.

– Non, non, non.

– Je ne vois pas les conditions qu'on va tuer la bête

parce qu'on voit des images de trucs affreux.

– Ça fait surtout de bons souvenirs.

– Et même les éleveurs sont très inquiets.

– En Belgique, ils ont un abattoir mobile,

mais c'est pour les mineurs.

Ce qui est curieux pour cette femme

qui vient donc de ferme en ferme en Suède

avec son camion pour abattre les bêtes.

Madame Brigitte Marie Stex,

ou Brigitte Marie Stex,

c'est qu'elle mette son visage sur le camion.

Ça, j'avoue que c'est quand même assez bizarre.

Les vaches, quand elles voient arriver le camion,

ils disent « putain, lave-là ».

Vous êtes pour le contrôle vidéo

dans les abattoirs, Monsieur Pierre ?

– Oui, absolument.

– Oui ?

– Ah oui.

C'est vraiment honteux la façon dont les animaux sont tués.

C'est vraiment incroyable de faire souffrir.

Cela dit, quand tures des animaux, je trouve ça tout à fait normal.

– Oui, et pas de sadisme.

– Oui, il y a un peu de sadisme.

Ils jouent avec.

– Les animaux sont reconnus maintenant

comme ayant des droits.

– C'est pour avoir des droits.

Pour avoir des droits, il faut avoir une conscience.

Pour les animaux, ils n'ont pas de conscience.

– Oui, mais c'était le discours de Valladoï

d'un merci sur les noirs.

– Pas du tout.

– Ah si, c'était les noirs anti-duname.

Ils n'ont pas, donc on peut les mettre en esclavage.

On peut aujourd'hui imaginer aussi

que les animaux ont une conscience.

Si vous aviez un chien que vous aimez

ou un chat ou même certains animaux,

oui, ils ont une conscience.

– Vous ne pouvez pas lui parler.

Ils ne vous répondent pas.

– Bah si.

– Vous n'avez jamais vu un mouton président de l'Etat-Unis ?

– Non, mais...

– Bientôt.

– Ça n'a rien à voir.

– Les droits des animaux.

Jusqu'à quand vous allez rester à ce point

accrocher à l'air du temps.

Comme ça, c'est des bêtises.

– Et jusqu'à quand

vous allez rester accroché dans les passées

comme ça, c'est des bêtises ?

– Eh ben écoutez, heureusement,

qu'il n'y a pas d'amatoire mobile

qui passe rhubiaillard.

Les auditeurs parlent aux grosses têtes

et les grosses têtes ne leur répondent.

Ça, c'est une nouvelle rubrique.

Rubrique, monsieur !

– J'adore, j'adore, c'est énorme.

J'ai écouté l'émission de lundi et tout,

il y a Toën qui s'est fait un petit peu critique et tout.

– Ah oui, oui.

J'y retiens, il en reprend un coup,

la Toën de pauvre.

J'adore les grosses têtes.

Mais dès qu'il y a Toën, je zappe.

Je n'aime pas ces blagues.

C'est pas très gentil.

C'est Jamel qui est au téléphone.

Bonjour, Jamel.

Bon, mais il n'est pas là aujourd'hui.

On ne va pas dire du mal de Sébastien

que nous, personnellement, on adore, évidemment.

Mais quand même, vous ajoutez quelque chose

et dites à Jean-Fille d'arrêter de penser toujours au cul.

– Oh, ça, c'est pas lui.

– Ah, c'est vrai que vous pensez

que Jean-Fille est un peu obsédé, Jamel.

– Bonjour les grosses têtes.

– Bonjour, Jamel.

– Bonjour, Jamel.

– Jamel est la bonne a priori.

Pour moi, il s'appelle Jamel, alors.

– Non, j'aime beaucoup Jean-Fille,

surtout que c'est quelqu'un de ma région.

C'est acheté comme lui.

– Eh ben oui, c'est sûr.

Et donc, vous n'en voulez pas...

Les auditeurs ont le droit de faire des maîtres

quelques critiques, c'est pas pour autre.

– Ah, mais je prends ces constructifs.

Je vais essayer de me ressaisir et puis d'être plus égale à la vie.

– Pour vous ressaisir, vous vous ressaisissez assez souvent comme ça,

mais ce que je veux dire...

– Il faudrait c'est qu'il se fasse ressaisir, surtout.

– Ça aussi, je pense, que c'est suffisamment...

– Mais c'est vrai que c'est pas clair ce que vous devez,

mais un peu moins Jean-Fille,

que vous n'écoutez pas les jours où il y a Jean-Fille.

Après, vous êtes au téléphone avec nous aujourd'hui, Jamel.

– J'aime beaucoup l'humour de Jean-Fille,

mais je ne connais pas celui de...

– Ouais, écoutez, lui, il transmettra,

mais c'est comme ça, les auditeurs évidemment,

qui n'aiment pas d'autre.

Il faut évidemment faire pour tous les goûts.

– Qu'est-ce que vous faites, monsieur ?

– Pardon.

– Il y a un drôle de bruit.

– Il n'y a plus de clignotants, Jamel.

– Il n'y a plus de clignotants.

– Il n'y a pas, exactement.

– Ouais, ouais, tu vois, je m'y connais en clignotant.

– En clignotant, je t'y...

– Les clignotants, je t'y...

– Vous les reconnaissez tout de suite ?

– Ils ont pas le même accent.

– On vous remercie en tout cas, Jamel,

et pour votre remarque, on vous écoute, évidemment,

et on ne change rien.

– Alors...

– Merci, Jamel, merci beaucoup.

– Florian.

– Pourquoi on a vous pour la suite ?

– Bonjour, Florian.

Florian est au téléphone.

– Oui, il y en a un autre.

– Et alors, là, Florian, attention.

Florian veut faire de la concurrence à Yoann Riouge.

– Oh non !

– Ah oui.

– Mais ça ne devrait pas être compliqué.

– J'ai bien l'impression.

– Ne passe pas ambitieux, mais...

– Parce que voilà ce que vous m'avez écrit, Florian.

La saison dernière, pendant mes trajets au travail,

j'écoutais les podcasts des Grosse Tête

et j'en ai profité pour faire des statistiques.

Participation, nombre de réponses par sociétaire.

Je gagnais perdu, gars des auditeurs.

Vous me précisez que non, non,

vous n'avez pas une vie de merde.

Mais que si je suis intéressé,

vous pouvez me les procurer.

Alors, on vous écoute.

Quelles sont vos statistiques, Florian ?

– Bonjour à tous.

– Bonjour, bonjour.

– Merci.

Alors, d'abord, en présence,

il y en a un qui dépasse tout le temps,

c'est Sebastien Tohenn.

– Sebastien Tohenn.

– C'est Sebastien Tohenn.

– Ouf, terrible.

Terrible.

Et Caroline Gamant, Jean-Ti Vantaine,

et Dervin Armabille.

– Ce sont les plus présents.

– C'est Dervin Tohenn.

Duan Riyu est pas mal,

et vice du panier est beaucoup moins.

– J'habite loin, moi.

J'habite très loin.

– Mais oui.

– Et un nombre de réponses, alors.

– Je crois que c'est juste Jean-Marie Bigard,

mais nul, l'année dernière, nul.

– Exactement, ouais.

Alors, là, je suis absolument d'accord avec vous.

Sans déconner, c'est ma spécialité.

Je suis nul.

Et alors, les réponses, alors ?

– Les réponses,

sans aucune surprise, Paul El Carrat,

c'est 50% des bonnes réponses.

– Ah oui, c'est incroyable.

– Évidemment, évidemment.

– Mais c'est les gens normaux.

– C'est les gens normaux,

parmi les réponses aux membres.

Bernard, vous êtes le premier,

parmi les six qui sont là.

– Ah oui.

Ah oui, c'est ce que je suis plus vieux.

– Bravo Bernard, quand même.

Alors, ce qui m'intéresse,

c'est les gars des auditeurs.

Ça intéresse surtout

le service comptabilité de Herter.

– Alors, le service comptabilité

a claqué l'année dernière

en 99 880 euros.

– Oh la vache !

– Oh la vache !

– Mais vous avez déjà voulu

pas la vache !

– Oh la vache !

– Attendez, entre la valise,

la valise, les qui et quoi,

et surtout les gars aux auditeurs.

– Chaque 99...

Voyez comme quoi

il vaut mieux être auditeur qu'animateur

dans cette émission.

– Ah non, ils sont géniaux,

vos comptes.

– Et je continue cette année.

Donc l'année prochaine,

on peut se rappeler si vous voulez.

– On rappel l'année prochaine.

– On sera peut-être pas là

si on dépense trop, hein.

– Et en tout cas,

vous remercie pour ces statistiques

– Merci à vous.

– Florian,

voilà Florian Ifop,

vous revenez quand vous voulez.

Une question pour M. Joachim Texera

qui habite Pénamalor au Portugal.

– Oh la la !

– Qu'est-ce qu'on voyage aujourd'hui ?

– Oh la la !

– Avec grâce au podcast

Les auditeurs s'inscrivent

sur le site RTL.fr

ou qu'ils soient dans le monde.

Et ma question,

ma question appellera

une réponse que vous connaissez peut-être

si vous avez écouté ce matin

sur RTL

l'arvue de presse d'Amandine Bego

car elle en a parlé

et la trouvait cet article dans la croix.

Article que moi-même

j'avais déniché.

Alors je l'ai eu dans le détail.

Cet article est gignoré effectivement

qu'il souffrait à la fois de TMS

mais aussi de persulphate.

De qui s'agit-il ?

– Des troubles musculaux squelétiques.

– Oh bravo, exactement.

Les TMS, ce sont les troubles musculaux squelétiques.

– A l'étimine.

– Et de persulphate.

– Et de persulphate aussi.

– Le persulphate c'est un prêtre.

– Mais cette personne est décédée.

– Ah c'est pas une personne.

Ce sont des personnes

qui souffrent à la fois de TMS

et de persulphate.

– Ils ont été exposés

à des pesticides.

– Alors oui, à des produits toxiques,

ça c'est vrai.

Et en plus,

ils souffrent aussi de troubles musculaires

et squelétiques.

– Le clor...

C'est des enfants malformés ?

– Non.

– Le clor pyros ?

– Est-ce qu'ils s'en fonctionnaient

avec un bras en moins ?

– Est-ce que ce ne sont pas

les survivants de Tchernobyl ?

– Pas du tout.

– Non.

– Non.

– Vous, ce sont des gens

qui vivent en France ?

– Ah bah,

il y en a partout dans le monde.

Mais il y en a en France.

Là, ceux qui parlent,

ce sont les Français évidemment.

– Ceux qui habitaient à côté des vignes.

– Non, non plus.

– Mais c'est une profession

qui est exposée à un produit particulier, alors ?

– Alors pas seulement un produit.

– Un produit agricole.

– Puisque je vous dis que c'est une profession

exposée aux persulphates,

mais qui en plus,

est exposée aussi à des troubles musculaires

squelétiques.

– Parce qu'ils font la cueillette du raisin ?

– Du tout.

– C'est une profession partout dans le monde,

mais c'est une profession

dans le secteur agricole

ou dans le secteur industriel.

– Alors,

ni agricole,

ni industriel.

– Dans le tertiaire.

– Dans le tertiaire.

– Ça ne sera pas à l'usine.

– Ah, c'est dans les services, alors ?

– Ce n'est pas à l'usine.

– C'est en ville.

– C'est une profession de service standardiste ?

– Standardiste, non.

– Mais c'est pas à cause des pesticides

ou d'un produit chimique, alors.

– Expliquez-moi comment un standardiste

pourrait être victime de persulphate ?

– Bah s'il mange une pomme en téléphone, hein.

– Voilà.

– Et puis les troubles musculaires,

il n'a plus à décrocher le téléphone.

– Alors...

– Dans les restaurants ?

– Non, c'est une profession

à laquelle on ne pense pas.

On n'avait jamais entendu.

Moi, jusque-là,

en tout cas, je n'avais jamais entendu parler.

– Non, mais de cette profession.

– Non, mais alors...

– Oui, j'avais entendu parler de cette profession,

mais je n'avais pas entendu parler

de leurs problèmes de santé.

– Non, mais leurs troubles, c'est les coiffeurs ?

– Les coiffeurs !

Alors là, je ne pensais pas que c'était vous

qu'à les trouver.

Pas de réponse de Gérard Junior.

– Pinture.

– Et oui.

– Les peintures, tout ça.

– Les produits de décollaration capillaires

provoquent des allergies respiratoires et cutanées,

mais aussi évidemment les shampoins,

sans compter, évidemment,

le fait que de travailler le dos courbé,

la tête penchée, le coup de levée

avec des gestes répétitifs favorisent,

en plus, le mal de dos et les troubles visibles.

– Plus les poumons noirs de petits cheveux.

– C'est pour ça que maintenant,

il faut des coiffeurs végétales.

C'est la grande mode.

Tu vois, chez les coiffeurs,

même les teintures, c'est végétales.

Il n'y a plus de produits chimiques.

– De plus, ils décollent leurs les cheveux, toi.

– Et je fais des petits...

Des petits faits fantaisiques.

– Des flaches, des flaches.

– Un petit fantaisie.

– Ah oui.

– Le visage, je devrais le faire.

– Merci pour te ressembler.

– Pour que les vieilles et les cheveux violés

leur mettent du jus de betterave, maintenant, c'est ça.

– Trois coiffeurs.

Écoutez-moi bien.

Trois coiffeurs sur quatre

ont un problème de santé,

soit musculaire,

soit effectivement d'intoxication

à cause des décollérations ou des shampoins,

voire aussi...

– Des lacs, non ?

– Écoutez bien de dépression.

Parce que les clients...

– C'est des écoutes,

les conneries n'étaient pas les clients.

– Ah oui.

– Pire que les conneries.

Les clients ont tendance

à se décharger de leurs difficultés

ou de leurs problèmes intimes.

– L'ideur sac.

– C'est-à-dire que tout le...

Voilà, exactement, ils vident leur sac.

– Ah oui.

– Toute la journée,

les coiffeurs entendent parler

de l'infidélité du conjoint,

de maladies incurables,

de problèmes financiers,

tout en devant conserver

un rôle positif et passif

si bien qu'à la fin de la journée,

eh bien, ils sont morts

de fatigue et de dépression.

– Parce qu'ils prennent ces...

C'est des confidents

qui prennent la plage du prêtre.

– Au du psy.

– Et c'est vrai, du prêtre ou du psy.

– Non mais c'est vrai

que c'est une profession

qu'on m'éconnait.

– Oui, c'est sûr.

– Vous y allez,

souvent on vous ressemble

chez le coiffeur.

– Oui, une fois par semaine.

– Ah ben tiens.

– Ah oui.

– Maman, je réalise

que je suis une torsionnaire.

Je vais dire à mon coiffeur

Pascal que voilà...

– Non, mais est-ce que vous lui parlez ?

– Oui, mais je n'ai jamais

raconté de trucs intimes.

– J'ai raconté de problèmes.

– Bon, jamais,

jamais de la vie pour lui

de l'emmerder avec ça.

Il a déjà les siens,

il n'a pas besoin des miens.

– Ah c'est...

Qu'est-ce qu'il a comme problème

Pascal ?

– Non, c'est rien.

– Il est hétéro...

– Quoi ?

– Il est hétéro...

– Bah non, justement.

– Ah, vous avez toujours

le même coiffeur.

– Ah, toujours.

– Allez, ça te voit.

– Oui.

– Monsieur Kyo a du top

plus haut en côte d'or.

Il espère un chèque hertel

puisque ma question

concerne non pas le vrai Goncourt,

dont on nous a donné

la dernière liste réduite

des auteurs possibles

pour être l'Orea du Goncourt.

On a un monsieur

qui s'appelle Juliano D'Ampoli,

qui a écrit le match du Kremlin.

On a Brigitte Giro.

On l'avait eu au téléphone,

d'ailleurs Brigitte Giro,

très bon livre,

avec Vivre, Vite,

Claude et Corman,

ou encore Mackenzie Orsell.

Voilà les noms des écrivains

qui pourraient avoir le Goncourt.

Sauf que dans le Figaro aujourd'hui,

ils se sont amusés,

font ça chaque année dans le Figaro,

à réunir le prix Figaro littéraire

Grand Vefour.

D'abord, ça leur permet

d'aller bouffer gratos

au Grand Vefour.

Ils se réunissent

entre différents critiques

de l'express,

du magazine Lire, de elle,

la croix Figaro littéraire.

Le point, je vous en passe.

Et ils décident avant les prix littéraires

de remettre leur prix à eux.

Alors ils remettent le Goncourt,

le Renaudot, le Femina, le Médicis,

l'Intéralier.

Mais évidemment,

ce n'est pas les vrais prix.

C'est leur prix à eux.

Si c'était eux qui faisaient partie du jury.

Goncourt, Renaudot et autres.

À qui ont-ils décidé

de remettre leur Goncourt ?

Comme ça, pas le prix Goncourt,

mais leur Goncourt,

c'est la question que je vous pose.

Un homme ou une femme ?

Un homme.

Un homme.

Il y a déjà eu le Goncourt ou pas ?

Alors qui a déjà eu le Goncourt ?

Non.

Qui est mort ?

Comment vous savez ça ?

Oui, qui est mort ?

Parce que je suis peut-être

tout simplement très intelligent.

Gentelé ?

Gentelé, non.

On peut dire que c'est un Goncourt

par rétrocession.

Rétroactivité ?

Il n'y avait pas le mot, il était mort.

C'est dommage, je savais bien comment faire.

Max, prends pas de risque,

au-delà de Stila Barret.

Postume, vous voulez dire.

Postume, voilà.

C'est tellement que je cherchais.

Postiche ?

Un postume propièche.

Un postume sur le jus.

Ah non ?

Anne-Franck ?

Anne-Franck, non, non.

Non, c'est un homme, on a dit.

Je dirais même, c'est plutôt l'inverse

d'Anne-Franck.

Ah, c'est l'inverse, c'est l'inverse.

C'est l'inverse, c'est l'inverse.

C'est l'inverse pour ton livre.

Le Goncourt à Louis Ferdinand Céline.

Pour le livre.

Est-ce que je peux préciser ?

Oui.

Pour le livre qu'on a retrouvé,

qui s'appelle Guerre.

Non, c'est Londres.

Londres.

C'est le deuxième.

C'est pas mal, c'est pas mal.

C'est pas mal quand même.

C'est bien.

On a retrouvé plein d'écries.

On a retrouvé deux livres,

Guerre est sorti avant l'été,

Londres, en cette rentrée.

Et effectivement,

du prix Figaro Littéraire,

on a décidé de donner

leur Goncourt à eux,

à Louis Ferdinand Céline.

Pour Londres, il prête.

Vous l'avez lu un revivre.

C'est du Guerre, mais j'ai pas encore lu Londres.

Ah, vous avez lu Guerre.

Moi, j'ai Guerre-lu Londres, et vous ?

Non, moi, je donnerais pas

un franc droit d'auteur

aux égards droits de Céline.

Pourquoi ?

Parce qu'apparemment,

il ne met pas trop trop les juifs.

Après, c'est tout le problème.

C'est comme il fait partie

des grands auteurs,

est-ce qu'il faut quand même le lire ?

Oui.

On reprend le livre.

Il faut distinguer l'homme de l'œuvre.

Voilà, il faut distinguer l'homme de l'œuvre.

Moi, je continue à regarder

Morandini.

Et voilà.

Une autre question Littéraire.

Je m'aperçois que vous n'avez pas lu le Figaro,

donc je vais continuer

à prendre des questions.

Un beau recueil de nouvelles

vient d'être publié.

14 nouvelles.

Un recueil d'histoire pleine d'amertume

et de douceur.

Il nous dit Mohammed Aysawi,

qui est un journaliste littéraire

excellent, d'ailleurs, du Figaro.

Et il se trouve que ce recueil littéraire

qui sort est un nouveau recueil de nouvelles

signé par quelqu'un

qui fut pris Goncourt, lui.

Pour le coup, il a déjà eu le Goncourt,

cet auteur.

Il l'a eu en 87

avec un roman

qui s'appelait La nuit sacrée.

Quel est l'auteur de roman

qui a eu le Goncourt en 87 ?

Darben Jeloun.

Excellente réponse de Jean Ben-Gigui.

C'est bien tard, Ben-Jeloun.

Ça c'est bien, monsieur Jean.

C'est pour ça qu'on vous prend

au gros stade, vous voyez.

J'espère pas que pour ça,

quand même,

c'est pour ça.

C'est pas pour votre physique, non, c'est...

Comment c'est pas pour mon physique ?

Regarde le dernier rôle

que tu viens de faire,

c'est une vieille dame de 7250 kilos.

Quand on t'invite

pour ton physique à la radio,

c'est pas bon signe.

Et c'est un connaisseur qui fait.

Pour George-Juliet,

qui habite sans bains

dans le Loire-et-Chien.

Ça continue avec le figureau.

Ah oui, là, on...

C'est dans tous les journaux.

C'est un livre

qui fait un tabac

qui est publié chez Albin Michel

et c'est un académicien français

dont je vous demande

de retrouver le nom.

Et il publie chez Albin Michel

une longue route

pour munir au champ français.

Ah, or, c'est...

Oui, c'est le...

c'est...

nang, nang.

Comment vous dites ?

C'est le chinois.

Je sais plus son nom.

On dit pas...

ça dit pas, c'est le chinois.

Bah, c'est l'Asiatique.

Et il est quoi ?

Il est pas polonais.

On dit le chien.

Mais non, mais enfin,

à un moment donné,

je l'ai sur le bout de la langue.

C'est chingue.

Et c'est pas peu dire,

nang, chingue.

Comment vous dis ?

Chingue.

François Chingue,

bonne réponse de Roselyne Bachelot.

Et bien aidé par Liane Folie.

Merci beaucoup.

Le testament spirituel

de Monsieur François Chingue

de l'Académie française,

c'est un joli titre.

Une longue route

pour munir au champ français.

Parce qu'effectivement,

il est né chinois en 1929

à Nanchang,

dans la province du Dien Kyi,

en Chine.

Et il a été, j'arrive,

et il a été naturalisé français

en 1971.

Et il est académicien français

depuis 2002,

depuis 20 ans maintenant.

Et voilà pourquoi

il publie ce magnifique livre

« Une longue route pour munir

au champ français ».

On va quand même dire

que c'est une bonne réponse

à deux.

On va dire

Liane Folie pour l'aspect chinois

et

Jean pour l'aspect académicien.

Et voilà.

Une question

pour Thomas Caloune

qui habite les Landes.

Les Landes Génus

sont en vendée en fait.

Et là, la question

concerne les Seraphans.

On entend souvent

parler de ces petits ranges,

les Seraphans.

Mais quelle est la particularité

d'un Seraphan ?

Je le connais.

Il y a plusieurs quelque choses

à la main, un Seraphan.

Ah oui ?

Il y a un Seraphan

à l'ampion, l'entintin.

Oui.

Alors là,

ça ne marche pas

à tous les coups.

Donc c'est des anges.

C'est des anges

qui nous protègent.

Ils ont des ailes.

Ce sont des créatures

célestes.

Les Seraphans,

on les retrouve

dans la Bible.

Effectivement,

ce sont des anges.

Ils ont des ailes.

Ils n'ont pas de sexe.

Non.

Mais quelle est

leur particularité ?

Ils ont une trompette

de l'amour.

Il y a des garçons

et des juillettes.

Moi aussi,

j'ai une trompette

de l'amour.

Il n'y a pas de connerie

aujourd'hui.

Est-ce que je peux chanter

la chanson

d'entre le boeuf

et la neugrie ?

Est-ce que chanter,

le chante ?

Oui,

ça nous fait plaisir.

Entre le boeuf

et la neugrie

dort,

dort,

dort,

le petit-fils,

Milan,

Jeudi,

Vin,

Milo,

Seraphan,

vol,

le talent

tour de ce grand dieu

d'amour.

Bravo.

Parce que c'est vrai

que les Seraphans

sont autour du trône

de Dieu.

C'est ça,

dans la ville.

Ah, c'est ceux qui peuvent

murmurer

à l'oreille de Dieu ?

Non,

ça, c'est Robert Redford

avec les chevaux.

Il est complètement

écouté de la plaque,

le mec.

L'Ustucrue,

la trône de l'amour.

Oh,

ça va,

toi.

Et il murmure.

Bah,

je cherche.

Alors,

il serait,

alors,

peut-être,

il serait,

il vole.

Il vole.

Quand j'ai plein de

chansons d'avoir un nid.

Je ne vais pas

dévoiler mes coins

sur Pignon,

mais j'en ai quand même

un.

Est-ce que ça a à voir avec

la protection

que normalement,

il devrait apporter

aux pauvres mortels ?

Non,

mais on était tout

près tout à l'heure

par une réflexion

banale

qu'a pu faire chantal.

Au fond,

elle n'était quand même

pas si loin de la réponse,

alors,

ils ont une quaiquette.

Ils sont asexués.

Non,

ils ont des ailes,

ils ont des ailes dans le dos.

Alors,

ils ont des ailes,

oui, mais...

Ils ont des ailes,

mais ils peuvent pas voler.

Ah bon.

Ils ont pas de pieds.

Ah non,

les Seraphans leur ont

enlevé les ailes.

Non.

Non,

si ils ont des ailes.

Ah,

bah,

elles n'ont pas de plumes.

Elles sont pas blanches.

Non.

Le nombre d'ailes.

Ah.

5,

2,

3,

10,

10 ailes,

c'est que 10 ailes.

Non.

Ah oui,

c'est ce qu'on appelle

à avoir une vidange.

Oui, c'est ça.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Pas de truc.

Ruffet et Marc Hillman.

On leur doit un refrain très connu.

Lequel?

Le petit quinquard?

Le petit quinquard.

Une chanson de variété?

Une chanson de variété?

Non.

Une chanson militaire?

Une chanson militaire.

Une pub.

Une pub.

Une pub, oui.

Va donc chez Spidier.

Va donc chez Spidier,

la bien-lue le Parisien.

Bravo,

ce film d'avant.

Et oui,

ça fait 25 ans

qu'on entend cette publicité.

Va donc chez Spidier.

Va donc,

va donc chez Spidier.

Va donc chez Spidier.

On l'a l'original.

On l'a l'original.

Va donc,

va donc chez Spidier.

Spidier.

25 ans.

Il y a des gens qui composent ça.

Ah oui, mais ça,

ils doivent toucher

des sommes astronomiques.

Et qui touchent des fortunes.

Et si je vous passe une autre musique

sans la marque,

est-ce que vous êtes capables

de retenir la marque?

Parce qu'il y a tout un papier,

effectivement,

dans le Parisien,

sur ces musiques de pub

qui accrochent,

évidemment, nos mémoires.

Et il suffit qu'on les entende

pour qu'on sache

de quelle marque il s'agit.

Car glace répart,

car glace remplace.

Ah non.

Non.

Ça me semble très familier, pourtant.

C'est une assurance.

C'est une assurance.

Non.

C'est pas pour une assurance.

Des crédits.

Des crédits.

Non, mais tout le monde

la connaît, cette musique,

à vous.

Oui.

C'est quoi,

pour un supermarché,

la grande consommation?

C'est de la grande consommation.

C'est un supermarché,

à sa façon.

Mammouth.

Non,

ça, ça n'existe plus

depuis 30 ans, Mammouth.

Ah,

je vous rappelle

que vous n'avez jamais

mis les pieds

dans un supermarché.

Elle a connu le Mammouth,

en revanche.

Les mousquetaires?

Les mousquetaires,

à ce moment-là,

non.

Super-U?

Super-U, non.

Bon,

au chant,

au chant,

non,

le clair,

non.

Il fait toutes les grandes surface,

les gars.

Ah non,

non,

parce que c'est

une grande surface

spécialisée,

vous voyez.

L'épicerie,

épicerie chez l'arabe.

Il y a

un truc genre

congé,

l'idol,

but,

non.

ED,

non plus.

Confort à main.

Décathlon.

Et c'est Décathlon.

Bravo,

ça fait l'avance.

Bon,

mais c'est vrai

que vous avez raison,

ça ressemble à...

Car glace répart,

car glace remplace,

c'est pas la exacte ambiance.

Mais c'est pas tout à fait

les mêmes notes.

Évidemment,

la plus célèbre,

c'est celle-ci.

Dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

dim,

Dans le même article, si vous l'avez lu, vous saurez me répondre.

C'est Henry Crenou, dans le parisien qui consacre

effectivement une page entière à ces musiques

des publicités qui nous ont tant marqués.

Et il nous raconte l'histoire de David Gilmour,

l'ex-chanteur du groupe Pink Floyd,

qui a été en voyage chez nous en France

et qui en entendant une musique,

l'a carrément reprise dans une de ses chansons.

Écoutez la chanson.

C'est la SNCF.

Il a repris la musique de la SNCF.

Il aurait pas dû.

Je suis un très grand fan de Gilmour,

c'est son pire morceau de tous les temps.

On n'entend que ça, sa bousille, sa mort, sa décision.

Pour quelqu'un qui connaît pas la musique de la SNCF ?

Elle est horrible.

On l'ascend David Gilmour, la musique de la SNCF.

Généralement, c'est pas une bonne nouvelle, je te dis à derrière.

Le train, en provenance de Bordeaux,

aura 20 minutes de retard.

Le petit Nicolas, attends, ses parents.

Do sol mi do, c'est ça, non ?

Do sol la mi.

Ah oui, do sol la mi.

Tant que c'est pas so do le mi.

Ah bah c'est dans le train, quand même.

D'ailleurs.

C'est quand même dans le train.

Et je rappelle pour faire le joint qu'en cas de so do mi,

si l'impact ne dépasse pas la surface d'une pièce de 2 euros,

car glace remplace.

Ça y est, monsieur Chancède.

Souriez, parce que je sais pas si vous avez remarqué,

mais madame Le Marchand nous filme.

Je ne sais pas pourquoi elle nous filme, mais elle nous filme.

Oui, je fais des petites séquences vidéo, je sais pas.

J'ai fait des petits torris sur Instagram pour dire que c'était les grosses têtes,

mais pourquoi tu nous fions, elle est pour des bousins, nous ?

Bah toi aussi.

Elle fait pareil quand elle a acheté une série de pâques sans gluten ou supermarchiel.

Oh non, je fais pas ça.

Promotion, tête de gode, le médecin sur internet.

Instagram.

Ah ça ne doit pas, c'est InstaTone.

Instagram, Instagram.

Oh la la la la la.

Ah oui.

Vous avez peut-être des questions, Laurent, non ?

Quelques citations.

C'est tel qu'il ne peut pas connaître Instagram.

InstaTone.

Mais c'est Instagram, bourre et bourre et ratatame.

Et vous, monsieur Jansen, vous allez bien ?

Bon, petite semaine quand même, je...

Qu'est-ce qui se passe ?

C'est pas la forme, je suis toujours optimiste,

j'aime la vie, l'aventurie est au coin de la rue,

mais cette semaine,

à part des camions qui me détravoient au coin de la rue, il n'y avait rien.

Ah ça se...

Je t'ai croisé chez Jardinland,

et je suis un petit peu à une pelle,

t'as trouvé un retour.

C'est le conquête que j'ai trouvé, j'ai trouvé quelqu'un, plus ou moins,

et ce qui me reste, c'est que...

Je commence à plus ou moins, on trouve quelqu'un, on trouve quelqu'un,

c'est pas plus ou moins.

En période de conquête et de séduction.

Ouais, je...

C'est projeté, projeté.

Il me demande mon âge que j'ai...

Ah oui, j'étais la sœur.

2 ans...

Mais t'avais envie de construire, quoi.

Voilà, la conversation, et c'est plutôt agréable.

Seulement, à chaque fois qu'on se donne un rencard, on a un rendez-vous,

et bien, une fois sur deux, il me plante.

Alors moi, je dis un truc.

L'amour, messieurs, c'est pas la carte.

C'est tu prends le menu complet et c'est un menu de dégustation.

Bravo.

Je veux dire...

Je veux dire qu'il te pose un lapin, mais il cherche pas le terrier, quoi.

Forcément, si vous vous a demandé votre âge et que vous lui avez donné,

fallait pas.

Il pouvait pas se douter.

Non, plus il m'a dit qu'il aimait bien.

Les hommes maturent, comme qu'il dit.

Je suis un petit peu...

Je suis un petit peu un silver d'Adi, que ça s'appelle maintenant.

Un silver d'Adi.

Un silver d'Adi.

C'est quoi un silver d'Adi ?

Un silver d'Adi, papa argentin.

C'est pas que t'es ni silver ni d'Adi, toi, alors.

Un silver d'Adi.

Ça veut dire que t'es avec des mecs plus jeunes.

Comme il est jeune, je suis ce que représente l'homme.

Moi, là, par exemple, je serai aussi un silver d'Adi.

Un silver Fox.

Golden.

Jean-Fuy, t'es sûr que tu confonds pas silver d'Adi et golden lady ?

Non, je me parais.

Je suis un vermeil papy, moi.

Quand tu dis silver d'Adi, en fait, ça veut dire que t'as des mecs un peu jeunes

qui cherchent une relation comme ça avec un homme un peu mûr

pour s'occuper d'eux et avoir une relation un peu paternaliste.

Ah oui, mais oui, ils sont.

C'est ça.

Oui, c'est ça.

Ah oui.

Et le mec, il est cougares, du coup, le silver d'Adi.

Moi, je suis une cougares.

Ah non, il peut être.

Il est plus jeune que lui.

De fait, si le mec est plus jeune que toi.

Moi, j'ai une tête de cougares.

Non, lui, c'est un pulmard.

Moi, je suis un silver d'Adi, et puis je l'ai materne.

Je leur fais des tartes.

Je leur...

Oui, oui, oui.

Pourquoi vous restez pas avec Peroni ? Vous étiez bien l'autre jour en coure.

Ah oui.

Il s'en donnera des tartes.

Peroni.

Je vais te surnommer bonne maman.

Parce que lui, il boit, il boit.

Après, moi, j'y change tes couches.

On s'en sort pas.

J'ai peur, finalement, que la première citation que j'avais choisi

vous coûte un petit peu au moral, monsieur Jean-Sainte.

C'est vous qui auriez pu la dire, cette citation.

C'est pour Valérie Doumenjou qui habite Bordeaux, qui a dit

« Une carrière à beau être très réussie, on ne peut se blottir contre elle la nuit

en plein hiver ».

En mode.

Oh mon Dieu, c'est trop beau.

C'est français.

C'est pas français qui a dit ça.

Ce n'est pas français.

À l'américain ?

Qu'est-ce que c'est une carrière à beau être réussie ?

C'est quelqu'un qui est américain.

Une carrière à beau être très réussie, on ne peut pas se blottir contre elle la nuit

en plein hiver.

Marine Monroe.

Marine Monroe.

Marine Monroe.

Bonne réponse de Bernard Madille.

Il ne doit pas le rapport entre Jean-François et Marineville, mais enfin.

C'est les fausses blondes.

Une belle blonde platine, belle encrevée et pourtant si seule.

Si tu devais choisir entre ta carrière et l'amour, tu choisirais quoi ?

La carrière.

Chaque fois que j'ai fait pour l'amour, ça m'a coûté des sous.

Mais tu es comme Marilyn, tu t'es tapé JFK, mais toi, c'est l'aéroport quoi.

Et là, il a ta croissie là.

Il a des slip orly.

Une autre citation pour Christine Biron, qui habite Saint-Maurice-en-Gourgeois en Loire,

qui a dit « La cerise sur le gâteau, c'est super, mais sur un clafoutis, c'est sans intérêt ».

Jean-François.

Jean-François.

Jean-François.

C'est français ?

Ah non, c'est oui, c'est français.

C'est français mort ?

La cerise sur le gâteau, c'est super, mais sur un clafoutis, c'est sans intérêt.

Non, c'est vivant.

C'est vivant.

C'est du femme.

Un chef de cuisine.

C'est une femme qui a dit ça.

Une femme qui n'est pas chef de cuisine.

Michel Bernier.

Comment vous savez ça à vous ?

Parce qu'elle aime bien le clafoutis.

C'est Michel Bernier.

Bonne réponse de Jean-Jacques Ferrony.

Une question pour Oslame Thomas, qui habite Bordeaux.

On nous parle de l'effet parbrise dans la presse aujourd'hui.

Mais qu'est-ce que l'effet parbrise ?

Ah oui, ça c'est facile.

Alors c'est un rapport avec l'impact de la taille d'une balle d'une pièce de 2 euros, non ?

Vous êtes passé chez Midas ou alors ?

C'est carglas.

Ah c'est carglas, c'est vrai, pardon.

Vous avez eu des lunettes avec en cadeau ?

Je confonds votre peau avec votre parbrise.

Non, non, là je parle de l'effet parbrise qui n'a rien à voir en fait avec ce que vous me dites.

Avec l'environnement ?

Avec l'environnement, oui monsieur Boubis.

C'est une métaphore ?

Alors une métaphore pas vraiment, c'est quelque chose qui a été remarqué par les spécialistes.

Avec la rayon du soleil ?

Non.

C'est-à-dire qu'on a tué beaucoup d'animaux, des oiseaux, avec les voitures qui roulent.

On peut dire qu'on a déglingué l'espèce animale.

Ah non, non, c'est pas ce que ça veut dire.

Est-ce que c'est un rapport avec le fait que quand on met une espèce d'animaux derrière une vitre,

il se passe quelque chose d'aussi efficace que quand il est à l'air libre ?

Non, c'est pas ça l'effet parbrise.

C'est quand on stoppe brutalement la chaîne de développement.

Par exemple, vous, ça vous est arrivé quand ?

Ben, avec les mabous ?

Ben tiens, je vous jure, c'était ça, j'en suis sûr.

Non, rien à voir avec ça.

C'est dans un rapport qui a été dévoilé aujourd'hui et dont on parle dans tous les journaux

qu'on nous parle de l'effet parbrise comme une preuve, d'ailleurs, de ce qui se passe en ce moment.

Ah ben, c'est un rapport au masque.

Expliquez.

Eh ben, il y a des...

C'est pas ça, mais on va se marrer.

C'est dégueulasse de la laisser développer.

Mais non, mais parce que nous, si on met les espèces de masques horribles en plexiglas,

on est protégés de tous les crachats des gens, quoi.

Oui, oui, oui, oui.

Et vous, vous faites cracher dessus souvent ?

Non, enfin, les crachats, les pétillons, les pétillons.

Elle n'a pas tort, parce que si on résonne, on y a l'effet.

Mais aussi, l'autre.

Il y a l'effet de serre.

On a beaucoup parlé de l'effet de serre, le réchauffement climatique, l'effet de serre.

Donc l'effet de serre, c'est qu'on réchauffe.

L'effet parbrise, c'est qu'on est coups de léger.

Oui, oui, oui.

Merci.

Moi, on voit mes réponses, elles sont courtes, elles sont courtes.

L'effet parbrise.

Ah, ça a à voir avec le nettoyant des parbrises, non ?

Non, c'est plus simple et plus bête que ça.

Et tout le monde l'a constaté sur son parbrise quand on conduit.

Oui, c'est tous les insectes qui meurent.

Ok, on est tout loup.

Oui, mais quoi ?

Parce que quand les insectes meurent, les oiseaux meurent derrière, parce qu'ils n'ont plus rien à voir avec ça.

Non, mais il faut le nettoyer.

Pardon ?

Une fois qu'on a roulé, il faut le nettoyer.

Oui.

Justement.

Est-ce que vous n'avez pas remarqué quelque chose ?

Oui.

Il y a du sang.

Oui, bien sûr, j'ai remarqué.

Il n'y a plus personne qui essaie de nettoyer votre parbrise à l'arrêt.

C'est vrai, dans les stations essence, il n'y a plus personne pour nettoyer.

Vous voulez dire, on manque de roumain.

C'est un rapport avec les essuie-glaces ?

Non, pas vraiment.

C'est un voir avec les parbrises de voitures.

Vous avez la réponse.

On était blouis.

C'est les bestioles qui meurent sur les parbrises.

C'est bien ça, le point de départ.

Ça, vous avez effectivement absolument raison.

Il y a un lien avec ça, mais vous ne me dites pas ce que c'est.

Et du coup, ça a augmenté le lavage de voitures.

Vous pouvez reposer la question ?

Non, mais avec le lavage, on n'était pas loin.

Non, pas du tout.

Au rapport avec le lavage.

Non, c'est les moustiques.

Vous êtes avec les insectes.

Vous êtes avec le parbrise.

On nous parle de l'effet parbrise, constaté par tous.

Mais vous n'êtes pas capables de me dire qu'est-ce que c'est que cet effet parbrise ?

C'est un bouclier.

Pardon ?

C'est un bouclier.

C'est-à-dire ?

Si on roule sans parbrise, du coup, on se rend compte que c'est vous d'ailleurs.

C'est un bouclier qui nous sert contre les bêtes qu'on n'aime pas.

On n'aime pas les insectes qui servent à rien.

Les acariens ?

On est à la fois très près de la réponse et très loin.

Est-ce que c'est un rapport avec la mort subite ?

C'est vrai qu'il ne faut pas bercer un moustique trop près du parbrise.

Est-ce que c'est un rapport avec la petite poupée qui est près du parbrise ?

Vous la mettez à l'extérieur, vous ?

Non, le parbrise, il est aussi à l'intérieur.

J'adore Valérie, elle a un bon sens.

Mais c'est quand même dingue qu'on soit pas loin qu'on trouve pas.

Non, ça me surprend qu'à moitié.

Bah oui, parce que, écoutez, si vous aviez l'habitude de conduire, manifestement, c'est pas le cas.

Moi, je n'ai pas mon permis, alors voilà.

Et bien écoutez, vous auriez remarqué tout simplement que ce qu'on appelle

l'effet parbrise à l'Institut de recherche pour le développement

et, par exemple, tout simplement chez ceux qui ont fait ce rapport dévoilé

aujourd'hui, planète vivante, le WWF, la protection des animaux,

et bien ils ont constaté, et vous l'avez sûrement constaté aussi,

enfin pas vous manifestement, des grosses têtes,

qu'il y a moins d'insectes qui meurent sur votre parbrise

qu'il y en avait avant.

Avant, on avait des tas d'insectes qui mouraient sur le parbrise.

Aujourd'hui, il n'y en a plus quasiment.

Il n'y a plus d'insectes qui viennent s'écraser.

C'est pourquoi, pourquoi, je crois pas ?

Parce qu'il y en a moins, Gondache !

Mais non !

Attends, moi je peux pas me rendre compte ?

Je peux pas me rendre compte, parce que là où je vis, il y en a 10 fois plus.

Donc je me rends pas compte.

De quoi, des insectes ?

Enfin c'est vrai que dans le sud, il y en a beaucoup.

Il y en a beaucoup plus !

Dans le sud, tout l'été, on pouvait pas manger un melon,

il y en a sans qu'il y ait une armée de guêpes.

Il y a les moustiques, il y en a plus !

Les moustiques, toute la nuit !

Il y en a plus !

On n'en a plus !

On n'en a pas !

On dort plus !

Eh ben oui, mais les petits insectes qui s'écrasaient sur le parbrise,

croyez-moi, il y en a moins,

et c'est ce qu'on appelle l'effet parbrise.

Pardon, monsieur Gisbert, je sais que vous êtes un ardent défenseur des animaux,

mais là, pour les insectes, nul, quoi.

Oui, mais là, il y a de plus en plus de moustiques, comment vous expliquez ?

On n'en a pas ce qu'il y a de plus en plus d'homérité qu'en ville.

Ben c'est pas un peu toi qui prenne plus l'autoroute !

J'ai une question pour vous, là.

Là, c'est à votre niveau, monsieur Jansen.

Pour Stéphanie...

Deux et deux !

Qui habite sesta en gironde.

Cette boisson a vu ses ventes bondir de 15% en 2017,

grâce à des recettes bio et en ciblant les jeunes.

Alors que depuis 1954,

cette boisson a connu des hauts et des bas,

et là, ces dernières années,

elle était devenue cisnée, un populaire,

plutôt rare chez les Français.

Mais on en boit à nouveau,

et ce sont les jeunes qui en boivent plus 15% en l'année dernière.

Mais de quel boisson célèbre s'agit-il ?

La suze !

La pérole !

Elle est colisée ou pas ?

Ce n'est pas alcoolisé.

Tout n'est pas alcoolisé.

Le chwebs ?

Ici. Le chwebs, non.

Des gazeux ?

Ce n'est pas gazeux.

Il y a du lait dedans ?

Il y a du lait dedans.

Du yop.

Du yop.

Du cacolac.

Du cacolac !

Bonne réponse !

J'adore.

Bonne réponse, le petit tof.

Bon, je me dis du cacolac quand j'étais jeune.

Ah, c'est bon, c'est le cacolac.

Ah oui, ça parle à tout le monde, le cacolac.

J'ai jamais touché à ça.

Bien frais.

On vous a demandé,

alors, quand vous étiez steward du cacolac ?

Non, je me demandais pas du cacolac,

et on n'avait pas de façon messineuse.

J'imagine que quand on est steward,

à bord des avions,

les gens vous demandent parfois des boissons

que vous n'avez pas.

Parce qu'il y a un truc qu'on demande toujours,

j'ai remarqué,

c'est le jus de tomate.

Ah oui.

À bord de l'avion,

on demande...

Mais il y a une thèse qui a été faite là-dessus.

J'ai jamais compris mon nom plus.

Il y a une surconsommation de jus de tomate à bord.

On n'en boit pas ailleurs,

on monte dans l'avion,

on demande un jus de tomate à bord.

Il vous propose que tu sais...

Non, non, non.

Tout un panel a vous proposé,

Mme Bacelot.

Mais...

Un panel de Mme Bacelot.

Attendez, attendez.

On le fait alors.

Allez.

Alors on est à bord d'un Boeing 777.

Mme Bacelot vient de s'installer.

Elle est en business.

Moi, je ne bois que du gin tonique

dans les avions.

Alors attendez,

attendez, vous allez faire la demande.

Alors là, c'est pas...

Tu m'étonnes qu'elle trouvait

les visites fatigantes après.

C'était long,

c'était long les réunions,

les dîners d'État.

Elle s'enfinit les trois gin toniques

dans l'avion.

Elle vient de s'installer,

elle vient de mettre sa ceinture.

Mme Bacelot est là,

le steward arrive,

il passe et alors...

Mme Bacelot,

c'est un honneur

que vous recevrez à bord de mon avion.

Je vais vous apporter

cette aperitif,

mais qu'est-ce qui vous ferait plaisir

qu'un boisson avec ceci ?

Décidément,

tous les stewards sont pédés.

C'est pas bon ça.

Ah, vous l'avez remarqué aussi.

Moi, je crois pas.

C'est plutôt tous les pédés

qui sont steward.

Non, mais est-ce que vous avez

du bon baisse à fi ?

J'étais du Dj,

et je probais tout ça.

Du bon baisse à fi,

je mets de la glace,

du citron,

quelque chose qui va avec.

De la glace,

c'est du choix, c'est tout.

Je crois qu'on s'est trompé

de compagnie,

c'est Stierline, non ?

Je vous l'apporte,

quand il y en a un

qui demande un truc fort,

ça influence les autres.

De même que quand moi,

j'ai du poulet

ou du poisson dans ma voiture,

par exemple.

Je sais qu'à un moment,

si tout le monde prend du poisson,

je vais avoir pu que du poulet.

Et qu'à un moment,

ça va être difficile.

Et qu'il va falloir quand même

Ah oui, moi, j'ai du poisson,

du poisson.

Tu fais, oh là, là,

moi, je n'ai pas de la brattée.

Et à un moment,

du coup, tu influences

les gens avec l'inflexion

de la voix.

Tu dis,

il dit, qu'est-ce que vous avez

comme choix ?

Alors, tu dis, bah,

on a du poisson.

Ou alors, on a du poulet.

Là, il dit,

ah bah, du poulet, alors.

Tu m'étonnes,

tu dis,

attends,

tu dis,

on a du poisson.

Tu dis ça,

tu dis ça.

Mais par contre,

on a du poulet.

Attention,

arrête.

J'espère que vous allez bien.

C'est bon,

vous allez avec une vraie mâche.

Là, bien tout sur nos vies.

Une question

pour Monsieur Fleury,

qui habite

Épierre en Savoie,

puisque j'ai vous demandé

le nom

de cette tente

de réception

dont les parois

sont amovibles,

qu'on utilise

dans des foires

ou même dans des chantiers

extérieurs,

une donc

très grande tente

qui est pliable,

qui s'installe

rapidement à l'extérieur

grâce

à la tente

d'une tente

qui est pliable,

qui s'installe

rapidement

à l'extérieur

grâce à une structure

tubulaire en acier.

Stevie.

Non.

Très grand temps.

Non,

c'était pas

si tu nous fais dis que

c'était une violence.

On n'a pas de sympa-villons,

non ?

Je devrais avoir honte,

ça.

C'est vraiment

la rock-fort

qui est à la camembert,

tu puisses.

C'est pas une veranda.

Une veranda,

non.

Une veranda,

ride-d'eau.

Pardon.

Aquenave veranda,

la reine

de veranda.

C'est une question

pour vous,

vous devriez connaître

toutes les catégories,

la canadienne,

la...

La guitounne.

La guitounne,

c'est une canadienne,

une guitounne, une tente.

Oui, mais c'est pas la guitounne.

Mais alors ça,

c'est pas vraiment une tente.

Mais c'est une marque.

Ah non,

ce n'est pas une marque.

C'est la définition

d'un nom commun,

pas un nom propre.

Non.

Si on organise des trucs

en repavoyable,

c'est pas vraiment une tente.

Même si ce nom commun

vient au départ

d'un nom propre.

Tente de réception

ou chapiteau pliable

qui s'installe

rapidement à l'extérieur,

grâce à une structure tubulaire

en acier.

Il est recouvert de toile

sur le toile

et les panneaux.

L'atéro sont transparents.

Il permet de s'abriter

du soleil

ou de l'appui.

On m'envoie,

quoi, ça ressemble.

Oui,

mais ça s'appelle...

Quand on demande ça,

on dit,

vous n'auriez pas

ce genre de toile,

là,

qu'on connaît,

pour l'appui.

Un bar nom.

Un bar nom.

Bonne réponse.

Ça va bien.

De Christophe Beaubrand.

Oui.

Il n'avait pas triché.

J'ai pas triché.

J'ai pas triché.

Est-ce qu'il y avait un bar nom ?

Un bar nom,

un bar nom,

c'est tout ce qui est

une...

comment ça s'appelle,

une trangle

avec des...

avec des...

des cintres dessus.

Ça suit normalement.

Le bar nom,

je sors le bar nom

qui se dise les marchands au puce.

Ben oui, c'est ça.

C'est comme ça.

C'est comme une torte, oui.

Pierre,

il n'est pas donné

une leçon de camping

et il met foutu les pieds

dans un camping.

Moi,

j'avais foutu les pieds.

Si,

pour prendre des douches

j'étais conçu dans un camping.

C'est pas vrai,

raconter...

Papa et votre maman,

tout s'expliquent.

Oui, oui.

Si j'étais conçu,

c'est mon papa et ma maman.

Oui.

Dans un camping,

il faut pas y avoir d'autres genres.

Je refais de...

être conçu

par deux voisins.

Non, mais si,

dans un camping,

tout ça...

Ça peut être le facteur,

ça peut être le touriste.

Mais ça aurait été

son papa et sa maman quand même.

Non,

mon papa et ma maman.

Ben non,

on serait peut-être votre maman

avec...

un mec de passage.

Rien que ma mère

est conçue dans un camping.

Ben oui,

est-ce que vous êtes conçue

dans un camping ?

Vos parents vous ont raconté ça.

Moi, je me souviens

où on a fait nos enfants.

Moi, je me souviens

où j'ai fait des miens.

Oui, c'est vrai.

Comment tu sais ?

Alors ça,

ça m'a toujours étonné.

Moi, je m'en souviens très bien.

Mais comment tu sais

que c'était cette fête ?

Si tu fais une fois par mois,

tu le sais.

Non, non, non,

mais on revenait

d'une soirée

de chez Ellie Cacou.

C'est-à-dire,

tu fais l'amour très rarement.

Et ben après,

je sais quel jour,

je ne peux pas te dire

à quel moment,

parce que ça a été plusieurs fois

dans la journée.

Je sais à peu près,

je sais à peu près le jour.

Bien évidemment,

je ne peux pas dire

si c'est le matin, le soir ou le midi.

Je ne peux déjà même pas

te dire avec qui.

Une question culturelle

pour Marie Bourguet,

claviste Marseille.

On est en 1750,

quand le maréchal de Saxe

décède,

et quand à propos de sa disparition,

quelqu'un écrit

qu'on parle

bien ou mal

du fameux maréchal,

ma prose,

ni mes verres,

n'en diront jamais rien,

il m'a fait trop de bien

pour en dire du mal,

il m'a fait trop de mal

pour en dire bien.

Voltaire.

Voltaire, oui.

Ah non, 1750,

ce n'est pas Voltaire.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Ce n'est pas d'hydro.

Sa femme a été contrainte de s'enfuir pour échapper aux assiduités.

Ah oui ! Favard !

Pardon ?

Favard !

Favard !

Bonne réponse !

De Roselyne Bachelot.

Il s'agit bien de Charles Simon Favard et de Madame Favard,

qui a été obligé de coucher à deux guerres-là.

Elle a cédé au maréchal, qui la persécutait,

et son mari a été obligé de laisser faire.

C'est ça ?

Oui, c'est un opéra de Fennbach, Madame Favard.

Madame Favard.

D'où la salle Favard ?

D'où la salle Favard, l'opéra comique.

Effectivement, la salle Favard.

Et c'est assez jeudi quand même ce qu'a écrit ce monsieur

à propos du maréchal quand il est mort.

Quand on parle bien ou mal du fameux maréchal,

ma prose ni mes verres n'en diront jamais rien.

Il m'a fait trop de bien pour en dire du mal.

Il m'a fait trop de mal pour en dire du bien.

Bravo Roselyne !

Salaud !

Une autre question culturelle et théâtrale pour David Gougeon,

qui habite channe en Sonnais-Loire.

Vous pouvez vous me donner le nom de l'auteur

de la farce de Maître Patlain.

Ah ben oui.

Je peux.

C'est pas Rabelais, hein ?

Rabelais, non.

Non, c'est...

La farce de Maître Patlain.

Cornel.

Cornel, non.

C'est du XVIIe siècle ?

Alors, la farce du Maître Patlain,

on la situe autour du XVe siècle.

15e.

Milieu du XVe.

Walo, non.

Vers 1456, 1460.

On est à la fin du Moyen-Âge, vous voyez-vous.

Rabelais.

Rabelais, non.

Ce n'est pas vilon.

Non.

Wellbeck, non.

Vous pouvez vous me...

Wellbeck, non.

Vous pouvez vous me donner...

Écoutez bien la question.

Vous pouvez vous me donner le nom de l'auteur

de la farce de Maître Patlain.

Ah ben non, monsieur Patlain.

On ne peut pas, parce qu'il n'y a pas d'auteur.

Pardon ?

On ne peut pas, il n'y a pas d'auteur.

Il y a un auteur, mais...

Il y a un a connu.

Non.

Un auteur inconnue.

Bonne réponse de Bernard Madille.

Vos questions sont d'une finesse, Laurent.

Oh, mais ça, c'était un piège à con, hein.

Oui.

Oui, c'est pour ça que j'ai répondu.

Bernard m'a demandé des questions pour lui.

Alors oui, j'ai fait un piège à con.

Oh, bravo, là, bravo.

J'ai une autre question, et ce sera pour Daniel Sulenski,

qui habite Paris 15e.

Une question à propos du cimetière Montmartre,

où repose désormais le président Chirac.

Non, c'est du Montparnasse.

Pardon, Montparnasse.

Ou repose le président Chirac,

et si je vous emmène à Montparnasse,

c'est parce que pas loin de la tombe du cavo de monsieur Chirac,

il y a le cavo d'un académicien français

qui reçut le prix Goncourt en 1938,

qui repose pas loin du président Chirac,

et eut le prix Goncourt en 1938.

Il a occupé son fauteuil en quelle année ?

Oh, il a été académicien français,

je vais vous le dire, en 1959,

au fauteuil 28.

Je suis pas sûr que ça va vous aider,

il a remplacé Claude Farraer.

C'est qui, Claude Farraer ?

Claude Farraer, hein.

Ouais, ça vous aide, ça bâffit.

Qui était Claude Farraer ?

Ouais, ouais.

Il a écrit les petites alliés.

De quoi, ça, les petites alliés ?

Claude Farraer.

Oui, mais c'est pas ça la question, vous voyez.

Je vous le dis, j'ai le droit de dire quelque chose.

Il est morquant, le voisin de Chirac.

Comment ça, il est morquant ?

Bah, celui qui repose.

J'allais demander ce qu'il est toujours vivant,

puis j'allais dire.

Oui, il ne m'a pas approuvé de logement, alors.

C'est intéressant parce qu'il est justement mort en 2007.

Ah oui, il est récemment.

Qui était la fin du mandat du président Chirac.

Pardon ?

Troya.

Henri Troya.

Très bonne réponse.

Merci, ça ne mérite pas.

C'est pas grave.

Il nous fait origine russe, Henri Troya.

Oui, il écrivait debout.

Voilà ce que je sais.

Non, je comprends que c'est lui qui jouait des piano.

Non, non, il écrivait debout.

Il écrivait debout.

Il habitait face à notre corps.

Est-ce que vous avez remarqué que je faisais la tête ou pas ?

Parce que sinon...

On voit rien avec la touche devant, on voit rien.

Sinon, ça sera rien qu'il ne t'aime pas.

Ah, Isabelle.

Ah ben non, je n'aurais pas remarqué.

Ma merde, alors.

Ah, Isabelle.

C'est bien ce que je me disais, donc c'est pas la peine que je continue.

Pourquoi il aurait eu la tête ?

Pourquoi vous faisiez la tête ?

Mais est-ce que pour vous, un peu c'est tout à l'heure,

en quoi que vous m'avez...

Alors tant pis, mais quand même écoutez.

Excellent Boudin, Isabelle Bermeaux.

On va au 17e siècle, Monsieur Stevie Boulet.

Au 17e siècle, il y a un soulèvement

contre les impôts trop lourds du roi Louis XIV.

On est dans le nord de la France.

De par chez vous, vous voyez ?

Ah, de par chez nous, oui.

Dans le Boulonnais, vous voyez ce que c'est le...

Ah, Boulonnais.

Dans le Boulonnais.

Et là, il y a une révolte soutenue en sous main,

d'ailleurs, par les agents du roi d'Espagne.

Une révolte des bourgeois, des paysans...

Ah, c'est pas calais.

...contre le roi de France,

en raison de la pression fiscale.

Et comment a-t-on appelé cette révolte de 1662 ?

La révolte des...

Bourgeois de Calais ?

Ah non, aucun rapport.

Ce sont des paysans, principalement,

qui se sont rebeillés.

Non, il y a des bourgeois aussi.

Des bourgeois, des paysans.

Des bourgeois, des paysans, tout le monde.

Pour l'impôt.

Et c'était pour tous les impôts ?

Ah oui, oui.

Pour un impôt spécial, comme la gamme...

C'était des réquisitions pour le financement des guerres,

qui étaient incessantes à cette époque.

Et c'est un nom dont on peut encore ?

Ah oui, ça vous arrive.

Vous allez en faire vos courses, par exemple.

Ah non, des chicons.

Des quoi ?

Des chicons.

Des sachets.

Des sachets quoi ?

Je sais pas quoi, on va faire des courses,

on en des sachets.

La révolte de Kaba ?

Est-ce que c'est un nom commun, Laurent ?

Alors c'est à la fois un nom commun et un nom propre.

C'est un personnage de l'imagerie populaire

que vous connaissez tous.

Son nom est un nom propre, effectivement.

Et on a appelé ça la révolte des...

D'ailleurs chez les Wallons,

ça veut dire aussi enfants remus en tapageur.

Ça veut dire aussi dans le Nord,

un pognet, un peu un baissil, vous voyez.

Ah...

Des bolosses ?

La révolte des chicons.

Qu'est-ce que vous avez dit ?

Des bolosses.

La révolte des bolosses.

M'enfin, écoutez.

Ça a l'air un plaisir, c'est gentil, mais...

Je suis rassuré, je crois que c'était la bonne réponse.

Ah, parfois c'est...

Je me suis dit...

La révolte des bolosses,

juste après l'assassinat de Ravallac.

Est-ce que ça pourrait être la révolte des Martin ?

Des Martin, non.

Non, c'est un nom propre que vous connaissez tous.

C'est aussi une marque d'ailleurs aujourd'hui.

Est-ce que c'est une marque alimentaire aujourd'hui ?

Oui, marque alimentaire, oui, alimentaire.

La révolte, pardon.

La révolte des knorrs.

La révolte des knorrs, non.

La révolte des...

Des liébigs.

Des liébigs.

Des barrières.

C'est connu ces historiques à ce soulèvement

contre les impôts trop lourds au 17e siècle.

On a appelé ça la révolte des...

Comment digner chez toi ?

Un babèche.

Tu demandes souvent 200 râbles de babal ?

La révolte des bics.

La révolte...

Oui, mais là, vous le dites.

Mais quand vous le dites, on le demande

quand on fait des courses.

Oui, parce que c'est une marque célèbre, vous voyez.

On marque qu'il y a un doute,

est-ce qu'elle existe encore cette marque ?

Ah, c'est ça.

Je crois, je crois.

Tu vois, gilette.

La révolte des gilettes.

La révolte des gilettes.

Je trouve ça sonne bien.

La révolte des cardigans.

Non.

La révolte des spéculoses, non.

Non, mais c'est un personnage...

Un personnage qu'on connaît,

qui est dans une chanson populaire célèbre.

Ah...

Caca.

Des caca.

Non, écoutez, voilà 300 euros qu'on va distribuer.

Ah, monsieur...

Une chanson populaire célèbre.

J'ai une vitre de 7 dans l'héro.

Des rojins.

La révolte des lustes crus.

Ah...

C'est des pâtes.

Elle existe encore cette marque.

Oui, ça existe encore.

Ça existe encore les lustes crus ?

Oui.

Je sais pas, je prends que des barrières.

Oui.

Des gilettes.

Moi aussi.

Lustes crus.

Lustes crus.

On trouve encore...

Oui.

La coquillette lustes crus.

Et l'ivoire écarée aussi.

Non.

Non, ça, non.

Ça y est plus.

L'ivoire écarée aussi.

Ils mettent plus d'oeufs chez l'ivoire écarée.

Donc, il y a eu un monsieur lustes crus.

Dans la mère Michel, qui a perdu son chat,

c'est le père lustes crus qui lui a répondu.

Ah...

Alors, la mère Michel va tâner pas.

Pair du dundee dundee.

Et donc, c'est quoi, lustes crus ?

Eh ben, c'est un nier.

Vous voyez, j'ai...

C'est un nier.

C'est un nier.

Moi, je dis jamais, c'est un lustes crus.

On parle d'un mec.

Tu dis ça, toi ?

Ben, pour moi, lustes crus, c'est Germaine,

avait ses extraterrestres, là, dans la...

Oui.

Pour moi, c'est Lignogno, le kiki.

Le kiki.

Elle est mignonne.

Vous me faites peur.

C'est marrant.

Oui, alors, il m'a parlé.

Mais est-ce que je le crois, lustes crus ?

Non.

Monsieur Mme Vitrégie, Anne, c'est son prénom qui habite 7,

touche en tout cas 300 euros, grâce au lustes crus.

La question, justement, va concerner Hippocrates.

Et ce sera pour Rémi Le Comte, qui habite Paris, 20e.

Qu'est-ce qu'on appelle la réduction d'Hippocrates ?

C'est les soldes.

Les soldes, non.

La circoncision.

Non, j'y mets.

C'est un organe ?

Un organe, non.

C'est un acte médical.

Un acte médical ?

Oui, on peut dire médical ou paramédical,

mais en tout cas quasi médical.

C'est à la naissance ?

Alors non, c'est pas la naissance.

Je suis sûr, Bernard, que vous avez déjà,

on a déjà pratiqué sur vous des réductions d'Hippocrates.

Ah, c'est quand on enlève les amies d'Al ?

On lui a enlevé la vie, mais pas la dalle.

Elle est blanche.

Mais tout ce qu'on se prend aujourd'hui, mon pauvre nana,

c'est pas notre jour.

Non, non, pas de peau, nana.

Ne m'appelle pas nana.

Oh, nana et skiveel.

Sûlte-pleur, on n'a pas mis les rillettes en peau tous les deux.

Tu nous as bouffé, toi.

Pas de nana.

Skiveel distribue les rillettes dessus les manches.

La réduction d'Hippocrates.

De quoi, c'est-il ?

Donc c'est un acte médical.

Oui, oui, oui, oui.

Donc c'est chirurgical, on l'ouvre.

Ah non, ça n'est pas chirurgical, justement.

Une sorte de massage.

Une sorte de massage, non, mais on se rapproche,

je sais pas, c'est-à-dire qu'une ponction,

On serait à peu près tous capables ici de réaliser une réduction du pop-rat.

– Ah, je sais, une saignée ! – Un pop-rat !

– Ah oui, oui, c'est vrai ! – Ah, oui, c'est vrai !

– L'abri des poignettes ! – On serait capables de réaliser une saignée, vous !

– Oui, vous l'avez dérivé avec son petit topinelle !

Tiens, entrez-vous d'avant, je serai à votre plat !

– Écoutez, on serait pas capables de faire une saignée, voyez-vous ?

Et que c'est le bouche à bouche ?

– C'est quand on arrête le sang de couler par un garbou, non ?

– On se fait un rapport avec le sang. – C'est le bouche à bouche.

– Le bouche à bouche, non ? – C'est faire macé l'hypopotamus ?

– Enfin, non... – Oh, la vache !

– Ouais, la vache. – Ah, c'est la saignée du rhum.

– Alors, je voulais aller manger un steak, et puis je l'ai réellement macé l'hypopotamus.

– Si tu veux macer l'hypopotamus, j'arrive !

– Ah, je sais, je sais ! – Je suis une facture du bistro romain !

– Et après, je fais aller branler un bif à l'eau grille, là.

– Ça se fait sur une partie du corps particulier ?

– Oui, oui, oui, c'est quand on a quelque chose en particulier, là.

– Le hoquet ? – Le hoquet, non, mais...

– Ah, quand on a un bouton, le perse.

– Pas du tout, on perce pas de bouton.

Je vous dis, on peut pas le faire tout seul, il faut quelqu'un d'autre pour le faire.

– C'est dans le dos ? – Julien.

– Julien le perse, oui, j'ai compris, Bernard, oui.

– Ah, oui, oui, oui, c'est dans le dos ?

– Alors, dans le dos.

– Oui, on peut considérer que c'est dans le dos que ça se fait, oui.

– C'est des bloquines vertèbres.

– Alors, une vertèbre. – Une lombée !

– Une lombée. – Le coxie.

– C'est un colline vertébrale. – Alors, oui, quasiment, c'est-à-dire quoi, exactement ?

– La colonne vertébrale. – C'est-à-dire que... qu'est-ce qu'on fait ?

– On peut craquer les eaux ? – Pas craquer les eaux, qu'est-ce qu'on fait ?

– Une torsion, une torsion. – On les remet en place.

– Alors, une torsion, on peut considérer que c'est...

– On presse. – Une torsion, une confection.

– On fait une clé. – On fait une clé.

– Là, c'est la pression. – Alors, c'est-à-dire qu'on fait ça en cas de quoi ?

– En cas de blocage. – Tarticoli.

– Pas de torticoli, pas de l'abago. – De l'abago.

– Hermine l'indisc... Hermine... Hermine... – Discale, merci.

– Quand on avait les Travers. – Une Hermine viscale.

– Discale. – Une Hermine visqueuse.

– Un petit tour de rin, voilà. – Alors, c'est pas les rins,

c'est pas un tour de rin, justement, c'est au-dessus.

– Un tour de rin ? – Non, non.

– Le coup ? – Les épaules.

– Les épaules. – Les épaules.

– Alors, qu'est-ce qu'on se fait à l'épaule ?

– On t'aimait l'épaule. – Une luxure.

– Une luxation de l'épaule. – Luxation de l'épaule.

– Pas une luxure christine. – Une luxure de l'épaule.

– La stile est contagieuse.

– Et quand l'épaule se démet au bas...

– À la luxure de l'épaule, c'est plus romantique.

– Quand l'épaule se déboîte.

– Une luxation de l'épaule.

Alors, qu'est-ce qu'on fait ? On fait une réduction d'hypocrates.

Comment on l'a fait ?

– On craque. – On craque, on pousse son tir.

– On pousse à l'aide de son pied.

D'un bâton dans les bronzés fonduciers.

Une contraction dans les selles.

– Histoire, effectivement, de réduire la luxation de l'épaule.

– Il faut mieux aller chez un professionnel.

– Moi, je vous dis tout de suite, je crie en premier.

Ça doit faire très mal.

– Effectivement, il faut mieux aller voir un osteopathe.

– Oui, je crois que c'est mieux.

– Non, alors, un rebouteux, rebouteux.

– Un rebouteux ?

– Non, mais là, c'est trop gros.

– Dans les campagnes, il y avait des rebouteux.

– Ah, ben oui.

– Vous en avez vu un qui m'a soigné ?

– Voilà, voilà.

– Il s'est soigné de quoi votre rebouteux ?

– Mais j'avais un mal de dos depuis des mois et des mois.

– On devine comment il l'a soigné.

– Non, mais j'arrivais dans un petit corps de ferme et là, j'ai un petit corps de ferme.

– En lundre-et-Loire, dans le trou du cul de lundre-et-Loire, je sais pas.

– D'où le tableau ?

– Oh putain, c'est pas possible avec vous.

Oh, on peut pas parler.

Enfin, bref, j'arrive et j'ai un petit monsieur qui me dit,

« Allez dans la petite maisonée là-bas, j'avance ».

Ça sentait très, très fort la menthe.

Et là, il me dit…

– La menthe ou la chèvre ?

– Non, ça sentait la menthe.

– La menthe ?

– La menthe.

Et là, il m'a dit, « Asseyez-vous, je m'assois correctement sur la chaise ».

Et il me dit, « Non, retournez-vous, alors je me lève, je me retourne ».

– On y vient, il l'a vu.

– Il me dit, « Enlevez votre plu, j'en ai un plu. »

Et là, le mec m'est véridique.

J'ai vu, chiropraticien, j'ai vu qui n'est, j'ai tout vu.

Le petit papy de 75 ans, là.

Il prend ses deux pouces, il me fait ça en bas du dos, flap, flap.

Plus j'ai jamais eu mal au dos.

– Voilà.

– Enfin, c'est quand même bien aujourd'hui, on aurait eu une pensée

pour le petit vieux du trou du cul de l'Adreilloire.

– Mais oui, ça se trouve, il nous écoute.

– Eh, salut !

– Par le plus fort, il se voit, je crois.

Je comprends mieux pourquoi ça sentait la menthe, Stevie,

parce que je suis en train de lire que la réduction d'hypocrates

a été inventée par hypocrates au temps de périclesse.

– Oh !

– Une chanson pour Miriam, c'est bien...

– Une chanson ? Une question, pardon.

– La chanson, c'était pour Francisca, ouais, là.

– Une question pour Miriam Sonia, qui habite en paresse et la grave en giron.

– Ah, c'est bon, il a du bon vin, là-bas.

– C'est Harold de Connac, qui, en 1914, a amélioré l'escurrette.

Mais qu'est-ce que l'escurrette ?

– C'est un objet ?

– Oui, c'est un objet.

– De guerre.

– Un objet de guerre, non.

– Est-ce qu'on en a la maison des escurettes ?

– Oui, vous en avez à la maison.

– Il est électrifié.

– Alors on appelait ça escurette au Moyen-Âge,

et puis c'est vrai que ça s'est électrifié, vous dites.

– Oui.

– Non, il n'a pas électrifié l'escurrette.

– Il a mis l'escurrette.

– On a ça dans notre cuisine.

– Je ne sais plus trop pas dans la cuisine.

– Dans la salle de bain.

– C'est pour la guerre, pour la guerre.

– Pour la guerre, non, dans la salle de bain, oui.

– Une brosse à dents.

– Une brosse à dents, non.

– Elle est coton-tige, coton-tige.

– Elle est coton-tige, bonne réponse de Christine Bravo.

Et Stevie Boulet, une escurette, c'est un coton-tige.

– Il n'était pas loin avec l'électrifié parce qu'il y a deux watts.

– Voilà là.

– C'est magnifique.

– Elle est magnifique.

– Moi je dis Madame Mergo.

– Elle fume.

– Une grande arme de l'émour.

– Comme elle est satisfaite.

– Mais là j'alouse, mais...

– C'est interdit la vente des coton-tiges, je crois.

– Oui, mais c'est pas bon du tout, c'est pas bon du tout.

Parce qu'après, il y a des petits dépôts de coton dans les oreilles.

– Ça te pousse le pire.

– Moi, j'ai même un coton-tige qui est là depuis dix ans.

– C'est pour ça qu'ils parlent fort.

– C'est complètement ravagé.

– Mais l'autre fois, mon mec, je me truc les oreilles et puis ça ressort, il y a que le bâton.

Et mon mec me dit, où est le coton ? J'y sais pas.

Et maintenant, ça fait trois mois qu'il me dit, il t'a retrouvé le coton.

– Ah !

– Il me dit, t'as quel cher, c'est bon.

– Il vous lâche les oreilles.

– Mais il te regarde, te faire...

– Il me regarde faire tout.

– Par exemple, l'autre fois, j'ouvre une bouteille de cidre et j'arrive pas, j'arrive pas.

– En vrai, ça doit être du calva-dose.

– Parce que ça me sent pas de les alcooliser, quand même.

– Non, parce qu'il y a un bouchon.

– Tu veux partir ?

– Il y a un bouchon, j'arrive pas à le faire partir, donc je le mets dans ma bouche pour le faire partir.

– Elle avait très soif.

– Il a dû me l'enlever, qu'il y a de cher bouchon.

– De la gorge ?

– Mais dans les abidales.

– T'es prêt à tout ?

– La goulue, la goulue.

– Il me chauffait dans le nez.

– Il y a de la place.

– Tu devrais vivre avec un mec du Samus très peu rapide.

– C'est pour ça que...

– Voilà, à la recherche du coton-tige.

– Et là, son brevet se courait.

– Il y a plein de trucs que j'ai pas trouvé dans mon corps.

– Ton thermomètre ?

– En plein, plein de trucs.

– Ton thermomètre frontal !

– Il y a plein de trucs.

– Une escurette au Moyen-Âge.

C'était un coton-tigeur.

Qu'est-ce qu'il a fait de Connain, que lui, autant vous dire ?

– Il l'a douce.

– Parce qu'il se curait avec des piques.

– Ça me rappelle cette histoire que j'adore du type qui est dans le métro

et qui a une banane dans l'oreille.

Vous la connaissez, celle-là ?

Il a une banane dans l'oreille.

Alors il y a quelqu'un qui lui dit,

« Monsieur, pardon, mais vous avez une banane dans l'oreille ».

– Quoi ?

« Monsieur, vous avez une banane dans l'oreille ».

Hein ?

« Monsieur, pardon, mais c'est bizarre.

Vous avez une banane dans l'oreille ».

Qu'est-ce que vous dites ?

« Vous avez une banane dans l'oreille ».

Par les plus forts, parce que j'ai une banane dans l'oreille.

– Celle-là, elle n'est pas interdite au moins.

Vous voyez ?

C'est drôle.

– J'en ai une, mais je ne sais pas si tout le monde la connaît.

– Non, vous arrêtez, on vous arrête si on la connaît.

– Bon alors, c'est pendant la guerre d'Espagne,

il y a un général qui va visiter,

qui va visiter, vous connaissez ?

– Non.

– Tu vas dire deux mots avant qu'on me connaît.

Qui va visiter ces troupes blessées.

– Elle se connaît, oui.

– C'est vrai ?

– Non, mais non.

– Ah bon, et alors,

il s'arrête au premier lit,

comment vous sentez-vous, soldat ?

Mais il me semble un général.

De quoi souffrez-vous ?

À Médalaise, général.

Et quel est votre vœu le plus cher ?

Servir pour vous, général.

C'est le deuxième lit.

De quoi souffre-tu, soldat ?

Il souffre à Médalaise.

Et quel est ton vœu le plus cher ?

Servir pour vous, général.

Il fait ça, il fait tous les lits.

– Oui, il fait le raccourci.

– En fait, c'est encore un ou deux, j'aime bien.

– Et toi, de quoi souffre-tu, soldat ?

Il souffre à Médalaise, à Médalaise.

Et quel est ton vœu quand tu sortiras d'ici ?

Servir pour vous, général.

– Encore un ? – Allez, allez, allez.

– Encore juste un seul.

– Et toi, de quoi souffre-tu, soldat ?

– Ah non, mais j'ai oublié plein de trucs.

– C'était l'info, là. – Attendez, on recommence.

De quoi souffre-tu, soldat ?

Et tu es bien soigné, c'est comme un baton et un coton.

Et quel est ton vœu le plus cher quand tu sortiras d'ici ?

Servir pour vous, général.

Et ils ont tous mal aux Amidals.

Et tu es bien soigné, c'est comme un baton et un coton.

Et quel est ton vœu le plus cher ?

Servir pour vous, général.

Bien sûr, je l'avais oublié, toi, toi.

– Encore un ? – Et toi, non, non.

Et toi, il fait tous les lits, ils ont tous mal aux Amidals.

Et toi, de quoi souffre-tu, soldat ?

Servir pour vous, général.

Et quel est ton vœu le plus cher ?

– Non, c'est pas m'en sens.

– Est-ce que tu es bien soigné ?

– Mais non, c'est d'abord, ils ont tous les hemorroïdes.

Attends, je vous raconte, vous l'avez fait vite.

Ils ont tous les hemorroïdes, ils sont soignés.

– C'est une tête à troffre.

– On n'a pas bien compris.

– J'en ai entendu des histoires belles racontées.

– Ils ont tous les hemorroïdes, ils sont soignés.

Maintenant, je m'adresse à mon public.

Ils sont soignés.

Ils sont soignés avec un baton et un coton.

Et le dernier, les Alimadeh.

Oui, mais quand c'est bien fait, c'est bien fait.

Amidales, et là, quel est ton vœu le plus cher ?

Qu'est-ce que l'on chale des cotons ?

Voilà, c'est tout.

– Ah oui, c'est drôle, c'est plus drôle.

– Oui, il était totalement à l'envers.

– Non, n'ayez pas pitié, c'est pas la peine.

– C'est vrai que pour le coup, ma bananesse, elle était très bonne.

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Écoutez ou réécoutez l'émission des Grosses Têtes avec Laurent Ruquier du dimanche 27 août 2023.