Les Grosses Têtes: BEST OF - Le meilleur de la semaine du 9 au 13 octobre 2023

RTL RTL 10/14/23 - Episode Page - 15m - PDF Transcript

On peut penser qu'un influenceur va nous aider à choisir notre voiture,

où on peut décider de faire confiance aux 800 000 conducteurs de Dacia Sandero.

La voiture la plus vendue au particulier depuis 7 ans en France,

à partir de 6 euros par jour, avec 4 ans d'entretien inclus,

est à découvrir pendant les jours essentiels du 12 au 16 octobre.

Vous allez bien madame Boudboud, vous n'avez encore rien dit et ça me surprend.

Non mais parce que justement, j'aime pas du tout comme vous me présentez.

Ah oui.

Parce que je ne parle pas tant que ça.

Ah.

Et il y a 10 jours, j'ai fait un naïté.

C'est un truc que mon oeil s'est voilé blanc d'un coup.

Bref, dans les symptômes, le médecin me dit...

La première fois que tu dis bref.

Un quoi ?

Un naïté, c'est ce qu'il y a juste avant le...

C'est quoi un naïté ?

C'est juste avant l'ABC.

Achetais-je pas un naïté ?

Un miné.

Oui, ah ben oui.

Un naïté.

Oui ? Ça s'appelle un naïté.

C'est une prévisionnaire ou les ABC ?

Quand j'ai fait un IRM cérébral,

où ils m'ont dit, on vous met la radio, j'ai dit, mettez les grosses têtes.

C'est celle qui présentait la cuisine des musquetteurs, haïté.

Mais attends, et en fait, ils ne mettent pas les grosses têtes,

parce que les gens rigolent et bougent.

Ils continuent, quoi qu'on dise, vous avez remarqué ?

Bon, donc c'est quelqu'un fait un naïté ?

Même si elle se rend compte que ça ne nous intéresse pas du tout.

Bah si, c'est intéressant, on va voir.

Mais le problème, on rend que ça ne l'intéresse pas non plus.

Mais si, parce que comme ça, vous avez appris ce qu'était un naïté,

il y a peut-être des gens qui savent que quand un oeil se voile,

eh ben il faut appeler le 15.

Bon écoutez, je crois qu'on a bien compris d'arriver...

Non mais il faut parler, c'est ça.

Vous allez mieux.

Vous allez mieux.

Il faut dire qu'il va me parler.

Mais tu n'as pas fait l'aïté.

Mais il y a une petite pièce à côté où tu peux parler, tu sais.

C'est bien fermé et tout, c'est un sonorisme.

Vous allez vous confesser, je ne sais pas effectivement si la confession

fait partie de vos rites religieux chers d'arrivée,

mais est-ce que ça vous est déjà arrivé d'aller à confesse ?

Bah quand j'étais petite, moi j'étais chez les bonnes sœurs.

Ah bah voilà.

Tout à l'heure, quand vous serez embellé dans vos papiers,

j'ai justement une petite histoire de bonnes sœurs.

Ah bah non, les y commençons.

Franchement, les temps ne sont pas forcément joyeux en termes d'actualité,

mettons-nous de bonne humeur tout de suite, allez-y.

Oui alors, mais elle est longue.

Oh non !

On peut peut-être la garder pour des juteurs !

Alors tout à l'heure, alors tout à l'heure.

Alors tout à l'heure, d'accord, après l'émission.

Non parce que y'a des questions.

Non, elle est bien, elle est bien.

Oui, oui, mais vers 18h00.

Le laitur ne vend pas trop.

Bon alors allez-y, allez-y.

Allez-y, allez-y.

Alors, c'est dans un couvent,

la mère supérieure qui se réveille de très très bonnes humeurs.

Et elle se dit, tiens, je vais faire l'inspection des cellules.

Je ne sais pas si ça appelle comme ça pour les nômes.

Enfin bref, je vais faire l'inspection des cellules.

Des chambres ou des chambres ?

Non, ce n'est pas des chambres.

De mes petites nonnettes.

Allons au fait.

Mais si vous m'interrompez tout le temps,

je n'arriverai jamais, Laurent.

Bonjour, c'est Marie-Joseph.

Vous êtes très bien ce matin.

C'est ravissant ces petites broderies que vous faites, etc.

Oh oui, ma mère, oui.

Mais alors vous, je pense que vous êtes

descendu du mauvais côté du lit.

Ah bon ?

Bon, elle passe à la suivante.

Sœur Marie-Caroline,

vous êtes très très très jolies ce matin.

Vous n'avez l'airé pas de nous, vous avez bien dormi.

C'est beau ces petites étiquettes pour les pots de confiture.

Il est 15 heures sur construction.

Oui, ma mère.

Oui, ma mère, c'est très beau.

Mais il me semble quand même

que vous êtes descendu du mauvais côté du lit.

Elle se dit, c'est quand même bizarre.

Bon, elle en passe, elle passe toutes les autres.

Elle arrive à la quinzième.

Elle lui dit, là, sœur Marie-Joseph,

elle est un peu énervée.

Je voudrais quand même savoir, parlez-moi franchement.

C'est bien, j'ai oublié.

Alors là, je suis le commentateur.

Elle sort tranquillement.

Non, non, non.

C'est ma chute, c'est ma chute.

Alors je continue.

C'est ta chute, ça, c'est sûr.

C'est comme pour le tiercer,

il ne faut pas te surmiser sur elle.

Parlez-moi franchement.

Elle a fait la chute avant d'arriver, dis donc.

Je reprends.

On est arrivés à la quinzième.

Elle était énervée.

Tu reprends où ?

Tu reprends laquelle nun ?

Ah, elle aurait bien continué,

mais il est comme moi,

il n'a rien compris.

La dernière nun.

Elle sort Marie-Noël.

Est-ce que vous êtes vraiment sûre

que je suis descendue du mauvais côté du lit ?

Elle me dit oui, oui.

Et alors vous le voyez à quoi ?

Ma mère, vous avez mis les sandales du père Émile.

Les auditeurs connaissent l'histoire de votre joconde,

mais vous pouvez raconter à monsieur Obal

que c'est vrai, ce que je dis ?

C'est vrai.

Un jour, je suis parti visiter le Musée du Louvre

et je suis vraiment tombé amoureux de la joconde.

Et je suis parti dans une boutique

où j'ai acheté le poster 6 euros.

Et je suis rentré chez moi.

Et j'ai dit, mais j'ai en faire quelque chose de cet affiche.

Je peux pas mettre ça dans un cadre en verre.

Ça va être absolument dégueulasse.

Donc j'amène mon affiche chez un encadreur.

Là, j'en ai eu pour 1.100 euros de carte.

On a l'impression que c'est la vraie aujourd'hui.

Bien sûr.

Et là, je me...

Ah non, monsieur Obal,

elle est plus belle que la vraie.

Ah non, mais je vous assure.

Je pense que la vraie, on la voit très mal

parce qu'il y a beaucoup de...

Il y a un verre fumé qui est affreux

et puis il y a trop de monde autour

et que la vôtre vous la voyez mieux, c'est la vôtre.

Oui, puis...

Sauf quand il cuisine gras.

Je vais vous dire que quand il cuisine gras.

Elle est au-dessus de la cuisine.

On la voit à peine.

Elle est sur le côté du mur.

Sur le côté du mur.

Mais dans la cuisine.

Dans la cuisine. Ah oui, oui.

Quand on fait le tour de l'île au central,

elle ne quitte pas des yeux.

Ah non, non, mais on est sous haute surveillance.

Monsieur Bac.

Mais c'est un vrai problème, les vitres,

sur les tableaux.

On ne voit plus rien.

On voit beaucoup moins bien la peinture

au musée que si vous la regardez

dans un livre, maintenant.

Ah...

J'exagère à peine.

Il faut protéger le tableau.

Il faut le le.

Non.

Vous êtes spécialiste.

Vous, c'est pas à peine d'essayer.

Il ne peut pas vous encadrer.

Ah, même à The Voice.

Oui, même à The Voice.

On sait jamais.

Oui, c'est pas mal entendu.

Et puis, oui, les fauteuils sont retournés.

Donc, peut-être...

Vous pensez que c'est mieux de dos avec moi ?

C'est potentiellement dangereux, vous savez.

Ce n'a dit, vous êtes...

Vous êtes du Racto Ench.

Moi, je trouve ces blagues sur les Portugaises

sont au poêle.

Oh non, vraiment, Monsieur Gueluc.

Mais Roselyne, on pourrait vous appeler

Blanche-Lynes, aujourd'hui.

Ah oui.

J'ai essayé de faire quelques effets de toilette.

Et en bonne femme de neige.

Mais non.

Elle a un tailleur virginal.

Je suis en infirmière...

Cochonne.

Ah oui.

Ah non, mais si tu me dis infirmière,

moi, je pense à Cochonne.

Mais j'ai rampé des effets de toilette aussi.

Je suis passé après lui, au petit coin.

Mais Roselyne, on a souvent appelé la farmachienne.

Oh !

Oh !

Oui, oui.

Non, mais écoutez, c'est un très beau tailleur.

Oui.

Oui, mais tu aurais aimé Yes et Chef.

Mais d'ailleurs...

Parce qu'il faut emballer la vieille viande

dans du beau papier.

Je ne le sais pas, c'est très stress.

Laurent, hier soir, tu as arrivé de Bruxelles.

En arrivant chez moi, j'ai allumé la télé

pour vous regarder, évidemment, sur BFM,

un peu après 20 heures.

En plus, il n'y a que des bonnes nouvelles.

Attendez, attendez.

Oui, pour se remonter moral.

J'ai eu un vrai choc.

Ah oui.

Je me suis dit, tiens, il s'est rasé la barbe.

Oui.

Et il a pris un coup de vieux.

Et puis j'ai vu, sous le type,

c'était Biden qui parlait.

Oui, vous s'est tracé.

Il a parlé longtemps, Monsieur Biden en plus.

C'est pas lui donner la parole.

Mais il a très bien parlé,

le président des États-Unis, je dois dire.

Mais ce qui était intéressant, c'est qu'en fait,

comme, évidemment, c'est traduit,

et qu'on entend un interprète qui parle,

l'interprète parlait mieux que Joe Biden lui-même.

C'est-à-dire que le discours, évidemment,

il ne faisait que traduire ce que disait Biden,

mais il avait un ton qui était bien plus offensif, bien meilleur.

Un peu plus habité, peut-être.

Exactement.

En fait, on devrait tous prendre des traducteurs.

C'est vrai, pourquoi pas.

Non, mais c'est vrai, il était incroyable.

Ça a duré longtemps.

Alors, pendant ce temps,

vous vous êtes allé faire pipi.

J'écoute, monsieur.

Ah non, d'accord.

Je prends des notes.

C'est une émission de feignasse.

Plein de gens qui parlent, dits de rien.

Mais est-ce que vous avez essayé

de poser des questions au président américain ?

C'est ça, oui.

J'aurais bien aimé.

Il débute dans le journalisme.

Il sait pas comment ça marche.

Oh, ça va alors.

Et vous, à l'heure sur LCI,

ça va bien, monsieur Beaugrand ?

Oh, ça va bien.

Oui, oui, on est en édition spéciale.

Tout le monde.

Vous savez ce que c'est.

Honnêtement, c'est bien.

Ici, on va pouvoir parler d'autres choses

qu'Israël.

Et ça va nous faire du bien, je crois.

Écoutez, effectivement, pendant 2h30,

on va essayer d'oublier le drame

que vit Israël,

le conflit au Proche-Orient.

Et on va essayer de s'amuser.

Avec, par exemple, cette première...

On va parler de l'Ukraine, hein !

C'est vrai, Ariel,

que vous êtes un peu pénélope

pour Bernard-Henri Lévis.

Vous êtes là.

J'imagine à coudre la nuit

pendant qu'il est à l'étranger,

en attendant qu'il revienne.

Voilà, pénélope qui tricote

et qui détricote sagesment

avec le cœur battant.

Eh ben oui, c'est moi.

Le cœur battant, plus pour longtemps, hein !

Elle va nous faire pleurer,

mais vu comment il a dit...

Oh non, non, non...

Eh ben oui, ben oui, c'est...

Mais moi, j'avais entendu une émission, Ariel,

où vous disiez que quand Bernard-Henri Lévis

n'était pas là,

vous regardiez la télé

jusque très, très tard, dans la nuit.

Ah oui, ça, c'est une vérité.

Je ne l'éteins pas.

Et même quand il y avait que du caviar

sur l'écran,

je...

Ah, vous avez dévié de l'écran ?

Je regardais toujours.

Les riches sont vraiment des programmes

à l'éviteur.

Elle regarde téléphochon.

Ça ne nous viendrait pas l'esprit

de regarder du caviar pendant 2 heures.

Chez nous, c'est de la neige, vous voyez.

Ah bon, de la neige, d'accord, d'accord.

Mais attendez.

Comment il y avait du caviar

sur un écran ?

Mais j'ai cru qu'il y avait vraiment de caviar.

Mais c'est la vidéo tourbillon

de la cave, hein, c'est tout.

Ah !

Non, mais en plus, je n'ai goûté

le caviar qu'une fois, le vrai.

Et j'ai détaché tout ça.

Sinon, c'est du pintier et de l'eau, quoi.

Mais c'est quoi, le faux caviar ?

Allez, c'est de faire pauvre, maintenant.

Non, mais dans le caviar,

ce qui est bon, c'est le blinis

avec la crème.

Ah !

Vous voyez, en fait,

elle a su rester tellement simple.

Vous voyez, les pauvres.

Ça, c'est démagogique,

c'est à n'acheter que les blinis, en fait.

Ah non.

Mais qu'est-ce que vous appelez

du caviar sur votre téléphochon ?

Non, mais en fait,

les petits trucs noirs et blancs,

comme ça, qui restent et qui s'intiguent.

Tu sais, quand il n'y a plus rien.

Bon, non.

Mais le fait est que maintenant,

avant, à un moment donné,

il y avait la mire.

Oui.

Et j'aimais bien la mire.

C'était un truc un peu hallucinatoire.

Donc, en fait, quand tu regardes la télé,

c'est soit la mire, soit le...

soit la mire, en fait.

Oui, c'est ça.

C'est très bien ce coup.

Pariel utilise mire.

Voilà, tout ça pour en arriver là.

Exactement, exactement.

Non, mais maintenant,

comme il y a tellement de chaînes, etc.,

on peut regarder la télé

toute la nuit avec des images.

Alors, par exemple, cette nuit,

puisque B.H. est encore parti

en Israël, après l'Ukraine.

Oui, ce que je suis allé, cette nuit.

Oui, je suis allé White Lotus.

Ah, la série ?

Oui, oui.

La série Sunnel Fix.

Voilà, entre elles.

Et j'ai trouvé ça assez rigolo,

tout de même toutes ces petites prostituées.

C'est très drôle, ça, les petites prostituées.

Quand on en voit, on rit beaucoup.

Mais c'est quoi ça ?

Je connais pas White Lotus.

Ah oui, c'est très mal pensant.

C'est incroyable, même que ça passe.

Mais oui, tout est tellement censuré maintenant.

Mais là, c'est...

Il y a des petites prostituées.

Ah oui, oui, oui.

C'est une série sur des gens très, très riches.

Il y a plein d'épisodes différents.

C'est une série sur des gens très, très riches

qui se retrouvent dans un endroit

un peu paradisiaque.

Et il y a, effectivement, toujours des problèmes.

Et c'est souvent des problèmes sexuels.

Donc, c'est le mari qui va aller

voir des petites prostituées,

comme le dit très bien Ariel.

Les petites, ça veut dire par l'âge

ou par la taille ?

Les deux, les deux.

Comment ça, les deux ?

Les deux.

Comment ça, les deux ?

Des naines, des mineurs.

Des naines, des naines.

Non, mais c'est très politically incorrect, vraiment.

Ah oui, oui, je crois.

Alors, on voit les deux fameuses petites naines prostituées

qui regardent tout ça.

Mais c'est pas des naines.

C'est pas des naines, je l'ai vu là.

C'est pas des naines.

Mais non.

Non, mais...

Mais non, c'est pas des naines.

Mais non, mais je pense qu'il faut...

Écoute, si Ariel dit que ce sont des naines,

ce sont des naines.

Non, mais alors...

Alors, elle voit des vieux libidineux

qui arrivent comme ça.

Ah quand même.

Très friquée.

Et puis, elle se dise lequel, elle met...

Oh non, celui-là, il est un peu moins...

Ah non, mais celui-là, il a quelque chose quand même.

Enfin, c'est très...

C'est très hot, quoi.

C'est interdit à moins de 12 ans.

Mais...

Ah voilà.

Mais tu regardes quand même.

Vous n'avez hésité, donc.

Voilà.

On dirait une série sur des mecs de 85 ans.

Parce que dès qu'on fume une cigarette,

c'est interdit aux moins de 12 ans.

Non, mais la série, elle est...

La série, elle est...

Oui, elle est un petit peu...

Elle est un petit peu sexuelle.

C'est pas des vieux qui couchent avec des prostituènes.

Mais à vous qui en a.

Il y en a.

Il n'y a pas de prostituènes.

Je crois qu'elle confère, elle a regardé Fort Boyard.

Oui.

Elle a vu le percroche avec Passe Partout.

Passe Partout.

Partout dans une catacombe.

Une première citation.

Ah, il est temps de passer à autre chose.

Pour Aurélie Schindler qui habite court-demanche.

C'est dans l'or.

Qui a dit, être fidèle quand on n'a pas de propositions,

c'est comme être honnête,

quand on ne fait pas de politique,

on n'a aucun mérite.

C'est collège, non ?

Non.

C'est récent, ça.

Ah, c'est récent.

Et c'est une humoriste qui a dit.

C'est Anne-Roumanoff, forestier.

Qui a dit Anne-Roumanoff ?

Moi.

Eh ben, c'est une bonne réponse de Vincent de Giel.

C'est Anne-Roumanoff.

Olivier de Kershawson est arrivé.

Olivier.

Alors, il paraît, Olivier,

que vous étiez chez le patron.

D'abord, comment il va, notre patron, monsieur ?

Il va bien.

Oui.

Il va bien.

Et vous a dit oui ou pas, alors ?

Il va bien.

Il va dire oui, s'il veut rester patron de cette boîte.

Parce qu'il ne les lâche pas facilement,

il a cette réputation.

Non, il n'a plus sa tête à les ramasser qu'à les lâcher,

mais je pense qu'il est quand même doué

de qualité intellectuelle certaine,

parce qu'il laisse un espoir au projet que j'ai.

C'est bien marré, attendant.

Ah, tant mieux.

Bon, on continue votre émission merdique.

Vous n'allez pas dire ça.

Vous avez dit du bien de moi, c'est ça qui compte ?

Je le dis, monsieur le directeur, excuse-moi.

Monsieur Rukiet, c'est un bonheur total.

C'est l'Henri Kou, macias de la comique.

C'est un garçon qui est tellement gentil,

par moment, on le prendrait presque pour une fille.

Tellement qu'il est gentil qu'un garçon.

Vous avez demandé un petit rallonge pour moi aussi, alors ?

Si tu veux la rallonge, je vais les voir pour parler.

Tu l'auras, crois-moi.

Tu ne peux pas dire de toi ce que moi, je suis capable de dire.

Tu ne peux pas dire que tu as un vrai talent,

qu'il n'y a pas un mec qui peut te suivre aujourd'hui,

que cette émission n'existe que grâce à toi.

Moi, je peux dire que je sais que c'est vrai,

parce que ça va faire 42 ans que je traîne dans ce studio.

42 ans.

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Dans ce podcast, retrouvez les meilleurs moments qui ont marqué la dernière semaine de la saison des Grosses Têtes, du 9 au 13 octobre 2023.












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