Coran de Ton coeur: #33 - Ces Hommes ! Luqman (RA), la paternité dans son excellence

chercher à s'améliorer, à exéler dans son rôle de parent

et dans son rôle de père, plus spécifiquement,

sans s'arrêter sur les sagesse de ce grand homme

est une erreur monumentale.

L'Augumène,

cet homme qu'Allah a choisi pour enseigner

à l'être humain des leçons pour la réussite de sa vie.

Ah ah ah ah ah…

Bienvenue sur courant de ton cœur,

le podcast qui t'aide à reconnecter ton cœur à ton corps.

Je suis Zeynab et je suis passionnée par les 2 médecines

indispensables à tout de suite sur Terre.

Celle de l'âme et celle du corps.

Je suis donc enseignante de courants

et internaute en médecine générale.

Voilà plus de 10 ans maintenant que j'enseigne aux femmes à lire, à apprendre, à comprendre

et surtout à vivre leur courant au quotidien en reconnectant leur cœur au courant.

Car oui, j'ai la ferme conviction qu'un cœur connecté au courant est capable de redistribuer

à tous les organes du corps l'amour pour Allah, l'envie de lui plaire et d'agir dans le bien.

C'est pourquoi à travers ce podcast, je compte redonner chaque semaine un nouveau souffle

à diverses pans de ta vie au regard de ton courant.

Prends cet temps pour toi et bah l'écoute !

Et vraiment très très très content et enthousiaste à l'idée de reprendre en tout cas la suite des podcasts.

J'ai fait de sorte du coup de faire la rediffusion de quelques épisodes,

des épisodes que j'ai trouvés intéressants de reposter

et j'étais très contente d'ailleurs de recevoir des retours de plusieurs parmi vous.

Me disant justement qu'ils avaient réécouté le podcast, certains épisodes,

certaines m'ont dit même qu'ils avaient réécouté tous les épisodes,

la série Hormi, la série Yosofa, les nouveaux épisodes, j'étais assez impressionnée.

Je me disais ah oui, vraiment ! Donc Alhamdulillah, je suis vraiment très très contente de reprendre

les épisodes là où on s'était arrêtés.

Ah oui au fait, je ne suis surtout pas oubliée de te partager une opportunité,

un petit événement qui se passe, un grand même événement qui se passe en ce moment.

Donc c'est assez rare d'ailleurs que je parle d'événements comme ça pendant le podcast.

Bon là, une fois n'est pas coutu mais surtout c'est parce que c'est un événement auquel je participe.

Et il s'agit d'un bundle, donc un ensemble de plusieurs formations,

e-book, ateliers, donc on est plusieurs à se réunir, nous sommes 18 formateurs

et en fait on s'est réunis pour faire un sort de pack de rentrée avec voilà plusieurs contenus

qu'on avait chacun cas de nos côtés, donc des ateliers, etc.

On a tous mis en commun dans un même endroit qui peuvent être achetés du coup ensemble

avec un prix tout mini, donc pour une valeur normalement d'à peu près 900 euros il me semble,

et bien là pour 35 euros seulement, oui, il n'y a pas d'arnaque, je te promets,

il n'y a pas d'arnaque, et bien tu obtiens l'ensemble en fait des formations.

C'est Salam Bundle qui l'organise, donc c'est macha de belles personnes qui sont derrière ce beau projet.

Ils avaient fait ce projet là aussi pendant la matinne,

j'avais malheureusement pas pu participer, on l'avait proposé,

mais c'était une période où j'avais énormément de travail à faire,

beaucoup de charge mentale, beaucoup d'obligations,

et donc voilà je n'aime pas faire les choses à moitié, demi-mesure ou mal les faire encore pire,

donc j'aime bien pouvoir répondre aux questions que je reçois,

pouvoir communiquer dessus, pouvoir me pencher aussi bien sur le contenu proposé,

donc je m'étais déclinée.

Là quand les organisatrices m'en ont parlé, je ne pouvais pas passer à côté,

et donc du coup le bundle en plus s'appelle My Best Rentrée Ever,

donc ma meilleure rentrée,

et donc justement c'est un pack de plusieurs contenus sur la santé physique, mentale,

sur la spiritualité, la maternité, la parentalité,

on a des psychologues dedans, on a des enseignants de Coran, je crois qu'on est trois, donc moi,

il y a des éducatrices sur la parentalité,

je pense à Tata Dalila justement, la Soawi qui était là,

il y a des packs sur l'organisation de ma chère Zaira aussi qui était là,

de l'Arbre des merveilles,

il y a Hannon qui parle de nutrition et qui est une vraie pépite sur ce point-là,

il y a vraiment beaucoup de personnes,

et l'enseignement du Coran pour les enfants aussi avec la soeur Safia de Doceur et Lumière,

il y a vraiment de quoi faire,

et je suis très très contente en tout cas de pouvoir y participer,

et donc je t'en parle parce que du coup ça ne va pas durer longtemps,

t'imagines bien,

il me sent que les dates vont du 6 septembre au 13 septembre minuit,

13 septembre 2023,

et donc après ça sera plus proposé,

et je précise aussi si jamais tu avais déjà participé au Salem Bundle

et que tu t'étais procuré justement le pack pendant la madame,

donc la madame 2023,

et bien sache que ce n'est pas du tout le même contenu,

c'est un contenu complètement différent,

même si les intervenants sont pour la plupart les mêmes que la madame dernière,

moi je m'ajoute déjà,

donc du coup ça ne peut pas être le même contenu,

et chacun a proposé un contenu différent,

donc c'est une belle opportunité pour des personnes qui n'auraient peut-être pas pu se procurer ces formations séparément,

parce que déjà elles ne connaissaient pas ces formateurs,

ou parce que c'est assez onéreux quand même de se former,

donc c'est une belle action qu'on a envie de faire,

voilà, faire perdurer les choses sur le long terme,

donc n'hésite pas,

si ça t'intéresse, le lien sera dans les notes de l'épisode,

n'hésite pas en tout cas,

et si tu as des questions bien sûr,

tu peux contacter SalemBundle,

la info à rebase SalemBundle.com,

ou me contacter moi,

je te laisse avec la suite de l'épisode du coup.

Pour l'épisode d'aujourd'hui,

j'avais inauguré déjà cet entre guillemets rubrique,

où je disais justement que j'allais aborder,

de temps en temps,

des figures,

des grandes figures de notre belle islam,

et on avait fait ça avec notre mère,

Radija, Radija l'Allah,

avec un épisode qui disait justement ces femmes,

et on parlait de la première dame,

donc de l'islam,

Radija l'Allah,

et on avait parlé d'elle,

et à quel point elle avait un rôle primordial

dans notre islam,

un rôle primordial dans notre relation

avec le quéné,

qu'elle y a fortement participé.

Et donc, on parlera de femmes,

de grandes figures,

mais on va parler aussi des hommes,

des grandes figures.

Depuis que j'ai abordé les épisodes sur le mariage,

où on a abordé en long, en large,

ce qu'est qu'un kawam,

un homme, ce que Allah Subh'Allah attend d'un homme,

et ce qui définit comme étant un homme,

dans ces mots, sa parole à lui,

et comment une femme doit être une sra'niha,

et comment Allah la voit,

et ce qu'Allah attend d'une femme,

ce qu'il en dit.

Et bien,

je me rends compte que beaucoup d'autres choses,

en fait, que vous écoutez dans le podcast,

prennent plus de sens.

Et dans ce sens-là aussi, je me dis,

c'est bien beau de parler de

comment être un kawam,

comment être une sra'niha,

même en dehors des liens du mariage et de manière générale.

Et bien, pour nourrir ça,

il faut présenter régulièrement,

il faut se nourrir régulièrement

l'exemple de personnes

qui ont été

sra'wam, qui ont été sra'niha.

Donc, c'est très important.

Donc, de temps en temps,

on va s'oppoudrer un petit peu nos épisodes

de figure.

Et aujourd'hui,

c'est un homme, un illustre homme,

dont tu as forcément entendu parler,

qui est mentionné dans notre rhod'an,

l'Urkman,

un sage homme qui est mentionné dans le rhod'an,

qui a une surate qui lui est dédiée,

qui porte son nom,

et son histoire n'est racontée

que dans cette surate-là.

Donc, ça veut dire quand même qu'il y a matière,

il y a quelque chose de très important à noter.

Et sur une surate qui fait à peu près 4 pages,

il y aura une page entière

qui va être consacrée

à des paroles que l'Urkman a à l'ASM.

Je vais dire à l'ASM par respect,

mais ce n'était pas un prophète,

en tout cas,

aucun texte nous rapporte que c'était un prophète,

on nous rapporte que c'était un homme sage,

il n'avait pas la prophétie,

il n'avait pas reçu de révélation,

mais sa sagesse

et l'importance qu'il confère auprès de l'ASM

fait qu'il a été mentionné.

Et rien que pour ça, par respect,

voilà, je dis l'Urkman de temps en temps,

à l'ASM en tout cas,

qu'Allah soit satisfait de lui.

Pour entrer dans le vif du sujet,

on reprend nos belles habitudes

et je te laisse avec les ayat

qui ont motivé l'épisode de jour.

»

Mon cher fils célèbre la salate

et ordonne ce qui est reconnu convenable

et interdit ce qui est reconnu

inconvénable, et soit endurant devant ces qui t'atteignent, telle est la résolution

à prendre dans toute entreprise.

Il ne te détourne pas des êtres humains par mépris, et ne marche pas sur la terre

avec orgueil, car là n'aime pas tout présomptueux, plein de glorieux, et soit modéré dans

ta démarche et tempère ta voix, vraiment la plus désagréable des voix et bien celles

des ânes.

Tirée de Saurat Lokmen, les Aya, 17 à 19.

Alors Lokmen, qu'elle a soit satisfait de lui, était un homme sage, donc je ne vais

pas m'étaler sur, t'as l'habitude maintenant comment je fonctionne, je me cantonne à ce

que Allah, dit, donne comme information, puis ensuite ce que Rasulallah donne comme

information à lui, et ce qu'il a transmis à ses compagnons, en dehors de ça, dès que

ce n'est cité ni dans le Role N ni dans la Suna, ça ne veut pas dire que ce n'est pas

authentique, mais ça veut dire que si c'était aussi important que ça le devrait, ce serait

mentionné là et là, là Allah a mentionné son prénom, ce n'est pas rien, il aurait pu

parler d'un homme sage et l'homme d'âme, mais il a mentionné son prénom, non seulement

il a mentionné, il lui a donné le titre d'une Saurat, c'est l'information importante,

d'accord ? Donc je ne vais ni m'attarder sur son âge, son origine, voilà enfin en tout

cas je ne vais pas donner d'informations précises parce que moi-même je n'ai pas du tout

de certitude par rapport à ça, mais je ne vais pas dire qu'il était de telle époque,

en tout cas le prendre comme argent content, dire qu'il avait tel âge, il était de telle

origine, etc. D'accord, ça ne nous intéresse pas. Là si tu fais tes propres recherches,

tu verras qu'en tout cas à la plupart des compagnons, des hommes sages, diront que c'était

une personne noire qui a été esclavée puis affranchie, que c'est quelqu'un qui vivait

soit en Éthiopie ou le Soudan actuel, certains disent même qu'il vient d'Égypte, certains

disent qu'il était jeune, d'autres qui vont dire qu'il était très âgé, il y en a qui

diront qu'il était menusé, d'autres qui diront qu'il était charpentier, d'autres qui diront

qu'il était forgeron, en tout cas on retient que c'était un homme modeste qui vivait

une vie modeste, il avait au moins un six. Voilà, il vivait simplement et il travaillait

de ses mains, c'est ce qui est important de connaître et apparemment aussi c'est quasiment

partout où on voit que sa couleur de peau était noire. Ça c'est le fond, c'est le

contexte pour avoir à peu près une idée, d'accord, donc l'époque aussi pareil. L'époque

il y en a qui disent que c'est autant du prophète Ibrahim al-Islam, il y en a qui

vont dire que c'était autant de Moussa al-Islam, en tout cas pas loin, il y a de tout. En tout

cas on sait qu'il croyant Allah comme les prophètes qui ont précédé, le prophète

Ibrahim al-Islam, c'est l'information la plus importante. Donc je ne reviendrai pas

sur ce genre d'informations parce que je n'en ai aucune certitude, bien sûr. Là ou

par contre j'ai envie de t'amener, c'est que la caractéristique par laquelle Allah le

présente, donc présente l'Urman al-Islam, c'est la khikmah. Il dit expressément, nous

avons effectivement donné à l'Urman la khikmah. La khikmah c'est traduit le plus

communément par la sagesse, ça fait partie de la khikmah, mais la khikmah dans son sens

éthimologique, dans son sens profond, c'est encore plus précis que ça. C'est la sagesse,

c'est aussi la maîtrise, c'est la prudence, c'est la science appliquée. Et c'est aussi,

on peut parler de khikmah quand on parle d'un sens caché, d'accord ? Dans un sens, la khikmah,

ça englobe une science qui est maîtrisée, un savoir qui est maîtrisée, mais surtout un savoir

qui est appliqué, qui se vit. Quelqu'un qui est une khikmah, c'est quelqu'un qui sait, qui connaît

et sur qui l'application de ce savoir se voit. Parce qu'il y a des personnes qui connaissent

beaucoup de choses, il y a des savants, mais tout savant n'est pas forcément sage, on peut être

sachant sans être sage, alors que le sage, enfin en tout cas celui qui a la khikmah est forcément

quelqu'un qui connaît, d'accord ? Qui a une science en tout cas. Et même si c'est pas une science

super étendue, elle est suffisamment appliquée et suffisamment visible. Les effets sont visibles

sur cette personne que ça fait une grande science. Parce que combien de personnes ont beaucoup de

science ? Mais ça s'arrête à ce qu'ils disent, à ce qu'ils disent, à leur connaissance intellectuelle,

mais sur eux, on ne voit pas du tout les traces de cette science. Donc ces personnes, on ne peut pas du

tout dire d'elles qu'elles sont sages. Donc là on voit déjà que c'est une richesse, cette khikmah,

que ce n'est pas donné à tout le monde et que c'est un goal à atteindre. Finalement,

c'est un but que beaucoup aimerait atteindre. Et bien l'Urkman avait cette khikmah. Il avait

cette sagesse, cette science appliquée, cette science qu'il vivait et qui était visible sur lui.

Et c'est très important que tu te concentres sur ça parce que c'est finalement la première

présentation, la première information qu'Allah nous donne dans sa parole sur l'Urkman,

à l'Islam. Et c'est Allah qui l'a créé. Donc il le connaît mieux que quiconque. Et Allah veut

manifestement qu'on retienne de cet homme sa khikmah. Donc nous aussi, on va faire de sorte de

retenir sa khikmah. Et tout au long de cette surat, surat l'Urkman, qui porte donc le nom de cet

homme, sa âge, qui a de la khikmah, et bien rien que comme ça, on sait que, rien qu'avec cette

information sur la khikmah, on sait qu'on devra être alerte sur tout ce que cette surat,

finalement, va nous apprendre. Surtout ce que l'Urkman, à l'Islam, va nous apprendre. Et ça

on glube la khikmah. En fait, tout ce qui va nous amener vers une compréhension plus précise de

la khikmah, on va devoir le saisir, on va devoir vraiment rester alerte pour savoir et déceler dans

cette surat, et bien, qu'est-ce qu'il faut faire pour acquérir de la khikmah ? Qu'est-ce qu'on

glube finalement la khikmah ? Qu'est-ce qu'il faut éviter pour ne pas la perdre ? D'accord ? Et

comment la propager ? À nos proches et aux gens plus loin ? D'accord ? Et bien l'Urkman,

à l'Islam, on voit qu'il vivait sous cette règle, donc la khikmah. C'est ce qui le définissait. Et

Allah, S.A.W., après avoir parlé de la khikmah, il va tout de suite parler d'une, d'une autre

caractéristique qu'avait l'Urkman, à l'Islam, et c'est la reconnaissance, à Shukr. Donc il dit,

nous avons effectivement donné à l'Urkman la sagesse, et là, on a deux points déguimés,

comme si l'Urkman parlait, et il dit, Anishkordlila, soit reconnaissant, en verre, donc Allah.

Kharkikonk est reconnaissant, n'est reconnaissant que pour lui-même, en réalité. Quant à celui qui

ingrat, eh bien, en vérité, Allah se dispense de tout, il les dit d'Indiel-Longes. Donc Allah,

il est rani, il est hamid, il n'a pas besoin de nous, en fait. Il a toutes les richesses pour lui,

et en plus, il est hamid. Hamed, c'est différent de Mahmoud, c'est différent d'autres mots,

donc on ne va pas faire de l'étymologie pour chaque mot, je serais sûre, sinon ça ferait un

podcast de quatre heures. Mais hamid, c'est quelqu'un qui est loué, même sans personne, en fait.

Il est louable, il est loué, il est dignes de longes, donc c'est dans tous les sens, en fait. C'est

quelqu'un qui est loué sans avoir besoin d'un auditoire. Donc Allah vraiment n'a pas besoin de

nous qu'on soit là ou qu'on ne soit pas là, il est loué, louable et dignes de longes. D'accord ? Donc

pour résumer grosso modo. Donc c'est pour ça qu'on ne dira pas de quelqu'un qui est hamid. Ça,

c'est un attribut d'Allah. On peut dire de quelqu'un qui est Mahmoud. D'accord ? Le professeur

As-Salaam a le nom Mohammed. Mais il n'y a qu'Allah qui peut être hamid. D'accord ? Parce que c'est

lui qui est autosuffisant sur ce point-là. Et donc l'Orman a les salames qui dit, donc nous avons

donné la sagesse à l'Orman et là on entend soi reconnaissant envers Allah. Donc c'est la

première finalement phrase qu'on entend l'Orman dire et là à ce moment-là il n'a pas d'auditoire. Là,

à ce moment-là, Allah n'a pas encore introduit son fils, il n'a pas introduit quelqu'un d'autre.

C'est comme si il mettait en lumière que l'Orman se parle à lui-même. Comme pour dire qu'il vivait

sa vie, cet homme, sous cette règle-là, la reconnaissance envers Allah. Il vivait sa vie en

cherchant systématiquement des raisons d'être reconnaissant envers Allah à chaque étape en

fait. Du matin au soir, dans toutes les actions. En fait, c'est comme si il disait, il faut juste être

reconnaissant. Parce que Chouk c'est différent de Hamd. D'accord ? Ça je l'avais déjà expliqué dans un

épisode de podcast mais Chouk on peut dire que c'est la reconnaissance, juste reconnaître le bienfait

qui est devant toi. Hamd c'est différent, c'est à la fois reconnaître le bienfait et louer aussi la

personne. D'accord ? Quelqu'un qui t'a ouvert la porte. Par exemple, quelqu'un que tu connais ou que

tu connais pas. Il est passé, il t'a tenu la porte. Toi, tu es derrière. Cette personne, tu es reconnaissante

envers elle. Tu dis merci. Donc ça c'est de la reconnaissance. Je reconnais ce que tu viens de faire.

C'est tout simplement ça. Mais est-ce que je vais louer la personne ? Dans ce sens, est-ce que je vais

lui dire mais t'es quelqu'un de bien ? Est-ce que je vais lui dire mais lui chanter ses louanges

ou bien ? Voilà, parler de caractéristique de lui que je ne connais pas aussi peut-être. Je ne vais

pas en fait définir la personne à ce geste. Ça ne suffit pas. D'accord ? Et attribuer ça à Allah

à qui on dit hamd finalement. On parle d'ailleurs le premier mot dans l'enquête. Soudat Fatiha.

Commence par Alhamd. Alhamdolillah. Donc comme pour nous enseigner que toute notre vie,

finalement l'objectif est ce qui va nous aider à driver notre vie, j'en avais déjà parlé,

et bien c'est d'être reconnaissant envers Allah et de savoir le louer. Donc les deux,

être reconnaissant et le louer en fait. Vraiment chanter ses louanges. Dans le sens, ça va dans les

deux sens. Alors qu'un être humain, tu peux le remercier sans se mettre à chanter ses louanges.

D'accord ? Et si tu chantes les longs au quelqu'un, c'est forcément que tu as de la reconnaissance.

Donc l'un n'est pas forcément interdépendant par rapport à l'autre. Et donc le fait qu'Allah

s'opronota la parlons de lui, des fois il dit Hamd, des fois il dit Chouk. Quand il parle de Chouk,

et si c'est comme pour dire, parce qu'on est d'accord avec ça, que le Chouk, la reconnaissance,

c'est plus facile à acquérir, c'est plus facile à appliquer que le Hamd. Tu peux dire merci à

quelqu'un. Même que tu ne connais pas, juste pour un geste qu'il a fait. Mais tu ne vas pas te

mettre là à le glorifier, à chanter ses louanges, à faire son éloge, etc. Juste avec une action,

en fait, ça ne suffit pas. Pour ça, il faut que tu connaisses la personne. Il faut que tu passes du

temps avec la personne. Il faut que les personnes aient fait preuve de plusieurs actes, les uns à

la suite des autres, qui te font être reconnaissants envers cette personne. Et là, en fait, tu vas

apprendre à la connaître, à travers ses actions, ses bonnes actions. Là, tu vas pouvoir faire son

éloge. Mais tu ne peux pas faire l'éloge de quelqu'un qui t'a ouvert la porte une seule fois.

Impossible. Et bien, là, Sopranathala en parlant de choc, donc juste la première étape, être

reconnaissant. Bien ça, c'est une grande leçon pour nous. Et c'est l'Urman qui nous l'enseigne.

Il nous l'enseigne à travers une manière très subtile, parce qu'à là, le site, donc c'est

là qu'il nous enseigne. À travers l'Urman et l'Urman nous enseignent. Finalement, à travers

une phrase qu'il se dit à lui-même. C'est comme s'il se répète tous les jours, soit reconnaissant,

soit reconnaissant, soit reconnaissant. Hamd, on a l'impression en fait que c'est une phrase

qui se répète. Tu vois, quand on t'entend dans le développement personnel, les affirmations

positives, les choses qu'il faut se dire le matin devant le miroir, etc. Tu es grand, tu es beau,

tu es fort, tu es ceci, tu es cela. Il n'y a pas l'Urman, allez-s'alem. Il nous enseigne que tu peux te

mettre devant le miroir le matin si tu veux. Tu peux te réveiller et dire ça si tu veux. Mais que

cette phrase, au lieu de dire, tu es intelligent, tu vas y arriver, tu es beau, tu es fort, même si

ce n'est pas des mauvaises paroles. Mais le plus important, c'est d'être reconnaissant. Répète-toi

tous les matins, au fur et à mesure de la journée, tous les soirs, d'être reconnaissant, reconnaissant.

Je dois être reconnaissante, je dois être reconnaissant, je dois être reconnaissant,

soit reconnaissant. On a l'impression en fait de quelqu'un qui se parle à lui-même, qui est en train

de se... de s'offrir des affirmations positives quotidiennement. Et ça, là, l'a capturé. C'est

hyper beau parce qu'il aurait pu dire, et nous avons effectivement donné la sagesse à l'Orman,

qui dit, il faut être reconnaissant. Ou bien l'Orman qui dit, soyez reconnaissant,

ou qui parle à son fils en disant, sois reconnaissant. Non, la conversation avec son

fils, c'est quelques versets après, le verset prochain. Mais là, là, vraiment, il nous

capture un homme qui se parle à lui-même, qui se fait le rappel à lui-même. Donc là,

ça enseigne plein de choses, l'humilité, le fait que l'être humain, il oublie qu'il doit lui-même

être en auto-discipline, à une auto-correction de lui-même régulièrement. Et donc là,

c'est très important. Et là, il a parlé de chocs et pas de hamd, parce que le chocs est

plus facile à faire, dans le sens en se disant à lui-même, juste, soit reconnaissant. C'est

comme si il disait l'Orman. C'est l'Orman qui dit à l'Orman lui-même, l'Orman soit reconnaissant,

parce que c'est une étape facile. Dans tout ce que tu vois devant toi, trouve une raison d'être

reconnaissant. Tu as mangé, reconnaissant. Tu n'as pas à manger aussi. Tu peux être reconnaissant

pour la nourriture que tu avais hier. Tu as, ça c'est, je m'adresse surtout au maman pour ces

exemples-là, parce qu'on a une charge mentale importante. On peut être vite débordé. Des

fois, on va être là, on a plein d'enfants dans la maison. Quand on voit la maison désordonnée,

eh bien, c'est dur. Ce n'est pas facile pour le moral. On passe notre temps à ranger. Et même

si c'est en fin de journée qu'on a jeté l'éponge et qu'on se dit en ranger en fin de journée,

c'est très facile de commencer à ramasser les trucs et à ranger et de râler ou de se

plaindre et de dire tout le temps, elle est en bazar à la maison. Eh bien, là on peut dire tu

pourrais être reconnaissante. On va dire comment je peux être reconnaissante d'un des ordres.

Un des ordres qui a été causé par des enfants. Ça veut dire qu'il y a des enfants dans cette

maison. Ça veut dire en fait qu'il y a des gens qui vivent et que tu as la chance d'avoir des enfants

là ou d'autres non pas. Pareil, tu dois faire la vaisselle. Serrer et s'accumuler. Oui,

la vaisselle ne marche pas et ou tu n'en as pas ou bien même là il est rempli, il faut en faire deux,

etc. Bah tu te dis, je ne suis un peu plus, il y a trop de vaisselle. Même si vous le faites à plusieurs,

des fois, on n'a pas envie de faire la vaisselle. Eh bien, là, une vaisselle à faire, ça signifie

quoi ? On peut être reconnaissante pour beaucoup de vaisselle dans l'évier. Ça veut dire que tu

as des ustensiles. C'est déjà une certaine richesse. Ça veut dire que tu as préparé à manger,

quelqu'un d'autre a préparé à manger et que des gens se sont nourris et que là la vaisselle s'est

formée. Donc ça veut dire que s'il y a de la vaisselle, il y a des gens qui ont mangé déjà.

Hamd, chukr ici, reconnaissance. En fait, juste ça, à chaque fois qu'on a envie de se

plaindre, pensons en fait à la raison pour laquelle je me plains, c'est de devoir faire cette chose.

Mais cette chose, j'ai eu à l'affaire, pourquoi ? Pareil, j'ai beaucoup de l'ange à faire. Ok,

j'ai des habits à mettre et encore une fois, il y a des gens dans cette maison, je ne suis pas seule.

D'accord ? Donc, en fait, tout, tout, tout, il n'y a pas une seule chose dans notre vie pour laquelle

on ne peut pas être reconnaissant. Impossible. Non seulement il y a les choses qu'on le voit,

mais il y a encore plus qu'on ne voit pas, qu'on ne soupçonne pas, auxquels on ne réfléchit pas.

On avance en fait, nous sommes des êtres humains, en fait. Pour moi, c'est comme si on était un

gros sac, une grosse bourse de raison d'être reconnaissant qui marche sur terre. On est là,

on est comme des gros paquets de preuves de reconnaissance qui marchent et on ne s'en rend même

pas compte. C'est-à-dire même remercier de là, ça ne suffirait même pas. Alors normalement,

si on avait conscience de tout ce qu'on devrait remercier de là, pour, eh bien, on ne ferait que ça.

On n'arriverait même pas à trouver une seconde pour faire autre chose. D'accord ? Donc,

Lockman, à l'ESLM, en nous parlant de cette action simple, finalement, il n'a pas dit,

Anni Ahmed il l'a, il l'a dit, Anni Chacodlila, reconnaissant, juste reconnaît. Tu as mangé,

reconnaît. Tu as de la vaisselle, reconnaît. Tu as un travail, reconnaît. Juste reconnaît. Tu

dis ah oui, je vois. Effectivement, c'est un bien. Juste ça, c'est très facile. Ça, c'est un bien.

Ça, c'est un mal. Chacun sait reconnaître du bien. Juste reconnaît. Et pourquoi il dit ça ? Parce

que reconnaissance, puis reconnaissance, puis reconnaissance est tout le temps dirigée vers le

même. Donc, Allah Subhanahu Wa Ta'ala, qu'est-ce qu'il commence à s'installer ? Alhamd. Alhamd. Donc,

la reconnaissance, puis l'éloge, la louange. Ah oui. En fait, tout mène à lui et là, tu ne peux

pas, ne pas louer Allah Subhanahu Wa Ta'ala. Et celui qu'on loue, on l'aime aussi. D'accord ? Donc,

première leçon de l'Urkman al-Islam, on n'a même pas encore son côté père paternel, qu'on voit

déjà que c'est un, c'est un homme quand même, c'est un, on voit un qawam qui se dessine là. D'accord ?

Parce que un qawam aussi, c'est quelqu'un qui est reconnaissant. Parce que c'est quelqu'un qui est

reconnaissant, qui prend ses responsabilités. Quand on est reconnaissant, on n'a pas le temps,

on n'a pas le temps de faire autre chose que du bien. On n'a pas le temps. Tout simplement,

pense toujours à si tu savais à quel point tu devrais être reconnaissant, et bien tu ne perdrais pas

de temps à faire autre chose que ça. Et d'ailleurs, Allah le dit, si vous êtes reconnaissant en fait,

celui qui est reconnaissant, oma yeshkol, fa'inama yeshkol olinafsi, celui qui est reconnaissant,

il est pour lui-même. A contrario, celui qui ne l'est pas, c'est vers lui-même.

Prends, regarde quelqu'un qui est reconnaissant et quelqu'un qui ne l'est pas, pour deux choses

similaires. Celui qui est reconnaissant semble plus heureux, il semble libre. Celui qui n'est pas reconnaissant,

il est en train de transporter son amertu, mais c'est lourd, c'est un sac lourd à porter quand même.

Donc finalement, il est plus à pleindre qu'autre chose. Donc là, l'Urman al-Islam, juste par ça,

on sait déjà que c'est un bon père. Pourquoi est-ce qu'on le sait ? En les anglais, ils aiment bien dire

« lead by example ». Donc, « guider » par l'exemple, d'accord ? Donc là, on parle d'une team,

on parle des enfants, on parle de voilà. Le fait, justement, que les gens te suivent parce que tu donnes

l'exemple. Au lieu de rester tout le temps à parler, à parler, à parler, tes actions et tes paroles

sont alignées. Donc l'Urman al-Islam, on voit tout de suite en fait qu'il est un bon exemple. Sans

encore connaître ses enfants, on sait qu'ils ont un bon père parce qu'il vit de la reconnaissance.

Ils se répètent constamment, tous les jours, tout le temps, choc, choc, choc, reconnaître,

reconnaître, reconnaître. Tout ce que je vois devant moi, je reconnais dedans, le bien fait

dans là. Je reconnais dedans qu'elle est passée par là. Rien que ça, vivre une vie comme ça,

on n'est pas étonné qu'il est acquis de la Hikma parce que pour pouvoir faire preuve de Hikma,

il faut être reconnaissant aussi, d'accord ? Donc parmi mes tismes, on sait qu'en fait que son fils

a un bon exemple, un bon modèle à suivre. Ensuite, va venir la discussion avec son fils.

Donc là, je ne vais pas m'étaler en tout cas sur chaque étape. On va vraiment balayer.

Là, ça fait déjà une demi-heure presque que je parle. Ce qui est beau là aussi avant de

rentrer dans le contenu parce que là, je te le dis en avant première, d'accord, je brise le suspense,

mais il va lui donner 10 grandes leçons, dix belles leçons, parsemées comme ça tout au long

de cette page. Mais avant ça, juste dans le ton, juste dans la manière dont Allah amène les choses,

on voit que c'est vraiment, il se passe vraiment quelque chose en fait ici. Et tu vas voir ça

tout de suite avec moi. Là, il s'agit d'une discussion simple. Un père qui parle à son fils.

Donc là, on a la partie du père. On n'entend pas le fils parler, d'accord ? Un père qui parle à son

fils. Et comment Allah a introduit ça ? Il dit, lorsque l'Oqman dit à son fils, tout en l'exortant,

d'accord ? O'aith khala l'Oqman o' libenihe. Donc là déjà, on comprend que c'est un père qui a

pris le temps, d'accord ? O'aith khala, il aurait pu dire O'aith khala l'Oqman o' libenihe. Et quand

l'Oqman dit à son fils, il ouvre les guillemets. Mais non, Allah précise. Alors qu'il l'exortait en gros,

il discute et dans la discussion, dans un moment, là, il amène ce qu'il veut amener. Donc on voit

déjà que le fait qu'Allah se print à la précise, ça montre que l'Oqman a laissé l'âme aussi,

a pris son temps pour parler. Alors là, après, quand il dit O mon cher fils, à chaque fois qu'il

parle à son fils, O mon cher fils. Yabunaya, yabunaya, yabunaya, à chaque fois. Donc il prend le temps

de répéter ça. Et celui qui dit O mon cher fils, il n'est pas en train de le prendre, le fils qui

passe là, il passe par la chambre, il rentre dans la maison et eh, eh, bien, il y a eu des trucs à dire.

Tu fais pas ça, tu fais pas ça, tu vois. Là, on voit très bien parce que quelqu'un qui dit O mon

cher fils, ça ne peut pas être ce genre de personne. Ça se voit qu'il lui a pas parlé pendant un

moment où le fils par exemple était en colère ou triste ou fâché ou fatigué. Non, parce qu'on

choisit le moment. Et là aussi, ça fait beaucoup appel à notre épisode qu'on avait fait sur la

Nasehah, l'art de conseiller les gens. D'accord ? Je te renvoie cet épisode-là qui est vraiment très

intéressant. Et en fait, l'Hurman, à l'Esalem, si tu regardes toute cette page, toute sa locution,

son allocution avec son fils, tous les codes sont respectés. Tous les codes du conseil sont

respectés, de la Nasehah, tous les codes aussi, de l'art de communication donnée par notre Hulain.

Tout est là, tout est respecté. D'accord ? C'est très beau en fait. Tout est respecté. En fait,

finalement, je presque envie de dire tout ce qu'on a parlé sur la parentalité, sur un homme Rahouam,

sur la relation avec Adla, le commerce avec Adla, la reconnaissance, le hamd. En fait,

l'Hurman, il a tout pris, il a tout combiné et on a tout là en concentré. Si tu prends le temps de

chercher chacune de ses caractéristiques, tu vas les trouver. Donc c'est vraiment excellent.

Et donc, dans son appellation, au mon cher fils, on comprend, en fait, on comprend plein de choses

sans encore savoir qu'est-ce qu'il va lui dire. On a déjà plein d'informations sur cet homme.

Donc on préfère, moi je préfère avoir ces informations-là parce qu'Adla me les donne

que d'aller savoir s'il est soudanais ou s'il a vécu. Autant d'abord, il m'a allé salam ou

s'il avait tel taille ou son métier. Ça, ça ne va pas nous avancer par rapport à ce qu'on veut

savoir. Et donc là, on a une discussion simple entre un père et son fils. Peut-être que c'est,

enfin, là, j'aime bien. En fait, quand je lis ce passage, j'essaie d'imaginer, je me dis,

c'est comme si on le regardait d'une vue aérienne. J'imagine comme si on était un peu ce drone-là.

C'est un père qui parle à son fils dans une maison, qui est dans un quartier, qui est au sein

d'une ville, qui est dans un pays, dans un continent, qui est sur Terre. Et pourquoi je te dis ça ?

Parce que c'est un tout petit moment de qualité perfice qu'Adla a observé. On sait qu'Adla, voilà,

il observe tout, il voit tout le monde. Donc Adla observe. Et lui qui observe tout, il a capturé

ce moment-là, dans la vie de cet homme, cet homme simple, modeste que peut-être personne connaissait,

et il l'a immortalisé dans sa parole à lui. C'est énorme. Adla recupère ici ce qui se passe.

Et pourtant, il y a beaucoup de récits, il y a tant de récits à raconter à travers l'histoire. Il y a

eu beaucoup de discussions par an enfant depuis la nuit des temps, à travers toute l'humanité,

de la création de papa Adam, à notre époque en fait. Mais c'est cette discussion-là de ce père

ordinaire qu'Adla a choisi de te partager, de me partager, de nous partager. Je ne sais pas si tu

réalises en fait. Donc Adla te fait littéralement entrer chez l'habitant dans son foyer avec sa famille.

Une discussion dont personne en fait n'aurait eu connaissance, si Adla ne nous l'avait pas raconté.

Est-ce que tu t'es déjà dit ça en lisant cette histoire ? Si Adla nous avait pas raconté ça,

on n'aurait jamais su en fait. Peut-être même que des membres d'autres membres de sa maison,

qui vivent dans la maison, si par exemple, ils parlaient dans la maison,

et bien ils n'ont même pas été au courant de cette discussion. Peut-être que son épouse,

l'urman, à l'Islam, donc la mère de ce fils, peut-être qu'elle était dans la pièce à côté,

et qu'elle ne sait même pas ce qu'ils se sont dit. Peut-être qu'il était parti en promenade avec son

fils, et pareil, il n'est pas au courant. Les autres réesseurs, s'il y en a, ils ne sont pas au courant.

Il y a des dières de savants qui disent qu'il était menusier, ou en tout cas un artisan,

et c'est pendant qu'il était en train de travailler son art qu'il parlait à son fils.

D'autres disaient que c'était le cours d'une promenade. En tout cas, quel que soit où c'était,

il a pris le temps, il a passé un temps de qualité avec son fils, dans une activité en tout cas qui

était propice à ce que son fils l'écoute. Donc ça peut être une marche en pleine nature,

ça peut être justement en faisant une activité manuelle, souvent des moments perfices comme ça,

où on fait du bricolage ou un truc comme ça, ça crée des liens si c'est une activité qu'ils

aimaient partager. Peut-être que c'était au salon ou dans sa chambre ou peu importe. En tout cas,

tout étant que nous, ici, en 2023 ou au moment janvier 7 épisodes, chacun est chez lui en train de

ouvrir son courain et lire et il a cet accès en fait dans le foyer, dans la petite maison,

d'un être humain, l'AMDA. Mais à qui Allah a donné de la Hikmah, qu'Allah a jugé suffisamment

important pour être mentionné ici ? C'est impressionnant. Donc finalement Allah nous honore

aussi en nous partageant cette confidence parce qu'aujourd'hui c'est quelque chose qui s'est

passé peut-être entre quatre murs. En tout cas, ici, Allah ne l'avait pas raconté, il n'y a aucun

moyen pour qu'il y ait eu accès à cette information-là. Comme j'ai dit, peut-être que les

contemporains de l'Hurman al-Islam, les gens de son quartier, de sa ville, de sa maison ne sont pas

au courant de ça. Peut-être que les gens ne le connaissent pas spécialement. C'était une personne

ordinaire. Et nous, là, des siècles plus tard, on est en train de scruter et d'essayer de comprendre

ce qu'il nous a partagé comme pépite, comme joyeux. Et parce qu'Allah lui a donné de l'importance,

eh bien nous par ricochet, on lui donne de l'importance et on est là à essayer de limiter,

de boire les leçons qui nous enseignent. C'est impressionnant. Et c'est d'autant plus impressionnant

qu'il y a des prophètes dont l'histoire a été racontée dans le Coran, mais qui n'ont pas été

mentionnées. Il y a même Allah qui dit, qu'il y a des récits, des prophètes,

dont on ne t'a pas raconté les récits. Parfois il va dire,

donc il va dire, dans une autre lecture, donc il va dire,

leur prophète leur a dit. Quand on parle de Talut et Jalut, donc Talut, c'était un roi

autant de Goliath, qui a justement combattu Goliath et c'est Dawud, qui était dans l'armée de

Talut, qui a vaincu Jalut, donc Goliath. Eh bien il y avait un prophète à cette époque,

avant que ce roi Talut soit nommé, eh bien il a été annoncé par un prophète et ce prophète

là parlait au notable et Allah mentionne ce prophète en disant, leur prophète leur a dit. On

connaît pas le nom de ce prophète. Dans l'histoire, il y en a qui disent que c'était tel nom,

tel nom, etc. On a des noms de prophète, tu vois, des noms comme prophète Samuel,

Saul, plein en fait, qui sont dans l'histoire mentionnée, mais dont le récit et qui ne

sont pas mentionnés en nom pour certaines histoires, alors qu'on le leur attribue. Et pourtant ces gens

sont très importants, donc une partie de leur histoire est racontée dans le Qur'an sans pour

autant qu'Allah l'a nommé. Abubakr, c'est-à-dire, est mentionné dans le Qur'an, mais sans mentionner

son nom quand il parle de ces deux qui étaient dans la grotte en parlant de lui,

et Rasulullah a dit là ta hasain, il n'y en a plus, donc ne t'attriste pas à l'œil avec nous.

On sait qu'il parle de Abubakr et pourtant il n'a pas été mentionné. Donc là, ça

nous met encore plus en lumière l'honneur qu'Allah a voulu faire à cet homme l'AMBDA, peut-être un

ex-esclave comme c'est mentionné dans l'histoire, peut-être un simple forgeron, en tout cas un

simple père de famille dans son coin tranquillou, et là le mentionne ici par son nom, en mentionnant

plusieurs fois son nom, en capturant un événement de sa vie, peut-être qu'il fait souvent avec

son fils, et en lui donnant le titre d'une sourd. Si on n'a pas compris ici qu'il faut s'arrêter et

faire arrêt sur image, poser ses bagages, écouter l'Orman al-Islam nous parler avant de continuer

notre mâche chemin, et bien il y a un problème. Mais le ram du la, normalement on n'a pas ce

problème là depuis tout à l'heure. On fait ça donc au moins on aura accordé ce temps-là.

Donc là quand je vois ça, je me dis c'est encore une personne qui est sur ma dream wishlist,

j'aime bien dire ça, ma dream wishlist de personnalité via IP à rencontrer au paradis,

et j'ai vraiment envie de voir cet homme qui était, parce que franchement c'est Allah l'aime pour le

mentionner comme ça. Cet homme qui a vécu simplement, qui n'est pas populaire, peut-être pas populaire à

son époque, et il n'était pas en tout cas jusqu'à ce qu'Allah parle de lui, parce que là il est

populaire c'est sûr. Et donc Allah parle de lui, je me dis qu'il est mort en ne sachant pas que sa

discussion avec son fils allait être récité, salmodiée, apprise, transmise, médité par des

milliards d'êtres humains sur terre. Franchement juste ça, c'est une leçon divine qu'Allah nous

enseigne, en fait qu'il ne faut jamais négliger une occasion de passer du temps avec son enfant.

Pour qu'Allah ait capturé ça ici et immortalisé ça là, une discussion,

père-fils, et bien c'est qu'il ne faut pas négliger en fait ces occasions. Il ne faut pas négliger

d'occasion de prendre du temps avec son enfant, de discuter avec lui, de lui parler de la meilleure

des manières. Regarde comment Lokman parle à son fils avec bienveillance. Quelqu'un qui dit mon

cher fils, Bunei, mon petit garçon, mon chéri, mon trésor, appelle ton enfant comme tu veux,

mais c'est important parce que quelqu'un qui entend mon cher fils il a envie de prêter l'oreille.

On voit qu'il y a une relation saine entre père et fils ici, ça me fait penser à Yusuf

al-Islam et Yacoub al-Islam. Regarde ces échanges entre eux. Regarde les échanges qui

est entre eux. On n'a même pas besoin de, Allah n'a pas besoin de dire dans une ayah Yacoub aimer

énormément son fils, ou Yusuf aimer énormément son père. Il n'a même pas besoin de parler de ça.

D'ailleurs pour les prophètes il mentionne même pas ce genre de détails tellement ça transpire l'amour

dans ses paroles. Ça transpire la bienveillance, ça transpire le respect en fait. Donc du coup

c'est même pas la peine de le répéter. Donc ne pas négliger d'occasion d'offrir une

nasser à son enfant, de valoriser son enfant, de l'aiguiller sur son avenir, de lui rappeler qu'Allah

est tout ce qu'il a. Allah est tout ce qu'il a. Et c'est vraiment énorme. De l'inviter aussi à une belle

entente mutuelle familiale. Donc finalement L'Ochman lui parle aussi de quelque part de sa relation

avec son fils, du respect que son fils lui doit. Et tout ça Allah l'a capturé juste dans les trois

premières lignes qui décrivent l'Ochman. Juste avec les trois premières lignes là de ce passage.

Depuis tout à l'heure on parle que des trois premières lignes au cas où tu avais pas remarqué. C'est

impressionnant, vraiment impressionnant. Donc cette discussion elle est si pertinente, si belle,

qu'Allah s'invite aussi dedans. Il s'invite dans cette discussion parce qu'on a l'Ochman qui

commence à parler à son fils en disant « N'associe personne à Allah. » Donc il lui dit « Yâbûnay

l'atushik bil'ah. » Et là ça fait un beau parallèle avec ce qu'il disait parce que lui il dit « Sois

reconnaissant en se parlant à lui-même. » Et là il dit à son fils « Fais pas l'atushik bil'ah,

shirk ici. » Donc le shirk c'est le fait d'associer quelqu'un là. Il dit « Fais pas ça. » Comme pour

nous dire que le shirk c'est le contraire de la reconnaissance. Et dans cette discussion

comme je disais qui est si pertinente qu'Allah s'invite même dans la discussion dans la parole

de l'Ochman, Allah va faire une apparition dedans en disant « Et nous avons commandé à l'homme la

bienfaisance envers ses parents. » D'accord ? C'est deux parents. Et là il parle de la mère,

comment elle a porté l'enfant, peine sur peine, l'allaitement de deux ans, donc le temps idées

en tout cas. Donc elle la rappelle, nous rappelle à nous là pour le coup c'est plus l'Ochman qui

parle, c'est Allah qui nous parle à nous en pleine parole de l'Ochman, donc il fait une apparition

et après l'Ochman reprend. Donc en nous rappelant à nous les étapes par lesquelles nos maman sont

passées pour nous mettre au monde de la grossesse à l'allaitement complet, en nous ordonnant la

reconnaissance envers lui, Allah, d'accord ? Parce que c'est à lui que nous appartenons, c'est envers

nos parents aussi que c'est de nos parents, pardon, que nous venons biologiquement et à la fin

au final nous allons tous retourner nous et nos parents au point de départ à Allah Soprana

wa-tarrada. Donc là même quand il parle des parents il va reparler du choc encore, la reconnaissance

et le fait qu'il fasse une apparition pour parler des parents et que l'Ochman commence par parler

de la reconnaissance envers Allah et Allah va parler de la reconnaissance envers les parents,

en rappelant aussi à la fin que tout lui reviendra à lui. Tout est, franchement c'est magnifique,

tout est embriqué à l'intérieur comme pour nous dire si tu veux un des moyens en fait de

t'entraîner à la reconnaissance envers Allah, c'est de commencer par la reconnaissance envers

tes parents qui sont devant toi, ta famille, en tout cas ceux qui sont devant toi parce que comme

alors sur l'enladi, mella yashkori nasla yashkori la dont celui qui ne remercie pas les gens ne

remercie pas là, n'est pas reconnaissant envers Allah. Pourquoi parce que c'est Allah qui a envoyé

ces gens dans ta vie, Allah il va pas descendre son bien fait sur toi du ciel comme ça, il va pas

tomber du ciel quelque chose qui va se poser sur ta table, non il va le faire passer par les mains

d'un être humain et cet être humain bah si tu ne le reconnais pas, tu ne reconnais pas, tu n'es

pas reconnaissant envers cette personne là, bah c'est comme si indirectement tu dis à Allah bah

je reconnais pas ton bien fait qu'Allah nous prédare de penser ça, de le dire, de le faire

consciemment ou inconsciemment donc c'est très beau en fait un entraînement pour exéler dans la

reconnaissance envers la, ça passe indéniablement par la reconnaissance envers les parents et là

c'est très beau d'avoir créé ce lien en parlant vraiment en insérant la partie qui concerne les

parents en milieu de paroles de l'Urkman al-Islam et ici Allah a pris soin d'en parler lui-même

parce que si l'Urkman en avait parlé, ça aurait peut-être pas eu le même impact qu'Allah voulait

donner et quand Allah prend la parole pour quelque chose à la place de quelqu'un, eh bien c'est

indiscutable après tout ce que l'Urkman a dit jusqu'à présent c'est indiscutable en vrai,

s'il n'a dit que la vérité avec plein de hekma donc sa geste, la science appliquée donc déjà

loin de nous le tout paie déjà de pouvoir dire en, n'y a en doute sur ce qu'il dit, non mais quand

Allah prend la parole lui-même dans sa parole parce que là c'est Allah qui relate, qui récite,

qui nous explique ce qu'il a observé de la scène de l'Urkman et son fils donc Allah nous a

restitués donc finalement même ce qu'on entend du récit de l'Urkman on pourra pas en entendre

meilleur récit que cette discussion là dans l'Urkman parce que c'est Allah qui le raconte et Allah

observe chacun d'entre nous donc Allah observe et il le restitue eh bien c'est beau, n'importe qui

qui aurait raconté la scène ne l'aurait pas raconté mieux qu'Allah soit notre Allah plus

joliment qu'Allah ne l'a fait, plus complet qu'Allah ne l'a fait et nous a donné ici l'essentiel,

on n'a pas les détails du temps qu'il faisait ce jour là, de l'heure à laquelle il a parlé,

de où ils sont allés, non avec Allah on a l'élicier en fait ce que l'on a besoin de savoir et ça

ça n'a pas de prix donc là ce qu'on apprend vraiment c'est que la graine a germé dans notre

relation avec Allah c'est la gratitude parce que sinon c'est le shirk qui prend place et associé

autre chose à Allah d'accord donc ça peut être ses passions, la validation des gens,

l'argent, les people eh bien en faisant ça, en laissant le shirk prendre place à la place de

la reconnaissance du choc eh bien on enseigne à nos enfants finalement la perdition en fait

d'accord enseigner la gratitude à nos enfants comme l'Hurman est en train de le faire passe

forcément par le fait de les responsabiliser dans l'acquisition les choses qui font qu'ils devront

être reconnaissants c'est des questions simples en fait que comment enseigner la gratitude à mon

fils par exemple pour la nourriture qu'il mange pour la maison dans laquelle il vit pour les jouets

qu'il a pour les sorties qu'il peut faire pour les habits qu'il porte si je ne lui enseigne pas la

responsabilité dans tout ça c'est à dire eh bien participer à la vie dans la maison à travers les

tâches de la maison là je le responsabilise et je cultive la reconnaissance en lui parce qu'il

voit comment les choses vont se créer il voit comment les choses opèrent il voit le processus

il n'a pas que le résultat en bout de chaîne d'accord le jouet la nourriture les habits là c'est

c'est bout de chaîne lui il faut lui expliquer d'où ça vient et c'est pour ça il faut le faire

participer et bien ça peut être aussi le le faire travailler quand il est en âge bien sûr pour

gagner ses propres sous tout en étant encore à charge des parents à la maison à charge de papa et

maman l'encourager à aider son père quand il est un peu plus grand aussi en participant en charge

financière du foyer comment est-ce que je vais élever un quam qui va avoir son propre foyer avoir

ses propres responsabilités si en fait à la maison il n'a jamais payé une partie de loyer même

c'est pas possible je peux lui enseigner aussi la reconnaissance la responsabilisation donc ce qui va

l'amener vers la reconnaissance par exemple en lui apprenant à qui faut recoudre son pantalon

trouvée au sport par exemple et en plus c'est quelque chose que rassurallah faisait si on regarde

bien rassurallah son comportement chez lui c'était le comportement de quelqu'un qui est

responsable il se responsabilisait et donc du coup parmi tant d'autres raisons et bien il était

reconnaissant tout le temps par exemple aussi en apprenant à son fils ou à sa fille à préparer un

repas préparer un repas en voyant le processus en allant faire des courses etc la personne se

responsabilise dans cette action et elle est reconnaissante à chaque fois qu'elle verra de la

nourriture posée sur la table elle sera reconnaissante parce qu'elle a déjà été

derrière les fourneaux et c'est ce que c'est que le processus du produit rute jusqu'à le plat

cuisiné sur la table et avec d'autres en plus qui mangent notre nourriture faite là la reconnaissance

pour la nourriture si on l'a pas il y a un problème le responsabilisé aussi en lui apprenant à donner

ses jouets non utilisés à des enfants qui n'en ont pas ça lui permet d'être reconnaissant

pour les jouets qu'il possède encore après avoir donné les jouets anciens et bien faut vraiment

se dire que si je ne n'enseigne pas à mon enfant à être reconnaissant vers là je le

pousse à combler le vide dans son coeur qui a été laissé justement par le manque de reconnaissance

et se vide et bien c'est le chic en fait qui va le combler c'est le chic le chic par

autre cas là comme on a dit c'est pas forcément une idole à quelqu'un ça va être voilà ses

passions l'argent voilà attend toujours des autres tout ça en fait c'est du chic à force et bien

là on pourra dire des phrases comme l'argent n'est pas un bon maître quand l'argent a rempli

le coeur de cet enfant devenu adulte là on pourra dire ben les gens nous déçoivent tous tôt

tout tard oui si la personne à l'a adulé une autre personne au lieu de louer à là il y a un

problème donc la reconnaissance envers à là dépend aussi de la reconnaissance envers les

parents d'accord donc c'est plutôt c'est l'inverse la reconnaissance envers le parent dépend

beaucoup aussi de la reconnaissance envers à là et en fait en se donnant saignant à notre enfant

la reconnaissance pour les choses qu'à la nous donne et bien on va être les premiers en fait à

goûter à cette reconnaissance parce que l'enfant c'est nous en fait qu'il a devant lui c'est nous

qu'il a devant lui donc soit en tant que parents c'est nous qui allons être les premiers à goûter

à cette reconnaissance soit on va être les premiers à en souffrir sachant qu'à là ça ne

lui augmente rien et ça ne lui diminue rien donc les dommages que la terreau ce sera pas sur lui

ce sera sur nous j'ai encore des choses à dire sur l'urman mais on va essayer de parler vraiment

dans les grandes lignes juste les mentionner et après je vais conclure avec sa conclusion à lui

des bienfaits justement et des les leçons qu'il donne à son fils il peut y en avoir plein qui

sont embréqués les unes dans les autres mais on en a globalement dix la première c'est la

reconnaissance ensuite on a l'unicité de la tawhide le fait de rien ne lui associer la bienfaisance

envers les parents dont à la part lui même la salate la prière la nasir donc le bon conseil

avisé le sable la patience constante l'humanité l'humilité la bonne allure en parlant de marche

et le bon ton la bonne voix d'accord dans sa locution et si tu regardes bien toutes ces qualités

là que je viens de mentionner bah c'est toutes les qualités d'un leader un leader qui se respecte

un leader il est humble un leader il conseille correctement un leader il a la bonne marche la

bonne allure il a le bon ton il ne hurle pas et il se fait il sait se faire entendre aussi un leader

il est patient un leader il est il fait preuve d'humanité d'accord un leader en vrai aussi

il a une connexion à l'un importante un leader il est reconnaissant donc tout ça en fait participe

en fait au qualité d'un d'un bon leader et l'ourmen cocher toutes ses cases là ça c'est certain

on va juste mentionner donc à la fin ce que l'ourmen a l'icélem dit à son fils que c'était le son

très importante quand il va parler en fait de l'humilité de la bonne marche et du bon ton et

d'ailleurs c'est les ayats que j'ai sélectionné pour l'épisode du jour donc quand il lui dit de

célébrer la salade donc d'ordonner le convenable d'interdire ce qui est pas convenable la l'endurance

etc et ensuite il va lui dire en fait ne te disons pas des êtres humains par mépris et ne marche pas

sur la terre avec arrogance voilà tam chifil ordi maraha donc en disant que là il n'aime pas les

présents tu eux ils n'aiment pas les gens qui qui marchent sur la terre avec arrogance des fois

c'est traduit par insolence en tout cas voilà impudence il vient marcher sur terre sans marah donc

maraha marah c'est le fait de ne pas maîtriser son excès de guetté le fait d'être heureux

d'être effronté d'être insolents et il va parler aussi de la humilité il va parler de

l'humilité il va parler d'être modéré dans la démarche et tempérer sa voix tout ça c'est

c'est des pépites en fait qu'il entre nous partager ici il parle de l'humilité aussi qui

a sa juste mesure on ne peut pas se humilier devant un être humain en voulant être humble

ce privilège il appartient à la la le fait de nous avoir vraiment en position basse ça c'est

devant à la devant les êtres humains on ne se humilie pas on est humble on ne se humilie pas

l'humilité c'est une étiquette de respect des grandes personnes machardins et pour ça en fait

pour ça pour ça vraiment je te confère à je te renvoie à l'histoire du yousuf à l'islam

précisément l'épisode où il est en prison et qui s'apprête à sortir et qu'il interprète

le rêve du roi et que et qu'il reste quand même en prison jusqu'à ce que son honneur soit lavé

ce calme dont il fait preuve cet higma dont il fait preuve il a sauvé tout un pays en donnant juste

des plans à suivre en fait alors qu'il n'était même pas sorti de prison et après il décide lui-même

de prendre les commandements le lid par rapport au finance au dépôt à là justement pour pouvoir

gérer bien la famine yousuf à l'islam on peut pas dire qu'il n'était pas humble on peut pas dire

qu'il manquait d'humilité mais il a pris le lid quand il fallait d'accord donc lui il a très bien

dosé la part entre humilité et responsabilité et c'est ça qui cultive toujours la reconnaissance

envers là et c'est ça à faire preuve de higma donc tout se recoupe en fait higma avec reconnaissance

reconnaissance avec humilité humilité va avec vraiment tout va ensemble d'accord mais dès lors

en fait qu'on fait preuve de manque de reconnaissance tout tombe à l'eau parce que le manque de reconnaissance

ça ouvre la porte au chirque ça ouvre la porte au plaint ça ouvre la porte à la tristesse ça ouvre

la porte à justement au manque de sagesse ça ouvre la porte à l'empressement ça ouvre la porte

à l'orgueil ça ouvre la porte à justement une démarche qui n'est pas tempérée une voie qui n'est

pas tempérée et là ça a un fort impact il a quand il dit work street finimashika donc soit modéré

dans ta démarche et savant aussi le traduise par le fait de ne marcher ni trop vite ni trop lentement

dans dans dans la compréhension globale quand tu vois work street finimashika le verbe qui employé

donc raste un sada c'est le fait de tendre vers quelque chose d'aspirer à quelque chose le fait

d'aller quelque part sans dévier c'est le fait aussi d'agir avec justice c'est aussi être proche

de son objectif donc c'est une marche qui n'est pas longue d'accord c'est une marche où quand on

la démarre l'arrivée est déjà facile l'arrivée elle est elle est elle est là elle est perceptible

et c'est aussi le fait d'économiser donc économiser quoi économiser son énergie

économiser sa salieux économiser son temps etc tu vas comprendre ce qui est beau ici dans le mot

qui employé donc work street finimashika donc c'est traduit par voilà soit modéré dans ta

démarche donc entend là tout ce que je viens de t'expliquer donc en gros une démarche c'est pas

seulement la marche il y a le sens propre et sens figuré c'est pas seulement la marche si on va

d'un point à un point b oui mais c'est dans le sens tout ce que tu entreprends dans la vie toute

entreprise tout projet tout trajet tout voyage tout examen toute toute entreprise en fait il faut

que taille d'un point à un point b donc tu marches en fait tu marches de ton point à ton point b que

ce soit une marche vraiment physique ou que ce soit au sens figuré et en fait souvent dans la vie on

a des on a des gros objectifs ça c'est normal mais en parlant justement d'une marche qui est

modérée donc ni trop vite ni trop lente d'un objectif qui est proche d'accord casse casse

adeptes dedans il y a la notion de proximité et de facilité et d'objectifs atteignables et bien

ici ce que l'ourmaine al-salam nous enseigne à travers cette parole qui dit à son fils en lui disant

marche doucement au déraiment pas trop vite pas trop lentement c'est une manière de lui dire

quand tu as un gros objectif découpe le de façon à ce que chaque étape te semble facile à la fin

sans te rendre compte tu auras atteint ce gros objectif sans trop de dégâts en fait en gros

t'as pas fini en burn out à la fin et en fait pourquoi parce que enfin c'est simple en fait si

par exemple tu sais pas nager et tu vas prendre un âge mais tu vas pas apprendre à nager dans

l'océan Atlantique en fait c'est pas le lieu tu vas commencer par un petit bassin et petit à petit

petit à petit on va pas te d'apprendre à faire la brasse là dans l'océan Atlantique c'est

c'est insensé de la même façon on t'a pas parlé du doctorat à ton entrée en maternelle en

petite section c'est pas le lieu et pourtant c'est quelque chose pour lequel à laquelle tu vas

aspirer plus tard mais quand t'es en maternelle tu ne sais même pas qu'est ce que tu veux faire

plus tard donc te parler du doctorat ça n'a aucun sens c'est un gros objectif que tu ne sais même

pas si tu veux même l'attendre en maternelle non c'est pour ça que on vise la moyenne section

la grande section le cp jusqu'en 6e 3e première terminale etc il y a des objectifs en fait tout

pareil à la fac licence master doctorat mais si tout de suite tu rentres à la fac on dit doctorat

tu vas dire oui ça va te sembler inatteignable et bien là l'aura il s'est là mais en train

juste tu vois c'est juste ce mot là voire c'est donc soit tempéré dans ta démarche juste ce

mot là on a une grande leçon de sa part sur le fait de découper tes actions et tu vois

ce conseil aussi qui est donné pour un objectif qui doit être smart d'accord donc c'est le

diminutif en gros pour dire que faut que ce soit quelque chose qui soit comment dire qui soit

réalisable etc bon je te laisse regarder tous les détails de ça mais ça doit être un objectif

voilà réalisable qui est réaliste etc il y a des choses en fait à respecter pour atteindre un

objectif et bien ici tous les codes de smart sont respectés ici et sont donnés par l'urman

aleyselam dans ces mots donc tu vois on n'avait pas besoin d'attendre d'attendre tous ces concepts

pour connaître ça non même les compagnons du prophète aleyselam bah quand ils ont reçu en

tout cas cette surlata bah ils avaient les règles de smart déjà ils avaient toutes les leçons déjà

qu'il fallait découper l'objectif en petits objectifs qui nous semblent voilà atteignables qui

nous semblent faciles et à la fin voilà c'est ce que font les les athlètes les grands sportifs c'est

étape par étape si tu regardes la montagne tu n'y arriveras pas donc en gros chaque fois que tu

fais quelque chose et bien et un but clair aussi d'accord ça aussi c'est ça voir qu'aussi

de vie machica c'est le fait de ne pas dévier quand quelqu'un marche avec arrogance pour parler

justement du fait l'urman a dit qu'il faut pas marcher sur la terre avec arrogance avec trop de

fierté avec insolence même et bien quelqu'un qui marche avec arrogance il a il n'a pas de but

clair forcément son but n'est pas clair ça marche aller titubante dans sa vie en gros ça c'est

une expression que j'aimais bien sortir des fois avec des amis je disais faux quand je lis ce genre

de verset je me dis mais en fait faut arrêter de faire du lèche vitrine de sa propre vie tu vois

moi c'est un truc une activité que j'ai que j'ai jamais compris les gens qui disent ah bah on va

les faire du lèche vitrine aujourd'hui c'est dans le but d'acheter quelque chose ou tu vas revenir

après pour acheter non non non juste le plaisir d'aller regarder les vitrines des magasins je

désolé pour ceux qui aiment cette activité moi je ne supporte pas je ne vois pas l'objectif en

fait je me dis c'est une sortie sans but à la fin ni t'as acheté ni t'as prévu d'acheter ni t'as

conseiller quelqu'un qui voulait acheter en fait juste à regarder tes revenus t'as regardé des prix

tu t'es renseillé tu t'es peut-être imaginé dans ses vêtements ou dans ses objets ou je sais

pas quoi et en fait t'as pas de but donc du coup je disais toujours les amis si vous m'aimez ne

m'invitez pas à faire du lèche vitrine moi je ne viendrai pas et normalement si on est amis vous

proposerez jamais mais du coup je disais ça une fois une amie je dis faut qu'on faut en fait

faut vraiment pas qu'on fasse du lèche vitrine dans notre propre vie de notre propre vie en gros

il ya ta vie de l'autre côté de la vitrine c'est ta vie que tu es en train de regarder tu fais du

lèche vitrine de ta vie à toi en gros faut pas être figurant dans sa propre vie et celui qui

marche sur terre sans objectif clair il va dévier il va perdre du temps et la perte du temps ça

mène à l'arrogance c'est aussi simple que ça le trajet c'est un raccourcien que je suis en train

de dire là mais c'est ça en fait et en fait l'augment d'un lycée lames qui est en train de

dire à son fils quand il dit ou encore cette fin machica donc soit modéré tempéré objectif c'est

comme si lui dit fils on gère fils étape par étape tempo tempo chez n fa chez n une chose après

l'autre d'accord tu dois avoir des objectifs atteignables mais tu dois marcher vers eux ça

aussi c'est très important le fait qu'elle a utilise justement la marche donc l'augment pardon

à travers la parolta de la bien sûr utilise la marche comme action comme métaphore et qui est

aussi un sens propre bah c'est comme pour dire mais faut que tu sois toujours en mouvement par

contre rien ne va venir à toi sans effort tu peux tu rappeler tu vas pas rester ici assis

et les choses vont venir à toi non cet objectif coupé en petits objectifs qui sont faciles aussi

facile soit il faut que tu marches vers eux sinon ça ne marchera pas d'accord donc marche

doucement mais marche d'accord et ne dévie pas et si tu as un objectif clair tu ne vas pas dévier et

en fait un objectif clair rendra forcément insignifiant toutes les distractions que tu pourras

avoir dans ta vie et tu vas rester concentré quand tu as un objectif clair tu as un endroit où tu

veux aller tu veux un truc que tu vas faire si quelqu'un arrive sur ton chemin tu vas dire non mais

j'ai pas le temps je dois faire un truc parce que en fait c'est tellement c'est tellement important

pour toi que voilà je donne un exemple comme ça je sais pas tu n'as pas vu ta cousine ton père

depuis des mois parce qu'ils étaient en déplacement et ils arrivent à l'aéroport et c'est toi qui

qui est chargé d'aller les chercher à l'aéroport donc là t'as un objectif clair et en plus il y a

de l'émotion aile qui est dedans cette personne te manque tu l'aimes énormément tu as hâte tu es

en train de penser au retrouvaille tu as préparé à manger tu as préparé une petite surprise à

leur arriver à la maison etc t'as un gros objectif que tu as découpé en plein de petits

objectifs mais du coup tu es tout éclair dans ta tête à ce moment là si quelqu'un arrive et te

dit hey tu peux tu tu viens on va aller faire des magasins tu vas dire non tu vas pas dévier de ton

objectif non non là je dois aller à l'aéroport c'est il y a personne qui pourra te faire arrêter

là de la même façon si sur le trajet à l'aéroport il ya quelqu'un qui te laisse pas la priorité qui

essaye de faire des entours loupe ou faire je sais pas quoi ou même quelqu'un qui ne t'a pas touché

mais voilà il cherche des problèmes il veut se voilà tu vas tout faire pour éviter le constat

pour éviter des problèmes et tout tu seras dans ce mood de je te cède même ma priorité si tu veux

je veux pas me retarder de mon objectif d'accord alors pense à celui qui a un examen celui qui

a une thèse celui qui a une je sais pas moi une commande à préparer un voyage à faire une

femme qui s'apprête à accoucher l'objectif il est clair rien ne va te faire dévier si ton objectif

il est clair ce sera très facile de limiter les distractions parce que ton objectif il est clair

de la même façon tu peux te dire que si tu es trop distrait trop distraite donc quelque chose peut

être que ton objectif n'est pas clair en tout cas il n'est pas assez clair dans ta tête sinon la

distraction elle n'opérerait pas là je pense qu'on est tous en train de se regarder avec le temps

qu'on passe sur les réseaux sociaux sur tous ces choses là qu'elle a nous pardonne en tout cas

pour ce temps qu'on a alloué à autre chose autre chose que la reconnaissance envers lui et

autre chose que le glorifier faire preuve de hamd envers lui et autre chose que regagner notre

notre place au paradis qu'elle a nous présente tout ça et je rajouterai aussi qu'avoir des

objectifs clairs ça donne ça renforce la confiance qu'on a pour la la confiance en la

de la la confiance en la de la dans les capacités qu'il nous a donné pour atteindre nos objectifs

et ensuite on va finir avec ça quand il parle d'ajuster la voix ça aussi moi ça m'a intrigué

je me suis dit il lui parle du ton de voix c'est particulier en fait de parler de c'est vrai que

de manière générale on n'aime pas les gens qui parlent fort qu'il braille qui crie et non plus

là il y a été j'ai envie de dire il a été fort là il a pourrait dire aujourd'hui que c'est une

punchline un peu c'est la voix la plus détestable on le sait tous c'est la voix des ânes d'accord et

je sais pas c'est entendu déjà entendu un an quand il braille c'est pas la plus belle voix et

c'est pas une voix très poétique d'accord donc quand on dit de quelqu'un qui parle fort tout le temps

que c'est comme le brément d'un an et que c'est la voix la plus détestable il ya quelque chose à

apprendre ici en fait si tu regardes bien quand on élève trop la voix c'est qu'on cherche de

l'attention celui qui élève trop la voix cherche de l'attention sinon il n'élèverait pas la voix

parce que quand tu ne veux pas d'attention sur toi et ben tu n'élèves pas la voix sinon c'est

raté et tu n'as pas besoin de cette attention là cette extra attention quand tu as des objectifs

parce que les bonnes personnes viendront à toi au bon moment d'accord tu n'as pas besoin quelque

part là aussi c'est une expression que j'aime bien dire t'as pas besoin de vlogger ta vie d'accord

on désolé pour ceux qui aiment les vlogs qui aiment regarder les vlogs qui aiment faire des

vlogs j'entends pas dans le sens faites pas de vlog ou quoi ou regardez pas de vlog mais dans le sens

si tu as des objectifs clairs tu sais où tu vas tu n'as pas besoin de vlogger ta vie tu n'as pas

besoin de de podcaster ton temps ce que tu fais ta vie tes détails ce que t'as mangé à midi

ce t'as pas besoin de donner chaque détail de ta vie en fait parce que si tu as des objectifs clairs

tu es plus occupé à les atteindre qu'à montrer aux gens des étapes finalement qui ne font même

pas partie de ton objectif donc la voix la voix c'est quelque chose de très important tempérer sa

voix d'ailleurs quand tu regardes les grandes personnes les grandes figures les grands leaders les

gens sages les gens qui ont de la hecma les gens que tu aimes écouter je pense que ce ne sont pas

des gens qui hurle qui brille qui qu'on entend à des kilomètres déjà dès qu'une personne crie ou

parle très fort elle perd une partie de son auditoire en tout cas ceux qui sont juste à côté

n'ont pas envie d'écouter quand quelqu'un te crie dessus il hurle à chaque fois qu'il parle tu n'as

pas envie d'écouter alors qu'une personne qui est posée qui te parle doucement correctement mais une

voix audible le but aussi pas de parler tout doucement et personne comprend ce que tu dis non

faut parler faut être présent en fait mais présent mais pas envahissant présent mais pas

orgueilleux présent mais reconnaissant présent et humble en fait donc présent et responsable et

faut te rappeler que c'est pas pour rien Carlos Parotala a parlé de l'Hokman un homme qui parle

à son fils il aurait pu parler à sa fille on a des exemples de gens sages ici qui parlent avec

leur fille la femme de Musa al-Islam il parlait avec euh enfin la femme de Musa al-Islam elle

parlait avec son père donc des discussions perfils il y en a eu des discussions perfils aussi il y

en a mais là le fait qu'elle a mentionné un père et mentionne qu'il parle à son fils et pas à sa

fille pas sa femme pas à quelqu'un d'autre et bien c'est aussi pour que les hommes se sentent

encore plus touchés et encore plus concernés ici ici l'Hokman al-Islam nous enseigne de

grandes leçons de paternalité parentalité de compagnonnage et de Rahwama en fait être un

Rahwam c'est très bien enseigné et je finir j'irai pas dire je vais finir je vais finir mais

vraiment là je vais finir pour faire une sorte de comment dire de de parallèle et une sorte de

transition sur quelque chose sur pour lequel tu te poses forcément la question c'est quoi

finalement un homme Rahwam et par rapport justement à cette cette histoire de voix ça me fait penser

à une anecdote une discussion que j'ai eu il y a pas très longtemps avec mon papa qu'elle a le

protège le préserve ou je lui faisais part justement de paroles que moi je pensais que des amis

aussi on pensait je dis c'est papa je parlais avec une telle une telle et on en est venu à une

constat c'est que les hommes les hommes bien les hommes bons les grands les vrais Rahwam et là

j'ai fait une petite blague en disant papa les gens comme toi sont je pense que c'est des espèces

en voie de disparition il n'y en a pas autant que ça et là il m'a il a souri il m'a stoppée

tout de suite en me disant non c'est une il y en a plein je dis tu peux nous tu peux m'expliquer il

dit il y en a plein il dit mais les vrais les hommes un Rahwam ça barille pas et là ça m'a fait

penser à cette aya il a dit il barille pas il piaille pas il n'a pas la bouche grande ouverte à

parler et partout il est partout les gens sont il l'entendent il le voit il prend trop d'espace il

dit mais en fait les hommes bons en fait ont des objectifs clairs ils sont occupés ils sont ils ont

des objectifs de vie et ils ne braille pas comme ceux qui sont en train de brailler et ils disent

finalement les gens qui sont en train de brailler les matues ceux qui justement qui ne sont pas

Rahwam donc du coup qui doivent vendre leur mérite et leur personne autrement que en étant Rahwam

et donc du coup c'est très compliqué à combler donc la voix en pli et à l'espace aussi il dit

cela tu sais ils sont tellement bruyants ils prennent tellement de place ils passent tellement de temps

à appeler le monde autour d'eux et à eux qu'ils font de l'ombre au Rahwam pas dans l'ombre dans

le sens on les voit pas ils ne s'affirment pas ces hommes Rahwam mais en fait ces hommes Rahwam

plein de sagesse et bien ils sont aussi dans leurs objectifs d'accord et là il me dit mais

ces gens non seulement ils sont nombreux les hommes bien les femmes bien ils sont nombreux nombreuses

mais ils sont discrets il a dit c'est comme toi et tes copines qui est ce qui est bien éduqué vous

êtes discrète des amis qui sont pas encore mariés elles sont pareils c'est des personnes

tempérées dans leur démarche dans leur voix qui ont des objectifs clairs mais il dit mais soyez de

manière générale les femmes parce que là du coup je parlais de ce que pensaient les femmes il dit

il faut être positif il faut voir les choses d'un œil toujours positif positif pardon il dit les

gens sages les gens qui font en preuve de rikma les Rahwam et les Salihat finiront toujours

par se trouver métuellement il dit regarde c'est comme Oumouna Khadija al-Adhiyallahu anha elle a

trouvé al-as-salaam comme lui a trouvé sa Khadija al-as-salaam il dit bah c'est comme Moussa

al-as-salaam il a trouvé son épouse au bout d'un désert alors qu'il était en train de prendre la

fuite et de la même façon elle l'a trouvé et les deux étaient discrets qu'on ne peut pas voir

plus discrets que Moussa al-as-salaam elle aussi était très discrète là par le même de sa démarche

comme une démarche humble et timide et pourtant c'est dans ce désert là qu'elle les a fait se

trouver donc les Rahwam et les Salihat leurs chemins à eux tous sont clairs des objectifs sont

clairs mais les chemins des gens biens ça se coupe ça se croise alors que les chemins des gens moins

biens et les chemins des gens biens peuvent se rapprocher mais seront toujours parallèles ils se

rencontreront jamais réellement même s'ils semblent se rencontrer c'est pas vraiment le cas bon là

c'était la minute conseil parental j'ai même pas fait exprès du coup je parle de mon père

mais sans avoir fait le parallèle que l'Orman aussi est un père mais pour dire que voilà la

sans s'en rendre compte il m'avait éclairci sur une sagesse que l'Orman a dit au sujet de la voie

ou papa a parlé de la voie en disant que voilà les hommes bons les hommes bien éduqués les hommes

Rahwam sont des gens qui sont tempérés en fait dans tout la chenna et là j'ai des amis qui

ont un petit jeu je les sens en bas qu'au fils là j'imagine leur voie en train de dire bah ils

pourraient se manifester un peu plus et là les filles on leur dira et vous pouvez vous aussi vous

manifester un peu plus machin là plus sérieusement vraiment calar calar face que chaque salihat

trouve son kawam et que chaque kawam trouve sa salihat que en fait ce ce soit que des

bonnes graines en fait qui se créent faut vraiment créer des faut vraiment faire germer

voilà c'est des graines à germer tout ça et il faut qu'ils germent dans de bonnes conditions tu sais

si tu es familiar avec le jardinage potager tout ça et tout on j'aime beaucoup tout ce qui est

tout ce qui est plante jardinage etc et bien il y a des semis il y a des moments il faut faire des

semis pour certaines plantes certains fruits et il y a des semis en fait où tu peux pas les faire en

pleine terre tu peux pas les faire en plein soleil il y en a qui craignent le froid il y a un environnement

en fait à créer pour que la plante en fait puisse grandir correctement et après avant qu'elle soit

replantée en pleine terre on peut pas faire n'importe quoi on peut pas le faire en n'importe quelle

saison on peut faire avec n'importe quelle terre bien là c'est un peu ça à la supranota là on lui

demande justement qu'il fasse que ces ces graines en fait rencontre le bon terreau la bonne personne

dans le bon environnement au bon moment pour que j'aime bien il a des magnifiques plantes des

beaux fruits etc bon ça va aller me dire zénapte est très poétique aujourd'hui c'est la reprise c'est

ça bon je faut que je m'arrête là épisode fait déjà une heure 20 donc faut pas que j'arrête

longtemps de parler mais là bon je reviens avec un gros épisode quand même on pouvait pas faire

ça raccourci donc l'ourman à l'islam j'espère que dorénavant tu le verras sous un oeil encore

plus bienveillant encore plus beau encore plus reconnaissant cet homme a beaucoup à nous enseigner

et comme lui enseigne à enseigner son fils étape par étape c'est le même conseil aussi que je te

donne au final pour ton ta compréhension du rôle n que soit ton apprentissage ta lecture ta méditation

chaque chose s'acquiert étape par étape si tu regardes ta relation avec le code n comme un

montagne inatteignable si tu viens de commencer à lire l'arabe et tu es déjà en train de penser à

la mémorisation complète tu crois en comme un objectif à attendre là maintenant ça va être la

sens ça va être difficile et à la moindre faille dès que tu vas te rébucher un petit peu tu vas

tout de suite penser à ce gros objectif en te disant je vais pas y arriver alors que si tu

te rébuches un petit peu dans la lecture pour pouvoir lire telle saura telle saura et bien en

fait c'est la saura en question mais si tu penses au 114 saurates en même temps parce que tu as

loupé la lecture d'un mot dans une saurate tu te vas te décorager de la même façon la compréhension

la méditation c'est étape par étape si tu cherches à vouloir comprendre tout d'une saura

d'inverser et tout de toute façon c'est impossible mais le maximum la première fois tu vas lire la

saurates ou le maximum la deuxième fois tu vas lire la saurates ça va être compliqué cette

saura de l'orchestre j'ai fait des séminaires là dessus et j'avais un séminaire qui s'appelait

360 degré que j'espère pouvoir reprendre une char de là dès que j'aurai l'occasion et bien

cette saura donc vraiment une étude à 360 degré je l'ai fait il y a trois ans avant ça cette

fois je l'ai étudié étudié étudié et pourtant encore aujourd'hui des années plus tard depuis

que je l'ai mémorisé il n'y a plus de à faire bientôt 20 ans maintenant que je l'ai apprise

abdui là et bien je pense qu'il n'y a jamais une seule fois où il n'y a pas une nouvelle

higma qui sort de cette saura que j'arrive à percevoir encore des fois on va écouter un

savant qui va en parler d'un angle où on n'avait pas vu que les choses comme ça des fois tu vas

lire un taffesige que tu n'avais pas compris et tu commences à comprendre parfois tu vas

discuter avec ton père et quelqu'un et là tu vas dire ah ouais c'est vrai et voilà et j'espère

en tout cas qu'avec ce podcast je participe je suis cette personne qui te rajoute une petite pierre

de plus que franchement je sais même pas un rocher c'est une petite un caillou que je te rajoute là

parce que tu connaissais déjà et tu en auras encore plein d'autres à ajouter au fur et à mesure de ta

vie pour finalement toutes les pépines toutes les sourds là du role n mais comme normand nous dit

étape par étape des objectifs clairs ne pas des vies de sa voix tempérer sa démarche reconnaissance

vers la humilité célébrer la salade celui qui a compris toutes les leçons sa salade à la

du sens et la salade il en a parlé c'est vraiment au milieu en fait célèbre la salade

accomplie la salade le lien avec à la tout ça tout à son sens en fait si on est reconnaissant

vers la tout au long de sa journée à chaque étape on a qu'une envie en fait c'est de poser le front

par terre et on se langue de ce moment de connexion directe et profonde avec à la pour pouvoir le

remercier de la manière où il aime le plus en prosternation et la salade engendre encore

d'autres bienfaits et ainsi de suite donc on est redevable tout le temps tout le temps tout le temps

on a toujours des objectifs et l'être humain ça tombe bien il n'aime pas la monotonie il n'aime pas

l'ennui on n'a pas une vie ennuyeuse normalement quand on est un serviteur d'Allah il est cool

je te laisse sur cet épisode en espérant te retrouver prochainement normalement le prochain

épisode en reprend un nouveau chapitre de soul à tel cas un nouveau une nouvelle édition en

tout cas de des pépites très hors de sourd à tel cas sauf c'est un petit moment qu'on l'avait

pas fait et je te souhaite en tout cas un bon vendredi une belle semaine et surtout surtout

surtout retiens reconnaissance reconnaissance reconnaissance choc choc choc choc ça me

réconner tona merci d'avoir écouté cet épisode et comme toujours si ce podcast apportait du bien

alors une chose à faire d'abonner pour ne rien rater et si il te semble pouvoir être utile à

d'autres personnes sans toi libre de le partager et même de laisser un commentaire et la note de ton

choix sur ta plateforme des coûts préférés ce sera une belle manière de me faire savoir que ce

podcast doit continuer et être écouté par le plus grand nombre je confie à la soupera na huatara le

soin de préserver ta foi ton honneur et ton coeur je te laisse à présent passer un bon moment

avec ton courant et je te dis à vendredi prochain pour un nouvel épisode salam alaykoum

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