Miracle Fajr Podcast: #65 : 10 façons différentes d'accéder au paradis

Bienvenue sur le Maq, le podcast qui t'a d'avoir plus de sakina, de sérénité au quotidien et dans le delà.

Ce podcast c'est pour toutes les femmes musulmanes qui veulent reprendre leur vie en main, apprendre à se connaître,

lâcher prise tout en préparant leur vie après la mort.

Je suis Umeyma, auteur du livre « Ton dernier regard » et si le jour de ta mort devenait le plus beau jour de ta vie,

dans lequel je raconte l'histoire inspirante de ma maman et surtout de sa magnifique mort.

Via ce podcast je partage chaque semaine des outils, des conseils, des astuces mais surtout une bonne dose d'inspiration

et de rappel pour être plus sereinée, panneau, quotidien et dans le delà.

J'ai une conviction et c'est le fait le rouge de tous les épisodes de podcast,

et si le bonheur et la sérénité appartiennent à ceux qui se lèvent pour le fageur.

Mets-toi à l'aise et bonne écoute!

Bon je ne te propose pas de boire son jour parce que si tu écoutes le moment où je le poste,

eh bien tu gènes normalement.

Donc voilà.

Mais tu peux te mettre à l'aise, ou bien tu peux m'écouter pendant...

Ah si, tu peux m'écouter au fageur pendant que tu prends ton soeur, tu vois.

Et voilà, ça fait un petit rappel pendant que tu manges pour te motiver pour la journée.

Voilà, tu peux m'écouter le soir pendant que tu fais ta vaisselle et là, voilà.

Mais en tout cas, mets-toi à l'aise, ou bien juste dans ta tête,

vous respirez un petit coup, tu sais ok, là je me détends, je vais écouter la voix douce d'Oumaïmah.

Alors, le sujet du jour.

Dis moyen d'entrer au paradis.

Je te partage aujourd'hui, dis moyen d'entrer au paradis.

Et subhanallah, notre dîner est tellement beau.

J'ai beaucoup aimé préparer cet épisode parce que j'ai pu voir encore une fois à quel point...

En plus je crois que j'en parlais récemment, je sais pas, j'en parle avec qui.

Peut-être qu'avec les filles du programme MFR, je sais pas.

Mais qu'on ressemble aujourd'hui à dire qu'on est tous différents.

On a des personnalités différents.

On a des qualités, on a des défauts.

On a des facilités, on a des difficultés.

C'est-à-dire qu'il y a des choses qui sont faciles pour nous, qui sont assez innées pour nous.

En tout cas, c'est facile pour nous de les faire et d'autres qui sont vraiment difficiles.

Et ce qui est beau, c'est que notre religion ne nous montre pas que...

Alors bien sûr, il y a les bases.

Attention, ne me faites pas dire ce que j'ai pas dit.

Bien sûr, il y a les bases, les cinq pays de l'islam, etc.

Donc il y a les bases à respecter.

Mais au-delà de ça, ce qui est trop beau, subhanallah, c'est qu'il y a beaucoup de manières d'entrer au paradis.

Il y a cette porte.

Vous allez voir à travers les hadithes,

il y a des choses parfois qui sont très simples à la portée de tout le monde,

mais vraiment, vraiment les filles.

Et puis d'autres qui vont demander plus de sacrifices.

Mais en tout cas, il y en a un peu pour, j'ai envie de dire, et encore bien évidemment,

j'ai donné dix moyens.

Je ne suis absolument pas exhaustive.

J'ai juste trouvé les dix moyens comme ça.

J'ai essayé de prendre des choses qui sont un peu différentes,

où vous allez voir.

Et c'est pour vous montrer subhanallah à quel point...

Pour moi, ça montre subhanallah.

Et ça montre qu'une personne qui a beaucoup de mal avec une certaine action,

qui a beaucoup de mal avec une certaine chose,

elle peut se consacrer à autre chose,

qui est peut-être plus facile pour elle.

Parce qu'on est tous différents.

Et parfois, il y a des personnes peut-être qui vont lire les livres avec l'histoire de Maoumi,

qui vont dire, mais cette femme, elle était tellement...

Ils vont croire que ça n'était un ange.

Ils vont dire, mais elle était tellement...

Et puis après, on dirait, voilà,

elle faisait des terroirs, elle faisait des assises, elle transmettait,

elle donnait des cours et tout.

C'est une femme, mâchallah.

Elle avait ceci, elle avait telle connaissance et tout.

Et ils vont dire, voilà, moi, c'est impossible.

Moi, je suis timide, je suis introvertie, je suis réservée.

Je ne veux pas se parler à personne, je n'ai pas trop d'amis.

Je n'ai jamais de la vie, je me vois faire ça.

Voilà, pour moi, du coup, je ne vais jamais pouvoir faire quelque chose de fou, tout ça.

Enfin, pas quelque chose de fou, mais voilà.

Qui peut en fait se comparer et se dire,

non, moi, je suis différente.

Donc forcément, en fait, non.

Et c'est ça qui est beau.

C'est que ma mère n'était absolument pas un ange.

Elle avait ses failles, elle avait ses défauts.

Voilà, je n'ai pas forcément envie de les citer,

parce que c'est ma maman et que finalement,

mâchallah, à côté de ses qualités, ses défauts étaient beaucoup plus...

Ils étaient vachement minimisés.

Mais elle avait des défauts, en fait.

C'est vrai, elle avait des défauts.

Je veux dire, comme moi, elle meurt, ce n'était pas un ange.

Mais elle a su, et c'est ce qui est beau,

ce qui était malin, ce qui était intelligent chez elle, mâchallah.

La belle Hama, c'est qu'elle a su utiliser ses forces jusqu'au bout.

Elle a su travailler sur ses qualités.

Elle a su vraiment utiliser ses qualités.

Ma mère, c'est quelqu'un déjà de base qui est extraverti.

Ma mère, c'est quelqu'un qui est très à l'oral,

qui est très à l'aise avec les gens.

Je pense qu'elle a toujours été comme ça.

Quand elle était à la fac, quand elle était...

C'était quelqu'un qui bougeait, c'était un peu la...

Enfin voilà, c'était un peu le leader,

c'était un peu de son groupe de filles, etc.

Elle a accompli ses trucs, elle bougeait, c'était inambitieuse et tout.

C'est ce genre de personne un peu comme ça de base.

Donc elle avait un caractère, ma chère-là,

une personne qui était bien trempée.

Elle était extravertie, elle aimait,

surtout avec les sœurs, elle aimait tout ça.

Et donc finalement,

elle a juste fait plus de ce qui était naturel pour elle

et de ce qu'elle faisait déjà bien.

Tu vois ce que je veux dire un petit peu?

C'est-à-dire qu'elle avait déjà ce truc,

ma chère-là, je pense, c'était locan,

ce charisme, cette facilité à parler, etc.

Sauf qu'au lieu de l'utiliser pour cette donna,

pour faire des vidéos YouTube et parler de chez pas quoi,

elle a utilisé ça pour Allah.

Voilà, c'est ça le truc.

C'est que finalement, je pense qu'elle a fait de manière assez inconsciente,

je pense pas qu'elle ait fait un travail sur qui suit,

j'ai tout et tout, tu vois.

Mais inconsciemment, elle a utilisé ses forces pour Allah.

La transmission, la générosité,

ma chère-là, vraiment,

les qualités qu'elle avait déjà chez elle,

elle les a utilisées sur le chemin d'Allah,

plus, plus, plus, plus, plus, voilà, c'est ça.

Et voilà, et le truc, c'est que,

moi, ce que j'ai envie de dire aujourd'hui, c'est que vous allez voir,

à travers les 10 moyens, c'est finalement de se dire

mais qu'est-ce qui est le plus facile pour moi, en fait?

Alors, c'est bien de sortir, entre guillemets,

ta zone de confort et de faire des actions qu'on n'a pas l'habitude de faire

et de faire plus d'adorations pour Allah,

et de faire des sacrifices pour Allah, et d'aller plus loin pour Allah.

Bien sûr, bien sûr, de faire des choses qui sont difficiles.

En plus, franchement, la récompense, elle est immense, encore.

Alors, elle, elle voit quelque chose qui est dur pour toi,

et toi, tu combattes ton neuf et tu le fais pour Allah,

je suis en train de me jeûner, c'est hyper dur,

tu es une gourmande, tu as trop mangé, et tout.

Et toi, tu es là, tu gènes pendant le matin,

et puis après, tu vas jeûner pendant les lundis,

je te dis, alors là, elle voit ça, il aime encore plus,

parce qu'il dit, mais regarde,

je prends là mon servitaire, tu vois, il est là,

et alors, elle, elle voit tes efforts, en fait.

Alors, elle, elle voit tes efforts, et tu seras récompensée pour ça,

bien sûr, mais j'ai envie de dire aussi,

elle va faire la facilité.

C'est-à-dire, tes points forts, tes qualités et tout, vas-y,

développez à fond, et fais le pour Allah.

Pendant pour moi, à mon petit niveau,

mais je vais vous dire un truc, je vous confie,

un truc, c'est que pour moi, faire un podcast,

alors, à part au début, quand j'étais tétanisée

par la peur et stressée,

ça s'entendait, j'étais dans les premiers épisodes,

même si certains me disent, mais non, et tout,

mais en vrai, j'avais trop peur, je crois d'ailleurs,

je crois même que les premiers épisodes, je les ai scriptés,

si je dis pas de bêtises, je suis pas sûre,

mais en tout cas, tout début, je le faisais.

Bref, mais au départ, j'avais vraiment peur.

Voilà, c'était stressant et tout, ok, c'est normal,

mais dès que j'ai dépassé ce côté peur

parce que c'est une nouveauté, je suis très à l'aise,

parce que moi, de base, je suis quand même quelqu'un,

je suis assez à l'oral, mais en tout cas,

avec ma mère et tout, j'avais l'habitude, en fait,

des assises et tout ça, il faut dire,

oui, je vous confie, un truc, c'est que ma mère

faisait ses assises, elle parlait en arabe,

et quand il y avait des personnes qui ne comprenaient pas l'arabe,

voilà, je traduisais.

Et ça, je l'ai fait assez jeune,

j'avais 13-14 ans, ma mère m'a embarquée avec elle,

et du coup, j'ai appris, en fait,

et du coup, je pense que...

Et puis, en plus, en fait,

franchement, je me rends pas compte à quel point

ce simple exercice que ma mère me faisait faire,

c'était...

Oh là là, je suis en train de dévailler complètement

de l'épisode, je suis en train de donner

une intro de malade, mais on ne voulait pas,

mais j'en ai envie de partager ça avec vous,

et c'est pendant la nuit, donc ma mère, elle m'a emmené avec elle.

Donc, elle faisait...

Elle parlait en arabe, et moi, j'étais à côté,

et j'écoutais de ce qu'elle disait, et je traduisais.

En fait, je traduisais quasiment en même temps.

Et comme c'était ma mère, je limite, elle commence

à la phrase, je savais comment elle la finit,

donc c'était... Vraiment, j'arrivais vraiment à traduire

exactement en même temps les hadithes, les versées,

et tout ça qu'elle citait.

Elle les connaissait par coeur, etc.

Donc moi, j'avais fini par faire le lien

et tout ça, je les citais quasiment en même temps.

Et du coup, je pense que cet exercice, pardon,

et ça m'a donné le fait que je suis assez

à l'aise à parler.

À parler, voilà.

Après, c'est un micro, ça va, c'est pas compliqué.

Je suis toute seule en vrai.

Mais quand même, je sais qu'il y a des...

C'est pendant là, il y a des millions d'écoute aujourd'hui.

Il y a plus d'un million d'écoute sur le podcast.

Donc c'est quand même pas mal. Mais en tout cas,

je suis assez à l'aise, même de parler de religion, etc.

J'ai pas de blocage, j'ai touché qu'il y a des personnes qui sont bloquées.

Mais voilà, c'est aussi pas...

De fait, c'est pas mon expérience. Et surtout, l'écriture.

Je voulais parler d'écriture, c'est qu'aujourd'hui, je suis très à l'aise à l'écrit.

Et je suis, pardon, enfin, je suis retombée sur un...

En fait, je suis retombée sur un extrait

d'une lettre que j'avais créée en 2016.

Non, 2015.

C'était juste après, bref, c'était après notre rencontre et tout.

Je l'avais envoyé un mail.

Et dedans, bref, on apprend à se connaître.

Et grosso modo, je le sais,

je vais partager mon amour

pour l'écriture et l'écriture.

Et je disais, voilà, je vais me réécrire un roman.

J'ai plein d'idées.

Mais je le fais pas, parce que

j'aimerais le faire

faire pour Allah. En fait, je disais, si je veux écrire,

je veux qu'il y ait un message derrière, je veux que ça soit fait pour Allah.

Et en ce moment, moi, j'ai des idées

de romans, de fantaisie, quoi.

À l'époque, enfin, voilà, moi, j'étais une femme

de... toi et là, j'étais compagnie, quoi. Donc, bon, ça voulait...

Enfin, voilà, c'était pas

le message derrière et il n'était pas fou, hein.

On était loin de ce que...

de mon livre, ton dernier regard. Et c'est vraiment là.

C'est incroyable, parce que...

Voilà, et aujourd'hui, bon, à l'instant d'aller, il m'a permis

de réaliser mon rêve, d'écrire un livre.

Et que... et c'est vraiment là, et surtout, je suis hyper reconnaissante

ce qui m'a permis de le faire, et de faire en sorte que

ce livre, il soit...

Il soit, ben, pour lui, quoi, que ça soit

une manière de transmettre. Et moi, c'est vrai que j'ai

une facilité dans l'écriture. Et donc, je me dis,

par exemple, moi, ma manière

d'adorer Allah, et de transmettre et de faire

Darwah, n'a rien à voir avec celle de ma mère.

Ma mère, elle, la faisait d'une certaine façon, elle donnait des cours,

ou voisines et tout, elle réunissait les voisines, etc.

Et... voilà, après je moi,

le jeudi, etc., c'est plein de choses. Et ben, moi, je peux pas faire tout ça.

Mais par contre, moi, ben, je suis mon podcast,

et moi, j'ai mes petites bulletins idées du lundi,

j'écris des mails, les lundis, j'essaye de partager

des rappels. Ben, j'ai mon livre,

j'espère que j'aurai l'occasion d'écrire d'autres livres.

C'est mon rêve, j'ai trop envie d'écrire d'autres livres et tout.

Etc., etc., etc. Donc, je me dis,

je le fais de manière différente, et finalement,

je le fais de ma manière à moi.

Voilà, je le fais de ma manière à moi. Et je pense

que c'est OK, que ça soit de ma manière à moi.

Et je pense que chacun devrait se dire, finalement,

quelle est ma manière,

quelle est la manière la plus simple pour moi

d'adorer à l'aspect à la, de transmettre,

de faire le bien.

Et ça peut être différent, et c'est OK,

ma mère, elle a fait d'une manière, ben, Charlotte, c'est super.

Et toi, quelle est ta manière à toi?

Et ça, j'aime beaucoup. Et donc,

et donc, pour, voilà,

petite parenthèse, du coup,

la parenthèse, non, la parenthèse,

mais si ce sujet vous intéresse sur les différences

et tout, je t'invite à écouter,

si tu ne l'as pas écouté déjà, mais écoute le podcast

sur la mort magnifique de ma tante,

la R.H.M.A.

Je ne sais plus c'est quel épisode, je crois que c'est dans les premiers,

peut-être les huitièmes, non, pas les huitièmes,

je ne sais pas,

neuf, huit, dans ces eaux-là.

Mais ça s'appelle comme, c'est quelque chose comme ça,

c'est en fait ma tante, elle est décédée, j'ai fait un épisode dessus,

il est très intéressant, et je parle de cette notion

de, on est différents, parce qu'elle a une belle mort,

alors qu'elle était complètement différente de ma mère,

et je trouvais ça intéressant d'en parler.

Maintenant, après cette magnifique intro,

qui a duré beaucoup plus que prévu,

allons-y.

Donc, le premier moyen

d'entrer au paradis,

c'est de réciter

H.E.L.K.L.C.Y après chaque prière,

est-ce que tu savais,

en récitant H.E.L.K.L.C.Y après chaque prière,

c'est un moyen pour toi d'entrer au paradis.

Je vais te dire le hadith qui explique cela.

D'après Abou Huma'Hama,

le prophète S.L.M.A.

c'est lui qui récite H.E.L.K.L.C.Y après chaque prière,

obligatoire, rien ne l'empêche

d'entrer dans le paradis, sauf la mort.

C'est-à-dire, la H.E.L.K.L.C.Y,

c'est le verset 255 de Sorette-le-Baccarat,

donc de la Sorette n°2.

C'est-à-dire que, en lisant H.E.L.K.L.C.Y

après chaque prière, toutes les conditions

pour que tu rentres au paradis sont réunies,

et il ne manque que le fait que tu meurs.

Non mais, c'est incroyable.

H.E.L.K.L.C.Y après chaque prière.

Ça prend combien de temps de rester à H.E.L.K.L.C.Y

après chaque prière?

Ça ne prend pas de temps. Je crois que c'est 2-3 minutes.

Même pas.

Vraiment, c'est super rapide.

Et bien, c'est incroyable.

Moi, ce que je vous invite,

vraiment aujourd'hui, c'est d'écouter les 10 manières,

et de vous dire à la fin,

OK, je choisis laquelle.

Et franchement, il te suffit de t'accrocher

à une seule d'entre elles,

et de le faire chaque jour,

enfin, ça dépend après des actions,

mais de le faire au maximum,

et de le concentrer dessus.

Franchement, il se prend en la,

et bien, il n'y a pas de la.

Tu entreras au paradis par ce moyen-là.

C'est trop beau.

Alors, le prochain, franchement, le prochain,

il n'y a aucune excuse de ne pas le faire.

Parce qu'il suffit de répéter

cette formule que je vais te dire 3 fois,

et bien, il n'y a pas de la.

Il te garantit le paradis.

C'est incroyable.

Enfin, c'est le message de la.

C'est le message de la.

Il a dit

ce qui dit le matin.

Je suis satisfait d'Allah comme seigneur,

de l'islam comme religion,

et de Mohammed comme prophète,

je lui garantais que je le prendrais

par la main jusqu'à le faire rentrer au paradis.

Apporté par Tabarani,

ordentifié par Sharon Balin

Il y est dans la stadelle du musulman, dans les invégations du matin, dans la stadelle du musulman.

Vraiment...

C'est... Regardez, ça m'a pris combien de temps là, de vous le dire?

Tu dis ça trois fois?

Le paradis.

Le prophète Aradam te dit, je le garantis.

Je lui garantis que je le prendrai par la main jusqu'à le faire entrer au paradis.

Mais que demander de plus?

Tu dis ça trois fois le matin et je crois que c'est aussi trois fois le soir, il me semble, non?

Et bon, dans le hadith, c'est que le matin.

Ensuite.

Alors, rien à voir?

Ah mince, alors je vais devoir vous laisser.

Je reçois un appel de mon médecin traitant.

Comme ma fille est malade, je vais faire une pause et je vais lui répondre et je vous reprends.

Alors, bon, toi, ça fait quelques secondes que tu m'as quittée.

Moi, ça fait un jour, 24 heures.

Même plus de 24 heures après le coup de fil du docteur.

Enfin bon, Hamdo il n'est rien de grave, mais j'ai pas repris après.

Et puis voilà, la vie, c'est comme ça.

Alors franchement, si c'est la première fois que tu écoutes mon podcast et que tu commences par celui-là,

mais tu dois te dire mais c'est qui celle-là?

Mais qu'est-ce qu'elle nous fait dans ses podcasts?

Elle est tellement pas pro.

Oui, parce qu'en plus, je fais pas de montage.

Je coupe pas, je fais pas de montage, tout ça, tout ça.

Déjà que j'ai un peu du mal en vrai à faire mes épisodes.

Voilà, si en plus, je devais faire du montage, alors là, je m'en sortirai pas.

Alors, bon, on a parlé donc.

Donc là, on est dans les 10 moyens d'entrer au paradis.

Donc toi, tu le sais, mais moi, je me remets dans le contexte.

Et je vous ai partagé, donc, à être coincée.

Celui qui reste à être coincée après chaque prière entre le paradis.

Et bien, il y a autre chose que je voudrais te citer.

Et finalement, ce sont les obligations, tu vois, tout simplement.

C'est le fait de faire tes 5 prières quotidiennes, etc.

Et là, je vais te citer un hadith pour que tu comprennes.

D'après, à bout, elle monte à faire quoi dire la roue en haut.

J'ai dit, oh mesdames et messieurs de l'Allah, informe-moi de ce qui va m'éloigner du châtiment de l'Allah

et qui va me faire entrer au paradis.

Et le prophète, ça, la roue, elle lui a dit.

Tu adores Allah et tu ne lui associes rien.

Ça, c'est la base.

Tu accomplis la prière obligatoire.

Tu t'acquites de l'homone obligatoire.

Donc, la zaquette.

Tu gènes le mois de la matin.

Tu fais le hajj et la ramera, donc pour ceux qui peuvent.

Et regarde ce que tu aimes que les gens fassent avec toi.

Et tu le fais pour eux.

Et ce que tu détestes que les gens te fassent, tu ne la refais pas.

Rapporté par Al-Dawlabi et autant se fait par Shair al-Bani dans celle de Salasariah numéro 3508.

C'est tellement juste, SubhanAllah.

Tu as tu fait des actes obligatoires.

Tu te concentres sur l'attoration d'Allah, SubhanAllah.

Ce n'est rien à lui associer, tu vois, cultiver la hila dans ton coeur.

Accomplir la prière en s'honneur.

Tu vois, tu médites là dans la prière, améliorer sa prière.

Et ensuite, la zaquette.

Le jeûne de moi dans la matin.

Et le bon comportement.

C'est-à-dire que c'est très bien à se prendre là.

J'aime beaucoup commencer.

Comment le prophète Salasariah m'explique.

Ce que tu aimes que les gens...

Ce que tu voudrais que les gens fassent avec toi.

Tu leur fais.

Est-ce que tu ne voudrais pas que les gens te fassent et que tu leur fais pas.

Et en fait, ça, finalement, c'est tellement...

C'est simple.

En fait, c'est du bon sens, tu vois.

Fais aux autres ce que tu aimerais qu'on te fasse.

Et ne leur fais pas ce que tu voudrais pas qu'on te fasse.

Donc tout simplement.

Et donc ça, juste avec...

Enfin, juste, je ne minimise pas.

Franchement, je sais que ce n'est pas évident.

Mais en tout cas, en se concentrant sur les obligations.

Donc là, il n'y a même pas...

Voilà, je ne te dis pas, apprends le coréen en entier.

Fais le riem.

Fais des hormones.

Là, c'est... Quand on parle de monde, c'est le monobligatoire.

Tu vois, c'est les 2,5 % de ta richesse et tout.

Ça reste... Voilà.

On n'est pas dans...

Voilà, on va construire une mosquée.

Dans tes pays, fais-ci, fais-ça.

Tu n'as même pas besoin de faire des actions de ouf.

Finalement, tu se concentres sur...

Tu es sur la base, sur l'essentiel.

Et ça t'ouvre une porte du paradis.

Donc, voilà, les obligations.

Autre chose que j'ai trouvé tellement intéressant.

C'est le travail sur soi, tu vois.

Le fait d'entrer au paradis.

Parce qu'on a fait un travail...

Finalement, je trouve de...

Soit sur son comportement.

Soit sur la gestion de ses émotions.

Un travail en profondeur.

Je t'explique.

Il y a 2 hadith qui vont dans ce sens-là que j'ai beaucoup aimé.

D'après, à bout, on m'a marre de dire

Le prophète, le prophète.

Je garantis une maison à la périphérie du paradis.

Et encore, bien sûr, quand on dit maison,

c'est pas l'image de la maison qui te fait un l'esprit.

Là, on parle du paradis, tu vois.

C'est des palaces que nul est n'a jamais vu, tu vois.

Donc, voilà.

Je garantis une maison à la périphérie du paradis

à celui qui délaisse la polémique,

même s'il a raison.

Ok?

Délaisser une polémique.

Tu vois, des fois, c'est un orange, hein.

Quand on est là, on sait qu'on a raison.

Et l'autre en face, non, non, non, non.

Et toi, t'es là, ah, tu batailles, tu batailles.

Et parfois, ça sera rien.

Et ça, le prophète, ça se l'explique dans ce hadith.

Mais délaisse ça.

Tu as une maison à la périphérie du paradis.

Une maison au milieu du paradis,

à celui qui délaisse le mensonge,

même s'il plaisante.

Même si tu plaisantes, on ne ment pas aux enfants.

On ne ment pas en deux ans.

Ah, enfin, je sais pas.

Vous voyez, des fois, c'est facile, en fait.

On se fait des mensonges.

Non, mais à la fin, c'était une blague.

Mais en fait, voilà.

Donc, le phôte salam te dit,

celui qui délaisse le mensonge,

en plaisantant,

donc il lui garantit une maison

au milieu du paradis.

Et celui, et donc une maison en haut du paradis,

à celui qui améliore son comportement.

Donc, le plus haut degré, tu vois.

Voilà, l'amélioration, améliorer son comportement.

Parce que c'est pas évident.

Je vais juste citer mes sources,

rapportées par Abu Daud dans ses soins de numéro 4-1800,

et authentifiée par Shalvalin dans sa correction de Sunan Habidaoud.

Donc, là, ce qu'on voit, c'est...

Voilà.

C'est finalement, c'est le travail sur soi,

travail sur son comportement.

Et voilà, avoir un bon comportement.

Voilà, je vais avoir un sourire,

être poli,

passer le salet.

On va avoir parlé de ça.

Bon, ça, on va dire, c'est un petit peu les...

Enfin, finalement, c'est pas le plus dur, je trouve.

Mais le bon comportement, c'est aussi, je sais pas,

moi, il y a une personne qui est énervée,

qui vient vers toi, etc.

Et toi, tu peux t'énerver encore plus.

Voilà, ou bien, avec les voisins,

tu vas avoir un bon comportement avec eux,

tu vas pas faire trop de bruit la nuit,

tu vas pas laisser tes poubelles dehors

qui vont gêner les autres.

Voilà, je sais pas, tu vois.

Mais vraiment, bon, le comportement dans sa globalité,

quand tu fais un travail sur toi,

c'est-à-dire que chaque fois que tu...

chaque fois que finalement, tu peux ne pas avoir

un bon comportement, tu peux...

tu peux, voilà,

agir d'une mauvaise manière.

Je sais pas comment, par exemple,

moi, je vois quoi aussi

améliorer son comportement, avoir un bon comportement.

Je pense à... je pense à une anecdote.

Les copines à ma mère,

franchement, j'étais vraiment...

ma mère, elle organisait souvent des crèmes, régulièrement.

Et il y avait plein de femmes.

Mais alors, quand je vous dis qu'il y avait plein de femmes,

c'est vraiment, il faut imaginer qu'il y a beaucoup, beaucoup de femmes,

beaucoup plus que notre salon, on ne pouvait en contenir.

L'arribade qu'il y avait, du coup,

on avait deux salons,

et ma chère, elle a blindé de chez blindé.

Tous les petits tabouets,

tous les tout, tout, tout, tout est pris.

Et puis, ma chère, là, la cuisine, elle est

blindée. Et ça, ça me touchait à chaque fois énormément.

Genre, moi, je suis la fille, quoi, tu vois.

Moi, je ne le faisais rien, parce que les copines

à ma mère, et les jeunes filles,

je veux dire, faut pas imaginer que c'était

que des mamans, c'était des jeunes et tout, parce que ma mère, elle aimait

beaucoup, beaucoup les jeunes filles, elle leur faisait des cours,

elle leur faisait pas mal de choses, et elle les considérait

comme ses filles à elle. Et bien, voilà,

elles étaient en cuisine, elles étaient ma mère,

voilà, elles faisaient le service,

elles étaient vraiment

beaucoup dans... Ben, c'est ça, finalement, le bon comportement, c'est aussi

être dans le service de l'autre, et c'est aider l'autre.

Quand on voit qu'on a...

En fait, tu vois qu'il y a une possibilité d'avoir un bon comportement,

ben, c'est Zilla, tu vois.

Voilà, c'est Zilla. Je pense aussi à une amie,

Rieslaine, je me rappelle,

quand on était jeunes, elle était, je crois

qu'elle n'était même pas encore mariée, elle venait visiter ma mère, et

avec ses petits carnet et tout, elle posait des questions à ma mère,

et elle prenait des notes, elle demandait des conseils,

des doigts, des choses comme ça.

Et ma mère, elle aimait beaucoup

transmettre, donc évidemment, c'était toujours avec plaisir, et je me rappelle,

elle venait, et puis elle voyait ma mère, elle me disait,

elle me reparle parfois, elle me dit, mais c'était un truc de fou,

en fait, genre, des vaisselles de malades, elle n'avait jamais

vu ça à elle chez elle.

Parce que, machin de la vie, t'es enfant, et d'où, à l'époque,

elle n'avait pas encore la vaisselle.

Et ben, elle venait, elle était ma mère,

je me rappelle, elle faisait la vaisselle, elle venait, toi, elle range,

et nananana, vraiment, voilà.

Bien, c'est le bon comportement, tu vois,

c'est vraiment être au service de l'autre, etc.

Il y a plusieurs manières de faire, mais en tout cas, vous avez compris, délaisser le mensonge,

délaisser la polémique, même si on a raison, et avoir un bon comportement.

Donc ça, finalement, c'est un travail quand même assez d'introspection,

c'est un travail assez personnel.

Et puis, qu'est-ce qu'on a?

Toujours dans ce travail intérieur, le fait de gérer ses émotions,

gérer sa colère, c'est quelque chose qui te fait rentrer au paradis.

Alors, écoutez-moi bien.

D'après Abou Dada al-Dialaw'anou, Anna m'a dit, au prophète Sallallahu alaihi wasallam,

montre-moi un acte qui me ferait rentrer au paradis.

Vous voyez comment ils étaient d'empêcher les compagnons,

tout le temps en train de demander, mais qu'est-ce que je peux faire?

Qu'est-ce que je peux faire pour rentrer au paradis?

Et le prophète Sallallahu alaihi wasallam m'a dit,

ne t'énerve pas et tu auras le paradis.

Rapporté par Tabalani, authentifié par Shir al-Balini,

dans Sahel al-Rib, numéro 20749.

Ne t'énerve pas et tu auras le paradis.

Et c'est pas un truc de fou, ce conseil.

Franchement, j'y pense, mais genre, je lis ce hadith,

et en même temps, je repense à moi-là,

qui pète un plomb avec ma fille, la pauvre,

pour pas grand-chose en plus.

Vous savez, les enfants, on est là, on est sous stress et tout,

et d'un coup, on s'énerve.

Ne t'énerve pas et tu auras le paradis.

C'est incroyable, quand même, hein.

Ça demande, ça, c'est le travail d'une vie, hein, pour certains.

Franchement, moi, vous me voyez tout douce,

vous me voyez pas m'énerver et tout, mais franchement, je m'énerve.

Donc voilà quoi.

Quand là, quand là me guide et quand là, nous facilite.

Mais voilà, le professeur m'a donné ce conseil.

Donc voilà, comme je disais, le travail,

travail sur soi et le travail sur soi.

En fait, l'idée que j'avais, là, que je voulais dire,

mais c'est le fait vraiment de se...

Je vous dis pas de tout faire,

de terminer ce podcast en vous disant,

OK, je vais tout appliquer dès maintenant.

Non, non, non, vous prenez une chose,

vous prenez une chose,

et dans l'idéal, prenez quelque chose qui est la plus facile pour vous

et consacrisez-vous à, je sais pas si ce mot existe,

la manière dont je l'ai dit, comment je l'ai conjugué,

mais vraiment, voilà, à fond, à fond, à fond, à fond.

Ensuite, bien,

on va parler du jeune,

parce que voilà, si tu m'écoutes au moment où l'épisode sort,

c'est le mois de la main d'Anne,

le jeune te fait rentrer au paradis.

Ça, j'en avais déjà parlé dans le premier épisode,

parce que c'est une porte du paradis.

Le prophète s'allait m'a dit, il y a pour les jeuneheurs

une porte dans le paradis qu'on appelle Ajaïen.

Personne d'autre que ne rentrera par cette porte,

et lorsque le dernier d'entre eux sera en rentrée,

cette porte sera fermée.

Celui qui rentre par cette porte boira,

et celui qui boira n'aura plus jamais soif.

Apporté par Nassai dans ses sonnets de numéro 2236.

Donc, voilà,

une porte du paradis qui s'appelle Ajaïen pour les jeuneheurs.

Donc c'est, bien sûr, bon, voilà,

il n'est là, le jeune, ah non, c'est, c'est même pas.

Ouais, c'est, ok.

C'est pas spécifique aux jeunes de Mandalamadan,

donc Mandalamadan, si tu jeunes le lundi, jeudi,

si tu jeunes les trois jours blancs, etc.

On commence à accrocher aux jeunes toute sa vie, c'est magnifique.

Toujours, on va dire,

cette fois dans le déclin, alors je n'aurais pas me rappelé

si hier j'en ai parlé.

Je ne sais plus si j'en ai parlé hier.

Bon, si c'est le cas, bon, je me répète,

mais si c'est pas le cas,

c'est magnifique, c'est magnifique,

parce que c'est tellement facile, subhanallah.

D'après, mon aïe,

le prophète, sallallahu alaihi wa sallam,

a dit celui qui dit le matin,

je suis satisfait d'Allah comme seigneur,

de l'islam comme religion,

et de Mohammed comme prophète,

je lui garantis que je le prendrai par la main

jusqu'à le faire entrer au paradis.

Doucement là, y'a la porte, doucement,

il me fit avec moi là.

Donc, subhanallah,

mais quand je le dis, j'ai l'impression

de l'avoir déjà répété, je ne sais plus.

Mais voilà, donc,

tu répètes ça trois fois tous les matins,

et tu rentres au paradis.

C'est...

franchement, voilà, incroyable quoi,

j'en veux dire, que dire de plus.

C'est tellement facile en fait, c'est vraiment tellement facile.

Vraiment, mais je te le dis avec

concentration, avec méditation, avec conviction.

Ça, c'est important.

Trois choses, là, qui peuvent te faire

entrer au paradis.

Donc, dans ce hadith, le prophète,

il en a dit, non, en fait,

je reprends le début du hadith.

D'après,

Al-Mirdam Ibn Sholair,

la mère, elle fait un poids de castes,

là.

Tu voulais montrer ton travail, mais quand je termine,

tu montres ton travail.

Oui, il est arrivé,

inshallah,

un poids de castes.

Franchement, il y a un maître dans les annels.

D'après, Al-Mirdam Ibn Sholair,

d'après son père, d'après son grand-père,

j'ai dit au prophète,

au maître, informe-moi

d'une chose qui me rendra le paradis

obligatoire.

Le prophète, il m'a dit,

ce qui rend le paradis obligatoire, c'est

d'offrir à manger, en plus, la salle,

franchement, propager le salem

et parler avec de bonnes

paroles. Donc, propager le salem

dès que tu crois dans une sœur et tout,

dès que tu as l'opportunité, l'occasion

de rentrer chez toi,

mais encore, salem, salem, salem, salem,

Salakha et tout, c'est encore mieux?

T'as encore plus de haseln El Anath?

Et, donc, parler avec de bonnes paroles,

c'est-à-dire dire du bien ou bien

seterre, rapporté par taba'gentled

ou authentifiée par Sheryl Ballin

dans son Sah монal et le numéro

de 1690.

Encore une autre manière,

de obtenir le paradis,

Factory Pérénide,

il y a le fait de se préserver.

D'après Ibn Abbas,

il s' 심 Darrin您 le prophète

vos sexes ne pratiquez pas à la fornication, certes celui qui se préserve aura le paradis,

apporté par la hacke mais authentifié par Chir-Albanie dans son sartat règle numéro

2410.

Donc, se préserver, se préserver, ça t'ouvre les portes du paradis, c'est-à-dire là.

Et enfin, on va terminer ce podcast par le dernier, mais non moins, mais le plus important

finalement.

Qu'est-ce que c'est? C'est la il est, il est, il est, il est, il est, il est, il est.

D'après Aboubac le s'est dit qu'il a dit à la dialla, le prophète sa lalla ou ali

wa salla m'a dit, sors et fais l'annonce aux gens que celui qui atteste de la il est,

il est, il la la, le paradis lui est obligatoire, apporté par Abou y'a a il a authentifié

par Chir-Albanie dans ses sartats numéro 1135.

Y'a plusieurs hadith qui disent voilà celui pour qui les dernières paroles sont là il

est, il est, il rentre au paradis, etc.

Mais bien sûr, il faut le dire, en comprenant le sens,

il faut le dire avec la certitude, la conviction,

il n'y a nul divinité dignes d'être adorés en dehors d'Allah.

Il est il-Allah avec la certitude.

Et nos actions doivent être alignées à cette parole.

C'est-à-dire qu'on doit faire en sorte que notre comportement,

en fait, nos actions, nos paroles,

ça doit refléter cette parole.

Vous voyez, ça doit refléter. Il ne suffit pas de dire,

ok, je l'ai dit, mais non, je suis tranquille.

Non, non, tu vois, il y a des...

Voilà, c'est un tout.

Si je le dis, je comprends le sens,

j'ai la conviction que c'est la vérité,

j'ai la conviction et la certitude dans cette parole.

Il est il-Allah et mes actions sont alignées.

Donc voilà pour cet épisode.

Je suis désolée, mais franchement,

on a dit un épisode par jour pendant le ramadan.

Je crois que ça ne va pas être le seul épisode

qui sera un peu chaotique,

mais j'espère que ça va quand même vous plaire.

Voilà, ça, c'est la réalité de la vie de maman

à derrière les coulisses.

Enfin, oui, elle réclame des dessins animés,

parce que bon, on n'a pas la télé,

mais je lui mets des dessins animés en arabe,

et c'est la histoire que ça lui sera quand même un petit peu profitable.

Enfin, voilà, donc je vous laisse pour cet épisode du jour.

J'espère qu'il vous a plu, j'espère que vous avez été utiles.

Encore une fois, vraiment prenez, prenez, prenez.

Ne serait-ce qu'une chose et consacrez-vous à ça.

Et voilà, donc je vous souhaite...

Je vous dis à la prochaine, si vous m'écoutez avant le foal.

Et profitez bien de ce matin, le matin.

Et je vous dis à demain, en tchala, pour le prochain épisode.

Assalamu alaikum!

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