Les Grosses Têtes: BEST OF - Les 10 meilleures blagues du dimanche

C'est le prof, il est dans le CM2, l'instit, c'est une école où il n'y a que des gens blindés dans cette école donc il se la pète un petit peu.

Et le prof, il a dit aujourd'hui, une petite leçon de morale quand même, vos parents ont beaucoup de fric, mais sachez qu'on ne peut pas tout avoir avec de l'argent.

Et là, il y a un petit garçon, il lève la main, il dit, si, monsieur, on a tout, il dit qu'on a tout, il dit oui, il y a une télé dans chaque chambre,

et au plus, mon père, il a une maison à s'introper. Le prof, il dit bon, d'accord, il a une maison à s'introper, mais est-ce qu'il a un yacht ?

Par exemple, ton père, il dit non, il n'a pas du yacht. Ah, vous voyez, vous avez compris, on ne peut pas tout avoir avec de l'argent.

Et une petite fille, il lève la main, il dit, si, monsieur, nous, on a tout, nous, pareil, télé dans chaque chambre où mon père a une maison à s'introper, il a un yacht.

Alors, l'institue, il commence à s'énerver, il dit bon, il a d'accord, il a un yacht, mais est-ce qu'il a un putain d'hélicoptère sur son yacht ?

Il dit non, il n'a pas d'hélicoptère. Bon, alors, il dit, ça y est. Je pense que cette fois-ci, tout le monde a compris.

Et notre petite fille, il lève la main, il dit, moi, je suis sûr qu'on a tout. Mais comment, après tout ce que je viens de dire, comment tu peux dire un truc pareil ?

Elle dit, nous, un télé par-dou, la maison s'introper, mon père, il a un yacht avec un hélicoptère, et depuis deux jours, je sais qu'on a vraiment tout.

Ah bon ? Et pourquoi ? Il dit, monsieur, ma grande-sœur de 16 ans, elle est rentrée avec un noir à la maison, et papa, il a crié, ah bah tiens, il nous manquait plus que ça.

C'est Jean-Luc Mélenchon, il revient à la congrès, Sebagnol tombe en panne, en pleine compagne, il fait moins deux, évidemment, les portables ne passent pas, il est dans une cuvette, au bout d'une heure, il se résout à faire du stop.

Une grosse Mercedes, ça arrive avec un type à l'année, un élan en cigare. Mélenchon lui dit, vous montez sur Paris, il dit, ouais, vous pouvez me déposer, ça dépendra de vous.

Petite question, vous êtes de droite ou de gauche ? Mélenchon dit, vous plaisantez, vous ne m'avez pas reconnu, je suis Jean-Luc Mélenchon, j'ai créé un soumis, je suis pas à gauche, je suis à gauche, je suis à gauche.

Le mec fait tant pis pour vous, mon camarade, il est marre, il fait une grande géclette bout dans la gueule, il attend une heure, la feuche retombe et tout, et là, il y a une rolls qui s'arrête, avec une baronne, un chauffeur, il fait bonjour, vous montez sur Paris ?

Oui, nous montons sur Paris, nous montons sur Paris. Vous pourriez avoir la gentillesse de me déposer, ça dépendra de...

Norbert, posez-lui la question de confiance, et le chauffeur dit, monsieur, vous êtes de droite ou de gauche ? Et là, il sent que c'est pas bon pour lui, mais il ne peut pas se freiner, et il dit, je suis de gauche.

Au revoir, maintenant, la rolls est marre, grosse géclette bout, et tout arrive, une Ferrari, une très belle Ferrari, rutilante, il tend le pouce, il ne croit pas trop, la Ferrari s'arrête à l'intérieur, une beauté extraordinaire, une fille sublime, un rêve.

Une poitrine énorme, pas de soutien, gorge, une mini-éjupe de capacité.

Non, c'est ma mère.

Il est sous le charme, il lui dit, vous montez sur Paris, il fait oui, je monte sur Paris, il dit, vous pourriez me déposer, il dit, ça dépend de vous, mais si vous êtes plutôt de droite ou de gauche,

maintenant, il sent que c'est le dernier métro, il fait, je suis de droite, évidemment, en marche, tout s'en marche.

Elle a dit, allez-y, monte, il monte dans la bagnole, d'un seul coup, il fait chaud, il y a une bonne ambiance, il y a une musique de chadet, il commence à se détendre.

À chaque fois qu'il jette un oeil, il aperçoit la poitrine opulente de la fille, il jette un oeil sur ses cuisses magnifiques.

Je pense.

Et il est un peu rêveur, et la fille lui dit, ça va, il dit, non, je pense que c'est marrant la politique.

Ça ne fait pas dix minutes, je suis macroniste, j'ai déjà envie de baiser quelqu'un.

Les deux mecs dans le plus marre, à trois heures du matin, il y en a un qui réveille l'autre, il fait, hey, t'aidesz,

tu te dis, quoi ? Bah, il dit, t'aidesz, je ne serai pas en train de te bronler, là.

Tu te dis, si, pourquoi ? Bah, dis, tu serais gentil de prendre ta bite, alors.

C'est un type qui, il arpente de couloir de la clinique, parce que sa femme est en train de coucher,

il est très inquiet, au bout de quatre heures, il y a un infirmier qui arrive et qui vient le voir,

il lui dit, hey, ça y est, c'est fini.

Il fait, tout va bien, l'enfant va bien, il fait, oui, mais comment ça, oui, vous n'avez pas l'air sûr,

il y a un problème, il fait, non mais, il est spécial.

Je veux dire, quoi, il est spécial ? Il est spécial.

Mais quoi, il a, aller le voir, vous verrez, il rentre dans la chambre comme un fou,

il voit sa femme qui a un bébé dans les bras, le bébé, il a les cheveux crépus,

il a les yeux brinés, il a le teint basadé, il dit à sa femme, mais c'est quoi ce truc ?

C'est quoi ce patchwork ?

Mais non chéri, c'est parce que tu te rappelles, la grosse partouse qu'on a fait à la maison il y a neuf mois,

il fait, oh putain, pourvu qu'il ne la boit pas.

Écoutez, Jean-Marie Bigard, il y a une bonne histoire à nous raconter.

Ah !

C'est simplement, ça se passe sur un bateau, c'est la tempête.

Il y a une dame qui est là, accrochée au bastingage, elle regarde la fureur de l'océan,

les vagues qui viennent claquer les flancs du bateau,

et là, il y a un marin qui arrive, il dit même, il ne faut pas rester là,

parce que s'il y a une vague un peu plus forte que les autres,

un peu vous emmener par-dessus mort,

et là, il y a un gars qui a côté, il dit, oh, de quoi je me mêle ?

C'est ma belle-mère, hein, c'est pas la tienne !

Vous connaissez la fameuse histoire, je l'ai souvent raconté, mais Jacques Rahmad,

c'est peut-être la meilleure histoire que Jacques Rahmad racontait,

vous savez, je l'entends travailler avec ce fantaisiste humoriste qui faisait la cabaret,

et il disait que Beethoven avait une gouvernante, vous voyez, qui était à son service,

qui travaillait régulièrement pour lui depuis des années, des années, des années,

puis un jour, justement, avant la fin de Beethoven, sa gouvernante lui dit,

écoutez, monsieur Beethoven, je crois que je vais devoir vous quitter,

car on me propose une bonne place dans une autre maison.

Et là, Beethoven lui dit, mais c'est impossible, impossible,

ma chérie, ma chère gouvernante, c'est impossible, vous êtes mon inspiratrice,

vous ne pouvez pas m'en aller comme ça, comment je vais pouvoir continuer à composer

si ma meilleure gouvernante n'est plus dans la maison ?

La gouvernante, elle n'en revient pas, elle fait, moi, votre inspiratrice ?

Vous connaissez l'histoire, il y a deux alpinistes,

deux alpinistes qui se retrouvent au sommet du Mont Blanc,

et il y a un blanc et un blac, un noir,

et le blanc, ils arrivent ensemble, ils se disent bonjour,

et le blanc, il lui dit, c'est en Suisse,

il dit, ah ben vous, vous n'êtes pas d'ici,

et l'autre le répond, non, je suis de Lausanne.

La femme, elle va avoir le docteur,

il dit, c'est grave ce que j'ai, docteur,

alors il dit, écoutez, je peux vous dire la vérité,

elle dit, vous avez un double cancer,

plus trois cancers dans le cerveau,

quatre cancers dans le ventre,

et vous en avez pour 15 jours.

Alors elle dit, bon, bon, bon, écoutez,

je vais aller demander une deuxième opinion,

ça ne vous gêne pas, elle dit, mais pas du tout, pas du tout,

je peux vous la donner ?

Alors elle dit, c'est quoi votre deuxième opinion ?

Elle dit, vous êtes très led.

Je me rappelle d'ailleurs cette blague

de Patrick Sébastien que j'aimais bien,

comment on appelle la chaîne de télé à Montécarlo,

bah c'est télé Montécarlo,

comment on appelle la chaîne de télé en Bretagne,

bah c'est TV-Bret, comment on appelle la chaîne de télé

dans le Nord, c'est Télé-Coron.

C'est tout bête, mais ça marche toujours.

C'est Charles Cum, c'est Watson,

le docteur Watson, ils sont dans la forêt,

ils campent dans la forêt,

à l'heure du matin,

Charles Cum, il réveille Watson,

il ouvre les yeux,

et Charles Cum s'est dit,

Watson, qu'est-ce que vous voyez ?

Bah il dit, je vois le ciel,

il dit hey, bah il dit,

je vois le ciel, et les étoiles,

il dit hey,

et bah il dit hey,

et il voit bien que c'est

l'univers qui est en train,

qui est en pleine expansion,

il dit hey, et quoi,

c'est nerve.

Charles Cum s'est dit, j'en sais rien,

et quoi, et Charles Cum,

il dit, on nous a piqué la tente,

Watson.

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