Les Grosses Têtes: BEST OF - Les moments cultes

RTL RTL 9/9/23 - Episode Page - 1h 41m - PDF Transcript

C'est vrai, Christina. Chaque matin, quand vous êtes là et que vous nous voyez arriver,

vous faites un petit commentaire sur notre tenue vestimentaire et ce matin, vous avez

félicité, ça nous a surpris, félicité Florian Gazan.

Moi aussi, c'est ma chauvre, je pensais qu'elle parait de quelqu'un d'autre.

Parce qu'il avait une tenue de camouflage.

Voilà, il était avec un blouson, camouflage.

Alors camouflage, c'est tendance, mais lui, il était avec un doudoundeski camouflage.

Là, du coup, la forme, elle est moins bien.

Il y a un billet d'avion pour la Syrie, c'était très bien.

Je ne savais pas que le camouflage était à la main de moi.

Super à la main, j'envoie nulle part, des gens habillés.

Vous ne les voyez pas, si je suis bien roulé.

Non, l'enfrimé camouflage, t-shirt, imprimé camouflage, pull, imprimé camouflage.

Il n'y a rien pour de camoufler la gueule, parce que tu n'as rien à faire.

Oh là là, j'ai un truc que vous êtes déjà trop durs l'année matin, j'ai écrit.

C'est bon, ça s'appelle l'érection.

Vous avez su surprise, Christine, bravo.

Donc vous, ils ne sont pas passés chez vous, unard shoulders.

Mais t'es pas bien, toi. Il n'est pas bien.

José, José, pas bien, mais ça jouait.

Là, mais ça jouait, t'as fait des frites.

Mais vous êtes complètement cons.

J'ai un casque de moto.

C'est bizarre quand même, ils sont tous bruns vos cheveux.

Mais ils ne sont pas bruns, ils sont mieux que tous tes racines.

Christine a dit de lui que ça va pas.

Oh là, t'es rit, t'es en merde.

Mes cheveux sont dégueulasses.

C'est vrai, l'impression qu'on a pris Donald Duck au gros stade.

Là, c'est mieux.

C'est mieux parce qu'on voit que le blond, tout le bras est derrière maintenant.

Putain, elle a morflé, hip-hop.

On dirait hip-hop avec France Gale mélangée.

Mais dis-lui, Christine, que ça va pas.

Mais vous êtes.

T'as qui aujourd'hui les garçons, qu'est-ce que vous avez là ?

Oh là là là là !

Je trouve que tu vas très bien, Christine.

J'aime bien ta coupe, j'aime bien tes cheveux.

Je pense que nous sommes tous les filles ici, très bien.

Mais il faut qu'on subit les machismes des mecs, quoi.

Oh là là là là !

On va s'y rébeller, chérie.

Un peu plus d'élégance, les garçons.

Caroline, regardez Caroline, regardez.

Voilà, elle l'a fait, c'est Racine, Christine.

Elle va pas de Racine, Caroline.

Non mais moi, j'ai toujours les cheveux propres.

Je veux pas de Racine.

C'est extraordinaire.

C'est pas ça que je veux dire.

Mais quand t'es grosse, t'es obligé d'avoir toujours les mains faites, les cheveux propres.

Et un minimum de...

Tu veux dire pour détourner l'attention ?

Caroline, elle peut avoir le cul sale, personne n'ira vérifier.

Qu'est-ce qu'elle en prend ?

Du détroit de toi, les grosses fesses sont encore leur...

Oh non, écoutez, je suis pas là pour animer les grosses fesses, hein.

Ce serait une émission très sympa.

Attends, j'en ai une dégueulasse à ce propos.

Allez-y.

C'est la fesse droite qui dit à la fesse gauche, dis-donc,

trouve pas que ça sent la merde dans le couloir.

Oh mon dieu !

Eh bien, je crois qu'il est temps d'enchaîner avec la première citation.

Dans ces cas-là, il vaut mieux aller dans le culturel tout de suite.

Ah, le culturel !

Une citation pour Henri-Anne Feuille, qui habite tour la ville dans la manche.

À qui doit-on cette très jolie phrase que vous connaissez tous ?

Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque.

À te regarder, ils s'habitueront.

Oh, je connais.

Est-ce que c'est un philosophe ancien ?

Artiste, en tout cas.

Auteur.

Poète.

Est-ce qu'il vient de mourir ?

Ah non, non, non.

Ça fait longtemps.

Ah, il est mort en 1944.

1944 ?

Eh oui.

Paul Fort ?

Non, il était allemand.

Max Jacob ?

Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque.

Oui, René Char.

À te regarder, ils s'habitueront.

René Char, excellent réponse !

De Jean-Jacques Perrony.

René Char, c'est chouette quand même.

C'est beau.

C'est une citation ici qui sert souvent de référence.

Il y a beaucoup de gens qui disent ça.

Dans le métro, j'entends que ça.

Cette phrase-là, je l'ai jamais entendu, Laurent.

Donc elle prend le métro avec un casque.

Elle est con !

C'est pour pas effrayer les voyageurs.

Je le raconte pas le déjà.

Une citation pour M. René Benard,

qui habite Saint Laurent de la Plaine, dans le Ménéloir,

qui a dit, le gouvernement a un bras long et l'autre court.

Le long sert à prendre et il arrive partout.

Le bras court sert à donner et il n'atteint que les plus proches.

C'est Michel Sapa.

Non, mais c'est vrai que c'est assez drôle.

Jamel Debouze.

Jamel Debouze.

C'est un politique ?

Non, écoutez.

Est-ce que c'est un homme politique ?

Ce n'est pas un politique.

Est-ce que c'est un humoriste de profession ?

Humoriste, moi, est peut-être un peu fort,

mais c'est quelqu'un qui a beaucoup fait rire, oui.

Et il est mort.

Il est mort en 90.

Il a fait rire à son asu.

Il n'a pas fait rire à son asu.

Il a fait rire parce qu'il a joué dans des comédies,

des films, des pièces.

C'était un acteur.

C'était un acteur.

Français.

Français, non.

Ah...

Peter Hustinoff.

Peter Hustinoff, non.

Américain ?

Américain, non.

Anglais.

Italien, comment vous avez dit ?

Mastroyani.

Mastroyani, non.

Hugo Tognaczi.

Hugo Tognaczi.

Bonne réponse de Florian Gazon.

Bon, c'est bon.

On vous a laissé les deux premières réponses.

Maintenant, c'est nous qu'allons répondre.

C'est nous qu'allons répondre ?

Bah écoutez, on est mal barré, alors...

Autant un signe, autant un conjoint.

Une citation pour Jonathan Célem qui habite telle à vivre,

qui a dit, heureuse bête les pans qui ont des yeux sur leur queue,

ce qui fait défaut à tellement de jeunes garçons.

Cocteau.

Cocteau, non.

Est-ce que c'est un homme qui aimait les hommes ?

Chine.

Je ne pense pas qu'il aimait les hommes.

Enfin, pas ma connaissance.

Elle est étrange, quand même, cette phrase.

C'était un poète.

Un poète, non.

Un romancier.

Il est mort.

Il est mort.

Très bien.

Il est mort.

Il y a un petit moment.

Il est mort en 1976.

Il était académicien français.

Romain Garris.

Barte.

Barte, non.

Garris, non.

Non, non.

Il a fait un roman qui a...

Et qui a imbécé leur.

Oh oui, plusieurs, mais un particulièrement.

Il a dit faire.

Non.

Académicien, vous avez dit.

Académicien français qui, il faut le dire,

pendant la guerre, elle n'a pas forcément été,

on va dire, le plus...

Paul Moran.

Paul Moran.

Bonne réponse.

De Jean-Jacques Perromis.

Une question pour Solène de Vieux,

qui habite Le Mans dans la Sarte.

Pouvez-vous me dire quel génie des mathématiques

est mort à l'âge de 20 ans seulement ?

Évarrice Galois.

Oh, non, non.

Moi, je m'en vais.

J'ai rendez-vous.

J'ai pas à faire.

Évarrice Galois.

Bonne réponse.

Caroline aurait dû trouver.

Bonne réponse de Paul et Carat.

Vous pouvez expliquer peut-être à Caroline qui...

On est en 1832.

Ah oui ?

Là, je vous le dis.

Il est mort en 1832 ?

Tout à fait, à 20 ans.

Il était sur sa 21e année.

Chose incroyable, il a les mêmes dates que Napoléon II.

C'est pas vrai.

C'est pas vrai.

Ça m'avait frappé aussi.

C'est même pas qu'il y avait un Napoléon II.

J'avais pas vu le 1, moi.

J'explique.

C'est pas le faune, t'es bien.

C'est quelqu'un d'un tempérament très sanguin

qui n'arrivait pas à se moudre dans l'école.

À se fondre ?

À se moudre dans le moule.

Ah, tu te moudres dans le moule.

C'est le moule, toi.

Tu m'étonnes que t'es pas de rapport.

Un problème de coeur, un peu comme Puschkin lors de son duel.

Un problème avec une femme, je pense, avec un autre collègue.

Ils ont fait un duel et il s'est pris un coup de révolver

dans le péritoine et il est mort d'une péritonite

après la date de souffrance à 20 ans.

Et il aurait dit, c'est de pleurer pour moi,

il me faut tout mon courage pour mourir à 20 ans.

Bravo, écoutez, c'est tout.

C'est pas seulement de la mémoire, ça, c'est de la culture.

Oui, mais alors moi, je veux savoir le nom de sa bien-aimée

pour laquelle il est mort.

Il est même pas connu.

Mais qui l'a tué en duel ?

C'est un collègue de promo, je pense.

Mais on ne connaît pas son nom.

Il a dit quoi en mourant ?

C'est de pleurer, il me faut tout mon courage pour mourir à 20 ans.

Moi, quand tu me tiens dans le téléscope,

moi, quand tu me tiens dans le téléscope,

je te dis, j'ai mal.

Toutes ces dernières phrases avec une balle d'ambit

pendant que tu te vides de ton sang.

Oui, il faut se se pleurer.

Mais enfin, il n'y a pas Jailou.

Écoutez, il nous raconte plein de choses sur Évaluiste Galois.

Il a découvert quoi en mathématiques ?

Il a découvert, il y a un théorème qui porte son nom.

Il a découvert énormément de choses.

C'est l'un des mètres des mathématiques début du 19e siècle.

Vous étiez bon en mathématiques, vous, à l'école, M. Jansen ?

Oui, pas mal.

Parce qu'en plus, celle qui me donnait des cours de maths

était une sœur sœur René-Marie.

Sœur René-Marie ?

Oui, sœur René-Marie.

Pourquoi tu dis en plus, quel importe ?

Parce que...

Elle faisait pas ses racines.

Je trouvais ça décalé d'avoir des cours de maths par une bonne sœur.

Parce qu'en plus, elle était moderne à bonne sœur.

Elle avait des chouchures, elle mettait des rangers,

on l'appelait Sœur Marie Spatul.

Elle avait des grosses rangers comme ça.

Elle avait sa croix, son petit bandana.

Et puis elle nous intéresse au mathématique.

Moi, elle m'a beaucoup intéresse au mathématique.

Et donc, t'es devenu M. Jansen ?

C'est joli !

C'est joli, mais quand on écrit Jean-Phi Jansen,

il se fait pour d'autres raisons.

Il s'agit de retrouver maintenant le nom de quelqu'un

dont, on va dire, la philosophie était résumée...

Amel Bent !

Donc la philosophie était résumée dans cette citation.

C'est pour M. Ouselot, qui habite vos couleurs

dans la meuse que je vous pose cette question.

La philosophie de cet homme dont il faut retrouver le nom,

c'était, je le pense, Dieu le guérira.

C'était un Français ?

Ah oui, un Français.

Un Français qui était né près de Laval, dans la maillette.

Ah non, le doignie Rousseau.

Le doignie Rousseau, non.

Non, Laval, c'est qui qui est né à Laval ?

C'est qui qui est né à Laval.

C'est qui qui est né à Laval ?

Vous apprenez les dates, mais pas le Français.

Oui, c'est Laval. Je sais qui c'est qui est né à Laval.

En tout cas, Jean-Philippe, passez par là.

Laval, c'est Merlot-Ponty, non.

C'est vrai, je me demande si il ferait quand même pas trop Jean-Philippe

au niveau de la grammaire.

Je le pense, Dieu le guérira,

ou je le pensais, Dieu le guérit.

C'est un vrai philosophe ?

Ah, c'est pas un philosophe, du tout.

Je vous ai dit que c'était sa philosophie.

Mais c'est un prêtre très connu, par exemple.

Un prêtre, non. On est au XVIe siècle.

Ah ben ça, de Rabelais.

Rabelais, non.

Ah ok, alors au XVIe, j'en connais pas beaucoup.

Marron, donc je propose de vous donner les deux que je connais.

Écoutez peut-être bien la phrase qui est sa philosophie,

ça peut vous aider.

C'est encore une connerie ?

Ah non, c'est pas une connerie, mais il y a une subtilité,

c'est vrai, dans cette phrase que manifestement,

vous n'avez pas saisi.

Ah sûrement.

Je le pensais, Dieu le guérit.

C'est un médecin, c'est un médecin.

C'est un médecin, oui.

Pensez, c'est la parole.

Bonne réponse de Bernard Maddi.

C'est en moi, c'est pareil.

Eh oui.

Eh oui.

Pensez du verbe Pensez, P-A-N-S-E-R.

Bien sûr.

Je le pensais, P-A-N-S-A-I, Dieu le guérit,

puisque c'était un chirurgien, un atomiste,

et sa philosophie, c'était ça, je le pense, Dieu le guérira.

Excellente réponse du bon Bernard.

Une question pour Alexandra.

Je n'ose pas dire son nom.

Ah c'est quoi ?

Alexandra Labite, qui habite...

Saint Maurice de Beineau, c'est un j'invente pas, c'est son...

Elle s'appelle Labite.

Ben oui, Alexandra Labite.

C'est son mari ou c'est elle, elle est mariée ?

Je n'en sais rien, je ne connais pas, monsieur.

On va lui demander.

Ben non, elle n'est pas là.

Mais monsieur Labite, si...

Ben si monsieur Labite...

C'est qu'ils sont plusieurs.

Alexandra Labite, c'est son mari.

Alexandre Labite.

Ce n'est pas facile de s'appeler Labite quand même dans ta vie.

Ben non, surtout quand t'habites la queue en brille.

Non mais je sais pas, à l'école, t'imagines toute petite.

Labite !

Ce qui est pas facile, surtout, c'est quand vous envoyez

une question aux grosses têtes et qu'on fait 5 minutes là-dessus, vous voyez.

Alors qu'est-ce qu'elle dit là ?

Ma question concerne une entreprise familiale.

Entreprise qui se trouve à Crois-Sibobourg,

c'est en Seine et Marne.

Une entreprise qui vend 20 millions de ce qu'elle produit

chaque année, même si attention,

ce qu'elle produit est fabriqué en fait au Vietnam.

20 millions chaque année,

20 millions de ces articles qui viennent

de ce village de Seine et Marne.

Crois-Sibobourg.

Mais fabriquer un Vietnam, malheur.

Et cette entreprise ne pourrait pas faire son commerce

aux États-Unis car ce serait interdit.

C'est de l'huile de Crois-Sajou.

Est-ce que c'est les couronnes des galettes ?

Les couronnes des galettes ?

Les fèvres.

Bonne réponse, Governor Mavis.

Un peli sur la voie quand même.

Tu peux aider quand même, non ?

Pourquoi c'est un casque aux États-Unis ?

Parce qu'aux États-Unis, on n'a pas le droit de mettre

quoi que ce soit dans les aliments.

Tu sais pourquoi ? C'est dangereux.

Des choses qui se mangent.

Parce que tu te casses une dent, tu fais un procès,

tu prends un million de dollars.

Pas d'objet dans les produits alimentaires,

non plus aux États-Unis.

Non, c'est interdit les kinders.

Sauf en tatouage.

Il y a une grosse vedette dont je t'ai rêlé le nom,

qui est décédée.

Quand il est mort, ils ont découvert

que sur ces boules, il y a un marqué de kinder surprise.

Je suis rigole.

Michael Jackson.

Moi, je me suis fait tatouer kinder bueno.

Mais non, ça, c'est mon seigneur Barbara.

Oh là !

En tout cas, la fève.

Ah !

La crème.

En tout cas, la fève,

ça fait péter.

Mais la fève,

ça doit être assez récent,

que ça vient du Vietnam.

Parce qu'elle soit faite au Vietnam.

Ah mais on les fabrique au Vietnam.

Parce que ça coûte moins cher.

Parce que c'était des petites porcelaines quand même.

Ils se sont alignés sur la concurrence

et un quart du marché français des fèves

vient du village de Sainte-Émarne.

Mais là-bas,

si vous voulez, on a les idées de fèves.

Ah d'accord.

On les commercialise, on les vend au précédent.

C'est plus en plus moche quand même.

Moi, quand j'étais petit, j'étais mignon.

Mignon, petite fève.

L'épiphanie mine de rien.

C'est quelque chose d'extraordinairement important.

Parce que si vous êtes un peu attentifs,

bon, ce jour des rois,

l'épiphanie,

c'est quelque chose qui a traversé les siècles.

Mais pourquoi ?

On s'en fout.

Mais non, on s'en fout pas.

Je vais lui vous dire quelque chose qui va changer votre vie.

Si vous êtes un peu sensible,

vous sentirez que le jour

le jour de l'épiphanie

c'est le jour où justement

la lumière croit à nouveau.

Laurent, j'ai pensé que c'était autre chose.

Parce que je fais des parties de boule l'été,

des parties de pétante.

Tu fais comme un styli, tu fais des parties de boule.

Et puis quand j'arrive à zéro,

je me dis que j'ai joué pendant une heure

épiphanie.

Oh, d'accord.

Voilà, voilà.

Ok, je sors.

C'était un petit peu laborieux.

Pour l'épiphanie

de l'année prochaine,

nous aurons des cactus décoratifs

et des licornes.

Des stroumpfs écolos

et aussi des abeilles.

Et toute une collection autour des femmes célèbres.

Voilà les prochaines fèves

que nous aurons dans les galettes.

Vous avez eu la fèvre, Steve ?

Oui, hier soir. Ah, racontez.

Avec qui vous avez fait la galette ?

Avec mon pote, Jérém, il m'a ramené une petite galette.

Votre pote, Jérém.

C'est mon pote de marche, mon pote de toujours.

Votre pote de marche ?

Oui, j'y vais avec un pote

et puis du coup hier, je l'ai vu hier soir

à la bonne année, il est arrivé avec une galette

et j'ai enfin eu la fèvre parce que j'avais pas eu depuis...

Il y a une chanson de...

Oui, à dos, ça va vite.

Oui, mais...

Qui a fait le roi, qui a fait la reine ?

Qui a aller sous la table, distribuer les parts ?

Qui a tiré le roi ?

Non, j'ai gardé la couronne.

Ça ne se fait pas, merde.

À propos de couronne, il faudrait jacher le dentiste

maintenant que si on pouvait finir.

En tout cas, il y a longtemps que t'as perdu

tes dents de sagesse.

Oh, la violence du propos !

Oh, l'agression !

Oh, putain, ça tacle !

C'est moche !

Elle est ainsi vive !

Exposition universelle de 1904.

Ça se passait à Saint-Louis,

cette exposition universelle de 1904.

Et c'est là-bas, pour la première fois,

qu'on a vu une invention gastronomique

laquelle ?

À Saint-Louis, où ça ?

À Saint-Louis, à Saint-Louis, en France.

Ah, à Saint-Louis, en France, et où Saint-Louis ?

Non, je sais pas si vous remarquez en France.

C'est pas Saint-Louis plutôt aux États-Unis.

Saint-Louis ?

Saint-Louis, une recette ?

C'est une invention gastronomique française.

Une recette ?

Une recette.

Genre la choucroute, un truc comme ça ?

Qu'est-ce qui est devenu quelque chose ?

En 1904, c'est devenu un truc...

Non, attendez, il faut retrouver le plat,

il faut retrouver quoi ?

Déjà qu'on sait pas, c'est en France,

aux États-Unis,

mais c'est le bordel !

Est-ce que c'est quelque chose qui se mange au chaud ?

Ça se mange au chaud, est-ce que c'est chaud ?

Mais c'est rien !

C'est pas le tatin ?

C'est chaud, et c'est dans le mis-souris.

Ah !

Le dog ?

Ah non, non.

C'est salé.

Ah, c'est pas salé.

C'est quoi ?

C'est sucré.

C'est une quiche ?

C'est ketchup.

Mais faut dire que j'ai eu un traumatisme avec ça,

alors c'est pas ça aussi que...

Vous en avez bouffé quelque temps.

C'est salcifié ?

Non, cet été, il m'est arrivé à un malheur avec...

Avec une saucisse ?

Non.

Alors ça, c'est finot.

C'est finot.

Et d'ailleurs, c'est assez marrant,

parce que c'est un dentiste,

je suis en train de regarder ça,

vu ce qui m'est arrivé...

Parce que j'ai perdu une dent...

Des popcorns.

C'est été.

Des popcorns.

À cause de ça.

Et là-dedans,

vous l'avez mis sur l'oreiller

pour la petite sourd.

Non, mais j'étais en train de parler.

C'était un déjeuner...

Il y avait du monde et tout, je t'ai emmerdé.

Du nougat.

T'étais affamé, t'étais affamé.

Oui, c'est la raison.

Du nougat.

C'est pas du popcorn.

D'accord.

C'est pas du popcorn,

c'est pas du nougat.

C'est dur, donc c'est fort, c'est mendu.

C'est pas dur, c'est ça qui est dingue.

La guimauve.

La guimauve.

Pardon.

Les chamalons.

Les chamalons, non.

La barbe à papa.

De la barbe à papa.

Bonne, répond.

Bravo, Stéphane.

D'accord.

D'accord.

De la Stéphane Plaza.

Oui.

Non, vous vous êtes pété une dent.

Mangez la barbe à papa.

Oui, monsieur.

D'accord.

Mais non, mais la barbe à papa,

c'est pas que ce soit dur.

Non.

Mais c'est que ça colle.

Non, ça colle pas trop.

Non, si.

Ah, si.

Après, vous êtes peut-être mangé le bâton aussi.

Et j'avais une dent qui devait plus très bien.

Mais c'est ça.

Ah, je vais pas y coller votre dent.

Ah, c'est un seul coup.

Je sens la barbe à papa.

Je vois là-dedans.

Vous avez peut-être ripé en sortant violemment.

Dans quel type de déjeuner très important,

on mange tous de la barbe à papa.

J'ai fait ça vraiment facile pour moi

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Et maintenant,

j'ai voulu demander donc

quelle phrase célèbre.

Je suis prononcé un 26 juin.

Il y a pile 60 ans.

Moi, je te réponds

dans 5 jours.

C'est la phrase d'un politique.

C'est une phrase historique.

C'est une phrase historique.

Ce n'est pas de gôle.

Ce n'est pas un militaire.

C'est un politique.

Un politique.

C'est une femme.

Ce n'est pas une femme.

C'est une femme.

Ce n'est pas une femme.

C'est pas une femme.

La question, c'est quelle phrase.

C'est pas qui.

Quelle phrase fut prononcée.

C'est vrai que si vous trouvez qui.

On trouve qui, on trouvera quoi.

Nous sommes tous des berlinois.

J'ai du reflet.

Nous sommes tous des berlinois.

Bonne réponse, de Jean-Plu Janssens !

Ah non, vous me demandez quelle ! Alors, écoutez, Jr. Ben Guigui, je vous aime beaucoup !

La phrase qui a été prononcée, c'est pas « nous sommes tous des Berlinois »,

c'est bien « Isbine à une Berlinur » et la bonne réponse est de Jean-Plu Janssens !

Moi je sais que les publics français, il y a les versions françaises, il n'est pas le faire en VO,

mais comme disait Pierre Benichou, « Minecraft s'aperre dans la traduction ».

Non mais on va te venger, genre la prochaine citation en français d'un auteur étranger.

Et en plus, elle est mal traduit, parce que nous sommes tous les berlinois, je suis un berlinois.

Ah ben oui, oui, oui. « Ich bin ein berliner » fut prononcé effectivement le 26 juin 1963,

il appeal 60 ans, à l'occasion des 15 ans du blocus de Berlin, c'est une célèbre phrase prononcée par John Fitzgerald,

qui n'est dit, je vous le rappelle, ça fait partie de ces phrases qui restent dans l'histoire et dans la mémoire mondiale.

Ça lui apportait tant, ça lui apportait tant de choses.

Il y avait un vieux mec qui avait fait la guerre de XIV, il a vu un allemand passer à Dalas, il lui a tiré dessus.

C'est très mal à droit, à mon avis, il a été léger sur là.

C'est vrai qu'il était dans sa voiture, il aurait utilisé une capote, vous voyez.

Il aurait vu moins de trous de balle.

Bon, bon, bon.

Mais non, mais c'est vrai, quelle idée.

Heureusement qu'on est le 26 juin.

Ça c'est un truc qu'on aurait pas pu dire avant le 26 juin.

Ah ben non.

Qu'est-ce qu'il y a comme d'autres phrases célèbres, historiques ?

Je vous ai compris.

Ah ben voilà, je vous ai compris.

Et aussi, on ne est pas femmes, on le devient.

C'est ma devise.

Vive le Québec libre.

Je vous demande de vous arrêter, c'est célèbre.

Ah oui, voilà, il y a d'autres phrases.

Du haut de ces pyramides, 40 siècles vous comptez.

Ah voilà, ça du haut de ces pyramides, 40 siècles, vous comptez.

J'y suis, j'y reste.

Qu'est-ce qu'il a dit ça ?

Qu'est-ce qu'il a dit ça, c'est Philippe Bouvard.

Ah c'est ton ami, c'est ton ami Philippe Bouvard.

Il l'a dit pendant 37 ans.

Genre, vous êtes content d'avoir une femme à votre taille, à vos côtés aujourd'hui ?

Oui, je préférais la minimatique, ça c'est sûr.

Et puis, à votre fiancée qui est là aussi.

Non mais là, je voudrais raconter, parce qu'on s'est rencontrés il n'y a pas longtemps

et encore il y a eu un clash.

Ah bon ? Elle parle beaucoup d'une étupote mouchée, c'est-à-dire.

Elle raconte un réel comme ça.

Elle mouche-toi.

Ta gueule.

Tu vois ?

On en a des rares dont on emprunte les textes en quasi-permanence.

Alors, qu'est-ce que vous vouliez dire sur Jean ?

Non, on s'est rencontrés il y a à peu près une semaine.

Il y a à peu près une semaine ?

Oui, une semaine.

Dans un bar, dans votre quartier.

Un bar ?

Alors, il s'est assis, sa femme est venue, elle m'a vu, elle a dit,

viens Jean, on s'en va.

Et elle m'a, et en fait, elle a pris ma veste.

Soit disant, par erreur, que je n'ai plus revu.

Votre femme a piqué la veste de Marcela Yacoub.

C'est entièrement faux.

J'ai les photos de l'événement.

T'as des photos de quoi ?

De l'événement.

Les photos de l'événement.

De l'événement, tu veux dire.

Il y a des gonges, ça, c'est un peu comme les pontouches.

T'es bien, non ? Mais t'es en mode de sortir avec.

Oh, mais c'est...

Non, mais quand elle m'a vu, elle a pété un câble.

Elle a dit, on s'en va, elle a pris Jean,

comme s'il était sans sac à dos.

Elle est folle, cette femme est folle.

Elle est folle, elle est dangereuse.

Non, mais je suis...

T'es demandé à Stroscan.

Tout ça parce que je suis amoureuse.

Moi, je me souviens quand même d'une émission Bernard,

ça vous dire, où il y a eu rapprochement, je vous deux.

Non, mais moi, je pense qu'il est mort pour l'amour.

Bernard ?

T'as essayé de bouge plus.

Il est mort.

Oh, j'ai bien fait de venir.

Moi, je dirais, c'est pas vrai,

il n'y a même plus que ça qui bouge.

C'est l'inverse.

Alors, évidemment, ma question

porte sur la damnation de Faust.

Vous savez évidemment le nom du compositeur.

Oui, c'est Berlioz.

Berlioz, ça, c'est parce que je vais vous poser comme question.

C'est trop facile.

Monsieur Antony Sturrasse.

Maintenant, il aurait trouvé.

C'est vrai.

C'est quand même.

Mais c'est après que ça va être en merveille.

Je vous l'accorde.

Évidemment, c'est inspiré du Faust de Goethe.

Mais...

On connaît son prénom même à Goethe.

Qui a traduit la pièce de Goethe en 1829

pour que ça devienne...

pour que ça devienne cet œuvre musicale.

C'est pas Hugo ?

Hugo, non.

En 1829.

Oui.

Français.

Oui.

Stendale.

Stendale.

Non.

Je suis content.

Je suis content de...

C'est un poète.

Je crois qu'il l'avait composé en 1828.

La première mouture, un certain nombre d'heures.

Est-ce que c'est un poète, Laurent ?

Un poète.

Baudelaire.

Romantique.

Vinnie.

Baudelaire.

Non, non, non.

Vini, la Martin.

Malarmée.

Non.

Malarmée, c'est après.

Je vous dis, toutes les infos que j'ai sur la damnation de Faust,

je ne voudrais pas que cette question soit contestée

par Mme Bachelot, qui a l'air d'avoir des doutes,

œuvre musicale pour soliste, coeur et orchestre,

du compositeur français, Hector Berlioz,

inspiré de Faust, du Juan Wolfgang von Goethe...

Monterlon.

Et portant comme sous-titré,

légende dramatique en quatre parties,

créé au théâtre national de l'opéra comique à Paris...

À 1848.

Le 6 décembre 1846.

À 46.

46.

Est-ce qu'il a composé un certain nombre d'heures

à partir de 28, puis ensuite il...

Je ne sais pas.

Je ne sais pas.

Je ne sais pas.

On n'est pas au conseil des ministres, là.

Ça va, hein?

Ouais, on ne truque pas les chiffres, ici.

Alors attends.

Le Livret est une libre adaptation,

signé Berlioz lui-même,

à partir de la pièce de Goethe,

telle qu'elle avait été traduit au départ,

par figure majeure du romantisme.

Il écrit en pros ou en vers?

Ce n'est pas Hérédia.

Ce n'est pas Hérédia.

Ce n'est pas Jules Verne.

Ce n'est pas Jules Verne.

Il écrit plus tant vers ou en pros?

Vers et pros.

Merde, on les a tous fait.

Verne?

Verne.

Non, non, non.

Mais non, il était tous...

Rambo?

Non, non, non.

Rambo II?

Non.

Les Expendables?

Non.

C'est pas une femme.

C'est pas une femme.

C'est un Français ou pas?

Ah, c'est un Français.

Il dit Dorducas.

Non, non.

Un Français né à Paris,

mort à Paris.

Quelle rue?

Ah, il y a des rues, il y a tout ce que vous avez.

Il y a beaucoup de rues.

Il y a des lycées.

C'est pas Ugo.

Il n'y a pas de prospère.

Attendez.

Est-ce qu'il y a une avenue autour de l'étoile?

Oh, écoute.

En Rivabuche.

Oui, c'est ça, c'est...

Est-ce qu'il y a des autoroutes?

Assez-vous.

En Rivabuche.

C'est vrai que c'est...

En Rivabuche.

C'est Jacques Poche.

C'est inattendu, quoi.

Oh, que je suis content de piéger,

Mme Bachelot.

Ah oui, ça, alors là,

c'est surtout tant qu'on va le dire,

ça va être...

Ah ouais, on en avait dit pensé.

Est-ce qu'il part une particule?

Ah oui, il part une particule.

C'est musée, alors.

Pardon.

Nerval, je l'ai dit Nerval.

Wow!

Je l'ai dit, je l'ai dit.

Nerval, je l'ai dit.

Il avait le dit, c'est pour ça...

Je crois qu'il l'a dit, c'estivre.

Vous avez un problème, alors.

Il a un problème.

Il faut vous faire apparaître.

Je l'ai dit déjà il y a longtemps.

Mais tu l'as dit mais en réponse,

j'ai le dit, chef.

Ah non, je l'ai dit, je l'ai dit.

Non, non, non, c'est vrai.

J'ai le dit, sûr.

En Régie,

Vous l'avez entendu, y a.

Ah oui, je l'ai dit.

Le verdict de François Renouchi,

qui est en Régie

Je l'ai dit.

notre réalisateur qui fait, enfin qui fait, je pense, c'est une fête pour lui, c'est sa dernière émission à RTL aujourd'hui.

Il part en retraite.

Il était là, il était là en 80 déjà pour les premières émissions des grosses têtes, je sais pas si vous renez compte,

et c'est sa dernière aujourd'hui, et Pascal Bro me dit, si ce compte Jisbert parlait pas en même temps que tout le monde,

on aurait entendu sa réponse.

Mais il a un gros problème d'oreille qui doit être lié à son départ à la retraite.

Non, non, vous l'avez peut-être dit.

Non, je l'ai dit, je m'en fous en plus de prendre les réponses.

Il est au courant que le monde va lui offrir un baromètre.

Ah, vous pensez qu'à RTL on offre un baromètre pour les départ à la retraite ?

Oui, c'est un beau cadeau pour aller à la part qui rend en retraite un gros baromètre immonde.

En tout cas, c'était bien Gérard de Nerval qui avait traduit Goethe, alors Roselyne Bachelot quand même.

Mais Roselyne a m'a entendu, vous voyez.

Voilà, on m'a essayé, on a compris que tu l'avais dit.

Ah mais la mauvaise.

En tout cas, il y a une chose à entendre, c'est que vous ne l'avez pas dit.

Mais moi, j'avoue.

Je vais vous poser une autre question culturelle un peu dans le même genre, vous aurez l'occasion de vous rattraper Roselyne Bachelot,

ça concerne Roméo et Juliette actuellement joués à la comédie française.

Je crois que ça faisait 60 ans qu'on n'avait pas joué Roméo et Juliette de Shakespeare à la comédie française.

C'est-à-dire, on le joue, c'est Eric Ruff, qui met en scène lui-même l'administrateur de la comédie française.

On le joue là encore dans la traduction Shakespeare, donc traduction signée qui, d'ailleurs ?

Hugo.

Peut-on moi savoir ?

Victor Hugo, 19ème siècle.

Victor Hugo, je suis obligé de vous répondre non.

Dante.

Non.

Le fils de Victor Hugo, le fils de Victor Hugo.

François Victor Hugo.

Bonne réponse de François Olivier Gisbert.

C'est François Victor Hugo.

Et là, Laurent a entendu.

C'est formidable.

François Victor Hugo, le quatrième des cinq enfants de Victor.

Le plus travailleur, on l'appelait Hugo Boss.

Vraiment mieux qu'on s'arrête là, alors.

J'ai une question pour Monsieur Guelyu, qui est pour Rémi Girardon, qui habite chavaneuse dans l'hiver.

La question concerne le man can piss, puisque mercredi dernier, pour célébrer le 130e anniversaire d'une personnalité,

on a déguisé le man can piss.

Mais qu'a-t-on mis sur le man can piss mercredi 12 septembre ?

Un slip, un slip.

Un slip ?

Un slip, non.

Un slip, non.

Un canotier, non.

Un canotier, pourquoi ?

C'est pas pour Maurice Chevalier.

Oui, écoutez, alors, bravo, Jean-Jacques Perrony.

Mais comment vous savez-vous ?

Il n'y a plus que les Belges qui connaissent Maurice Chevalier.

Oui, parce que c'est quand même étonnant.

C'était pour le 130e anniversaire de la naissance de Maurice Chevalier.

Ah oui, c'est un grand événement, belge.

Et pour Mringate, il lui met une plume dans le cul.

Il n'y avait rien d'autre à foutre à Bruxelles.

Le man can piss a une garde-robe pléthorique.

Mais dites-moi, le man can piss, je me suis toujours posé la question.

Est-ce qu'on a le droit de le toucher ?

Ah non, bah il est en hauteur.

Il est placé haut.

Parce que vous voulez faire quoi avec le man can piss ?

Elle met le doigt comme ça, comme ça, il y a de la pression après.

En tout cas, mon frère qui était...

Enfin, qui est bien le Mexique.

Je n'avais jamais parlé de votre frère.

Mais non, mais je l'adore, mais il habite le Mexique.

Mais il a, il est allé au père-la-chaise, justement.

Ah oui.

Il est allé en...

Ça fait loin du Mexique.

C'est lui qui passe un chemin.

Il est allé au père-la-chaise, définitivement, ou...

Il est allé découvrir le père-la-chaise.

D'accord.

Qui est un endroit merveilleux.

Vous aviez votre frère chez vous, ce week-end.

Oui.

Ah, mais vous ne dites rien.

Je m'éluis, mais...

Et les Mexicains, c'était peut-être ça, les bruits de sabots.

Ah oui.

Mais il est rigolo, je le connais.

C'est l'en bas, il s'appelle Pierre.

Il va au père-la-chaise, Pierre Dombal.

Non mais...

On l'est là.

On l'avait jamais.

On s'aime la mère.

On doit préciser tout d'un, mais je le connais, je l'ai déjà vu.

Ils sont amusants de tout dire, parce que lui, Pierre,

Dombal, il est tout petit, il est très gros.

Bon, en tout cas, je peux vous dire...

de ce qu'il a, mais bonjour.

Vous ne pouvez pas nous faire des trucs comme ça.

Ça n'est même pas vous aviez un frère à l'aise.

Mais oui, un frère que j'adore et qui habite le Mexique.

Et qui vient de temps en temps.

Et donc, il est allé au père-la-chaise,

et lui ne connaissait pas la fameuse...

Je la suis dans les inés, la fameuse tombe

que l'on vient carrer.

C'est du baron noir.

Victor.

Oui, Victor.

Oui, mais on l'appelle baron.

Et le sexe est fatigué.

Voilà, mais c'est assez extraordinaire.

Et alors, parmi les tombes fleuries,

ça l'allait.

Qu'est-ce qu'il fait dans la vie, votre frère, alors ?

Mon frère, il a hérité.

Oui.

Ah, lui aussi ?

Oui.

Il a hérité d'usines de velours

en Amérique.

C'est pour ça que tu es une voix de velours.

Ah, c'est gentil de dire ça.

Mais c'est vrai que je me suis roulé dans le velour.

Ben oui, j'allais dans les usines.

Heureusement que ce n'est pas une usine de...

Et c'est votre frère aîné ou votre frère cadouille ?

Mon frère aîné.

Et donc, je me suis roulé dans le velour.

Le velour.

Voilà.

Et c'était, chaque machine faisait 27 km de velours par jour.

Et c'était, bon, des grandes usines.

C'est sûr que c'est un pantalon de Bernard.

C'est sûr qu'il n'a pas hérité de Saint-Maclou

et que c'était de la moquette, non ?

Ma famille, c'est les grands soyeux de Lyon.

Ah !

Donc, voilà.

Et donc, c'est du velour de soi,

les très belles études, etc.

Et puis tout à coup, qu'est-ce qui s'est passé ?

Le drame.

Ça a périclité en France,

parce qu'il faut arriver

toutes les choses synthétiques d'Asie.

Et donc, mon père, lui, a fait des usines en Amérique.

Non, mais écoutez, c'est un fleuron français

qui s'est écorté en Amérique.

C'est formidable.

Les velours de chair.

Je crois qu'il y a des folles.

Je crois qu'on l'a vu.

On l'a vu.

On l'a vu.

On l'a vu.

J'en manque.

Maintenant, on a une folle profonde.

C'est mignon.

Et alors ?

Vous avez fait quoi après ?

Vous avez commencé l'aéronautique tout de suite ?

Non, mais mon frère, non, mais est-ce que je peux dire ça ?

Mais l'usine canadienne a inventé

une étoffe faite à partir de toile d'araignée.

Ah oui ?

C'est super pour attraper les mouches, ça.

Et alors, ça sert à l'armée américaine ?

Non, mais c'est formidable.

Parce que c'est anti...

Comment ce qu'on dit, anti-feu ?

Anti-feu.

Inifigez.

La guerre en Libye, déclenché par votre mari.

Il y a quelques années,

c'était donc pour placer le velours

de l'armée américaine.

Vous avez l'air froid, Pierre Benichou,

parce que je vous vois garder votre doudoune

pendant les missions.

On s'est pour se donner un style.

Non.

Parce qu'elle est neve.

Ça, je sais ce que c'est.

C'est un truc de gros feignant.

Il a la flemme d'enlever sa veste.

Il va devoir la remettre après, pour repartir.

Parce qu'il fait son alcabache.

Il se déshabille, il se déshabille.

En fait, c'est une doudoune de reporter.

Il y a des poches.

Avec plein de poches.

Donc, c'est la première fois que vous seriez reporter

de guerre, Pierre.

Non, mais c'est des poches

pour planquer ces cartes de visite

et ces cartons.

Je fais de la guerre, moi.

Ah bon ? Deux fiers.

Oui.

J'ai fait plusieurs guerres.

J'ai fait la guerre d'Algerie.

J'ai fait...

Dernier moment de la guerre d'Indochine.

J'ai fait la guerre de Kipour.

J'ai fait la guerre des six jours.

J'ai fait...

Mais t'étais à Paris, à chaque fois ?

Il allait faire toutes les guerres.

Enfin, si c'est le cas.

Et l'amour aussi.

Pour Céline Oran, qui habite Saint-Laude

dans la manche, qui a dit

quand un philosophe vous répond,

on finit par oublier

ce qu'on lui avait demandé.

Un humoriste.

Un humoriste, non.

Un journaliste.

Un journaliste, non.

Un écrivain.

Un écrivain, oui, Chantin.

Vivant, vivant.

Je connais la citation.

Vivant, non.

Un philosophe.

Un philosophe, non.

On peut pas dire ça.

Non.

Non, un grand écrivain.

Il est mort en 1951,

et il avait déjà, à ce moment-là,

autant vous dire 81, non ?

Ah oui.

André Gide.

André Gide.

Bonne réponse de Pierre Ménichoux.

Beaucoup plus difficile

la citation suivante.

Merci.

Parce que...

Ça fait toujours plaisir.

Parce qu'autant vous dire,

je crois qu'on n'a jamais cité

la personne à qui on doit cette phrase

que je vais vous donner maintenant

et ça fait quand même une chance

pour Caroline Broussoud

de toucher 300 euros.

Qui a dit

« Le secret de la longévité d'un couple

une fois par semaine,

dîner au Chandel,

musique douce, etc.

Elle, le mardi,

vous le vendredi.

C'est une niçà.

Thierry Ardisson.

Thierry Ardisson.

Est-ce que ça a été prononcé en français ?

Ça a été prononcé en français.

Est-ce que c'est une...

Est-ce que c'est une femme ?

Une femme, non.

Des proches ?

Alors je vous rappelle

que c'est quelqu'un

qui n'a jamais été cité au Grosse Tête.

Voilà pourquoi, évidemment,

Chantal Latsou me dit

des proches.

Exactement.

Vous êtes partidaires de la France.

Mais c'est quand même quelqu'un

de très connu.

Très connu,

je n'irai pas jusqu'à...

Est-ce que c'est un humoriste ?

Humoriste.

Il avait beaucoup d'humour.

Il lui montrait, évidemment,

à travers son art

que c'était quelqu'un de très drôle.

En auteur de théâtre ?

C'est pas Victor Hugo, déjà.

Ce n'est pas Victor Hugo.

Un auteur de théâtre ?

Auteur de théâtre, non.

Il est monté sur scène ?

Monté sur scène, non.

Il est mort il y a longtemps ?

Oui, il est mort dans les années 2000-2003.

Vous avez dit...

C'est pas ça, Chantal ?

Il peignait.

Il peignait ?

Oui, Chantal.

Salvador Dali ?

Salvador Dali, non.

Est-ce qu'on voyait la télévision

de temps en temps ?

Non.

Je ne connais même pas son visage.

Je ne peux pas vous dire.

On va connaître son nom.

Il est mort il y a très longtemps ?

C'est un français ?

C'est un français.

Il est mort, je vous ai dit,

en 2003.

J'écoutais pas, je crois.

Il avait 67 ans.

Bakon, Maurice.

Il était dessinateur,

patre sur réaliste un peu.

Miro.

Et auteur d'aforisme.

Est-ce qu'il dessinait parfois

dans la presse ?

Oui, il a travaillé.

Il devrait aider Christiano Krenth,

puisqu'il a travaillé pour l'express.

Il souffrait de la colonne vertébrale,

ce qu'il a empêché de continuer à peindre.

Il est mort d'un cancer du poumon

ayant refusé de se faire soigner.

Eh ben ?

Oui.

Pourquoi vous dites ?

Oui.

Parce qu'il a dit radio à faire demain.

Il a dit quoi ?

Il n'aime pas ces blagues.

Il n'aime pas ces dégâts.

Je sais.

Il n'aime pas.

J'étais rond.

J'étais rond.

Non.

C'est un nom, tout simplement.

Je peux vous donner son vrai nom,

peut-être que ça peut vous aider.

Oui, oui, oui.

Parce qu'il avait un pseudonyme

pour dessiner et padre.

Il s'appelait Philippe Labarte.

Est-ce que ça ressemble un petit peu ?

Ça rappelle un peu.

Il y a quelque chose, oui.

Il n'y a plus une sile lame

ou plusieurs siles lame ?

Écoutez, on va peut-être pas aller jusque là.

On va peut-être être obligé.

Est-ce qu'on va dire ?

Est-ce qu'on va dire ?

Oui, bien sûr.

Non, pas vous.

Il n'est engagé politiquement.

Comment ça a été ?

Vous connaissez ses opinions politiques ?

Ça va vous aider.

Ça, c'est pour la vie des mystères.

C'est l'histoire de poser des questions.

Il s'appelait.

Il était grand.

Il était juste comme ça.

C'est bien de temps en temps

de distribuer de l'argent.

Oui, c'est vrai.

De la part de RTL.

Un peu de générosité.

300 euros pour Mme Broussou.

Ça commence par Barthes.

Vergès dans le gare.

Non, non.

Labarte, c'est son nom de famille.

Philippe, c'était son prénom.

Phil, Phil, Phil.

Phil, Phil, où ça ?

Oui.

C'est proche de Barthes, son pseudo.

Son pseudonyme n'a aucun rapport

avec son nom de famille.

Avec son prénom, peut-être.

Exact, Chantal.

Philly, Philly.

Philly.

Philly.

C'est pas Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

Philly.

J'aime mon «cı».

Dirleriger, classroom.

Il le met bien après, manifestement

Il est mort en 2003, alors.

Là c'est nul si tugrowves.

Il est mort, là.

Fr Histis.

Fr.

Céline Le Grand.

Il est yaixu.

Journaliste de guerre ?

Philly Steins.

Philly Steins, non.

Philores.

Celui qui avait déclaré

«le secret de la longévité de notre couple."

Une fois par semaine,

diner aux chandelles,

musique douce.

Elle, le mardi, moi, le vendredi, c'est un peintre français écrivant un peu aussi.

– Il s'appelle comment, alors ? – Desinateurs qui s'appellent, qui s'appelaient

ILIP, Y, L, I, P, E, M, bravo.

– Je pense que tout le public est d'accord, vous le connaissiez, vous le connaissez, oui, bien sûr.

– Un peintre ? – On n'aurait pu trouver.

– Quand on a été grand journaliste comme Pierre Benichaud et Christine O'Crent,

on doit connaître les dessinateurs de presse, mais bien sûr, on n'a que ça à foutre.

– Écoutez, c'est 300 euros pour Mme Bruce, c'est déjà ça.

– C'est ça, c'est ça.

– A une question pour François Délia, Kébitriès dans les Alpes de Haute-Provence,

question qui concerne une femme qui nous a quitté il y a 60 ans pile, et oui, c'était…

– Ah, Claire Chazal. – Non.

– Mais arrête. – Elle nous manque, hein.

– Mais non, elle est la Claire Chazal, elle anime, j'allais dire, une émission, oui, une émission.

– C'est plus trop à valeur, mais… – J'ai oublié le titre de l'émission.

– Oui, il n'est pas de… – « Passage des arts ».

– « Passage des arts ». – « Passage des arts ».

– Le passage, oui, le fameux passage. – Le bazar.

– Moi, je vous parle de quelqu'un qui a disparu il y a 60 ans pile.

– Alors est-ce que ce serait par hasard Simone de Beauvoix ?

– Ah non, non, non. Il y a 60 ans pile le 7 novembre, donc 1972.

– Ah, ça crée Christine Bravo. – Non.

– Elle nous manque, elle aussi. – Le 7 novembre 1962 disparaissait 17 ans après

son célèbre mari, celle qui a été victime dans un premier temps d'un accident de voiture.

Elle a eu un accident de voiture en 1960.

– J'entends le bel. – Non, elle a été ortée par une voiture.

– Ah mince. – Et puis finalement…

– Elle est morte deux ans après ? – Oui, oui, parce qu'elle avait…

Ça a réactivé un cas d'ormand de tuberculose dans sa moelle osseuse.

– Ah, voilà. – Récurie.

– Non, non, non, non. On lui avait diagnostiqué après l'accident une anémie à plastique.

– Frida Kahlo, Camille Troplon va mourir. – Non, c'est pas Frida Kahlo.

Elle a 78 ans quand elle meurt, donc…

– Ah, mais Marie Curie est née un 7 novembre. – Oui, oui, oui.

– Alors, c'est pas du tout ma question.

– Paul Elgar a sort de son corps. – Mais gentil, la dame sur la gauche,

mais on ne pourra rien, ce qu'on fait. – Moi, je vous demande…

– Non, mais c'est qui, c'est qui ? Il y a 60 ans pile une française ?

– Pas une française. – Est-ce que c'était une artiste ?

– Une américaine. – Une artiste.

– Actrice. – Actrice, non, artiste, non.

– C'était la femme d'une star. – La femme d'une star.

– Madame Politique. – Madame Politique.

– Madame Eisenhower. – Pas Eisenhower.

– C'est pas Eisenhower. Mais ça, on tente.

– Madame Truman ? – Non, non, mais c'est effectivement la force…

– La force Lady. – La force Lady la plus connue au monde.

– Madame Lincoln ? – Non.

– Madame Roosevelt. – Comment elle s'appelait Madame Roosevelt ?

– Madame Franklin Roosevelt. – Ah, ah, ah, ah.

– Marie-Dôme, Marie-Dôme, Monique.

– Josiane Roosevelt. – Non, elle s'appelle Rose, Rose, non.

– Rose Roosevelt ? – Rose, Roosevelt.

– Rose, Rose, Rose, Rose, Roseline. – Roseline.

– L'extra-terrestre de Roosevelt aussi tant que vous y êtes.

– Roseline. – Jacqueline Roosevelt.

– Bon, je vais vous l'accorder.

– De toute façon, c'est bien la veuve Roosevelt,

qui est morti à pile 60 ans. C'était Eleonore Roosevelt.

– Ah, oui. – Eleonore Roosevelt,

qui était la nièce d'un autre président.

Elle a épousé un président. – Oui, c'était la nièce de qui ?

– Elle était la nièce de Theodore Roosevelt. – D'accord.

– Et elle, elle a épousé, effectivement, Franklin,

d'Elanore Roosevelt. – Mais c'était pas les mêmes Roosevelt ?

– Ah non, il y a eu deux Roosevelt. – Oui, mais c'était pas la même famille,

parce que sinon, ils ont tous couché dans la même famille, alors.

– Ça fait un petit peu qu'on s'en gagne. – C'est ce qu'on te dit,

c'est l'Estatue, c'est pas le pas de quel est.

– C'est un grand pays. – Eh ben justement, on te précise.

– Est-ce que c'était la même famille ? – Non, c'est les homonymes.

– Ah ouais, c'est peut-être des homonymes. – Il n'y a plus d'un Roosevelt aux États-Unis.

– Oui, ben oui. – C'est comme Junior en France,

il y en a des millions. – Non, il n'y a pas beaucoup de Junior à Gérard.

– Ça vous est déjà arrivé qu'on vous prenne pour un autre Junior ?

– Il y avait un Gérard Junior, oui, qui était professeur de droit, avocat.

– Ah oui, oui, quand même, ouais. – À 3, oui.

– Moi, je l'ai connu en prison, moi. – Je lui posais des problèmes.

– Et vous, M. Beaugrand, il y a des Christophe Beaugrand célèbres ?

– Enfin, j'imagine, mais moi, j'en connais pas, perso.

– Des Christophe Beaugrand, c'est à l'Ontfarmation.

– Non, il y a Cassandre Beaugrand, qui est une athlète. – À Cassandre, oui.

– Ah oui, il crise très fort, paraît-il, elle gagne en ce moment.

– Mais tiens, il n'y a pas une Beaugrand qui va devenir plus célèbre comme moi.

– Il y a des noms qui sonnent comme nature qu'ils sauvent Beaugrand,

si c'est un prof de science-nat ou un pharmacien, bien sûr.

– Et vous, M. Jansen, il y a des... – Oh, des Jansen, il y a des...

– Ah oui, Jansen, oui. – Il est toujours précisieux.

Il y a le Jansenisme, c'est un mouvement...

Mais c'est vrai, il y a les lampes Jansen,

il y a les vaccins... – Les vaccins, les vaccins.

– Il y a les lampes Jansen, il y a les vaccins Jansen.

– Ah oui, les Jansen.

– C'est pas celui qui marche bien, c'est vrai.

On a l'origine de beaucoup de choses, vous savez, des Jansen.

– Je l'ose.

– Et des Toënes, il y en a, vous croyez? – Est-ce qu'il y a d'autres Sébastien Toënes?

– Alors, il n'y en a qu'un, il a sorti un livre exceptionnel.

– Des Michel Bernier, il y en a. – Alors là, il y en a des...

– Ah oui? Ah oui? – Des Michel Bernier, il y en a plein.

– Mais il n'y a qu'une à Riel Dombal, n'est-ce pas?

– Ah, ça, oui.

– Voilà, non, mais tout à l'heure, je pensais...

Enfin, ça va...

It will sound terrible,

mais Eleanor Roosevelt était une amie de ma grand-mère.

Et elle a été très active pour fonder la France libre en Amérique,

avec mon grand-père.

Non, mais voilà, je dis ça en passant, mais c'est important.

– Oui.

– Bon, c'est pas pétir.

– Et ça, c'était dans le connecté, qu'est-ce qu'il y a?

– C'est surtout quand on est nés dans le connecté.

– C'est bien de vous en remplir 60 ans après, vous voyez.

– Et Laurent Rétier, il y en a plusieurs?

– Non, il n'y a qu'un Laurent Rétier.

– Et si vous voulez, je vous dis ce qu'il fait...

– Et il fait quoi?

– Il vous emmerde.

Vous savez qu'on ne nous prie rien qu'il faut faire très attention

à ne pas confondre les marrons et les châtais.

– Ah oui!

– Absolument.

– Alors, c'est une question de poils.

J'ai appris ça ce matin.

C'est des poils...

– C'est le bol...

La bog ou le bog, je sais pas...

– Attends, lui, donne pas la réponse, ça se trouve.

T'as la bonne réponse.

– J'ai la bonne, j'ai la bonne.

– Non, non, parce que j'ai pas encore donné la question.

– Ah bon?

– Effectivement, les marrons sont toxiques.

Alors qu'on peut manger les châtaignes,

faites attention, les marrons en revanche,

eux, sont toxiques, on ne doit pas les ingérer,

sont des marrons d'indes et on confond,

parfois, effectivement, les marrons et les châtaignes,

les fruits du marronnier avec les fruits du châtaignier.

– Oui, mais...

– Mais dans le parisien, Émilie Torgemen nous explique

que si on s'aperçoit qu'on n'a pas des châtaignes mais des marrons,

on peut quand même utiliser les marrons pour toutes autres choses.

Quoi donc?

– Pour faire de la crème de marrons.

– Oui.

– Alors non, ce sera de la crème de châtaignes.

– Voilà, c'est pour soigner les émeroïdes.

– Non, pas du tout.

– Je me demande...

– Vous avez raison.

– Puisque...

– Le marron d'indes est très beau contre les émeroïdes.

Je sais, j'ai un ami qui en a eu.

– Alors peut-être qu'on en fait de la poudre.

– Oui, on peut en faire de la poudre.

– Oui, on en fait de la poudre et peut-être qu'on s'en sert dans le méopatie.

– Non, non.

– Mais c'était pas de la poudre.

– On s'en sert dans le maquillage.

– Dans le maquillage, non.

– Pour les animaux.

– Non.

– Pour l'engrais.

– Mais on le met en poudre.

– Pour la peau.

– Pour la peau, non.

– Pour les cheveux.

– Pour les cheveux, non plus.

– Est-ce que c'est pour les crhumains qu'on l'utilise?

– Ah oui, pour le foot sur la gueule,

– Tu veux un bon marron?

– Ou une châtanio, si vous partez de là, alors.

– Est-ce qu'on l'utilise pour les êtres humains ou pour les animaux?

– Non, les animaux n'utilisent pas du tout les marrons pour ça, non.

– Est-ce que c'est pour se soigner quelque chose de la poudre à récurer?

– Récurer, c'est le mot.

– Alors, assirer.

– Non.

– Une espèce de pain.

– Vous devriez trouver, vous d'ailleurs.

– Je devrais trouver.

– Mais oui.

– Parce que je suis une bonne femme de ménage.

– Non, je pense que l'orange ne te voit pas.

– Je ne te vois pas comme une bonne femme de ménage.

– Ah, mais dans la fiction.

– C'est pas mal à se faire une image mentale.

– Si on te voit bien dans le petit costume de sous-brètes.

– Oui, mais c'est porno, tout de suite, c'est hérotique.

– C'est ça.

Ça devient porno, là, d'un coup.

– Non, mais donc poudre de châtaigne.

– Mais non, écoutez, Ariel, enfin, voyons.

– La poudre de Réchive.

– La poudre, il est malin, lui, au moins.

– La poudre de Réchive, bonne réponse de Jean-Jacques Perrony.

Allez, vous emmènez à Angers, on est en 1849.

– Ah non, non, non.

– C'existe en 1849.

– On est en 2021, là.

– C'est une question pour David Munch,

qui habite pleumeur dans le Morbillon.

Et en 1849, rue Saint-Aubain, Angers Adolphe et son frère Édouard

vont lancer une marque encore célèbre aujourd'hui

à travers le monde.

Et cette marque porte leur nom.

Voilà, évidemment, pourquoi je n'ai donné que leur prénom

Adolphe et Édouard.

– La fonte, la fonte.

– C'est connu dans le monde entier, ça vient d'Angers.

– Exactement.

– Est-ce que ça se mange ?

– Ça ne se mange.

– Est-ce que ça se porte ?

– Ça se porte.

– Est-ce qu'ils sont frères, les deux ?

– Oui, ils étaient frères.

– Ah, c'est pas Truffaut.

– Petit bateau, petit bateau.

– Truffaut, non, ma jardinande.

– Est-ce que ce sont des vêtements ?

– C'est mécanique.

– Et donc, ça s'appelait les frères-machins.

– Ah, c'était les frères-machins.

– C'est mécanique, Laurent.

– Vous en avez chez vous, Laurent ?

– Alors, je crois, oui, que j'en ai… je recherche.

– Est-ce qu'il y en a dans la salle de bain, genre ?

Ou dans la cuisine ?

– Dans la salle de bain, non.

Dans la cuisine, oui.

– Et la marque, c'était les frères ?

– C'était les frères.

– A cuisine ou la salle à manger, bien sûr.

– La marque, c'est les frères quelque chose.

– Ah non, non.

C'est leur nom de famille.

– C'est la vaisselle.

– C'est du Ralex.

– C'est un roche de maison.

– C'est des mobles !

– C'est des mobles.

– Est-ce que ce sont des… est-ce que c'est de la vaisselle ?

– De la vaisselle, non.

– Des bouches.

– Des coque-tiers, non.

– Ça se mange.

– Ça ne se mange pas.

– Ça se passe en machine.

– Ça se boit.

– Ça se boit.

– Ça se boit.

– Ah, c'est de l'alcool, là.

– Ah, c'est du GHB.

– Non.

– Les cinzanos.

– Les cinzanos.

– C'est de l'alcool.

– Ah, c'est de l'alcool.

– Ah !

Les Quintros ! Bonne réponse !

Et si ? Et vous savez que je le sais parce qu'ils sont hyper fiers près d'Angers.

Moi j'ai mon pote Denis là, c'est le chauve là.

Alain Dora condamne tout ça. Il a un golf à bouger et à chaque fois il disait

« je vais te faire boire mon Quintro, c'est chez nous ».

Ils aiment bien. Parce qu'on connaît plus le nom de Rémi Quintro

qui est évidemment un héritier d'Edouard et Adolphe,

mais au départ c'est bien Edouard, Quintro et Adolphe Quintro qui ont fondé cette marque.

Ils ont commencé par un petit guignolet à l'alcool de cerise dont la recette avait été oublié.

Et puis fort du succès de leur guignolet, ils sont lancés dans, on va dire,

une nouvelle liqueur et c'est devenu ce fameux Quintro qu'on achète à travers le monde.

Il faut qu'elle le prie.

C'est marrant comme se prénom, c'est un peu perdu Adolphe.

On a l'impression que ça peut revenir.

Ça va revenir en main.

La vie est un éternel, recommencement.

C'est quoi votre petit cliqueur préféré, vous, Charlotte ?

C'est la Suze.

Ah, avec un XVI.

Ça s'achète encore, ça la suce.

Ça s'achète quand on est très branchés, mon petit vieux.

Ah oui ? Et vous valiez rien dans votre liqueur ?

Je ne suis pas très liqueur, mais bon, si je dois en prendre,

si on me force, je prends du limon chez l'eau.

Ah oui, très bien.

Dans tous les restaurants, pas moins ils te le proposent à la fin.

Ça, c'est vrai.

Moi, ils le proposent.

C'est sympa, déjà.

Ou le jet.

Ou le jet.

Ou la manzana.

Le répart d'un presseur que tu finis le produit.

C'est du pexitron ?

Le produit vaisselle.

Et vous alors, monsieur Borg, avec modération, votre liqueur préféré ?

Moi, je ne bois pas de liqueur, je suis trop vite bourré.

Ah oui, c'est vrai ?

Un peu de champagne, c'est tout.

Un peu de très bien.

Oui, ben, c'est pareil.

Quelques bulles.

Et vous, monsieur Gazan ?

Moi, j'avoue que je suis assez liqueur de monde, mais jet 27, c'est pas mal quand même.

Ah ouais, ouais.

Le jet 27, c'est du chewing gum, en fait.

Le jet 27, c'est bien parce que quand tu te fais arrêter par les flics,

les gens pensent que tu n'es pas ivre.

Exactement.

Est-ce que tu sens un amont ?

Parce que tu as une bonne haleine.

Mais est-ce que tu fais partie des gens qui prennent des jets coquins ?

Parce qu'à un moment là, je trouve ça dégueulasse.

Mais non, pas jet coquins.

Non, c'est jet.

Non, c'est jet.

Tu confies avec jean.

Non, jet coquins, je te dis.

Mais non.

Il y a jean tonique et jet coquins.

C'est vrai ?

C'est timelon de jet coquins.

Donc, il y a un joli bar dans votre gîte rurale.

Parce qu'elle tient un gîte.

Ce n'est pas un gîte.

On n'a pas un camping.

C'est une maison d'hôte.

C'est une maison d'hôte.

C'est une maison d'hôte.

Oh !

En fait, tu n'avais un bar dans votre maison d'hôte.

Oui, il y a un bar, mais on ne sert pas de la piquette.

Et c'est où ? C'est à Cognac ?

Non, c'est en Provence.

C'est dans Les Alpies.

Et alors, c'est vous, Charlotte, qui prépare le petit déjeuner

le matin pour l'étudiant ?

Oui, nu, en général.

Ah !

Ah oui !

Ça donne envie de bien le faire.

C'est pas un terrain où vous faire les voleurs.

Elle dit qu'elle le sert nu pour que les gens aillent salle.

Mince alors !

Au moins, les gens pensent avoir du lait.

Directement sous la mer.

Oh là là là !

Mais bien sûr.

On ne m'avait dit pas qu'il était vrai.

Et vous, Bernard, votre petit cliquet.

Ah !

Je pense que c'est ça que vous avez oublié.

Moi, c'est l'eau de vie qui va avec les cerises.

Ah oui !

C'est normal.

L'eau de vie avant, l'eau de là.

Oh !

Oh !

Oh !

Oh !

Oh !

Il n'a pas vu ces pensées.

Une question pour Romain Guillaume, qui habite nantia,

c'est en Dordogne.

On nous donne la liste des arrondissements

où il y en a le plus dans le Figaro aujourd'hui.

C'est dans le XIXe, dans le XVIIIe, dans le XIIIe,

le XIVe et le XXe.

Mais de quoi, c'est Bernard ?

Bernard.

Des rares.

Des rares.

Bonne réponse !

Il y a le IVe aussi.

De Bernard Maby.

Est-ce que moi, il y en a plein,

mais plein, plein, plein.

Tu habites où, toi ?

Dans le Marais.

Dans le Marais.

Dans le Marais.

Bah, avec toutes les tapettes qu'il y a,

ils ont des rares.

Ah ben, c'est dire.

Oh, arrête.

Tu parles des tapettes,

elles ont un ras,

elles ont peur.

Moi, je trouve ça mignon.

On a même un qui est passé sur moi.

Oh, c'est mignon, oh, c'est mignon.

Une petite souris.

Tu te rends compte ?

Et au jardin du Trocadéro,

il y en a qui sont énormes.

Mais non, mais c'est ça.

Dans le bois de Vincennes, énorme.

Il est rentré, il y avait des morpions de 500 grammes.

Oh !

Mais non, c'était des crabes.

Mais qui chasse les rares ?

Les chats.

Bah oui.

Non, pas les chats, non.

Pas forcément.

C'est trop gros.

C'est trop gros.

C'est trop gros.

Un vrai chat bien entraîné,

c'est bien sûr.

En tout cas, sachez-le,

ce sont les arrondissements du XIXe,

du XVIIIe, du XIIIe,

du XIIIe, du XIVe et du XXe,

qui sont les plus touchés.

Les plus pauvres.

Alors, vous croyez que c'est ça ?

Le XIVe, le XIVe,

c'est pas pauvre.

Pourquoi les rares vont pas

dans le XVIe, par exemple ?

Mais si, on n'a aussi...

Si on n'a pas le code.

Ils sont de mauvaises humeurs,

des fois, tu tombes sur des ranianiens,

alors là, ils sont...

Indisposés.

Vous connaissez bien la vie des surmulaux,

car on les appelle aussi les surmulaux.

Monsieur Bafi.

C'est vrai que c'est un problème,

on n'arrive pas à les éradiquer,

et c'est un animal très intelligent,

et il comprend les pièges.

S'il voit un congénère

prendre un poison et mourir,

lui, il n'ira pas manger

dans le même piège,

donc c'est un problème un peu insoluble.

Et en même temps, on en a besoin,

parce que s'il n'y avait pas de rares à Paris,

les aigus seraient bouchés en permanence.

Sauf qu'ils résistent au raticide.

Voilà ce que nous dit le Figaro aujourd'hui.

A tout ! A tout !

Vous avez des rares chez vous, Isabelle ?

Non, pas absolument pas.

Par contre, sur la marne,

là où il s'habite, enfin,

c'est à côté, quoi,

il y a des ragondins.

Ah, c'est mignon !

Mais arrêtez, c'est mignon !

Oh, mais vous êtes chiant !

Vous voulez une planète sans animaux,

vous, sans moustiques,

sans rats,

sans chien,

sans chat,

sans éléphants pour bénie,

sous million,

ni vache,

ni sauvie,

ni sauvie.

Mais non, mais t'es trop !

Non, mais c'est une espèce inclusive

qui vient des années 50,

et c'est vrai que ça fait des ravages

sur les berges,

mais c'est pas une contre-pétrie,

c'est vide.

C'est détruit les berges.

Et puis franchement,

c'est un peu...

C'est un peu dégueulasse à voir, c'est énorme.

C'est mignon quand même.

Du pâté de ragondins, c'est magnifique.

Oh, c'est mignon, c'est mignon.

Arrêtez avec ces mignons,

les gros rats,

avec leurs grosses queues,

et tout, voilà,

non, c'est horrible !

C'est plus qu'un rat,

c'est plus que la loutre.

C'est pas la loutre,

c'est l'héocascin.

Mais alors,

vous m'avez pas laissé dire que,

quand même, c'est le chat,

ce sont les chats qui peuvent

éradiquer les rats.

Bien sûr,

sauf quand le rat,

c'est un petit village dans le Gers,

ce qui s'appelle la Romieux,

je crois,

où il y avait une histoire très belle,

c'est qu'à un moment,

il y a eu une famine,

et puis,

donc les gens ont mangé les chats.

Ah oui ?

Et il y a une petite fille

qui s'appelait peut-être Angélique,

et qui a protégé ces deux chats.

Alors, on le a reproché,

et elle les a cachés,

donc on n'a pas pu les manger.

Mais après,

quand la prospérité est revenue,

ça n'a pas duré longtemps,

parce que les rats

bouffaient toutes les récoltes.

Et on a été contents

que les chats d'Angélique

soient là,

c'est une série là-dessus.

Ils ont un.

Angélique et le rat.

Oui, oui, oui.

Non, non, mais voilà.

Donc,

évidemment, je ne parle pas

de ta raison Bernard,

du petit chat d'appartement

qui n'a jamais mis les dors.

Mais le petit chat d'appartement

est un prédateur

très, très dangereux.

Il contribue à l'extermination

des oiseaux.

Moi, je recommande

à tous les personnes

qui ont un chat domestique

de leur mettre une clochette

afin d'avertir les oiseaux,

qui disparaissent

par milliers

chaque année.

Et les vaches

pour les oiseaux aussi,

les cloches.

Encore un trillion, Bernard.

Vous voyez, Philippe,

maintenant,

dès qu'on parle plus de rock'n'roll,

c'est chiant, finalement.

Non, pas trop.

C'est sympa,

ce petit cours improvisé

sur les rats.

Bien, oui, c'est cool.

Il n'y a pas un groupe

qui s'appelait The Rats.

Non, non.

Il ne connaît pas.

Il ne connaît rien.

Non, il n'y avait rien.

Visuellement,

il n'y avait rien sur Le Rats.

Il n'y avait pas un groupe

qui s'appelait The Rats.

Il a été bouffé

par les chats sauvages.

Une question pour Norbert Barbou,

qui habite Arbois

dans le Jura.

Babou d'Arbois.

Monsieur Babou d'Arbois.

Oui, Barbou,

Barbou d'Arbois.

Ah, Barbou d'Arbois.

Norbert,

Norbert espère.

Ah, Norbert.

Norbert,

Barbou d'Arbois.

Il espère à Chacquertel,

Norbert,

Bébert,

on l'appelle Bébert.

Bébert, Barbou d'Arbois.

Oui, d'abord,

Arbois,

je connais Bébert.

La nouvelle de Stevie.

Il a avec Jojo et Michoud !

À l'anniversaire de Mik !

Mais là,

Stevie va être intéressé

par la question que l'on a venue.

Alors,

puis à 1865.

En 1865,

à Versailles.

Je suis beau,

il a plus de troupe lui.

Il a jamais met des plans.

Là,

il y a Bernard qui est en train

de regarder Stevie

en se carrer sans l'ajout

en disant

« Qu'est-ce qu'il est beau ?

Qu'est-ce qu'il se passe ?

Bernard ?

Il n'a pas de camion !

Ah ouais, mais j'ai un gros moteur.

Allez, c'est parti.

Je suis à la culture moi.

Alors en 1865.

A Versailles.

A Versailles en 1865.

Oui, à Versailles en 1865.

L'académicien.

Édouard de la boulette.

Oui, de la boulette.

Édouard de la boulette.

Il mette-elle Édouard dans son nez.

Il y a Stevie Boulay, il y a Édouard de la boulette.

Oui, Édouard de la boulette.

Invite quelques amis à dîner.

Mon Dieu, que des garçons.

Oh, c'est très bien amusé.

Et le frère Roi.

C'était très joyeux.

Et à Versailles.

Non, écoute.

On a fini en faisant une petite queue, le le.

Dans les jardins, la Française.

Quelle idée incroyable va naître au cours de ce dîner

organisé par Édouard de la boulette en 1865 ?

Oui, il va donner l'idée de la loterie à Napoléon.

Pas du tout.

L'idée n'est pas qu'en non plus.

La création du mâque d'eau.

Non plus.

L'électricité.

Les impôts.

La légion d'honneur ?

Non.

Est-ce que c'est quelque chose qu'on fait toujours aujourd'hui ?

L'idée qu'il a eu, c'est quelque chose qu'on utilise encore.

Qu'on utilise, le mône n'est pas.

Exact.

Qu'on apprend.

Mais qui existe toujours.

Et qu'on apprend ou pas ?

Est-ce que c'est un lieu qu'on a construit ?

On peut considérer que c'est un lieu.

Est-ce que c'est un rapport avec l'obélisque de Luxor ?

Non, mais on commence à se rapprocher.

Et bien alors, on se rapproche bien ?

On se rapprochera pas.

Ah, le romp point.

Il lui donne l'idée de faire un romp point.

À la place d'un croisement.

C'est sur la place de la comporte ?

Ah non, c'est pas la place de la comporte.

Mais c'est pas loin.

Ah non, c'est le musée du Louvre.

Oui, oui, oui, oui, oui.

Ça y est.

Vous savez que...

Là, on est bien là.

Ça y est.

C'est la grande perspective.

Là, quand tu fais la catalette, oui, oui, oui, oui.

Voilà, la grande perspective.

C'est la grande perspective.

Là, l'obélisque de Luxor,

il y a une perspective.

La grande olége.

Jusqu'à l'arche de la défense,

mais c'est un peu tôt pour l'arche de la défense.

Bravo.

C'est une grosse danse, là.

Alors, est-ce que c'est une idée ?

C'est dans Paris.

On est bien d'accord.

Ah non, je n'ai jamais dit ça.

Le dîner est à Versailles.

Et ce jour-là...

C'est à Versailles.

L'académicien Édouard de la Boulée a une idée.

Une idée qu'il...

Alors, c'est un événement.

Ah, ça va être un événement.

Il faut savoir quand même que M. de la Boulée,

non seulement académicien français,

mais il a été député,

sénateur de la IIIe République.

Et c'est lui qui insuffle cette idée.

Mais quelle idée ?

Alors, est-ce que ça...

La comédie française.

Non.

Et si vous aviez le nom de l'autre personne

qui se trouve restiner ?

Ah, c'est le Baron Esmane.

Non, pas le Baron Esmane.

Le préfet poubelle.

Non, pas le préfet poubelle.

Les magasins du printemps.

Oh.

Alors, c'est un architecte.

C'est architecte.

Faut quoi ?

Tati, tant que vous disiez tout.

C'est un...

Ça concerne bien quelqu'un qui a inventé Tati.

Ah ben oui, Tati Tato.

C'est Tati Tato.

C'est Tati Tato.

C'est Tati Tato.

Oh.

C'est le nouvel public de Tati.

Est-ce que c'est un roman-stier ?

Je crois que je soule Roselyne.

Oui, oui.

En trop, en trop.

Et il en répond pas mes questions, Laurent.

Et si Roselyne, chère Roselyne, je n'ai doué que pour vous

et je peux vous dire que ce n'est pas un financier.

Je dis un roman-stier.

Un roman-stier.

Elle pense qu'à la bouffe.

Jean, je l'écoute que vous.

Il ne vous écoute pas aujourd'hui.

La masturbation en four.

Moi, c'est pas l'étoilette publique.

Et ce n'est pas un roman-stier non plus.

Ici, c'est le grand studio RTL.

Non, mais c'est...

Laurent, est-ce que ce qu'il a...

Ce qu'il a créé, est-ce qu'il n'y a qu'un seul lieu ?

Il y en a dans toute la France.

Il y en a partout ?

Ah, non.

Attention, il y a des répliques.

Mais, on va dire, il y en a ailleurs.

C'est aussi bien.

Oui, bien sûr.

C'est lui qui a donné l'idée d'envoyer la Statue de la Liberté

et de l'offrir aux Américains.

Mieux que de l'envoyer.

Et de la fabriquer.

Bonne réponse de Caroline Diamant.

Bravo.

Bravo de Caro.

Et à qui, au dîner ?

Et à qui, au dîner ?

Eiffel.

Eiffel.

Jean Eiffel.

Eiffel Bartoldi.

Moi, après l'assassinat du président américain, Bram Lincoln.

Et en fait, il avait un problème, c'est qu'il ne savait pas comment faire tenir.

Et c'est qu'après, qu'Eiffel est arrivé dans le projet, je crois.

Oui, ça, c'est après.

Laissez-moi vous terminer.

Dîner, on n'est pas au dessert.

Alors, ils sont là, Lincoln.

Il est Bartoldi.

Il discute.

Lincoln ?

Pardon.

Il s'est fait assassiner.

Qu'est-ce qui se passe ?

La boulette.

Justement, ils disent, oh là là, il y a Lincoln qui s'est fait assassiner.

On écoute.

Et la boulette, elle dit, il faut envoyer une Statue de la Liberté.

Oui, parce qu'évidemment, ils sont partisans de l'abolition de l'esclavage.

Ils proposent, ils suggèrent que la France, vous voyez, offre aux États-Unis

pour commémorer l'amitié entre les deux pays et rendre hommage au président Lincoln,

qui vient de se faire tuer, et bien d'offrir un présent, un cadeau.

Et là, Bartoldi qui avait commencé à faire des petites ébauches d'un projet.

Ah oui, il s'est dit, je vais reforguer ma statue.

Oui, au départ, c'était une statue de D.S. égyptienne

qui devait être installée sur le canal de Suez.

Et puis, il l'a transformée, et puis, il en a fait la Statue de la Liberté.

Mais ça va être fait beaucoup plus tard, ça va être installée beaucoup plus tard.

Ah bah oui, évidemment, elle est achevée en 1884.

Il a mis 30 ans.

20 ans plus tard.

Non, 1867, 1884, ça fait à peine 20 ans.

Et la Statue de la Liberté, d'abord, est évidemment exposée à Paris.

Elle reste un an en France.

Et puis, il faut savoir que les Américains ont du mal à la payer au départ.

Le gouvernement américain n'a pas voulu payer le...

Alors, excusez-moi, on a dit que...

On a censé leur offrir un truc, qu'on leur demande de payer.

Il faut payer le transport.

C'est dégueulasse.

Quand on n'a pas payé le transport à celui à qui l'on l'offre, ça dépend vraiment.

Ah non, c'est pas joli.

Oh, t'imagines, c'est super.

On n'aurait jamais dû leur donner, ça aurait été très, très bien l'entrée de l'Ils-Saint-Louis,

ou un truc comme ça.

On a eu une petite...

Oui, elle est minable, elle est petite.

Enfin, elle est belle, j'avais bien dans mon jardin, mais elle est toute petite.

Et tu crois pas que la Joconde sera jalouse ?

Oui, parce qu'il y a déjà la Joconde dans la cuisine.

C'est que vous l'avez foutu avec la statue de la liberté dans votre jardin.

Ah mais moi, j'adore tout.

Puisqu'elle sent ça, j'ai tout, j'ai la victoire de Samothras,

j'ai la liberté qui dans le poste.

C'est français, la victoire de Samothras.

Non, mais c'est ça.

Mais non, c'est sur Samothras, mais...

C'est quand même l'une des êtres majeurs du Louvre.

Ça fait partie ma conduite d'art.

Tu sais qui elle a...

C'est Napoléon qui est parti la chercher, je crois.

Il a la vraie Joconde qui parlait chez lui.

Elle a des idées, la boulette.

Une question pour monsieur Cody qui habite morge.

Qu'est-ce que le docteur John Latimer,

un neurologue américain de renom,

a acheté pour 13.000 francs en 1977 ?

Est-ce qu'il a acheté le moulage d'un sexe célèbre ?

Pas un moulage.

Le sexe célèbre ?

Le sexe célèbre ?

Le sexe célèbre ?

Il a acheté un pénis célèbre.

Le pénis de Casanova.

D'un criminel.

D'un criminel, alors ça.

De quelqu'un qui est mort depuis combien de temps ?

Ça, les historiens se partageront évidemment leur avis là-dessus.

Raspoutine ?

Raspoutine.

Non, de Napoléon.

Le pénis de Napoléon.

Bonne réponse de Paul Elkarat.

Attendez, attendez, attendez.

On sait très bien que dans un pénis, il n'y a pas d'os.

Oui.

Enfin, on le croit.

C'est la kéloce.

Alors, le pénis de Napoléon, il a été...

Vous l'avez entendu pas jouir dire ?

Oui.

Le pénis de Napoléon, il a été conservé dans quoi ?

Dans du formal ?

Au début, elle était formale, mais après.

Non, mais dis-toi.

Comment on peut acheter un pénis qui est mort ?

Attendez Laurent, déjà, c'est quel Napoléon, c'est le...

Napoléon, bon appart.

Mais là, ça ne choque personne qu'on lui ait coupé le visi, donc.

Mais non, mais moi, ça ne me choque pas.

Après la mort de Napoléon.

Oui, j'espère.

Le docteur Francesco Anto Marchi a prélevé plusieurs organes de la dépouille,

dont le pénis.

C'est dégueulasse.

Et là, a commencé une série de péripéties pour le sexe de l'empereur,

qui a fait des tas de voyages.

Et alors, il est parti à Saint-Hélène, voilà,

et puis est arrivé dans les mains de l'abbé Ange.

Il a la chance qu'il était mort, quand il était dans les mains de l'abbé, au moins.

Il s'entraînait l'abbé.

Ce n'est pas la faute de ce que je vous racontais.

Après l'abbé, il y a eu qui, après l'abbé ?

Il a fait quoi, Spénis ?

Il a ensuite confié à sa famille en corse.

La famille de l'abbé.

Oui, voilà, à ses enfants.

L'organe reproducteur est devenu une sorte de pièce perverse

de l'héritage de la famille Vignalie,

parce que c'était l'habit Ange-Paul Vignalie, le nom de l'abbé.

En 1916, le pénis du petit Napoléon,

c'est ainsi qu'on l'appelait,

a été mis en vente aux enchères,

comme une sorte de tendon momifié.

Il a été acheté par un britannique anonyme.

L'organe a été laissé longtemps à l'air libre,

donc il a fortement rétréci.

Oui, puis il avait l'offre.

Oh, l'excuse, on la connaît.

Attendez, c'est impossible à l'air libre.

Ah, si, si.

Ça veut dire qu'il n'avait pas l'air libre.

Il avait accroché au rétroviseur de la voiture.

Non, il était.

En 1924, il y a un collectionneur excentrique, un américain.

Il avait déjà acheté les tétons de Jeanne d'Orf.

Qui, de retour, a philadès le fils, a prêté le sexe de Napoléon...

Mais on prête pas ainsi.

Si ça a bon temps pas.

Si ça a bon temps pas.

Si ça a pris la bite de Napoléon,

il essaie de le font-sarme la ramener,

ça n'a aucun sens.

C'était au Museum of French Arts of New York,

et la bite de Napoléon a été exposée en vitrine

sur un petit coup de sainte-volos.

On a des photos.

Elle a fait du chemin.

Ceux qui l'ont vu, un journaliste du Time magazine,

par exemple, a décris un bout maltraité de l'acé en peau de dain.

en pote d'un, un autre a vu une anguille ridée, et encore un autre un morceau de boeuf

séché.

Il faut dire que Napoléon était moqué pour la petite taille de son sexe, il avait un

sexe d'un tout petit gabarit.

Tu vois, j'ai rémi même Napoléon.

Parce que parfois, les hommes très petits ont des sexes...

Le rapport d'Otopsie avait décrit un sexe impérial de 1,5 pouces, soit à peine 4 cm

de sexe.

Ce qui aurait expliqué un complexe d'infériorité, ce qui avait Napoléon, c'est les grandes

comptes qu'il y a après.

En tout cas, il a été revendu 100 000 $ en 1977 à cet urologue américain, on n'a

pas de nouvelles depuis.

Pas une carte postale, rien.

Avec tous ces voyages ou l'autre, le pénis de Napoléon peut revenir.

Et la question donc concerne Emma Bovary, et particulièrement sa fille, car vous le

savez, elle est évidemment déçue de sa vie monotone, c'est tout le principe et toute

l'histoire de Madame Bovary, et aussi déçue par la naissance de sa petite, puisqu'elle

aurait préféré mettre au monde un garçon Emma.

Et même elle trouve l'aide sa fille, qu'elle confie très vite à Madame Rollé dans le

roman.

Mais qu'elle prénom à la fille d'Emma Bovary.

Le mari c'est Charles.

Est-ce que c'est un nom qui est encore porté aujourd'hui ?

Un peu moins, mais ça peut revenir à la mode, d'abord c'est un prénom qu'on cherche.

Oui, bien compris.

Bien sûr, ben je suis pas débile.

Jessica ?

Jessica, non.

Nabila ? Beverly ?

Est-ce que vous souvenez au moins du nom de l'amant de Madame Bovary ? Jean-Pierre

Coff.

C'est si vieux.

Il s'appelait pas, il n'y a pas un truc, il n'y a pas.

En Oulf ? Non, c'était par Oulf.

Rodolphe Boulanger.

Rodolphe.

Rodolphe.

Est-ce que la fille s'appelle Portance ou quelque chose comme ça ?

Pas du tout.

Non, je pensais que la réponse allait fuser, que vous connaissiez tous la petite Ariane.

Ariane, non.

Bah oui, c'est sa fusée.

Pierre-là.

Parfois, il avait raison, Gérard.

Il m'arrive parfois de donner des indices de cette façon, mais là, je n'étais pas

le cas.

Est-ce que c'est un nom composé, non ?

Pas du tout.

Un prénom tout simple que tout le monde connaît.

Non, pas Marie.

Juliette.

Non, Juliette, non.

Attendez, Charles et Emma ont fait une fille qui s'est...

Il y en a eu des films autour de cette oeuvre de Faubère.

Bah oui, mais comme je me suis fait chier à lire le bouquin, j'ai pas vu les...

Je suis fait chier à lire Madame Bovary, de plus grand livre, peut-être, de plus grand

livre de tous les temps.

Oui, mais...

Et tu le dis à la radio devant, devant 10 millions, c'est vrai ?

Bah oui.

Je suis fait chier à lire Madame Bovary.

Parfois, je me suis fait chier à t'écouter, tout ça, avec des plus grands hommes de tous

les temps.

Oui, franchement, Monsieur Benichou, si c'était, comme vous le dites, le livre le plus grand

de tous les temps, vous connaitriez le nom de la petite, dans Madame Bovary.

Non, non.

Ça se termine pas, hein ?

Ah non, ça se termine pas, pas grave.

Bah écoutez, ça va faire 300 euros, on n'a pas encore donné depuis le début de cette

émission.

C'est genre Léontine...

Non, je l'ai dit Jean-Pierre, non.

Léopoldine.

Suzanne.

Suzanne.

Non, la petite Bovary.

Collette.

Elle était pas très jolie, en tout cas.

Non, non, non.

Elle voulait pas de fille, elle l'avait appelée par un nom de garçon.

Par un nom de garçon ?

C'est quand même un prénom féminin.

Est-ce que c'est un prénom qui peut être utile pour filles et garçons comme Gabriel ?

Pas du tout.

Pas du tout.

C'est un prénom ?

Ah ou alors vraiment, peut-être aux États-Unis, il y a une version...

Laurence.

Non, non, non.

Est-ce que c'est un nom en deux syllabes ?

Non, non, c'est très court.

Léa.

Ah non.

Zaz.

Non, enfin...

Non, écoutez, Zaz Bovary.

C'est un nom court.

Ah oui.

Monsieur Benichou, c'est pas à peine de nous dire que c'est soi-disant l'œuvre la plus célèbre.

Oui, la plus célèbre.

Oui, mais elle a un tout petit rôle, la petite.

Elle a un mauvais spot.

C'est vrai.

Et comme vous, elle a été coupée au montage.

Lisa.

Non, pour Lisa, non, non.

Lise.

Ah, j'étais persuadée vraiment que vous connaissiez le nom de...

Encore plus court.

Elle lise.

Non, la fille Bovary, vous voyez.

Ah, si vous connaissez une pièce de théâtre célèbre, le prénom peut vous revenir.

Antigone.

Je vous aide.

Gone.

La louette.

Chekhov.

Attendez.

Chekhov.

C'est pas prénom, Chekhov.

Non, mais une pièce de Chekhov.

Non, non, non.

De Molière?

Non, non, non.

Oui.

Cyrano.

Oui.

Oui, c'est la petite qui est avec le chat.

Le chat mort.

Qui est avec le chat?

Un yes.

Un yes.

Un yes.

Pas du tout.

J'y ai cru, j'y ai cru.

Il vous reste 30 secondes pour trouver ce prénom féminin.

Je suis désolé.

Evidemment, pour tous les fans de Flaubert qui nous écoutent sûrement.

Tous ceux qui ont lu Madame Bovary.

Qui est dans la salle?

Rika.

Qui connaît le nom de la jeune fille en question?

Levez la main.

Qui connaît?

La vagine.

Tu m'étonnes qu'ils étaient en souverve.

Elle est belle, la France.

Qui c'est qui a dit Rika?

Qui a lu Madame Bovary?

Moi, j'ai dit Rika.

Qui a lu déjà Madame Bovary?

Il y en a quand même.

Personne n'a retenu le nom de la petite alors.

Vous même vous le connaissiez, le prénom.

Tout de suite.

Ecoutez, j'aurais été à votre place.

Tout de suite, j'aurais fait un cheque de 300 euros.

Ça, c'est ta nette.

Un monsieur pionnier de cour de péage.

Non, ça va, c'est rassurant.

Lola?

Lola.

Non, non, non.

Non, mais quand même, quand j'ai revu, le prénom, c'est revenu à ma mémoire.

Quand je vais vous le dire, vous allez tous faire A.

B.A.

Bert.

Bert.

Bert.

Bert, vous avez raison.

C'est vrai qu'il y en a plus beaucoup.

C'est quoi la pièce de théâtre avec Bert?

Adieu Bert.

Adieu Bert avec Francis Blanche.

Adieu Bert avec Francis Blanche.

Ah oui, moi j'ai plutôt pensé à Bert au grand pied.

Bert, Bert quand même.

Au grand pied.

Ben oui, c'est moche Bert.

La petite Bert.

Elle était toute blanche.

Attention, parce que je sais que vous aimez bien répondre aux questions.

Vous avez deux concurrents redoutables aujourd'hui.

M.Péronique est omniscient, il faut bien le dire.

Et mademoiselle Dombal.

Qui est omnisciante.

Non, mais qui est chanceuse.

J'ai l'impression que c'est une rentrée d'école.

Et je retrouve mes jolies petits camarades.

Joli, regardez leur gueule.

Mais ça fait quoi d'être dans le clasor doulant?

Non mais elle a même dit à Péronique

qu'il avait fait des bouclettes.

C'est ça, on dirait qu'il a mis des rouleaux

où il a eu une coiffure de fillette.

Tu vas voir ce que je vais te mettre comme un rouleau, mademoiselle.

Et vous, M.Plates, à les vacances ont été bonnes?

Oh, très bonnes.

Très, très bonnes, très, très bonnes en Dordogne.

Les affaires immobilières marchent toujours très bien.

Toujours bien.

Toujours bien.

Je cherchais pas un appartement en Francis.

Non, merde.

Alors tu sors.

Si moi, je cherche un vieux garage pour un punk.

J'ai oublié ça.

Bah non, alors c'est...

Est-ce qu'on peut m'expliquer?

Attendez, attendez.

Un vieux garage pour un punk?

Oui, oui, j'ai un ami punk.

Qui est garagiste?

Non, non.

Il manifeste.

Il est jeté hors de chez lui

et cherche une espèce de quelque chose.

Mais pourquoi vous y prenez pas chez vous?

Oui, alors on va m'oublier sur ce punk.

C'est cool.

Il doit être vachement âgé si c'est un punk.

Non, non, mais il y a les punk new wave.

Il faut relire vos tablettes péroniques.

Donc Ariel, vous avez vos punk

comme certains ont leurs pauvres.

Mais pourquoi vous ne prenez pas chez vous votre punk?

Parce que c'est un ami, mais elle veut pas le loger.

Elle n'aime pas marcher sur les soins de la nuit.

Ou alors c'est Bernard Henry qui a changé de coiffure.

Et qui s'est mis des épingles à nourrice dans les narices.

Mais c'est qui ce punk?

Non, c'est un punk merveilleux chanteur

qui est mis hors de chez lui.

C'est un squat.

Oui, mais...

C'est ton ami.

Nicolas Sker.

Exactement.

Nicolas cherche un endroit pour se reloger.

Vous pouvez quand même pour un chanteur

trouver un petit appartement.

Il ne suffit pas d'être chanteur, il faut aussi vendre.

Il a un peu d'argent ou il a quelque chose.

Non, justement.

Oui, alors non.

Comment vous voulez-vous qu'il ait de l'argent?

Il a fait un disque avec Ariel.

Ça, c'était vache, à l'heure.

C'était super vache.

Elle nous avait manqué Ariel, quand même.

Il est temps de passer à une première citation

si vous voulez bien pour Vincent Charton

qui habite à Noison-Châtelon,

c'est dans l'Isère,

qui a dit j'ai dû abandonner le masochisme

même parce que j'y prenais trop de plaisir.

Jean-Yann?

Jean-Yann, non.

C'est François?

Francis Blanche.

Jacques Martin, bonne réponse

de Laurent Bassi.

Une autre citation pour Jean-Pierre Andrieu

qui habite l'Anse en vert corps, c'est dans l'Isère,

qui a dit j'ai une mémoire admirable,

j'oublie tout.

François Hollande.

Non.

C'est un français?

C'est joli quand même ça.

J'ai une mémoire admirable, j'oublie tout.

À la vie, ça y va.

Non, non, non.

Français?

Un français, oui.

Acteur?

Non, pas vivant.

Acteur?

Acteur, non, non.

Il était écrivain et auteur dramatique.

Il venait aux grosses têtes.

Non, non, non.

C'est un démissien, alors.

Un démissien français, je suis pas certain.

Roussin?

Roussin?

Roussin, non.

Pagnol?

Claudel?

Pachard?

Claudel, acharnom.

On n'est pas si loin.

Felicia Marchand.

Felicia Marchand.

Et c'était un des préférés de Philippe Bouvard.

Oui.

Alphonse Gare.

Alphonse Gare.

Alphonse Allais.

Alphonse Allais.

Non, non.

Gilles Renard.

Gilles Renard.

Gilles Renard.

Bonne réponse de Laurent Bassi.

Attendez, est-ce que je peux rajouter quelque chose?

Oui, bien sûr.

Voilà.

Une chose très belle de Nietzsche.

Non, non, non.

Attendez.

Le propos de Gilles Renard.

Le propos de Gilles Renard.

Le propos de Gilles Renard.

Oui.

Le propos de Gilles Renard.

Voici une citation de Nietzsche.

Mais voilà.

Surtout l'oubli.

L'oubli.

Oui.

Notre plus cruel et fidèle ami.

C'est pas mal aussi, vous voyez.

Pas mal.

Ça n'a rien à voir avec ce que je disais.

Mais c'est très intéressant.

Quand on a le droit de venir avec des citations comme ça, qu'on peut dire comme ça, qu'ils

n'ont rien à voir.

Non, vous venez avec vos petites annonces.

J'ai une dernière citation avant d'autres questions plus sérieuses.

Et là, j'espère évidemment que Francis Schuster saura répondre à celle-ci pour Nicolas

Gabro, qui habite celles-là dans le Loire et Cher.

Qui a dit, quand on écrit ses mémoires, on se fait deux sortes d'ennemis.

Ce dont on parle et ce dont on ne parle pas.

Et c'est pas bien Benishu qui va nous contredire.

Exactement.

Autor dramatique donc.

Alors un auteur dramatique, metteur en scène, surtout non.

C'est un acteur de théâtre et un metteur en scène, mais pas un auteur dramatique.

Ce n'est pas Jean-Louis Barot.

Ce n'est pas Louis Jouvé.

Ce n'est pas Villard.

Ce n'est pas Villard.

Ce n'est pas Raymond Roulot.

Ce n'est pas Raymond Roulot.

Non mais ne dis pas tout.

Ne dis pas tout ce qui.

Ce n'est pas.

Il demande de pisser.

C'est pour Francis.

Il nous fait un bon vieux avec Ariel.

Alors, ce n'est pas Rostan.

C'est pas Rostan.

Villard a surtout dit qu'à pris, c'est fini.

C'est pas Streler.

Quand on écrit ses mémoires, on se fait deux sortes d'ennemis,

ceux dont on parle et ceux dont on ne parle pas.

Sacha Guitry.

Sacha Guitry, non.

C'est pas Louis.

Mais il a fait partie du cartel des quatre avec Louis Jouvé.

C'est Charles Doulin.

Charles Doulin.

Bonne réponse de Francis Sousper.

Non non, je veux dire, on se retenait.

On se retenait pour ne pas aimer Francis.

Il avait tous sur le bouleur.

Charles Doulin quand même.

Mais jamais Doulin, en réalité.

Alors espèce à sa froisse.

Est-ce que Charles Doulin est vraiment celui qui a inventé

le concept du festival d'Avignon ?

Non, pas du tout.

C'est Nietzsche.

Question qui concerne Monsieur André Jacques Garnorin.

André Jacques Garnorin, il fit faire à sa femme,

John Labros, quelque chose d'étonnant.

Puisque jamais aucune femme n'avait fait ça avant elle.

Qu'est-ce que André Jacques Garnorin a fait faire à sa femme ?

Il l'a fait en toute libre.

Il l'a fait relouir.

Qu'est-ce que...

Il l'a fait relouir.

Sauté en parachute.

Sauté en parachute.

Bonne réponse de Valérie Mérezque,

aidée par Olivier Tercezon.

Je l'ai fait de sauter en parachute.

C'est pas vrai.

En fait, j'étais pas du tout préparé.

Parce que j'accompagnais des jeunes

pour lesquels le secours populaire offrait un saut en parachute.

Et j'arrive et le directeur du centre me dit

« Vous allez sauter Valérie ».

Ah, je dis bah non, non.

Ah bah si, vous allez sauter Valérie.

Et j'ai sauté en plus avec des talons.

En le boutant...

T'as retrouvé les chaussures ?

Non, mais après...

Il y avait des talons dans les spas bas,

quand elle est arrivée en bas.

Il y avait un talon angé,

un talon en transport.

Donc on est attachés avec l'instructeur.

Il était pas mal du tout.

Ah non, je ne suis pas tout seul.

Non, pas toute seule.

Le premier saut, c'est jamais seul.

Il n'a pas un peu pris durant la chute.

Personne l'a failli ici, je constate.

Je sautais en parachute.

Oui.

J'en aurais rêvé.

Je pensais un peu...

Non, mais non.

J'ai sauté un paquet de fois.

Ah oui ?

En prêt militaire.

Dans les années...

J'avais 17 ans, on en fait le calcul.

44 et 17.

C'était merbeau, ce qui pilotait l'avion.

Tu penses, on sautait avec des Dakota,

des Nord 2501.

Ah, toi ?

Oui.

Il n'est pas trop tard, Laurent.

Je rêve de le faire.

Non, c'est vachement bien.

On va y aller, Laurent.

En plus, c'est parachute.

J'ai parachute d'aujourd'hui, c'est hyper mou.

Non, on avait des parachutes avec l'autre corps milieu.

T'attérées sa vie.

Aujourd'hui, t'attérées.

Tu peux attirer à debout.

Mais pas sans rouler les boulets ni rien.

Voilà.

Et même avec des talons.

Des fastos.

Mais tu peux te mettre des talons,

si tu veux.

Comme ça, t'es à la floue.

C'est décompensé.

Non, non, fais-le.

J'ai peur que mon cœur ne résiste pas.

Non, mais c'est sa main et tout.

Mais non, Laurent, on le fera en fin de saison.

L'autre qui veut la place.

Non.

Moi, je rêve de sauter en parachute.

Mais moi, je pensais pas que je le ferais un jour dans ma vie.

Mais on vous prouche.

Ah oui, oui.

Il y a un moment où, sinon, ça dure 20 ans.

Non, non.

Au dernier moment, j'ai dit,

non, je peux pas, je peux pas.

Et hop, ça m'a pas demandé mon avis,

il m'a poussé.

C'est vachement bien, je trouve.

C'est vachement mec.

Mais ça dépend.

On n'est pas sauté tout ça.

Oh, jamais pour un premier saut.

Jamais, vous êtes obligé d'avoir quelqu'un.

Vous êtes accrochés.

C'est pas drôle.

C'est drôle de survivre, quand même.

Nous, quand on sautait,

on était 40 des uns derrière les autres.

Ah, c'est vrai que le le.

Mais chacun son parachute.

Ne rêvez pas, Stevie.

Ah, d'en bave.

Mais pas essayer, vous, Stevie.

Oh, ça, pas non.

Ah non, non, je perds du vertige.

J'ai le vertige, moi.

J'aime pas le vide et tout.

Non, ces trucs-là.

J'ai déjà eu du mal à faire l'épreuve

et je devais monter tout.

Vous savez, à Fort Boyard,

il y a une poutre métallique

avec une chaise qui était bancale

et on doit avancer sur la poutre,

monter sur la chaise,

sauter, rattraper la clé dans le vide.

Ça, je n'ai pas plus fait.

C'est passionnant comme jeu-là.

Mais non, mais on n'a pas le vertige.

C'est la guerre de 14.

En parachute, on n'a pas le vertige.

Non, non, non, c'est pareil.

J'aurais trop peur.

J'ai fait du parapente quand même,

j'y pense d'un coup.

Oh, alors.

C'est un peu différent.

Oui, mais le parapente,

tu ne sautes pas.

Tu montes.

Il coûte quand même.

Par un moment donné,

tu redescends.

Moi après,

moi après un cassoulet,

je fais du parapet.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

Oh.

되게 bien pour toi là.

Il разб pas ma African manager.

Au revoir.

Ah.

coffee.

Très ça,

je suis de la victime.

這一anche.

Je vous remercie,

je vous lui dis pourquoi.

Non, ben moi.

L'hipiste experts,

je suis au ederim.

Je vous remercie.

Je vous remercie.

Je vous remercie.

Je vous remercie,

de toute la vaulte.

Je vous remercie.

Je vous remercie.

Je vous remercie.

Je vous remercie.

Merci pour ce foretzin.

qu'on l'emploie plus du tout, mon Cisbé, enfin moi de toutes façons.

– Qu'est-ce qu'il y a avec l'Isabelle ? – Non mais c'est un peu comme Facto Tom,

Cisbé. – C'est exactement le nom des chevaliers

servant à l'époque en Italie qui accompagnaient les dames, c'était pas le mari, c'était

on va dire une sorte d'amant officiel. – Oui, c'était le manchacouille.

– Eh oui, comme quoi ? – Oui, c'est aussi délicat.

– Tu peux trouver Cisbé puis dire « manchacouille » directement après derrière, c'est très

classe. – Non mais c'est vrai que c'est assez

étonnant parce que c'était l'homme qui, dans la noblesse italienne, accompagnaient

officiellement et au grand jour la femme mariée et le mari était absolument au courant

parce qu'il était mal poli, mal venu à l'époque de sortir avec sa femme, ça se

faisait pas. – Oui mais était-ce vraiment l'amant

sexuel, c'est pas sûr ? – Non, pas forcément, forcément.

– C'était l'accompagnateur, voilà, le Cisbé, un Cisbé, c'est quand même un

mot savant qu'on utilise peu ou plus. – Pas du tout, on l'utilise plus du tout.

– Vous connaissiez Pierre ? – Oui, ça m'a rappelé quelque chose mais j'aurais

été incapable de le dire. – C'est là où il est fort, Pernis, quand même.

Le Cisbé, comment l'Italie inventa le coréen ? – Je l'accompagne souvent, les femmes

sont baisées lui. – Et ça s'est créé ?

– Ah, ça s'est créé. – S-I-G-I-S-B-E-S, les Cisbés ou un Cisbé.

– Il y a beaucoup d'hommes politiques qui est en prix très souvent, le soir, ne

voulant pas priver leurs femmes de soirée auxquelles ils sont invités, ils y vont avec un ami

politique ou un homme. – Ah, Cisbé ! – Ah, Cisbé !

– Et ça veut pas dire qu'il y a le coup de travail. – Mais non, c'est non.

– Cisbé ! – Non mais alors le Cisbé, je vous explique

exactement son rôle, c'est une façon de tenir sa femme en laisse en quelque sorte.

Non mais, de façon sans se figurer, vous voyez, et de l'empêcher de se faire aborder

par quiconque en société, on savait ainsi avec qui elle était.

– Et il n'y avait pas d'autres hommes qui l'approchaient. – J'ai été Cisbé.

– Ah oui ? – Moi, je fus Cisbé, mais malheureusement,

j'ai... – Tu as couché avec.

– Oui. – C'est vrai, quand j'étais jeune,

j'ai un copain qui m'a confié sa fiancée pour un week-end, elle était ravissante,

et j'ai eu la honte de ma vie après, parce qu'il a fallu que je lui avoue que...

Voilà, j'avais faute, j'avais dit, elle était Cisbé... – Quelques minutes.

– Quelques... – Vous avez avoué ?

– Oui, j'ai avoué, c'était un pote, un pote, c'est un pote.

– Oui, il va se faire pas, mais ça va. – Ah ben ça...

– Ah, ça, c'est drôle. – Surtout quand la base, il est censé...

– Il a s'occuper de la pote de son pote. – Ah, la mise à la mise.

– Attendez, il a raison, faut avouer à moitié pardonner.

– Oui, alors là, j'ai eu plus mal. – C'est plus un pote aujourd'hui, j'imagine.

– Non. – Non.

– Alors, de Cisbé, il était choisi... – Elle m'avait chauffée, à ça dire.

– Ah oui, c'est vrai. – Oh grave.

– Ah ouais. – Non, mais j'avais filmé en super 8, je bougeant son mètre.

– Elle était belle comme le jour, j'étais jeune, j'avais 18 ans.

– Et en plus, vous avez gardé une film pour le ventrer à votre porte.

– Mais non, ma mère, en déménageant, a foutu le film en l'air avec plein d'autres films à propos.

– Mais moi, ce qui m'impressionne le plus dans cette histoire, c'est que t'arrivais à te faire des nanas avant d'être connus, quoi, sur moi-même.

– Ouais, moi aussi. – Non, moi, ce qui m'impressionne quand même, c'est que de confier quelqu'un...

– Enfin, elle pouvait pas... – Ah, que de jambe !

– Elle pouvait pas rester toute somme, cette fille.

– Moi, ce qui m'impressionne le plus, c'est que ta mère m'a de tes films de cul, quand même.

– Non, mais j'avais filmé cette fille qui peut-être nous écoute, et si c'est ça, je l'embrasse.

– Oui, il faut encore... – Elle était gaulée comme une sirene,

et je l'ai filmé en super-huites nues dans le bain en fonte, avec des pieds d'aigles qui avaient chez moi à Montmartre.

– Et je l'ai filmé nues... – Elle avait des pieds d'aigles !

– Non, elle était belle comme une sirene !

– Non, mais c'est vrai, t'es jeune. – Elle a pas de l'âme !

– Non, t'as un ton, quoi. – Une sirene avec des pieds d'aigles, je suis largué, moi-là.

– Et je l'ai filmé en plan séquence sortant de la baignoire, et montant le petit scadin...

– Ça y est, il se prend pour le louche ! – Il montait jusqu'à dans ma chambre, et après, paf !

– Merde ! – Après, paf le fion ! Non, non, non, non !

– C'est que si ça commence en le louche, ça finit en dorselles, c'est extraordinaire, tu vois.

– En tout cas, le Cisjizbé, il était choisi par le mari... – Eh oui, mais c'était mon cas !

– Et il était chargé de faire écran entre l'Adam et les possibles prétendants.

– Mais c'est ce que j'ai fait. – Par exemple, on peut choisir Stevie Boulez, par exemple.

– Exactement, là, on est plus tranquilles comme ça. – Et moi le mesc.

– Voilà. On avait des chapeaux, on s'est regardé. – Pas des chapeaux.

– Des chapeaux ! – Des chapeaux !

– Le chapeau ! – Oui, le chapeau, c'est un poultoc, hein.

– Oui, voilà, le chapeau, ouais.

– Elle s'est tellement concentrée sur le début du mot, oui.

– Elle a lâché la fin. – Oui, c'est une forme de chapeau, en fait.

– Oui, c'est ça. – Oui, oui, oui.

– C'est ça, c'est ça. – Merde !

– Et s'ils sont communistes, ils sont chapeaux rouges.

– Voilà.

– Pour Joël Moré, qui habite Saint-Serge, c'est en haute sa voix.

Quoi correspondent les lettres DCCC ?

– DCCC, est-ce que c'est D comme pour date ? – Dates ?

– Du tout. – Est-ce que c'est une marque de fringue ?

– Non, DCCC. – Donc c'est le chiffre en roman ?

– Oui, monsieur. Et alors, à quoi ça correspond ?

– À 2019 ? – Non, DCCC.

– C'est une année ? – Ah bah non, mais c'est tout simple, à vous de compter.

– C'est un chiffre, oui, mais le C... – CCC, c'est 300.

– C'est tout simple, à vous de compter. – C'est un chiffre, oui.

– CCC, c'est 300. – 300 et le D, c'est...

– 2000, donc c'est 1700. – Non, DCCC.

– 1300. – Non, un de trois...

– DC, c'est quoi ? 1000 ? – 1900.

– C'est à vous de me le dire, combien c'est, D ?

– 50. – D, c'est 1000 ou pas ?

– Ah bah non, mais il faut trouver. – Alors, c'est 100.

– CCC. – Et alors, ça correspond à la date...

– 200, c'est peut-être 200. – Non, 100, c'est C.

– Oui, d'accord. – Oui, donc c'est à la 300.

– Alors, c'est D. – Termine par 300.

– DCCC. – Et D, c'est 10 000.

– Non. – Alors, c'est un million 300 000 ?

– Non, pas du tout. – Pas du tout.

– DCCC. – C'est...

– Ça correspond à un nombre de gens, ou... – Du tout.

– Non, une date... – Ça correspond à l'argent qu'il y a dans la valise.

– Non, mais la question était toute simple.

J'ai demandé tout simplement à quoi correspondait DCCC pour Romain.

– Et bien, j'ai répondu des chiffres à Romain, bonne réponse de Pérodot.

– Ah oui, mais faut me dire le nombre exact, vous voyez.

– Oui, alors C, c'est 100. – C'est d'accord.

– Donc, c'est 300. – Donc, c'est 300.

– Il y a 300. – Il y a 300, on est d'accord.

– Et il vous manque le D. – Quelque chose plus 300 ou moins 300 ?

– Ça dépend, effectivement. – Oui, il peut être moins 300.

Ça peut être déjà 1 000 avec 3 CC, ça peut faire 700, par exemple.

– Hein ? – Est-ce que vous comprenez...

– Non, rien compris. Moi, pour l'instant, D, c'est un bonnet, d'accord ?

– Qui ne se correspond pas. – Oui, non, ça te correspond, c'est un peu...

– Qui ne se va pas, d'ailleurs. – C'est un peu petit pour toi.

– Ah ben, ça dépend... Par quoi tu commences. – Ah oui.

– Et X... – Ah oui.

– En instant 50 D, ça peut passer.

– Et XxL, ça fait combien, Romain ?

– Non, alors attendez, c'est... – Mais attendez, le D, il faut le retirer des 300.

– Non, là, vous le rajoutez. – Ah, on le rajoute.

– Un million. – Non, un million, je peux vous dire,

un million, un million, c'est un million, c'est M avec une barre dessus.

– C'est plus que 1000 D. – Est-ce que ça chiffre rond D ?

– D, c'est pas plus que 1000. – Ah, attendez.

– Est-ce que ça chiffre rond le D ? – Oui, bien sûr, d'accord.

– Mais ça commence pas par 1 1. – C'est pas un nombre premier.

– Ça ne commence pas par 1 1. – Comment ça...

– Ça ne commence pas par 1 1, c'est pas comme 10 100...

Ça ne commence pas par 1 1, le D.

– Oh merde ! – C'est pas compliqué.

– Est-ce que ça commence par 1 1 ? – Voyard, ça commence par 1 1, mais autrement...

– Et ça finit ou ça ? – Est-ce que c'est un petit chiffre ?

– Petit chiffre. C'est un chiffre honnête. – Le D.

– Ah, c'est tout... – C'est un bébé chiffre.

– Est-ce que c'est un bébé chiffre ? – Non, c'est un gros chiffre D.

– Oh, ben alors... – Un milliard.

– On va vite de trouver alors. – Est-ce que c'est un milliard ?

– Pardon ? – Un milliard ?

– Ah, mais non, c'est pas un milliard. – Et ça commence par 1 1 ou pas ?

– C'est pas... – Ça ne commence pas par 1 1.

– Ah ! – C'est 800 par exemple.

– Et alors ? – Alors, ça fait 800...

– Ça fait 1100. – 1100 ?

– Qu'est-ce qu'il y a 800 ? – C'est le D.

– Non. – 500.

– 500, et donc le total est 800. – Ça fait 800.

– 800, bonne réponse de Christophe Baudro. Non, vous n'avez jamais dit.

– Non, non, non, non, non. – On l'a pensé très fort.

– Ah non, vous n'avez jamais dit que D correspondait à 500.

– Je l'ai pensé très fort, mais je l'ai jamais dit.

– Mais excusez-moi, pourquoi vous nous demandez ça ?

– Ben, bravo. – C'est pour ça.

– Si, si, si, parce que c'est le commandement de Charlemagne en 800.

– Voilà. – Voilà.

– À cause de l'avasion des 1. – Voilà.

– Ça commence par 1 1. – C'est ça, des 1, des parents 1 et des parents 2, c'est ça.

– Oui, alors, c'est chaque c, c'est 100, voyez ? – Oui.

– Comme là, je vous l'ai dit c, c, c, ça fait 300. – Oui, oui, oui.

– Il y a un D devant, c'est 500. – C'est 500.

– Pourquoi on additionne les 3 alors que, effectivement, dans certains cas…

– Ah, ben oui. – On enlève, voilà, on sous-strait.

– Oui, oui, oui. – Tout simplement.

– Quand c'est proche, quand c'est proche, quand c'est juste, pour faire 19 par exemple.

– Mais non, c'est parce que le D 500 est plus fort que les 3 C qui suivent.

– Il est supérieur, il est supérieur. – Donc dans ces cas-là, on l'additionne.

– Voilà. – Si en revanche, ça avait été plus faible

et qu'on le mettait devant, là, vous sous-straîriez

et vous auriez la totalité de votre nombre au roman.

– Si on veut faire 900, mais tant que tu fais D, c'est D.

– Non, alors 900, c'est CM. – C'est 100, c'est 1000, moi-même.

– 900, c'est CM, c'est 100, avant 1000.

Et là, ça marche, 100 étant plus petit que 1000, vous le mettez avant.

– Moi, n'importe quoi, je m'en fous, j'ai un iPhone, non, non.

– Y a-t-il une justification d'actualité pour nous parler de ça ?

– Je m'en fous, moi, d'être bon en maths, toi. Je prends ma calculatrice.

Puis je vous emmerde, quoi, toi. – Et un roman qui est en CDD.

– Regardez sur la calculée en chiffre roman, quoi, toi.

– Un CDD, je peux vous répondre ce que c'est, un CDD. – Ah, c'est quoi, alors ?

– C'est pas bien d'avoir un. – C'est 80, normalement.

– Alors un CDD, alors c'est donc 100. – C'est 1000, moins 100.

– C'est 900. – C'est 900.

– Non. – C'est 120.

– Non, mais non. – En tout cas, heureusement qu'il y a eu les arabes,

parce que tu en... – Bah alors ?

– CDD, c'est 1100. – 1100.

– 1100, c'est CDD. C'est... – Ben, si.

– Ben, non, vous avez dit que quand c'était avant,

quand c'est plus gros, c'est derrière. – Pardon, oui.

– Oui, oui. – Excusez-moi.

– Ça, c'est PD en chiffre roman.

– Vous avez raison, CDD, ça fait 100 ans. – Ah, oui, oui, oui.

– CDD, CDD, ça fait 900. – Eh ben, oui, là, c'est ce qu'on a dit.

– Vous avez dit que 900, c'était... – Vous en avez pas marre de jouer au chiffre et au lettre,

là, on pourrait penser à autre chose. – Mais c'est plus rapide d'écrire CM.

– Ecoutez, je vous apprends les chiffres au roman. – C'est important.

– Oui, oui. – On attendait que ça.

– On vient de les découvrir.

– Une question pour M. Mouche, maintenant. – Ah, M. Mouche, sérieux ?

– Jérémy Mouche, il aboute le pas de Calais à Rouvroy, précisément.

Salut les grosses têtes, juste pour vous dire que je vous trouve géniaux,

ne changez rien, une pensée particulière pour Ariel, pour son élégance.

– C'est super mignon. – J'ose pas dire.

– Arrêtez-vous. – Arrêtez-vous.

– Et Stevie pour ses faces.

– Je vous jure que je n'invente pas. – C'est peut-être votre tranquillisme.

– Je n'invente pas, M. Mouche, je suis désolé. – Tu t'es fait attraper par une mouche ?

– Ah, ça vient de là. En tous les les mouches, ça vient de là, en fait.

– Je suis désolé à M. Stevie, mais c'est comme ça, on a des auditeurs parfois qui osent tout.

– Il a des belles fesses peut-être. – Il espère 300 euros en tout cas, M. Mouche.

– Ça vaut pas ça.

– Et la question, la voici. Si vous avez un lussez à la main, que faites-vous ?

– À quoi ? – Un lussez.

– Ça s'écrit comment ? – L-U-C-E-T.

– Lussez. – En jeu de la musique.

– C'est quelqu'un, c'est une journaliste qui est en train de vous coller

pour vous poser les questions en partant. – Si vous avez un lussez à la main,

qu'êtes-vous en train de faire ? Très une vache, non ?

– Est-ce que quand on l'a dans la main, on est chez soi ?

– Ben oui, Stevie, on fait pas ça. – Ben non, mais ça...

– Vous en rendez dans les toilettes, hommes !

– Vos relations avec M. Mouche ne nous regardent pas. – Ah, c'est dans les toilettes ?

– Mais non, c'est pas dans les toilettes. – C'est un objet ?

– C'est un objet de lussez. – Ah oui, oui, je pourrais même vous montrer.

– Est-ce que c'est une sorte de fouet ? – C'est pas un fouet, là, lussez.

– Est-ce que c'est pour les bébés une sorte de hocher ? – Du tout.

– C'est un rapport avec la ferme. – Ça sent un peu un hocher.

– Mais c'est pas du tout pour l'agricole ? – C'est pas agricole.

– C'est pour les hommes ? – Ah, alors c'est mixte ?

– Alors écoutez, de plus en plus d'hommes le font, paraît-il, mais on va dire,

je ne dois pas mettre tout... – Ils tricotent.

– Ils tricotent ! Bonne réponse de Laurent Bassi !

Un lussez, c'est ce qui vous permet, effectivement,

de mettre le fil avec la pelote au bout, vous voyez, qui vous permet...

C'est pas les aiguilles, un tricotez qui n'ont rien à voir le lussez.

Ça vous permet de déloigner la pelote, je ne suis pas tricoteur,

mais il paraît que les hommes tricotent de plus en plus.

– Les marins tricotent beaucoup. – Ah bah c'est les hommes qui tricotent.

– Souvenons-nous de Capitaine Crochet.

– Le lussez, c'était un petit outil en bois en forme de fourcheurs

qui a été inventé pour les vikings au départ pour faire des cordages, vous voyez.

Et aujourd'hui, évidemment, on utilise ça aussi pour le tricot.

Vous tricotez Ariel ? – Non, mais j'avais déjà vu le lussez.

– J'avais vu sans tricoteur, je sais rien. – Parce que le lussez...

– Elle a une pièce fil d'art, une pièce pingouin.

– Non, mais le lussez apparaît sur des tableaux du Moyen Âge,

et notamment quand on parle des trois parcs,

celles qui filent, celles qui disent et celles qui coupent pas.

Les trois parcs, c'est la vie, c'est le destin.

Et il y en a une qui file et elle a un lussez à la main.

– C'est vrai qu'il y a des portes qui donnent sur des couloirs dans sa tête.

– Je crois qu'il est temps de partir tisser, justement.

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Écoutez ou réécoutez l'émission des Grosses Têtes avec Laurent Ruquier du samedi 9 septembre 2023.