Les Grosses Têtes: BEST OF - Les 10 meilleures blagues du dimanche

RTL RTL 8/27/23 - Episode Page - 12m - PDF Transcript

Un paysan béarnait par acheter avec son fils une vache à un ancien copain de régiment.

Celui-ci habitant les Landes, lui il vend la vache un peu chère.

Dans le camion, lors du retour, le paysan dit à son fils,

« Vu le prix qu'on l'a payé, dès qu'on arrive à la ferme, on la met à saillir directement ».

Il présente donc la vache au taureau et celle-ci se met à se tortiller de droite à gauche et de gauche à droite,

de l'arrière train, empêchant le taureau de faire son travail, vous voyez ce que je veux dire.

Le voisin qui passe par là dit au paysan, ta vache, tu ne l'aurais pas acheté dans les Landes.

Et tu... et t'en ai le paysan lui dit, « Oui, comment tu te finis ? »

Et le voisin lui répond, « Ma femme aussi est de là-bas. »

C'est le mec qui est sous, qui est dans un bar et qui demande à Whiskey,

puis deux, puis trois, puis quatre, puis cinq, puis douze,

et puis le serveur lui dit, « Maintenant, il faut payer, qu'est-ce qu'il s'est... qu'est-ce qu'il me demande de payer ? »

Mais il dit, « Si, oui, il faut payer, vous avez bu le doux ».

Puis je pense que maintenant, il faut s'arrêter de boire, surtout, je pense que vous avez assez.

Si je me disais un autre, s'il te plaît.

Donc le serveur va avoir le patron, il dit, « Écoutez, boss, je suis très amonté ».

Il y a un gars, ça fait beaucoup, beaucoup, beaucoup, il dit très souvent,

et en plus, il ne veut pas payer.

« Ah ben, s'il ne veut pas payer, tu vas voir, je vais y aller moi-même ».

Alors le serveur, il ne veut pas regarder, il dit, « Maintenant, il ne veut pas payer ».

Alors le patron, il y va, il dit, « Dis donc, PPR, tu vas payer maintenant,

parce que ça fait deux whiskeys, tu vas payer, puis vu ton état, tu vas partir aussi ».

Et lui, il dit, « Eh, tu sais, tu cherches ta... t'achèches ta... t'achèches ma bête à la gueule ».

Le patron, il saute par-dessus le bar, il prend le mec, il le jette à travers le bar,

le mec, il traverse le bar, il sort dehors, et là, bam !

Putain, il se cogne dans une bonne sœur, d'ailleurs.

Encore, on était tous, « Ah, il prend la bonne sœur, bam, il m'a coup de boule ».

Alors la bonne sœur, elle tombe, elle s'échit, il a une fois qu'elle est par terre,

la bonne sœur, il dit, « Il donne des coups de date ».

Il la tape, il la tape, il lui casse les dents, il casse les nez pour une bonne sœur,

elle a pleine de sang et tout ça.

Elle bouge plus, elle est inerte, le mec, il leur dit, « Ah, il chante lent ».

Il regarde, il fait, « Tu m'as déçu, Batman ».

Ah oui, les mignons !

J'ai une histoire, c'est un couple.

C'est Sarah et Isaac qui sont dans leur lit, le soir, et ils lisent.

C'est un peine orienté de...

Et j'ai pris deux dents, et ils lisent tous les deux, et ils lisent un magasin,

un petit peu un magasin qui prépare l'été avec des photos de corps dénudés, etc.

Et ils sortent, ils ont un certain âge, et à un moment, ils lisent ça,

et puis ils commencent à devenir un peu moites, et puis ils disent, « Isaac, Isaac, s'il te plaît ».

Ils disent, « Mourre-moi les seins, mourre-moi les seins ».

Et ils disent, « Enfin, Sarah, qu'est-ce qui te prend, qu'est-ce qui te prend ? »

On est là, on est tranquilles, on lit tranquillement dans les lits, qu'est-ce qui te prend ?

Et puis, bon, c'est un minute après, ils voient encore d'autres photos, et ils disent,

« Isaac, ils disent, « Mourre-moi, mourre-moi les seins, mourre-moi les seins ».

Ils disent, « Mais non, Sarah, écoute, j'ai une grande journée au magasin, je suis crevé ».

Et puis, troisième fois, ils insistent, « Mourre-moi, mourre-moi ».

Et bon, ils se lèvent du lit, ils vont à la salle de bain, ils disent, « Mais qu'est-ce que tu fais, Isaac ? »

Ils disent, « Je vais chercher mes dents ».

Ça se passe encore, le mec, il arrive avec sa ferrarie, il se garde devant un troquet,

descend, il prend un petit café, il retourne vers sa ferrarie, il n'y a plus les clés sur le tableau de bord.

Il rentre dans le truc, il dit, « Écoutez-moi bien, j'avais compté jusqu'à trois,

s'il y a trois, on m'a pas rendu les clés de ma ferrarie.

Je ferai exactement ce que mon grand-père a fait il y a vingt ans ».

Attention, un, deux, là il y a un esclavage, il dit, « C'est moi, c'est moi, c'est moi ».

Je redonne les clés, je redonne les clés, et il leur accompagne un bagnole,

et il lui dit, il lui dit quand même, juste une petite histoire,

« Où est-ce que j'ai eu super peur ? »

Il avait fait quoi votre grand-père il y a vingt ans ?

Il dit, « Il était rentré à pied ».

Ha ha ha !

C'est un couple justement d'allemands qui ont un enfant, il arrive au monde,

mais il les met aucun son, aucun son.

Alors il l'amène chez le pédiatre qui dit, « Ah cet enfant est formidable,

il a tout ce qu'il faut, il n'y a pas de problème ».

Et l'enfant a quatre ans, il n'a toujours pas dit un mot, pas un son, rien du tout.

Il retourne chez le pédiatre, le pédiatre fait, « J'ai bien examiné l'enfant,

il n'y a aucun problème ».

L'enfant, France a huit ans, il n'a toujours pas dit un mot.

Il l'entouille, il ramène toujours chez le pédiatre qui dit, « J'ai commencé à en avoir marre ».

Vous dites que cet enfant a tout ce qu'il faut, foutez-moi la paix.

Enfin, il a 14 ans, il n'a jamais dit un mot, jamais, jamais, jamais.

C'est le mercredi soir, il mange sa purée de topinambour comme tous les mercredis,

et tout d'un coup il fait, « Ah ! Ça manque de sel ! »

Et les parents font, « Ah ! C'est incroyable, il a parlé, mais que faire, que faire ! »

C'était extraordinaire, mais France, pourquoi tu parles maintenant ?

Il n'y a jamais dit un mot, un son, rien.

Le gosse, il est regardé, il fait, « Jusqu'ici, tout était impeccable ».

Ah oui, il est bien aussi.

Les deux amants, ils sont dans le lit, ils viennent de faire l'amour,

et le nom, ils disent « Ton mari, il rentrait qu'un heure, oh ! »

Elle lui dit pas avant une heure, il dit, « Je te rappelle que ton mari est aussi mon meilleur ami ».

Quand même, d'un coup, le téléphone sonne, la femme lui fait « Ouais, d'accord, il n'y a pas de problème ».

Ok, elle raccroche, elle me le dit, « Toi, on a même une heure de plus,

parce qu'il est en train de jouer au tennis avec toi ».

Elle est jolie.

Elle est incroyable.

Il y a un gars qui est en Porsche, là, un jeune con, un pient tracteur de Voguey Margiroud,

comme de doucement en vie.

Déjà qu'on comprene pour ce qu'elle dit, c'est en plus à prendre 100 paysans.

Il y a un gars qui est un tracteur, et il y a un mec en Porsche derrière.

Le mec, il double, il y a un Porsche, il lui dit « Il y a ça sans chevaux là-dedans ».

Et puis, il continue.

Il y a un virage de virage, et paf, il tombe dans les temps avec sa Porsche.

Le gars passe en tracteur, il dit « Alors, on fait boire les mètres ».

Ah oui, allez bien.

Le mec, il est, tu sais, il va dans un magasin, on cherche un vendeur.

Un magasin, il vende absolument de tout, toi.

Donc, il se présente, le patron vient de l'embaucher, il observe de loin,

et il y a un type qui rentre, il arrive, il reçoit le type,

qui lui parle un petit peu à l'oreille,

et il l'attrape par la manche, il l'emmène vers les articles de pêche.

C'est un des endroits du magasin, il lui présente la gaule,

t'as la gaule toute simple, à 15€,

et il lui dit « Vous avez la gaule télescopique ? »

Il la sort, alors il y a 35€, mais avec un moulinet.

Attends, je dois juste m'occuper.

Un télescopique à 35€, je m'occuperai parce que c'est pas cher.

Note le magasin, non.

Bref, il lui vend aussitôt, l'autre signe le bon de commande,

et il l'emmène tout de suite vers les bateaux, les zodiacs.

Le petit dit « Il est incroyable celui-là ! »

Et le gars lui dit « Écoutez ce zodiac là, mi-mou, mi-dur ! »

C'est ça qu'on les prie pieds pour aller d'un endroit à l'autre,

pour pêcher bien, il vous faut absolument ça.

Franchement, à 27 000€, c'est vraiment une affaire.

Et le mec signe le bon de commande, il n'a pas fini de signer,

il le tire vers les remorques, qui sont juste à côté.

Il dit « Il vous faut une remorque avec les boules ! »

Il signe le bon de commande, et il l'entraîne vers les 4-4.

L'autre dit « Il va pas me vendre le 4-4 que j'ai depuis deux ans et demi dans la réserve,

s'il lui vend ! » Il dit « A 45 000€, un 4-4 comme ça, franchement, vous le regretteriez jamais.

Ici, ici, le client se barre. Le patron vient voir le mec et il dit

« Écoutez, vous êtes un génie, vous êtes un onge tombé du ciel.

Le mec vient acheter une goal, à 15€, vous lui encolez pour 75 730€ ! »

L'autre dit « Attends, il voulait même pas une goal au départ.

Il a bruit, il voulait quoi ? Il voulait une boîte de tampons pour sa femme.

Alors moi, je lui ai dit « Comme le week-end des foutus, allez donc à la pêche ! »

Une mère entre dans la chambre de sa fille qu'elle trouve vide sur le lit une lettre.

Elle imagine le pire en ouvrant « Maman chéri, je suis désolé de devoir te dire

que j'ai quitté la maison pour aller vivre avec mon copain.

Il est l'amour de ma vie, tu devrais le voir, il est tellement mignon avec tous ses tatois,

son piercing et sa super moto.

Mais ce n'est pas tout, ma petite maman chérie, je suis enfin enceinte

et Abdul dit que nous aurons une vie superbe dans sa caravane en plein milieu des bois.

Il veut aussi beaucoup d'enfants avec moi, c'est mon rêve aussi.

Je me suis enfin rendu compte que la Marie Roana est bonne pour la santé

et sous l'âge les mots.

Nous allons en cultiver et en donner à nos copains

lorsqu'ils seront à cours d'héroïne et de cocaïne pour qu'ils ne souffrent pas.

Ne te fais pas de soucis.

Pour moi, maman, j'ai déjà à 13 ans, je peux faire attention à moi toute seule

et le peu d'expérience qui me manque, Abdul peut le compenser avec ses 44 ans.

J'espère pouvoir te rendre visite très bientôt

pour que tu puisses faire la connaissance de tes petits-enfants.

Mais d'abord, je vais avec Abdul chez ses parents en caravane

pour que nous puissions nous marier.

Comme ça, ce sera plus facile pour lui, pour son permis de séjour.

Je vous dis, ta fille qui t'aime.

PS, je te raconte des idioceses.

Je suis chez les voisins d'en face.

Je voulais juste dire qu'il y a des choses bien pires dans la vie

que le bulletin scolaire que tu trouveras sur la table de nuit.

Vous connaissez la fameuse histoire, je l'ai souvent racontée,

mais Jacques Rahman, c'est peut-être la meilleure histoire que Jacques Rahman racontait.

Vous savez, j'ai entendu travailler avec ce fantaisiste humoriste qui faisait la cabaret

et il disait que Beethoven avait une gouvernante, vous voyez,

qui était à son service, qui travaillait régulièrement pour lui depuis des années,

des années, des années.

Et puis un jour, justement, avant la fin de Beethoven, sa gouvernante,

lui dit, écoutez, monsieur Beethoven, je crois que je vais devoir vous quitter

car on me propose une bonne place dans une autre maison.

Et là, Beethoven lui dit, mais c'est impossible !

Impossible, ma chérie, ma chère gouvernante, c'est impossible !

Vous êtes mon inspiratrice, vous ne pouvez pas m'en aller comme ça.

Comment je vais pouvoir continuer à composer si ma meilleure gouvernante

n'est plus dans la maison ?

La gouvernante, elle n'en revient pas, elle fait,

moi, votre inspiratrice !

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Chaque dimanche, retrouvez les meilleures blagues de vos Grosses Têtes préférées.





Bernard Mabille, Christophe Dechavanne ou encore Chantal Ladesou, découvrez dans ce podcast, 10 des meilleures blagues passées à l'antenne et racontées par les Grosses Têtes.