Les Grosses Têtes: BEST OF - Les moments cultes

RTL RTL 8/23/23 - Episode Page - 1h 39m - PDF Transcript

Le Laurent, est-ce que vous avez vu que Daniel Evnu est habillé un pensionnaire perverse

pour séduire Olivier de Carseau-Zion ?

Non, pas pour lui.

Ah bon ?

Pour qui ?

C'est déjà fait.

On se connaît depuis longtemps.

Ah oui ?

Vous avez déjà eu...

Non, mais nous le connaissons depuis longtemps.

Vous souvenez quand vous avez rencontré Daniel Evnu pour la première fois, Olivier ?

Il y a 45 ans ?

Oui, il y a 40 ans.

Non, 44.

Il démarquait de Tahiti.

Oui, en 44.

J'avais rencontré Martin Tahiti.

Jacques Martin Tahiti, alors ?

Il avait un chagrin à l'époque qui avait...

Mais je dirais pas son nom.

Quand on l'a voit, on se dit qu'il n'y a pas de raison d'avoir de la paix.

Je peux rien dire, elle est sur MC, ça.

C'est Huguesque.

Oui, c'est Huguesque.

Et Jacques l'a trouvé très drôle.

Oui, il était marrant, il était sympa en plus.

Et elle adorait le concours.

C'est Jacques qui suivait et qui changeait de modeste quand même, c'est pas...

Ce qu'il dit ?

Rien.

Donc, c'est comme ça que j'ai connu.

Mais non, je suis beaucoup sous le charme de Marc depuis longtemps.

Attends, bon, tu entends Olivier ?

Oui, je le croisais au Conseil d'État.

Moi, c'était pas au Conseil d'État.

Oui, maintenant, je parle à la paix de Gouldé.

Tout ça pour dire qu'il y a l'académie.

Tout ça pour dire qu'elle n'a pas traîné que dans des boques chambres.

Encore.

Encore.

Au Conseil d'État, en État, parfois.

Ah, recoute-nous.

Ah, non.

Mais c'est au Palais Royal.

Je me souviens de Daniel, parce qu'elle était mariée avec Georges Filloux à l'époque.

Après avec Jacques.

Et qui avait été...

C'était après, il y a des strates comme ça, et alors, voilà, elle venait au Palais Royal.

Il y a différents décennies de veuve.

Et j'étais sous le charme de cet homme.

Comment bien vous en avez tué, déjà, Daniel ?

Beaucoup sont morts, mais de mon vivant.

Enfin, de mon vivant.

C'est incondi.

Beaucoup sont morts après que nous soyons séparés.

Ils ne peuvent pas tous mourir en même temps,

en étant avec moi, est-ce que je comprends ce que je dis là ?

J'ai découvert, d'ailleurs, que j'étais veuve,

en remplissant la case des impôts.

Je me suis dit, mais je suis veuve, tout ça a cause d'une croix.

Généralement, c'est à cause d'une croix qu'on est veuves.

Oui, c'est vrai.

Mais je parle pas de la croix sur une tombe.

J'ai appris comme ça que j'étais veuve.

Avec la croix, le lendemain, on allait en faire le marché,

où j'ai demandé un oeuf dur, un oeuf maillot, un oeuf...

Vous savez, les oeufs...

Il y a des oeufs qui ne sont pas maillonnaises,

qui sont cuites, angelées.

Un oeuf angelée.

Si vous pouvez, si vous avez une femme de crayon pour prendre des notes,

vous demandez à vous faire réapprovisionner,

parce que vous entendrez pas ça.

C'est à cause de mon mari, on allait tous les dimanches acheter des oeufs angelés.

Dans le bêche marée, hein ?

On se m'apparaît.

Et quel rapport avec le veuve-valle ?

C'est comme ça que j'ai découvert que j'étais veuve-valle.

Parce que qui vole un oeuf, vole un veuve-valle.

Non mais, on prenait tous les jours 2 oeufs tous les dimanches des oeufs angelés.

Oui, mon première citation !

Pour Thomas Blanchard, qui habite à Léonor,

qui a dit, je parle l'espéranto comme un type du pays.

Marcel Pagnol ?

Non.

C'est vivant ?

Non, c'est quelqu'un qui n'est plus là.

Quelqu'un qui, d'ailleurs, je crois, était plutôt doué pour les langues.

C'était un humoriste, il faisait du one man show.

Je parle l'espéranto comme un type du pays.

C'est pas des mots de veuze ?

Pas vraiment de veuze, mais c'était un de ses concurrents à l'époque.

Pierre Doris ?

Pas Pierre Doris.

Quelqu'un qui faisait du one man show.

Et c'était pas un one man show avec quelqu'un ?

Bah non.

Ah bah finalement, je suis content d'être là.

Ah c'était pas des frères ennemis.

On va croire qu'il est intelligent.

Vous vouliez dire quoi ?

Les frères ennemis, mais ils sont deux.

Ils sont mort tous les deux maintenant.

Lui, il est mort aussi en même temps.

Mais on connaît son fils aujourd'hui.

Galabru ?

Galabru.

Robert Lamoureux ?

Robert Lamoureux, non.

Quand est-il mort ?

Il est mort en 2004.

Il fait de la télé aussi.

Et son fils fait du one man show aussi ?

Son fils ne fait pas du one man show.

Il est plutôt acteur, réalisateur.

Mais il a fait beaucoup de scènes, beaucoup de théâtre,

beaucoup de cinémas, son fils, des feuilletons.

Junior ?

Ah non, il n'est pas mort.

Junior, non, il est dit...

Bah il va être content, Gérard.

Non, mais il a un fils qui est metteur en scène.

Oui, bah il n'est pas mort.

Gérard, il n'est pas mort quand même.

Si tu nous écoutes, tout va bien.

Dis-nous le prénom.

Pardon ?

Le prénom.

Et pourquoi pas le nom tant que vous le dites ?

C'est un film qu'il a joué peut-être.

C'était un acteur très peu utilisé au cinéma.

Et c'est vrai qu'on le connaît surtout pour ses one man shows.

Ils tournaient dans tous les centres culturels,

théâtres de la ville.

Et les morts, c'est pour ça que vous nous posez la question ?

Oui, oui.

Non, c'est parce que c'est l'auteur de la citation que je viens de vous donner.

Je parle espéranto comme un gars du pays.

C'est très joli.

Ah, c'est Alex Métayet.

Alex Métayet, bonne réponse de France Pérance.

Comment vous avez entendu parler du western célèbre western,

les sans fusil ?

Android rifles.

Pardon ?

Android rifles.

En version originale.

D'accord.

Android rifles.

Les sans fusil.

Ce sont des indiens qui sont opprimés par des colons au Mexique.

Et là, vous avez deux hommes et une femme qui vont les aider à s'opposer.

Et alors, ce film a marqué l'histoire du cinéma.

Pourquoi ?

C'est le premier film dans lequel on voit quoi ?

Raquel Welsh.

Alors c'est vrai qu'il y a Raquel Welsh.

Oui, et alors ?

C'est la première fois qu'on voit un noir.

Jim Brown.

Qui joue dans un western, un noir.

Jim Brown.

Alors ça, c'est vrai, mais c'est pas la première fois qu'on voyait un noir au cinéma.

Ah, première fois qu'on voyait un noir, tuer des indiens.

Non, non.

Un indien qui mourrait pas ?

Non.

C'est la première fois qu'on voyait un indien scalper en direct ?

La première fois qu'on voyait des indiens gagner ?

Oui, c'était la cause indienne, non.

On a scrollé la bonne réponse, là, mais...

Avec l'acteur noir ?

Avec Jim Brown, l'acteur noir.

C'est la première fois qu'on voyait une femme blanche embrasser un acteur noir.

Mieux que ça, même.

Coucher !

Coucher !

C'est la première fois qu'on voyait deux personnes de couleurs différentes,

faire l'amour au cinéma.

Bonne réponse !

Et c'était un câliné, donc ?

Eh ben ça, c'était en 69, je veux dire.

Ah bah...

Mais c'est vrai.

Elle est erotique, choisie.

Elle est sans fusil.

Oui, ça avait choqué, je vous jure, à l'époque,

très beau, là, et l'autre.

D'ailleurs, Jim Brown et Raquel Walsh, c'est pas n'importe quel coup,

plein quand même, il faut bien dire,

il était magnifique Raquel Walsh.

Pas très bien, Jim Brown, pour être honnête.

Non, mais c'est un acteur très connu.

C'était au toilette chez Raquel Walsh.

C'était au toilette chez Raquel Walsh ?

Pourquoi raconter ?

J'ai utilisé les toilettes chez Raquel Walsh.

Raconter !

Quand on était dans l'assange-laise,

Patrick Deveur, qui était copain avec l'amour de Raquel Walsh,

on a été chez Raquel Walsh, et j'ai fusilé au toilette.

T'aurais pu dire que je suis allé me faire un thé dans l'accusé ?

Ça m'a marqué.

Je me suis assis sur les toilettes dans Raquel Walsh.

Ah oui, quand même !

Ça m'a fait un truc.

Mais elle n'avait pas de toilette personnelle.

J'en ai pas sa chambre personnelle, oui.

Ah, t'étais dans sa chambre ?

Ça m'avait 22 ans, je me souviens, ça m'a fait un truc.

Mais si elle nous entend, elle va être émue,

parce qu'elle vit encore à Raquel Walsh.

Oui, mais on t'entend plus rien, hein.

Peut-être tu veux dire que Gérard Junio s'est assis sur ses...

Elle le sait, elle le sait.

Je préfère pas.

Mais si tu t'es assis dessus, c'est que t'as fait la grosse commission.

Ah oui ?

Ah non !

Ça m'a tout coupé.

Ça m'a tout coupé.

Il est chier, Chirac et Walsh.

Non, ça, c'est pas possible.

Non, non.

Non, je me suis assis.

Jusqu'à ça, pour avoir marre.

Oui, je comprends, je comprends.

Oui, pour la sortir.

Non, mais il y a un...

Mais il y a des hommes qui s'assoient pour faire pipi, hein.

Ben oui, c'est pas courant, quand même.

Oui, parce que des fois, t'as ton bouchard.

Oui, c'était en l'action.

C'était en l'action.

La cuvette, et c'est là que tu choppes plein de saloperies.

On prétentie.

On prétentie, attends !

Il pêche avec lui, attends !

Excuse-moi.

Tu te laissiers, et ça boute le...

Non, ça bouge pas.

Je dis, ça peut toucher le rebord.

Ça marche chez le voisin !

Ça ressemble !

Non, mais si on l'appelle...

On l'appelle le piton de Grenoble.

D'accord.

Non, mais c'est pas possible de faire ça.

Si, par exemple, tu te lèves le matin,

parce que tu es une gloire,

une gloire, et tu t'assois,

tu peux pas, il faut...

Enfin, c'est compliqué !

Bon, écoutez, je vais pas contredire

un type qu'un chieux, chère, à Calouache.

Une question pour madame La Maison,

qui a 8-3 milliers sur scène,

qui nous emmène en 1933.

C'est un monsieur...

1933, novembre.

Vous avez de l'espoir, et pas...

Novembre 1933.

Il y a un monsieur qui s'appelle

Monsieur Bonour, qui est coiffeur,

à Tarasco.

Bonne-our !

Bonne-our à tous !

Bonne-our à tous !

Et pour quelle raison,

tout le monde parle de Monsieur Bonour ?

Eh ben, c'est l'entraîneur du Japon !

Bonne-our !

Bonne-our à tous !

Allez, maintenant, tout le monde,

sur le terrain !

Et il est encore pire que toi !

Ça va être dit,

parce que là, on se chauffe,

mais non, pas moi.

Ils sont tous comme ça, vos copains, toi !

Non, non, non, il y a aussi des gens lourds.

Bon alors, Monsieur Bonour,

en 33, très connu, hein.

Là, je peux vous dire, j'aurais été au Grosse-Tête...

C'est pas Patignol, là ?

Mais non !

J'aurais été au Grosse-Tête aujourd'hui.

Tout de suite, je vous donnais la réponse.

Monsieur Bonour en 33.

Parce qu'il est le père de Quintupley,

non, c'est pas cette histoire-là.

Ah !

Vous ressortez les vieilles histoires.

Les vieux, les vieux-prenandels.

Exactement.

C'est vrai qu'à cette époque,

c'était un exploit, quand il y avait

des Quintupley.

Vous connaissez la belle anecdote

qui est dans les archives

de la radio-concurrente Repin.

La première fois qu'il y a eu des Quintupley,

parce qu'il survivait pas toujours

à cette époque, les Quintupley.

Il y avait des chatons, hein.

C'était ça, le problème, évidemment.

Il y avait une portée, une moyenne.

Et les reporters n'étaient pas toujours en direct.

Vous savez, ils enregistraient leurs petits magnétos.

Et évidemment, celui qui présentait le journal,

je crois qu'à l'époque,

sur le Repin, ça devait être Henri Arnault,

demande aux reporters.

Mais les reporters, il n'est pas en direct.

Il dit alors, sur les Quintupley,

combien sont-ils encore vivants ?

Et on entend le reporter,

et il a mal callé le truc,

il entend 5, 4, 3, 2, 1, 0.

Oh !

C'est une horreur, mais je vous jure que c'est vrai.

Et il fallait un super grand figot

frigo quand t'avais des Quintupley.

Mais ça n'a rien à voir

avec monsieur Benour,

coiffeur à Tarascon.

C'est le premier,

le premier monsieur Benour,

d'une longue lice.

Ah, c'est l'inventeur du selfie.

Mais non !

Il est coiffeur à Tarascon,

Paul Benour,

et il est le premier,

le premier quoi.

C'est un coiffeur hétéro ?

Ah, mais non !

Non, mais de Tarascon, c'est le premier.

Et premier à Métabligoudi.

Mais non !

Ou ça, Jean-Pierre, il dit quoi.

Ah, c'est pour les mèches ?

Non !

C'est rapport à son rapport au boulot ?

C'est rapport à la coiffeuse ?

C'est rapport à la coiffeuse ?

Ah non, il aurait pu ne pas être coiffeur,

il se trouve qu'il est coiffeur,

mais il aurait pu avoir un autre métier.

Non, c'est un événement plutôt joyeux

qui lui est arrivé à monsieur...

Ah, la Chandler,

c'est quand même la Chandler ?

Ah, monsieur Benour.

C'est le premier gagnant de la loterie nationale,

monsieur Benour.

Bonjour !

Bravo, bravo.

Eh oui, le premier gagnant de la loterie nationale,

c'est un monsieur...

C'est quand même génial.

Ils l'ont choisi,

il s'appelle Benour.

En décompte, le premier gagnant de la loterie

gagne 5 millions de francs à l'époque.

C'est du bonheur.

C'est du bonheur.

Un coiffeur de Tarascon

qui empoche cette somme exceptionnelle.

Et quand il est mort en 1961,

évidemment, on a retracé tout le parcours

de cet homme qui restait célèbre et modeste.

Il a continué à travailler.

Il a juste pu coiffer.

Qu'est-ce que vous voulez ?

Oui, j'ai resté une femme toute simple.

Il mettait ses bigos.

Pourquoi est-ce qu'il n'y a pas resté modeste

dans son mode de vie ?

Il n'a pas été envoyageant.

Il a conservé son salon de coiffure,

avoir gagné la loterie nationale.

Il a continué sa vie de coiffure.

Gaston Benour a été le premier grand gagnant

de la loterie nationale.

Ce n'est pas comme aujourd'hui.

Il y a des 10 000 jeux à l'époque.

Il faut comprendre que c'était un événement

le gagnant de la loterie nationale.

Il a gagné 160 millions d'euros.

Qu'est-ce que tu fais ?

30 millions.

Tu te rends compte ?

Qu'est-ce que tu fais ?

Mais rien du tout.

Une fois que t'as payé ton chauffage...

Il n'y a plus rien.

Il n'y a plus rien.

Il y a un bol de riz peut-être.

Bonne réponse d'Olivier.

Oh, là-bas.

Ben oui.

Ben là, c'est un tollerau.

C'est un utaliste.

Je n'ai pas dit bonne réponse d'Olivier.

Non, je n'ai pas dit.

Mais là, c'est tellement fort.

On s'en fout.

Je le dis si vous voulez.

C'est pourquoi vous avez des parents

qui vous écoutent.

Bonne réponse d'Olivier Bellamy.

Bonne réponse.

Bonne réponse.

Bonne réponse.

Bonne réponse.

Bonne réponse.

Bonne réponse.

Je fais plus que je veux ici.

Bravo, chérie.

Bravo, bravo.

Pour Monique l'ancien, question suivante.

Même l'ancien habitage dans le lot égaronne.

Comme Bruno.

Oui, Bruno Dajin.

Je vous emmène en 1870.

J'adore quand vous dites ça Laurent.

À chaque fois que je vous ai écouté,

je vous emmène en Grèce.

Allez, tout le monde en Grèce.

C'est merveilleux.

Il y a un côté voyage dans le temps.

Oui, il y en a une souvent.

Non mais c'est vrai.

Je vous emmène en 1873.

Non, et on fait quoi ?

Il y a un architecte qui s'appelle Paul Abadi.

Il y aurait une excursion.

Paul Abadi vient de gagner le concours cette année-là.

Abadi quoi ?

Abadi quoi ?

Abadi quoi ?

Le concours Lépine ?

Le concours vient de gagner l'architecte Paul Abadi en 1873.

La meilleure viande en sauce.

C'est une œuvre qu'on peut encore voir aujourd'hui ?

Ah oui, oui, oui.

D'accord, en France ?

C'est un bâtiment qui l'a construit.

Ah oui, oui.

Ah, à Paris.

À Paris.

C'est quelque chose qui est toujours là.

Bah écoutez, fréquentement,

tu as demandé à une de nos grosses têtes.

C'est un pont.

1873, c'était à l'époque de Haussmann ?

Oui, enfin un peu avant-près.

Il y a quelqu'un ici qui pourrait répondre à cette question

et qui pourrait vous répondre directement, Valérie.

Ah bon ?

Ah oui.

C'est un monument sur lequel on peut s'asseoir donc.

Le sacré-queur, non ?

Pardon ?

C'est pas le sacré-queur ?

C'est le sacré-queur !

Bonne réponse de Jean-François Jancet !

Mais c'est vrai que tu habites en France,

plus exactement.

Alors est-ce qu'il est toujours là le sacré-queur ?

Oui, il est beau.

Hier, il était tout rouge.

Vous avez vu sur le sacré-queur de chez vous ?

Oui, oui, oui.

Et le sacré-queur habite sur moi.

Il a des vues sur toi ?

Oui, non.

Et je me suis intéressé à cette bâtie, ça, parce que...

Vous auriez dû retenir le nom de l'architecte.

Paul Abadi.

Paul Abadi, oui.

C'est le con.

Oui, mais attends, quand vous ferez venir des copains

ou des copines à la maison,

vous les mettez à la fenêtre et vous verrez...

Tu vois, regarde, ça, c'est Paul Abadi.

Mais ça, c'est ma bête.

Et comme ça, oui.

Le connaissant, ça ira assez vite dans la culture.

Abadi, oh !

Abadi, oh !

Hé, oh !

Hé, dis-donc, c'est la dernière fois que je regarde

à la fenêtre chez toi, dis-donc.

Abadi !

Abadi !

Abadi, dis-donc.

Abadi, t'es gonflé, c'est pas de dis-donc.

Qu'est-ce que vous avez vu hier, alors ?

Hier, il l'avait mis en rouge.

Ça, il se passe toujours un truc au sacré-queur.

C'est vrai, il y a de l'animation tout le temps.

Mais c'est pas une vue sur la samaritaine.

Il y a de la zoom balle, mardi.

Là, c'était pour les chrétiens opprimés dans le monde,

qu'ils étaient en rouge hier.

Après, il y a eu l'Europe, il était en bleu.

Ils changent de couleur.

Ça vous fait un spectacle à la maison ?

Oui, je regarde les fenêtres et je suis content.

Mais faut pas ouvrir les fenêtres trop longtemps

pour le chauffage en ce moment.

Ah, moi, j'arrive.

Ça chauffe pas du tout.

Je mets un gros gilet, mais je me mets pas de chauffage.

Ça chauffe nulle part, là.

Il y a des gens qui ont du chauffage chez eux.

Honnêtement.

Il fait doux quand même.

Il fait pas doux.

La nuit, il fait froid partout.

Moi, je regarde la coupe du monde de foot,

il mette la clime tellement fœur au catar.

Ça passe par ma télé.

Vous allez lâcher l'heure du catar chez vous.

Bon, en tout cas, c'est bien Paul Abadi

qui a construit le Sacré-Cœur

en gagnant un concours en 1873.

La lèpre et la teigne sont deux maladies

qui évidemment sévissent beaucoup moins qu'au 16e siècle.

Mais pourtant, ces deux maladies-là

nous ont laissé une expression

que nous utilisons toujours.

Laquelle ?

L'èpre à Élise.

Mais quoi, les deux mots ensemble dans l'expression ?

La lèpre et la teigne,

je répète la question pour les sourds.

La lèpre et la teigne sont deux maladies

qui évidemment sévissent moins qu'au siècle dernier.

Mais pourtant, ces deux maladies

nous ont laissé une expression

que nous utilisons toujours.

Avoir quelqu'un dans la peau ?

Non.

C'est manger sur la tête d'un ténieux

dans la main dans les fruits.

Les deux mots sont utilisés dans l'expression.

Pas directement les deux mots.

Non, parce qu'il y a l'expression

« Ha, ha, quelle teigne ! »

C'est-à-dire que c'est une seule expression

qui évoque ces deux maladies.

Pour la lèpre, c'est que je l'ai laissé un bras.

Non.

Il y a combien de mots dans l'expression ?

Vous voulez vraiment le nombre de mots, alors ?

Oui, oui.

Oui, pour trouver.

Cinq mots.

Cinq mots.

Ça commence par « avoir ».

Pas du tout.

L'expression viendrait donc du Moyen-Âge, en gros.

Évidemment, mais on l'utilise beaucoup

encore aujourd'hui, cette expression.

Être comme QHMIS.

Comme QHMIS, c'est pas mal, mais ce n'est pas ça.

Qui est quoi, qui est péjoratif ?

C'est l'expression qu'on a.

C'est plutôt pas bon signe, pour tout vous dire.

C'est que tu es viré par exemple d'un groupe.

Non, pas viré d'un groupe.

C'est pas bon signe, physiquement, vous voulez lire.

Non.

La voir dans le Fillon.

Non.

Et ça sent pas dans quel registre.

Oui, c'est ça.

En gros, en gros.

Vous qui, en plus, faites métier de spectacle,

j'espère pour vous que vous l'avez rarement employé,

cette expression.

Donc, ça vécut une corde.

Du tout.

Il n'y a pas un chat.

On se rapproche.

Un bon chat, bon.

On se rapproche même beaucoup.

Il n'y a pas un chat.

On est très près, on brûle.

Il y a le mot chat dans l'expression.

Non.

Mais vous étiez tout près, vous avez brûlé.

Il n'y a pas, pas dedans.

Il n'y a pas.

Il n'y a pas.

Il n'y a pas.

Non, il n'y a plus tôt.

Des moustaches ?

Il y a plus tôt et il n'y a pas.

Il y a du monde au balcon.

Non.

Mais vous étiez tout près avec votre expression, Philippe.

Il n'y a pas un chat.

Il n'y a pas un chat dehors.

Il n'y a pas un lapin.

Comment vous avez dit ?

Il n'y a pas un chat.

Alors, c'est drôle parce qu'en disant, il n'y a pas un chat,

vous brûlez, mais vous brûlez.

Il sort de souris.

Non, non, non.

De rats.

Il n'y a pas un chat.

Je rajoute.

Non, c'est le sort, évidemment.

Ah, c'est le sort.

Personne.

Il ne fait pas bon à mettre un chat dehors.

Non plus.

Il n'y a pas le mot chat.

Ils ne sont pas venus.

Un temps à coucher dehors.

Je ne sais pas.

Vu qu'ils ne sont pas là d'expression,

il n'y a pas un pelé.

Alors ?

Un pelé et trois tendus.

Un pelé et trois tendus.

Bonne réponse.

De Carine Marchand.

Quand il n'y a personne quelque part,

on dit qu'il y avait trois pelés et un tendu.

Voilà pourquoi quand vous me demandez où il n'y avait pas.

On dit qu'il y a et pourtant il n'y a pas.

Il y a trois pelés et un tendu,

ce qui veut dire qu'il n'y a pas, en fait, il n'y a personne.

Il y a trois pelés et un tendu.

Et évidemment, qu'est-ce que c'est que les pelés et les tendus ?

C'est en dilant sur la qualité des personnes qui sont présentes.

Et ben oui, c'était effectivement, à l'époque,

une expression qu'on utilisait pour dire qu'il n'y avait vraiment personne,

à part des malades, de la terne ou de la lempre.

Il y avait trois ténieux et un pelé.

Parfois, on pouvait dire quatre pelés et un tendu.

Moi, j'ai entendu même un jour trois pelés et deux tendus.

Ça dépend des écoles.

Moi, j'ai entendu, mais tiens, il n'y avait que des tendus, dis-donc.

Trois pelés et un tendu,

voilà une expression, en tout cas,

qui nous vient effectivement des siècles derniers

à cause de la lèpre et de la taine.

Bravo, Karine Le Marchand.

Vous pouvez lui donner des petits conseils à Ariel,

c'est sa première fois.

Non, pas du tout, je déteste les nouveaux.

Non, mais elle, je l'adore, je l'aime.

Elle est jolie, puis en plus, elle parle espagnol

avec l'accent de Véric du Sud,

et elle chante le tango.

Comment voulez-vous que je ne l'aime pas ?

Ah oui, c'est pas comme Bachelot !

Ça n'y est !

Qui refuse de chanter le tango ?

Ça y est, l'idée, les filles.

Voulez-vous, madame, avec Antonio,

qui vous le réclame dans ses runes tangos,

qui vend le doux par fameux grise,

et je suis épris,

j'ai la sensation exquise d'être au paradis.

Il est une incarmante.

Tu vois, tu vois,

il a fondu de la gueule.

C'est vraiment mon métier.

J'ai qu'à aller mettre sur la piste,

et après ça, je peux plus arrêter.

Je dois dire, chère Ariel D'Aubal,

que Roselyne Bachelot a pris une longueur d'avance.

C'est vrai.

Amour, amour, amour.

Nacio de ti, nacio de mi,

de l'esperanza.

Bravo.

Aller, la pérouille.

Amour, amour, amour.

Quand t'embaisais, mais refusais,

moi et l'amour.

On est mal, on est mal, on est mal.

Allez, Anou, toi qui voulez toucher,

tu cherches à la voisine.

Non, c'est vrai que tu aurais une caméra.

C'était musical, ce qu'on faisait.

Et romantique.

C'est vrai qu'il y avait un petit côté latino,

par ici, qui était assez agréable à entendre.

Si c'était parigaux.

Direz-moi, c'est migrant.

C'est vrai que Pierre Ménychou est particulièrement gâté.

Notez bien que Gérard Junio...

Merci.

Gâteux ?

Non, c'est méchant.

Pas gâteux, gâté.

Ah oui, je n'avais pas compris.

Gérard Junio ne dit rien dans son coin,

mais je ne sais pas si vous avez remarqué,

il ne se sépare plus de Karine Lemarcien.

Vous nous collez ensemble.

Oui, parce que je crois que vous allez bien ensemble.

Ah, ouais, ouais.

Vous cherchez quelque chose dans la campagne ?

Non, pas du tout.

Je n'ai jamais ma campagne.

Florian Ghazan, tout va bien de votre côté.

Très bien, parfaitement.

Vous, vous pouvez donner des conseils à Ariel Dombal,

puisque vous êtes celui, je vous le dis chez Ariel.

Florian Ghazan, comme ça, il ne paye pas de mine,

comme on dit chez moi, mais c'est ce qu'il faut.

Ah, il vous plaît bien, Roselyne.

Oui, oui, oui.

Il m'a trouvé un petit côté intellectuel.

Et bien, c'est vrai.

Et moi, dans les coulisses...

C'est pour bien que vous ne me connaissez pas.

Dans les coulisses, on m'a dit, oh, méfiez-vous,

il est rapide comme une flèche.

Et c'est surtout celui qui trouve le plus de bonne réponse.

Rapide, c'est pas forcément une qualité.

C'est ça.

Alors, il est temps de commencer par une première citation,

et on va voir qui retrouve l'auteur de cette phrase.

C'est Monsieur Wolfgang Ménuch, qui espère 300 euros,

et l'habite brive la gaillarde,

mais j'ai avoué la vérité à ma femme

que je voyais un psychanalyste.

Elle aussi m'a alors avoué la vérité

qu'elle voyait un psychiatre de plombier, un barman.

C'est récent.

Vous dis, Alaine, ce n'est pas si éloigné que ça,

mais c'est quelqu'un qui est mort.

Ce n'est pas vous, d'Alaine.

Ce n'est pas sa chagitrine.

Ce n'est pas sa chagitrine.

Ce n'est pas un français, ça.

Ce n'est pas un français.

Allons-y, Marc.

Alors, ce n'est pas grand chose, Marc,

mais c'est un américain.

Humoriste.

Humoriste, acteur américain.

Johnny Carlson.

Oh, l'accent qu'est là, Ariel.

Bon.

It's not Johnny Carlson.

It's not Johnny Carlson.

Could be Robin Williams.

Eh bien, c'est Robin Williams.

Pas une réponse de Florian Guizard.

Bon, je vais monter le niveau un petit peu encore

pour Marie-Laine Sanson,

qui habite la chevre lière en Loire-Atlantique,

qui a dit la seule façon d'être suivie,

c'est de courir plus vite que les autres.

Américains aussi ?

Ah non, pas américains.

Quelqu'un de la mode ?

Alors, de la mode, on ne peut pas dire ça.

C'est un français, écrivain, peintre, graphiste aussi.

Christophe Le Maître.

Non, ça, c'est un athlète.

La seule façon d'être suivie,

c'est de courir plus vite que les autres.

Écrivain, peintre et graphiste.

Exactement.

Qu'est-ce que ça existe, ça ?

Vivant en ans, il est mort en 1953,

à Paris, là où il était né, d'ailleurs.

Et il n'a pas un nom qui sonne très français,

il faut reconnaître.

Aham.

Johnny Carlson ?

Non, Gérard.

Ça marche pas tous les coups.

Bien essayé.

Il était écrivain et graphiste.

Oui, oui, oui.

Alors, il a...

Il a la bande de Chinez ?

Non, il a un nom qui ne sonne pas très français,

parce que son grand-père était né à Cuba,

puis est migré à New York, ensuite à Madrid.

Donc, il a un nom à consonance latine.

Exactement.

Ah.

Picasso.

Picasso, non ?

Picasso, non ?

Picasso.

Choutine.

Choutine.

Comment vous dites ?

Choutine.

Non, non, non.

Quel type de peinture il faisait de la peinture figurative ?

Figurative, non.

Il a quand même été affléancé par les peintres de Barbizon.

Comment vous dites ?

Alors, ça y est, je sais.

Allez-y.

C'est Hans Ahtung.

Ahtung ?

Ahtung ?

Ça s'est mis par l'espagnol, non ?

Ça te paraît non à consonance latine.

Vous allez...

Il a beaucoup auparagoué.

Vous allez me faire tous les accents, Riel.

J'attends la Belgique avec un peu de science.

D'envergouer que j'avais presque tout juste, graviste.

Oui, presque tout juste.

Non, il a été influencé par Sisley.

C'était aussi...

L'école de Barbizon.

Ah, Picabia.

Francis Picabia.

Bonne réponse de Florian Gallable.

Alors, attendez.

Il n'y a pas que Florian qui est une flèche et qui connaît toutes les réponses.

Moi, je vais vous citer autre chose de Francis Picabia.

Non, non, non.

C'est pas la peine, les questions, c'est nous qui déposent.

Non, non.

Alors, Francis Picabia a dit une très jolie phrase qui est

« J'aimerais avoir une tête carrée pour empêcher mes idées de tourner en rond ».

Ah, c'est assez joli, quand même.

Il a dit aussi une fois, à quelle heure on mange ?

Une question pour Laurent de Grout, qui habite l'Aine, en sonner loin.

Et la question concerne évidemment l'exposition Léonard de Vinci,

qui va démarrer le 24 octobre,

où l'ouvre jusqu'au 24 février.

C'est vrai que tout le monde en parle,

parce que les réservations sont déjà incroyablement nombreuses.

Il faut réserver pour aller voir l'expôt de Vinci,

à partir du 24 octobre.

Il faut dire qu'il y aura beaucoup de tableaux signés...

Pas tant que ça.

Pas tant que ça, mais enfin, il n'aura quand même plus que d'habitude.

Il n'aura pas que la joconde.

Oui, il n'a pas une œuvre incroyable.

Non, mais l'homme de Vitruv, par exemple, sera au Louvre.

Et on a réussi à l'obtenir,

on a réussi à obtenir du ministère de la Culture italien

le près de l'homme de Vitruv.

Parmi toutes celles qui ont été demandées par la France à l'Italie,

une seule œuvre ne sera pas présente au Louvre.

Une œuvre qu'on peut voir d'ailleurs à la bibliothèque royale de Turin,

laquelle ?

Bah celle-là.

Alors là, tu pourrais pas...

La Seine.

La Seine ? Ah bah non, mais la Seine de toute façon,

on ne peut pas l'enlever.

La Seine, c'est à...

À Paris, la Seine.

La Seine, ça dépend de la Paris.

À Fresco, à Fresco.

Non, c'est à Milan.

C'est sur Amur, on ne peut pas l'enlever.

C'est à Fresco.

Ça s'appelle la peinture d'une fresque.

Eh ben moi, j'ai été à l'embouchure de la Seine.

Non, mais c'est vrai.

À Soursocene, c'est très émouvant.

J'ai enchanté la Seine.

Je sais qu'on ne parle pas mais...

C'est un homonyme...

C'est un homonyme...

Oui, oui, ça ressemble.

Quel rapport.

Parce que ça ressemble.

La Seine, la Seine, c'est un...

Ils s'écrivent pas pareil.

Je sais, mais je voulais...

Ils s'écrivent pas pareil.

Je ne le dis pas maintenant, je ne le dis jamais.

Personne ne me le demandera, donc je vous le dis.

Je suis allée à Soursocene.

J'ai enchanté la Seine.

C'est très émouvant de voir.

Vous avez enchanté la Seine.

Et depuis, depuis cette émouvant...

Vous avez l'alcalde du Pond neuf.

J'ai été ému.

Mais j'ai été ému.

Et même mouillé peut-être non ?

Non, c'est un tout petit rue.

Oui, et c'est à Soursocene, c'est très solide.

C'est une plate taux de langue,

la source de la Seine.

Mais c'est l'imbouchure.

Je sais, je suis néoavre.

À l'estuaire de la Seine,

je suis remonté avant,

et j'ai faim.

C'est à 20 kilomètres de Dilton.

Et je dirais toujours je mourrais parce

Je remonte, je suis comme un saumon, vous voyez, je remonte la scène tout doucement.

T'as l'odeur ! C'est comme... non !

Attendez, mais je comprends pas, parce qu'il faut quand même avoir des grandes jambes pour en boucher la chaîne.

En boucher ?

C'est un rue, au début.

C'est une goutte d'eau, c'est une... c'est une...

Mais après, c'est des bouches en gros, Flèves.

Mais, mais, mais...

Mais non, hein.

Dans la vie, la loi, t'es tard.

Et c'est ça qui était mouvant, c'est de pouvoir enchamber la scène ?

Oui, mais la photo quand vous en boucher, là...

Elle a été prise de quelle angle, la photo, quand tu en jambes ?

Attention, la tour est faite !

Voilà, voilà !

Oh, c'est beau !

Qui bide comme elle est ?

Ah, mais vous êtes trop nul !

C'est très émou... mais j'ai eu les larmes aux yeux, t'es plus !

Ah oui, ah oui.

Ah oui, ça y a un petit goutte, hein ?

Non, mais...

La photo d'Isabelle Mergo en jambant, la scène...

C'est pas moi, ça m'émeut, voilà.

Y'a pas d'eau en-dessous.

C'est un rue !

Un rue !

Un rue !

Y'a un chien !

Si je sais pas que tu vas pisser au bord de la route, tu prends une photo ?

C'est vrai que là, franchement...

Vous pourriez être snap partout !

On voit rien !

Et pourquoi vous êtes allés là-bas ?

Ah ben, quand t'as rien à foutre...

Je voulais voir Lombouche...

Je voulais...

Je trouve que c'est émouvant...

Mais...

De voir...

D'où part la scène ?

Ah ben oui, oui, oui.

Merde !

J'ai même plus le vocabulaire !

Il te reste plus qu'à aller au pied du Mont Blanc, et ta vie est compliquée !

Mais j'avais les larmes, monsieur !

Je vous jure !

Je comprends !

Vous voulez pas nous montrer le bout du rein, maintenant ?

Et mon néonard de Vinci, moi, j'en fais quoi ?

Non, non, non !

Ce serait pas...

Ce serait pas le créateur du monde.

Non, il vous reste à peine 20 secondes pour ce tableau !

Le tableau qui manquera aux ouvres que les Italiens ne peuvent pas nous donner,

parce que c'est trop précautionneux,

c'est trop compliqué...

La joconda ?

Non, pas la joconde, non.

Donc, c'est pas précautionné, il est trop lourd, il est trop grand ?

Non, mais tout simplement...

Il est trop cher !

Il est trop cher, il est trop vieux.

Il fait un dessin à la sanguine sur papier...

C'est son auto-portrait !

Et c'est son auto-portrait !

Bonne réponse !

De Jean-Jacques Perrony, il était temps !

Monsieur le Capitain, il semble que vous connaissiez Monsieur Toyne depuis longtemps.

Il a toujours été comme ça, hein.

Ça fait 11 ans, Laurent, que c'est mon ami.

Et je suis content de le voir briller.

Mais vous êtes connu où il y a 11 ans, là-bas d'après vous ?

Oh là là, bah là là !

On s'est réaciné belle à tard !

La meilleure idée de Canal Plus !

On faisait un plateau d'humoristes, et ils ont filé la présentation du plateau à Sébastien.

Il a insulté tous les humoristes de l'émission !

Mais j'aime pas les bouts !

Et le seul que ça faisait rire, c'était moi,

parce que moi je capte que c'était du 1.000e degré,

et apprendre à commencer à boire des cafés ensemble.

Et j'ai arrêté de boire des cafés avec cette personne.

Parce que dans la rue...

Non mais j'aime bien...

Il me foutait la honte dans la rue !

J'ai un ami qui est en terrasse, j'arrive en scooter,

j'arrive souvent en retard, pas beaucoup, mais 5-10 minutes,

et j'arrive, il est déjà installé en terrasse,

et j'arrive en criant à la Wakbar !

Et genre...

Non mais !

Et genre, je fonce !

Je fonce dans la terrasse !

Non mais c'est que...

Bah moi, ça me fait rire !

Laurent Olajuiz, ce qui fait ce bougre...

Nan, chaque fois qu'on prend le train ensemble,

je le brif, je fais ça,

il ne fait pas la blague du train, je t'en supplie.

C'est quoi la blague du train ?

Bah la blague du train, tu la connais très bien,

on va au wagon-bar,

il passe devant moi,

il ouvre la porte du wagon,

il rentre dans le wagon,

et il sort de vers moi, il fait

QUOI ? Il est PD Yann Barthès !

Et il avance !

Et tout le monde me regarde,

genre, c'est moi qui l'ai dit !

Ça va l'enfer !

Voilà, il l'a fait !

Et en plus, comme moi, je ne suis pas connu,

il a dit ça !

Il y a un demeuré qui parle à Leca Plain,

le mec du mur penché pendant le soir,

Les pires blagues !

Il m'a fait les pires blagues !

Non mais...

On s'en demande si on va y emmener un voyage,

je suis là, non !

Au-dessus du frère, on va rigoler !

On va rigoler, je te jure !

Moi, j'adore faire semblant de voler !

Tu fais semblant,

puis tu rètes les caméras,

et tu fais...

Tu fais des p'tits doigts à la sécu !

Tu l'enlèves !

Tu prends un tobleurant,

et tu te la mets dans les fesses !

Et tu l'enlèves, et tu fais...

Non !

Je vais à la caisse,

mais peut-être que j'ai folie

une chaupe à choupe,

mais c'est pas sûr !

Il fait que des blagues comme ça !

Quand on est au restaurant,

il commande toujours un moelleau.

Vous savez ce qu'il fait avec un blague,

à chaque fois ?

C'est un enfer !

Ah, j'ai fait le même ce matin !

Alors ça, je me souviens pas de cette blague,

c'est ça !

Une autre citation pour...

Mais pourquoi on fait les citations ?

On parle de moi, là !

C'est intéressant !

C'est génial !

On parle de toi comme si t'étais mort !

Est-ce que c'est pas

le plus bel des hommages ?

Même les plus grands,

ils me rejoignent, rien de...

Une citation pour Julien Jean-Pierre,

qui habitera un,

c'est dans la marne,

qui a dit,

j'ai parié sur un cheval tellement lent

qu'il a gagné la course d'après.

Dari Bouds !

Dari Bouds !

Une bonne idée, Dari Bouds !

Non, pas Dari Bouds !

Non, c'est américain, ça !

Qui a fait son grand retour

au Grosse-Tête.

Oh, merde, j'arrive !

Non, un Français,

un Français Carlos !

On aimait bien !

Non, on a dit un Français !

Ah !

On l'aimait bien,

donc il nous a quitté !

Qu'on aimait bien !

Oui, il est mort, oui, oui,

il venait tant, tant,

trop rarement au Grosse-Tête.

Ah, Jean-Huit de Bré ?

A l'époque de film, va...

Oui, Henri Comacias !

Non, pas Henri Comacias !

Il est en pleine forme, en plus !

Même genre, un peu trop plus calme !

Mais oui, il est pas mort,

c'est dégueulasse !

Il était en concert hier,

c'est dégueulasse !

Excuse-toi,

pour toute la communauté,

tu t'excuses !

Ah, Jean-Huit de Bré,

tu as une récomatière !

Ça m'a fait beaucoup de peine,

ce que vous avez dit,

je suis toujours vivant !

T'as vu, c'est une récomatière,

c'est un peu sarcosie !

C'est lui-même !

Moi, je le croise,

tous les soirs à la boule rouge,

enfin, rien à voir !

Qu'est-ce que tu as, toi ?

C'est pas Gérard Darmont ?

Ah, vous allez à la boule rouge !

Ah, j'adore !

Avec Gérard Darmont, ah ben, venez !

Ah, j'adore !

C'est quoi la boule rouge ?

Henri Comacias, il a satable,

et il fume le cigarde dans la boule rouge,

et il nous parle, et...

Ah, j'adore pas aller manger un couscous

à la boule rouge !

Mais la boule rouge,

c'est pas l'endroit où il y a des filets,

des jambes...

Et des boules rouges, c'est l'endroit...

Non, c'est pas un endroit...

Non, ça, c'est les boules rouges !

J'adore ça, purement,

jamais du couscous !

Ah, c'est vrai !

Ah, c'est vrai !

Ah, moi, j'en mange tout le temps,

et en plus, c'est...

Oui, bien, c'est vrai !

On t'a fortu !

On t'a fortu !

En fait, il y a vraiment plus de questions,

en fait, c'est que des anecdotes !

Eh, il y a plus d'émissions !

Chacun parle de sa vie, en fait !

C'est normal !

C'est devenu Skyrock !

C'est n'importe quoi !

Mais, Henri est normal !

Un jour sur deux,

elle est dans la région cure,

avec son mari, dans un relais très fort !

C'est normal qu'elle mange du couscous !

Quand est-ce que vous mangez du couscous, Arielle ?

Non, j'en mange très souvent,

je trouve ça délicieux,

mais j'ai un cuisinier Sri Lanker,

et il fait...

C'est bien connu, le couscous Sri Lanker !

Non, mais c'est pas grave !

C'est pas grave !

Ce qui est chiant, c'est l'avocan

qui gère votre cavavin,

ça fait chiant !

Non, ce qui est chiant,

c'est le syrien qui gère ton hélico !

Ça, c'est vraiment...

Arielle, il a combien,

le lit de descense, en ce moment ?

Il y a 22 centimes en moins !

J'ai parié sur un cheval tellement lent

qu'il a gagné la course suivante !

Ah oui, c'est vrai, c'était Yaneur !

C'est quelqu'un qu'on aimait bien !

Eh ben, Philippe Bouvard !

Non, il est venu avec vous,

ou avant vous ?

Ah non, non, moi, là, s'il est...

Il était déjà plus là !

Castelli !

J'ai eu la chance

de le recevoir dans mes émissions

dans les années 90 !

Castelli !

Mais Castelli, Castelli,

c'est Caldi, non plus !

Ah, ça y est !

C'est Jacques Chasot !

Ah non, Jacques Chasot, non non !

Ah, mais c'est une femme,

et c'est Alice, ça priche !

Ah non, non, c'est un homme !

Très drôle !

Michel Dax !

Pardon ?

Michel Dax !

Michel Dax !

Bon, c'est pareil, demandez Arielle !

Est-ce que c'est quelqu'un

qu'on peut croiser à la boule rouge, Laurent ?

J'ai envie de faire cette imitation,

ce n'a aucun sens !

Ah ben, c'est quelqu'un

qu'on peut imiter très facilement,

Thierry Bourville !

Non, Thierry Le Lureau

et d'autres limités !

Daniel Dax !

Du qui ?

C'est quelqu'un qui jouait,

en plus, un joueur !

J'ai parié Thènes !

Ah !

Un joueur de quatre !

Jean Lefebvre !

Mais non, pas Jean Lefebvre !

Mais il a joué...

Mais oui, Jean Karmé !

Mais il a joué beaucoup

avec Jean Lefebvre !

Mais c'est Jean Karmé !

Ringo !

Une vedette du théâtre,

un pianiste excellent...

Dari Cole !

Dari Cole !

Bonne réponse de Baptiste Lecaplin !

Ah !

Une question zoologique

pour mon ami Laurent Baptiste !

Ah !

Enfin !

Et pour Claudine Simon,

qui habite Scorbet-Clairevaux,

dans la vienne,

quel animal peut déféquer

quarante fois par jour ?

Il y en a beaucoup !

Quarante fois par jour !

Un oiseau ?

Un oiseau, non !

Un mammifère, hein !

Alors un mammifère, oui !

Moi, je pense que c'est du côté

des chimpanzers,

enfin, de...

des singes !

Ah, des singes !

Vous avez eu beaucoup de singes

qui sont venus faire caca chez vous !

Non !

Non, elle a toujours trouvé

des singes, c'est très chiant,

c'est bon ça !

Ce n'est pas un singe,

ce n'est pas un lapin !

La chèvre !

La chèvre, non !

Est-ce que c'est un gros animal ?

Ah, c'est un...

Oui, c'est pas...

En tout cas, on aime cet animal-là !

On l'aime !

Un chien !

Un chien, non !

Un kangaroo !

Comment vous dites ?

Un kangaroo !

Un kangaroo !

Un kangaroo-kang !

Est-ce que c'est un animal

qu'on peut apprivoiser ?

Voilà, c'est ça de la...

Je ne crois pas, non !

C'est plus gros qu'un chien ?

Ah oui, c'est...

Bah, ça dépend...

La vache !

La vache !

Ça fait tout le temps, la vache !

Ça se mange !

Le cheval !

Le cheval elle, non plus !

Ça se mange, Laurent !

Ça se mange pas !

Il y en a beaucoup en France !

C'est un animal...

Un animal...

Non, il n'y a pas beaucoup,

c'est pour ça, d'ailleurs, que...

Un animal qui court très vite !

Ah non, on ne se court pas très vite !

Est-ce que le hibou est un mammifère ?

Ah bah non !

Non, comme tous les oiseaux !

C'est pas le hibou !

Non !

Est-ce que le voisin...

Est-ce que le voisin de palier,

est un mammifère ?

Je n'ai pas progressé depuis

Moi, je crois qu'il régresse !

Je crois même que je régresse !

Oui !

Mais ça se mange pas parce que...

C'est un mammifère !

On va prendre cachet quarante fois,

par jour, hein !

Ah, c'est un an !

Un an, non !

Et vous dites qu'il n'y en a pas

dans les forêts ?

Non, dans nos forêts, non !

Mais dans des forêts étrangères,

il y en a un ?

Dans les forêts étrangères,

oui !

C'est pas un félan !

Ce n'est pas un félan !

Il y en a chez nous, quand même !

Un ours !

Mais dans les eaux !

Dans les eaux, voilà !

Voilà, dans les eaux !

Un mammifère !

Un mammifère !

Un mammifère !

Là, Grenouille,

qu'on va voir dans les eaux !

Oui !

Ah !

Dans les eaux !

Je vais dans les eaux !

Dans la félan !

Dans les eaux !

Z, deux eaux !

Mais oui, j'ai connu,

d'ailleurs, c'est un chiant

qu'elle avance !

C'est pas un éléphant,

oui, j'irai !

Pendant, on dit donc

c'est un éléphant

chez quarante fois, par jour !

Une antivu !

Un koala !

Pardon ?

Une antivu !

Un koala, non !

Mais un panda !

Un panda !

Bonne réponse

de Caroline Diamon !

Et oui, le panda

défaque quarante fois,

par jour, c'est pour ça

que Mme Macron fait

tant d'aller-retour

jusqu'aux eaux !

Parce que c'est elle

qui s'en occupe,

vous savez...

Le torche !

Oh !

Ah oui !

C'est du boulot

de torcher un panda,

là-dedans !

Et là, Chantal Guilla,

elle réécrit sa chanson,

maintenant c'est

pandi, panda,

petit,

tout son kitchi,

pandi, panda,

ça marche très,

très fort !

Le panda est très mignon,

et puis peut-être,

on n'est pas obligés non plus

de ramasser

le panda !

Il se torche avec des bambous

et c'était numéro 1 !

Chaque fois,

il y a une chanson !

Chaque fois,

il y a une chanson,

de toute façon !

Vous avez d'autres informations

sur le panda,

M. Bafi ?

Oui, il a six doigts...

Ah bah voilà !

Pourquoi il se torche

plus facilement

que les autres ?

Où ça,

au pied et au main ?

Oui, au main,

il n'a pas de libido,

le pauvre...

Il n'a pas de libido,

on leur passe

des films de cuve,

on leur passe

des films de panda

qui font l'amour

pour stimuler

le panda

Si tu chiques

40 fois par jour,

c'est vrai que

ça te tue

un peu la lune !

Ça fabrique pas

les images !

Surtout,

si tu vis avec

un saudomite,

il y a presque...

La quête qui a insoccupé,

non pas maintenant !

On passe

en 15 minutes !

Vous avez déjà vu

des films porno-panda,

vous,

alors Marcella ?

J'ai déjà lu

qu'effectivement,

ils sont

une sorte

de frigidité,

comme beaucoup

d'humains

qui sont frigides,

on ne veut pas qu'ils voient

les pornos,

et oui,

pour les pandas,

moi,

j'ai jamais compris pourquoi !

Vous savez que maintenant,

aujourd'hui,

les films porno

sont accessibles à qui ?

Non,

le problème des films

de porno-panda,

c'est qu'ils sont

en noir et en blanc !

Qu'est-ce qui grandit ?

Et ça serait une question

pour Louise,

l'oridane,

qu'elle est vascale !

On va ronder !

Non,

mais laissez-moi terminer

jusqu'à 20 cm !

Dans la main ?

Dans la main ?

Non, non !

Je peux vous dire que

parfois,

ça grandit !

Et parfois,

ça ne veut pas !

Et puis quand ça ne veut pas,

ça ne veut pas !

Vous réveillez

des souvenirs,

le roi !

Ça grandit !

Merde !

Ça va rester tout petit,

c'est tellement mignon !

Qu'est-ce qui grandit

trois fois plus vite,

en fonction du sens,

ou ça grandit ?

Je ne comprends pas !

Je ne l'ai pas compris !

Je répète la question

pour ceux qui ne l'avaient pas compris !

Vous l'avez compris,

c'est la question !

Je la répète, Isabelle,

qu'est-ce qui grandit

trois fois plus vite,

en fonction du sens,

ou ça grandit ?

Ah, si ça grandit

d'entendance divan,

ou pas, par exemple ?

Par exemple,

c'est un piège !

Comment ça, c'est un piège ?

Non, je dis ça,

c'est un piège, je constate !

Là, on fait ça !

C'est en Amazonie,

c'est les arbres,

c'est les arbres !

Ah, les algues !

Les algues !

C'est marins,

c'est marins ?

Ce n'est pas marins !

Végétales ?

Végétales, non !

Non !

Non, c'est de la roche !

C'est de la roche !

Oui, bravo, Isabelle !

Stalactite !

Stalactite et stalactite !

Les stalactites et les stalactites !

Bonne réponse de Tito !

Faites cliquer, Tito !

Stalactite,

c'est quand ça tombe,

quand ça descend,

c'est quand ça monte,

à mon avis,

ça pousse plus vite

quand ça tombe.

Évidemment,

ça pousse plus vite

quand ça tombe,

que ça monte,

enfin, vous m'avez compris !

D'ailleurs, je ne comprends pas

comment ça fait longtemps !

Très compagnie !

Est-ce que c'est le stalactite

qui dépose une goutte de quelqu'un

sur la goutte ?

D'ailleurs,

regardez,

ça stalactite !

Non,

mais je t'endrais réfléchir

si j'étais stalactite

ou stalactite !

Mais en fait,

c'est assez rare,

la stalactite !

Non,

il y en a forcément une

derrière sous chaque stalactite !

Oui !

Je vais t'offrir un week-end

sur la racine !

Oh,

c'est compliqué !

Je me comprends !

J'ai quand même regardé

Marie au premier regard

lundi dernier,

alors que l'émission

n'était pas diffusée

à cause de l'anniversaire

d'M6,

parce que je suis tellement

accro à cette émission

que je suis allé

sur la plateforme Salto

où on peut regarder

l'émission

avec un épisode d'avance !

Ah oui, là-bas !

Je fais Salto !

Ah bah oui !

Moi aussi !

Ah, mais je ne fais pas

Marie au premier regard,

mais je fais Salto !

C'est déjà que quand même

il y a de l'eau dans le gaz

entre la fille et les deux chiens,

et non,

au 21 chiens

et le mec

au 2 loups, là.

Mais ça va bien se terminer

entre eux quand même.

Ah bah je peux rien vous dire,

il faudrait regarder

lundi prochain.

Elle est peste,

elle est...

Elle a complètement une nourrie

à la soirée,

dès qu'elle l'a vue,

ça n'allait pas...

Il faut chambre,

à part elle n'a pas voulu

dormir avec lui.

Mais tout simplement,

est-ce qu'il est trop petit ?

Elle n'a pas pu la déflorer ?

Non, c'est pas une obligation,

qui dorme ensemble,

si on se marie,

on couche ensemble.

Ah bon,

on les oblige à rien.

L'émission,

combien d'années ?

Là,

c'est la 6e saison

qui est diffusée tellement.

Donc,

c'est des gens qui ont été

déjà mariés,

qui sont mariés depuis,

comment,

sans tuer le rêve,

parce que c'est

l'émission qui fait rêver les

gens, forcément.

Comme les grosses têtes,

comme des racinées des ailes,

comme...

Comme le journal du hard.

Et la soirée,

comment ?

Est-ce que là,

ils sont toujours mariés,

ça,

vous avez des nouvelles,

des anciens ?

Il y en a entre 4 ou 5,

il y en a qui sont ensemble,

et qui ont des enfants aussi.

Ah,

maintenant,

là, je suis en parler depuis.

D'accord.

Estelle,

je peux vous demander un truc,

juste,

pourquoi Laurent,

il adore cette émission,

qu'est-ce que ça veut dire ?

Mais il est romantique,

Laurent.

Et voilà.

Mais oui,

il m'arrive même de pleurer.

Parce que,

parfois,

on voit les familles pleurer,

moi,

quand je vois des gens pleurer,

c'est vrai.

Mais Laurent,

c'est vrai.

Je pense pas qu'ils soient romantiques,

mais c'est pas une émission,

c'est vrai.

Vous croyez que les conneries,

là,

c'est pas la rien d'avoir un épreuve.

C'est bien sûr.

C'est pas vrai.

C'est bien sûr.

C'est pas vrai.

J'ai pas besoin d'Apsi

pour vous l'annoncer,

non, non.

Dans sa communauté,

c'est au premier regard,

ils se parlent même pas,

ils se enfilent tout de suite.

Mais,

ça lui parle.

Non, non,

entre Emily et Frédéric,

j'ai noté les prénoms,

parce que,

quand même,

je les retiens pas par coeur.

Mais quand

Emily a dit,

voilà,

il fait déjà,

il faut que je te le dise

avant que tu me dise oui ou non,

et que lui,

il a dit,

mais moi aussi,

j'ai une petite fille,

une petite fille qui est déjà adolescente,

d'ailleurs, je crois,

mais qui est malade,

il y avait toute la famille

qui pleurait,

lui, il était en pleur.

Pour l'autre, c'est horrible.

Ah, et moi,

j'étais en pleur aussi.

Et j'étais là,

et j'étais là,

pourvu qu'il se dise oui,

pourvu qu'il se dise oui.

Et il se sent dit,

oui, j'étais content.

Mais,

est-ce que physiquement ?

Il est pas mal,

le gars,

il est pas mal.

Voilà.

Non mais,

est-ce que,

dans mon sang,

vous pleurez,

vous dire,

ma sang,

j'aurais pas.

En fait,

c'est ça,

je pleurais,

je disais,

mais pourquoi elle ?

Non,

mais c'est une histoire

qui marche très bien.

Est-ce que physiquement,

ça correspond,

où vous mettez

à un gros moche

avec une petite belle ?

Pas toujours,

parce que la dame

au 21 chiens,

elle trouve que

le garçon de chiens

est trop petit.

Oui,

mais elle a pas

prêté attention

au physique,

parce qu'ils nous ont dit

que le physique,

c'est important.

C'est quelque chose

à laquelle on fait

moins attention,

c'est moins prioritaire.

Il y a quand même

un premier,

une première étape

qui est géniale aussi

dans les missions.

C'est pas possible,

ça a touché des parts.

C'est avant le mariage.

Il touche des parts.

C'est quand,

c'est quand,

parce que

vous avez raison,

c'est quand même

pas commun de

s'accepter

de se marier

avec quelqu'un

que je vais découvrir.

En plus,

il faut l'annoncer

à ses parents.

Donc,

il y a une séquence

qui est toujours évidemment...

Les parents,

ils s'acceptent.

Mais voilà,

la séquence

toujours marrante

à voir aussi,

c'est quand le gars,

celle-là,

il est marrante.

Où la fille,

il va voir

chacun de leurs parents

en disant,

bon,

alors papa,

maman,

je vous le dis,

la semaine prochaine,

je vais me marier.

Ah oui,

avec qui,

je sais pas encore,

c'est moi l'aventuré,

non,

parce que là,

c'est pas normal.

Je te dis qu'il est en dépression.

Moi,

je t'entrais l'aventure,

enfin non mais,

tu sais qu'il va y avoir

d'énormes recherches,

tu sais que les psy

sont hyper sérieux,

donc c'est bon.

Mais c'était ça

où l'Ukraine,

mais il choisirait.

L'année à choisir entre stèles

en l'Ukraine,

oui,

vu comme ça,

oui Ryu,

ils vont péter

vraiment,

ils vont péter

complètement,

c'est pas possible.

Mande de saint,

mande de saint,

estelle,

je sais pas,

je vais peut-être

faire augmenter mon cachet

quand même,

parce qu'elle éveille

par du taf.

Elle mettait une poupée

gonflable,

enfin c'est pas fou.

Moi,

j'aime les femmes

sensibles,

ils ont très romantiques,

très douces.

Ah, c'est toi ?

Voilà,

mais à Christine.

Mais non,

c'est l'inverse Christine.

Mais quel test

il doit pas...

Non, elle cache bien sans jeu.

Quel test il doit passer

pour que le dossier...

À le VIH,

bien.

Pour que le dossier soit

accepté.

Ah, mais bien sûr.

Ah, mais avec Yann,

on part de loin.

Déjà,

il faudrait commencer

avec le test du bonhomme.

C'est quoi le test

du bonhomme ?

C'est ce qu'on fait passer

aux enfants

pour voir le développement

psychologique.

J'ai gardé mon âme

d'enfant.

Oui,

c'est M.

Patate.

Tu sais,

quand j'étais un site,

effectivement,

à la maternelle,

il y a une évolution

dans le dessin.

Au début,

il faut une patate

avec

deux bras de jambes.

Lui,

parce que...

Oui,

parce que vous leur aviez demandé

de dessiner la maîtresse.

Moi,

j'étais un super insti.

Je m'étais pas de sous-tif exprès.

Mais ça,

c'était pour les pères.

C'est pas vrai.

Ouais,

je te jure,

ça les calme, elle aimait.

Est-ce qu'on élève,

ça s'appelle

Nordale-le-Landais ?

Tu mets calme,

ça l'a aidé l'autre.

Ah, mais c'est ça qu'on appelle

des cours de soutien.

Oui.

Je vous emmène

au restaurant,

l'hôtel restaurant Arbèze.

Ma femme aussi.

Non,

écoutez,

il est original,

ce restaurant Arbèze.

Ma femme aussi.

Pour une raison bien précise,

laquelle,

et d'ailleurs,

peut-être qu'on l'appellera

par hasard,

comme ça,

sans même les prévenir.

Pourquoi le restaurant,

il a un truc bien précis ?

C'est une question, ça.

Oui, c'est une question,

c'est ma question, presque.

Ah, c'est... c'est une roulette.

Ce n'est pas une roulette, ça.

Est-ce que c'est l'endroit,

la localisation géographique

qui est intéressante ?

Alors oui,

c'est vrai que si je ne vous dis pas

où se trouve

l'hôtel restaurant Arbèze,

c'est pour une raison bien précise.

Est-ce que ce serait

un nombre-ton ?

Un nombre-ton, non.

Est-ce que ça s'est ablé sur certes ?

Non plus.

Est-ce que ça,

est-ce que c'est dans une région...

Oui, en général.

Oui, oui.

Bonne réponse,

le gars.

Oui, c'est dans une région.

Une région où vous pouvez faire du ski,

je vous aide un peu.

Est-ce que ce serait-il pas

un hôtel qui serait fabriqué

avec de la glace ?

Du tout.

L'hôtel le plus haut de France ?

Non plus.

Est-ce que c'est en France ?

C'est en France, oui.

Oui, en Italie.

Frontalier.

Oui.

Est-ce qu'il y a une partie

qui est en France

et une partie en Suisse ?

Voilà.

Une partie de l'hôtel

est en France,

l'autre partie en Suisse,

il est pile sur la frontière.

Bonne réponse,

le titre.

C'est rigolo, ça.

C'est au Rousse,

dans le Jura,

l'hôtel restaurant Arbèze,

traverse la,

ou plutôt c'est la frontière

qui traverse

l'hôtel restaurant.

Ça dépend

qui c'est qui était là.

Pour les chiottes,

il faut passer la douane.

Oui.

Et pour la TVA,

selon la partie

de l'hôtel restaurant,

tu manges...

À l'époque, oui.

Je propose qu'on les appelle.

À l'époque,

il y avait la douane,

comment on faisait ?

Il y avait un film

avec Fernandel,

je crois que ça plaît la loi,

c'est la loi,

il y avait le même truc

dans le film.

Appelons-les alors.

Il y a deux numéros,

il y a le numéro français,

le numéro suisse.

Le tel restaurant

Arbèze,

France, Suisse,

logis du Jura,

vous souhaitez la bienvenue.

Ah, on dit Arbèze,

pas Arbèze.

C'est le moins normal.

Hôtel Arbèze,

logis de France, bonjour.

Nous ne pouvons vous répondre

pour l'instant.

Pour une demande de réservation,

faites un mail

à contactarobase.arbèze.com.

Ce serait possible

une chambre,

il trop lit.

Arbèze.com

pour une urgence,

0684-34.

Ah ben voilà.

Non, réitérer votre appel.

À bientôt.

Au revoir, merci.

On va faire l'urgence.

Ah ouais, ouais, c'est dur.

Ouais, parce que si on envoie

un mail, c'est moins drôle.

C'est une urgence.

Oui, une urgence.

Ah ben, y'a des gens merdés, là.

Ça sonne.

Oui, allô ?

Ah, bonjour madame.

C'est une urgence.

Ce n'est pas que ce soit

spécialement urgent,

mais on a obtenu votre numéro

de téléphone

sur le répondeur

de l'Hôtel Arbèze.

C'est Laurent Rukier,

les grosses têtes et RTL.

Pourquoi vous riez ?

Ça vous fait rire ?

Oui.

Eh ben oui,

parce qu'on a entendu dire

que votre hôtel

avait la particularité

d'être sur la frontière pile

sur la frontière franco-suisse.

C'est vrai ?

C'est vrai, oui, c'est vrai.

C'est-à-dire qu'il y a une partie

de l'hôtel qui est en France

et l'autre en Suisse.

C'est ça.

Quelle est la partie

en France ?

Quelle est la partie en Suisse ?

Les toilettes où ?

Ah ben, à Cheval, ça.

On a des chambres en Suisse,

des chambres en France,

des lits à Cheval.

Vous avez la tête en Suisse.

La tête en Suisse.

Elle reste en France.

Ah, c'est drôle, ça.

Est-ce que je peux avoir une chambre

avec le lit en France

et le coffre en Suisse ?

Et le prix ?

Le portefeuille en Suisse.

Le prix différentiel, pas ?

Non, non.

C'est original, dites donc quand même.

Et les gens payent comment

en France-suisse

ou en Euro ?

Ben écoutez, vu le taux de change

actuellement,

on a qui à plus de monnaie.

Mais j'imagine

vous voyez beaucoup de gens

passer dans l'hôtel.

Ah oui, on a plein d'histoire

à raconter sur l'hôtel.

Ah ben racontez-nous alors,

on est là pour ça.

Ben oui, mais je suis en train

de monter dans la montagne

en motoneige, là.

C'est pas vrai.

Parce qu'on a un autre restaurant

et puis accessible en motoneige.

Si vous me voyez,

là, vous direz

qu'est-ce qu'elle quiche ?

Ben je dirais un fait

de la motoneige.

Ah oui ?

Non, mais on a

la quatrième génération

à tenir l'hôtel.

Donc il y a le côté commercial.

Après, il n'y avait

pas d'histoire forcément

pendant la guerre tout ça.

Il y a des...

Je ne sais pas quoi dire.

Il est sympa, Monsieur Causac.

C'est vrai que...

Très fidèle.

Et c'est vrai que le général

De Gaulle est venu ?

Ah oui.

Il les avait rencontrés

à ma grande tente.

Votre grande tente ?

Il était grand lui-même.

Il fallait un grand lit

pour le général De Gaulle

parce qu'il était très,

très grand.

Alors lui, il pouvait avoir

la tête en France

et des pierres.

Mais sans problème.

Il n'est pas en Italie,

même.

Il avait l'île

de la grande tente.

Comment ça se passe

à l'époque

où il y avait encore la douane ?

Il y a encore la douane.

C'est pas dans l'Europe,

c'était une question

de Caronelle Diamant.

Elle fait un sang faux.

C'est un sang faux.

C'est fantastique.

C'est une éclose

que l'on entend à côté de vous.

On peut vous en envoyer une.

Aurélie, en tout cas,

vous avez été très aimables.

Vous vous laissez faire

du mot-tonnège.

Et surtout,

on invite

les auditeurs de RTL

à découvrir

cet hôtel restaurant

un peu particulier

puisqu'effectivement,

la frontière franco-suisse

le traverse

au ARB,

au Russe.

C'est bien ça ?

C'est ça.

Moi, je suis Guéréniste.

Et bien,

au plaisir de vous accueillir

un jour, en tous les cas.

Et bien, vous embrassez

dans le Jura.

Merci à vous.

Vous arrêtez

d'embêter Gérard Junio.

Il est qu'au moins,

il me ressemble.

Non, c'est pas ça.

Arrête de te comparer,

à moi.

Mais Gérard,

t'as été puceau,

s'il y a un monde à haute tempête.

J'ai hâte de voir

la gueule du Gol.

Oh, là, là, là.

Je suis sûr que t'as commenté.

Vous avez commencé tard,

je pense.

Mais oui.

Mais qu'est-ce que ça peut te foutre ?

Il est inouï.

Il est inouï.

C'est vrai, Gérard, ça.

Tu veux pas raconter un petit peu ?

Il passe sa vie

dans les calçons des eaux.

Bah oui,

parce qu'il y a pas grand chose

dans le sien.

C'est le franc-féron de la quiquette.

Le franc-féron de la quiquette.

Le franc-féron de la quiquette.

Il s'étouche surtout

dans ce niveau-là.

Tu veux dire

qu'il parle de choses

qu'il n'a jamais pratiquée ?

Alors, attention,

Monsieur Ferrand,

justement, c'est pour vous

la question suivante

et pour madame Ororca,

il cabitoure.

La question,

d'ailleurs,

va nous permettre

de parler de quelqu'un

dont,

j'avoue, je ne connaissais pas le nom,

Flavius Odoacre.

Flavius Odoacre,

qui est mort en 493,

et même la date exacte,

à le 16 mars de notre ère,

493, de notre ère,

effectivement,

mais il est devenu,

il faut le dire,

gouverneur d'Italie,

et quasiment,

ce qu'on appelait patrice d'Italie

à l'époque,

il est devenu patrice d'Italie

en 476.

C'est-à-dire à la toute fin

au moment de la chute

de l'Empire romain.

Mais pour quelle raison

l'histoire retient-elle

le nom de Flavius Odoacre ?

Parce qu'il est le dernier.

Comment ça, le dernier ?

C'est la chute de l'Empire romain,

476.

Non, alors il n'est pas le dernier,

il est plutôt le premier.

Alors il est le premier

à avoir succédé

à l'Empire romain,

donc il est...

Oui, parce que c'est Romulus.

Donc c'est Byzance.

Non, c'est...

Là on est dans l'Empire d'Occident.

C'est l'arrière,

arrière, arrière, grand-père

d'un premier ministre français,

Fabius Odoacre.

Il est le premier,

alors je ne sais pas moi,

il était doux,

roi de Rome...

C'est lui,

le 22 soissons ?

Le 22 soissons, c'est pas lui.

Non, mais c'est pas...

C'est l'époque.

Il succède à Romulus Augustule.

Oui, ça qui est le dernier

empereur romain.

Voilà, c'est Romulus Augustule

le dernier...

C'est le premier roi de France ?

En 476.

Non, non, non.

Il obtient la gouvernance

de l'Italie

avec l'agrément du Sénat de Rome

au nom de l'Empereur d'Orient

et il est reconnu

comme ce qu'on appelle à l'époque.

C'est quoi la question ?

Patrice, la question,

c'est pour quelle raison

l'histoire retient cette date

du départ du règne,

enfin plutôt du début

du règne de Monsieur...

Parce que c'est la fin de l'Antiquité.

Son nom est devenu...

C'est la fin de l'Antiquité,

c'est le début du Moyen-Âge.

Le début du Moyen-Âge,

bonne réponse

de Franck Ferrand.

Ça dépend de quel côté on regarde, en fait.

Franck, t'es écoeurante.

Oui, comment vous vous faites ?

Il y a des questions que...

Mais non, mais il y a des questions

que pour lui.

Oui, là, c'est une émission

sur mesure.

Voilà.

Oui, mais il est sur ma vie.

Vous êtes exquis,

vous avez une manière de parler ?

Non, non, mais...

Attention.

Il a une manière de compter.

C'est bon pour toi, là.

Je suis libéré.

Je suis libéré,

mais je vais se taper, Ferrand.

Libéré, délivré.

Dans mon avis,

il y a trois places de célibat

pour l'arrivée d'Âge.

C'est une autre idée.

Oh putain.

Mais comment vous faites ?

Alors, tu l'emmenes au cinéma ?

Oui.

Mais quand vous êtes au restaurant

et que vous parlez toujours comme ça,

quand vous vous commandez un plat,

quand vous...

Je parle comment ?

Non, mais vous êtes extraordinaire.

Bonjour.

Vous êtes en poulet,

il y a la lumière qui sort.

Bonjour, je voudrais un steak.

Ah, un poulet ?

Il y a ça au moulage.

T'as vu comme il parle

de notre ami avec ses mains ?

Ah, c'est sûr que vous,

vous êtes pas en poulet.

Mais comment vous l'avez recruté, Laurent ?

Comment vous l'avez recruté, Laurent ?

Comment ça, comment je l'ai recruté ?

Comment vous l'avez repéré,

comment vous l'avez...

Tout le monde l'a repéré,

Franck Ferrand,

c'est un de nos meilleurs historiens.

C'est dingue.

Et donc, on en manquait

dans notre émission, quand même.

Ça fait du bien de savoir.

Parce qu'à l'un de cons,

vous ne voulez pas venir.

Je sais sur l'arrivée.

Il était pris.

Quand vous avez pris Yann Rioux,

il manquait quoi ?

Yann Rioux,

il manquait quoi ?

Je suis tellement fier

de faire partie de cette bande.

Et comment vous vous faites

pour être drôle ?

Il l'a appéré dans un magasin,

il est en kit,

mais il manque des pièces.

Pour venir au Moyen Âge.

Non !

Est-ce que tu parles

pendant l'amour ou pas, Bernard ?

Est-ce que t'es actif ?

Je sais que t'es actif,

mais est-ce que tu parles ?

Ma femme, ma femme parle

là, pas dans la bourre.

Je lui ai écrit ce qu'il fallait dire

au plafond.

Alors, j'ai écrit,

c'est bon, vas-y.

Ah, mais on dirait le renruquet.

Mais t'as pas honte

de poser des questions

si con.

Je suis sûr que c'est très,

très beau.

C'est très, très beau.

Mais arrête.

Il n'y cache pas son jeu.

Il est comme il est.

T'es rond, t'es bon,

t'es pété, pété.

C'est vrai qu'il fait

de la pluie pour du fromage.

Bon bel, bon bel.

Il ne parle pas, il commente.

Il est ici comme un match de foot,

Yoann Rios.

Voilà, là, pendant la pub,

Steven nous fait...

On a fait une soufflante.

Il trise nerveuse.

Mais il a raison.

Moi, c'est comme si on me débinait

Napoléon.

Outino Ross.

Mais Gino Ross.

Ce qui vit détente toi.

Faire partie de la famille royale,

tout le monde pense que c'est génial.

Non, c'est que des contrariétés.

C'est le devoir avant tout.

Mais bien sûr.

C'est pour ça qu'il a arrêté.

C'est pour ça qu'il a arrêté.

Elle est tellement con qu'avant

d'épouser le prince,

elle a même pas regardé

quel était le protocole britannique.

Elle allait épouser une famille.

Elle se rend...

Elle va même pas sur Internet

se renseigner comment

fit cette famille.

Elle est quand même...

C'est quand même la dernière.

Décone, arrête.

Franchement.

Détente-toi.

Elle avait peut-être pas de réseau.

Il est très énervé,

c'est Fanberne.

C'est un méganement merde.

Donc, point, je veux dire,

c'est...

Pardon.

Elle a l'air charmante en plus.

Non, non, non.

Elle est tout sauf charmante.

Qu'est-ce qu'elle a pas fait bien, alors ?

Mais tout, je veux dire,

elle arrive dans une famille

qui est quand même

la famille la plus connue du monde.

Donc, il y a des articles sur Internet.

On s'en recommande ces gens

la vivent depuis des siècles.

C'est quand même pas arrivé

depuis 20 ans.

Ça fait quand même des siècles

depuis la nuit des temps.

Depuis 1 800 ans

de la famille.

Vous, t'as dit que c'est comme ça.

Mais comment j'ai répliqué

ta nivelle ?

T'as me tué.

Elle est trop connue.

Comment on se renseigne ?

Comment vit-elle famille ?

Les papiers, les articles.

Elle qui est friandée

de tout ce qui brille.

Elle a quand même lu

des articles

sur sa future belle famille.

Et bah, pensez-vous.

Oh, bah non.

Oh, bah non.

Oh, bah non.

Oh, bah non.

Oh, bah non.

Non, non, non.

Oh, putain, non.

Oh, bah...

Oh, bah oui.

Il y en a eu.

Mais non, non, non.

Oh, bah arrêtez-le.

Arrêtez.

Arrêtez avec celle-là.

Parce que...

Je...

Je peux pas l'avoir.

On a compris, oui.

Bravo.

Bravo.

Elle va me provoquer

un sèque m'emmener.

S.T.V.

S.T.V. Futurale d'Angleterre.

C'est ça pour lui ?

Oui, il faut que t'arrêtes

tes rillettes.

Mais non, mais...

Mais non, mais...

Est-ce qu'il me tue, c'est...

C'est la bêtise des gens,

en fait.

C'est ça que je ne supporte pas.

Elle est quand même

d'une bêtise insensée.

Et pourquoi il est tombé

d'une bêtise insensée ?

Je ne sais pourquoi.

Et bien, elle a mal

traité le personnel

aussi de Kensington.

Ah, voilà, là,

c'est pas bien.

Ah, mais non, mais...

Elle a été odieuse.

Non, mais parce que...

Ouais, enfin, le personnel...

La famille royale britannique

travaille avec généralement...

Ceux qui travaillent

autour de la famille royale britannique,

c'est génération, génération.

Les parents,

on travaille avec les parents

et ainsi.

Oui.

Ah, alors...

C'est pas ça

quand t'es très conservateur.

Ils sont...

Ils arrivent dans une maison

qui est rodée.

Donc, c'est...

Donc, c'est pas elle

qui va mal parler au personnel,

puisqu'ils connaissent

déjà les parents

et les grands-parents.

Mais bien sûr...

On a dit qu'il y a eu un respect mutuel.

Mais, c'est vrai,

vous pouvez me comprendre.

Mais, il y a un respect mutuel

vis-à-vis des servants

et des dirigeants.

Ils ont été racistes,

il y a eu du racisme.

On a dit que c'était pas blanche.

Rappele-toi.

Ça, quand même,

il faut que vous le voyez,

ça, monsieur Blanc.

C'est une métisse.

Ça, on a dit

que ça avait posé problème.

Et voilà.

Oui, mais en attendant,

qui a mal parlé au personnel ?

Parce que toute l'histoire

même, elle,

n'est pas l'inverse.

Et le personnel

ne pouvait pas aller

sur Internet

pour savoir

qui était Meghan Markle ?

Une question

pour monsieur Gershey

qui habite Marseille.

Une question

qui va nous permettre

de quitter la famille royale

et la famille Bravo

qui n'a rien à voir.

Qu'est-ce qu'elle a ?

Non, on va parler

du Panthéon.

On a évoqué

il y a quelques semaines,

évidemment,

l'entrée de Josephine Baker

au Panthéon.

Mais est-ce que vous vous rappelez

qui est la première personnalité

à être entrée au Panthéon

au XXIe siècle ?

C'est bon.

Marie Curie, Marie Curie.

C'est bonne veille.

En 2001, c'était l'année

du loft.

Donc...

Au XXI,

il n'y a pas l'ancienne résistante.

Au l'âme de Bouge,

je le vois.

Ah non, Lucie Obrac ?

Ah non, Maurice...

Isabelle Obré.

Isabelle Obré, oui.

Elle est encore vivante.

Elle est rentrée

pour faire des photos.

Je crois qu'elle est vivante.

Elle est rentrée

pour faire des photos.

Isabelle Obré,

Chronor Brass,

vit encore.

Et vous m'avez dit, Maurice

c'est le dernier, là,

à être entrée en 2001.

Est-ce que c'est une résistance ?

Ah, l'avant dernier.

Et moi, j'ai dit Marie Curie.

Avant José Finbeck.

Marie Curie,

ah non, Marie Curie,

c'était en 1995.

Donc c'était encore au XXIe siècle.

C'est un auteur.

Un auteur.

Un auteur, oui.

C'est pas de jeunis.

C'est pas de jeunis, non.

En 2002,

en 2001, il n'y a pas eu

d'entrée au Panthéon.

Mais en 2002,

la première personnalité

à être entrée au Panthéon

au XXIe siècle.

À Gimauquet.

À Gimauquet, non.

Un homme ?

Un homme, oui.

Écrivant.

Mais mort en 2002 ?

Ah non, bah non.

Très rare qu'on rentre

au Panthéon directement.

Ils l'ont dépéré.

À part si vous visitez

l'endroit, évidemment.

Moriac ?

Moriac, non.

Il est mort au XIXe siècle ?

Mort au XIXe, oui.

Après ?

Il est écrivé du théâtre.

En fait, il est rentré,

je vais même vous aider un peu.

Il est rentré au Panthéon

pour le bicentenaire de sa naissance.

Victor Hugo ?

Victor Hugo, non.

Rambo ?

Rambo, non.

Zola, non.

Zola, non.

Est-ce que c'est une figure

littéraire ou politique ?

Un figure littéraire,

grand romancier français, bien sûr.

Flaubert ?

Barbette Aurélie ?

Flaubert, c'est un dable, non.

Mais non, ils ne sont pas là.

Et c'est vrai qu'on n'imagine pas

qu'il ait fallu attendre 2002

pour qu'il a rentré au Panthéon.

J'ai beau de l'air,

j'ai beau de l'air,

j'ai beau de l'air,

j'ai beau de l'air,

j'ai beau de l'air,

j'ai beau de l'air,

j'ai beau de l'air,

j'ai beau de l'air,

j'ai beau de l'air,

bravo, bravo.

C'est plus vieux.

Est-ce que...

Ben, t'as déjà dit...

Est-ce qu'il a fait une saga ?

Ah, mais oui, plusieurs.

Yannick Noir ?

Proust ?

Proust, non.

Est-ce qu'il a fait une...

Alexandre Dumas ?

Alexandre Dumas !

Bonne réponse de Florian Gavant.

Eh oui.

Curieusement,

celui qui est entré au Panthéon

XXIe siècle,

le premier du XXIe siècle,

c'est Alexandre Dumas

pour le bicentenaire de sa naissance.

Eh oui, l'auteur des trois musquetaires

de la Reine Margaux,

du Compte de Montécristaux,

et je vous en passe

et au Panthéon depuis peu,

depuis 2002,

c'était à l'occasion

du bicentenaire de sa naissance.

Bonne réponse collective,

mais conclue par Florian Gavant.

Une question pour Karine Lagrange,

qui a dit que Bourdon,

en sonéloir,

que s'est-il passé le 12 mai 2012,

qui s'est passé aussi le 8 septembre 2018,

et ce sont les deux seules fois

où s'est arrivé.

C'est une histoire de comète.

Du tout.

De date.

C'est une histoire de date.

Non.

Attends, c'est rapport avec l'élection.

Ça s'est passé le samedi 12 mai 2012,

et six ans plus tard,

un peu plus de six ans,

le 8 septembre 2018,

et ça n'était jamais arrivé avant.

C'est politique ?

Politique, non.

Ça se passe en France ?

Ça se passe en France, oui.

Météorologique ?

Météorologique,

alors météorologique, non.

La question,

ça se passe en France,

c'est intéressant,

parce qu'il se trouve

que justement,

dans un autre pays,

c'était déjà arrivé,

mais pas chez nous.

C'est dans le ciel ?

Dans le ciel, non.

C'est les salles

de qu'on commençait à ce moment-là ?

Pas du tout.

Ça concerne les animaux.

Du tout.

C'est lié à la consommation.

Là, je prépare un chèque herterre

pour Mme Lagrange.

Même si, pourtant,

il y a parmi les grosses têtes,

aujourd'hui,

quelqu'un qui,

normalement,

devrait trouver la réponse,

parce que, je dois le dire,

c'est quelqu'un

qui est spécialiste

de la question.

Alors, c'est un garçon ou une fille ?

C'est les dates

où Valérie Mares

a répondu aux questions

de l'opposé.

Le 12 mai 2012

et le 8 septembre 2018,

il est arrivé quelque chose

qui n'était jamais arrivé

chez nous en France.

C'est sportif.

C'est une élection ?

Une élection, non.

C'est pas politique,

on l'a dit.

C'est un rapport avec l'histoire.

C'est historique.

C'est une commémoration ?

Alors, historique, non.

Le mot serait trop fort.

Non, ça n'a aucun rapport

avec l'histoire.

Est-ce que c'est Laurent Dutch

qui pourrait être avantagé ?

Une sortie de film ?

Je ne vois pas qui l'autre.

Une sortie de film, non.

Bon, alors attendez.

De scientifique ?

De scientifique.

Alors scientifique,

on peut considérer

que les sciences

puissent s'intéresser à cela,

mais je ne voudrais pas

vous mettre sur une mauvaise…

C'est un phénomène ?

Un phénomène…

Ah, c'est un phénomène rare.

C'est lié à la santé ?

C'est lié à la santé ?

Naturel, non.

Lié à la santé, non.

Est-ce que c'est esthétique ?

C'est joli à regarder,

ce qui se passe.

Bon, écoutez ça.

La grosse tête concernée

nous le dira tout à l'heure.

Ah ! Parce qu'il y a vraiment quelqu'un

de franc-merchant soit…

Un pic de nessa.

C'est déjà, on va essayer

de trouver la grosse tête concernée.

C'est que c'est universelle.

C'est que c'est christanocrène.

Non, écoutez, je…

Est-ce que c'est quelque chose

que non ?

Non, non, non, non, non, non.

Oh, oui, il faut me mettre

dans l'environ.

Tu étais là, tu étais là.

Je ne veux pas répondre

à cette question,

parce que si je dis

quelle grosse tête est concernée,

ça va être vraiment

trop facile ensuite pour tuer.

Le truc des animateurs,

peut-être un truc avec

des animateurs,

non.

parmi les sociétaires du jour.

– Est-ce que c'est quelque chose d'admirable qui a été fait là ?

C'est ce qu'elle montre, c'est bien.

– On s'en fout un peu, on s'en fout un peu.

– On s'en fout pas parce que c'est quand même assez intéressant,

– Et gratifiant, c'est gratifiant.

– En gratifiant, ah bah ça dépend pour qui.

– Ah, alors c'est le plus gros gros lot de l'euro million.

– Non, c'est pas ça, pas bête.

– C'est pas un truc comme ça.

– Vous avez compris que c'était vous ?

– Oui, oui, ben oui, je vous ai vu.

Je vous ai vu quand je dis que c'est intellectuel,

c'est culturel, c'est... Ah non !

– C'est le plus gros gain du loto. – Non.

– Alors, est-ce que c'est lié à un record de gain ?

– Non. – De Paris.

– Mais non, c'est...

– Mais c'est lié à la loterie.

– Donc Christophe a gagné un concours.

– Non.

– Non, non, c'est parce que je présente le loto.

– Il y a une canotte énorme en jeu,

c'était la première fois qu'il y avait une canotte aussi forte.

– Non, non. – Il y avait le plus de parties.

– C'est le mec qui a gagné deux fois.

– Non.

– C'est lié aux terres.

– C'est l'euro million.

– Il y a trois fois qu'ils sont arrivés exactement en même temps.

– C'est la première fois que l'euro million avait été présenté par Christophe Beaumont.

– Non.

– Non.

– Non, j'allais dire, c'est le...

J'allais dire, mais oui, je sais, c'est le super loto du vendredi 13,

mais vu que c'est le 12 mai et le 8 septembre, ça marche pas.

– Du coup.

– Non, le mec qui a gagné n'est jamais présenté.

– Non, c'était deux samedis, hein.

Le samedi 12 mai 2012 et le samedi 8 septembre 2016.

– Il y a un même gagnant.

– Non.

– C'est lié au loto.

– C'est lié au loto.

– Il n'y a eu personne à revendiquer la Supercaniotte.

– J'ai déjà dit, ce n'est pas la question.

– Il a retrouvé le ticket.

– Ce n'est pas la question.

– On va r'attender, on n'est pas loin.

– Il vous reste 30 secondes et pourtant, on a le roi des boules qui est là.

– Oui, je sais.

– Vous le présentez tous les combien de lotos ?

– A peu près 4 à 5 jours par mois.

– Ah ben oui, quand même.

– Là, par exemple, je fais le super loto du vendredi 13.

– Ah !

– Il y avait 13 millions à gagner.

– C'est pas vrai.

– Vous avez les...

– Les combinaisons uniques, ça a été un tirage unique,

qui n'était jamais arrivé.

Ou alors le même, le 12 mai, le 8 des trucs.

Et voilà, c'est le même tirage qui est arrivé.

Et c'est n'a jamais été arrivé avant.

– C'est la première fois que ce sont les mêmes numéros qui sortent.

– Ah, bonjour.

– Effectivement, le 12 mai 2012 et le 8 septembre 2018,

jamais ça n'était arrivé auparavant.

Bonne réponse de Laurent Dutch.

– Désolé, c'était...

– Laurent, mais excusez-moi,

mais l'anecdote concerne surtout le 8 septembre 2018.

– Oui.

– Parce que le 12 mai 2012, on ne le savait pas.

– Bien sûr.

– Bien sûr.

– Mais, sauf que c'est...

– Je t'en remercie.

– Merci, merci.

– J'en remercie.

– Il y avait de la bouche.

– Sauf que le 8 septembre 2018,

on s'est aperçu que c'était les mêmes numéros

que le samedi 12 mai 2018.

– Oui, voilà.

– Qui se rappelait ?

– Bah, moi, parce que c'était moi.

– Bah non, mais c'est très, très rare.

Alors, attention, il s'agit de cinq numéros.

Parce que les numéros chance...

– Ne compte pas.

– ...était différent, eux.

– Avant, c'était six numéros de l'automne.

– Et donc, dans le même ordre ?

– Ah ben, il n'y a pas d'ordre, l'automne.

C'est quand ils sont arrivés qu'on les remet dans l'ordre, Christine.

– Ah, d'accord.

– Non, non, parce qu'il y a une boule,

si tu veux, où il y a une cinquantaine de boules

qui s'amuseraient à sentir dans l'ordre.

C'est-à-dire, il y a le...

Le numéro 8, il dirait au numéro 49,

tu te pousses.

Je suis plus petit que toi, je passe devant.

Non, non.

Elles arrivent comme elles arrivent.

C'est une jolie réponse collective.

Bravo Jean-Marie.

Que trouvet-on à l'angle de la 56e rue

et de la cinquième avenue ?

– Donc, c'est à New York.

– Oui.

– C'est l'immeuble.

– C'est l'immeuble de Trump.

– La Trump, toi.

Bah, nos réponses.

– Bah oui.

– De Bernard Mabiquoi.

Bah oui, bah oui, bah oui.

– Quand on va à New York, on va voir l'immeuble de Trump.

– Et tout le monde n'a pas eu la chance d'aller à New York.

Vous, vous avez été gendarmes avec de funesses.

D'accord ?

Et tout le monde n'a pas eu cette chance.

– Ha, ha, tu l'as tourné là-bas.

– Il n'a jamais tourné dans les gendarmes, enfin, non.

Tu crois qu'il voit tout ce que je dis ?

– Ah, oui.

– Ah, il vous confond avec Jean-Lefèvre.

– Mais oui.

– Qui aurait mangé Galabru, alors ?

– Je suis le dernier gendarmes vivant.

– Moi, moi, je le crois.

– Vous auriez été bien dans les gendarmes.

– Ah, oui.

– Oui, il aurait maté les nudistes à s'introper.

– En effet, en tout cas, le gratte-ciel

de Donald Trump, la fameuse Trump Tower,

eh bien, au 725 de la cinquième avenue

au coin de la 56e rue à New York,

elle mesure quand même la Trump Tower,

200 mètres de haut.

C'est le 64e immeuble le plus grand de la ville.

Et non seulement, évidemment,

Donald Trump, il a été bergé,

mais aussi la compagnie d'assurance britannique

Equitable Life.

Il y a une belle cascade, moi, j'y suis allé une fois.

– Oui.

– Il y a une cascade intérieur.

– Dans la tour.

– Il y a un restaurant.

– Dans la tour.

Vous êtes allé aussi dans la Trump Tower.

– Non, je suis à la New York, mais je n'ai pas l'air d'attendre.

– Eh bien, comment vous savez qu'il y a une cascade, alors ?

– Je vous demande si c'est au milieu de la tour.

– La cascade ?

– Oui.

– Oui, c'est au milieu de la tour.

– Ça va être marrant, ça dit dedans.

– Ça va être marrant, ça va être marrant.

– Moi, j'adore sauter dans les cascades, alors.

– Je vous inviterai à la quoi boulevard,

ça vous fait la même chose.

– Oh, la quoi boulevard.

– Ah, vous êtes déjà allé à la quoi boulevard.

– Il est resté poincé dans le tube.

– Dans le tube.

– Eh, t'imagines, il y a eu trois jours.

– Il y a un bouchon, il y a un bouchon.

– Ah, les mètre, quand ils l'ont vu,

j'en dis, ils sont sauvés, oui, oui.

– Et la piscine à vague, on sait comment elle fonctionne.

– Un petit plongeant, youpi.

– Ah, ma vie.

– Ça doit être plein de microbes, ça doit être plein de microbes.

– Ah, c'est comme une piscine.

– C'est bon, c'est bon, c'est bon.

– Ils sont des centaines là-dedans, pis c'est dedans.

– T'as dit ce que la cascade de la tour, elle est propre.

– Ah, tu peux te baigner.

– Il y a du bronze partout.

– Ah, ça, c'est moins propre.

– Elle est quand même assez moche.

– Ah, elle est belle.

– Non, elle est moche.

– Question supplémentaire.

– Oui.

– Cédric Courret qui habite Ficke-Fleur et Canville.

– Ah, c'est joli.

– Ficke-Fleur, vous avez un an en vie.

– J'ai campé, moi, Ficke-Fleur.

– C'est trop mignon.

– J'ai fait du camping.

– Vous avez campé, là ?

– C'est pas loin d'hiver, on a.

– C'est dans l'heure, Ficke-Fleur.

– C'est mignon.

– Ah ouais, c'est vrai que ça vous faisait loin.

– Vous étiez scout.

– Vous aviez quel âge quand vous campiez, là ?

– Je crois que c'est la première fois

que j'ai dû quitter le havre quand je suis à la fuite.

– Vous allez à 5 kilomètres.

– Quoi ?

– Vous allez à 5 kilomètres.

– Bah oui, mec.

– C'était l'aventure, déjà.

– C'était l'aventure.

– Et vous aviez quel âge ? 15 ans ? 14 ans ?

– Non, peut-être 32, 33 ans.

– J'ai les coups.

Avec son petit slip de bain tricoté.

– Oh, c'était mignon.

– Parce que, et je vous jure,

sa mère a lui tricoté.

– Si !

– Ma mère ne tricotait pas des slip de bain.

– Si, vous m'allez montrer.

– On peut ne pas le dire.

– On a tous la photo.

– Sa mère, elle lui avait tricoté un petit maillot d'un.

– Quand on était gosses, on avait ça.

– Mais en vrai, c'est que ça prend l'eau, c'est en tricot.

– Mais t'as la couille qui passe à travers les mailles.

– Après, ça prend et tout.

– Tu m'étais dégalé pour que les films suivent.

– Ça marchait ?

– Ah non.

– Il y avait des vieux cochons.

– Bon, dit-on pour venir à New York, alors ?

– On était bien tricocoleurs.

– Tricocoleurs.

– Tricocoleurs.

– Tricocoleurs.

– Ah oui.

– Tricocoleurs.

– J'ai plus jamais campé, après.

C'est la seule fois de ma vie où...

– Ça vous a guéri ?

– Ah oui.

Ah non, non, c'est pas vrai.

J'ai campé à Toulouse.

– C'était une petite tente, ou une grosse ?

– Oh ben, il était jeune.

– Non, la première fois, c'était une grosse.

– Une canadienne ?

– Avec fourru.

Non, écoutez franchement.

– Et vous l'avez plantée, plantée où, votre tente ?

– Fiquefleur.

– Alors, c'est quoi, la question ?

– La question qu'on sert de nom, que New York, que New York.

– Oui, il y a très peu de chansons.

Fiquefleur, Fiquefleur, par exemple.

– C'est moins facile.

– C'est moins facile.

Fiquefleur, Fiquefleur.

J'ai planté ma tente.

Et par boire de chanque.

Je veux en être Fiquefleur, Fiquefleur.

Fiquefleur, Fiquefleur.

– Alors, ça, c'est génial.

Ça a arrivé à Fiquefleur, sur New York.

New York, bravo, M. Bogrand.

– Alors, normalement, Christophe Bogrand devrait pouvoir

répondre à la question qui vient.

Puisque, je vais vous demander, on est un peu dans le jeu Nagui.

N'oubliez pas les paroles de temps en temps.

J'aime bien vous piéger avec les paroles des chansons.

– J'aime bien.

– C'est quand même une chanson que tout le monde connaît, New York.

C'est New York.

Je vais donc démarrer la chanson.

Je vais pas vous la chanter, je vais pas vous imposer ça.

Mais vous allez devoir, évidemment, compléter

par la phrase qui manque.

Ça commence ainsi.

Start spreading the news.

I'm leaving today.

Vous pouvez traduire au fur et à mesure, peut-être.

– Faites passer la nouvelle.

Je m'en vais aujourd'hui.

– Je m'en vais aujourd'hui.

– I want to be a part of it.

– New York.

– Je veux une portion de frites.

– Une part de frites.

– On a dit qu'on arrêtait avec les frites, Bernard.

– New York, New York.

Bon, Fiquefleur, Fiquefleur.

C'est la traduction.

– N'importe quoi, là.

– These vagabonds choose our longings to stray.

– Ah oui, des chocures, des vagabonds ont du mal à marcher.

– White shoes are very out of it.

– Je comprends rien.

– It's it.

– It's it.

– It's it.

– Ah.

– Il aurait la gueule de Cynatra.

– Il entend ça.

– Fiquefleur, Fiquefleur.

– C'est pas possible, on comprend rien.

– Et on arrive, évidemment, quasi au refrain.

Pas tout à fait, mais quand même.

Et là, je vais vous demander de compléter cette phrase.

– I wanna wake up in a city that never sleeps.

– Never sleeps.

– Never sleeps.

– Dans la cité qui ne dort jamais.

Bonne réponse collective.

– Ah oui.

– Ah là là.

– Ça veut dire ça ?

– Je vais demander à Chantal là-dessous de l'interpréter cette phrase.

– Oh merde.

– Alors attention.

– La la la la la la.

– Attendez, croyez pas.

– La la la la la.

– La la la la la.

– La la la la la.

– La la la la la.

– La la la la la.

– La la la la la.

– Pas la musique, elle a pas les paroles,

mais elle va vous la chanter quand même.

– Ah je bombe.

– I'm living today,

I want to be a part of it.

– Fique fleur, fique fleur.

– This vagabond should I long it to sleep.

Back to the verattas, New York, New York.

– Ah c'est beau.

– I wanna wake up.

– On dirait que de dégueulasse Vegas.

– On dirait là, Isabelle Néli à 4 ans du mat.

– I'm game the hill, top of the hill.

This little town blues, I'm a link howie !

Oh merde.

– Non c'est pas du tout.

– C'est pas mal, le chanteur là.

– C'est pas mal non?

– Non, ça faisait un peu infirmière qui rentre les vaches.

C'était He La, Honte de Vallée, Tabaa, Vanille.

– Et la belle chanson.

– C'est une de vos chansons préférées je crois.

– Ah ouais, comment vous le savez?

– Parce que ça fait quand même quarante ans que je vous supporte.

Je ne peux pas l'achanter mais je trouve que le 31 décembre à Central Park, quand on fait le décompte et qu'ils balancent ça, New York, New York, c'est bon mais t'en peux plus.

C'est tellement beau, c'est confetti, c'est plus détoile.

Il faut faire la queue pendant des heures, il fait moins dix.

Mais quoi tu fais la queue pendant des heures ? T'es là, t'attends ?

Non mais c'est génial New York, je me souviens, les confettis du 11 septembre, ils étaient lourds.

Il faut les éviter quand même.

Ils étaient lourds et ils criaient.

Alors, c'est pas terrible.

Et si Jerry Star chante à New York, New York, ça donnerait quoi ?

New York, New York, Danikicama.

Je l'ai vu chanter l'autre jour dans la nouvelle star.

Oui, ça doit être très agréable.

A ça je dois dire, d'un seul coup c'était une vengeance pour tous les candidats, hein.

On a trouvé pire.

Mais tu veux mourir toi ?

Quoi ?

Vous voulez mourir patron ?

Pourquoi ?

Âme vous moquer de другие stars.

Ah mais je suis un costaud, moi je suis un rebelle, moi il ne me fait pas peur.

Ben non plus, il serait l'invité mystère vous diriez pas ça quand même ?

Je vais demander à Christophe de Chavane puisque c'est son retour au Grosse-Tête, aujourd'hui, après quelques semaines d'absence,

Christophe de me donner un numéro entre 1 et 20, le numéro 11 et pendant qu'on appelle Pierre Benichaud.

Est-ce que vous pouvez partir pendant la valise ? D'accord, mais discrètement, ce serait bien quand même.

Il va faire pipi le pot.

Je sais bien, maintenant toute la France le sèche, il s'en va pendant la valise.

Si on pouvait rechaouir des couches pour Pierre...

Il n'est pas obligé de faire un one man show pendant qu'il s'en va du studio.

Mais il n'aime pas la discrétion.

Pendant ce temps-là, ça sonne chez Loïc Paquet qui habite Saint-Croix en haute Normandie.

C'est dans l'heure Saint-Croix et on espère que ça va décrocher.

Si on voyait un gros paquet, justement, s'il remporte la valise.

Écoutez, franchement, vous gardez votre gros paquet pour vous deux.

Écoutez-moi, j'étais généreux.

En tout cas, ça sonne.

Et M. Benichaud est déjà revenu, c'est-à-dire si on a perdu du temps.

Mais je m'aperçois que quand je suis pas là, c'est le bandel.

Allô, M. Paquet ?

Oui, bonjour.

Bonjour M. Paquet.

Vous habitez bien les beaux Saint-Croix en haute Normandie, dans l'heure, précisément.

Oui, c'est lui.

C'est moi-même en perche, c'est lui.

C'est la voix qui guérit.

Oh la voie, oh merde.

Oh là là, on peut pas s'acquetter comme ça.

Ah, je suis désolé.

Oh M. Beaubourg, il parle derrière et tout ça.

Toujours, il parle derrière.

Surtout quand j'ai un paquet, en fait.

Il en parle trop, d'ailleurs.

Bravo pour la vanne, merci.

Vous savez, vous me l'avez offert.

Je vous ai tendu la perche.

Je parlais du paquet.

On pensait que vous décrocheriez jamais, hein.

Vous savez, M. Benicho est revenu tellement il y avait un suspense.

Oh merde, M. Benicho, ça aussi, c'est un truc de fou.

Qu'est-ce que vous faites ?

Bon, c'est bon.

Je dis tout de suite bonjour à mon grand-frère, un guillaume qui vous écoute dans sa voiture.

Il va entendre sa histoire, il va être comme un fou.

Ah ben comme un fou, il va être comme un fou.

Je boule avec une cliente et je lui attends, il bougeait pas.

J'ai l'impression que c'est le chirurgier qui m'appelle.

Alors attendez, mais qu'est-ce que vous faites comme boulot avec votre cliente ?

Je suis vendeur, je suis en train de vendre un autoradio dans mon rayon, là.

C'est prêt ?

Ah ben ça pourrait être prêt.

T'as vu ?

La assurance que les mecs prennent.

J'étais plus à la radio, disais, oh c'est l'eau de sa vanne.

C'est l'eau Benicho, maintenant il est à l'or.

C'est prêt, oui.

Non mais c'est à l'aise-bon.

Benicho, c'est mon moment, alors deux minutes, hein.

On a affaire à une flèche.

Non, on a affaire un vent dehors.

J'espère que vous allez mettre tous vos autoradios,

branchés sur RTL maintenant.

Attention, de force pour vos clients.

On vous écoute pour le contenu de la valise.

1003 euros.

Oui.

Un livre secret d'histoire dédicacé par Téphane Berm.

Exactement, vous avez trouvé.

D'accord, ma mère, ça fait cool.

Ça fait et ?

Et 15 paquets de 5 grands croutes café,

une machine percolateur à café coféa.

Vous avez gagné la valise RTL.

Oui.

Il y a de l'ambiance dans le magasin, là, c'est bien.

Et grâce à Christophe Dechavane,

vous pouvez remercier Cri-Cri, quand même.

Merci Christophe, c'est un plaisir.

Si vous saviez, quelque part, ça fait plaisir.

Il y a Bérangère Rief qui est là,

si vous la connaissez, la petite Bérangère.

Oui, tout à fait.

Elle est sympa, j'aime bien.

Elle fait des choses drôles.

C'est son métier.

Elle est en train encore.

Cette fois, c'est rien, mais vous verrez,

c'est une issue un peu vulgaire, mais elle est sympa.

Non, elle n'est pas vulgaire, Bérangère.

Il y a tout ça, la seule chose qui est vulgaire,

c'est de dire à une femme qu'elle est vulgaire.

Oui.

C'est mille, trois euros,

sans remplacer par un coup de sifflet, bref.

Ça ne va pas, non ?

Mille, trois euros,

l'olive, secret d'histoire,

pas 25, 15 paquets.

15, c'est déjà pas mal, du café coféa.

Vous allez recevoir tout ça.

Mais dans quel boutique,

vous vous rendez des autoradiaux, alors...

Vous travaillez chez Feuvert.

Feuvert ?

Oui.

Avec le chat.

Avec le chat.

Avec le chat.

Monsieur Paquet de chez Feuvert.

Très bien.

Écoutez, on vous embrasse.

Vous êtes bien sympathiques,

et vous allez très vite recevoir la valise RTL

et tout son contenu.

Alors, c'est un juif piernoir,

un gros dragueur invétéré

qui aborde une jeune fille à la terrasse d'un café.

Ma moiseur, sur la tête de ma mère,

vous êtes la plus belle.

Surtout, nomme dit rien,

quand il s'agit d'une jolie fille,

ma Rolex, elle me raconte tout sur elle.

Il porte la montre à son oreille

et fait styler les côtes, ce qu'elle dit.

Il fait ma moiseur, ma Rolex,

elle me dit que vous n'avez pas de culotte.

Alors, jeune fille dit,

bah, elle se trompe.

J'ai une culotte.

Alors, elle t'y regarde,

ça monte, il fait.

Ma parole, vous avez raison,

elle avance d'une heure.

Monsieur Bellamy, c'est à vous.

Alors, c'est un petit garçon

qui est venu passer la journée chez son grand-père

et alors, après-déjeuner,

donc celui-ci s'installe dans son fauteuil,

il allume sa pipe, bon.

Alors, le gosse s'approche de son grand-père

et lui demande,

Papy, prête-moi ta pipe.

Oh, bah non, c'est pas pour les enfants.

Oh, Papy, s'il te plaît,

prête-moi ta pipe.

Oh, non, non, non,

les enfants ne fument pas.

Mais je fumerai pas, je te le jure.

C'est juste pour la tenir.

Bon, alors, la voilà.

Faisis attention, hein.

Alors, le petit garçon prend la pipe

et la jette par terre

l'écrase à coups de talons.

Stupéfé, le grand-père crie.

Bon, enfin, qu'est-ce qui te prend ?

Pourquoi tu fais ça,

petit galopin ?

Et alors, le gosse répond

parce que papa dit toujours,

on s'achètera une belle voiture

quand le pépé cassera sa pipe.

Et il y en a.

On a tellement eu peur que ce soit ça.

Oui, il y en a.

Il y en a.

Il y en a.

Non, c'est une fille qui dit à son mec,

chérie, ça fait six mois qu'on est ensemble,

quand même.

Tu pourrais me montrer ta maison

ou ta vie, ça.

Bon, d'accord. Tu veux voir la maison d'abord ?

C'est pas vrai.

Attendez, attendez, attendez.

Moi, je vais vous la raconter.

C'est que vous n'avez pas osé raconter.

C'est pas que je vais pas oser raconter,

mais il y a des choses

en ce moment qui sont un petit peu...

C'est une vieille dame

qui se présente au paradis.

Elle est reçue par Saint-Pierre

qui ouvre les portes du paradis.

Saint-Pierre, il dit,

rentrez.

Alors, la vieille dame, elle rentre

et elle entend.

Au paradis, elle entend des hurlements.

Mais qu'est-ce que c'est que ça ?

Qu'elle demande à Saint-Pierre.

Ce sont les anges

à qui on vise une couronne

sur la tête, dit Saint-Pierre.

Mais c'est affreux, dit la grand-mère.

Et là, elle entend des nouveaux hurlements

qu'il a font encore plus stressaillir.

Et ça, c'est encore des cris de douleur que j'entends.

Oui, ce sont des anges

à qui on vise des ailes

dans le dos, dit Saint-Pierre.

Mais c'est affreux, affreux.

Saint-Pierre, je veux pas aller au paradis.

Je veux pas aller au paradis.

Envoyez-moi plutôt en enfer.

En enfer, se dit Saint-Pierre.

Mais madame, en enfer,

vous allez être violés,

vous allez être saudomisés.

Peut-être, mais au moins,

les trous sont déjà faits.

Vous allez être amignants, non ?

Oui.

C'est quand même...

C'est connu moins bégel, hein !

Quel qu'il n'a plus de genel

dans Saint-Pierre ?

Alors, voilà pourquoi

j'aurais aimé avoir, évidemment,

la vie du sélectionneur.

D'abord, Australien,

le sélectionneur.

Alors...

France, c'est le paradis.

Parce que...

La question qui s'est mentue

est si c'est bon,

j'ai envie de voir la vie

dans Paris...

Nous sommes aussi

dans le groupe du Pérouet...

Oui.

Tout, tout, tout...

Tout, tout, tout...

Tout, tout, tout...

Tout, tout, tout...

Ah, il y a hâte !

Mais c'est bien,

non, dans des bécats,

les bécats, les béziers,

ils le mettent à tout...

Tout, tout, tout...

Mais évidemment,

dans notre groupe,

l'équipe la plus difficile

à affronter,

ce sera le Danemark.

Le grand,

tout le grand...

Je rappelle que dans le groupe

que dans le groupe A, nous avons la Russie, et j'aimerais demander aux sélectionnés

en russe, ce qui pense évidemment du départ du réel Madrid de Zinedine Zidane.

Dans ce même groupe de la Russie, vous avez l'Arabie saoudite.

Alors attention dans le groupe B, vous avez le Portugal.

Vous avez l'Espagne dans le groupe B.

Vous avez le Maroc dans le groupe B.

Vous avez l'Iran dans le groupe B.

Il va être facile ce sketch à déposer à la sacelle.

Ça permet de réviser qui va jouer contre qui.

Par exemple dans le groupe E, vous avez le Brésil, que vous aimez beaucoup.

Le Brésil qui va devoir affronter la Suisse.

Tout compliqué peut-être, la Serbie est dans le même groupe aussi, la Serbie.

Dans le groupe H, c'est le meilleur groupe pour vous.

Parce que dans le groupe H, vous avez, d'abord, j'aimerais avoir la vie de chaque sélectionneur.

D'abord, le sélectionneur du Japon dans le groupe H.

Le Japon qui va devoir affronter, évidemment, l'équipe du Sénégal.

L'équipe Colombienne dans le groupe H, ce qui paraît normal.

Dans le même groupe, la Polonia.

Je propose qu'on fasse les autres groupes une autre fois.

Je propose qu'on fasse tous les pays qui ne se sont pas qualifiés.

La soirée est la plus mémorable de toutes les vacances que j'ai pu faire.

Il m'a même offert un micro karaoke.

Les parents de la Serbie, c'est parti avec celui qu'on appelle la Diva du Havre.

Oh Daniela, la vie n'est qu'un jeu pour toi.

Oh Daniela, surtout ne croit pas que tu peux, oh oh oh, Daniela, jouer avec l'amour.

Sans risquer de te brûler un jour.

Bravo Daniela, tout de suite pour votre plus grand plaisir imaginé.

On a Claude et Marie-Line Monroe et Jean-Claude Godin, j'ai su panier.

Comme un garçon, j'ai cheveux longs, comme un garçon, je m'offre un blouson,

un médaillant, un gros ceinturon, comme un garçon, mais je suis une fille.

Bravo Zizdupanyé, formidable, on l'a applaudi, à ses côtés, tout de suite.

La spécialiste du cheval, Biltot, Thierry Cémagasine, elle n'est pas montée comme un anne, mais elle a monté les chevaux d'Aribotoo.

Ta gada, ta gada, voilà les Dalton.

Ta gada, ta gada, je connais plus les paroles.

Formez la mercilerie, extraordinaire.

Avec celui qui aurait pu l'être à la bourboule, vu sa forme, mais il est d'agagant.

Yo aléou, il entend le loup, là, la branlette.

Les sirènes du porte, à l'aise,

appartez-moi une peignoire et que l'électricité chante encore la même mélodie.

La lumière du phare.

Allez, avec moi.

Allez, le sang des...

Bois-le sur les filles et les barres que sur le nier.

Je suis dans ta vie.

Je suis dans tes bras, Marie.

Alexandre, Alexandre.

Je suis dans tes bras, Marie.

Tout comment j'ai trouvé.

Lolo papy, j'ai plus d'appétit.

Carin, couda, couda.

Je te vengerais cru, si tu ne reviens pas, il est plus bon.

Est-ce qu'au cour des branchés, Yoann Rihou, si le bleu des branchés sont mes grands, merci vos bras.

Bravo à Florian Gazan, en tout cas.

Pierre Bellichou, vous avez joué de la guitare quand vous étiez jeune.

Je vous vois dans votre chambre de bonne, entouré de jolis filles.

Non, j'étais dans un très bel appartement, venu foche, entouré de l'aideron.

Et tu lui prenais comme un manche.

J'ai eu six guitares, comme tous les gens de ma génération.

Chaque fois que vous êtes qu'est-ce que tu veux comme cadeau, une guitare.

Alors on allait aux puces, c'est des guitares à 50 francs, à l'époque.

C'est sans les fils.

Ah, sans les fils, sans les fils.

On dirait des cordes, ça s'appelle des cordes.

Non mais on dirait que tu l'as acheté bien.

Non, mais non, mais non, mais non.

C'est les fils pour relier à l'électricité.

Mais c'est con.

C'est sûr qu'il ne demandait pas d'électricité.

C'est des guitares à piles.

Bon alors, je ne connais rien de la guitare.

Et j'avais un médiateur.

Une guitare sèche alors, vous voulez dire.

Oui, une guitare sèche.

Tu jouais Jeux interdits, on a tous joué.

Avec la Goya.

C'est une Ricomacias qui a dû vous apprendre à jouer de la guitare, j'imagine.

Non, c'est moi qui l'ai appris.

Mais Ricomacias, donc lui, il jouait d'enfance.

Oui, bah continue, parce que là tu finis pas tes phrases.

Mais je finis plus, mais il y a longtemps que je finis plus les phrases.

Non mais j'aimais bien, c'était une fausse force.

Comme les chanteurs, tu sais qu'ils commencent le refrain

et qu'ils disent au public, allez-y.

Patrick, tu commence mes phrases et ils savent ce que je veux dire après.

Mais tu verras quand t'auras du succès.

C'est comme ça.

On n'a pas un registrement de Pierre Benichou avec sa guitare rabo en dalouse.

Alors écoutez franchement, j'en ai entendu des types oser tout, mais à ce point là.

Il fait comme ça Ricomacias, le premier l'heure qu'il a joué, c'était

On m'appelle l'Oriental.

Elle n'a pas de santé mentale.

Et pourtant je ne veux pas de mal quand on m'appelle l'Oriental.

Il faut d'armouca, il faut tout ça, vous connaissez pas.

Mais il roulait pas d'hier.

T'as vu le son de sa guitare, on dirait les chevaux en camargue.

Mais on m'appelle l'Oriental.

Ah putain, on prenait la guitare sur le pôle et tout ça.

Après j'ai changé la première guitare, ma deuxième.

Changer contre des jeans, parce que les jeans...

Ça fait pas pareil.

Il est changé à un mec qui s'appelait Bob.

Au quartier latin c'était la vedette.

Mais le jean, il était avec des chiles, le jean.

Non, le jean n'était pas un jean électrique, c'était un jean.

Non, mais il était peut-être effranger.

Et j'ai changé ça, et j'étais content.

Parce qu'en jean, les films regardaient enfin.

Parce que j'avais un jean.

Joue-moi un peu de guitare.

Mais j'en avais pas.

Alors elle disait, mais pourquoi ?

C'est parce que je l'ai changé.

Mais t'es fou d'échanger.

T'as guitare contre quoi ?

T'es contre mon jean ?

Oh, t'es con.

Mais si t'avais pas eu de jean,

tu n'auriez pas parlé.

Tu comprends ?

C'est pas la peine de crier.

Je suis à côté de toi.

Oui, mais j'ai des millions de litres.

Ça fait quand même quelques années qu'on fait de la radio ensemble, Pierre.

En fait, quel est le vrai du faux ?

Je ne comprends pas si t'as vraiment rencontré une récomatiasse.

Là, je me vente, c'est vrai.

J'ai vécu 5 ans avec Mme de Salle,

tu le sais,

mais à récomatiasse, je rêve de le rencontrer.

Mais tu peux pas poser telle question, en fait.

Parce que t'as vraiment connu la récomatiasse, oui.

J'ai fait son premier article.

Ça, c'est vrai.

Et j'ai fait un truc sur lui,

un article, je racontais la détresse

de ce type qui a perdu son pays.

Moi, je me foutais, je n'étais qu'en l'amour depuis longtemps.

Moi, moi, je t'ai Français à mort, moi.

Je t'ai Français à mort, jamais.

Il n'y a pas longtemps que je me suis fait remettre un nez comme ça.

Jamais, je me fais faire un tout petit nez.

Il me dit, oui.

Comment ça se passait ?

Vous alliez à l'école ?

En Chameau, lui.

Alors qu'il est constantinois, le pauvre.

Enrico Maciasse.

Oui.

En vrai, non.

C'est Gaston Grelincia.

Exactement. Vous voyez qu'il a vraiment rencontré Jérémy.

Oui, oui, oui.

Franchement, on va bientôt attaquer la biographie du récit.

Moi, j'aimerais bien savoir le vrai du faux.

Non, mais putain.

Attaquer la biographie du récit.

Tout est fou.

Oui, j'aimerais bien écrire ta biographie.

Mais pour un artiste, les vrais du faux n'a aucun sens.

Comme tu peux poser telle question.

Oui, c'est intéressant.

Moi, j'aimerais bien savoir ce qui est vrai.

Non, l'artité trompe alors.

Alors, tu poses des mauvaises questions.

Voilà.

Tout est faux.

Hé, hé, hé.

C'est pas...

C'est pas...

C'est pas Zenith, ici.

On paye pas les gens pour qu'il rigole.

C'est pas...

C'est pas comme il sert rien au police que tu veux avouer la vérité.

Vous pourrez en tout cas dire, vous, plus tard, Jérémy Ferrari.

J'ai connu Pierre Benichou et croyez-moi.

C'est mieux qu'Henri Comaciasse, encore.

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Écoutez ou réécoutez l'émission des Grosses Têtes avec Laurent Ruquier du mercredi 23 août 2023.