Les Grosses Têtes: BEST OF - Le meilleur de la semaine du 18 au 22 septembre 2023

Vous allez bien, mademoiselle Dombal ? Ah oui, très bien ! J'ai trouvé qu'elle

avait beaucoup grossi pendant les vacances ! Non mais j'étais enchantée hier par la

garde républicaine. Ah oui, oui. Mais où est-ce que vous avez vu la garde républicaine ?

Mais parce que c'était la journée du patrimoine. Ah oui, très bien. Et donc il y avait l'orchestre

de la garde républicaine, avec ses coeurs, et bien tout près de l'Elysée. J'ai rencontré

Asse dans la rue. Non, c'est croisé dans la rue hier. C'est pas vrai, vous fréquentez

les mêmes quartiers. Eh oui, ça se voit pas. Enfin, Rial, qu'est-ce que vous foutiez

dans un kebab ? Où est-ce que vous vous êtes rencontré ? En bas des Champs-Élysées.

Voilà, en bas des Champs-Élysées. Ah oui, quand même. Voilà. Je rentrais vers le sud et elle

a remonté vers les Champs. C'est ma beau roman, c'est une belle histoire. Mais elle marche

seule, Rial, dans Paris. Ah oui. Oui, mais avec son sac à main, elle le fait tourner.

Il était quoi, une heure du matin ? Oh, ça va, il faut que le boss a un peu à côté.

Non, mais c'est vrai que mon sac à main me sert d'armure. Et oui, je me souviens une

fois, en sortant du cinéma, on m'a donné une tape sur les fesses. Ah oui ? Et bien

j'ai pris mon sac à main et paf ! Mais tu l'avais poussé depuis. Ça crée bien

chel. Je crois qu'il est temps de passer à une première citation, ne change pas les

bonnes habitudes. Pour Christine Tonio, qui habite Malmo dans les Bouches d'Ironne,

qui a dit « La tortue est le seul animal qui peut faire l'amour avec un hérisson. »

Mais elle, on a rarement envie. Coluche. Non, non. C'est français. Alors quelqu'un

qui était drôle, français, oui. Qui était drôle ? Elie Simone. D'origine étrangère.

Quelqu'un qui est mort en 2014.

À l'origine étrangère ?

À Gelluc.

Non, non, non, non.

Si, si, si. La dernière émission, il était...

Non, mais il avait un point commun avec Gelluc.

Il était Belge.

Belge, non, non, non.

Ah, il était chaud.

Il était chaud.

Descinateur.

Descinateur, oui, monsieur.

Il était impuissant.

Donc c'est un descinateur d'origine étrangère, mais qui vivait en France ?

Eh bien oui, bien sûr.

Volanski.

Non, pas Volanski.

Illyp.

Non, Illyp, non.

Reiseur.

Reiseur, non.

RG.

RG, non.

Descinateur.

Descinateur de presse, oui.

C'est pas Sampé.

Dans les Sampé, non.

Dans quelles journales, non ?

Ah non, il était français, français.

Écoutez, c'est un des créateurs d'un journal que nous...

De Tintin.

Mais non.

Mais non.

Du canard enchaîné.

Mais non, mais non.

Wapiti.

De Piflagaf.

De Piflagaf.

Mais Stevie sort de ce corps.

Un des co-fondateurs créateurs...

De quoi ?

De Charlie et de...

De Charlie et de...

De Charlie et de...

De Charlie et de...

Assez de Paris.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pad.

Pasteur.

Diorscheck.

Madbuts du Tel.

Deadequ.

Laboureux.

L'לא sur la lahcules.

– Monsieur Visman, vous avez failli nous raconter une bonne histoire, une histoire d'autre.

Je vous interrompure en disant « Attendez, racontez-là à l'antenne ».

– Non, mais on était dans ces moments de célébrations et de mémoire où on parlait d'Hitler.

– Hé, c'est ça !

– C'est deux juifs qui ont un projet fou de tuer Hitler.

Ils savent exactement à quelle heure ils passent, à quel endroit,

il va passer à 10h10 là devant leur hashtag, on a le bon angle, ils ont la carabine, etc.

Et les deux juifs sont là, ils attendent, ils attendent, 10h00.

Bon, il n'est pas là, c'est normal, 10h05, 10h10, ça y est, il va arriver, 10h11, 12h15, 10h20.

Il n'est toujours pas là, alors il y en a un qui se tourne vers l'autre, il lui dit,

« J'espère que lui n'est pas arrivé quelque chose. »

– Ah non, je ne la connaissais pas ! Je la connaissais avec Michelini.

– En tout cas, écoutez, on est ravis que M.Geluc revient de nous voir de temps en temps depuis cette rentrée.

C'est rare, la saison passée.

– J'avais quelques occupations, c'est bon, retenu ici et là.

– Là, d'ici noël, vous allez revenir souvent, distribuer des albums gratuitement pour nos auditeurs.

– Mais bien entendu, pour toutes les équipes, pour mettre dans la valise et tout, c'est trop gentil d'en parler.

Il sortira le 11 octobre.

– Ah oui, c'est pas fait encore.

– Ah celui-là, il sort.

– C'est lui-là, il sort, contrairement à l'autre, qui a été censuré.

– Le chat encule le roi, n'est jamais son fils.

– Il va s'appeler comment, Philippe ?

– Le chat, c'est Karone Boujikar, c'est le 40e anniversaire du chat, vous voyez là-bas.

– Moi, j'adore le chat.

– Et sur la couverture, on le voit sortir d'un gâteau où il fait penser à Bernard Maby,

qui aurait mangé l'intérieur du gâteau avant de jailler.

– Et vous l'aviez dessiné pour votre épouse à l'époque ?

– Au départ, le chat est né. Le chat est né.

Il n'y a que... Il ne lui rappelait pas qu'il a une femme quand même.

– Si, si.

– Bah si, parce que la chatte à 40 ans, elle aussi.

– On s'est marié en 1980 pour remercier les amis qui nous avaient fait des cadeaux.

J'ai dessiné un petit carton où j'ai dessiné une madame chat

qu'on voit quand on sort le carton de l'enveloppe.

Elle a un grand sourire, des yeux, plein d'étoiles.

Et quand on ouvre le carton, on voit un monsieur chat

qui est en train de lui offrir ses hommages.

– Je crois qu'il est temps de passer à une première citation

pour Guy Gotfroy, qui habite Houlin, c'est dans l'Horéloir,

qui a dit un hypocrite, c'est quelqu'un qui a écrit un livre

pour défendre l'athéisme et puis qui prie pour que ça devienne un best-seller.

– Bah c'était proche, ça.

– Non, non, non.

– Gros show Marx.

– Bravo ! C'est Gros show Marx.

Bonne réponse de Rachel Kahn.

– Moi, j'ai vu monsieur Berléan. Je reviens à vous, François.

J'ai vu monsieur Berléan danser, parce que j'ai regardé le film Last Dance hier soir.

Enfin, danser, faire quelque part.

– Il bouge encore.

– C'est de la danse moderne, on va dire.

– Oui, c'est de la danse moderne.

– Et c'est là ?

– Calment.

– Mais c'est quoi ?

– C'est la dernière danse.

– C'est surtout la dernière.

– Oui, la dernière danse.

– C'est la dernière danse, oui.

– C'est le titre du film Last Dance.

– Mais il joue un vieux danseur, c'est quoi ?

– Il joue un monsieur Vaud.

– Pardon, excusez-moi.

– Vaud est mais du film.

D'ailleurs, il n'est pas Vaud, sa femme est encore vivante.

On la voit s'écrouler dans la cuisine.

Et il lui avait promis qu'il terminerait ce qu'elle avait commencé,

ou aversement, si c'était lui qui partait avant.

Et il résume bien, monsieur Berléran.

– Super.

– Et comme elle les prenait des cours dedans,

il va continuer à sa place, à la place de sa femme décélée.

Il va prendre des cours dedans.

Ça, il en a jamais pris, ça se voit d'ailleurs.

– Oui, ça se voit qu'il en a pas pris.

– On peut pas dire que...

– Ah non, mais alors...

– Des danses de salon ?

– Vous n'êtes pas Travolta non plus, on va dire.

– Non, mais enfin, quand même un peu, je...

– Les danses avec les stars, c'est ça ?

– Ah non, non, non.

– Je pense pas qu'il est mis, je suis de jeune Travolta,

sur son CV non plus.

– Non, mais c'est l'histoire.

Pardon, parce que dans le film,

vous faites plus vieux que vous ne l'êtes en vrai.

– Oui, je veux.

En même temps, j'ai mon âge, hein, faut bien dire.

– Oui, mais enfin, là, vous faites...

– Je suis plus jeune que...

que Gérard, pfff, mignon, mais...

– Mais tout est en relatif, ben...

– Un an.

– Un an le plus que moi, je...

– Mais je danse beaucoup mieux.

– Vous verrez, quand on pense à la danse,

il y a vos deux noms qui se laissent.

– Ouais, à la seconde, ouais.

– Non, c'est un joli film, en tout cas, François.

– Ouais, c'est un petit...

– J'ai regardé ça hier soir, alors que, franchement...

– Les gentils.

– Il y avait le PSG qui jouait.

– Ouais.

– Et qu'est-ce que j'ai fait ?

J'ai regardé François Berléan.

– Il y avait un noy sur le film.

– Moi, j'aurais fait pareil, hein.

– Il y avait un noy sur le film.

– Et alors, à un moment donné,

vous avez cru que Berléan marquait un but.

– Le film, en tout cas, sort aujourd'hui.

Ça s'appelle Last Dance.

– C'est pas joli.

– Et je me tourne vers Gérard Junior,

parce que c'est votre rentrée aujourd'hui.

Vous étiez ou vous alors, Gérard, pendant ce temps ?

– C'est une très belle rentrée qui fait...

– Ça fait trois semaines, vous me manquez...

– Mais j'ai fait plein de trucs.

– Je m'inquiétais, vous me manquez, Gérard.

– Ben, j'étais en Belgique pour faire...

qui triche dans du commun.

Après, je suis allé avec Frédéric Lopez,

qui nous a envoyés en terre connue,

enfin, en cuir connue, à Montréal, au Canada.

– Ah oui ?

– Il me s'a fait dormir dans un hamac

avec Adriana Carambeu, Barbilla...

– Oh !

– C'est pas mal, ça ?

– Tout les peu dans le hamac ?

– Barbilla et...

Danette Jackson.

– Avec Janet Jackson ?

– Non, pas Danette Jackson.

– Qu'est-ce qu'il y a ?

– Danette Jackson !

– On serait tous pour Janet.

– Danette !

– Danette !

– Enfinement, je retire ce que j'ai dit.

Vous faites votre âge tous les deux.

Danette !

– Vous n'êtes pas le seul à la régie.

Mathias fête aussi son anniversaire aujourd'hui.

– Il est vierge aussi.

– Il est vierge aussi, oui, oui.

Il est CGT et vierge.

– C'est beaucoup, c'est beaucoup.

C'est un peu trop.

– Mais je sais pas quel âge il a, d'ailleurs, Mathias.

– Du matin, dans 77 quand même.

– 45, il est plus...

– Non, on n'aurait pas dit il est plus vieux que vous.

– Tu remercies.

– Voilà.

– Bon, petit compliment pour tous les anniversaires.

– À France Intero, vous faisais un gâteau des...

– Il y avait deux, trois syndicalistes

qui étaient en bon petit tenu, mais c'est tout, c'est tout.

– Ah bon, parce qu'on n'a rien prévu.

Je l'ai appris au dernier moment.

– Non, Laurent.

– Je lui dis...

– Non, mais à 18h ce soir, ils vont vous offrir quelque chose.

– Je dis, moi, je suis bien avec quelque chose.

– Si tu veux, on sort du gâteau, Caroline et moi.

– Il va coûter cher, alors.

– Moi, j'ai un gâteau pour toi.

– C'est pas vrai.

– Ouais, regarde.

Joyeux anniversaire.

Joyeux anniversaire.

Et ton cadeau.

C'est avec ça, cela.

– C'est pas Charline Vanneunekert qui vous aurait fait ça.

– Non, j'aurais dû venir plus tôt, là.

J'avais l'air de m'en rendre compte.

– C'est con.

– Est-ce que les hommes, merci de venir au pied de vous.

– Vous savez que j'habite dans le parking.

– On vous a récupéré.

Mais c'est vrai, au plus, on l'a appris.

Il n'y a même pas dix minutes.

Il était dans le parking de RTL.

Il s'apprêtait à partir.

Paul Alcarrat a fait une petite panne doréée.

– Eh oui, la drogue.

– A 15h30.

– Et monsieur Gazan, qui, je dois dire,

a une mémoire digne ?

– A une époque, il avait la mémoire de Paul.

– Florian Gazan est très doué.

– Pardon ?

– Florian Gazan est très doué.

– Oh, il collait pas le truc.

– Mec, personne n'a la mémoire de Paul.

– Non.

– Non, c'est vrai.

– Et moi, je pensais, en voyant le nom de Paul,

c'est bon, voilà une émission que je vais dormir,

sourire et dire une ou deux vannes de temps en temps, c'est foutu.

– C'est ce que tu fais même quand il n'y a pas Paul.

– Et voici une première citation,

en tout cas pour Céline Pauvédin, qui habite ville Parisie,

qui a dit un jour, Dieu a dit, je partage en deux,

les riches auront la nourriture,

les pauvres auront l'apétit.

– Coluche !

– Et c'est Coluche.

– Ah, la réponse !

– Vous allez, vous allez au stade Vélodrome

pour la messe du pape Monsieur Mabille.

– Ah non, non, non.

– Non, vous n'êtes pas invité ?

– Non, non, non.

J'étais à Versailles déjà, c'est pas mal.

– Ah, c'est vrai ?

Vous étiez à Versailles ?

– Non, hier, j'ai visité Versailles, hier.

– Moi, j'ai été déçu,

parce que moi, j'ai regardé sur le tapis rouge.

– Ah, ouais ?

– Et finalement, sur BFMTV, vous imaginez bien.

– Vous n'avez pas de grosses têtes ?

– Je m'attendais à voir madame Bach, non ?

– Ah non.

– Mais oui, j'ai un contentieux, quand même,

avec la couronne d'Angleterre,

parce que, au moment du couronnement,

j'ai dit d'habitude, les cocus sont au balcon,

et là, il y a deux glands, alors...

– Oui, effectivement, oui.

– Et je remarque qu'ils étaient dans mon sens,

parce qu'il a planté un chêne, donc...

– Ah non, mais j'ai vu Jacqueline arriver.

– Ah ben oui, oui, oui.

– C'est obligé, ça.

Il habite là, il habite là.

– Mais non, mais s'ils avaient invité Jacqueline

en tant qu'ancien ministre de la culture, j'imagine,

et a demandé, j'étais là devant...

– Oui, mais...

– Je vais voir arriver Roselyne, mais non, mais non.

– En fait, c'est quand ils ont déroulé le tapis rouge,

il était planqué à l'intérieur de Jacqueline.

– Il l'avait utilisé la dernière fois.

– Les présidents de l'Institut du Monde-Arab, voilà.

– Oui, oui.

– Ah, il est président toujours de l'Institut du Monde-Arab.

– Ah non.

– Oui, il y a 82 ans.

– Oui, mais alors on n'est pas obligés d'aller à Versailles

quand on est président de l'Institut du Monde-Arab.

– Oui, mais il fait partie des personnalités...

– Oui, on a parti, mais...

– Annette 6, c'était Charle 3.

– Oui, c'est ça.

– Non, il y avait des gens, il y avait Guillaume Gallienne.

– Oui, oui.

– Et ça va.

– Pourquoi Lutini n'était pas libre?

– Avec sa femme, non, c'était...

– Vous auriez aimé être invité, vous, Isabelle?

– Non, non, c'est pas... c'est pas... c'est pas si intime, comme disait.

Moi, j'aime bien les têtes à tête.

– Ah oui.

– Mais il est sympa.

– Le charbon.

– Normalement, les Anglais, ils s'affodillaient à l'air de...

Je suis énormément heureux.

On lui a donné trop de cours, parce qu'il...

J'ai cru que c'était un portugais.

– Mais je veux dire, j'étais fatiguée.

J'étais...

J'étais énormément heureux.

– Il en a char le jour où il en a les portugaises ensemblées.

Voilà du Dylan.

– Moi, j'aurais quand même adoré être une petite souris

pour voir quand même ce qu'on puisse dire les convives de table.

Ils étaient à côté Mick Jäger et Gérard Larcher.

– Ah oui, c'est quand même...

À mon avis, en cours d'Europe, il y a du...

Je peux finir vos pop de terre.

– Il a surtout le charard Larcher, un an, un prononce.

– C'est pas faux.

RTL Matins

L'œil de Philippe Cavrivière

– Éric Dupont a été resté pour votre chronique.

– Oui, alors, vous avez parlé de 250 000 euros de dégâts

dans le tribunal.

Au début, j'ai eu peur.

Je me suis dit merde, il lui enrayait sa montre.

Ça va, c'est pas vrai.

Il a tout vendu, il n'a plus rien.

L'œil de Philippe Cavrivière

– C'est chaque matin à 7h55 sur RTL.

Cette saison, Philippe Cavrivière est aussi à 8h30.

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