Miracle Fajr Podcast: #77 : Jour du jugement partie 2 : Comment être heureuse ce jour là ?

Hey, salamualaikum, bienvenue sur le Mère Aquifage et le podcast, le podcast qui t'aide à avoir plus de sakina, de sérunité au quotidien et dans le Dela, insha'Allah.

Ce podcast est pour toutes les femmes musulmanes qui veulent reprendre leur vie en main et l'or au-delà, si tu as écouté le dernier épisode de podcast, tu sais pourquoi je dis ça.

Apprendre à se connaître, lâcher prise d'autant préparant leur vie après la mort.

Je suis au Mimage et j'ai écrit le livre ton dernier regard et si le jour de ta mort devenait le plus beau jour de ta vie,

dans lequel je te raconte l'histoire inspirante de ma maman et surtout sa magnifique mort, Roper Hamayk, elle a nous accordé à nous aussi une belle fin.

Tu peux télécharger d'ailleurs un extrait de mon livre via le lien en description.

Via ce podcast, je partage chaque semaine des outils, des conseils, des astuces, mais surtout une bonne dose d'inspiration et de rappel pour être plus sereine et épanouie au quotidien et dans le Dela.

J'ai une conviction et c'est le fil rouge de tous les épisodes de podcast et si le bonheur et la sérunité appartiennent de ceux qui se lèvent pour le fageur,

installe-toi confortablement et bon écoute.

J'espère que tu vas bien, depuis hier.

C'est sympa quand même ces rendez-vous quotidiens.

Ah là là, je commence à y prendre goût, voilà.

Alors aujourd'hui, on va continuer la partie sur le jour du jugement dernier.

La seule chose que je voulais juste commencer par vous dire, vous vous souvenez, je vous avais cité hier des versets et à la fin, je vous ai dit je sais pas l'auté, c'est quel sourat, c'est quel verset.

Donc je les ai retrouvés là, c'est 69 versets 20 à 29, je vais vous les relire rapidement puis ça fera un bon rappel.

Donc on parlait du jour du jugement dernier au moment où on nous donne le livre.

Et en fait, on peut recevoir le livre de différentes manières et chaque manière dans laquelle tu reçois, tu accueilles ton livre, ça on te dit long sur ta destinée.

Donc je vous disais, je lui ai versé.

Quand à celui à qui on aura remis le livre en sa main droite, il dira, tenez, lisez mon livre.

J'étais sûre d'y trouver mon compte.

Il jouira d'une vie agréable dans un jardin haut placé dont les fruits sont apportés de la main.

Mangez et buvez agréablement pour ce que vous avez avancé dans les jours passés.

Quand à celui à qui on aura remis le livre en sa main gauche, il dira, hélas pour moi.

J'aurais souhaité qu'on ne m'ait pas remis mon livre et ne pas avoir connu mon compte.

Hélas, comme j'aurais souhaité que ma première mort fût la définitive, ma fortune ne m'a servi à rien.

Mon autorité a néantit et m'a quitté.

Voilà, donc ça c'est sur la de 69 verset 20 à 29.

Et donc vous savez que le jour du jugement dernier,

donc tout le monde est jugé, c'est-à-dire on le tente en le livre,

ensuite la balance avec les œuvres, etc.

On avait vu celui qui a fait un atome de bien,

il le verra et celui qui a fait un atome de mal le verra.

Donc ça veut dire que ne néglige pas tout le bien que tu peux faire,

même si ça semble petit mais fêle quand même dès que tu as l'opportunité de faire un bien, fêle bien d'une part.

Et d'autre part, quand tu néglige pas les péchés,

même s'ils sont petits, c'est vrai qu'on a tendance à trop négliger ça.

Mais vraiment, il faut demander pardon quand on le fait.

C'est pour ça aussi qu'il faut faire beaucoup beaucoup d'hystirphales.

De toute façon je vais en parler juste après de l'hystirphale.

Mais je voulais juste vous dire, tout le monde est jugé, la balance, on pèse, etc.

Tu vois, c'est un gros, c'est le moment décisif de notre vie dans l'eau de la,

parce que c'est ça qui va conditionner tout le reste donc c'est hyper important.

Mais pourtant, pourtant, il y a des gens qui ne seront pas du tout jugés.

Il y a des gens qui vont entrer au paradis sans être jugés,

ils vont entrer directement au paradis.

Ils ont pas ce stress devant la balance en disant,

ok est-ce que je vais avoir assez de bonnes actions,

mais j'ai pas fait le repentir pour tous ces péchés, comment je vais faire, etc.

Non, eux, ils seront tranquilles, ils rentrent au paradis sans jugement.

C'est un truc de fou.

Je vous citais ce hadith.

D'après Abu Bakr, le prophète Sallallahu alayhi wa sallam a dit

Il m'a été donné 70 000 personnes de ma communauté qui vont entrer dans le paradis sans jugement.

Leurs visages sont comme la pleine lune et leur cœur sont comme le cœur d'un seul homme.

J'ai demandé à mon seigneur qu'il m'en rajoute,

alors il m'a rajouté avec chacun 70 000 personnes,

rapportées par Ahmed et autantifiées par Shirel Bani dans celle-ci-là,

c'est la Sareha n°1484.

Donc il y a des gens qui vont entrer au paradis sans jugement,

car là, je ne compte pas mieux, car là, nous permettons de faire partie de cela.

Et puis, il y a aussi des gens dont leurs péchés,

ça, j'en avais déjà parlé dans un épisode précédent,

leurs péchés seront cachés par Allah.

En fait, c'est les gens qui n'ont pas eux-mêmes dévoilé leurs péchés,

c'est-à-dire que t'as fait un péché, mais t'as dit à personne, t'en as pas parlé.

Et je m'appelle dans l'ancien épisode sur le repentir,

peut-être, quelque chose comme ça.

Je vous disais vraiment, aujourd'hui, malheureusement,

on est avec l'ère des TikTok, des réseaux sociaux, etc.

On a tendance à faire nos péchés, on les dévoile,

on en parle, on se prend même en photo et on les poste sur les réseaux.

Ça, c'est une catastrophe.

Vraiment, ne dévoilez pas vos péchés.

Ne dévoilez pas vos péchés.

Voilà pourquoi, je vous lis la suite.

Donc, le jour de la résurrection,

le croyant sera rapproché de son seigneur

qui le recouvrira de sa miséricorde.

C'est-à-dire qu'il met un voile entre lui et les gens,

parce que le jour du jugement,

ah oui, je sais pas si vous savez,

mais le jour du jugement, on passe devant tout le monde.

C'est-à-dire que les péchés sont dévoilés devant tout le monde.

Le monde entier, l'humanité entière,

voit en fait tout ce que t'as fait,

tout ce que t'as accompli, tout ce que t'as fait de bien,

tout ce que t'as fait de mal.

À ce moment-là, il n'y a pas de soif.

Donc, dans cette situation-là, non,

à la suite à là, il le recouvre de sa miséricorde,

donc il y a un voile, les gens ne le voient pas,

voilà, et à la suite à là, il lui fera avouer ses péchés.

Alors, il lui dira, est-ce que tu reconnais-t-elle péché?

Est-ce que tu reconnais-t-elle péché?

Et t'es l'autre, et t'es l'autre?

Et lui va dire, oui, senior,

je reconnais les avoir commis, t'es là, t'es en panique,

tu te dirais, ouais, pinaise quoi, j'ai fait ça, j'ai fait ça, j'ai fait ça, oh lala.

Et à la suite à là, il lui dira, alors,

je les ai certes cachés en ce monde,

donc ils n'ont qu'ils a cachés,

donc durant le bas monde,

et je te les pardonne en ce jour.

Et à la suite à là, ils te les pardonnent ce jour-là, c'est-à-dire que les autres ne les verront pas,

les autres ne le sauront pas,

et tu seras pardonnée, et donc ils seront pas sur ta balance des mauvaises actions.

On lui remettra alors le livre de ses bonnes actions.

Oh lala.

Boralais n°2441, par Sardahma.

Vraiment par Sardahma.

Et là, je le répète, ce sont des péchés dont tu n'as pas fait le repentir, tu vois.

Donc, parce qu'à la suite à là, il pardonne les péchés,

il le dit dans plusieurs versets, il pardonne les péchés,

sauf l'association, sauf le chèque.

Il pardonne les péchés qu'il veut, qu'il souhaite, sauf le chèque, l'association.

Donc quand on nous préserve du chèque, mineur, majeur, tout, quand on nous en préserve.

Ça, ça, c'est le pire, hein.

C'est le pire du pire, du pire des péchés.

Voilà, donc vraiment, ne dévoilez pas vos péchés,

voilà, et faites le repentir,

et faites beaucoup d'hystiaire fard.

Moi, je vous conseille vraiment de mettre l'hystiaire fard dans vos routines fagelles,

dans vos routines du marhub, je n'ai pas routine à chat pour le coup,

mais avant le marhub, en fait, donc, entre la rassole et le marhub,

ou même après, c'est pas grave, allez-y, faites le même le soir.

Mettez 100 fois,

parce que chaque fois que tu le dis, tes péchés sont pardonnés.

Et même, il y a d'autres,

il y a d'autres, on a vu plusieurs,

je vous invite à écouter,

je ne sais plus si quel numéro de podcast,

mais il y a un podcast qui s'intitule,

je crois c'est cette manière de se faire pardonner ces péchés,

écoutez-le, et faites les actions, voilà, faites les actions.

Mais déjà, l'hystiaire farde le matin, l'hystiaire farde le soir,

avec les adcares et tout,

pour que tous les jours, au moins,

eh bien, on te fasse pardonner les péchés.

Et quand tu fais un péché grave,

ou quand tu fais un péché, t'as conscience, voilà, c'est un péché,

tout de suite, tu veux le repentir, tu demandes pardon, Allah,

et pareil, il y a un épisode sur les conditions du repentir, etc.

et voilà, tu demandes pardon, Allah,

ou bien tu peux faire doraka' et tu demandes pardon, Allah,

et regrettez, ne plus refaire, etc.

Et puis,

si tu veux être,

oui, bah voilà, l'hystiaire farde,

encore une fois, on va revenir dessus puisqu'on parle de ça,

si tu veux être heureuse du contenu de ton livre,

si tu veux faire partie de la personne, tu vois, qui reçoit l'univers dans la main droite,

et qui est trop contente, et qui est dit,

ouais, je vais aller montrer à ma famille, regardez, lisez, lisez, voilà,

tout le bien que j'ai fait, alhamdulillah, tu vois,

t'es tellement heureuse, tu sais que c'est la meilleure nouvelle

qu'on ne puisse jamais te donner,

eh bien, écoutez, c'est Hadith.

D'après Zubair Ibn al-Awm, le professeur de l'Allah a dit,

celui qui aime être réjoui par son registre,

donc celui qui veut être heureux du contenu de son livre,

qu'est-ce qu'il a dit?

Ecoutez bien la suite,

qu'il multiplie la demande de pardon

rapportée par Tabalani et authentifiée par Shirel Bani,

Sahih al-Jami n°51955.

Donc, celui qui veut être heureux du contenu de son livre,

qu'est-ce qu'il doit faire?

Il doit multiplier la demande du pardon.

Astaghfirullah, astaghfirullah, astaghfirullah.

Plus tu vas faire beaucoup, beaucoup d'estherfahs,

et plus tu seras ravi du contenu de ton livre,

parce qu'en fait, tu seras purifié, t'es pédié quoi, tu vois,

donc voilà.

Encore un autre, toujours dans le même, c'est sur le même sujet.

D'après Abdullah Ibn al-Busra, le professeur de l'Allah a dit,

Toba, pour celui qui trouve beaucoup de demande de pardon

dans son feuillet, rapporté par Ibn Maja,

dans ses souvenirs n°3818.

Et Toba, c'est quoi, c'est le nom d'un arbre dans le paradis,

c'est le nom d'un arbre dans le paradis.

C'est-à-dire qu'en fait, le professeur de l'Allah m'a dit,

Toba, c'est-à-dire, comment dire?

En gros, ah!

Il cite, en fait, le nom de l'Allah pour dire,

en fait, je pense que c'est une manière,

une manière, j'ai pas hâte de dire une bêtise,

mais je pense que c'est une manière différente de dire

que l'art accorde cet arbre, en fait,

que t'as eu au paradis, quoi, pour celui qui trouve beaucoup de demande

de pardon dans son feuillet.

Bon, en grosso modo, ça veut dire que c'est bien

de beaucoup, beaucoup, beaucoup répéter ça.

Voilà, donc celui qui trouve qu'il y a beaucoup

des stirfards dans son livre, il sera...

En tout cas, il sera réjoui.

Bon, on va rester là-dessus.

Donc voilà, donc les stirfards, on retient ça.

Les stirfards, les stirfards, les stirfards,

tous les jours, tous les jours, tous les jours.

Et puis, un hadith qui est très important

sur le jour du jugement, et qui est vraiment intéressant.

D'après,

le professeur de l'Allah, il m'a dit,

celui qui soulage, incroyant

d'un souci parmi les soucis de l'i-si-bin.

Alors là, c'est maintenant le soulage

d'un souci parmi les soucis du jour du jugement dernier.

Celui qui accorde une facilité à son débiteur,

c'est-à-dire quelqu'un qui te doit de l'argent,

et toi, tu lui facilites.

Peut-être que tu lui pardonnes,

tu dis, allez, c'est bon, je t'annule ta dette,

ou bien, il devait te le rendre dans un an,

tu lui dis pas, vas-y,

tu me le rends en cinq ans, c'est pas grave.

En tout cas, tu facilites à ton débiteur.

Allah lui facilite dans l'i-si-bin

et dans l'au-delà.

Alors il te facilite ici,

des épreuves, des choses

qui devaient arriver à la toilette,

il te facilite et il te facilite

dans ta vie, dans l'au-delà.

Celui qui couvre incroyance,

c'est-à-dire, il couvre ses défauts,

ou bien, il couvre ses péchés.

Yester, tu vois, c'est-à-dire que, voilà,

il a un défaut, ou bien, tu as vu,

tu l'as vu faire, avoir un mauvais comportement,

tu l'as vu...

Je peux pas faire quelque chose de mal,

faire un péché, etc.

Et toi, tu n'en parles pas,

tu le couvres, tu le stir,

et bien Allah, c'est-à-dire,

donc celui qui fait ça, Allah,

le couvre dans ici-bas,

il couvre ses propres péchés, ses propres défauts

à lui ici-bas,

et dans l'au-delà,

et dans l'au-delà.

Allah, c'est-à-dire, aide le serviteur

tant que le serviteur aide son frère.

Chaque fois que tu soutiens quelqu'un,

chaque fois que tu aides quelqu'un, etc.

et bien Allah, c'est-à-dire qu'il est là pour toi,

celui qui emprunte un chemin

par lequel il recherche une science,

donc il va apprendre sa religion,

il va apprendre le Qur'an,

il va prendre...

il va dans des assises de...

de rappel, etc.

Allah, c'est-à-dire, lui facilite par cela

un chemin vers le paradis.

Allah, il facilite un chemin vers le paradis,

c'est incroyable.

Rapporté par Mousselim dans

Sahih n°2699.

Et c'est super intéressant, finalement,

de voir à quel point c'est important.

En fait, la fraternité en Islam,

elle est très importante.

La fraternité...

Voilà, je vous renvoie encore

une fois à mes podcasts sur la Mahab Bafillah,

etc.

Mais le croyant

et le frère du...

le musulman et le frère du musulman,

on est tous frères et sœurs,

et vraiment se soutenir,

s'entraider dans le bien,

céder,

se rendre service les uns les autres, etc.

Ce sont des œuvres qui sont aimées

d'Allah,

ce sont des œuvres

qui apportent du bon boucard, franchement.

Et S.A. la récompense,

elle est immense,

parce que,

ce verset,

pardon, ce hadith,

il est quand même incroyable,

il est très, très fort.

C'est-à-dire que vraiment,

la personne qui est...

Et ça montre encore une fois,

finalement, l'importance

du bon comportement.

Celui qui a un bon comportement

avec les autres,

celui qui aide les autres,

celui qui est souriant,

celui qui dit du bien

ou bien qui se tait, tu vois.

Celui qui fait le bien,

celui qui est au service des autres,

celui qui...

Mais S.A.

Allah, il est là pour lui.

Et à la spontané, il est pour lui ici-bas

et dans le delà.

Moi, je pense à une sœur...

Moi, je me...

De toute façon,

je l'ai beaucoup, beaucoup vue

pendant la maladie de ma maman,

pendant la mort,

à sa mort, etc.

Il y a des personnes...

Des personnes ont fait des choses

incroyables, incroyables

à ce moment-là.

C'était d'un...

Je pense surtout, surtout à une sœur

qui était jeune,

je m'appelle,

elle avait des enfants

plus en bas âge.

Et je me rappelle, franchement,

ce qu'elle a fait pour moi.

C'est incroyable.

C'est incroyable.

Je fais une petite parenthèse.

Hazel, si tu m'écoutes.

Mais c'est vrai,

ça m'a énormément touchée.

Ça m'a énormément touchée.

Sa présence,

à quel point elle a aidé,

à quel point elle a été utile,

à quel point...

Elle était au service.

De toute façon,

machin-là, c'est une personne

que j'admire beaucoup

par rapport à cette qualité

qu'elle a.

Elle est toujours au service.

C'est-à-dire que

tu vas dans sa mariage,

elle fait le service,

elle aide, elle soutient,

elle machin et tout.

Que ce soit un mariage

de proche, ou enfin,

en tout cas, moi,

je l'ai souvent vue en train

de faire ça.

Elle va chez quelqu'un,

tac, tac, tac,

elle va t'aider à faire le service,

elle a la vaisselle, les machins,

etc.

Il y a des personnes

comme ça,

c'est pas grave,

ils ont cette qualité.

C'est vraiment juste trop beau.

Tu sens qu'elle veut être au service,

que dès qu'elle peut aider,

elle aide.

Et je me rappelle,

elle a mort de ma mère,

enfin, c'était incroyable,

elle a le ménage,

le machin,

elle nous a ramené à manger,

etc.

C'était vraiment beau.

C'était pas la salle,

il y en a plein qui ont fait ça.

Et c'était hyper...

C'était...

Enfin, c'était...

C'était vraiment beau à voir.

Franchement,

c'était vraiment beau à voir.

Je pense aussi à une autre personne.

Je vous ai parlé de cette dame-là

hier dans le podcast,

parce que je vous ai parlé,

c'est celle qui a perdu ses enfants.

Elle a perdu son fils,

elle a perdu sa fille,

puis après, en fait,

elle avait aussi perdu son mari,

etc.

Et là,

les réunis au paradis.

Mais cette dame,

elle me touche énormément,

parce que,

moi, je me rappelle,

c'était une amie d'Omi,

et depuis longtemps,

donc je la voyais souvent,

et pareil, elle,

c'est une femme

qui est toujours au service.

Je veux dire, elle est mariage, etc.

Voilà, elle fait la vaisselle.

Pourtant,

c'est une dame quand même un peu âgée

et tout,

donc t'as envie de dire,

mais ralte-y,

toi, repose-toi, tu vois.

Mais toujours,

toujours dans le service.

Et toujours en train de

soit elle dit du bien, etc.

Soit,

tu l'entends pas,

tu la vois pas.

Elle est dans son coin,

en train de faire du déco.

Elle est pas dans les...

Je me rappelle,

je me rappelais,

quand on allait chez elle, etc.

Ces gens de femmes,

tu vois,

elle est pas là,

en train de parler de la dunia,

elle est souvent là, en train de faire du déco,

soit elle parle d'Allah,

elle parle d'Allah,

soit elle est en train de faire du déco,

lire du roulin, etc.

Et macha-là.

Et pareil,

toujours dans le service,

toujours dans la générosité, etc.

Donc en fait,

franchement,

vraiment,

elles nous permettent de faire partie

de ces gens-là.

Ceux qui font du bien autour d'eux,

ceux qui sont,

vraiment,

tu vois,

ils sont un peu discrets et tout,

mais en fait,

ils sont graves au service, etc.

Moi, personnellement,

je vais à mariage et tout.

Franchement,

elles me pardonnent,

je suis pas très active,

je suis pas la femme,

comment dire,

en arabe,

head guy,

tout,

et qui bouge,

qui fait ça,

franchement,

elles m'impressionnent,

elles viennent,

elles sont à fond,

elles te font du meloui,

du machin,

je sais pas,

elles font le mignage,

elles te...

Tiens, elles sont hyper actives,

que ce soit chez elles

ou chez les autres.

Et moi,

j'ai pas du tout cette qualité-là,

ni chez moi,

ni chez les autres,

elles me pardonnent,

elles me permettent de changer ça,

mais je trouve ça vraiment,

c'est vraiment beau,

et c'est une qualité,

car là, ils l'aiment.

Donc,

c'est vraiment quelque chose

à laquelle il faut se pencher.

Et vraiment,

la duration,

c'est pas juste l'air le corps haine

et les prières, etc.

La duration,

c'est aussi ça,

c'est aussi dans le bon comportement.

Et attention,

de ne pas faire de mal aux autres,

avec son comportement,

avec sa langue,

etc.

Attention à ça,

attention à ça.

Voilà,

on va aller...

Bah,

quelle heure il est là?

Je sais pas,

ça fait combien de temps que j'enregistre l'épisode,

mais la balance,

parce que là,

on va parler de la balance.

Je pense qu'on va arrêter ici

l'épisode de podcast.

En plus,

moi, il faut que j'aille chercher

ma petite choupette.

Je vais arrêter ici

l'épisode de podcast,

insha'Allah,

et puis on va continuer,

insha'Allah,

sur la balance des...

la balance des bonnes actions,

etc.

Enfin,

le moment de la balance,

en fait,

le moment où on va peser,

on va poser nos œuvres,

insha'Allah.

Bien,

bon bah écoutez,

j'espère que l'épisode vous a plu.

Je crois qu'il a été un peu plus croit

que les autres.

Je sais pas trop,

je sais pas à quelle heure j'ai commencé.

En tout cas,

merci d'avoir écouté jusque-là,

et je vous dis à demain

pour notre petit rendez-vous.

Salam alaikum!

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