Les Grosses Têtes: ARCHIVE - Les Grosses Têtes et vous : Jean-Philippe Janssens perd ses écouteurs dans le train

RTL RTL 8/24/23 - Episode Page - 10m - PDF Transcript

RTL, les grosses têtes répondent aux auditeurs.

Oui, ils nous répondent aux auditeurs qui nous laissent des messages.

Alors justement, patron, je me demande, excusez-moi,

est-ce qu'il y a vraiment des messages, vous ne pouvez pas les lire

parce que c'est vraiment offensant, genre on dit, ouais, le marchand a des rajouts,

Jean-Phi, les Théros, Toanilet de gauche, vraiment les trucs horribles.

Oui, bien sûr, je fais un tri, tout de même.

Et puis, certains auditeurs ne nous laissent pas forcément leur numéro de téléphone.

Il y a aussi ceux qui d'ailleurs nous écrivent sur, je redonne l'adresse,

les grosses têtes à robasrtl.fr pour nous dire qu'ils seront présents dans le public.

C'est les quatre Gauthiers, Gauthier qui m'expliquent.

Je sais pas si les voilà.

A côté de Camille.

Bonjour, monsieur, il me dit avec ma femme et vous, on fait un couple à trois.

Bah, je suis à Ravi de la Prendre parce que je m'endors en vous écoutant tous les soirs.

Alors pour me faire pardonner, pouvez-vous m'offrir une montre, RTL ?

C'est pour madame, c'est votre campagne.

Et moi, c'est possible.

Vous êtes la dame de meuf.

Ah non, mais elle est où, votre femme, alors ?

Elle est restée à la maison.

Elle est restée à la maison.

Ah oui, oui, donc...

Ah, il est venu tout seul.

Le couple à trois pourrait finalement être à deux.

Et il reste trois jours, et il est au formulaire, c'était...

Il est au camp.

On a aussi quelqu'un qui s'appelle Pierre-Emmanuel, dans le public, qui vient de Toulouse passer.

Il est où ?

Quelques jours à la capitale.

Là, c'est un gros...

À côté.

À côté, mes amis au premier an, décidément, j'ai réservé ma place sans connaître le programme à l'avant.

Pas de chance.

Mais ce soir, je serai au bouffe parisien pour assister à la pièce un couple magique.

Et demain, aux enfants de la télé, vous me poursuivez-vous alors.

Ne serais-je pas mieux lors de tous ces événements si j'avais une montre RTL ou quoi d'autre ?

Ils sont malins, hein, nos auditeurs.

On va voir ça à la fin de l'émission.

J'ai maintenant Didier au téléphone.

Bonjour Didier.

Bonjour Laurent.

Bonjour Madame.

Alors Didier, maintenant, il est temps de rendre ce que vous avez retrouvé dans un TGV, Didier.

Je précise que c'est pas moi, mais c'est ma compagne.

C'est trop de eux.

Qu'est-ce qu'il a retrouvé ?

Qu'est-ce qu'il a retrouvé ?

C'est quoi cette idée de Valérie Mairez ?

C'est parce que le ski bonhomme Jean-Phil est fatigué dans le train, il s'endort.

Et alors ?

Ça s'est rendu.

Et bien, il a failli oublier descendre en goulême dimanche dernier.

Et il en a perdu ses écouteurs.

Vous savez, on m'exploite dans une pièce où je n'ai pas le temps de me reposer.

Et j'ai pris le train pour aller effectivement voir des amis à en goulême.

Et je me suis endormi...

Des amis.

Un ami.

Ouais, c'est ça, ouais.

Et quand je m'endors, je dors profondément, en mode de tous les moyens de transport.

Je me suis endormi que le film avait tout.

Et ça s'accompagne visiblement.

Elle est venue me réveiller.

Votre femme est contrôleuse, Didier.

Oui, elle est contrôleuse sur TGV.

Mais comment elle savait que tu descendais en goulême ?

Je peux faire une photo avec vous.

Et je dormais.

Elle vient me réveiller.

Vous ne me descendez pas en goulême.

Mais moi, je me réveille, je me...

Ben, si, hein.

Elle a fait...

Mais c'est pas du tout.

Elle a dit, on va repartir.

On a en goulême, le repas à Bordeaux.

J'ai sauté du train avec mon sac comme ça.

On aurait dit une chouette qui avait pris des feurs de voiture.

Et il a laissé ses écouteurs avant.

Donc, c'est vous qui avez les écouteurs.

Ouais, la perduce, ses écouteurs.

On l'a recontacté Jean-Puy sur les réseaux sociaux.

Et il nous a bien sortiment répondu.

Ah, mais ça y est.

Vous lui avez envoyé des écouteurs ou pas ?

Normalement, ils ont récupéré hier.

Et les fringues aussi, pour les injections.

On m'a déposé hier, oui.

On m'a déposé mon écouteur hier.

Oh, c'est gentil.

La bonté humaine, vous savez, moi, j'y crois.

Les gens sont gentils.

Alors, ça, c'était à l'aller et au retour.

Je reconnais un jeune homme là qui m'a envoyé un message sur Instagram

et qui m'a envoyé une photo de vous.

Mais, totalement...

Mais non.

En train de dormir.

C'est horrible.

Mais cette feuille de joie, c'est une aventure.

Et il m'arrive des aventures.

Les gens, vous photographiez pendant que vous dormez.

Et oui, mais une photographie.

C'est horrible.

Et vous envoiez la photo à vous, qui est à l'autre bout du monde.

C'est horrible.

Et non, mais j'imagine, je suis dans le train.

Je dors.

Ah, c'est vrai qu'il dort moche.

Il faut prendre des vacances, j'en suis.

Je dors moche comme ça.

Et je me réveille et j'ai mon téléphone.

Et je vois une photo de moi en train de dormir dans le train

que Laurent m'envoie.

Mais non.

Et tu as l'impression d'être dans la quatrième dimension.

Ah oui.

Qu'est-ce que c'est que ce train ?

Qu'est-ce que c'est pour peu que Laurent

Et donc c'est lui qui a pris la photo qu'il envoie à Laurent

qui t'a envoyé.

Oui, pour savoir si c'était bien moi,

parce qu'il n'osait pas me réveiller pour me demander si c'était moi.

Bah c'est vrai qu'on ne peut pas vous reconnaître.

Ah ouais.

Ah bah, j'ai mis une aide de soleil de vedette.

Oui c'est ça.

Il t'a pris pour serrer le ferro.

En plus, il est mignon comme tout.

Votre contrôleuse.

Qui ?

Bah le monsieur.

Ah, celui-là, oui.

Oui, bah oui.

C'est pour toi que j'ai dit de venir rejoindre.

Vous devriez faire du théâtre, je d'hommes.

Absolument.

Il est acteur, je crois.

Oui, il est comédiaque.

C'est vrai ?

Ok, alors je vais y jouer la félation.

Là, mais au hasard, un rôle comme ça.

Non, on peut répéter aux choses dans les Jaffis.

C'est avec Michel Faux qu'il faut être gentil.

Sinon, t'auras pas de mollière.

Excuse-moi Michel, à chaque fois je prépare...

On a dit qu'on en parlait plus.

Votre femme est contrôleuse toujours sur le TGV Paris en goulême.

C'est ça ?

Très, très, très souvent, oui.

Des invités au tête pour les remercier.

Et on va lui envoyer une montre hertelle

pour la remercier quand même.

Je voudrais en profiter pour souhaiter

aujourd'hui un anniversaire, mon meilleur ami

et associé Cyril.

Mais il n'est pas là ?

Non, il n'est pas là.

Grâce à vous, en tout cas, j'ai bien piégé.

Alors je l'ai piégé avec la photo,

grâce à ce monsieur au 1er an,

mais grâce à vous hier soir,

j'ai bien piégé Jean-Fly,

parce que toute la soirée, je lui dis,

alors, t'as oublié tes écouteurs.

Comment tu sais ça ?

C'est génial.

Parce que j'avais reçu le mail hier

et je vous en remercie.

C'est long pris.

Comment s'appelle votre épouse contrôleuse ?

On n'est pas mariés, mais elle s'appelle Claire.

Claire.

Et pourquoi vous ne l'épousez pas ?

Ça va bien, toi, Karine.

Comment ça va dans la vie ?

T'as un passé aussi, non ?

Ben oui.

Allez, vous envoiez l'Allemagne.

Salut, Didier.

Chantal, maintenant, est au téléphone.

Bonjour, Chantal.

Comment ça va, Chantal ?

Bonjour.

Chantal, c'est pour Valérie Mérisse

qu'elle a laissé un message.

N'est-ce pas, Chantal ?

Oui, tout à fait.

Oui, c'est pour Valérie.

Vous étiez au lycée avec elle ?

Oui.

On a été deux années en classe ensemble.

Oui, parce que c'était pas au lycée,

c'était au Carmel Saint-Joseph.

Ah, c'est ça.

Mais bon, je n'ai pas voulu citer l'établissement.

J'ai dit lycée,

parce que c'était en 15 secondes et première.

Dites l'année qu'on rigole.

Je ne sais pas.

C'est tout bon, Jean.

Qu'est-ce que c'est, Jean ?

56, qu'elle te l'est pensée.

Alors, Sorschantal, racontez-nous, Sorschantal.

Sorschantal.

Parce que j'ai magique

que vous êtes devenu religieuse

après avoir été au Carmel

avec Valérie Mérisse.

Mais on ne ment pas, c'est tout le concret.

Non, ça fait les grandes cochons.

Les écoles religieuses

font les plus belles salopes de la terre.

Ah ben oui.

C'est vrai.

Parce que ça nous frustre.

Moi, j'étais en école religieuse.

Non.

C'était pas une école religieuse

très fermée, franchement.

Donc vous êtes en le porno, alors.

Alors racontez-nous

comment elle était Valérie à l'école.

Valérie, elle est maintenant.

Elle est rigolote.

Et alors, elle disait déjà

à l'époque, il faut le savoir,

que plus tard, elle ferait du cinéma

et du théâtre.

Ah ouais ?

Ah oui.

Je signais des autographes.

Sauf que je voulais prendre un pseudo

à l'époque, c'était Sandra Magde.

Ça faisait américain.

Oui, voilà.

Et ben, t'as tout raté, ma pauvre.

Et vous faites quoi, vous, dans la vie,

maintenant, Sorschantal ?

Alors, maintenant, je suis à la retraite.

Ben oui, de 15 ans, moi.

T'étais dans la classe vachement plus haut.

On vous embrasse, Sorschantal.

Merci.

C'est qui m'attendait.

Thierry, Thierry.

Bonjour Laurent.

Je l'appelais parce que je suis fan de Michel Frot.

Ah, c'est vous ?

Ah, on l'a trouvé !

Voilà, c'est moi.

C'est moi, c'est moi.

La première fois que vous l'avez vu,

c'était avec Catherine Frode

en fleur de cactus, c'est ça ?

Exactement.

Super souvenir théâtrale.

Franchement, c'est génial.

Et du coup, je retourne le voir

la semaine prochaine à la Michaudière.

On fait un week-end entrée à Paris.

Et donc...

Mais c'est quel jour que vous venez...

Vous venez quel jour le voir ?

Vendredi soir.

D'accord.

Ben, vous m'attendez après,

dans le rôle, je vous saluerai.

Oui.

Et vous l'appelez aussi à Michaudière.

La Trichaudière.

On vous salue, Thierry.

Maintenant, c'est Albon.

Albon, un fidèle auditeur

qui voulait laisser un message à Sébastien Touen.

C'est bien ça, Albon ?

Oui, bonjour à tous.

Bonjour.

Bonjour Albon, nous typiquons.

Vous me dites qui ?

Oui, ben voilà, je vous ai le fait un petit message

parce que j'ai passé une petite semaine de vacances

la semaine dernière.

On n'en raconte pas la soirée avec Palmaade, hein.

Non, s'il te plait.

Je vais faire après ça.

Et j'ai emmené dans mes bagages

le bouquin de Sébastien Touen

qui m'a bien fait marrer, franchement.

Et je voulais témoigner,

donc j'étais assis sur mon transat

de voir un peu y couler.

Et tous les jours, je bouquinais

le livre de Sébastien qui m'a bien fait marrer.

Vous m'écrivez même...

Il est bon, ce couillon.

Oui, très bon.

Il est bon, il m'a bien fait rigoler.

Je pense que les gens sont...

Les gens n'ont aucun goût, ils n'aiment pas.

Par rapport à Proust, c'est au-dessus ou...

Je n'ai pas entendu pardon.

Par rapport à Marcel Proust.

C'est moins bien que Gaspard,

mais c'est mieux que Marcel.

Voilà, c'est ça.

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En voyage pour Angoulême, Jean-Philippe Janssens s'est endormi dans le train. Une contrôleuse a eu le réflexe de réveiller l'humoriste, mais en partant ce dernier a laissé ses écouteurs...

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