Les Grosses Têtes: BEST OF - Le meilleur de la semaine du 2 au 6 octobre 2023
RTL 10/7/23 - Episode Page - 13m - PDF Transcript
La dernière fois vous avez oublié de vous réveiller, on a été obligé de vous remplacer
par Florian Gaye.
Exactement.
La purge.
Et je regrette quand j'écoute les grosses têtes en plus.
Pourquoi ?
Parce qu'ils donnent des chèques alors que je les réponds.
Là j'étais l'égoutter et je me dis pourquoi j'y suis malé.
Mais t'étais sorti où la veille ?
Ben nulle part.
C'est tout ça qu'il a l'air.
Je me suis couché très tard parce que je dors pas, des doules.
Qu'est-ce que tu fais la nuit ?
Ah ben non mais...
Pourquoi si on ne s'en sent pas l'un à côté du lit ?
On ne se saut pas là.
Oh non mais vraiment les trucs d'adolescent Max Boublier.
Ah ben moi j'ai encore un petit rouleau déjà pour moucher.
Ben vous savez il a tourné les gamins, c'est un petit peu un gamin Max Boublier.
Vous avez un rouleau de saupalin près du Liban ?
Ben déjà pour moucher les petites, me moucher.
Ah c'est dégueulasse.
Enlever les planètes de lits.
Ça a l'air d'être propre chez toi.
Mais il y a des serviettes de minuit.
C'est dégueulasse.
Il y a quoi ?
Ça s'appelle les serviettes de minuit.
Ah oui ? Qu'est-ce que c'est que ça ?
Ben les petits lave-main.
Oui.
Et puis quand on achète des serviettes, tout ça des drap de bain.
Il y a la taille des serviettes lave-main.
Et il y a la même serviette mais qui est un peu plus longue.
Ça s'appelle les serviettes de minuit.
À la campagne ils ont ça ?
Ça se met sous l'oreiller et c'est pour éponger.
Éponger quoi ?
Bah c'est pas aussi chic.
Qu'est-ce que vous faites dans vos lits ?
En transpirant, on pense à vous.
Monsieur Barbiette, excusez-la, ils sont jeunes.
Ben lui là, c'en est cher pis t'en fous.
Ah oui !
On se demandait à quoi ça servait.
Ça fait des années qu'on se demandait à quoi ça servait,
les chars de Christophe Barbiette.
Ben attends, ça y est.
Vu sa taille, ça vous laisse des fantasmes.
Ouais, ça se descend pas.
C'est pas la serviette de minuit, lui, ça.
Allez, première citation pour Mme Catherine Monnier,
qui habite Madrid, qui a dit
il a bien fallu que le singe s'arrête quelque part
pour que l'homme puisse en descendre.
Pierre-Luc, Jean-Yann.
Non.
Il est trangé ?
Il est français ?
Un homme français.
Vivant ?
Vivant, néant 72, 19...
Ah oui !
Humoriste ?
Humoriste, non.
Écrivain ?
Écrivain, grand écrivain.
Ah, Musso ?
Non.
Mussolini.
Qui a dit Sylvain Tesson ?
Sylvain Tesson.
Sylvain Tesson, excellent !
Réponse de Christophe Barbiette.
Les filles de Bernard sont là aujourd'hui.
C'est pas vrai.
Ben oui.
Vos fils, elles sortent.
Elles sont dans le public, je les ai vues tout à l'heure.
Les sortes, elles marchent, elles vivent.
Elles sont vieilles.
Mais vous, c'est horrible.
C'est vrai qu'elles sont déjà retraitées, mais...
Non, elles ne vont pas être toutes jeunes, vos filles.
Elles sont jeunes.
Ah, vous les avez repérées, vous ?
Non, mais non, mais comme François Berléon,
ils ont été papa assez tard.
Un comédien peut être père très tôt.
Oh !
Absolument.
Ah, bon.
Ah, c'est reconprète.
Qui peut ?
Voilà, c'est Jean.
Il y a trois personnes qui ont applaudi.
Il y a quand même des gens qui ont compris.
C'est d'ailleurs la grande injustice avec les vies de la vie des femmes.
Pourquoi ? Pourquoi ?
Parce qu'un mec, il peut...
Hugo Frey, 94 ans.
Oui, mais pas ça.
Oui, mais voilà, ça, il n'est pas un père de famille.
Mais non, il est plus Hugo que Frey, hein.
Oui.
Je suis d'accord, Isabelle.
45 ans de différence.
C'est un truc de dingue.
C'est comme si moi, je fais chaud du 15 ans, quoi.
Ah oui, ah oui.
Ah, tu le fais ?
Non.
Je vous ai vu draguer le petit Paul Elcarrat.
Non, non, non.
Rien à voir.
Je tue sa marraine de cœur.
Ah, c'est vrai, sympa.
Ben, j'en sais rien.
Non, je rigole, je rigole.
Ben, si elle le dit, je la crois.
Je vous ai mis côte à côte parce que je sais...
Mais oui, on s'aime beaucoup.
Je sais qu'elle vous chouchoute, elle y a...
Moi, oui, je l'attends.
Et comme ça, pendant ce temps-là, vous m'emmerdez moins.
Ah, ça, c'est mal me connaître.
Ah, mais c'est bien.
Je suis content.
Non, mais attendez.
Hé, oh, il y en a une coup gare sur le péran, ça suffit.
Il n'y a pas...
On a une coup gare sur le péran.
Mais ça, va pas, non.
C'est vrai.
Mais on ne fâche pas avec la première dame.
Je dis simplement qu'elle nous donne l'exemple.
Ah, voilà.
La première dame de France.
Elle a l'autorité.
Elle nous dit, c'est bon, vous pouvez y aller,
vous pouvez pécho du chen.
Exactement.
Elle légitime.
Oui, on peut, mais le chen ne veut pas.
Ah ben, ça dépend.
Elle arrête le jour, il va...
Ah non, c'est pas vrai.
Vous bricolé vraiment, monsieur Visman?
Écoutez, ça se voit pas physiquement,
c'est vrai que j'ai pas un physique de bricoleur,
si ça existe.
Vous vous imaginez pas chez le roi Merlin.
Mais ça peut m'arriver quand vraiment,
il y a une très, très forte pression de la part de mon épouse.
Je peux visser, dévisser, défoncer même.
Et ça veut rien dire,
Ad-Philippe, il a un physique de garagiste,
il a écrit un.
Oui, c'est vrai.
On me prend pour un ancien boxeur aussi.
Ah, c'est vrai?
Oui, c'est vrai.
On est cassés,
mais même quand il n'était pas cassé,
on me disait, vous avez une née cassée.
Alors depuis, je me suis cassé deux fois.
C'est une solution, évidemment.
Vous êtes content de rencontrer
pour la première fois Karine Le Marchand?
Je suis ravi.
Je suis sous le charme.
En plus, on est de la même région,
de la même ville.
Mais oui, on est confis.
Merveilleux.
Oui.
Mais vous vous connaissiez déjà?
On se ressemble.
On se ressemble.
C'est vrai que vous avez un nude boxeuse.
Mais juste pour qu'on ait un public sympathique aujourd'hui,
est-ce que c'est vrai
que tous les sièges ont été désinfectés
des punaces de lits?
Ah, mais c'est ça ce stress
qu'on voyait dans la salle.
Mais on peut se les passer comme ça,
les punaces de lits.
Il y a un copain, des punaces de lits,
chez lui, il vous les passe?
Non, c'est pas contagieux, je crois.
C'est pas contagieux.
Non, non, non, non.
Mais qu'elle rentre dans ton pantalon.
Je préfère que ce soit autre chose
qu'une punace qui rentre dans mon pantalon.
Oh, Coquine!
On parle beaucoup d'idalgôme,
alors un bachelot.
Monsieur Panar,
vous avez écouté
qu'il y a eu une étude incroyable
sur la sexualité des punaces de lits
que je vous recommande.
Elle peut faire l'amour
100 fois par jour.
C'est normal.
Le mal à un pénis
hyper long, qui projette
carrément à distance.
Et il peut être hermaphrodite,
c'est-à-dire qu'il peut avoir un pénis
et plusieurs petits vagins
dans le dos.
Mais c'est Nicolas Hulot,
une police de Lyon.
Mais il y a une histoire
comme ça d'une femme
qui vient d'avoir un petit bébé.
Ah oui.
Et alors,
l'obstetricien est un peu gênant
pour lui dire,
enfin, le docteur dit
tout le monde ce qu'il se passe.
Le médecin dit,
il est hermaphrodite.
Mais c'est quoi ça, hermaphrodite?
Mais il a ce qu'il y a de très bien chez un homme
et de très bien chez une femme.
Oh docteur, vous voulez dire
qu'il a une bite et un cerveau?
Chaque fois, j'écorge votre nom.
Oh bike.
Oh il vous l'a inconvénier.
C'est...
Bah moi,
j'ai cru que c'était
Jackie Béroyer.
C'est dit tiens,
on va bien se marrer.
C'est le mec qui ressemble un peu
à Jackie Béroyer.
Ah mais j'ai cru de moi.
Et alors...
Il y a un air à Uri, c'est génial.
Vous avez dit,
vous avez un air à Uri.
Les cheveux,
il y a...
Et quand vous êtes arrivés,
M.O.Balk, c'était génial.
Vous êtes passés.
Et là,
il y a Isabel,
qui a dit à Caroline,
c'est qui?
C'est qui?
Oui, enfin,
enfin,
j'ai vraiment été payé
de ma pièce,
parce que M.O.Balk
m'a dit,
excusez-moi,
c'est quoi votre prénom?
L'adrédit Isabel.
Voilà.
Est-ce que vous pouvez parler,
M.O.Balk?
Il va parler.
Parce que,
s'il décide de pas parler
devant des cons,
il est mal.
Il parle beaucoup,
mais vous le connaissez,
le Rendeur.
Oui,
c'est sûr,
spectacle magnifique
sur l'espoir de la peinture.
Et surtout,
j'ignorais que votre maman
était cette grande linguiste,
M.Mualterre,
qui est une des plus
grandes linguistes
françaises.
Oui, moi aussi,
j'ignorais.
Moi,
je peux vous dire,
tout le monde l'ignorait.
Mais vous êtes...
Vous êtes dans quel théâtre
qu'on passe votre pub?
Il fait plusieurs théâtres.
Il fait le théâtre,
le atelier,
par exemple,
et à 15 heures.
Et surtout,
il est au théâtre du 13e art,
Place d'Italie,
tous les lundis soir,
à 20 heures.
Que des grands théâtres
de boulevard.
Le théâtre de l'atelier,
c'est quand même un beau théâtre.
Donc,
le 13e art,
c'est un nouveau théâtre,
Place d'Italie,
un théâtre très populaire.
Et M.Mualterre,
il parle de la peinture,
justement,
de façon,
il vulgarise la peinture.
Ça vous va,
M.Mualterre?
Toute l'histoire de la peinture,
en moins de 2 heures.
Et votre histoire est extraordinaire,
parce que je crois,
à 19 ans,
vous avez la révélation,
ou si devant un tableau,
il y avait 3 pommes.
Il y avait 3 pommes et 2 châtaignes,
et votre vie a été transfigurée
par cette découverte
de 3 pommes et 2 châtaignes.
C'est vrai, M.O.M.
En fait,
très vite,
j'ai compris
qu'il fallait pas essayer
de comprendre un tableau.
L'important,
c'était de savoir
distinguer un tableau d'un tel,
d'un tableau d'un quelqu'un d'autre.
Il n'y a rien à comprendre
dans un tableau.
2 pommes, 3 châtaignes,
c'est quoi le truc?
On va pas chercher
dans le fait qu'il y a 3 pommes
et 2 châtaignes.
Tout ce qui compte dans un tableau,
c'est dire,
est-ce qu'il est tellement
mieux peint que celui
d'un autre siècle,
d'un autre artiste?
Mon show,
il n'est que là-dessus.
Je fais rien comprendre,
je fais tout aimer.
Et pour aimer un truc,
il faut juste voir
qu'il faut qu'il y ait quelqu'un,
qui soit le professeur,
qui soit moi,
qui dit,
vous voyez ça,
c'est quand même
beaucoup moins bon que ça.
Et donc,
je mets un mauvais Raphaël,
à côté d'un bon Raphaël.
Il y a l'évidence de l'apparition.
Alors justement,
c'est là où on partage
les subjectivités de chacun.
Bon.
Donc par exemple,
c'est pareil...
C'est dangereux,
j'ai l'histoire de 2 pommes
qui se font...
Souvent.
Souvent.
Souvent,
quand on dit subjectif,
on veut dire,
c'est chacun de sien.
Oui, sauf que non.
Il y a un moment
où les subjectivités se rejoignent.
Comme par hasard.
Trois siècles plus tard,
tout le monde aimera moi.
C'est là, il faut pas déconner.
Il faut arrêter
avec des subjectivités.
Non, ça se vit!
Non, ça se vit!
Non, ça se vit,
non, ça se vit!
Non, ça se vit!
Non, ça se vit!
Si vous renvoyez tout,
si vous renvoyez...
Mais vous parlez de là,
ça se fait partout!
Non, je vais pas...
Je vais pas dire quelque chose, là.
Mais il est phadase,
ça veut dire!
Mais qu'est-ce que ça fait
quand on te rencontre?
Mais Laurent,
mais vous l'avez péché,
où ça?
Laissez parler,
Monsieur Obal,
qui dit des choses
fortes intéressantes.
C'est vrai.
Ça nous change.
Donc le principe,
c'est de faire
toutes les sortes là
en moins de 2 heures.
Vous allez me dire,
il y a 50 artistes.
50 artistes,
ça veut dire qu'on fait de la merde.
Donc,
en vérité,
je traverse
7 siècles d'histoire de la peinture,
en prenant seulement
un artiste par siècle.
Ce qui fait que,
du coup, je peux rentrer
dans le détail,
du détail,
du détail,
d'un léonard,
et ce qui m'empêche pas
d'avoir parcouru
7 siècles de peinture.
Et voilà!
Il avait l'explication,
vous savez tout!
Une petite histoire
pour ferrir
un réel donbal,
Jean-Marie.
Bah oui,
c'est 3 vampires.
Ils sont au bar,
et là,
tu as un verre de sang,
froid.
Et le troisième,
il dit,
moi,
j'ai prendre juste un verre
d'eau chaude.
Et les deux autres,
il dit,
bah,
qu'est-ce qu'il t'arrête?
Il dit,
il sort un tampon
de sa poche,
il dit,
moi,
je préfère les infusions.
C'est pour toi,
Ariel!
Ah non,
alors là,
non.
Je suis désolée,
Ariel.
Oui, oui, oui.
Là, là, là.
Quand je pense
qu'il y a pas 5 minutes,
il me disait,
j'aimerais bien que t'écrives
une pièce pour Ariel et moi.
Bah si,
ça va être comme ça,
bon.
Non,
non,
jamais de la vie,
justement,
c'est là qu'on va se surprendre.
Ah oui,
parce que si j'écrivais
une pièce pour vous,
je ferais dire à Ariel
les pires cochonneries.
Ah oui.
Et moi,
je serais effusqué.
Voilà.
Non,
mais écoutez,
Monsieur Bigard,
j'espère que vous nous réservez
plus...
Bah raffiné.
Voilà, voilà.
C'est vous qui allez donner
le modèle.
Heureusement qu'on a quand même
Monsieur Az,
qui est là,
qui est l'humoriste
le plus élégant de Paris,
n'est-ce pas ?
Il y a un cuban
qui m'a arrêté dans la rue
il y a 2 jours
et qui m'a raconté
une blague pour de vrai
qui m'a trouvé très bonne.
C'est l'histoire d'une mère
et son mari
qui ont 3 filles
qui sont maintenant
très grandes
et qui habitent
tout dans leur appartement.
Et la mère décide
d'aller visiter
ces 3 filles.
Donc elle va voir
qu'elle lui ouvre
toute nue.
Et elle lui dit
qu'est-ce que tu fais ?
Elle lui dit
bah écoute c'est comme ça maman
maintenant ça c'est
la tenue de l'amour.
Sa mère elle dit bon
ok,
elle comprend pas trop
et elle part
et elle va voir sa 2e fille
et elle toque
sa 2e fille
sa 2e fille
lui ouvre la porte
et elle lui ouvre la porte
toute nue aussi.
Elle lui dit
mais qu'est-ce que tu fais
toi aussi ?
Et elle lui dit
bah c'est ça maman
c'est la tenue de l'amour
en fait.
C'est la nouvelle tenue
c'est la tenue de l'amour.
Sa mère elle dit
c'est la tenue de l'amour.
Elle rentre chez elle
elle dit bon ok
et son mari va bientôt
rentrer et tout
elle se met toute nue
et elle attend son mari.
Son mari il arrive
comme ça il ouvre la porte
et il dit
mais qu'est-ce que tu fais ?
Elle dit bah
écoute c'est la tenue
de l'amour.
Son mari il dit ok
mais t'aurais pu
repasser quand même.
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