Les Grosses Têtes: BEST OF - Les moments cultes

RTL RTL 9/10/23 - Episode Page - 1h 40m - PDF Transcript

C'est la première fois que vous faites l'émission avec Stéphane Platza Fabrice ?

Tout à fait.

Tu vas être impressionné par ma future.

A vous d'aller voir, on est à un niveau là.

C'est un concurrent acteur de cinéma quand même.

Ce film magnifique d'ailleurs, tous sont dans une salle.

J'ai perdu Albert et bientôt au festival de Macao.

Donc, tu es acteur, c'est ça ?

Entre autres.

Homme de culture, écrivain...

On ne regarde pas ses émissions sur...

Non, je ne connais pas du tout.

Il est agent immobilier, en fait, Stéphane Platza.

Ah, donc on prend n'importe qui dans cette émission, maintenant.

Donc, vous ne connaissez pas les émissions immobilières de Platza ?

Vous dites ça pour déconner ?

Non, vraiment.

C'est vrai que j'ai un enfant de 3 ans, donc la télé, je l'ai crochée depuis un moment.

Moi, je me suis regardé choupis, pépapis, etc.

Une première citation pour Monsieur Mistro, qui habite l'ongaïe à Nelson en Loise,

qui a dit « Il était temps d'inventer le suppositoire à tête chercheuse pour les

manchots ».

Coluche.

Non.

La pharmacienne devrait trouver.

Pierre Dac.

Pierre Doris.

Jean-Yann.

C'est pas un pharmacien.

Pierre Dac.

Non, mais pas la réponse.

Francis Blanche.

Francis Blanche.

Bon, la réponse.

Le Bère d'Armabie et Roselyne Batchelot.

Alors, attention, là, je vais autant vous dire, je vous ai réservé des citations

un peu plus compliquées aujourd'hui, parce que je trouvais que c'était un peu trop facile.

Il y a trop de sanguiterie, quoi.

Toujours les mêmes noms qui revenaient, alors là, je suis allé chercher des citations

un peu plus de haute volée, vous voyez, intellectuelle, même.

Je peux pas dire.

Pour Laurence Grossmi, qui habitant d'Aine en Belgique, qui a dit, celui qui veut faire

un emploi sérieux de la vie doit toujours agir comme s'il avait à vivre longuement

et se régler comme s'il lui fallait mourir prochainement.

Pascal.

Pascal.

Non.

Parvenir à des trucs simples.

Est-ce que c'est vivant ?

Alors c'est...

Ah non, c'est mort.

C'est mort.

Bah oui.

C'est mort.

Et c'était au 17e.

Alors c'est mort et c'était au 19e.

Au 19e.

Ce que le 19e, puisque c'est quelqu'un qui a été né en 1801 et qui est mort en 1881.

Diderot.

Diderot.

Alors pas Diderot, mais...

Ah, l'autre.

D'Alembert.

Non, non.

Il sait avant.

Non, parce que ça, c'est le siècle d'après.

Mais il y a un élien quand même.

Ah, l'encyclopédie.

Alors pas l'encyclopédie.

Le dictionnaire.

C'est le grand Robert.

Le petit Larousse.

C'est Pierre Larousse.

C'est Pierre Larousse.

C'est Pierre Larousse.

Pas Pierre Larousse.

Littré.

Émile.

Émile.

Pas la réponse de François Rolin.

Bravo.

Émile Littré.

Je vois que vous ne connaissez pas Stéphane Plata.

Je connais Lélie, mais pas le Littré.

Un Littré, ça me connait, mais pas ça.

Le Littron, si vous connaissez bien.

C'est vrai que vous, c'est plutôt Lille Littré que le Littré.

Non, mais ça doit être mal prononcé.

Plus dur encore.

Plus dur que ça ?

Plus dur.

Ah oui.

Sylvain Balkon, qui habite Milzac-Gui-Pronvel, c'est dans le Finest.

C'est ce qu'on demande à ma femme.

Plus dur.

Non, écoutez, Monsieur Mami.

Si on ne peut pas raconter sa vie, voilà.

Pour Sylvain Balkon, donc de Milzac-Gui-Pronvel, dans le Filistère.

Quelqu'un, je crois qu'on n'a jamais cité au grand stèche.

Qui a dit, si l'on peut en finir du passé avec l'oubli, on n'en finit pas de l'avenir

avec l'imprévoyant.

Alors, donc, c'est français ?

C'est joli, il y a quand même.

C'est un chieur.

C'est un chieur.

Ah, c'est français.

C'est vivant.

C'est, alors non, ça s'est mort en 1854, c'était un cheval sur le XVIIIe et le XIXe.

Yves Saint-Martin.

Quelqu'un qui a eu, on va dire, à peu près le même métier que vous, Mme Bachelot, puisqu'il

fut député à l'Assemblée nationale.

La Martine ?

La Martine, non.

Il a été pharmacien avant ?

Non, il n'était pas pharmacien, il était prêtre, écrivain, philosophe.

C'est de la bique de quelque chose.

Alors, c'est non, c'est pas la bique de quelque chose.

C'est le père quelque chose ?

Non, plus.

Il a des rues partout en France.

Ah, à peu m'aider, ça.

Ça, à peu m'aider.

À un coup de chance, ça peut arriver.

Il a eu des macrètes.

Il y a même plus de...

Plutôt bien situé à Paris, même, en plus.

Donc, ça doit être huitième arrondissement.

Huitième arrondissement.

C'est au filgotier.

C'est au filgotier, non.

Bonne souhait.

Bonne souhait.

Est-ce qu'on l'appelle la bique quelque chose ?

Non, on l'appelle pas la bique.

La rue en lui, elle a un prénom et un nom ?

Non, on dit la rue deux quelque chose.

La rue deux.

Ah, c'est terrible.

Puisqu'il a effectivement une particule.

Mais deux.

Mais deux.

Quoi ?

Mais deux.

Comment ça, mais deux ?

La rue de mes deux.

Non, non, non, non.

S'il a une particule fine, il va être chassé de Paris.

Alors, il a été enterré civilement parce qu'il était brouillé avec l'église, vous voyez.

Et il était prêtre, il a été brouillé avec l'église.

Ah oui, il a été prêtre, puis il est devenu député, vous voyez.

Et puis il a quand même écrit, voilà, il était en rupture avec l'église.

La Chamelle.

Non.

La béchamelle, bravo.

Je vous ai vu venir.

La Bécane.

Ça peut être toujours rire.

Bernanos, par exemple, fait référence à lui dans le prologue de Soussonnet et de Satan,

si ça peut vous aider.

Oui, bien sûr.

Je pensais à rue de la Bécroute, mais ça va pas être ça.

La Bécroute, c'est pas mal.

Oui, mais c'est pas dans le...

Ils ont dit que c'était pas la Bique quelque chose.

Non, c'est le huitième, on cherche.

Le huitième, c'était après.

Je peux peut-être vous donner ces prénoms, si ça peut.

Oui, oui, oui.

Alors il s'appelait Hugue, félicité, Robert.

Est-ce qu'il a écrit des romans ?

Des romans, non, mais il a publié des essais, évidemment,

essais sur l'indifférence en matière de religion,

des progrès de la révolution et la guerre contre l'église,

affaire de Rome, le livre du peuple,

l'esclavage moderne, esquise d'une philosophie, vous voyez.

Est-ce que vous aviez entendu parler de lui avant ?

Ah oui, oui, grâce à la rue.

Esclavage moderne, vous avez dit ?

Oui.

Vous vous inquiétez ?

Enfin, monsieur Éboué, c'est pas parce que vous l'avez...

Une sorte d'ancêtre, là, Félix Éboué, qui...

Non, non, franchement.

On va donner 300 euros.

Je le sentais qu'il fallait que...

Vous donnerait l'initial, quand même, pour nous,

après avoir donné l'argent à l'auditeur.

Oui, oui, bien sûr.

Vous savez comme j'aime ça.

Coutez, la phrase n'est pas belle.

Le mec est inconnu.

La phrase, c'est très joli, je suis désolé.

C'est pas vous, quand il a écrit

l'avenir du passé avec l'oubli,

on n'en finit pas de l'avenir avec l'imprévoyant.

Non, ça, c'est pas moi qui aurais pu écrire ça.

Ça, je suis d'accord.

Mais c'est pas mal, quand même.

Ah non, c'est pas mal.

C'est bien profond pour un prêtre.

Eh bien, c'était Félicité Robert de...

Alors, c'est à elle, la première lettre de son.

Loiselle.

Non.

L'amener.

Félicité.

C'est le premier nom de mes vieux.

Il y a un quart d'heure, j'ai fait dire l'amener.

Moi aussi, mes vieux hier soir.

Non, non, non, mais sans le prendre.

Il y a un quart d'heure, on n'était pas commencés.

On l'appelle l'or rouge dans la province de Uelva.

Mais de quoi s'agit-il ?

Et c'est une question pour Bérangère Petit qui habite Marseille.

C'est le saffron.

Le saffron ?

Non.

Mais c'est une inépice.

Non plus.

Paprika.

Paprika, non.

Uelva, c'est en Espagne.

En Espagne.

Le sable.

Ah, donc c'est l'huile d'olive.

Alors, est-ce que c'est forcément rouge ?

Oui, c'est rouge, oui.

Je vais même vous dire, c'est parce que c'est rouge, qu'on l'appelle.

C'est parce que les Espagnols sont devenus le plus grand pays exportateur de pinards.

De pinards, non.

Est-ce que c'est de la viande ?

Non.

La grenadine ?

Non.

Est-ce que c'est une fois transformé que c'est rouge aussi ?

C'est très facile, hein.

C'est très simple.

Mais bah c'est des fraises.

Des fraises asses.

Bonne réponse de Caroline Diaron.

Et oui, les fraises espagnoles qui sont en train de battre les fraises françaises

sur nos marchés.

Pourquoi, Christine Bourriier ?

Elles sont plus fortes, effectivement, les fraises espagnoles.

Ah non, non, non.

Elles ont des petits points.

Si, si, si.

Mais vous n'allez pas rentrer dans ce truc où les pauvres agriculteurs et cultivateurs

français sont en train de se faire défoncer.

Ce que nous amènent les Espagnols comme fruits et qui poussent hors sol comme le du Carine.

C'est fou.

Mais pourquoi sinon, c'est censé pousser ?

Bah dans la terre.

Une fraise, c'est censé pousser dans la terre.

Il y a des racines.

Elle pensait que c'était chez le dentiste.

Vous vous rendez compte à l'âge que vous avez d'imaginer que les fraises s'appendent

ou désarpent comme ça pendant l'heure.

Bah oui, c'est plus joli.

Moi, j'imagine les choses comme je les vois dans ma tête.

C'est un drame, absolument.

Excuse-moi, j'ai jamais, j'ai toujours habité la ville, le béton.

Alors ceci dit, c'est deux fois moins cher.

Et pour les gens qui n'ont pas beaucoup d'argent, c'est vrai aussi, c'est vrai aussi que c'est

temps de temps d'aller au marché et prendre des fraises espagnoles et des bonnes grosses

rouges.

Oui.

Et c'est deux fois moins cher.

Et voilà, ça permet de manger des fruits normales.

Oui, mais c'est la ruine de nos agriculteurs et cultivateurs.

C'est la ruine de la gargette, évidemment.

C'est ma préférée là.

C'est la charlotte.

Alors qu'effectivement, la fraise de Uelva, elle est ronde, elle est ferme, elle n'est

pas très sucrée.

Elle n'a pas de goût.

Et surtout, elle coûte beaucoup moins cher.

Mais il faut dire que la main d'œuvre là-bas en Espagne est moins chère que chez nous.

Tous ceux qui ramassent, qui cahent, il est fraise parce qu'on les ramasse, elle ne tombe

pas toute seule, vous voyez, car on l'indient.

Je pense que quand elles étaient mûres, elles avaient la délicatesse de se détacher de

leur armoire.

Dans la barquette.

J'allucine.

Elles arrivent en barquette.

Exactement.

On pose des petites barquettes en dessous de l'arbre et elles se disposent délicatement

en mettant la queue vers le haut parce que c'est plus joli dans la barquette.

Mais c'est pareil pour les tomates.

C'est les grands arbres qui font 25 mètres de haut plein de tomates.

Non, parce qu'il n'y a pas d'automatier.

Ça, je le savais.

Pour que je t'emmène à la campagne un petit peu quand même.

Ah oui, vous devriez emmener.

Est-ce que ça va être un choc culturel ?

Ah ça, c'est sûr.

Emmener Caroline Diamant chez un de vos fermiers.

Il y en a bien un qui fait de la fraise.

Ou à la mer que y'en a détruite.

Vous ne voulez pas aller à la campagne, Caroline ?

Voir des vaches.

Non mais sérieusement.

Non, mais j'ai déjà vu des vaches quand je prends le train.

J'en vois sur le...

Je ne crois pas que c'est Caroline qui a les vaches.

Mais je n'en ai jamais rapproché, oui.

Mais excusez-moi d'être de la ville.

Quand elle prend le train, il y a des vaches qui sont dans le prêque.

Ils se disent donc qu'il y en a une qui voyage.

Ça en est connu.

Ça en est connu.

Ça en est connu.

Ça en est connu.

Ça en est connu.

Caroline, ça en est connu.

Tu n'as jamais vu une vache de prêve, jamais.

Tu n'as pas touché.

Non.

Tu n'as jamais tiré sur le pire.

Non.

Je n'ai jamais approché d'animaux en dehors de chiens ou de chats.

De prêve.

En plus, franchement, elle cherche à caser des agriculteurs célibataires.

Vous êtes célibataires, Caroline.

Oui, mais je ne cherche pas du tout à me caser.

Je n'ai même pas le divorce.

Ce n'est pas prononcé.

Tu peux avoir peut-être envie de tirer un petit peu sur le pire.

Bon.

Non, mais franchement, je suis sûr que Caroline plairait beaucoup aux agriculteurs.

Pour moi, c'est Kolanta de m'envoyer dans une ferme.

Mais vous vous rendez pas compte et où je branche le séchoir pour le brocher.

Tiens, ma mère, c'est pété ma manucure.

Ce n'est pas possible.

Ils ont l'exercité.

Il faut qu'on filme.

Il faut filmer, Caroline, diamant à la ferme.

Et Christine.

On va du où, le gars ? On va à la carreau.

Mais c'est dans le diamant.

C'est pas du tout une image grossière du cultivateur et de l'agriculture.

Quitte à ce qu'on leur mène.

Dans une ferme, on leur mène là où il y a vraiment un bon vieil agriculteur caricatural.

Viens, la Caroline, que je vais t'emmener dans la grange.

Oui, oui, oui.

Vous gagnez-moi ces pilards-là.

Ça va rapporter fermes.

En tout cas, je peux vous dire qu'ils nous écoutent.

Ah oui ?

Ils nous écoutaient.

Ah non, non, ils nous écoutaient.

Non, parce qu'ils ont beaucoup d'humour.

Mais tous les agriculteurs que je connais nous écoutent sur leurs tracteurs, notamment.

Et ils adorent des grossesses.

Ça, c'est pas un rêve pour vous.

Alors, ça, ça m'amuserait.

Montez sur un tracteur.

Oui.

Ou l'avers, si vous préférez.

C'est pas un trajet pour ça, non plus.

Il y en a un qui m'a dit qu'il n'y a pas si longtemps.

La terre, c'est comme une femme.

Il faut la prendre au bon moment.

C'est vrai.

Et, temps en temps, il faut la bourrer.

Il y a un film par les cinémas, il y a un film qui a sorti hier qui s'appelle 16 ans.

Parait-il très réussi ?

Un Romeo et Juliet en banlieue.

Il faut aider le cinéma français quand il est bon.

C'est un film réalisé par Philippe Lioré, qui a fait de très bons films.

Welcome !

Il faut dire « welcome » entre autres.

Mais évidemment, s'il équipiait, l'office de Jean, ça s'appelle 16 ans.

C'est vrai que c'est une sorte de Romeo et Juliet.

Juliet dans la banlieue parisienne.

Et Philippe Lioré, il faut quand même s'en rappeler, il avait pour un autre film dont je vous demande le titre.

C'est ma question.

Il avait obtenu neuf nominations au César.

Pour quel film a-t-il été ?

C'était en 2007.

Aïe, aïe, aïe, aïe.

Est-ce qu'il a eu un prix ?

Alors, lui, non.

Genre, il offrait le son.

Mais en revanche, les deux acteurs principaux avaient obtenu un César.

Et c'était déjà en banlieue ?

Meilleur second rôle masculin, non.

Et meilleure espoir féminin, à l'époque.

Mais il y avait neuf nominations pour le même film,

un film que tout le monde connaît,

un film réalisé par Philippe Lioré,

qui a une très, très belle filmographie.

Mais c'est vrai que je vous ai donné la plupart des films,

sauf celui-là.

L'équipier, c'était avec Philippe Torretton,

il y a eu Wellcome avec Vincent Lindon,

l'office de Jean avec Pierre de la Donchamps,

tenu correct exigé,

qui était une comédie très réussie.

Arrêtez vos bêtises.

Tomber du ciel.

Non, tomber du ciel.

Ça, c'est son premier film, mais il n'a pas été non plus.

Je vais bien ne t'en fais pas.

Bravo, je vais bien ne t'en fais pas.

Bonne réponse.

Et c'est Cadmérade qui a eu le César.

Cadmérade et Mélanie Laurent,

avaient obtenu là et l'autre un César.

Ils sont nuls.

Oh non, c'est super ce film.

Cadmérade, il est très sympathique,

il joue bien.

En fait, vous en voulez à tous ceux qui ont réussi.

Voilà, exactement, voilà, voilà.

C'est vrai que vous êtes jaloux.

Mais même le patron de Kilou touche, j'envie, moi.

Il y a bien marché, il n'y a pas de nulle part.

Il part de nulle part, le mec qui crée Kilou touche.

Il part de nulle part.

Vous aimeriez faire quoi dans la vie, toi ?

Pardon, moi, je vais faire une émission.

On serait si beauf, autant d'un beauf.

Et ils posent des questions, j'entris à le poursuivre.

T'es en raconte des blagues avec Asma Malin et tout.

Tu vois, toujours d'ambiance.

Alors, vous avez réussi.

Ah, ben voilà, c'est super.

Jean-Marie, vous avez une petite blague.

Non, non, non, oui.

C'est un couple, ils sont à l'hôtel.

Et le mec téléphone, dans la réception,

il dit, voilà, il dit, monsieur,

il faut que vous veniez vite, parce que j'ai un nom brouillé.

Avec ma femme, elle est en pleine crisionnaire.

Elle veut absolument se jeter par la fenêtre.

Et le réceptionniste, il dit, je suis désolé, monsieur.

Mais là, ça n'est pas un problème d'hôtel.

Vous voyez, c'est un problème personnel que vous avez.

L'autre, il dit, non, c'est un problème d'hôtel.

Parce que cette putain de fenêtre ne s'ouvre pas.

Une question pour Fabrice Goulet,

qui habite dialen sur chaîne dans le Calva-Dos.

Comment distingue-t-on facilement les mentales suisses

de les mentales françaises ?

Il n'y a pas de trou dans le suisse.

Pas du tout.

La couleur.

Parce que c'est écrit dessus, Fabrice.

Il faut dire aux unes si vous vous foutez de la gueule de leur envoyer.

Remarquez, elle n'est pas si loin.

À température égale, il y en a un qui coule plus lentement que l'autre.

Non.

Parce qu'il n'y a pas de croûteur.

Il sait quelque chose qui est imprimé sur la croûte.

Non.

Il y a des trous dans les mentales, de toute façon,

qu'il soit suisse ou qu'il soit français.

Ah oui, on va pas croûter avec le gruyère, c'est vrai.

Voilà.

C'est la grosseur des trous.

Pardon.

C'est la grosseur des trous.

Non, parce qu'il y a une frufeuse qui...

J'ai failli.

J'ai dit c'est trop.

C'est la couleur du fromage.

Pardon.

C'est la couleur du fromage.

Non, il a la même couleur.

C'est parce qu'il n'est pas présenté en mule.

Non, il a...

C'est l'odeur.

C'est la façon dont on le découvre, figurez-vous.

Non, mais Mme Bachelou était tout prêt.

Alors, il y a basé l'étiquette, alors.

Ah oui.

C'était quoi, la croûteur ?

Oh là là, c'est d'accord.

Moi, j'aime pas quand elle fait ah oui, comme ça, j'ai peur.

Il y en a qui a apprimé en rouge sur la croûte et l'autre en bleu.

Non.

Non, non, c'est plus simple que ça encore.

Et c'est bien, c'est ce qui est sur la croûte.

Ah, il y a peut-être pas de croûte.

Il y a de la croûte dans les...

Ça te voit à l'œil nu comme ça, tout de suite on le voit.

À tout de suite on le voit.

Vous voulez dire que même si on n'est pas un connaisseur,

on reconnaît de les mentales du gruyère.

À la forme.

Vous allez chez le marchand de fromage, vous voyez.

Il y a de les mentales sur le...

Sur le comptoir.

Sur le comptoir.

Et il y en a un suisse.

Il y en a un français.

Tout de suite.

Ah bah ça c'est le suisse, ça c'est le français.

Mais ce que les mentales c'est du gruyère.

Ah non.

Ah non, roulez.

Un drapeau planté dedans.

Il y a un drapeau planté dedans.

Il n'y a pas besoin de drapeau.

Mais on se rapproche.

Il est tatoué avec un drapeau.

Non.

Il a la forme de la France.

Non.

Le français.

Il y a une vache imprimée dessus.

Oh non, non.

Pourquoi ils ont pas de vaches en France ?

Vraiment.

Il y a la vache.

Ah, il y a un goût de chocolat dans le suisse.

Oh le truc dégueulasse.

Je l'ai matacouqué.

Donc c'est quand même quelque chose que sur la croûte.

Non, c'est pas sur la croûte.

C'est sur le fromage.

C'est l'aspect.

C'est visuel en tout cas.

C'est visuel.

Alors c'est sur la chair.

Madame Bachelot était tout près.

Je vous ai dit.

Tout près à quel moment ?

La même usine en fait.

Ils sont mixtes.

Ils ont la double nationalité.

En fait c'est la même vallée.

C'est la même cave.

Donc il y en a une partie qui vont en suisse.

Une partie qui vont en France.

Non.

Vous avez les mentales suisses et les mentales français.

Et à l'œil nu vous pouvez faire la différence.

C'est parce qu'on ne le présente pas de la même façon.

Parce que le français est plus joli.

C'est parce qu'on ne le présente pas de la même façon sur les étales.

Non.

Parce que les mentales suisses.

En suisse il est vendu qu'en meuf.

Alors qu'en France il est vendu qu'en franc.

Non plus.

Est-ce qu'il est beaucoup plus petit que l'autre ?

Comment ça ?

La taille de les mentales.

Au cas rapport avec la taille.

Ça n'a pas de rapport avec la taille.

Ça n'a pas de rapport avec la couleur.

Ça n'a pas de rapport avec l'odeur.

C'est compliqué.

Ce n'est pas sur la croûte et c'est pas sur la chair.

Non mais c'est sûr.

Sur les fesses du voisin.

L'odeur.

L'odeur.

L'odeur non plus.

Ok.

C'est sur le prix.

Non.

La présentation.

Le plateau sur lequel il est.

Alors sûrement oui.

Parce qu'il faut.

On met toujours un à la droite de l'autre.

Non mais Madame Bachelot.

Madame Bachelot avait mis.

Madame Bachelot n'était pas loin.

C'est con ce qu'il vient de dire.

C'est très con.

Elle est sans limite.

C'est pas grave.

Dodo.

Mais qu'est-ce que j'avais dit ?

Je me rappelle plus.

Tu avais parlé d'eux.

Les tickets.

Les tickets.

Bon alors.

Ok.

Il y a d'un qui est écrit en allemand.

Et l'autre en français.

On se rapproche.

Alors.

Ah mais c'est comme ces trilingles.

La Suisse.

La Suisse en français.

Ça n'existe pas sous ce nom-là.

Si.

Si.

Alors les mentales suisses n'existe pas.

Si.

Les mentales suisses.

Il y a un E à la fin.

Et les mentales français il n'y a pas de E.

Non mais on se rapproche là.

2L.

2M.

Il n'y a qu'un M.

Il n'y a pas d'âge.

Il n'y a pas d'âge.

Il n'y a pas d'âge.

Il y a un H dans les mentales suisses.

Il n'y en a pas dans les mentales français.

Tout simplement.

Bonne réponse de Rosely Trichetot.

Oh là là.

Et oui.

Quand je pense qu'à une époque cette meuf répondait à des questions d'opérins.

Oui c'est ça.

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Qu'est-ce qui mesure un kilomètre et dont le nom signifie chanvre?

Un kilomètre.

Et dont le nom signifie chanvre?

C'est une plante non?

Non, une plante d'un kilomètre, c'est assez rare.

Elle peut être enroulée, elle peut être enroulée.

Oui, bien sûr.

Oui.

Et c'est unique au monde.

Il y a un endroit qui fait un kilomètre.

Et qui signifie chanvre.

C'est un chemin.

Un chemin, non.

Un monument.

Un monument, non.

Est-ce que c'est en France?

C'est en France.

À Paris?

À Paris, non.

Est-ce que c'est un accès à quel...

Il y a un endroit.

Oui, bien sûr.

Est-ce que c'est un lieu de pèlerinage?

De pèlerinage, le mot serait trop fort.

C'est une impasse.

Une impasse, non.

Le mot signifie chanvre, et ça fait un kilomètre.

Chanvre, c'est dur.

Chanvre.

Qu'est-ce qui veut dire chanvre?

Qu'est-ce que vous dites, monsieur Mabille?

Que les questions sont très dures aujourd'hui.

C'était plus facile du temps de Philippe Bouvard?

Non, pas plus facile, mais plus sympa, oui.

Si même, cette question-là, t'as raison.

Vous m'avez cherché, là.

Très bien, je note le nom Mabille.

Allô, Bouvard?

Je vais te redonner.

Chanvre.

Qu'est-ce qu'on faisait avec du chanvre?

On faisait des cordes.

Oui, alors?

Et bien, est-ce que c'est un rapport avec ça?

Pas du tout.

Non, il se trouve qu'à cet endroit,

il y avait des grands comptoirs de chanvre.

Et voilà pourquoi le nom signifie chanvre,

et ça fait un kilomètre.

C'est un trottoir.

Un trottoir.

Mais il y a deux trottoirs, même.

Une avenue?

Une avenue, oui, en quelque sorte, oui.

Mais qu'est-ce qu'il faut trouver, pardon, jeux-jeux?

Bon, expliquez-moi peut-être là.

Stéphie, expliquez à Platte-Zalaman.

On l'a entendu encore.

Il faut trouver quelque chose qui fait un kilomètre et qui...

Et qui passe habite.

Et qui désigne le chanvre.

Les Champs-Élysées?

Les Champs-Élysées, non.

Les Champs-Élysées, non.

C'est en Dordogne?

Pourquoi en Dordogne?

Parce qu'on cultivait le tabac,

donc on aurait peut-être pu cultiver le chanvre.

C'est pas bête, ça, mon bon Bernard.

Mais ce n'est pas ça.

C'est ma dernière réponse, mon bon Laurent.

Chanvre, chanvre.

C'est Bob Marlè qui faisait de la musique de chanvre.

Il avait même une robe de chanvre, il l'a fumée.

Les gens vont photographier ce endroit?

Oui, bien sûr, oui.

C'est en France, hein?

Ah, c'est en France, on l'a dit, Chantal.

C'est son altitude.

Son altitude, non.

Que trop d'informations après, tu oublies,

la France première qu'on a donné.

Est-ce que c'est dans le sud de la France?

Dans le sud de la France.

La Canebière?

La Canebière, bonne réponse de Florian Gazan.

Mais oui.

La Canebière, c'est du chanvre.

C'est un kilomètre, en tout cas.

Abrie, ça, c'est...

C'est qui ça ramène après, c'est...

C'était la question, ça, Riel.

Oui, la Canebière, c'est du chanvre.

Et le mot Canebière vient de cannabis.

Cannabis, qui signifie évidemment chanvre en Provençal.

Une Canebière est une plantation de chanvre.

Ou chênevière, en français.

Ça, c'est intéressant, comme question, oui.

Ah voilà, vous aurez appris quelque chose quand vous allez à Marseille.

Évidemment, vous avez envie d'aller voir la Canebière,

qui est en train d'ailleurs d'être réhabilité.

Voilà pourquoi on en parle dans la presse en ce moment.

Vous êtes déjà descendu sur la Canebière, Riel.

Oui, absolument.

Parce que j'ai chanté pendant dix jours au gymnase de Marseille.

Mais sans vous arrêter?

C'est pas du genre?

Sans m'arrêter.

Et en effet, j'ai foulé de mon pas léger la Canebière.

Et là, il y avait les Marseillais qui disaient, c'est une putain.

Oh putain, on va la fumer, on va la fumer, donc voilà.

On va la fumer.

Elle est fraîche, elle est fraîche maman.

Putain, elle est belle, là, cagot, là.

Alors vous êtes méchants parce que, à Riel, franchement,

on a pu se balader quelquefois ensemble,

les gens s'arrêtent.

Et la mire.

Comment ça, la mire?

Il la regarde, comme un autre.

Ah mais non, mais c'est pas ça, c'est un personnage de Disney à Riel.

C'est une vraie princesse.

Quand elle arrive dans la rue, les gens scotchent.

Ils la regardent.

Non mais c'est vrai, c'est pas vrai.

Ah ouais, les gens scotchent, ils s'arrêtent.

Ils sont bouchebés, ils la regardent.

Mais t'as pendant le français camp, parce que quand même,

ça fait tard quand même.

Vous scotchez alors à Riel.

Ça me plaît, moi, comme un...

C'est vrai que vous n'avez pas léger quand on regarde.

Par exemple, comment Chantal va se déplacer.

Et comment Riel se déplace.

On voit qu'il n'y a pas d'égalité chez les femmes.

Elle ne marche pas, elle vole.

Elle est au-dessus du sol.

Une plume, une plume.

Voilà.

Chantal est sur Terre, toi, c'est sur la Lune.

Tu vois, c'est pas de la même gravité, on a l'impression.

Ah oui, d'accord.

Riel est exempté de pesanteur.

Ah oui, c'est joli.

Elle est légère.

Vous cherchez à la draguer?

Non, mais je veux la plumer.

Non, mais si je vais être une femme, oui.

Tu l'es.

Non, mais j'aimerais bien être à Riel, oui.

Ok, c'est mignon.

Je pensais qu'il allait dire que je voudrais être avec Riel.

Vous aimeriez être à Riel.

Ça me fait plaisir.

Je serais habillé comme toi, en fait.

Je serais une sexy bitch.

C'est clair.

Si je serais la personne où tu ne peux pas rentrer dans cette lune,

parce que tu as force.

La connasse, là, c'est pas possible.

Avec l'église qui sort.

Ça te va bien.

Mais attendez, les gens vont penser que je suis obèse.

J'ai quand même un beau corps.

C'est juste que j'ai un petit...

Vous aviez.

Stevie, tu peux mettre les tenues de Bernard.

Il y a du gras sur la riette, là.

Non, Stevie, Stevie, vous avez deux mini poignées d'amour.

Voilà, j'ai que ça, en fait.

Et c'est la route vers Maby, quand même.

Mais notre petite valise RTL.

Un roulette.

Moi, j'ai une astuce, parce que...

T'es un peu gros, toi aussi.

Moi, ça n'a rien à voir, c'est pour la pièce.

J'ai dû prendre du poids.

Mais c'est vrai, j'ai pris 6 kilos pour la pièce.

Mais ça s'appelle les bouffes parisiens.

Je prends des tailles plus grandes,

comme ça, quand on me voit, on me dit,

qu'est-ce que t'as, minci ?

Mais en fait, c'est parce que c'est très grand.

On n'a pas de mauvaise réflexion.

Ils ne font pas la taille, là, pour Bernard.

C'est pas con, Stevie.

Je n'ai pas plus à Riel.

C'est quoi, parce que j'ai envie de vous faire un cadeau bientôt,

chère Riel.

Et quelle est votre taille,

si je veux acheter quelque chose pour vous ?

Eh bien, moi, j'aime beaucoup le extra small.

Extra small ?

Oui.

Je connais ça extra balle.

Maby, j'ai un petit bateau, non ?

Non, mais quand j'étais en Bretagne,

j'ai acheté un fameux petit pull rayé,

et j'ai pris taille 6 ans.

Et je flottais dedans.

Fais-lui des costumes Barbies, c'est pour elle.

Sabich et Toys R Us.

Non, mais c'est vrai.

Taille 6 ans, moi.

Petite taille, quoi, extra small.

Est-ce que tu m'enlèves ?

Elle mange bien.

Non, mais Chantal m'a fait une confidence.

Ah !

Elle m'a dit qu'elle avait essayé le fameux jeune.

On ne mange rien.

Oui, pendant une semaine.

Et elle a eu des hallucinations.

Oui.

Ah ouais, moi ça.

Oui, il n'y a pas besoin de ça.

Je crois qu'elle a besoin de ça.

Je crois que c'est pour les jours.

Une question pour Odile Clérière,

qui habite l'Ambersard dans le Nord.

Pour quelle raison les prostitués

n'ont pas fait payer leurs clients ?

À la mort de Victor Hugo.

À la mort de Victor Hugo.

La réponse de Patrick Sébastien,

qui lit dans les questions.

Non, mais c'est un classique.

Ah, c'est vrai.

Puisque je connais très bien Victor Hugo.

Le 1er juin 1885,

lors du transfert de Victor Hugo au Panthéon,

il y avait 2 millions de personnes dans les rues.

Ce sont les prostitués qui fermaient le cortège.

Et elles avaient décidé ce jour-là

de ne pas faire payer leurs clients

en hommage à Victor Hugo.

Ça aurait été bien pour vous sur la voyerie Rio.

Non, parce que moi je ne ferais jamais.

Quoi, vous ferais jamais quoi ?

Je dirais jamais.

Dis non pas ?

Non, je dirais jamais.

Non, je dirais jamais.

Je dirais jamais.

Je dirais jamais.

Je dirais jamais.

Je dirais jamais.

Je dirais jamais.

Je suis sûr que vous y êtes allé.

Non, alors je vous assure que non,

parce que j'estime que on ne...

Avec vos voyages à l'étranger et tout ?

Oui, mais...

Non, j'étais trop con pour le...

Non, non, je dirais...

Patrick, c'est bien ou c'est pas bien ?

Où pas, il fut dans mes...

Non, non, mais moi, je suis pas spécialiste.

Il ne veut pas aller tout seul.

Il ne veut pas aller tout seul.

Il ne sait pas mon truc,

mais je sais que ça existe quand même.

Pour M. Guimiseret,

M. Guimiseret habite Chavénier en île et vilaine.

Jour pour jour,

que s'est-il passé le 28 octobre 1922,

il y a donc pile 100 ans ?

Une mort.

Non.

Une sortie, c'est pas en France.

Je vais même vous aider,

je vais même vous dire une marche célèbre,

mais laquelle ?

Ah, la marche vers Milan de Mussolini.

Ah, pas vers Milan.

Euh, la marche vers Rome.

Vers Rome, vers Rome.

Rome de Mussolini.

La marche sur Rome de Mussolini.

De Milan, pardon.

Bonne réponse !

Et c'est depuis Milan, effectivement.

C'est depuis Milan à Rome, pardon.

Des chemises noires.

Ils ont parti de Milan en chemises noires.

Ils plevaient d'ailleurs ce jour-là.

Exactement, ils l'avaient fait un jour.

Ils ont dit, fascistana,

pile, pleuille, pleuille,

qui faites-vous encore ?

Tous à Rome, à Rome.

Et c'est comme ça

que le pouvoir a été donné à Mussolini

la marche date pile d'il y a 100 ans,

jour pour jour.

Ils sont partis de Milan,

mais ils sont passés par Meusan.

Il en a encore 20.

Pour Don Camillo, elle est bien.

Il l'a faim.

Monsieur Mabille.

Pour Don Camillo, elle est bien.

Oui, Monsieur Mabille.

Monsieur Mabille, on vous remercie

pour ces blagues nouvelles.

Pour Dianne Texari,

qui habite la Trinité-sur-Zur,

c'est dans le Morbiant,

puisque vous aimez les anniversaires.

Pareil, jour pour jour.

Là, c'était pas il y a 100 ans,

c'était il y a 60 ans.

Donc faites le calcul.

Donc 28 octobre 1962,

quelle question posait-on au Français

à laquelle il devait répondre

par oui ou par non ?

Bah c'est le référent de Bolle.

Je vous demande la question, alors.

Est-ce que vous voulez

que la Ligérie reste française ?

Non, non, c'est pas le référendum.

Vous voulez que je pars encore ?

Non, c'est dans la Constitution.

Alors, c'est quelle est la question

qu'on a posée ce jour-là,

il y a plus de 60 ans.

Est-ce que vous voulez

que l'on rentre dans l'Europe ?

Pardon ?

Vous voulez vous rentrer

dans l'Europe ?

Non, on est donc en 1962.

Mais la Constitution,

c'était pas lié au Sénat.

C'était pas lié au Sénat.

C'était pas le Sénat.

C'était pas le Sénat.

C'était pas le Sénat.

C'était pas le Sénat.

C'était pas le Sénat.

C'était pas le Sénat.

Est-ce que vous voulez que la Constitution

change ?

Effectivement, c'est de Gaulle.

Mais quelle est la question ?

C'est un référendum.

Un référendum qui date...

Donc, vous l'avez compris,

du 28 octobre 1962,

il y a donc bien pile 60 ans.

C'est le suffrage universel.

Alors, et bien voilà la réponse.

C'est le suffrage universel.

Est-ce que vous êtes d'accord ?

Est-ce que vous êtes d'accord

pour le suffrage universel ?

Je voudrais lire le président

au suffrage universel.

Bonne réponse de Patrick Chevasquat.

C'est bien.

C'est bien.

Je vous remercie.

Alors, j'étais là à l'époque

et je me suis présenté

à cette élection.

J'étais élu

et j'étais comme une merde

en 1969.

Ils ont répondu non

et j'étais obligé de m'en aller.

Et ça, c'est effectivement plus tard.

Mais en revanche,

le référendum qui fait

qu'on est passé au suffrage

universel direct,

c'est bien 1962.

Il y a pile 60 ans

que les Français à 62%.

On choisit ce suffrage

pour le président de la République.

Effectivement, il a été

le premier à en souffrir.

De Gaulle s'est fait avoir

une réforme.

Par de Gaulle.

Par de Gaulle.

On a proposé un référendum

pour la régionalisation.

Je vous remercie.

En tout cas,

M. Tiseau

d'avoir bien voulu répondre.

Tiseau.

On va rappeler

que Tiseau était

limitateur du général.

Oui, Henri Tiseau,

c'était limitateur officiel

du général de Gaulle.

Comme vous,

vous avez été

limitateur officiel.

Je l'ai beaucoup imité aussi.

Vous étiez

limitateur officiel

de Bourville.

Quand vous avez démarré,

c'était Bourville.

C'est bien,

c'était Bourville.

On va faire un concours.

Oui,

mais si vous êtes là,

ça va bien marcher.

Mais ça,

je m'en fous.

Je m'en fous.

Tu n'es pas possible.

Il en fait deux

qui sont bien.

Qu'est-ce que c'est d'autre ?

Non,

mais je ne vais pas

passer un concours

devant Patrick Sébastien.

Concours d'imitation.

Tiens un peu,

Anemone.

Anemone,

du Père Noël,

est une ordinaire.

Allez-y.

Non,

écoutez,

je crois vraiment

que c'est pas possible.

Bravo,

c'est Macron.

C'est bien, c'est bien.

Mais qu'est-ce qu'il a,

il lui vraiment,

il ne faut pas exagérer,

donc.

Mais c'est Macron

quand il est jeune,

ça.

Oui,

il répondait

à SOS Amitié,

à l'époque.

Je ne vous jette pas

la pierre, Pierre.

Absolument.

Il n'y a pas de magasin.

Il ne vous jette pas la pierre,

Pierre.

Mais quand est-ce que c'est exagéré ?

Bon,

voilà,

c'est des petits talents

de société.

Est-ce que Patrick

pourrait faire Jacques Chirac ?

Tu faisais très bien

que je n'ai pas fait,

mon ami Jacques.

Mais j'ai tellement

beaux souvenirs.

Oui, oui, il est Bernadette

parce qu'elle vit encore

Bernadette, quand même.

Il y a une histoire

un jour qui est terrible

parce que Jacques,

il faut savoir

qu'il adorait les histoires

dégueulasses.

Mais Bernadette,

elle supportait pas ça.

Et donc,

chaque fois qu'on pouvait,

il me disait,

t'en as une nouvelle ?

Moi,

je lui disais,

non,

je suis toujours avec l'ancienne

histoire de, voilà.

Et je me rappelle

d'un jour,

mais ça,

c'était terrible.

Je me rappelle d'un jour,

j'ai dit,

oui, voilà,

c'est quelle est la différence

entre, je regarde,

qu'elle soit pas là,

tu vois,

je fais quelle est la différence

entre Bernard-Henri-Lévis

et Pascal-Le-Servant.

Et je me dis,

je sais pas.

Je dis,

voilà,

Bernard-Henri-Lévis,

le petit Robert dans la tête

et Pascal-Le-Servant,

le gros Roger dans le...

Et là,

et là,

et là,

et là,

il est claque de rio.

Et à ce moment-là,

je m'aperçois

que Bernadette

est juste derrière.

Je fais,

oh putain.

Et contre toute attente,

elle est très bien,

cette histoire.

Et le grand lui dit,

n'allez pas la raconter,

vous allez confondre.

Vous dire que c'est vrai.

Les Bacabousas,

dont on a beaucoup parlé,

ces derniers temps,

en Égypte,

mais qu'est-ce que sont

les Bacabousas ?

Ça se mange pas ?

Non.

Ça se mange pas,

les Bacabousas.

C'est des gens.

C'est vrai que ça fait truquissement.

Ah, attendez,

ce serait pas des récipients

qu'on met dans les étables

pour que les vaches

fassent leurs besoins

et ce sont les Bacabousas.

J'ai bien réfléchi,

mais ce n'est pas ça,

Monsieur Perron.

Non, c'est des gens.

Mais j'apprécie l'effort.

Est-ce que ça,

rapport avec l'Antiquité ?

Du tout.

Alors, est-ce que c'est pas

des gens qui nettoient

les pyramides ?

Pas du tout.

Les Bacabousas,

on fait parler d'elles,

je vais dire,

puisque effectivement,

c'est au féminin.

Ah oui.

Les Bacabousas,

on fait parler d'elles

parmi le temps.

Oui, alors ce sont

l'équipe de volleyball,

de beach-volet,

des juges.

Ah, elles ont battu.

Ah non,

ou alors c'est ce judo- cas,

la, qui a refusé de...

C'est l'essai.

Pas du tout.

Aucun rapport avec les juges.

C'est un rapport avec le sport,

comme elle a dit.

Aucun rapport avec le sport,

j'ai envie même de vous dire

au contraire.

Alors le contraire

du sport, c'est la bouffe,

pour moi, donc.

Un petit peu, c'est vrai.

Voilà.

Donc c'est des femmes.

Les Bacabousas,

sont des femmes.

Ils bouffent tout le temps.

Oui et non.

Est-ce que ce sont des femmes réelles ?

Et ma question,

c'est pour quelle raison

a-t-on parlé des Bacabousas

en Égypte ?

Elles font la grève de la fin.

Non.

Elles font l'inverse.

Elles ont décidé de manger

un truc particulier.

Elles ont décidé de manger un peu

comme la grande bouffe.

J'étais persuadé

que vous aviez vu ça

dans l'actualité,

dans les journaux,

car on a vu des photos

et des témoignages

des Bacabousas.

Oui, oui, oui.

Ce sont les Égyptiennes

qui ont été mises de côté

parce qu'elles sont trop grosses

à la télé.

Bonne réponse.

Bonne réponse de Caroline Diamant.

Oui, elle était pour moi

cette question.

Ce sont des présentatrices

qui ont été écartées

de la télévision publique

égyptienne.

C'est une femme en plus.

C'est la directrice

de la télévision publique

égyptienne

qui a suspendu

huit présentatrices

à cause de leur surpoids.

Eh ben j'étais pas loin

avec les grosses vaches.

Elles ont un mois,

ces dames-là,

pour faire un régime

et espérer retrouver leur place

à l'antenne.

Il faut dire qu'elles présentent

le journal

et que c'est vrai qu'on a

rarement vu des dames

un peu fortes

présenter le journal.

En France.

On met là-bas.

En France partout.

Nul part.

Nul part.

Là, j'ai une photo

de Katjila Alcatab

qui fait partie

d'huit présentatrices

qui ont été

écartées

à cause de son surpoids.

Et c'est vrai

que c'est une Bacabousa

qui manifestement

a un peu trop...

C'est pas tellement

qu'elle est grosse,

qu'elle est pas belle.

On va l'air encore pire.

Michel, t'es encore pire.

Excuse-moi.

Non mais je préfère le faire moi.

Mais ça veut dire

que tout dépend

de comment elle était

quand il l'a engagé.

Si elle en a fait le coup

de l'appartement

et moi, c'est pas sympa.

Oui, mais ça veut dire

que...

Est-ce qu'on reproche ça

aux hommes, par exemple?

Vous avez raison.

Alors je pense

qu'on vire les femmes

pour cette raison-là.

Et quand ils sont gros,

ils veulent tous maigrir.

Carlier.

Il a maigri.

Oui, il a maigri.

C'est fou.

C'est vrai.

On va savoir

si vous essayez de nous faire

passer un message.

Non pas.

Mais nous,

on a un avantage.

On le fait de la radio.

Mais d'un autre côté,

il faut se dire

que les paroles s'en veulent

et les maigris restent.

Bravo.

Évidemment,

elle force un peu trop

sur ce qu'on appelle

les falafels.

C'est ce que sont les falafels.

Qu'est-ce que c'est bon?

Ah oui, aux poichiches,

les boulettes.

Et voilà.

Qu'est-ce que c'est bon?

Les boulettes de poichiches

ou de fèves

mélangées à diverses épices

frites dans de l'huile.

Ah oui.

C'est sûr que si t'es gros,

c'est en plus stupide,

ça fait beaucoup de...

Il se fait pas péter

les falafels.

Arrête.

C'est pas vrai.

C'est pas vrai.

C'est pas vrai.

C'est pas vrai.

D'ailleurs,

un peu habillé

en Casimir Roselyne aujourd'hui.

Mais non, c'est bros.

C'est pas orant.

C'est pas joli.

C'est gais.

C'est gais.

On dirait une tapisserie

dans un vieil hôtel.

C'est vrai.

C'est vrai qu'entre Sophie

d'avant et Roselyne Bachelot,

on a quand même un peu d'impression

que c'est les galeries

du papier pas, en fait.

C'est le roi Merlin pour ici.

Sauf que le jeunissier

de ce pays

vaut beaucoup plus cher

que ma tunique.

C'est fini.

On peut parler

avec son petit t-shirt

à trois balles

avec les manscours

de Laurent.

Là, c'est quoi?

C'est pas long.

Vous achetez ça

sur les marchés?

Qu'est-ce que c'est?

Vous pouvez pas

acheter des t-shirts un peu plus?

Non, mais c'est vrai.

Est-ce que c'est

marqué?

C'est marqué.

Pour marquer quel muscle,

le bras?

Il y en a faim.

Vous?

Vous marquez?

Non.

Non, non, non.

Moi, tu me fais suer

pendant deux ou trois séances

par semaine.

Mais ça, je vois pas.

Non, mais c'est vrai

que les deux dames

qui sont à côté de vous,

cher.

Moi, je suis pas une dame.

Oui.

Faites attention

au comment démarre.

Il y en a longtemps.

Je suis pas venu

de traiter moi correctement.

S'il vous plaît, Laurent.

Les deux dames

qui sont à côté de vous,

on est une troisième

chère Muriel.

Non, c'est sûr.

Ce qui passe très mal

à la radio.

On part sur autre chose,

peut-être?

Oui.

On va partir

sur une première citation

qui vous le voulez bien,

et ce sera pour Valérie Faubel

qui habite Bressol

dans le Tarné-Garonne,

qui a dit,

« Je ne m'habille qu'avec

les costumes qu'on me donne

sur les tournages.

C'est pour ça

que je ne fais jamais

de films d'époque.

»

Rococi Freddy?

Non.

Un homme?

Un homme.

C'est un homme.

Je suis pas Christian Clavier.

Non.

C'est vivant?

Français.

Vivant, vivant.

Vivant.

D'accord.

Et c'est pour Sylvia Gilbert,

300 euros possible.

Tim Sitte?

Tim Sitte, non.

Les Français?

Les Français, il est drôle en plus.

Il fait de la scène aussi.

Attention, ce n'est pas un humoriste,

mais il est drôle.

Cadmérade?

No.

Berléan?

No.

Lutini.

Vincent Lindon?

No.

Il faut trouver les radins.

C'est pas quelqu'un qui...

Qui a les chats.

On va balancer.

J'ai des noms,

j'en ai plusieurs.

C'est sorti tout ça.

Muriel, on peut faire une liste.

Il est plus radin.

Allez, c'est parti.

Allez.

C'est pas moi qui l'ai dit.

Je ne m'habille qu'avec les costumes

qu'on me donne sur les sonnets.

François Berléan?

Non.

Elisabeth?

Non, c'est quelqu'un...

C'est quelqu'un qui tourne moins que...

Ah, quand même.

Ah, théâtre, théâtre,

surtout théâtre.

Mais d'accord.

Du théâtre, il n'en a,

je crois, jamais fait.

La télé, la télé.

Ne fait rien.

Si, si, mais...

Son métier principal n'est pas...

Chanteur.

Chanteur.

D'accord.

Ah, Benabar?

Non.

Non, pas Eddie Mitchell,

mais on se rapproche.

Jacques Dutron.

Jacques Dutron.

Bonne réponse

de Florian Gagant.

C'est bien Jacques Dutron.

Vous habillez parfois

avec les costumes...

Un peu.

Muriel.

Quand ça tombe.

C'est notre sympa de sortir

en Marie-Bénard.

C'est plus sympa

que de sortir

l'acte des pensées

en Jacqueline Saubage.

Voilà.

C'est ce que j'avais dit.

Une question

qui habite

rambouillée.

C'est une famille

du Grand Duché

du Luxembourg

qui vient de retrouver

la plus grande.

38 cm.

De quoi s'agit-il?

8.

Une 8re.

Bonne réponse

de Stevie.

En plus, ça nous permet

d'éviter toutes les mauvaises

plaisanteries.

Une 8re

de 38 cm

de long.

Il se baladait

sur la plage.

Cette famille

originaire

du Grand Duché

de Luxembourg.

On les voit en photo,

c'est assez rigolo

à voir.

Je ne sais pas si

il y a eu la photo

de cette famille

du Grand Duché.

Le chat s'appelle

avec leurs petites filles.

Ils ont deux petites filles

Alice et Clémentine.

Ils tiennent 8re

dans leur main.

Je vais vous passer

la photo

aux uns et aux autres.

On a l'impression

que...

Il y a quelques jours

pour que nous en parlons.

Quand on voit cette famille,

on a l'impression

qu'il y a quasiment...

On dirait que c'était

1970.

Même pas 1932.

Je ne sais pas

d'oursor

cette famille

du Grand Duché

du congélateur.

C'est une fauteuil

de famille

qui est plus classique.

Pas du tout.

On a l'impression

qu'il vivait

il y a 50 ans.

Le pull s'en manche.

C'est très luxembourgeois.

Tu as dit

d'empire, tu connais

la différence

entre une moulée

et une huître.

Non.

Essaye d'ouvrir

une huître

avec ta langue.

Quelle horreur!

M. Pérony!

M. Pérony!

C'est très drôle.

38 centimètres

fort.

C'est très drôle.

38 centimètres

fort.

38 centimètres

faut quand même le faire.

C'est la taille de...

Écoutez-moi,

j'ai vu des huîtres.

Elle va au musée,

je crois, après,

directement l'huître.

Ah, c'est vrai?

Oui, je crois qu'elle va être

conservée au musée d'histoires

naturelles

pour son bourre.

Ça mérite

une huître

de 38 centimètres.

Ça mérite.

T'imagines,

celle-là,

quand il l'a mangée,

vu la taille?

Non.

Mais je ne te dis pas

le citron

qui provoque.

Non, ils étaient

sur la plage

de Tsuine.

Tsuine,

entre la mer du Nord,

en Belgique

et les Pays-Bas.

C'est un peu en Sable.

Et le Tsuine

est le plus grand

territoire salé de Belgique.

Mais il venait

du Luxembourg.

Cette famille-là,

c'est pas la taille

de l'huître,

moi,

qui m'épatte.

Je vous dis,

c'est la famille en elle-même.

C'est vrai que,

vu les fins,

ils ont mis 30 ans

pour y aller.

Je me demande

d'où elle sort

cette famille

du Luxembourg.

Le père,

on a l'impression

qu'il sort d'un feuilleton

américain.

C'était dans les merceries.

On dirait une pub

pour la purée des 70,

la mer.

Mais la mer,

c'est fou,

c'est fou.

Elle est pas si mal que ça.

La mer,

elle mérite bien

son coup de chevrette,

il est encore.

Mais fiez-vous,

on sait jamais,

c'est des gens

du Grand Duché du Luxembourg.

C'est peut-être nos actionnaires.

Oh merde,

je n'ai rien dit.

Il a un pin certé,

en plus.

Il y a des gens

comme ça,

qui gardent les mêmes habits,

la même coupe de cheveux,

pendant des années,

des années.

Moi, je le perds

en Jacques.

Je suis désolé que t'étais là.

Je suis désolé.

On va parler

avec ton bigordin

autour maintenant.

Pardon, pardon.

Je suis désolé.

Peut-être,

on peut expliquer,

effectivement,

qu'il a des habits

dont on pourrait imaginer

qu'ils étaient déjà là

il y a 30 ou 40 ans.

Mais enfin,

il fait pas du tout

du chez du Luxembourg.

Ah non,

il fait plutôt boucher

du Luxembourg.

Continuer les gars.

Non,

on est content.

Bon,

cher Jean-Jacques,

parce que,

il faut le dire,

pour les auditeurs de RTL,

aujourd'hui,

on compte nos émissions

régulièrement sur la chaîne

Paris Premier.

Il fallait me dire,

je le serai préparé.

Oh,

Pierre,

vous pouvez pas faire croire.

J'ai rien fait.

J'ai rien fait,

ce matin,

toi.

Oh, rien.

Le mec est maquillé

avec une truelle.

Oui.

Il a mis

sa plus belle chemise

et sa plus belle cravate.

On a l'impression

que c'est le grand-père

de la famille du Luxembourg.

Et il nous fait croire

qu'il savait pas

que c'était filmé.

Il est arrivé

maquillé

dans les studios.

La terracotta.

Avec de la terracotta.

La terracotta.

C'est pas de la terracotta.

La terracotta.

C'est de la terracotta.

Mais c'est bien,

ça veut dire

qu'à son âge,

on a encore envie de plaire.

Je trouve ça génial

qu'ils mettent de la terracotta.

Attends, là,

j'entends.

Merde.

À son âge,

on a encore envie de plaire.

J'étais à mon âge

complet,

qu'on a.

Mais t'as vu,

il est orange,

on dirait le central.

Ah oui, c'est vrai,

vous avez beaucoup de succès,

maintenant.

Il a beaucoup plus,

on dirait de moi.

Maintenant,

c'est de la terracotta,

puis on dirait le central

de Roland Garros.

Oh.

Qu'est-ce qu'il dit?

Qu'est-ce qu'il dit?

On dirait que tout ça

est le central

de Roland Garros.

Qu'as-tu dit?

Mais tu sais,

il est pas sourd quand même.

Je dirais le central

de Roland Garros,

mais avant qu'il balaye,

tu sais,

il n'y a pas encore balayé,

il y a encore des traces

de basket dessus.

Je ne peux pas,

bien compris,

ce qu'il voulait dire.

Ce n'est pas grave.

Ce n'est pas grave.

Ce n'est pas grave.

Ce n'est pas grave,

Je suis Andrea, founder d'une brand boutique Handbag, Andy, et c'est pourquoi j'ai switché à Shopify.

J'ai essayé trois autres plateformes avant de Shopify, et je me souviens que mon point de breakage

était quand j'ai essayé de faire un petit change et mon site d'entrée s'étendait.

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Pour des risques,

mais je vous emmène

à l'école Saint-Pierre de Neuilly,

Neuilly-sur-Seine, justement 1907.

Là, il y a deux garçons.

Il y en a un de 10 ans, l'autre de 12 ans.

Et il y en a un qui va aider l'autre

parce qu'il est attaqué par des petits camarades

qui veulent évidemment lui voler

son goûter, ses billes ou ses oslés.

Et quelles sont ces deux garçons

qui vont devenir célèbres,

l'un et l'autre,

deux grands écrivains.

Aragons.

Alors, il y en a un, c'est Aragons, bravo.

Et un rôle,

attendez, l'étonnement dans la somme,

là, c'est vrai.

C'est vrai qu'il y a quelqu'un

qui a eu l'extérieur.

Là, il y a quelqu'un qui s'est évanoui, là.

Le pire, c'est que c'est votre mec.

Il y en a un mec.

Bien sûr que j'ai un mec, tu ne veux pas...

Ah oui, c'est un c'est nouveau dans l'orbiton.

Ouais, il le sait pas, hein.

C'est toujours le cacaillé, là, non.

Oh non.

Euh, non.

Et le cotorapes, tu ne vois plus le cotorapes, là.

Qui?

Le petit cotorapes,

qui habite en bas de chez toi, là.

Et tu sens pas, lui, une voix douce.

Bon, allez, allez.

Aragon.

Et euh...

Aragon, oui.

Il y a un autre écrivain aussi.

Ah bah oui, un autre.

Turgo.

Non, non.

Pégui.

Comment vous dites Pégui?

Pégui, non.

Non, c'est toi Pégui.

Non.

C'est drôle.

C'est Lina.

C'est vrai qu'elle a un côté mot peu de chaud, aujourd'hui.

C'est incroyable.

Surtout avec toi,

en sa côté,

qu'elle a la voix de Kermit Régrenoui.

Ça, il y a un trio, là.

Céline.

Céline, non.

L'autre, il était écrivain,

ou il a fait d'autres choses?

L'autre était romancier, dramaturge.

Gide.

En grand.

Et c'est Aragon,

qui, évidemment, est venu à son secours.

Ah ouais.

Il est de la même époque que nous.

Et pourtant, Aragon était plus jeune que lui.

Aragon avait 10 ans,

mais c'est lui,

plus costaud,

qui est venu aider...

Il faisait des poésies.

Alors, des poésies, non.

Non, il était pas poète.

Il était surtout dramaturge,

romancier, séduce,

tacadus.

Parbus.

Comment vous dites...

C'est pas venu que ça,

beaucoup d'un filet de louche.

Comme...

Bon, je vais quand même pas vous donner

le titre d'une de ses oeuvres, si.

C'est vrai que c'est pièce de terre.

Non, mais c'est vrai

qu'il y a un roman aussi très connu.

C'est pas mon terre-là.

Et c'est mon terre-là.

Bonne réponse,

Isabelle Merceau.

Oh non, pas elle.

Bonne réponse, Isabelle.

Isabelle.

Isabelle.

Isabelle.

Isabelle.

Isabelle.

Isabelle.

Isabelle.

Isabelle.

Isabelle.

Isabelle.

Non, non, non, non.

Mais si,

ils avaient notre éleche de France.

Arrêtez d'applaudir,

c'est Vexan.

Non, mais on...

Il est un peu blasé, quoi.

Le fait de pas avoir de mecs,

elle a le temps de se cultiver.

Ouais.

On vient d'apprendre

qu'elle connaît deux autres

écrivains que ça,

chaguiterie.

Cela dit,

montamment,

ça a eu appareil,

c'est suicidé comme un mari de...

Encore une info,

bravo!

Bravo!

Bravo!

Bravo!

Vous vous aidez à la cour de récré, il y avait ce qu'on appelle un protecteur, monsieur

Chanteur.

Ah oui, c'est ma sœur qui me protégeait.

Ah faut que ça, oui.

La goulou !

Ah non, mais je me souviens que moi j'étais en primaire à l'école Jeanne d'Arc.

Ma sœur a été au lycée à Saint-Thérèse-à-Villom, c'est deux écoles qui se touchent, et donc

on mangeait dans la même quartine, et le premier jour que je suis allé à l'école,

j'avais les cheveux à la stone, ma mère m'ait qu'on fait à la stone, c'est

On va découvrir que là-bas dans le nord, même les écoles se touchent.

Et j'étais quoi, à la stone avec mes beaux cheveux blonds, et tout le monde à l'école,

il m'avait dit « p'tite fille, p'tite fille, p'tite fille », tu vois, ça m'a énervé,

j'ai dit « non, j'suis pas une p'tite fille, p'tite fille, p'tite fille ».

Et je suis allé à la cantine, il m'a dit « ma sœur, elle dit ça va, ça se passe bien,

c'est pas bien ». J'ai dit « non, j'ai une petite fille, elle est descendue, ma sœur,

elle les a trappées à parrailles, elle les a claquées au mur, on va voir p'tite fille ».

Et franchement, elle…

Et tu l'as faisais, garçon, garçon, garçon.

C'est une belle histoire. Vous aussi, j'imagine, vous avez dû être moquée

dans les cours de récréation, Isabelle, avec votre petit…

Eh ben, je…

Léger des faux de prononciation, personne n'a remarqué, mais moi, je le sais.

Ah non, mais c'est surtout que quand j'étais petite, j'avais un

des faux de prononciation très prononcé.

Ah voilà.

Sur presque tout.

Ah oui.

Par exemple, on le dire « papa », je disais « chacha », mais surtout tout.

Ah oui.

Et en fait, eh ben non, elle m'aimait bien.

Quand vous faites rire, eh ben, vous avez les gens derrière vous.

Non, c'était plutôt la moneuse.

Ah oui.

Ah oui, oui.

Oui.

C'était une gentille.

Non, je n'ai jamais été attaquée.

Ah, c'est bien alors.

Comment je vous enrais plus ?

Sauf quand je mettais, parce que ma mère, elle, j'avais ma grande-sœur

et elle me donnait les affaires de ma grande-sœur.

Et puis, t'entends, c'était vraiment trop grand.

Et je me souviens des impairs qu'elle me mettait, mais c'était…

Alors, je retournais.

J'avais honte, j'avais honte.

Je mettais les mains dans les poches comme ça, je l'ai à l'école

avec les affaires de ma sœur.

Ah, ça s'est bien passé, quoi.

Bah oui, mais après…

Mais pourquoi t'as arrêté en quatrième ?

Je ne comprends pas, moi.

C'est comme ça qu'on te dit à alcoolique, tu vois.

Ouais.

Une question, maintenant.

Ah, ça, c'est super, ça.

Quoi ?

Une question, moi, j'adore quand t'as une question comme ça.

Ah, souvent, quand même, il y en a dans les questions.

Oui, oui, oui, j'adore.

Au cas où vous n'auriez pas remarqué, monsieur Tito.

Mais je réponds souvent, d'ailleurs.

Pour monsieur Cédric Lopicolo, qui habite Bazin,

sans Lotte et Garonne, de 1964 à 1970,

on l'appelait la Robert Ayer.

Mais à partir de 1970, comment ça platelle ?

La Robert…

Comment vous écrivez Ayer ?

La Robert Ayer.

La Robert à l'huile ?

Non, Robert Ayer.

Comment vous écrivez Ayer ?

Non.

Comment vous écrivez Ayer ?

H, A, I, 2, L, O, T.

Est-ce qu'il s'agit d'une épreuve sportive ?

Du tout.

Jusqu'en 1970, depuis 1964, on l'appelait la Robert Ayer.

Et depuis, vous la connaissez sous un autre nom.

Donc depuis maintenant, 48 ans.

Mais attendez, Robert est une femme.

Mais non, c'est pas ça que c'est une épreuve, c'est quelque chose, c'est un objet.

Mais c'est pas un style à Robert, c'est pas un truc qu'on a féminisé.

C'est sportif, Laurent.

C'est sportif, Laurent.

Alors, il y a du sport là-dedans, oui.

C'est indictionnaire.

Mais pas forcément.

C'est un endroit.

Un endroit, non.

Une course.

Une épreuve.

Mais après, elle s'appelait comment ?

Ah bah, c'est ça la question.

C'est la question.

Ça rapporte avec Noël ?

Avec Noël ?

Avec Noël, non, mais on peut vous en offrir pour Noël, vous devez dire.

Si on vous en offre à Noël, vous devez dire, ah bah tiens, avant 1970, ça s'appelait

les Robert Ayer.

Ah, et ça existe toujours ?

Oui.

Ça coûte combien, dites donc ?

Oh bah, ça coûte un certain prix quand même.

Mais genre, donnez-nous une fourchette.

Oh bah, donnez-moi un couteau.

Je sais pas, moi, combien ça peut coûter le prix de ça.

Non mais c'est genre...

Est-ce que ça se mange ?

C'est pas les calendriers de l'avant.

T'es un presse et chalotte ?

Un presse et chalotte.

Ah dis donc, tu fais pas des cadeaux de chiottes, hein ?

Un presse et chalotte.

Et non, mais parce que je pensais à l'ail.

Ah ouais, c'est avec Ayer.

La Robert Ayer.

La Robert Ayer.

Ça a appelé la Robert Onionée.

Mais oui, non, mais c'était pour changer de condiments.

Oui.

Ça peut se mettre au pied de lui sapeint, ou pas ?

C'est assez petit.

Ah oui, alors là, c'est même fait pour ça.

Est-ce que ça tient dans la main ?

C'est le trépied qui vient de sapeint.

C'est un sac à sapeint.

Non, mais qu'on peut mettre au pied du sapeint, oui.

Des chaussettes.

Des chaussettes, non.

Est-ce que c'est la crèche ?

Et avant, ça s'appelait la Robert Ayer.

C'est aucun importe.

Mais j'ai juste appelé Robert Ayer, en fait.

Le petit Jésus dans la Robert Ayer.

Est-ce que c'était une montre ?

Non, du tout.

Est-ce que ça tient dans la main comme objet ?

Ah, c'est une guirlande.

Non, c'est pas bien.

C'est que vous, on vous en a offert, Laurent.

J'en ai eu, oui, des Robert Ayer.

Mais évidemment, elle s'appelait pas Robert Ayer parce que moi, j'ai eu...

Après 70.

Des chaussettes.

Des pantoufles, non.

Des chaussettes.

Des chaussettes.

Des chaussettes.

Mais on se rapproche déjà.

Des chaussettes, non.

Des chaussures, alors, des chaussures.

Des chaussures, alors, c'est des chaussures, oui, mais...

Des centiards.

Des sabots.

Des sabots.

Des sabots.

Mais comment s'appellent les Robert Ayer aujourd'hui ?

Des espadrilles.

Des espadrilles.

Les espadrilles.

Des espadrilles.

La tronche.

La tronche.

Ah !

Des monbouts.

Des monbouts, non.

Des tongues.

Les bottines.

Non.

Des crocs.

Des avances qui les pendent.

Des tods.

Des tods, non.

Stan Smith.

Les Stan Smiths.

Bonne réponse de l'Europe.

Mais non.

Mais non.

La visage, mais non.

Alors vous pouvez vous expliquer.

Qu'est-ce qu'on sait.

C'est français Robert Ayer.

Mais c'est pas une marque.

La marque c'est Adidas.

Robert Ayer.

Modèle.

C'est un joueur français de tennis.

Et au départ, Adidas a lancé une série de chaussures qui portait le nom de Robert

Ayer qui a été le concepteur de cette tennis Adidas.

Et puis dans les années 70, c'est devenu la Stan Smith suite à l'accord avec

un joueur de tennis américain.

En fait ça a d'abord été un joueur de tennis français.

Puis quand ils ont vu qu'ils n'en vendaient pas, ils se sont dit on va prendre un joueur

sonore.

Mais c'est super intéressant.

Mais c'était des chaussures formidables pour faire quelqu'un.

C'est un classique.

C'est un classique dans la sneakers.

C'est vrai ?

Oui.

J'ai plus de 120 paires de sneakers.

C'est pas vrai.

De sneakers vous dites ?

Je suis un sneakers addict.

Alors, mais pourquoi ça vous sert toutes ces chaussures ?

Je sais pas.

Il donne en point.

Il donne en point.

C'est pour le changer.

Mais il en a pas 120.

Mais vous n'avez que deux pieds, vous voyez.

Oui, mais c'est un objet.

Je chine des paires rares, des trucs.

Ah !

Il y en a d'autres qui font ça.

Il y a un vrai marché.

Ça alors, c'est grand.

C'est folie.

Normalement, c'est les femmes de dictateurs qui collectionnent les chaussures comme ça.

Mais ma femme s'appelle Nasralla en plus, donc ça tombe bien.

C'est quand même un des...

Parce que vous êtes marié, une ciartuse.

Je suis en train, mais surtout Nasralla, c'est quand même le patron du Esbollah.

Donc c'est pas vrai.

Je suis quand même un peu une femme de dictateur.

Et qui va te marier vraiment ?

Voilà.

C'est gênant.

J'vais pas pouvoir baiser tout le monde, si c'est ça la question.

Déjà, avec Valérie, déjà, tu as du boulot.

Comment ça ?

Tu as du boulot ?

Tu m'expliqueras ?

J'ai pas compris.

Surtout avec cette voile, mes voisins auront l'impression que je fais l'amour à un enfant.

J'ai pas très envie.

C'est tellement apétissant que...

C'est ma fête et c'est Noël.

C'était pas une remarque.

Mais non, mais c'était pas méchant.

C'était pas méchant.

C'est vrai.

Au contraire, on est en train de dire que vous avez une voix d'enfant, Valérie.

Il a peur que si vous faisiez l'amour avec votre voix un peu adolescente, les voisins

se demandent ce qui se passe chez lui.

T'inquiète pas, j'ai autre chose que c'est pas des enfants.

Quelqu'un a compris la phrase ?

J'ai compris le sens, c'est pas des nichons d'enfant.

Ce tissu peut être amidonné, barré, broché, caméléon, chinois, damier, prismatique,

prussien ou changeant.

On peut aussi l'appeler le gros de tour ou le gros de napple.

Quel tissu s'agit-il ?

Le tafta.

Le tafta.

Bonne réponse.

Le Bernard Mabin vous l'expliquez, Bernard.

C'est le gros de napple qu'il m'a mis sur le...

Le tafta, c'est évidemment un tissu qu'on connaît chez nous.

Et vous avez, j'imagine, déjà porté du tafta, chère Amiens.

Mais bien sûr, mais ma culotte souffante, c'est que...

Un coton tafta.

Ah ben voyez ?

C'est bien, c'est bon.

Vous avez l'air l'orant.

Qu'est-ce qui finit le tafta ?

Alors le tafta, c'est une armure de toile.

Tissée selon un principe, un fil pris, un fil laissé.

Je sais pas ce que ça veut dire, mais je vous réponds, vous voyez ?

Et donc c'est un tissu d'armure toile en soi.

Et vous avez alors du tafta prussien, du tafta damier, du tafta chinois, du tafta gueule à la récré,

et du tafta, du tafta, écoutez, j'en sais rien.

Mais parce que ça peut se casser justement.

Vous prenez le tissu, vous le froissez un peu et il reste froissé.

Par exemple, regardez, je me lève.

Alors on fait comme ça, on fait comme ça et ça reste comme ça.

On a l'impression qu'il y a quelqu'un qui a foutu de la chantilly.

C'est Bernard-Henri qui va laisser du dérest, du comment il s'appelle déjà ?

L'entarteur.

Voilà, c'est tombé.

Et on achète ça où ?

C'est une grosse marque.

Qu'est-ce que c'est ? C'est Vuitton.

Vuitton ? Ah là !

Ça coûte 5 000 000 euros en tout cas.

C'est Nicolas Guillaume.

Je crois que tu avais acheté ça au clou de la République.

Ah quand même !

Vous dirais un enchant de musceteurs.

C'est très joli.

C'est bien porté sur toi.

C'est surtout ça.

À chaque fois qu'Ariel vient, je fais un patient sur comment elle va arriver,

parce qu'elle est belle.

Je suis impression de savoir comment elle va partir.

Elle est toujours habillée en Vuitton.

Mais c'est surtout elle hausse.

Elle hausse.

Et comment ça coûte Ariel à 2 000 euros près, c'est tout.

Non, c'est cher.

On doit vous prêter des choses, vous.

Mais vous savez, les couturiers font des pieds et des mains

pour nous prêter des belles robes du soin.

Ils veulent.

Et pour Cannes, c'est des enjeux commerciaux.

Moi, il m'a dit, surtout, ne portez rien.

Tu étais habillée par Andi Bag.

Oui, à un moment, mais je ne suis pas allé,

parce que le truc, il ne s'est attaché pas bien au tibetan.

Non, mais pour vous, Ariel, ils doivent se bousculer, j'imagine.

Eh bien, oui, je dois dire que c'est vrai.

Aujourd'hui, il y a des tas de gens qui vont sortir du studio RTL.

On se dit, on tient, je vais réchaîner la culotte bouffante

d'Ariel Doma, la mademoiselle.

C'est quoi ? C'est deux ans de salaire.

Pour Ludovic Rubata, qu'habite Fethia, c'est en haute vienne

et la question concerne un roman dont je vais vous donner le titre.

Et c'est plutôt qui a écrit le roman qui m'intéresse ?

Le titre de ce roman publié, je vous donne l'année en 1865,

c'est Germini Lacerteux.

Je ne sais pas si vous avez déjà entendu le nom de cette femme,

Germini Lacerteux.

C'est pas le titre du livre ?

Si, c'est le titre.

Et c'est un nom ? C'est après nom ?

Et c'est le nom et le prénom d'une femme, absolument.

C'est la double vie d'une servante, une domestique

qui s'appelle Germini Lacerteux.

Et on nous fait des révélations sur cette femme

qui a une vie dissolue, qui va se réfugier dans l'école,

la débauche une fois qu'elle est abandonnée par son amant

et elle va finir par mourir des suites d'une pleurésie

contractée après une nuit passée d'or,

à guetter son amant sous la pluie.

C'est une histoire assez triste que celle de Germini Lacerteux.

Oh bah oui, surtout qu'elle a déjà un nom par...

Elle commence mal dans la vie.

Ah non, franchez-le.

Déjà, ses parents l'aimaient pas.

Bah écoutez, en tout cas, il y a même eu une adaptation

théâtrale de ce roman publié effectivement en 1865.

Moi, je vous demande qui a écrit Germini Lacerteux.

Quelle langue en fait ?

En français.

En français.

Ah mais moi, je trouve que ça ressemble à rien.

Vous mariez dit c'est allemand, je vous aurais dit c'est allemand.

Vous mariez dit c'est italien, je vous aurais dit c'est italien.

Même ça fait du limite japonais quoi.

Oui, japonais, je vous aurais dit ok, c'est japonais.

Mais français alors.

Ce n'est pas mon passant, non ?

Ce n'est pas mon passant, mais c'est bien essayé.

C'est un auteur qui a fait d'autres ouvrages plus connus.

Alors il s'agit effectivement...

Emile Zola ?

Ah non, ce n'est pas Emile Zola.

Non, il s'agit là de grand nom de la littérature, bien sûr,

et ce n'est pas Victor Hugo.

C'est paru en 1865.

Mais dites pas que c'est Baudelaire, mais dites pas que c'est Baudelaire.

C'est pas Baudelaire.

Gustave Flaubert ?

Flaubert, non.

Mais c'est de ce niveau-là, c'est aussi célèbre ?

Alors, le nom est très très célèbre, plus que l'œuvre, c'est vrai.

Ah bah, ça je vous confirme quoi qu'il arrive.

Château brillant.

Château brillant.

Ross Père-Mérimé ?

Non, Pleunère-Pal.

Ne me dites pas que c'est Jean-Jacques Rousseau.

Non, ce n'est pas Jean-Jacques Rousseau.

Ne me dites pas que c'est Larousseau.

Oui, mais sauf que au XIXe siècle, ça le fait moins tout de suite.

Oui, oui.

Quand Jean-Jacques Rousseau...

Ce n'est pas Balzac.

Ce n'est pas Balzac.

Ni Bussuet.

Ni Bussuet, non.

Ne me dites pas que c'est Paul-Héloir.

Est-ce qu'il a fait une âbre sur plusieurs tomes ?

Je peux vous citer d'autres œuvres, effectivement.

Ormy, Germini, La Certeux.

Il y a eu René, Mauporin...

On est à la taupe ?

Non.

Mais c'est que des noms, la mort moelle ne.

En fait, c'est un vrai qui fait des annuaires, quoi.

Sœur Philomène, Charles de Maï.

Madame Gervaiset, Manette Salomon.

Ok, ok.

Il a...

La Duchesse de Château-Rouet, c'est ça.

Il a un problème, il a un problème.

Mais tu fais des livres.

Est-ce qu'il a une rue dans Paris ?

Ah, mais plus que ça, c'est...

Il a un lycée...

En termes de littérature.

D'une place.

En termes de littérature.

Croyez-moi, on ne fait pas mieux que ça.

Ok.

Ah oui.

Alexandre Dumas ?

C'est l'avenue ou bien un monument ou un lycée ?

Ou une impasse.

Un cul-de-sac.

Alors je vérifie...

Un cul-de-sac.

Un stade.

Je vérifie parce que je connais quand même pas toutes les rues et les avenues de Paris,

mais de toute façon, c'est mieux que ça.

Il y a une place...

Est-ce qu'il a été pris Nobel de littérature ?

Ah non, non, non, non.

On l'étudie à l'école ?

Ah, mais c'est...

C'est plus simple que ça encore.

Ah bon ?

Ah, Proust, non ?

C'est Jésus.

Ah ben oui.

Ah ben oui.

Le roman que Jésus a écrit en 1865.

Jermini va certain.

Attends.

Excusez-moi.

Est-ce que c'est pas une blague, Laurent, dans le sens que c'est pas un petit jeu de mots que vous faites ?

Ah non, non, non.

C'est bien un roman Jermini.

Oui, on se demande s'il n'y a pas...

Oui, exactement.

C'est pas Jean Massé.

Non, non, non.

Mais même vous, vous connaissez le nom.

Ah monsieur...

Il a un anonyme célèbre.

Il a un anonyme célèbre.

Jean-Michel Zidane ?

Non, c'est qu'en littérature, c'est le nom peut-être le plus connu de la littérature.

Chef Mamie ?

De la littérature française.

Est-ce qu'il était politique ? Est-ce que c'était un homme ?

Je le reste.

Mais oui, qu'on est bêtes.

C'est pas un homme.

C'est une femme.

Ah non, non, non.

Ah mais oui.

Non, mais quelque part, vous avez raison de réfléchir.

Parce que, quand vous dites c'est pas un homme, c'est pas totalement faux non plus.

Mais ça n'est pas pour autant une femme.

Est-ce que c'est pas finalement une institution où c'est écrit par l'Académie France ?

Un ouvrage collectif ?

C'est pas collectif.

Là, là, c'est mieux.

Ah bah l'Académie, il prend le...

La guerre des Michel.

Oui, c'est Alexandre de Ma Père et Fils.

Ah non, mais effectivement là on brûle.

Les 3 mousquetaires, les 3 mousquetaires.

C'est Marie Curie !

Pardon.

Pierre et Marie Curie.

Ce n'est pas des romanciers Pierre et Marie Curie.

Les 3 mousquetaires ?

Mais non, mais non.

Les 3 mousquetaires.

Tient-vous qu'vous êtes une famille ?

C'est un couple.

C'est un couple.

Oubliez aux éditions intermarchés.

Vous avez dit ils votaient plusieurs.

C'est un couple ou c'est une couple ?

Les 3 mousquetaires, on n'est pas écrits, monsieur.

Les frères griment ? Grim, non, non.

Est-ce que c'est ça ? Est-ce que c'est un couple ou est-ce que c'est une famille ?

C'est pas un couple. Donc c'est des gens d'une même famille.

Des frères. Ce sont des frères.

Les magiques systèmes ? Non.

Les frères.

Les frères. 300 euros, c'est fini.

Il y a peut-être dans le public. Regarde, il y a une main qui se lève deux mains, qui se lève trois mains.

M. Rihoud, je vous demande d'aller dans le public.

Ludovic Rubata a déjà gagné 300 euros et peut-être effectivement un chacquer tel deux,

plus dans le public, Yoann, précipitez-vous, roulez-vous, verbe.

Je passe entre plein de gens.

C'est vraiment le relou au cinéma.

Bonjour, monsieur.

J'adore pour une fois que je suis au milieu de plein de gens.

Bonjour, monsieur. Quand vous vous appelez, monsieur ?

Christophe.

Vous avez l'air tout timide, Christophe.

Un peu, quand même.

C'est votre première fois au gros stade ?

Non, je suis déjà venu, mais c'est la première fois que j'ai une réponse.

Enfin, je pense...

Allez-y, alors.

Je pense que c'est les frères à Goncourt.

Évidemment, les frères à Goncourt.

Bonne réponse !

Le prix Goncourt, le fameux prix Goncourt.

Jules de Goncourt et Edmond de Goncourt.

Qu'est-ce qu'il y a comme nom plus célèbre dans la littérature ?

C'est des gros nuls, ils n'ont jamais eu le prix Goncourt.

Que Goncourt !

C'est effectivement le nom qu'on entend le plus dans la littérature française.

Aux moins chaque année, Goncourt, Jules et Edmond de Goncourt

étaient des écrivains, deux frères, écrivains, qui ont publié parfois en solo,

mais souvent deux.

Et je vous ai donné la liste des ouvrages qu'ils ont écrits ensemble.

Sorphylomène, René Mopérin, Manette Salomon, Madame Gervaisin.

Et effectivement, la fameuse Germini Lasserteux,

un roman signé des frères à Goncourt, qui nous fait perdre 400 euros.

Si vous voulez voir la Jamais Contente, où devez-vous vous rendre ?

Ah bref, c'est un bateau.

C'est une statue.

C'est dans un musée ?

Ce serait pas ma femme.

Ce serait pas ma femme.

La Jamais Contente ?

Est-ce que c'est dans un musée, Laurent ?

C'est dans un musée.

C'est un tableau.

C'est un tableau.

Pas un tableau.

Une sculpture.

Non.

Est-ce que c'est un bateau ?

Un bateau, non.

Un bâtiment.

Une maquette.

Une maquette, non.

C'est un musée français.

Un musée français, oui.

Elle est dans le musée.

Elle est dans le musée, la Jamais Contente.

Est-ce que c'est de la musique ?

C'est une chanson.

Ce n'est pas de la musique.

Et ce n'est ni sculpture, ni un tableau.

Attendez, monsieur Simone, vous interprète la Jamais Contente.

Je ne suis jamais contente.

Non, jamais contente.

Je ne suis pas baisé, je suis.

Écoute, ta meilleure chanson, tu ne l'as pas enregistrée.

C'est dommage.

C'est pas un tableau.

C'est vrai qu'on n'a pas de nouvelles de votre album.

Dites donc, ça a marché ou pas ?

Moi non plus, j'en ai plus.

Est-ce que je l'avais oublié que vous en aviez fait un deuxième, un troisième,

même, mais il est sorti, il n'y a pas l'heure.

Oui, c'est sorti.

Peut-être qu'il n'a été pas hésité par le quatrième.

Non, mais ça...

Je n'ai pas vu, parce qu'hier, il y avait un classement

des meilleurs vans d'albums de l'année 2018.

Non, c'est impossible, il ne peut pas y être.

Non, non.

Donc bien, vous avez vendu Hési.

Oh, attendez, je compte sur mes doigts.

Moi, je t'en ai pris.

Non, j'en sais rien.

Elle m'en a acheté un, Rosé.

Non, c'est pire que toi.

Elle n'a pas dit, j'en ai acheté un.

Elle a dit, c'est pire ce que vous venez de dire, Rosé.

Elle a dit, je t'en ai pris un.

Vous savez, c'est comme...

Ah non, mais moi, je l'ai acheté.

Elle a acheté.

Vous mettez notre fait de dire, je vous en ai pris un.

C'est vraiment par charité, vous voyez.

C'est dégueulasse.

Moi, je l'ai...

On a l'impression du mec qui fait les produits avant.

Je vais lui en prendre un.

Attendez, il y a une dame dans le public qui l'a acheté.

Ah, elle n'est pas là, merde.

Laurence.

Laurence, que la moyenne...

La jamais contente est un moyen de transport.

Oui, monsieur.

Une locomotive.

Une voiture.

C'est une voiture.

Oui, alors c'est donc amulose au musée de l'automobile.

Elle a gagné.

Une marque française.

Ah oui, c'est la première qui a fait les 200 km heure,

qui a passé les 100 km heure.

C'est la première voiture à avoir fait les 100 km heure.

Alors, je vais vous accorder la bonne réponse.

Oui, parce que c'est la bonne réponse.

Et on peut l'avoir au musée de la voiture

et c'est où le musée de l'automobile ?

Bah, amulose.

Non, c'est pas amulose.

Ah bon ?

C'est au main ?

Non, c'est pas au main non plus.

C'est pas des voitures que j'ai vu.

Autodibus de la France en deux, c'est plutôt dans la partie du haut

ou la partie du bas ?

C'est le plus ancien musée de la voiture de l'Europe.

Non, il n'est pas à l'île non plus, le musée.

J'ai bon, j'ai bon.

Mais oui, vous avez trouvé une croix.

Moi, je trouve que tant qu'il n'a pas donné l'endroit,

honnêtement, la réponse n'est pas complète.

Non, c'est la première à avoir fait l'essentier.

Vous m'en faites une de complète, vous.

C'était dans les années 20, non ?

C'est au château de Compiègne qu'on peut voir.

Effectivement, entre autres, cette voiture,

c'est le plus ancien musée de la voiture d'Europe.

Et on peut effectivement y voir la Jamais Contente,

qui est la première voiture à avoir dépassé les 100 km heure.

Vous voulez la date exacte, monsieur Bafouille ?

Oui, j'ai envie de dire 21.

Record établi en 1899.

Et pourquoi ce nom ?

Pourquoi ce surnom ?

Parce qu'elle voulait aller toujours plus vite.

Il parait que c'est sa femme qui a eu l'idée

de l'appeler la Jamais Contente,

parce que son mari voulait toujours faire mieux,

toujours progresser, toujours aller plus vite.

Vous connaissez ce musée, monsieur Werber ?

Non, pas du tout, désolé.

Le musée du château.

Non, j'en ai vu.

Qu'est-ce qu'il y a ?

J'ai jamais vu le musée de l'automobile de Compiègne.

Le plus beau musée que j'ai vu, c'était à Mulhouse, les frères.

Arrêtez avec Mulhouse, puisque je vous dis que c'est à Compiègne.

Peut-être que Compiègne est jumelé avec Mulhouse,

mais il y a un truc qui ne va pas.

Ça départ dans le truc de Mulhouse, ou quoi ?

Mulhouse, Mulhouse, Mulhouse.

M'en faire au carolier.

Moi, j'ai le droit d'avoir la langue qui fourche de temps en temps.

Oui, ça.

Absolument, c'est recommandé.

On nous dit qu'elle avait 20 ans de plus que l'homme qui l'aimait.

On pense à personne en particulier.

Brigitte, elle a 26 ans, je crois, de plus.

Elle avait 20 ans de plus que l'homme qui l'aimait,

et elle buvait chaque jour, comme Elixir, de longue vie,

une solution d'or potable,

qui lui donnait son thym extrêmement pâle.

De qui s'agit-il ?

Je crois que ça doit être Dianne de Poitiers, pour moi.

Dianne de Poitiers, excellente réponse.

C'est la première cougarde de l'histoire, la vraie cougarde.

Oui, la première vraie cougarde de l'histoire, c'est formidable.

C'était Henri II.

Oui, absolument.

Henri II, qui était avec Catherine de Médicis,

et Catherine de Médicis n'était pas jalouse de Dianne de Poitiers.

Il s'appelait la vieille aussi.

Oui, il était entre deux vieilles, de toute façon.

C'était une vieille aussi.

Elle n'était pas très fraîche, Catherine de Médicis.

Déjà, elle était très jeune.

Elle était vieille.

Ah oui, c'était une grosse salope.

Elle avait du sang sur les mains, par contre.

Elle faisait plus 18h12 que Médicis, quoi.

Mais pour aller à Poitiers, c'est qu'au Garment Parnasse.

Dianne de Poitiers, c'est bien Dianne, la chasseresse.

Oui, très belle, vous avez vu, comme elle est belle.

On ne sait pas trop.

Il a été si belle que ça.

Il y a un livre qui sort, je vous le conseille,

aux éditions Perrin,

ses grands éditeurs des livres historiques.

C'est Didier Le Fur.

Ah oui, très bon historien.

Grand historien lui-même, qui remet les pendules à l'heure

à propos de Dianne de Poitiers,

celle qui fut la maîtresse du roi Henri II.

Mais on n'est pas sûr qu'elle fût si belle qu'on le dit, M. Jisbert.

Alors c'est vrai que les images,

les portraits qu'on voit d'elle aujourd'hui, c'est beau.

Les canons de la beauté ont changé aussi.

Le problème, c'est que même les portraits,

soit-ils-en, elles étaient magnifiques.

J'ai trouvé elles généralement assez affreuses, et elles étaient arrangées.

Elle a été blonde, elle a été brune.

Regardez-je, un portrait là, on ne peut pas dire qu'elle était belle.

Non, mais c'est ça.

Elles étaient sûrement vieux.

Ils perdaient leurs cheveux ?

Non, elles étaient juste sales.

Oui, c'est sale.

Très sale, tout le monde était très sale.

Les rois, c'était répugnant.

Mais ils ne se lavaient jamais.

Ça se passe au Moyen Âge, votre nouveau livre.

Oui, c'est une époque, ils sont très sales.

Regardez, c'est vraiment Louis XVI, Louis XIV,

il était un personnage ignoble.

C'est vrai.

Il sentait de très, très loin.

On ne disait pas, c'est le mot que l'on s'approche de Louis XIV.

Non.

Oui, on se rapprochait de lui par les odeurs.

C'est pour ça qu'à Versailles, tu as la galerie du dégueulasse.

C'est ça, la galerie du dégueulasse.

Exactement.

Mais tu crois qu'ils étaient dégueulasses ?

C'était horrible pour de l'intimité quand même.

Mais tu veux les dire quoi ?

Tu t'habitues ?

Oui, mais imagine quelqu'un qui se lavaient jamais,

tu lui fais des trucs de dégueulasse.

Tu ne peux pas travailler dans une fromagerie, toi.

Mais en même temps, ça donne le goût.

Oui, ça dépend.

Vous êtes chuchote.

Oui, je te trouve un peu carrément marchancé.

Pour une fille qui va dans les fermets.

Enfin, je ne fais pas sur l'autopéisant.

C'est pas ce qu'on nous a dit.

Pourquoi tu crois qu'ils s'inscrivent tous les ans ?

Je suis sûr que vous êtes moins regardants.

Oh, boss.

Non, mais au bout d'un moment, il faut être moins regardant.

Non, mais de quoi on parle ?

Mais de quoi on parle ?

Mais comment tu peux dire ça ?

Louis XIV, il se payait toutes les filles de la terre.

Il avait des maîtresses en votre cul.

Des bassins, des salles, des dégueulasses.

C'était comme un tas de fumiers.

Mais elles étaient salles aussi.

On sentait elles aussi.

Mais tu ne peux pas faire des trucs à quelqu'un qui ne se lave pas.

C'est pas possible.

On peut techniquement.

Personnellement, je sors de la douche.

Moi, je trouve qu'il n'y a rien de plus triste

que de se doucher avant de faire l'amour.

Si tu sors, c'est pas marrant.

Non, il faut qu'il y ait le côté animal.

C'était peut-être un peu trop.

Les pheromones.

Elle est d'accord avec moi.

Il a fait beaucoup de crasse-country.

Il faut être propre.

Toujours de prendre la douche avant.

Moi, j'ai un petit vaporisateur avec de l'eau de toilette.

Une petite poire.

Je mets ça dans mon slip.

Il a toujours un paquet de lingettes.

On ne sait jamais.

On m'appelle Sephora.

Louis Marionneau.

Alias Cashmizer.

Non, mais ça ne vous dérange pas.

Je suis sur ce film.

Petit odor de transpiration.

Pourquoi ça ne me dérangerait pas ?

Il y a des femmes qui adorent la transpiration.

Non, même pas moi.

La femme de Jensu.

Bon anniversaire, Paul.

On cherchait des idées de cadeaux,

mais on n'a pas trouvé parce qu'on ne peut pas vous offrir.

Des tueurs en série de Hazet, ça me va très bien.

Des fleurs.

J'ai trouvé un cadeau ce soir.

On va lui livrer un gros gâteau et je serai dedans.

Mais il n'y aura plus rien à manger.

Il avait 12 ans et c'était un gros garçon.

Il paraît qu'il y a ses parents dans la salle.

Les beaux parents sont là ?

Vous pouvez être fier.

Je vous présente votre gendre, Jean-François Jansen.

Belle fille.

Vous êtes tranquilles aujourd'hui,

on l'a du but.

Ne cherchez pas les bonnes réponses.

Je n'allais même pas les chercher.

La j'ai l'impression que Paul est notre petit encyclopédia universaliste.

Il est 22 ans et c'est vrai qu'il en sait plus que nous tous réunis.

Vous ne le connaissez pas encore, Fabrice ?

Non, pas du tout, mais ça m'excite beaucoup ce que vous racontez.

J'ai rien ou plus.

Ces parents sont là, on vous a dit.

Vous allez voir le phénomène, Fabrice.

T'es impressionnant.

Les gens qui ne vont pas beaucoup pour m'impressionner moins.

Mais lui, il est super impressionnant.

Vous voyez Plaza là-bas, c'est tout le contraire.

Depuis que vous le mettez à côté de moi dans les grosses têtes,

vous vous progressez.

Tout de suite avec cette première citation pour Virginie Beauvisage,

qui habite l'éodion du classical,

à la portée de tout le monde.

Vous savez bien, pour commencer, c'est très facile.

Qui a dit, si vos parents n'ont pas eu d'enfants,

il y a une bonne chance que vous n'en ayez pas non plus.

Pierre-Dame.

Pierre-Dame, c'est bon, la réponse de Fabrice.

Poudaille Catalano, qui habite ma mère, c'est dans la sarte.

Qui a dit, s'il y a trois choses

qu'une femme est capable de réaliser avec rien,

c'est un chapeau,

une salade et une scène de ménage.

Valérie Corvillor.

Valérie Corvillor.

Non, c'est pas Valérie Corvillor.

Je sens qu'il est taquin,

parce que c'est son anniversaire aujourd'hui.

Ah ouais, non, c'est américain.

Twain. Marc Twain.

Bah !

Alors, là, Jean-Phi.

Moi, j'ai pensé à Shania Twain, directeur.

J'ai pas du tout sur eux-mêmes, Twain.

Vous êtes toujours en train de dormir, Monsieur Plaza ?

Non, non, vous savez, ça, c'est

ce qu'on appelle des questions faciles.

C'est les noms qui tombent à chaque noeud

dans le même ordre. J'attends la vraie culture

pour montrer bon savoir.

Là, écoutez, c'est quelqu'un qui est rarement tombé.

Il faut lui dire, dans les citations,

pour Thierry Altalaire, qui habite tout le long

dans le varre, qui a dit

« L'absence est à l'amour,

ce qu'est au feu, le vent.

»

C'est un écrivain ?

Je répète peut-être,

parce que ça n'est pas facile.

Oui, c'est vrai que la nuance à saisir est compliquée.

« L'absence est à l'amour, ce qu'est au feu,

le vent. »

19e siècle.

Alors un philosophe,

plutôt 17e siècle.

Pascal.

Non, philosophe, écrivain, épistolaire,

pamphlettaire.

Saint Simon.

Non, Saint Simon, non.

Et membre de l'académie française.

Ah !

Rabelette.

Comment vous dites ?

Rabelette.

Oui.

Rabelette.

Oui, ça existe même pas.

Rabelot.

Allons-y, faisons toutes les nuances.

C'est pas rabelette.

Il est négon.

C'est rabelette, avant.

Rabelette.

Oui, mais c'est son frère.

Oui, mais c'est son frère.

Rabelette.

C'est un homme.

Locke.

C'est un homme qui a écrit

« L'histoire amoureuse dégole »

qui a écrit

Fabien Barthès.

Non, pas Fabien Barthès.

C'est bien madame Dubini, mais non, c'est pas.

C'est pas les goles.

Je suis là pour épeler le niveau.

Je suis là pour épeler le niveau.

Les goles.

Ces mémoires, évidemment,

sont très importantes.

Il n'est pas facile à furtier.

Comment vous dites ?

Furtier.

Furtier, non.

Il est mort.

Ah oui, ça.

1718.

Il est mort en bon état.

Il est mort en 1693.

D'accord.

Je peux vous donner son prénom,

si vous voulez.

C'est le prénom de mon père.

Ah bon ?

Non.

Mais c'est Raymond de sa mère.

Ah, pardon.

Comment ça s'appelle votre père ?

Il s'appelait Roger.

Roger Pierre.

Roger Mape.

Roger Carell.

Non.

C'est pas loin.

C'est un noble.

Pas mon père, celui de recherche.

Roger 2.

Roger de quelque chose.

Saint-Evremont.

Non plus.

Il a un vin à son nom ?

Un vin à son nom ?

Non.

Mais vous n'avez jamais eu de vin

à l'école, non plus, vous voyez.

Est-ce que c'est de quelque chose ?

Oui.

C'est Roger de quelque chose.

Oui.

C'est le noble.

Roger de l'Evremont.

Non.

C'est un nom composé, ensuite.

Roger de Saint-Evremont.

Non.

De Saint-Quelque-Chose, non plus.

Dobini.

Ecoutez.

Dobini, non ?

Non.

Mais Dubini, oui.

Dans 30 secondes, vous aurez la réponse.

Roger.

Le fils de Diane de Cunyac.

Roger de Saint-Mal.

Paul, on compte très sur toi.

Il avait épousé Gabriel de Toulonjon,

puis Louise de Rouville.

Rouville.

Il y a en général des armées,

aussi, quand même.

Ah ouais.

Roger de Parly.

Il a fait la guerre de 30 ans,

la guerre franco-espagnole.

Oh, le rezoom.

Ah bah oui, quand même.

Roger de Bussis-Rabutin.

Ah oui.

Ah oui.

C'est le premier mari de...

de...

de...

de...

de...

de...

de...

de...

de...

de...

de...

de...

de...

de...

de...

de...

de...

de...

de...

Je vais vous demander le nom d'une contest'

une contest' qui épouse-à d'ailleurs

un compte fils d'un général d'empire

et qui laisse-a par son textement

sa fortune pour la fondation d'un hôpital

Comment s'appelait cette contest'

décédée le 27 décembre 1851

sans些ritier.

Puisque comme elle n'avait pas desritier,

elle décida de laisser sa fortune

pour construire un hôpital.

Janine Sandale.

Janine Sandal.

C'est-à-dire, est-ce que ça se passe en France ?

Oui, il est Villain, c'est madame de Stahl ?

Madame de Stahl, non.

Y a-t-il un hôpital ou une clinique aujourd'hui qui porte encore le nom de cette dame ?

Évidemment, celui-même pour lequel elle a donné l'âme.

Rothschild ?

Rothschild, non.

Bichat, non.

Montpensier ?

Néker, non.

Hotel Dieu ?

La comptesse du Père-la-Chaises, non, ça sonne mal, et puis on y soit une plus.

Elle a quand même laissé à l'époque 2.600.000 francs hors, et ça a quand même permis, évidemment,

à construire cet hôpital.

Larry Boisière ?

C'est la comptesse de Larry Boisière.

Bonne réponse !

De Laurent Baffi, elle avait épousé le compte Larry Boisière, fils d'un général d'Empire,

et comme il n'avait pas d'enfant, eh bien quand il est mort et elle aussi ensuite,

elle a laissé son argent à la fondation d'un hôpital de parier cet hôpital, aujourd'hui

on le connaît sous son nom, l'hôpital Larry Boisière.

C'est là où est né ma fille donc, voilà.

C'est pas vrai ?

On s'est mimis alors.

Rattage, j'ai eu 3 fils, je peux bien rater une fois.

Mais il est où ?

Il ne sait pas, il n'est jamais allé la voir.

Je n'étais pas là à l'accouchement.

Vous n'avez pas assisté à l'accouchement ?

Si, si, mais pas en face, quoi, pas...

Vous avez filmé, vous avez filmé ?

Non, non, non, j'étais là pour tenir...

On la voit dans les clés de bagnons.

Non, non, non, mais je trouve que c'est une connerie de regarder l'accouchement dans l'axe,

je trouve que c'est un tue l'amour pour la suite.

C'est une connerie que le mec soit dans la pièce, moi je trouve.

Ah bon, non, non, il faut sauver la femme.

Ah non, c'était bien.

On a fait tout le boulot pendant 9 mois,

le mec débarque 15 minutes, il te tient la main,

et à prendre la main, il le baisse pendant ce temps-là.

Des hommes qui sont attentifs.

Moi je trouve qu'il y a des choses qu'il faut faire,

si la nature a décidé que c'est nous qui les fassions,

il m'a fallu faire seule.

Il peut être avec toi, il caresse la tête,

et tout, c'était bon, j'allais le bien aimer.

Il caresse la tête ?

Moi, il me caressait la tête ?

Bah oui.

C'est un agriculteur.

Non, puis l'émotion est partagée,

moi je trouve ça beau, un papa ému.

Si t'as, vous avez assisté, vous ?

Oui, oui, oui, je suis arrivé à déguiser moi.

Comment ça déguiser ?

J'étais sur une émission en plateau télé,

et je jouais un personnage,

et donc je suis parti en catastrophe,

et j'ai pas eu le temps de me changer,

en fait, j'étais déguisé.

Non, ne dis pas que t'es arrivé à l'heure,

à l'accouchement de ta femme.

Non, non, non, non, je suis arrivé,

encore avec du maquillage, des fausses moustaches,

et tout ça.

J'ai dit bonjour, je suis le papa,

du moment où je vais pas rentrer comme ça.

On sait ce que dit des proches.

Pendant l'accouchement, l'homme tient la main de la femme,

ainsi, il souffre moins.

Je trouve que l'homme souffre beaucoup,

parce qu'il est dans l'inaction totale,

et c'est très frustrant de pas prendre sa part

du boulot, de la souffrance,

et pardon, j'ai bien été sérieux,

je suis désolé.

Et quand même, on a pris sur nos heures de sommeil

pour féconder la femme aussi.

C'est pas mal, c'est travailable.

Stevie, elle a naissance de bourriquet,

comment ça s'est passé ?

Bien, il est sorti de la boîte,

il est dans un chou, lui.

Et vous, vous êtes né où, Stevie ?

À Lille.

Récontez-nous.

N'est-ce point de vignette, elle n'est pas ma chienne.

Oh non.

Ah non, pas du tout.

À Lille.

T'es Lilois ?

Je suis né à Lille, oui.

Vous êtes petit, en fait.

Mais oui, je suis arrivé au moment où j'avais 3 mois,

mais moi, je suis arrivé en 2 heures, je crois.

Ma mère a lu les premières contractions,

ma mère, elle a couché comme une fleur.

C'est venu que...

Première fois que t'étais précoce.

Non, mais voilà, je suis arrivé tout de suite et bien.

Et vous, Karine Lamarchand, vous êtes né où ?

Dans la maison ou à l'hôpital ?

Non, à l'hôpital.

À l'hôpital.

À la clinique, oui.

J'étais toute blanche.

C'est pas vrai.

Mais si, on est blanc.

Il en aura pas, après.

Moi, je suis né jaune.

Ouf.

Non, mais t'avais la zenis.

T'avais la zenis.

Non, mais les noirs me foncent avec le temps.

Comment ça ?

Mais tu ne n'es pas noir foncé.

Non, il faut plusieurs jours.

Ben t'es pas vraiment foncé non plus.

Et mon père, il disait,

mais non, mais tu l'as pas fait.

Tu m'as trompé.

Ah ben comme ma mère.

J'ai un cinéma à ma mère.

Ah oui ?

Ben oui, je pense.

Comme les olives, quoi.

On fonce avec le temps.

Ah pourquoi les olives noires,

elles ont été olives vertes d'avant ?

Bien sûr.

Je croyais que c'était deux catégories différentes.

Les olives vertes ou les olives noires,

comme le raisin vert,

ne me dit pas que le raisin noir,

c'est du raisin noir.

Non, c'est autre chose.

Bon, alors, c'était pas si con,

ma remarque.

Tu sais que le vin blanc est fait avec du vin rouge.

Je te le sais, ça.

Mais t'as pas remarqué que c'était tout strippé,

pas les noirs, les olives.

Expliquez-moi le coup des olives,

les olives au vert.

Tiens, je vais vous montrer les olives strippées.

Regardez.

Les olives sont vertes,

et puis après, elles vieillissent,

elles se frippent, elles deviennent noires.

Ben oui, c'est des olives pas mûres,

les olives vertes.

Bien sûr.

Moi, je pensais que c'était de catégories d'olives.

Excusez-moi.

Non, mais franchement.

Ben oui, non, mais attendez.

Je suis sûr qu'elles pensent

que le crapeau et le mal de la grenouille,

je fais ça.

Ben pourquoi c'est pas le cas ?

Une question pour Rémi Duchenne,

qui habitait Ange Grande en Moselle.

Sur sa tombe, on peut lire ici repose.

Et là, évidemment,

je ne vais pas vous donner son nom,

puisque c'est le but de nos recherches.

Ici repose, hein,

qui a quitté cette vie

et est partie pour ce lieu béni,

qui est le sol,

où son talent puisse être surpassé.

Sa mort n'est pas tout à fait définie,

mais on dit qu'il aurait attrapé froid

en revenant tard du théâtre, un soir,

et que sa femme lui avait laissé porte fermée,

et que c'est ainsi qu'il est mouru de froid.

Un acteur.

Un acteur, non.

Un dramaturge.

Un dramaturge, non.

Poète.

Poète.

Non.

Française.

Non.

Décidateur.

Je peux peut-être vous donner la date de sa mort.

Oui.

On est en novembre 1685.

Cervantesse.

Cervantesse, non.

On est en novembre 1695.

Quand il est là, il fait froid.

On est à Londres, hein,

même à Londres.

Très précisément à Londres.

À Londres.

Il a 36 ans seulement.

On est compte, il est Jacques.

Jacques les Ventreurs.

Jacques les Ventreurs.

Jacques les Ventreurs.

Non, Jacques les Ventreurs.

Mais l'hiver 1695 a été particulièrement...

François-François-des-Gouraux.

Et donc...

Il a 36 ans, il est là,

et sa femme lui a laissé porte fermée.

Est-il musicien?

Il va en mourir de froid.

Il est musicien.

Ah voilà.

Ah...

Ahendel.

No.

Elton John.

C'est le XXe siècle.

36 ans.

Donc c'est un musicien anglais.

Il n'a pas tellement des musiciens anglais.

Est-il musicien anglais

ou musicien résident à Londres?

Non, un musicien anglais.

Anglais.

Le plus célèbre, sûrement.

Alors, ça pousse.

Sting!

Ouf!

Ben oui, c'est ça.

On a sonné?

Vous venez de réveiller Olivier encore.

Et à chaque fois, je le mérire.

C'est un anglais le plus célèbre.

Moi, je connaissais son nom.

Je peux vous dire autrement.

Je ne me serais pas permis de poser la question.

Vous me connaissez.

C'est Beethoven?

Mozart.

Mozart.

Mozart.

Vivaldi.

John Vivaldi.

John Sebesenbrock.

Peter Schubert.

Richard Klederman.

Il a composé des opéras.

Madame Bachelot, c'est pas le tout d'aller à l'opéra.

Oui, on va l'écouter.

On peut avoir un manque.

Il a composé des opéras très connues.

Alors, quelques opéras, quelques œuvres très connues.

Purcell.

Henri Purcell.

Bravo.

Bonne réponse de Rosely Bachelot.

Ça lui est revenu.

Il a pas un moment où les neurones se branchent.

Purcell, il a pas composé Jeanne d'Arc, l'opéra.

Purcell d'Orléans.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido, Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido.

Dido d' screener.

Bonne réponse de Suosedan.

Un leakurisions.

si vous préférez. Et la question concerne Catherine Jacob, pas directement l'actrice,

mais elle joue une mère macraelle avec un texte argotique, paraît-il, vraiment très, très

réussi. C'est Thierry Dag dans le parisien qui nous raconte l'histoire de cette femme qui a connu

trois guerres, des tueurs, des maisons-closes, des maternités. Alors elle a une choucroute

Sixty sur scène, elle est évidemment habillée un peu façon mère macraelle Catherine Jacob et

elle raconte ses amours, les clients, du bordel, de la maison close, parce qu'elle tombe dans les

filets d'un proxenette avant de devenir elle-même proxenette mère macraelle. Elle dit même

la mère macraelle, c'est comme une mère supérieure mais en plus maquillée. Elle passe 15 ans à aller

aux asperges, dit-elle. C'est ainsi qu'on dit 15 ans à aller aux asperges. Et abandonnée, elle

parle de quelqu'un dont elle dit qu'il avait une baguette surdimensionnée, Pierre Benichou.

Non, c'est pas Pierre, il a été coupé au texte. Une baguette surdimensionnée, presque un

obus de 75, la vraie manivelle à faire voir des étoiles. André Pousse. Non, c'est un comédien.

Non, c'est important, elle dit, il y en avait un, on l'appelait la baguette surdimensionnée,

un obus de 75, la vraie manivelle à faire voir les étoiles. On est d'accord qu'elle parle d'un

homme qui a un gros sexe ? Quelle esprit ! Non mais que je sais, tu biens avant de dire des conneries.

Cela dit, la manivelle à faire voir des étoiles, il baisse bizarrement, le mec est un sœur. Si tu

fais des tours, c'est comme un spécial. Est-ce que c'était un allemand ? Est-ce que c'est

pas dans l'occupation ? Non mais par contre, je peux en effet interpréter un tout petit peu le

langage de cette personne qui s'exprime un argo. Vous voulez un exemple ou pas ? Allez-y, allez-y,

écoutez bien. Mamy Stone est une chouette ménesse, elle est géronde des bateaux pieux, c'est ce que

j'appelle une riche gonzesse aussi. Je l'aime bien, mais non de Dieu, il n'y a pas moyen de quitter sa

gueule, c'est toujours réelle à jacquer, à cause même quand elle est toute seule. Et voilà pourquoi

comme fait Tarté, c'est pas que j'y ai défend qu'à jacquasse, elle a une langue, elle a besoin de

s'en servir. Je veux bien qu'elle potasse moi, temps en temps, loin en loin, qu'à cause quand elle

n'a rien à faire, ou quand elle est couchée, mais le jour qu'elle soit à son affaire, et qu'à cause

qu'elle met comme Michel. Mais je t'en fous, faut que Mme Bhabie, c'est des cancans, c'est des potins,

c'est la femme à julques et une vrille, laisseur à pierre, qu'elle est putain, c'est la grande Julie Montochasse

qui fait des queues à son mecton. Et pour l'instant là, Michel Passe et tous les jours, elle est

carton. Aussi bon dieu, ce soir je m'insure, je vais plus passer pour un paquet, sur que je vais y

coller une purge moi, si je me rappelle pas, la rente qu'est.

Je crois que vous venez d'assister à la fin des frères Vodana.

Oh c'est toujours une histoire de trou noir.

Ça c'était Aristide Bruhan, qui était un poète de la rue et qui a en effet dans certainement

la grosse bite. La baguette surdimensionnée à nos buts 75, la vraie manivelle à faire voir les

étoiles. De qui parle Mme Catherine Jacob ? Un artiste, non. Est-ce que c'est un homme d'État ?

Non, non. Est-ce qu'on le connaît ? Ah oui, on le connaît tous, on le connaît personnellement.

Il est décédé ? Ah oui, il est décédé. Il faut dire quand même qu'on parle là d'une mère

maquerelle qui a connu les deux guerres mondiales, qui a vu passer du monde quand même. Est-ce

que c'est quelqu'un qui l'aurait vu passer pendant la seconde guerre mondiale ? Non.

À militaire ? Non. Ce n'est quand même pas un allemand, elle n'a pas couché que l'ennemi.

Ah non non. C'est en français ? C'est en français, oui. La baguette surdimensionnée à nos buts 75,

la vraie manivelle à faire voir les étoiles. Il est connu pour des faits d'hiver ? Il est connu pour

des faits d'hiver. Ah oui, il est connu ! C'est l'Andru ! Il était pas très grand. Il était pas

très grand, l'Andru, et c'est peut-être une des raisons pour lesquelles évidemment les dames se laissaient

faire par ce personnage. Oui, il les chauffait grave. Il est toujours. Je vais m'en grailler une petite.

C'était un bon coup, l'Andru, si vous voulez. Mais c'est sérieux ce que j'ai dit. Souvent,

c'était un dernier coup, mais c'était un bon coup. Mais moi qui ai écrit une pièce sur ce sujet,

qui connaît tout par coeur, je peux vous dire que les dames, elles en étaient folles. Il y a Team Seed

qui a joué le rôle aussi, où pensait qu'il y a eu un casting sous le pantalon. Et vous ? Et vous,

c'était l'aspalaise qui jouait là ? Moi, c'était l'aspalaise. Il doit être bien monté aussi.

Pourtant, c'est l'autre qui fait le chevalier.

Je n'ai jamais aimé les coiffeurs. Pourquoi ? C'est un point commun que j'ai. Peut-être le sol,

diront les ceux qui ne m'aiment pas. Mais c'est le seul point commun que j'ai avec Pierre Desproches,

c'est qu'ils détestaient les coiffeurs. Mais pour quelle raison ? Qu'est-ce qu'ils vous ont fait ?

Je ne suis pas à la conversation. Mais on dit tout à son coiffeur. On ne l'a pour les plus grands

moments de la vie des gens, leur mariage. Mais moi, je n'ai rien envie de dire. Et particulièrement à mon coiffeur.

Alors on a cette chance. C'est plus facile de se confier chez le coiffeur que chez le dentiste.

C'est vrai, c'est vrai.

Pourquoi vous n'avez... Pourquoi vous ne voulez pas parler à votre coiffeur ? C'est quoi le problème ?

Parce que, mais non mais moi, j'ai cette chance dans nos métiers à la télévision, qu'on nous couvre les cheveux

et qu'on nous coiffe avant une émission. Donc, si vous voulez, j'ai toujours la même coiffeuse.

Et alors, vous voyez qu'on peut avoir une bonne relation avec sa coiffeuse, son coiffeur ?

Oui, enfin, je l'envoie chier régulièrement quand même, mais non, elle est très, très, très gentille.

Mais non, mais aimez ça chez le coiffeur.

C'est elle qui vous a coiffé, là, aujourd'hui ?

Je me coiffe tout ça, de moi-même.

C'est-à-dire qu'en fait, je trouve que c'est un peu une perte de temps.

De quoi le coiffeur ? Mais non, ça m'a bien l'air.

Pour moi, le coiffeur, c'est quand même psychanalyse.

Ah ouais, non. Après, t'auras fait.

Ça donne ça.

En revanche, toi, je te verrai rousse. C'est pas pourquoi je... Le blond, non.

Bleu, je vous le dis.

Rousse, rousse.

Tu les mets en rousse, c'est pas bien qu'ils beaux.

Ça ressemble à Julie Desco.

Mais non.

Non, j'ai envie de dire Einstein.

Non, mais c'est vrai que moi, j'adore aller parler au...

J'allais dire psychologue.

Non, au coiffeur, c'est extraordinaire.

Oui, oui.

Non, mais vraiment, il faut changer de coiffeur.

Non, mais en fait, ça dépend de ce qu'on coiffe.

Parce que...

Par exemple, si c'est l'impératrice qui avait des cheveux presque jusqu'au pied,

enfin, en bas des mollets, aux chevilles.

Elle avait une coiffeuse.

Mais tu n'affordais pas avec Francis Lalanne.

Non, si c'est l'impératrice.

Et elle avait une coiffeuse parce qu'elle se faisait coiffer pendant 4 heures tous les jours.

Mais c'était un vétérinaire, ce n'était pas un coiffeur.

Donc pendant 4 heures, on a le temps tout de même de développer des sujets pour toi.

C'est un peu contraignant quand même.

4 heures tous les jours, c'est un peu contraignant.

Vous avez très beau cheveux à Riel, je dois dire.

Vous allez régulièrement chez le coiffeur.

Non, jamais.

Non, c'est étrange.

On dit que je suis très mal coiffée.

Non, mais le coiffeur vient chez toi, c'est ça.

Non, non plus.

Et je coupe les cheveux avec un ciseau à ongles.

Un ciseau à ongles ?

Un coupon que tu fais avec le coupon.

Mais ça m'est plus hormon que pour ceci.

Voilà.

C'est Bernard-Henri qui lui coupe les cheveux tendre, mais il la coiffe le soir.

Attends, mais tu te coupe les cheveux avec un coupon.

C'est sa barbie.

Il n'est bien qu'il était au bord coulé.

Mais pourquoi avec un coupon et enfin Riel ?

C'est un ciseau, mais je fais ça en deux minutes.

Je ne suis pas non plus férue au coiffeur.

C'est vrai que dès qu'on me vend, on veut me friser.

Et moi, on veut me défriser.

Là, je suis défrisée.

Ah, mais c'est n'importe quoi.

L'armes d'un cul.

Non, mais justement, je ne voulais pas trop.

Tu n'es pas défrisée du tout.

Bah non.

Les boucles sont grosses.

En tout cas, elles sont jolies.

C'est vrai que ce n'est pas très intéressant.

Vous voyez, je vous l'avais dit.

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Écoutez ou réécoutez l'émission des Grosses Têtes avec Laurent Ruquier du dimanche 10 septembre 2023.